n
Bruxelles, le vrai pouvoir
Politique par Christophe Dubois

Les émissions du même genre
Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
La Chaîne parlementaire 01/05/2013 17:30
Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
La Chaîne parlementaire 01/05/2013 18:25
A vos ordres, monsieur le président par Delais Bertrand
Planète+ 01/05/2013 20:45
Plongée dans les coulisses du Conseil européen, où les 27 Etats membres décident de l'avenir de 500 millions de citoyens. A peine élu président de la République, François Hollande promettait d'y imposer sa ligne politique et de réconcilier les Français avec Bruxelles. Un an plus tard, a-t-il tenu ses engagements ?
La critique TV de télérama du 27/04/2013
En 2013, dans la panoplie du dirigeant politique, il y a un abonnement Thalys. Du contrôle des budgets nationaux à l'élaboration des nouvelles lois, Bruxelles est devenu le coeur du réacteur où les chefs d'Etat, sommet après sommet, tentent de faire valoir les intérêts nationaux, où les ministres s'en vont plaider leur cause face aux puissants commissaires. Face à la mécanique du compromis à vingt-sept, à la sacro-sainte règle d'or budgétaire, au libéralisme dominant, quelle est la marge de manoeuvre d'un François Hollande ? De quelle latitude dispose Arnaud Montebourg, croisé du « Made in France », pour protéger l'industrie hexagonale ? Autant de questions lancées par ce documentaire vivant et pédago, qui s'insinue à hauteur d'hommes dans les rouages de la mécanique institutionnelle bruxelloise.
Le « machin » souvent perçu comme une entité absconse et complexe est ici incarné par des visages (celui par exemple de Karel De Gucht, très libéral commissaire au commerce), animé par des moments de tensions. Le théâtre d'une dramaturgie huilée, celle des sommets des chefs d'Etat, que les auteurs décryptent avec mordant. Derrière les sourires du consensus destinés aux caméras, on perçoit les négociations bras de fer. Entre couloirs et coulisses, Deloire et Dubois éclairent aussi les rouages anonymes et puissants de Bruxelles, jeunes négociateurs dans l'ombre des ministres ou « gendarmes de la règle d'or » chargés de faire respecter le dogme des 3 % de déficit. — Virginie Félix
Suivi d'un débat.
Virginie Félix
Il ne vous aura pas échappé que politiques et responsables économiques sont en train de s'écharper sur les solutions à apporter à la récession-dépression-morosité que nous traversons, non seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe, au Japon ou en Chine
« Le Japon et les Etats-Unis ont fait le choix d'une même politique : l'impression monétaire pour favoriser la relance. Les objectifs du gouvernement d'Abe et du nouveau président de la Banque du Japon sont clairs, il faut créer de l'inflation. L'économie japonaise me fait parfois penser à la créature de Frankenstein. Elle est en état de mort clinique depuis 20 ans et, régulièrement, les savants fous du gouvernement s'acharnent sur son corps moribond en lui envoyant une forte décharge (monétaire), espérant créer l'étincelle de la croissance et de l'inflation »
Ils sont nombreux comme Yamashita à s'inquiéter du fait que "les nouvelles politiques économiques très énergiques du Premier ministre Shinzo Abe, conçues pour secouer l'économie et la sortir de près de deux décennies de déflation, pourraient provoquer un effondrement du yen
Résumé : En trente années de politiques néolibérales, le Japon est devenu l'un des pays les plus inégalitaires de l'OCDE. La publication du livre de Sébastien Lechevalier, "La grande transformation du capitalisme japonais" , arrive à point nommé pour éclairer une zone d'ombre de l'histoire récente du Japon mais aussi pour donner des clés de compréhension à la crise du capitalisme en cours depuis 2007
Comprendre le capitalisme japonais - Le Japon à l'envers Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013
Quand on parle du haut niveau atteint par la dette publique de certains pays, on tient compte de ces dettes hors bilan, la dette publique atteint, globalement, un niveau astronomique qui va devenir un lourd handicap pour les générations futures.
A titre de comparaison, la valeur nominale du PIB des Etats-Unis est de15 864 milliards de dollars et la dette du gouvernement de 16 432 milliards, soit 104% du PIB.
Les critères de stabilité de Maastricht prévoient un plafond de 60% pour les pays membres de la zone euro. . Les années de croissance économique n'ont pas servi à rembourser les dettes antérieures.et l'Europe est menacé de la stagnation, voire à la récession.
L'endettement a atteint un niveau qui le rend contre-productif dans presque toutes les régions du monde. Le service de la dette confisque une part toujours plus grande du revenu des ménages. Dans son bulletin mensuel de mars, la BCE démontre qu'un endettement public de plus de 90% du PIB rend impossible toute relance économique par le budget. Si les taux d'intérêt augmentent, de nombreux budgets publics et privés seraient, très vite, acculés à la faillite.
Dans la situation actuelle, nombre de membres de la zone euro ne peuvent même pas réduire leur nouvel endettement comme prévu et.
BRUXELLES, LE VRAI POUVOIR (documentaire)
Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche | Public Sénat VOD :
A vos ordres Mr. le Président 1_2 le tempsde la guerre froide - YouTube : A vos ordres, monsieur le président 1l2 Le temps de la guerre froide
Les conditions mêmes de la naissance de la Ve République sont ambiguës. Un «coup d'Etat» met en 1958 un général à la retraite, héros militaire, à la tête de la France. Contrairement aux années de Gaulle, la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, fut, pour la France comme pour l'armée, paisible. Elu en 1974, le président Giscard d'Estaing multipliera les interventions pour protéger la Françafrique : les opérations militaires seront nombreuses sous son septennat. En 1981, François Mitterrand reçoit un accueil glacial de l'armée, notamment à cause de la présence de quatre ministres communistes au gouvernement. Charles Hernu, ministre de la Défense de 1981 à 1985, va réconcilier les socialistes et les militaires
A vos ordres Mr. le Président 2_2 des temps incertains - YouTube : A vos ordres, monsieur le président 2l2 Des temps incertains
En août 1990, François Mitterrand arrête la politique française dans la crise du Golfe sans consulter Jean-Pierre Chevènement, son ministre de la Défense, qui finira par démissionner. Elu en 1995, Jacques Chirac décide en 1996 d'abandonner la conscription et de professionaliser l'armée. Le 14 février 2003, Dominique de Villepin exprime à la tribune de l'Onu l'opposition de la France à s'engager aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe. En 2007, le président Nicolas Sarkozy annonce les nouveaux axes de l'armée française : défense et sécurité. Les militaires soulignent que la sécurité intérieure n'est pas leur vocation

Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 1) - YouTube :
Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 2) - YouTube :
Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral créé le mardi 03 juin 2014 , Looking for Europe Créé le samedi 24 mai 2014, Bruxelles business Créé le mardi 20 mai 2014 , Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014, La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014, Les nouveaux pauvres Créé le dimanche 11 mai 2014 20:04, Brésil, le stade et les favela : le jeudi 08 mai 2014, “Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors le mardi 06 mai 2014, Capitalisme : Le triomphe de l'argent roiCréé le dimanche 16 février 2014 , Concert de soutien au Rémouleurle dimanche 08 décembre 2013, Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:, Les chefs le samedi 01 juin 2013 00:, Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013, UN PENDU EN PLUS, UN CHOMEUR EN MOINS Créé le jeudi 09 mai 2013
Bruxelles, le vrai pouvoir
Créé le mardi 30 avril 2013 22:02
La finance imaginaire
Par Enkolo dans Accueil le 4 Juillet 2016
Partage