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Dossier d'été: l'austérité

 

n
 
Dossier d'été: l'austérité

Dossier d'été: l'austérité http://t.co/rgm1NzkdS3 via @@ALMontpellier
 
C'et pas nous, c'est eux... Ne nous en prenons pas aux effets, attaquons toujours les causes !
Bakounine

 
 Samir Bouzid : « Cette crise planétaire est encore plus dévastatrice que la Grande Dépression des années 1930. Elle a de lourdes conséquences géopolitiques; le démembrement économique donne lieu à des guerres régionales, à la fracture des sociétés nationales et, dans certains cas, à l'anéantissement de pays. Elle constitue de loin la plus grave crise économique des temps modernes » 

 
Dossier d'été: l'austérité
 
Reste-t-il un peu de courage dans l'avion ? -
ZEC plus ultra
Zèbres En Cavale




S'ils restent, ils ne savent plus ou ils vont. Ils sont comme dans un avion en chute libre et ne savent pas quand est ce qu'il faut sauter. C'est tout le système des zones de libre échanges, de la Troika, de la lutte contre l'inflation, de la libre concurrence.... Tous ce qui a batti le système mondiale qui prend l'eau....

Les cycles économiques théorisés dans les manuels économiques classiques ont sans doute fait leur temps. La courbe sinusoïdale qui prévalait dans les années 70, 80 ou 90 pourrait bien définitivement appartenir au passé. A cette époque, le principal objectif des politiques monétaires menées par les banques centrales était d'assurer la stabilité des prix. On leur demandait de gérer le plus finement possible les retournements de conjoncture. Les politiques monétaire et budgétaire étaient décidées en fonction de ce cycle conjoncturel.

Aujourd'hui, les banques centrales ne sont plus indépendantes de leur gouvernement et utilisent leur politique monétaire et de taux, le montant de la masse monétaire et l'assouplissement quantitatif (QE) pour sauvegarder notre système financier mondial et pour écarter une récession et une déflation mondiale.
Écrit par : L'Indigné
 
Les prêts ne se dirigent plus vers les investissements productifs et d'avenir mais vers des investissements plus risqués, ce qui peut alimenter de nouvelles crises. Nous sommes parti dans une déflation qui risque de durer longtemps . cf voir le cas du japon
 
 
La crise de l'euro est l'histoire d'un malade que l'on prolonge indéfiniment en espérant qu'entretemps une solution sera retrouvée. Nous assistons donc au cycle sans fin des rémissions et des rechutes mais aucun traitement définitif n'est trouvé jusqu'à présent.
 
Dossier d'été: l'austérité
Une remontée des taux interbancaire sur le marché monétaire pourrait entrainé une faillite de tout les créanciers ayant emprunter des créances sur le marché monétaire., y compris les banques centrales.
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE
 Les états avaient le choix entre Se serrer la ceinture ou creuser les déficits , ils ont choisi de se serrer la ceinture, ils auront à la fois à se serrer la ceinture et un creusement des déficits. Pour repprendre le parallèle avec la citation de churchill : «  ils avaient le choix entre la honte et la guerre. Ils ont choisi la honte, ils auront la honte et la guerre ».
 
Les déséquilibres dans l'économie mondiale ont pris une telle ampleur que les craintes quant à la stabilité de notre système financier sont entièrement justifiées.
 
Presque tous les pays souffrent d'un chômage historiquement élevé (troubles sociaux). Les flux de biens et de services dans le commerce international se sont fortement déséquilibrés. Alors que les Etats-Unis enregistrent un déficit chronique et extrêmement élevé de leur compte-courant, la Chine et les pays de l'OPEP enregistrent de forts excédents.
 
En conséquence, le système monétaire international affiche des déséquilibres jamais vus. La Chine a des réserves en devises de l'ordre de 3 400 milliards de dollars alors que les Etats-Unis sont le pays le plus endetté au monde. Le Japon s'est lancé dans une dévaluation compétitive (turbulences de devises). .
 
Pour lutter contre le ralentissement économique, les gouvernements des pays industrialisés ont poussé le creusement du déficit tellement loin que leurs dettes publiques ont atteint d'absurdes niveaux qui ont des effets contre-productifs sur la conjoncture. Le service de la dette pousse les pays vers la faillite.
 
Les seules issues semblent être l'inflation et/ou l'abandon de créance pure et simple, ce qui est une menace pour les marchés obligataires et pourrait entraîner de fortes moins-values (la capitalisation boursière du marché obligataire est de 98 000 milliards de dollars à comparer aux 60 000 milliards de PIB mondial). Tous secteurs confondus, les Etats-Unis financent une dette de 56 280 milliards via le marché du crédit alors que leur PIB est de 15 864 milliards de dollars. Leur plus grand créancier est leur propre banque centrale devant la Chine et le Japon.
 
La dette publique du Japon à hauteur de 240% du PIB est encore plus absurde (le marché obligataire en yen risque l'effondrement).
 
Les principales banques centrales du monde appliquent une politique de taux d'intérêt zéro et inondent les marchés financiers de liquidités comme jamais vu auparavant. La Fed et la Banque du Japon ensemble achètent mensuellement pour 159 milliards de dollars de titres.
 
Les bilans des banques centrales augmentent considérablement. Le montant des titres détenus par la Fed va passer de moins de 1 000 milliards de dollars en 2007 à 6 000 milliards en 2016. Au cours de la même période, le montant des titres détenus par la Banque du Japon sera passé de 20% du PIB à 60% et pour la BCE de 15% à 45%. Dans ces conditions, comment peut-on imaginer que les banques centrales pourront revenir à une structure "normale" des taux sans provoquer une crise extrêmement grave ?

 

 
Dossier d'été: l'austérité
 
 :  » Le commencement de la fin « Les politiques font du business, il est normal que les agences de notation fassent de la politique. Elles ont  aussi ce talent particulier de transformer des situations gérables en crises inextricables :  Irlande, Grèce, et Portugal en ont fait les frais. C'est au tour des États-Unis  de connaître la joies du cercle vicieux créé par les pronostics de l'opinion financière
 

1) dégradation → tension brutale sur les taux → renchérissement du coût de la dette → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → tension supplémentaire sur les taux, etc. ;
et
2) dégradation → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, etc. – ( Frédéric Lordon )
 
 > Le commencement de la fin – Frédéric lordon – La pompe à phynance


L'économie de la zone euro va se contracter davantage que prévu cette année, ce qui se traduira par une réduction ralentie des déficits publics, selon la Commission européenne. L'exécutif communautaire a revu en baisse ses prévisions économiques et table désormais sur une contraction de 0,4% du produit intérieur brut (PIB)

DEUX ANS DE PLUS POUR PARIS ET MADRID

Pour réduire l'impact baissier de la consolidation budgétaire sur l'activité économique, la réduction du déficit global de la zone euro devrait être un peu

Sur le conseil d'Antalaya, un article de Guillaume Duval : Politique budgétaire : errare humanum est, perseverare diabolicum...  paru dans Alternatives économiques. " Si le gouvernement avait visé un déficit public de 3,7 % du PIB en 2013 au lieu de 3 %, nous aurions probablement évité la récession et 300 000 chômeurs supplémentaires.> Lire la suite.
 
Le 27 juin dernier la Cour des Comptes dans son rapport sur la situation des finances publiques confirme une évidence : les mesures de restriction budgétaire prises en 2012 et en 2013  ont entraîné une limitation de l'activité et une hausse du chômage.
 
« . (...) la structure même de l'économie est transformée par la récession et le chômage : les chômeurs qui le sont restés pendant deux ou trois ans, ne sont plus vraiment aptes à l'emploi immédiatement, ils doivent être lourdement formés et accompagnés pour pouvoir revenir sur le marché du travail, et les entreprises qui ont fait faillite, les usines qui ont fermé ne sont plus capables de produire quoi que ce soit quand la reprise arrive... L'austérité prolongée fait en réalité baisser ce que les spécialistes appellent le « PIB potentiel » de l'économie, sa capacité théorique à produire des richesses. Ce qui implique que les faibles déficits « structurels » affichés officiellement ne sont en réalité qu'une fiction : ils ne peuvent plus être atteints car le potentiel productif que cela supposerait a été détruit par la récession prolongée. »
 
La question n'est même plus de savoir si l'austérité diminue l'activité mais à quel niveau elle le fait :

« le « multiplicateur » (...) est supérieur à 1, surtout lorsqu'on se trouve déjà en phase de ralentissement économique et que les principaux partenaires commerciaux du pays mènent eux aussi des politiques d'austérité. Autrement dit 1 point de PIB de restriction budgétaire entraîne probablement une perte de l'ordre de 1,5 point de PIB d'activité économique. »
 
C'est sans doute pour ces bonnes raison que le gouvernement Hollande-Ayraut a décidé de poursuivre dans la même voie et a présenté au Parlement ses grandes orientations pour le budget 2014, budget d'austérité qui sera "discuté" à la rentrée par le PS et ses alliés naturels et surnaturels.   




Dossier d'été: l'austérité

 
Dossier d'été: l'austérité http://t.co/rgm1NzkdS3 via @@ALMontpellier
Dossier d'été: l'austérité "socialiste". Les chomeurs 2/4
 
 
Le gouvernement Hollande a pu distraire la galerie pendant quelque temps en se faisant passer pour progressiste : ainsi il y eu une intervention au Mali au nom des droits de l'Homme (et de l'industrie nucléaire), puis le Mariage Pour Tous, dont les opposants entre cathos intégristes et nostalgiques du IIIe Reich, nous ont fait oublier pendant quelque temps le gouvernement socialiste.
 
Pourtant, c'est une erreur. Les « socialistes » sont arrivés au pouvoir avec une mission « restaurer la compétitivité ». Cela peut paraitre sympa au premier abord, mais ce n'est rien d'autre qu'écraser le prolétariat, les travailleurs en diminuant leurs droits, leurs salaires pour augmenter le taux de profit du patronat. Pendant que ceux qui peuvent encore se le permettre bronzent dans le Sud de la France, les socialistes, main dans la main avec des syndicats jaunes et le patronat préparent l'offensive contre nos droits.
C'est pour cela que nous faisons un dossier d'été qui présente les différentes « réformes » ou plutôt attaques en cours dont nous serons les victimes en septembre.
 
Voici un article qui récapitule les différentes pistes de réduction de nos droits, qui ne sont pourtant pas mirobolants...dans un contexte d'explosion du chomage
 
(Article issu de la presse bourgeoise)
 
L'Unedic a rendu public ce jeudi de nouvelles prévisions qui montrent que le pari du gouvernement d'une inflexion de la courbe du chômage à la fin de l'année est compromis et, surtout, que 2014 s'annonce sombre. Pour 2013, les nouvelles sont plutôt bonnes compte tenu du contexte. Alors que le consensus des
économistes ne table plus sur une quasi-stagnation mais sur un diminution de 0,2 % du PIB, le régime géré par les partenaires sociaux n'a pas dégradé ses prévisions de chômage sur 2013. Il anticipe désormais une hausse de 178.700 du nombre de demandeurs d'emploi n'ayant pas du tout travaillé dans le mois, soit 7.000 de moins qu'il y a cinq mois. Du côté de l'emploi salarié, les destructions concerneraient 35.600 postes, deux fois moins qu'en 2012.
 
Une inflexion au troisième trimestre
(...) .
 
Michel Sapin, cela « conforte l'analyse du gouvernement et son objectif d'inverser la courbe du chômage d'ici la fin 2013 et au-delà ». Pour le ministre du Travail,, l'Unedic fonde son calcul sur « une hypothèse de croissance inférieure à celle du gouvernement (+0,7% contre +1,2%) et ne prend pas en compte tous les effets des politiques et réformes ». Une « inversion durable de la courbe du chômage est donc à notre portée », affirme-t-il.
 
(.....)
 
Une dette portée à 24,1 milliards d'euros (...) .
 
La situation est pour l'instant sous contrôle car, comme l'avait expliqué son président, Jean-François Pilliard, son programme d'endettement pour cette année permet de faire face au besoin de financement prévu fin 2013, soit quelque 18 milliards d'euros. Mais ce n'est pas le cas pour l'an prochain. La renégociation des règles de l'assurance-chômage, dont la convention arrive à son terme en décembre prochain, doit démarrer à la rentrée. Elle va se dérouler avec en toile de fond d'une dégradation financière record, ce qui augure de discussions très tendues entre patronat et syndicats. Tout cela avec un changement de président à la tête du Medef .
 
Les exorbitants déficits budgétaires dans presque tous les pays industrialisés ne peuvent être financés que par l'impression monétaire et des achats d'obligations par les banques centrales (QE). Mais une telle politique comporte aussi un risque élevé pour tout le système financier (formation de bulles en cours) ainsi que des dangers latents d'inflation. ].

 Les Etats-Unis sont loin d'avoir réduits leur endettement et seule la création de nouvelles dettes assure un semblant de croissance à l'économie américaine
 
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ÉTATS-UNIS • Detroit : après la faillite, les questions
La ville de Detroit s'est officiellement déclarée en faillite le 18 juillet. Le point d'orgue d'une longue descente aux enfers pour le berceau de l'industrie automobile.
Courrier international| Corentin Pennarguear19 juillet 2013 
 
 
Le siège de General Motors en arrière-plan, géant de l'automobile basé à Detroit.- Photo AFP.
“Inévitable.” Le mot revient dans presque tous les articles de la presse américaine à l'heure d'évoquer la faillite de Detroit et ses 18 milliards de dollars de dette [environ 14 milliards d'euros]. “Confrontés à des revenus fiscaux en chute constante, les dirigeants municipaux n'ont rien fait à part se chamailler, nier le problème... et dépenser”, se désole The Detroit News.

La ville de plus de 700 000 habitants ne s'est jamais remise de la crise financière de 2008 et du fort déclin de l'industrie automobile. “Comme la mort de quelqu'un atteint d'une maladie incurable, la banqueroute planait au-dessus de Detroit depuis deux ans”, constate Detroit Free Press. Mais la chute de la ville vient de plus loin. “Tous les habitants ne se sont pas enfuis dans la nuit, fait remarquer The Detroit News, leur nombre s'effondre constamment depuis les années 1950.” Autrefois quatrième ville des Etats-Unis, “Motor City” a perdu 63 % de sa population en soixante ans.

“Les 18 milliards de dette ne se sont pas non plus matérialisés d'un coup, continue le quotidien local. Ils ont été empilés par les maires et les conseillers municipaux, qui ont préféré hypothéquer le futur pour payer les factures d'aujourd'hui plutôt que de faire correspondre dépenses et recettes.”

Maintenant que sa banqueroute est annoncée, Detroit attend de savoir si elle pourra être placée sous la protection du chapitre 9 de la loi sur les faillites, ce qui lui permettrait de renégocier sa dette. Mais comme le souligne The Detroit News, “si personne ne peut prédire avec certitude où ce processus va mener [...] on peut dire avec quasi-certitude que cela va constituer une nouvelle épreuve pour les citoyens de Detroit qui ont déjà beaucoup souffert”. Ils vivent déjà dans une ville “où 90 % des affaires d'homicide ne sont pas résolues, où 80 000 bâtiments abandonnés pourrissent le paysage et où la moitié des lampadaires ne fonctionnent pas la nuit”.

Face à ses difficultés, Detroit avait été mise sous tutelle dès mars dernier et est à présent gérée par Kevyn Orr, "celui qui pourrait faire la différence", selon Detroit Free Press. Le journal attend beaucoup de ce juriste qui “a déjà mis en place un plan pour restructurer la dette et remettre de l'argent dans les services municipaux”. Son plan démontre que la ville ne peut rembourser l'intégralité de sa dette, mais traite tous les créditeurs “de manière égale”, d'après le quotidien. “Il n'y a plus d'argent et aucun moyen d'en avoir plus.”

Si Detroit est la plus grande ville des Etats-Unis à s'être déclarée en faillite, ce n'est pas la première, comme le souligne une carte interactive de Governing.com. Depuis janvier 2010, huit villes et des dizaines d'organismes assurant des services publics ont fait banqueroute aux Etats-Unis.

 
 . Depuis la crise de 2007, la Chine voit ses principaux clients s'enfoncer dans la crise et ralentir leurs exportations
 
Des chiffres qui s'expliquent non seulement par la faiblesse de la demande extérieure évoquée plus haut mais aussi par la hausse continue du coût du travail en Chine et la force du yuan ainsi que le contrôle accru des autorités chinoises sur les fausses factures
 

- Le crédit fait des bulles
- Chaudron social : La montée de la contestation sociale est nourrie par un taux de chômage. (....) .  

Ces deux (gros) points noirs risquent de déstabiliser non seulement la croissance mais surtout la société chinoise.

 A vrai dire, Pékin n'a plus le choix. S'étant lancées dans une politique tournée vers la consommation intérieure, les autorités chinoises ont semé le grain de la réduction des inégalités sociales et de son pendant, la perte de compétitivité de la production chinoise


Les prêts interbancaires, thermomètre de la santé d'une économie
Mais réflexion faite, ce fameux taux pourrait être bien plus intéressant qu'il n'y paraît au premier abord. Les prêts interbancaires sont la pierre angulaire d'une économie. Le fonctionnement quotidien, les crédits qu'elle accorde, d'une banque repose sur eux. Donc quand une banque hésite à prêter à une autre, un signal d'alarme retentit.

C'est ce qui s'est passé au plus fort de la crise de l'euro en Europe. . Le marché interbancaire avait été presque paralysé, menaçant le crédit aux particuliers et aux entreprises, et donc toute l'économie européenne. C'est ce que les économistes appellent un "credit crunch", un effondrement du crédit...


Or la menace d'un credit crunch chinois grandirait. Comment expliquer une telle flambée ?

Bulle de crédit à la chinoise
Par la croissance faramineuse qu'a connue le crédit ces dernières années, encouragée par le gouvernement central qui voulait soutenir l'économie et lutter contre les effets persistants de la crise mondiale. Le remède est connu – et a été administré par toutes les banques centrales dans le monde entier après 2008 – : en baissant le taux directeur, en encourageant le crédit, les banquiers centraux espèrent relancer l'investissement des entreprises et la consommation des particuliers.


Dans le cas chinois, une seconde raison est venue se grever à ses impératifs économiques : l'impératif social. Car la Chine doit faire face à un afflux massif des ruraux vers les centres urbains. D'ici à 2030, 300 millions de ruraux devraient s'installer dans les villes. Un exode qui est là encore encouragé par Pékin qui voit dans ces nouveaux urbains aussi bien une réserve de main-d'oeuvre que de consommateurs – deux composants de choix de la stratégie économique chinoise. (....) .. Et là encore, il y a un double effet sur l'économie. Car tous ces projets de construction et d'infrastructures vont permettre de soutenir l'économie, via la construction et les dépenses d'infrastructures.

[L'urbanisation croissante et le manque d'infrastructures orientent les nouveaux besoins de la Chine en matières premières. Première d'entre elles, le cuivre, utilisé non seulement dans la construction mais aussi dans les dépenses d'infrastructures (câbles, etc.). La demande chinoise devrait donc exploser dans les années qui viennent. Pour financer ces projets, Pékin a non seulement mis de l'argent sur la table (l'équivalent de 12% de son PIB) mais aussi encouragé le crédit local, accordé par des banques (locales) à des projets (locaux).

Le crédit, Golem de Pékin
. Le crédit doit être manipulé avec la même précaution : le créer, l'encourager, c'est très bien, encore faut-il ensuite pouvoir le contrôler et le maîtriser. C'est justement ce qui est en train de se passer dans l'empire du Milieu.

Le ratio crédit/PIB est ainsi passé de 75% en 2008 à plus de 200% aujourd'hui. Les gouvernements locaux, pour financer leurs projets de construction et de développement se sont lourdement endettés et alors que les recettes fiscales sont en recul, la situation devient périlleuse.
 
A cela il faut ajouter qu'une part non négligeable du crédit chinois (plus de 10%) échappe totalement à tout contrôle. En effet, la Chine –, le marché du crédit est contrôlé par l'Etat qui possède un monopole sur le système bancaire. S'est donc développé un système de prêt parallèle, non-autorisé. Il peut prendre la forme de prêts entre particuliers, de prêteurs sur gage ou d'établissements bancaires de l'ombre... et de grandes entreprises publiques qui profitent des faibles taux d'emprunt qui leur sont accordés par l'Etat pour ensuite accorder des prêts à de plus petites entreprises.
 
Leur point commun : un taux d'intérêt souvent usuraire... Ce crédit parallèle est d'autant plus dangereux qu'il échappe à toute tentative de contrôle de l'Etat ou des gouvernements locaux.
 
Où est passé l'argent ?
Conséquence à la fois de la manne financière étatique qui a inondé certains secteurs ainsi que du développement du shadow banking, l'affluence de crédit et de liquidités n'a pas forcément irrigué les secteurs les plus productifs de l'économie. Je vous le disais plus haut, certaines grandes entreprises d'Etat ont préféré prêter leur argent plutôt que d'investir dans leur appareil de production.
 
 
Surendettée à hauteur de 100 milliards de yuans (12 milliards d'euros), la ville d'Ordos doit en outre, comme le rappelle L'Agefi, faire face à une importante baisse de ses revenus (-18,5%), rendant sa situation intenable.
 
quels dangers fait courir cette menace de credit crunch sur l'économie chinoise et quelle est la réponse de Pékin. Car le gouvernement chinois se trouve confronté à un dilemme de poids : faut-il privilégier la croissance quitte à favoriser la croissance de la bulle du crédit ou bien contrôler l'endettement aux dépends de la croissance.
 
Cécile Chevré
Hier, nous avons vu comment s'est gonflée une bulle du crédit en Chine et comment celle-ci a progressivement échappé à tout contrôle. Reste maintenant à savoir quels dangers peuvent découler d'un dégonflement brutal de cette bulle et quels sont les moyens d'intervention de Pékin.
 
Commençons par les risques.
 
D'une banque chinoise à l'économie mondiale


Une économie fonctionne grâce aux prêts. Les entreprises empruntent pour investir, augmenter leur production et créer de la croissance. Les particuliers empruntent pour consommer, se loger, faire des études, etc. Le crédit n'est pas forcément mauvais pour une économie quand il permet à terme de créer de la valeur ajoutée et de la richesse. Reste à maîtriser la qualité des crédits accordés ainsi que leur quantité. . Trop de (mauvais) crédits, et c'est la bulle spéculative. Pas assez de crédits, et c'est une économie toute entière qui ralentit".
 
Certains observateurs font déjà le lien ente ralentissement économique chinois et le resserrement de l'offre de crédit. .
 
Les risques ? Un assèchement complet du marché du crédit et donc de la liquidité qui bloquerait la consommation et l'investissement. Et une faillite en série de banques qui voient déjà leur bilan sérieusement plombé par d'innombrables créances douteuses.
 
Des risques qui pourraient prendre une ampleur mondiale. Comme le rappelait Gustavo Horenstein de Dorval Finance dans une interview accordée au site Sicavonline.fr : "L'économie chinoise représente 12% de l'économie mondiale en dollar courant mais plus de 40% de sa croissance. Si la décélération de la croissance chinoise se transforme en récession, l'impact sera fort sur la croissance mondiale. Les plus touchés seront les principaux partenaires commerciaux asiatiques et les pays producteurs de matières premières. Concernant les marchés financiers, les entreprises très tournées vers cette zone ne seront plus le refuge qu'elles ont été face à la crise de la zone euro".
 
Reste à savoir ce que Pékin veut – et peut – faire face à ces risques.
 
Pékin face à ses banques
Vendredi dernier, les taux interbancaires redescendaient, vers les 8%, laissant soupçonner une intervention massive de la Banque centrale chinoise, la Banque populaire de Chine (PBoC). Celle-ci, selon certaines rumeurs persistantes, aurait injecté 40 milliards de yuans (4,88 milliards d'euros) dans certaines banques, résolvant les problèmes d'approvisionnement des liquidités.

 
Officiellement, cependant, la PBoC se refuse à intervenir de manière massive, estimant que le niveau de liquidités était suffisant. Après moult tergiversations, elle a tout de même consenti à annoncer hier qu'elle était prête à soutenir de manière temporaire les banques en manque de liquidités afin de ramener les taux interbancaires à des niveaux raisonnables. Une annonce qui a rassuré les marchés : e.
 
Pourquoi une telle prudence de la part de la PBoC ? Parce que Pékin – et sa banque centrale – sont conscients des risques que font peser le système bancaire et les investissements dits à fort effet de levier (une manière de dire que le rendement est élevé), comme l'immobilier, sur la stabilité financière et économique du pays.
 
Après avoir encouragé le crédit et les investissements spéculatifs après la crise de 2008, Pékin préférerait aujourd'hui que l'argent aille vers la consommation intérieure et l'investissement des entreprises mais aussi vers les investissements à long terme. Le gouvernement chinois est aujourd'hui prêt à limiter et encadrer le marché du crédit, et en accepte la conséquence principale, le ralentissement de la croissance du PIB.
  
Selon l'économiste Xu Gao, cité par Le Figaro : "si les taux d'intérêt restent à des niveaux si élevés, le seul scénario pour l'économie chinoise sera celui d'un atterrissage brutal. Il semble que les dirigeants chinois suivent délibérément une approche attentiste en laissant le ralentissement de la croissance se poursuivre sans intervenir".
 
Reste à savoir si la PBoC utilise la bonne méthode pour contrôler le marché du crédit. Comme le souligne Bank of America Merrill Lynch, cité par Reuters : "Nous pensons que le plus gros risque est que la PBoC ne gère pas correctement la situation. S'occuper des banques qui violent les règles devrait se faire en améliorant la réglementation prudentielle et non en organisant une crise du crédit interbancaire qui pourrait avoir des effets indésirables en cas de perte de la confiance entre banques".
 
Etincelle de krach en Chine ?

La Chine risque-t-elle un credit crunch capable de faire plonger la croissance mondiale ? Une telle hypothèse ne peut être totalement écartée mais contrairement à ce qui s'est passé en Europe lors de la crise de l'euro, le resserrement du crédit est la conséquence directe de la volonté de la Banque centrale chinoise. Banque centrale qui en outre a les moyens de ses ambitions et de sa politique grâce à ses énormes réserves de change et de métaux précieux.


 
Pour aller plus loin aujourd'hui : le pouvoir de la Banque populaire de Chine et comment profiter de la transition économique chinoise :

- Si le pouvoir des banquiers centraux occidentaux est plus que douteux, celui de la PBoC est indéniable, comme le souligne Philippe Béchade dans La Chronique Agora : "La seule qui semble encore en mesure de dicter sa loi aux marchés, c'est la banque centrale chinoise. Elle reste bien à l'abri des attaques des “hordes de sangliers” dans son périmètre monétaire parfaitement étanche. Elle a administré de façon magistrale une punition aux spéculateurs mardi matin. Avec le soudain assèchement du crédit, un grand nombre d'opérateurs ont dû réduire la voilure en catastrophe face à l'impossibilité de refinancer des positions lourdement perdantes via le shadow banking (des entreprises industrielles ou commerciales se transformant en prêteurs sur gage, ce qui rapporte beaucoup plus que d'exercer leur coeur de métier).
 
- La position de la PBoC devant l'emballement des taux interbancaires est un signe de plus de transition économique en cours dans l'empire du Milieu, vers une économie centrée sur la consommation intérieure et reposant sur l'explosion de la classe moyenne urbaine. Cette transition a des conséquences non seulement sur la société chinoise, mais aussi sur les modes de consommation et de vie des Chinois. Premier de ces bouleversements : l'alimentation, plus grasse, plus carnée, plus sucrée.



 
Politique monétaire
 
Vendredi 28 juin 2013 I
Qui dit hausse des taux, dit...
 

Pékin se lance dans le cyclisme acrobatique : faire passer l'économie d'un vélo carburant aux exportations extérieures à un vélo alimenté par la consommation intérieure. Il faut imaginer l'économie chinoise en équilibriste . Difficile voire impossible d'éviter les déraillements, les ralentissements et autres accidents de parcours.

  
]Menace de credit crunch en Chine

   
latribune.fr | 21/06/2013, 08:48 - 445 mots
Le marché interbancaire chinois a été pris de panique ce vendredi et a contraint la banque centrale à intervenir. Les marchés craignent des faillites bancaires : le risque de restriction du crédit est élevé.
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Chine: la production industrielle en hausse de 9,2%
 
Chine: nouveaux signes de contraction de la production manufacturière
 
Menace de credit crunch en Chine ( google)

Est-on au seuil d'une crise bancaire en Chine ? En tout cas, la panique s'est emparée ce vendredi du marché interbancaire chinois. Le taux de référence au jour-le-jour, équivalent de l'Eonia européen, a atteint un record , avant de reculer nettement sous la pression, prétendent les rumeurs, d'une intervention de la banque centrale. Selon Bloomberg, 50 milliards de yuan (environ 6,15 milliards d'euros) auraient été injectés dans le marché par la banque centrale.
 
« Assainir » le système bancaire
 
Ce mouvement de panique s'explique par la volonté des autorités monétaires et politiques de mettre fin à l'expansion très rapide du crédit de ces dernières années. Dans le viseur de Pékin se trouveraient les petites banques qui ont beaucoup prêté et qui ont également beaucoup spéculé. Leur endettement serait devenu intenable. . Une logique qui n'est pas sans rappeler aux marchés l'audace des autorités américaines en septembre 2008 dans l'affaire Lehman Brothers...
 
Confusion
(...) . En cas de hausse durable du taux interbancaire, les établissements devraient restreindre leur offre de crédit et le ralentissement de l'économie, déjà sensible depuis quelques mois, n'en serait qu'accéléré. C'est un risque que le gouvernement ne souhaite pas prendre. Pas plus, sans doute, qu'il est prêt à prendre le risque d'un Lehman chinois. Mais pour autant, comment maintenir un système bancaire aussi endetté sans risques ? Comment développer, comme souhaite le faire Pékin, une demande intérieure sur des bases aussi fragiles ?
 
Méfiance et risques sur la croissance mondiale
(....)  Le risque d'un crédit crunch chinois ne peut donc être pris à la légère. Or, s'il devenait réalité, la contraction du crédit en Chine et de la deuxième économie mondiale réduirait à néant les espoirs de reprise par les exportations en Europe. Or, c'est le seul levier dont disposent désormais les pays de la zone euro, notamment ceux qui ont été ravagés par la crise de la dette. Le nouvel acte de la crise mondiale commencée en 2007 se joue donc en Chine.
 
Par Mathieu Lebrun, analyste et rédacteur du service Agora Trading (pour les traders aguerris et actifs) 
 
◊ L'actualité de ces dernières semaines est incontestablement la remontée des rendements des taux longs constatés un peu partout sur les marchés. OAT français, Bund allemand, TNote américain, les mouvements ont été pour le moins spectaculaires. En cause évidemment, la fin de l'argent facile de la FED. Prenez le cas des bons du trésor US à 10 ans. Aux Etats-Unis, cette envolée constatée en un peu plus d'un mois constitue d'ailleurs tout simplement un record depuis 2001...
 

Dans ce contexte, il me semble intéressant de faire le point sur deux secteurs qui se trouvent en première ligne. Les seuls gagnants de ces plans de relance monétaire et de l'écart des taux sur le marché interbancaire  sont certaines banques comme le crédit Suisse, les traders, les insitutionnels et les professionnels des sales des marchés pourtant responsable de la crise qui a d'abord été bancaire, puis économique avant de se déplacer sur les états et les peuples.



Dossier d'été: l'austérité
 
Tout d'abord, les sociétés foncières. Ce genre d'acteurs – structurellement très endettés et très friands de recherche de financement sur le marché obligataire – affichent une rentabilité de leur business model d'autant plus élevée que les taux sont bas. Puisqu'en se finançant à taux bas (3% par exemple ou moins) et en offrant une croissance annuelle quasi linéaire (en moyenne 5%), l'écart y est de plus en plus favorable au fur et à mesure que les taux baissent. Mais gare quand les tensions se manifestent et que les taux remontent. C'est l'effet inverse. .
 
Le bénéfice de Credit suisse en hausse grâce au trading -     Source : Reuters
25/07/2013  


On distingue assez nettement une large phase de trading range horizontale (visible en pointillés) en place depuis l'été 2011. Gare à la sortie par le bas car elle risque d'être brutale.


une cassure à la baisse et l'inscription de nouveaux plus bas sur ce secteur risquent d'avoir comme catalyseur de nouvelles tensions sur l'obligataire au début de l'été. .

Souvenez-vous des déclarations de Greg Smith, ancien responsable des ventes de produits dérivés basé à Londres chez Goldman Sachs -- requin parmi les requins :


"Les intérêts du client continuent d'être mis de côté dans le fonctionnement de l'entreprise... Cela me rend tout simplement malade de voir à quel point les gens peuvent parler sans gêne de voler leurs clients. Sur les 12 derniers mois, j'ai vu cinq directeurs gestionnaires différents traiter leurs clients de 'marionnettes', parfois dans des e-mails en interne... Ces jours-ci, la question la plus fréquemment posée par les analystes juniors au sujet des produits dérivés, c'est "combien d'argent avons-nous gagné sur le dos du client ?"
 
 

Pour les institutionnels, les traders et les professionnels des salles de marché, vous n'êtes qu'un petit poisson dont la seule tâche est de rester à sa place dans cette chaine alimentaire !

Ils vous permettent quelquefois de faire de petites plus-values pour que vous restiez dans l'océan... mais quand vous ne leur êtes plus utile, ils n'hésitent pas à vous sacrifier au nom de leurs profits !

 Les données à observer

La première et, sans doute la plus importante, est la différence entre les deux catégories principales de traders :
 
les Commerciaux : ce sont les agents qui se servent des marchés options et futures pour ajuster et couvrir un stock réel ou une activité liée au sous-jacent physique. Par exemple, un agriculteur qui veut couvrir le prix de sa récolte de blé ;

Les Non commerciaux : ce sont les spéculateurs. Ceux qui essaient de faire des profits en échangeant les contrats, sans but de couverture et sans rapport au sous-jacent réel. Par exemple, vous, qui achetez des contrats sur le pétrole mais qui ne vous ferez jamais livrer les barils à la maison !!
 
D'autres termes méritent également d'être expliqués.
 
Long : Les positions acheteuses
Short : Les positions vendeuses
 
Et enfin une dernière notion à connaitre pour la suite :
 
Open interest : contrats qui n'ont pas de contrepartie identifiée au moment du rapport. Les contrats "ouverts" donc à la négociation. 

 La semaine prochaine, nous verrons comment s'organisent les différentes catégories de traders et surtout qui sont ceux qui font et défont les tendances. 
 
 
Conclusion : de nouvelles crises financières sont inévitables. Les sources potentielles sont nombreuses et elles peuvent se déclencher à n'importe quel moment. Aucun investisseur ne devrait se croire à l'abri. Les plus grands perdants seront les peuples, et peut ^^etre les épargnants et les Etats mais surement pas Goldman Sachs.



Sources :
Peur et servilité : les deux mamelles du gouvernement
 
Cf voir l'article sur le blog  Antalya
 
/, Citoyenactif Quand le remède devient poison...
 
Le commencement de la fin :
 
Reste-t-il un peu de courage dans l'avion ? :
 
A lire : Documentaire Génération-Précaire, « Modele » allemand
 
La France peut elle faire faillite? - l'indigné

 
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Tags : Documentaire Génération-Précaire, « Modele » allemand, crise, dettes, dettes souveraines, capitalisme, la Troika, la FED, la BCE, austérité, chomage, récession, credit crunch, Chine, OAT français, Bund allemand, crise du crédit interbancaire, shadow banking, banque centrale chinoise, conjoncture économique se dégrade, Krach Obligataire, shadow banking n, la crise de l'euro, contraction du crédit en Chine, Goldman Sachs, Politique monétaire, Michel Sapin
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#Posté le dimanche 28 juillet 2013 10:55

Modifié le lundi 03 octobre 2016 04:06

L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE

 
n
 

Flores Magon


J'ai le sentiment que les différences de classe sociale ne sont pas justifiées et qu'elles ne reposent en fin de compte que sur la violence.
EINSTEIN dans Comment je vois le monde (1934-1958)




 
Exploitation des travailleurs?
si les improductifs gagnent plus que les travailleurs,
les travailleurs sont exploités
car par leur travail, les travailleurs payent les charges qui financent les inactifs!
De plus, cette situation perverse décourage les travailleurs!
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE



Contrairement à ce que prétendent bon nombre de "citoyens" en brandissant leur carte d'électeur, participer à ce rite païen, ce n'est pas prendre ses responsabilités, c'est les fuir,... c'est demander à quelqu'un d'autre de décider à sa place.

Voter ce n'est pas agir, c'est s'engager à ne pas agir, c'est admettre que ses propres actions soient interdites, décidées ou ordonnées par d'autres.

La construction d'une société nouvelle nécessite d'abattre jusqu'à la dernière pierre ce temple de l'exploitation qu'est la république. Mais cela nécessite avant toute chose que chaque individu refuse que d'autres parlent, décident, organisent et légifèrent à sa place.

 
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE
 
 

Le système essaye de sauver coute que coute un système moribond : Guerre des devises, variations des taux de change, euro, dollar, yuan, yen...


Je le vois bien... Vous n'avez que faire de toute cette agitation sur le marché des changes. "Cela ne me concerne pas", vous dites-vous sereinement. Détrompez-vous ! Vous n'imaginez pas à quel point cela vous touche. Vous, votre compte bancaire, votre Livret A, votre argent.

 

Le pouvoir d'achat de votre argent est d'une volatilité extrême
Prenez l'euro/dollar par exemple. Quand l'euro/dollar grimpe, votre argent "prend de la valeur". Vous pouvez acheter plus de choses libellées en dollar avec un euro (des entreprises, des vacances, des biens, des services...).

 

Quand il baisse, au contraire, votre argent "perd de la valeur". Vous pouvez acheter moins de choses libellées en dollar avec un euro (oubliez vos vacances à l'étranger, elles vont vous coûter un bras...)
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE

 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE - source blog citoyenactif
Les états avaient le choix entre Se serrer la ceinture ou creuser les déficits , ils ont choisi de se serrer la ceinture, ils auront à la fois à se serrer la ceinture et un creusement des déficits. Pour repprendre le parallèle avec la citation de churchill : " ils avaient le choix entre la honte et la guerre. Ils ont choisi la honte, ils auront la honte et la guerre".
n
 
1) dégradation → tension brutale sur les taux → renchérissement du coût de la dette → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → tension supplémentaire sur les taux, etc. ;
et
2) dégradation → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, etc. – ( Frédéric Lordon )
 

 
> Le commencement de la fin - Frédéric lordon - La pompe à phynance
 
C'est là tout le paradoxe : si vous diminuez les dépenses de l'Etat, l'économie souffre. Le budget des ménages est réduit. L'économie souffre encore davantage. L'Etat a moins de revenus. Il réduit davantage ses dépenses les dépenses sociales et privatisent... et la faillite arrive encore plus vite ! Le point de non retour est atteint.
 
n
Rennes : 57 squatteurs évacués
Home ACTUALITE Flash Actu
Un squat où logeaient 57 personnes dont 24 enfants a été évacué ce matin à Rennes. Les familles, demandeurs d'asile ou personnes sans papiers, originaires pour la plupart du Caucase, mais aussi d'Afrique, ont été dirigées vers la préfecture qui se chargeait de trouver des solutions de relogement.Les occupants du squat, frappés par une décision de justice récente, s'attendaient à être évacués de cet immeuble appartenant à la société Free, a indiqué à l'AFP Carole Bohanne de "Un toit c'est un droit". - source : http://schema.org/Person" itemscope itemprop="author">Le Figaro.fr avec AFPle 03/06/2013
agence Reuters
le 03/06/2013 à 10:07" data-ago="il y a 3 heures" jQuery1910050604548002328054="44">le 03/06/2013


La France est aujourd'hui dans une situation pire que la Grande-Bretagne des années 1970, quand Londres dut faire appel à l'aide du Fonds monétaire international, et François Hollande doit choisir s'il veut être Harold Wilson ou Tony Blair, a déclaré Henri de Castries, PDG de l'assureur Axa. Dans une interview au journal dominical britannique Sunday Telegraph, il a estimé que la France doit s'inspirer des leçons britanniques.
 
"Le Royaume-Uni n'était pas en grande forme au début des années 1970', dit-il, en estimant que François Hollande a le choix aujourd'hui de devenir Harold Wilson, le premier ministre travailliste qui a dirigé le pays à cette époque, ou Tony Blair, autre premier ministre travailliste adepte d'une politique de "troisième voie" plus libérale. "Jusqu'ici, il est resté ambigu. J'espère qu'il choisira Blair. Je ne lui demande pas d'être Margaret Thatcher", déclare Henri de Castries.



 



La dangereuse accoutumance aux crises
Eberhardt Unger
 
Dans l'expression "crise de l'euro" que l'on retrouve dans tous les médias, le mot "euro" ne désigne pas la devise. La monnaie commune n'est pas en crise si l'on en juge par sa remarquable stabilité depuis plusieurs semaines.
 
De même, quand ils font allusion aux "tensions franco-allemandes", les médias veulent seulement parler du désaccord qui existe entre les deux gouvernements sur la meilleure façon d'optimiser la politique économique pour sortir de la crise. Le gouvernement allemand est pour une stricte politique d'austérité afin de réduire le déficit public le plus vite possible et le gouvernement français pense qu'il est préférable d'étaler cette action dans le temps.
 
La BCE appelle à des stratégies ambitieuses en matière de réduction de la dette. Selon elle, ce point est crucial car il n'y a pas de solutions alternatives. La BCE met en garde les gouvernements sur le fait que le redressement des finances publiques ne peut pas être repoussé plus longtemps car le haut niveau actuel de la dette publique freine la croissance économique, ce qui prive les caisses de l'Etat de nouvelles recettes. C'est avec ce discours que la banque centrale s'oppose fermement à tous ceux qui veulent plus de temps pour réduire les déficits budgétaires.
 
Parmi les principaux membres de la zone euro, c'est l'Allemagne qui a le plus progressé dans cette direction. .
 
Les autres grands pays de la zone euro visent également un déficit nul, mais devront probablement repousser l'atteinte de cet objectif de 2 à 3 ans en raison d'un taux de chômage élevé. La France, l'Italie et l'Espagne doivent affronter des manifestations contre les mesures d'austérité. Les marchés financiers font ressortir ces différences entre les pays via les écarts de rendements des obligations souveraines.
 
La Commission européenne prévoit que le PIB annuel baissera cette année dans la zone euro. En 2014, c'est une % dans la zone euro. La consolidation structurelle devrait être plus lente cette année que l'an dernier. Le ratio dette/PIB est prévu à 89,8% dans l'UE et 95,5% dans la zone euro.
 
La plus grande source de danger pour les marchés financiers réside dans l'expansion de l'agitation sociale. Le plus souvent, les populations des pays en crise tiennent pour responsable de leurs malheurs leur propre gouvernement. De ce fait, les politiciens qui veulent se faire réélire sont plus enclins à creuser encore les déficits plutôt que de maintenir une politique d'austérité ferme et repousse ainsi le règlement du problème du surendettement sur les futures générations.
 
Conclusion : parler continuellement de crises comporte un grand danger : s'y habituer. Cela veut dire que les gens vont penser que, finalement, la situation n'est pas si grave puisqu'elle dure sans vraiment de conséquences. Cet état d'esprit ne pourra que freiner la mise en place des réformes et conduira inévitablement à la prochaine crise sur les marchés obligataires.
Dr. Eberhardt Unger est un économiste indépendant, fort de plus de 30 ans d'expérience des marchés et de l'économie. Vous pouvez retrouver ses analyses sur le site www.fairesearch.de.
 
Conclusion :
 
 
Le " Modèle capitaliste" a vécu. On nous sort que les BRIC peuvent prendre le relais d'une croissance des pays occidentaux malades. et que le système capitaliste vivant par cycle ( court ou l'ong), la croissance devrait revenir en Europe après de nombreuses "casses sociales inévitables" car les pays ont été trop dépensiés, trop mauvaise gestion ou que le manque de compétitivité nuit à la croissance du pays. C'est oublié que depuis 30 ans, " l'état providence" hérité du fordime, qui au passage n'a jamais été généreux pour les salariés a été déctricoté par les réformes ou mesures des gouvernements de droites et de gauches en Europe ( A partir de 1980 : Reagan au Etats Unis, Tchatcher en Angleterre et Mitterrand en France)
 
Le risque d'une montée de l'extreme droite dans toute l'Europe se précise accentué par la " crise du fonctionnement du capitalisme" et de ces commerciaux ( François Hollande, Angela Merkel...)
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE  
un lien via Black Fab.Alors que le nombre de chômeurs/euses n'a jamais été aussi élevé et que la loi des patrons s'impose violemment aux travailleurs/euses. Alors que le camp réactionnaire et ses satellites fachos paradent fièrement dans la rue. Alors que les magouilles financières et politiques, du FN au PS, apparaissent au grand jour. Alors que le FN, en embuscade, brandit le drapeau du nationalisme et de la xénophobie... Il n'y a plus 36 solutions et l'heure n'est pas à rêver à un sursaut républicain : c'est toute la société et toute l'économie qu'il faut transformer.

Si Hollande se plie aux volontés des capitalistes, c'est parce que ce sont eux qui concentrent l'essentiel du pouvoir dans la société actuelle.

Le pouvoir de nous embaucher ou pas, de choisir notre salaire, notre temps de travail etc... La « démocratie » qu'ils nous accordent c'est uniquement les miettes de ce qu'ils veulent bien nous laisser gérer ! Communistes libertaires, nous pensons que la démocratie directe doit s'accompagner de la mise en commun des moyens de production.

C'est aux travailleur-se-s de décider de l'organisation du travail, aux citoyen-ne-s de décider de la finalité et de la répartition de ce qui est produit, d'évaluer les besoins de la société. La première étape démocratique c'est donc l'expropriation des patrons. Le reste n'est que vaine agitation.Afficher la suite

L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE

Pour moraliser la vie politique, il faut en finir avec le pouvoir patronal ! - source alternative libertaire Publié le 30 avril 2013 par Secrétariat Entreprises
 
 
 
Mais si la solution à la crise n'est pas dans la cure d'austérité qu'on veut nous imposer, elle n'est pas non plus dans la mobilisation nationale et le repli protectionniste : l'exploitation Made in France n'est pas plus douce et les salarié-es resteront les dindons de la farce. Alors comment faire ? En retournant le problème. Car l'enjeu ce n'est pas de sortir de la crise pour renouer avec la mythique « croissance ». L'enjeu, aujourd'hui, c'est d'en finir avec ce système qui, même réformé, même moralisé, n'en restera pas moins injuste, inégalitaire et violent. S'attaquer directement au capitalisme, ce n'est pas le délire de quelques rêveurs, c'est la seule chose raisonnable à faire si on veut reprendre notre destin en main et construire une société réellement solidaire et égalitaire.
 
Depuis un an, le patronat et la droite sont à l'offensive et Hollande ne fait même plus mine de s'y opposer. Ainsi, il ne s'est pas fait prier pour transposer dans la loi le fameux Accord national interprofessionnel signé par la CFDT et le MEDEF : les économistes libéraux et les patrons en rêvaient depuis 20 ans, le gouvernement PS l'a fait. Tout y est : restriction des recours face aux licenciements, légalisation du chantage à l'emploi, remise en cause du CDI... Et comme si ça ne suffisait pas, le gouvernement s'est même opposé à la mini-amnistie adoptée au Sénat pour les syndicalistes réprimés.
 
Face au patronat il nous faut donc compter sur nos seules forces. A nous de construire la riposte, par la mobilisation dans les quartiers, les entreprises et les lieux d'études, mais aussi en mettant en débat un projet de société alternatif au nationalisme et au libéralisme, de gauche comme de droite.
 
Démocratie directe partout !
 
Le système politique actuel est pourri de l'intérieur. Cahuzac n'est pas un cas isolé : du PS au FN, on trouve quantité d'exemples d'individus, sortant des mêmes écoles, multipliant les allers-retours entre le monde des affaires et les cabinets ministériels, refaisant au passage leurs carnets d'adresses. Comment croire que de tels personnages vont défendre autre chose que leurs intérêts personnels ou ceux de leurs semblables ?
 
Mais le « tous pourris » du FN est là pour masquer l'issue possible : une réorganisation complète de la vie démocratique. Face à cela, ce que propose le Front de Gauche c'est une « grande marche citoyenne pour la VIe République », comme si quelques modifications des règles du jeu institutionnel pouvaient suffire à changer en profondeur la société. Changer le personnel politique, en élisant des personnes « honnêtes », ou bien changer le système à la marge par des élections à la proportionnelle, sont de fausses solutions.
On ne peut pas se contenter d'un ravalement de façade : les élu-e-s doivent être comme des délégué-es, avec des mandats précis et limités, révocables à tout moment. Les décisions doivent être prises ou validées par les assemblées générales via une réelle démocratie directe dans les entreprises et les quartiers, puis dans les bassins d'activité et les villes. Et pareil aux échelons régionaux et nationaux.



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«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés
16:25 - Les Gafam préemptent également notre capacité à rêver - LIBERATION.FR 
09:20 - Notre monde, c'est l'ailleurs - LIBERATION.FR



Diffusion intégrale du rapport sur les rassemblements de personnes.
Un Air de Révolution
A l'extrême droite du père
Tous égaux !
Ma soirée avec Boris Vian !
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé
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Clément Méric agressé par l'extrême-droite

 
 
Tags : Guerre des devises, capitalisme, néolibéralisme, crises, dettes, dettes souveraines, Europe, BCE, Banque Centrale Européenne, FED
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#Posté le mercredi 05 juin 2013 07:15

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:19

Tous égaux !


SOURCE / hensozu, anarkia : Citizen khane : l'indigné révolté , citoyenactif, Capitalisme et crise... – citizen Khane, hensozu, anarkia: 

 
Tous égaux !
 
Tous égaux !

 
Les inégalités se creusent, mais elles ne sont pas une fatalité. Enquête sur un fléau mondial.


• Il y a un an naissait à New York le mouvement Occupy Wall Street avec pour slogan “Nous sommes les 99 %”, en référence aux disparités de revenu et de pouvoir.
• De plus en plus d'études pointent les effets délétères des inégalités sur l'ensemble de la population.
• Mais l'inégalité est un phénomène récent dans l'histoire de l'humanité, nous disent des anthropologues
 
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Crise permanente du système : Nous avons annoncé avant qu'ils ne fassent la une des journaux grand public l'explosion de la bulle internet en 2000... les dérèglements financiers mondiaux de l'après-11 septembre 2001... la bulle des junk bonds de 2001...la bulle immobilière américaine en 2007... la crise des dettes souveraines entamée en 2010... Et j'en passe, la liste serait trop longue.

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Je vous transmets le texte, cela peut servir de groupe de réflexion
 
Pourquoi parler de crise ?
 
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.
 
ARGENT SALE, LE POISON DE LA FINANCE
 
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Argent sale, le poison de la finance – Vidéo Dailymotion 53 min
.  Goldman Sachs – La banque qui dirige le monde ..., , Mario Monti : pompier pyromane, Documentaire: City de Londres, la finance en eaux trouble, lire la presse...Voir plus La loi des gredins, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde , Nestlé et le business de l'eau en bouteille  Economie par Urs Schnell, Res Gehriger : la photo de Nature to Share. Nestlé et le business de l'eau en bouteille - arte TV+ 7
 
 
 
 
Agitations autour d'un troisième plan d'aide grec
Tous égaux !
 
 
14/09/2012 Angela Merkel, Georges Papandréou, Jean-Claude Juncker, Jean-Claude Trichet, Nicolas Sarkozy, Gouvernance économique, gouvernement, crise de l'euro, crise grecque, Espagne, eurozone, Grèce, Irlande, Portugal
 
 
 
Suivez jour après jour les évènements marquant de la crise de la zone euro grâce à cet « article évolutif ».
 
   13 septembre 
 
  Agitations autour d'un éventuel 3e plan d'aide grec 
  
L'euro est tombé jeudi à un plus bas de séance face au dollar après la publication par Dow Jones d'une déclaration d'un responsable du Fonds monétaire international selon lequel la Grèce aurait besoin d'un troisième plan de sauvetage.
 
 
Selon les traders qui en ont fait état, l'article avance également qu'Athènes n'aura pas les moyens de couvrir ses besoins si une nouvelle tranche d'aide n'est pas rapidement débloquée, alors que le gouvernement grec n'a rempli que 22% des objectifs qu'il s'était fixés pour réduire son déficit budgétaire.
 
L'évocation d'un 3e plan d'aide pour la Grèce fait chuter l'euro | Reuters 
NEW YORK, 13 septembre (Reuters) – L'euro est tombé jeudi à un plus bas de séance face au dollar après la publication par Dow Jones d'une...
 
 Les rumeurs de nouveau plan de sauvetage ont été rapidement démentis par le FMI. Toutefois, les tractations actuelles entre Athènes et ses partenaires européens portent sur un éventuel délai qui serait accordés aux Grecs pour atteindre les objectifs réclamés par la Troika (BCE, FMI, Commission). Le sujet sera en discussion au sommet européen des 18 et 19 octobre
Annonce des syndicats grecs: journée de grève générale le 26 septembre prochain pour protester contre les nouvelles mesures d'austérité prévue pour les budgets 2013 et 2014.
 
 
 
Pierre Moscovici, le ministre français des finances a rencontré jeudi 12 septembre son homologue grec Yannis Stournaras ainsi que le premier ministre grec Antonis Samaras à Athènes. Il a souligné la volonté de la France d'aider la Grèce à condition que celle-ci mette en pratique ses engagements de redressement et prouve à ses partenaires européens qu'elle en a la volonté et qu'elle applique les décisions requises. On aurait pu résumer les propos exprimés par Pierre Moscovici dans un entretien accordé à la presse grecque par : « aide-toi, et l'Union européenne t'aidera ». 

 
La Grèce attend le versement d'une nouvelle tranche du deuxième prêt accordé soit plus de 30 milliards d'euros. Le versement du prêt est gelé depuis la fin juin. 
Les créanciers de la Grèce exigent de la part d'Athènes un train d'économies de 11 milliards et demi d'euros qui tarde à se concrétiser. En échange de quoi, Athènes demande un sursis supplémentaire pour atteindre l'objectif d'ajustement budgétaire fixé à 2014. 

Parallèlement le chômage en Grèce est monté à 23,6% de la populations active au deuxième trimestre : un record. Le taux de chômage était de 16,3% l'an dernier à la même période.
 
      12 septembre 
         11 septembre
Un député allemand cherche à retarder la décision sur le fonds de secours
Un député allemand dépose un recours contre le plan de la BCE | Reuters
BERLIN, 9 septemb
re (Reuters) – Un député dela CSU, branche bavaroise dela CDUmembre de la coalition de la chancelière Angela Merkel, ...  Rajoy ne veut pas que l'aide européenne accentue l'austérité  (....).
 
D'ici là, le gouvernement espagnol compte profiter du ballon d'oxygène offert le 6 septembre par les déclarations de Mario Draghi, le gouverneur dela Banquecentral européenne, prêt à racheter des obligations de manière illimitée. “Le seul fait quela BCEait donné ce message, estime Mariano Rajoy, suffit à lancer “un signal magnifique.”
 
 
Rajoy apunta que no pedirá el rescate antes de las autonómicas en Galicia y el País Vasco 
El presidente del Gobierno, Mariano Rajoy, ha apuntado que no pedirá un rescate para España antes de las elecciones autonómicas en Galici...
 
§             6 septembre 
 
La colère gronde en Grèce 
 

Dans son nouveau rapport, qui va conditionner l'octroi à la Grèce d'une tranche d'aide de 31 milliards d'euros, la Troika (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international et Commission européenne) demande l'allongement de la semaine de travail à six jours (au lieu de cinq actuellement). L'information a été révélée par le quotidien britannique, The Guardian, le 4 septembre. 
Une telle mesure doit permettre d'accroitre la productivité des Grecs, sans couper une nouvelle fois dans les salaires. En février 2012, le salaire minimum avait été baissé de 22%, tombant à 586 euros. 
La troïka demande à la Grèce de mettre en place une semaine de ...Elle réclame notamment au pays de rallonger la semaine de travail à six jours. La lettre reproduite en partie par le Guardian indique: «M...
Parmi les autres mesures proposées, la mise sous tutelle de l'inspection du travail grecque, qui devra aussi être réformée en profondeur. (....)Grèce : la colère monte contre la semaine de six joursUn projet dela Troïka(FMI, BCE, UE) veut imposer à tous les secteurs une semaine de travail allongée, d'après un document adressé la se 
§             3 septembre
L'Espagne fourbit ses armes en vue de la visite d'Angela Merkel à Madrid

Dans dans un entretien accordé au quotidien français Le Journal du dimanche, à l'espagnol ABC, à l'allemand Bild am Sonntag et à l'italien Corriere della Serra, publié dimanche 2 septembre, le Premier ministre espagnol détaille son plan en faveur de la mise en place d'eurobonds d'ici 2018. Ces émissions de dette commune à l'échelle de la zone euro auraient l'avantage de faire baisser les taux d'intérêts des pays du Sud. 
Pour atteindre cet objectif, Mariano Rajoy envisage trois étapes:- en 2013-2014: une convergence fiscale et économique des Etats, « imposée par le Conseil européen ». - en 2015-2016: la création d'une autorité budgétaire européenne chargée de surveiller les budgets nationaux. Elle formulerait aussi des recommandations sur les objectifs et l'orientation de la politique budgétaire de la zone euro. Une fois cette étape réalisée, le chef du gouvernement espagnol estime que les premières euro-obligations pourraient être émises, à moyen et long terme mais toujours portées par les Etats. - en 2017-2018: définition d'objectifs budgétaires contraignants pour les membres de la zone euro et émissions des premières obligations communes. 
"L'Equipe" lance un plan d'économies, avec 46 départs volontaires à la clé
FTVi avec AFP
Carrefour va supprimer 500 à 600 emplois en FranceCinq offres de reprise partielle déposées pour le pôle frais du volailler DouxVIDEO. Des salariés menacent d'incendier leur usine dans le Nord
 
Aider les banques ou leur mettre le feu ?
Publié le 18/08/2012 à 17:13 par anarchie23
Agitations autour d'un troisième plan d'aide grec
 
L'euro a plongé face au dollar après la publication par Dow Jones d'une déclaration d'un responsable du Fonds monétaire international selon lequella Grèceaurait besoin d'un troisième plan de sauvetage.
 
14/09/2012 Angela Merkel, Georges Papandréou, Jean-Claude Juncker, Jean-Claude Trichet, Nicolas Sarkozy, Gouvernance économique, gouvernement, crise de l'euro, crise grecque, Espagne, eurozone, Grèce, Irlande, Portugal
 
Suivez jour après jour les évènements marquant de la crise de la zone euro grâce à cet « article évolutif ».
 
   13 septembre 
 
  Agitations autour d'un éventuel 3e plan d'aide grec 

[a=[a=http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202253808205-hausses-d-impots-et-croissance-la-mise-en-garde-des-economistes-360522.php?xtor=EPR-1500-[nl_8h]-20120911-[s=461370_n=2_c=201_]-1243403@1]Hausses]http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202253808205-hausses-d-impots-et-croissance-la-mise-en-garde-des-economistes-360522.php?xtor=EPR-1500-[nl_8h]-20120911-[s=461370_n=2_c=201_]-1243403@1]Hausses d'impôts et croissance : la mise en garde des économistes

La France maintient son objectif d'un retour du déficit à 3 % en 2013 malgré une prévision de croissance abaissée à 0,8 %. 20 milliards d'euros de recettes sont recherchés. Une ponction qui va peser sur la croissance, craignent les économistes.
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Dix milliards d'euros d'économies et vingt milliards de hausses d'impôts. Ce sera l'effort budgétaire « le plus important depuis trente ans », a prévenu François Hollande, qui veut absolument tenir l'objectif d'un déficit réduit de 4,5 % à 3 % de PIB en 2013. Un objectif maintenu malgré une prévision de croissance revue en baisse, à 0,8 %. A moins de trois semaines de la présentation du budget, le président de la République a coupé court à tout débat au sein du gouvernement (« Les Echos » d'hier), mais il a relancé les mises en garde d'économistes quant à l'impact des hausses d'impôts sur le peu de croissance restant. La Banque de France a confirmé hier sa prévision d'un recul du PIB de 0,1 % au troisième trimestre et la production industrielle peine à se redresser (lire ci-contre).

FRÉDÉRIC SCHAEFFER
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lors du débat la projection de "la traversée solidaire)
 
Foi d'anar - Maurice Joyeux - , part 2/6 , part 3/6 , part 4/6 , part 5/6 , part 6/6
Présentation de l'idée anarchiste. Maurice Joyeux : Foi d'anar – Maurice Joyeux –,
 Vive l'anarchie! CNT AIT FAI IFA,anarchisme,les anarchistes : et le rapprochement avec les combats d'aujourd'hui :
El Comunero (chants de lutte de la republique espagnole)
Les raisons de la colère : citoyen actif : Les raisons de la colère - Un film de Samuel Luret & Damien - Arte :
Fureur de la jeunesse, colère des exclus... : il souffle sur la planète un vent de révolte inédit par son ampleur. Enquête en Grèce, au Danemark et en Chine.
 
ESPAGNE • Une utopie anti-crise en Andalousie ( google)  
Marinaleda est une ville sans chômage et aux loyers modiques. Alors que la politique d'austérité bat son plein en Espagne, son maire, Juan Manuel Sanchez Gordillo, a pris la tête d'un mouvement de résistance populaire.
 
 Marinaleda, une utopie vers la paix - YouTube, Marinaleda : un modèle d'auto-gestion unique en Europe par ..., Marinaleda, le village andalou qui résiste à la crise / France Inter





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Tags : crise, euro, dettes, dettes souveraines, Angela Merkel, Georges Papandréou, Jean-Claude Juncker, Jean-Claude Trichet, Nicolas Sarkozy, Gouvernance économique, gouvernement, crise de l’euro, crise grecque, Espagne, eurozone, Grèce, Irlande, Portugal, capitalisme, Argent sale, le poison de la finance, documentaires, Documentaire, City de Londres, la finance en eaux trouble, Nestlé, le business de l’eau en bouteille
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#Posté le dimanche 16 septembre 2012 10:05

Modifié le dimanche 16 septembre 2012 10:52

Sauve qui peut II !

 
 
Mon article va commencer par un article intitulé La Grèce bientôt privée d'électricité ? « Je décrirais plutôt la globalisation comme la liberté pour mon groupe d'investir où il veut pour le délai qu'il veut, de produire ce qu'il veut, de rechercher ses matières premières où il veut et de vendre ses produits où il veut, en s'embarrassant le moins possible des droits des travailleurs et des accords sociaux »." PDF]  Pierre Fortin, UQAM.pptm
Percy Barnevik
 
Sauve qui peut II !
 
-qu'il y aura des profits ( Google) :
Ce n'est pas une crise de liquidité, mais de confiance dans le système néolibérale. Du cash, il y en a dans les caisses du patronat. Qu'est ce que c'est... La Baisse tendancielle du Taux de profit ?  - tantquil.net « Richard a joué à Euromilllions, et il en a gagné 100. Ce qui permet d'évacuer la question de l'origine du capital, encore appelée accumulation primitive... L'objectif de Richard : le profit. Le capital investi par Richard la première année : 100 million d'euros Mais alors pourquoi absolument maintenir son taux de profit ? Après tout, c'est déjà pas mal, ce qu'il a engrangé ! Conclusion : pour maintenir son capital, il doit en permanence maintenir son taux de profit ; c'est la loi N°1 du capitalisme : la fuite en avant ».
Tant qu'il y aura des profits (Un exemple très flagrant Vincent Bastide, Directeur Général de Bastide Le confort Médical: "Nous allons profiter d'un environnement réglementaire plus stable  Pierre Fortin, UQAM.pptm
 
« La croissance ne se décrète pas, elle se construit Elle se construit ( dans la logique du système)  par l'attrait des investisseurs, des réformes sur la compétitivité ou encore la réduction des déficits. Eux préfèrent parler investissement publics, euro-bonds. Bref, endettement ». Elle est tout simplement plus possible dans un monde fini alors que la doctrine néolibérale a besoin d'une croissance infinie Lorsqu'une telle chose se produit, elle peut durer très longtemps.
 
Sauve qui peut II !
 
Crise économique et écologique généralisé : La « restructuration écologique » ne peut qu'aggraver la crise du système. Il est impossible d'éviter une catastrophe climatique sans rompre radicalement avec les méthodes et la logique économique qui y mènent depuis cent cinquante ans. Si on prolonge la tendance actuelle, le PIB mondial sera multiplié par un facteur trois ou quatre d'ici à l'an 2050. Or selon le rapport du Conseil sur le climat de l'ONU, les émissions de CO2 devront diminuer de 85 % jusqu'à cette date pour limiter le réchauffement climatique à2°C au maximum. Au-delà de2°C ( ...) Preuve numéro un : le Japon ! Le Japon a connu suite au Krach de la bulle immobilière et financière, une récession et déflation longue et douloureuse. puis la catastrophe nucléaire de Fukushima a fini de les achevés.,
Une grande partie des japonais connaissent une précarité... ... depuis une génération. Si ça peut arriver aux japonais... est-ce que ça pourrait arriver aux américaines — et occidentales dans leur ensemble ?Bien sûr, pourquoi pas ?
 
Les Etats-Unis sont déjà “devenus japonais” en ce qui concerne les taux d'intérêt zéro perpétuels. (....  ) gare à la bombe !
 
Sauve qui peut II !
 
▪ La ressemblance avec le modèle Japonais ?
Deux choses.
D'abord, la situation en Europe pourrait se résoudre de manière bien plus grave qu'on l'attend. La Zoneeuro frôle le désastre depuis si longtemps que la plupart des gens pensent qu'elle restera éternellement à la marge...(...) ». L'effondrement de l'Europe pourrait se produire rapidement lui aussi.
Selon les médias, tout le monde se prépare à ce que la Grèce dise auf wiedersehen à l'euro. Mais même une sortie “ordonnée” de la Grèce est estimée à 1 000 milliards de dollars. Et il n'y a pas assez d'argent dans toutes les banques de l'Euroland pour payer une sortie désordonnée.
C'est l'une des raisons pour lesquelles il y a l'Alerte au Krach.
 
▪ Deuxième cause majeure de krach
L'autre raison majeure est la suivante : toutes les grandes économies de la planète frôlent la récession.
Une récession mondiale soit au dernier trimestre de cette année, soit au début 2013. Si on lui pose la question des probabilités, Faber les met à “100%”.
 
Cent pour cent, ce n'est pas une probabilité,, selon de nombreuses citations. Cela ressemble à une certitude. Nous doutons qu'une chose puisse être aussi certaine, en économie. Mais disons que les chances d'une “récession mondiale synchronisée   ” ne sont que de 50%. Cela met encore une grande marge entre les prix des actions actuels... et un plancher causé par une récession. Nous ne voudrions pas nous tenir dans cette marge, de peur que les marchés ne s'effondrent sur nos têtes.
Chaque jour qui passe nous rapproche de du scénario catastrophe du mardi 22 mai ( cf Facebook).
Chaque jour qui passe confirme l'impuissance et l'absurdité des mensonges derrière lesquels se réfugient les dirigeants Européens depuis l'automne 2008.
 
Chaque jour qui passe confirme la stratégie de laisser-faire (chère a la doctrine capitaliste d'Adams Smith) — et advienne que pourra — de la BCE... Laquelle attend peut-être de se voir offrir carte blanche pour sauver le monde. « Chaque jour qui passe voit grossir les rangs de ceux qui pensent, avec d'imparables arguments, que la Bourse n'est plus qu'une sorte de casino virtuel. Un champ de bataille numérique où s'affrontent des armées de robots algorithmiques pour lesquels les actions ne sont pas des entreprises opérant dans un monde réel et où les employés ne créent pas de la valeur mais de simples profils mathématiques. Certains titres présentent des niveaux de volatilité intrinsèque et de vulnérabilité des carnets d'ordres qui rendent leurs cours parfaitement manipulables dans des circonstances de “flash krach” tel que celui observé — à la hausse — hier entre 12h59 et 13h01 ».
 
▪ La guerre des bots est déclarée : Les détails de cette guerre des “bots” échappent à tout contrôle. En effet, tout se joue sur des échelles de temps qui défient l'entendement humain : la milliseconde et même la nanoseconde pour les super-ordinateurs les plus puissants.
 
Les “bots” sont associés à des logiciels d'analyse lexicale qui scannent toutes les informations disponibles sur Internet, dans pratiquement toutes les langues. C'est pourquoi dès qu'une actualité est identifiée comme un market mover (une info décisive concernant le niveau des taux d'intérêt ou les devises par exemple), cela donne lieu à une unipolarisation immédiate des marchés.
 
C'est ainsi que s'enclenchent des “flash krach” (Flash Crash de 2010 , parfois nommé tout simplement Flash Crash, fait référence au krach arrivé le 6 mai 2010 aux Etats-Unis) qui peuvent déboucher sur ce nouveau record de 45 points de hausse (entre 3 030 et 3 075 points) sans aucune cotation sur le CAC au cours de l'intervalle 12h59/13h00. Les robots ont réagi en quelques millisecondes à la publication d'une dépêche évoquant un sauvetage collectif des banques européennes via le MES... sauf que les règlements européens interdisent de recourir à un tel procédé. « Un tel écart — pratiquement 1,5% de hausse sans transactions — démontre que la liquidité peut disparaître à la vitesse de la lumière d'un marché représentant des trilliards de capitalisation ».
 
 Tant qu'il y aura des profits... ▪ Le CAC 40 bat un nouveau record
Au delà de ces scores, plusieurs constatations s'imposent, qui sont plutot révélateurs Destruction créatrice' et inondation de liquidités, bulles et crises , privatisation des bénéfices et socialisation... A Wall Street, ce sont les gains de la veille qui ont également été avalés avec une chute de 1,28% du Dow Jones et de 1,43% pour le S&P.. ».
 
CAC 40 : le printemps des profits 
Je fais allusion bien sûr à la chute de l'euro sous les 1,2400 $ puis les 1,2350 hier soir Il s'agit de ce mouvement de cours qui a dominé les conversations dans les salles de marché àla City ou à New York et dont les implications sont les plus lourdes (à la fois pour les détenteurs de bons du Trésor ou d'un portefeuille d'actions) dans une optique de court ou de moyen terme..
 
Un cercle vicieux « Nous avions passé en revue pas mal d'aspects concrets de la toile de fond macro-économique ces derniers jours sans que ceux-ci semblent avoir d'impact sur l'orientation des marchés. Des stratèges nous expliquaient que plus les nouvelles étaient mauvaises, plus cela augmentait les chances de voir les banques centrales prendre une de ces initiatives dont les marchés raffolent : faire tourner la planche à billets ! » « . Si la Fed — déçue des mauvais chiffres immobiliers parus ces dernières 48 heures et du faible niveau des créations d'emplois en mai — s'apprêtait à injecter massivement de nouvelles liquidités, alors le dollar n'aurait jamais pris 6% au cours des quatre dernières semaines ».
 
▪ La flambée du dollar suggère que la Fed ne va pas actionner la planche à billets

Autrement dit, la flambée du billet vert suggère que la probabilité de voirla Fed orchestrer un QE3 d'ici la mi-juin est quasi nulle !
 
La chute symétrique de l'euro alimente en revanche les spéculations sur une baisse du loyer de l'argent en Europe (d'un quart de point à 0,75% par exemple) d'ici une semaine. Et quel impact pourrait avoir une telle mesure ?Aucun ! Néant ! La raison est évidente : cela ne sert plus à rien alors que le 10 ans allemand vient de tomber sous les 1,30% et le deux ans à... 0,00% (voire légèrement négatif). Cela ne fera pas reculer les taux longs italiens plus d'un quart d'heure : ils viennent de franchir le cap des 6% mercredi matin. Cela ne changera rien non plus pour les bonos (c'est leur véritable nom) espagnols : ces derniers s'envolent au-dessus des 6,55%.
 
Et surtout, une baisse de taux ne résoudrait en rien la principale difficulté du moment qui consiste à recapitaliser les banques ibériques à hauteur de 50 milliards d'euros. Prévoyez à peu près le même montant pour l'an prochain, quand les auditeurs indépendants — mandatés par Mariano Rajoy — auront affiné leurs estimations et publieront leur rapport.
 
Le Quotidien du Peuple en ligne (Magazine en ligne, organe du Parti communiste chinois) : Intéressant pour comprendre les luttes intérêts et les compromis économique et politique.
 
LA CITY - LA FINANCE EN EAUX TROUBLES.avi (51 minutes)
 


 
Le Quotidien du Peuple en ligne (Magazine en ligne, organe du Parti communiste chinois) : Intéressant pour comprendre les luttes intérêts et les compromis économique et politique
 
Sauve qui peut ! - Le mien, Sauve qui peut !, Est-ce la crise de la finance, de la dette ou du capitalisme ?  - Citoyenactif, mur Facebook), cycle économique ! – Citizen Khane, Sauve qui peut ! - l'indigné, Les mensonges du libéralisme - syti.net  ,    
Ces immigrés européens qui fuient la misère en partant vers l'Afrique - Altermonde
Tags : economie, Énergie libre: les injustices commises contre l'humanité, karl Marx, l'afrique, la baisse tendancielle du taux de profit, nouvel eldorado? tant qu'il y aura des profits, privatisation des bénéfices et socialisation des pertes, selon pékin, source l'afrique est une "mine d'or" pour les investissements, spéculation sur le bien commun, inflation, dettes souveraines, récession
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#Posté le jeudi 31 mai 2012 11:11

Modifié le samedi 02 avril 2016 12:53

Quelles leçons en tirer !

source : Quelles leçons en tirer !
 
Un texte que je vous transmets, montrant assez clairement la situation dramatique actuelle et le besoin de mobilisation afin de changer de pragmatisme idéologique, dogmatisme néolibérale (néocapitaliste). Je ne suis pas né anti capitaliste, écologiste je le suis devenu par la force des choses. Un mix de 1929 La crise dans les années 30...,  de celle ayant touché l'Argentine CADTM - Eric Toussaint : « Europe soumise à une thérapie de choc comme l'Amérique latine dans les an  et de "la crise" japonaise et 30 ans de déflation qui n'est pas fini Japon: consommation en baisse et déflation persistante, freins à la reprise

Quelles leçons en tirer !
« A force de psalmodier à longueur de journaux, de chansons et d'émissions radiophoniques cette invocation à la paix après les souffrances endurées pendant la Première Guerre mondiale, nos grands-parents n'ont pas pour autant évité une deuxième catastrophe (et une troisième guerre) » et maintenant.  Les innombrables réunions de la dernière chance pour sauver la Grèce de la ruine me font penser à cette triste époque.
 
Les interviews choisis : 
La vérité pour la Grèce - par Mikis Théodorakis , LA GRÈCE, BERCEAU D'UN AUTRE MONDE, 25 février 1972 : mort de Pierre Overney, Jean Marie Le Pen (Radio Courtoisie) part 2
 
Todd et la crise : "nous sommes dans les années 30" ("Ce soir ou jamais" du 14/02/2012)
 
 
Chaque mois depuis deux ans, le gratin politique européen se réunit et nous annonce qu'il faut impérativement arriver à une solution sinon la catastrophe nous guette., La Grèce poursuit à marche forcée les ajustements réclamés par ses créanciers , Grèce : Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien | Eco89.
 
Quelles leçons en tirer !
 
Chaque mois depuis deux ans, le gratin politique européen se réunit et nous annonce qu'il faut impérativement arriver à une solution sinon la catastrophe nous guette.,
 
Perte de la souveraineté des peuples et états
 
La montée des régimes autocratique, despotique, et du national-socialisme. Comment Bruxelles détruit la Grèce .Spécial investigation : La face cachée du nouveau Front
 
Un parallèle avec la période 1929 – 45 : "La Grande-Bretagne et la France avaient le choix entre la guerre et le déshonneur. Elles ont choisi le déshonneur. Elles auront la guerre".] (Churchill s'adressant à Neville Chamberlain à la Chambre des Communes en 1938).

Le cercle vicieux : sans pouvoir d'achat des grecs (fusillé sur l'autel des créanciers) pas de consommation en vue, sans consommation pas de production, sans production de richesse et donc de l'emplois

En sortant de l'euro et en laissant dévaluer sa monnaie, la Grèce retrouverait la compétitivité nécessaire.».

Les adversaires de cette solution se couvrent immédiatement la tête de cendres et prédisent un cataclysme.

La réalité de cette situation met en danger tous les autres pays de la Zone euro.

L'espoir vient du froid (référendum islandais), sinon  les citoyens européens, comme dans les années 30, ont accepté sans broncher d'abandonner des pans entiers de leurs droits démocratiques.

Les pays de la Zone euro ont choisi une autre voie :
 
Quelles leçons en tirer !
 
.Les pays de la Zone euro ont choisi une autre voie. Ne vous y trompez pas rien n'est réglé.. Fin janvier on apprenait par la voix de Mario Draghi que la BCE avait l'intention d'offrir 1 000 milliards d'euros de nouvelles liquidités aux institutions bancaires, et le 26 février, dernier Reuters nous apprenait que le G20 préparait un plan à 2 000 milliards de dollars pour "éviter que la crise de la dette souveraine de la Zone euro se propage et mette en péril la reprise hésitante". Ils ont tous perdu la raison ( Les Européens signent un pacte budgétaire dont les coutures craquent déjà)  avec des dégradations pour l'Italie, l'Espagne!
 

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Une chose est sûre, l'or en profitera et la spéculations et les organisme comme les Hedges Funds  les agences de notations  () en profiterons, pas les peuples. voir Les vrais maitres du monde ??? , Libéralisation selon Monti, Renflouages cachés, Confession d'un trader
 
Dans Standard&Poor's, 
AAA... que la 
crise est bonne ( plus nous empruntons plus elles gagnent de l'argent ) ! L'agence américaine qui a dégradé la France ne s'est jamais aussi bien porté ) Elle a même augmentée ses tarifs - source Capital )
 
Marko Mrsnik est épié comme une rock star. Mais cet analyste slovène de Standard & Poor's (S&P) a pour l'instant réussi à repousser les paparazzis. Tout juste sait-on de lui qu'il a 35 ans, a quitté Londres pour s'installer à Madrid avec sa compagne et n'est pas un bras cassé : selon Eric de Souza, son ancien prof au Collège d'Europe de Bruges, interviewé par un quotidien néerlandais, «il était très intelligent, vraiment l'un des meilleurs de son âge». Rien de passionnant, direz-vous. Sauf 
que ce jeune homme est en charge de la notation de
la France au sein de l'agence. Autant dire de l'avenir financier de notre pays.
 
Marko va devoir s'habituer à la curiosité des médias. Plus la France creuse ses déficits, plus elle a besoin d'emprunter et plus les augures de l'analyste deviennent importants. Et cela vaut aussi pour le privé : afin de boucler leurs fins de mois difficiles, nos entreprises doivent payer Standard&Poor's pour qu'elle tamponne leurs émissions obligataires. Résultat, l'agence de notation américaine n'a jamais été aussi prospère qu'en cette période de tempête : son chiffre d'affaires a progressé de 20% entre 2009 et 2011
Mieux : sa marge opérationnelle atteint le niveau record de 45%, deux fois celle de nos opérateurs télécoms ou du géant du luxe LVMH. Pour Harold McGraw III, l'homme qui dirige Standard&Poor's depuis le Rockefeller Center, à New York, la crise a un goût savoureux : il a empoché 30 millions d'euros de salaires et bonus depuis 2005. Décidément, Jean-Luc Mélenchon aura bien du mal à mettre S&P «à la niche». Malgré ses erreurs à répétition - elle a dégradé trop tard les crédits subprimes américains, la Grèce et Lehman Brothers - l'agence est devenue un pilier indispensable au capitalisme mondial
 
 les Hedges Funds  :


Le fantôme de Churchill murmure : "l'Union européenne avait le choix entre la guerre et le déshonneur. Elle a choisi le déshonneur. Elle aura la guerre".
 
A lire aussi
Choisir son maître n'est pas une liberté : Serge Halimi - Le Grand Bond en Arrière [HD] , Mario Draghi ou le pompier pyromane , L'histoire secrète du patronat ; de 1945 à nos jours_01.12.2009 , Dans la peau de Vladimir Poutine - videos.arte.tv
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial, VOTEZ FN REND CON

".Ni oubli, ni pardon : La Mer à l'aube : Paris : les nervis de Civitas et du GUD attaquent des féministes , Propagande, haine, meurtre , Le populisme au féminin, les indépendistes ont le vent en poupe : , A l'extrême droite du père , Alerte antifasciste : Le Cercle des Volontaires , film tension religieuse attire les tension , « FN, le pire ennemi des salarié-e-s » , Dans ce quartier d'Athènes, les néonazis prospèrent grâce à la crise
 
Le basculement du monde , Manager de transition, un bien joli métier, Accroissement continu de la rentabilité par le progrès technique? , Toxic Somalia , Je vais vous faire peur II ... , Le plan de bataille des financiers, La dette ou la vie !,Le poison grec, Les "marchands de doute" nous trompent-ils délibérément ? , Les "marchands de doute" nous trompent-ils délibérément ? , Hollande et le patronat , La bataille du Lithium - videos.arte.tv , Lobby Planet , GAL : des tueurs d'Etat ? , La Machine à Expulser - Webdocumentaire
 
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Tags : economie, politique, finance, crises, dettes souveraines, quelles leçons en tirer, Standard&Poor’s, Lehman Brothers, la Grèce
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#Posté le vendredi 02 mars 2012 13:52

Modifié le mercredi 10 août 2016 05:37

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