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le zoo show....

 
 
n
 
A Paris, c'était pas une manif, c'était le zoo show.... 
 
La manifestation parisienne anti-loi Travail sous haute surveillance
 

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Anecdocte : Pujadas s'est enfin souvenu qu'il était journaliste ce soir : "Une manifestation parisienne qui loin de laisser penser à un essoufflement de la mobilisation a surtout souffert des très mauvaises conditions injustement imposées par un gouvernement de plus en plus répressif."
 
Attention, cet éclaire de conscience chez Pujadas ne va pas durer
 
n LE FAIT DU JOUR. Partisan d'une interdiction de la manifestation prévue aujourd'hui à Paris par les syndicats, le Premier ministre a dû faire marche arrière. Un cafouillage qui laissera des traces.
 

anuel Valls n'a plus qu'à espérer qu'il y ait... beaucoup de manifestants ! En cas de forte affluence ce jeudi après-midi place de la Bastille, les opposants au projet de loi Travail seront bloqués et contraints de faire du surplace. Et le Premier ministre, qui rêvait d'un « rassemblement statique », sauvera ainsi la face. Un comble pour le chef du gouvernement, qui n'a finalement pas mis sa menace d'interdiction de manifester à exécution. Quitte à donner une impression de flottement.
 

anuel Valls n'a plus qu'à espérer qu'il y ait... beaucoup de manifestants ! En cas de forte affluence ce jeudi après-midi place de la Bastille, les opposants au projet de loi Travail seront bloqués et contraints de faire du surplace. Et le Premier ministre, qui rêvait d'un « rassemblement statique », sauvera ainsi la face. Un comble pour le chef du gouvernement, qui n'a finalement pas mis sa menace d'interdiction de manifester à exécution. Quitte à donner une impression de flottement.
 
Un très lourd dispositif de sécurité pour la manifestation anti-loi Travail


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Yannis Youlountas Je ne porte pas du tout aux gémonies mes camarades syndiqués, dont beaucoup sont en plus des amis, bien au contraire : je les alerte avec franchise (d'autres n'en pensent pas moins, mais font plus attention à ne pas se brouiller) sur une concession inacceptable de leur direction confédérale. La une de l'Huma a choqué énormément de monde aujourd'hui et l'incroyable décision de nos camarades bureaucrates également. Les 4 mois du mouvement de protestation que tu évoques,Christian, ne sont pas le seul fait des syndicats et, au sein de ces organisations, c'est bien la base qui a poussé la hiérarchie à participer. Donc, aujourd'hui, je dis juste avec d'autres : assez de hiérarchies, de bureaucraties, de connivences, de gestion des "franges radicales" et des "éléments incontrôlés", de concessions inacceptables... Il est temps que nous luttions autrement. Nous ne sommes plus des enfants. Ni ceux du patronat, ni ceux du gouvernement, ni ceux d'aucune autre forme de dirigeant. Ni dieu ni maître ni loi travaille.
 
 Vous nous voyez passer les menottes à Martinez ? »
 
Et pour cause, c'est l'hystérie. De Jean-Luc Mélenchon aux frondeurs du PS, tous se déchaînent contre « une atteinte à la démocratie ». Même les plus conciliants, comme la CFDT et la CFE-CGC, font part de leur courroux. La situation est épineuse pour tous les protagonistes. Valls passe pour un quasi-dictateur. Dans les rangs du gouvernement, on frémit d'avance : « Vous nous voyez passer les menottes à Philippe Martinez et Jean-Claude Mailly ? » glisse un conseiller. Et, au-dessus des leadeurs syndicaux, plane le spectre des violences en cas de manifestation sauvage. Ils tentent donc le tout pour le tout. Peu avant le Conseil des ministres d'hier matin, le portable de Cazeneuve sonne. « Les syndicats veulent me voir », transmet-il à Hollande et Valls. Dans la foulée, le ministre de l'Intérieur leur met le marché entre les mains : 1,6 km entre la place de la Bastille et... la place de la Bastille. Une manif en rond. « En rond de façon statique », raille Mélenchon. Matignon va même jusqu'à calculer la distance autour du bassin de l'Arsenal, « deux fois 800 m ». « Tout le monde gagne : Valls parce que c'est un peu statique, les syndicats parce que c'est un peu défilant », ironise ce conseiller du gouvernement.


 la publication de Action Antifasciste NP2C Les journalistes de Taranis News ont été embarqués par les flics en arrivant à la manif (au niveau du boulevard du temple), ils nous ont fait un petit périscope dans le camion des keufs.
C'est ici :Taranis News @TaranisNews
EN DIRECT DU CAMION DE POLICE ...... — Paris, France
Attention, camarades syndiqués, regardez bien ce que font vos bureaucrates.
NON, CE N'EST PAS CHARONNE, C'EST GRENELLE !
Ne vous trompez pas d'inquiétude.
 
Non seulement le parcours de la manif d'aujourd'hui, concédé à la dernière minute, est un véritable piège à ciel ouvert : 1,6 km seulement, en boucle de surcroît, dans un espace très réduit, pour une foule qu'on attend nombreuse et qui est censée, pour la première fois, accepter un filtrage complet, avec interdiction de sacs à dos et de foulards, doublé d'une fouille traitant les manifestants comme les fans d'un concert ou les supporteurs d'un match de foot.
 
Non seulement l'état policier cherche à tout contrôler et vise encore plus les insurgés (pendant que les autres joueront gentiment à Tournez Manège), pour mieux justifier sa répression et se prémunir contre un risque d'insurrection sociale.
 
Mais ce n'est pas le pire. Le pire, c'est plutôt la façon dont les négociations se sont déroulées, le résultat qui a été obtenu et la façon de le présenter (cf. la une de l'Huma).
 
NON, CE N'EST PAS DU TOUT UN RECULADE DU GOUVERNEMENT (QUI A OBTENU TOUT CE QU'IL VOULAIT EN RÉALITÉ, C'EST-À-DIRE CRÉER UN PRÉCÉDENT AVEC CE NOUVEAU DISPOSITIF LIBERTICIDE TOUT EN RIDICULISANT LES OPPOSANTS), MAIS UNE RECULADE DE VOS DIRIGEANTS.
 
Ne vous trompez pas d'inquiétude. Ce n'est pas Charonne qu'il faut redouter, mais plutôt Grenelle ! Pas tant les crimes policiers du 8 février 1962 au métro Charonne (9 morts) que la pantalonnade des 25-26 mai 1968 au ministère du Travail, rue de Grenelle, au prétexte d'une forte hausse du SMIG, alors que la contestation avait beaucoup d'autres motifs (de même que nous qui visons non pas seulement la Loi Travaille, mais aussi son monde).
 
Heureusement, l'appel des bureaucrates à reprendre le travail, le 27 mai 1968, fut aussitôt refusé par la base, y compris parmi la majorité des militants cégétistes !
 
Mais le ver était dans le fruit : le tandem De Gaulle-Pompidou su parfaitement tirer profit de cette situation dans les jours qui suivirent et assassinèrent aisément le printemps 68, malgré les derniers soubresauts.
Attention, camarades syndiqués, ne laissez pas une poignée de permanents bien placés tout décider à votre place, concéder des reculades pareilles et les faire passer pour des victoires. Sinon les mêmes causes produiront les mêmes effets.
 
Ce n'est pas à nous de céder. Pas même d'un mètre.
 
Petit résumé de la journée d'hier à Paris.
LES GENTILS ET LES MÉCHANTS
Les gentils à Bastille :
https://www.youtube.com/watch?v=i00XShR9tFM

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Les méchants à Ménilmontant :
https://www.youtube.com/watch?v=ttL_n_QpTjc

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Distribution des bons points et des mauvais points par les journalistes : 
https://www.youtube.com/watch?v=5b3zNmicMQc
 

Condamnations unanimes des méchants (même par la direction de la CGT) :
http://lci.tf1.fr/.../loi-travail-le-siege-de-la-cfdt-vandali...
Allez, hop, pour finir :
https://www.youtube.com/watch?v=SV7735AYnYE

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Yannis Youlountas
http://www.ina.fr/audio/PHD94043773
 
Manif anti-loi Travail : comment Valls a perdu la face
Tags : Manifestation, loi travail, el Komry, JC Ruffin, Globalia, Obsession sécuritaire
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#Posté le jeudi 23 juin 2016 16:41

Modifié le mardi 02 août 2016 06:09

État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique

 
n
 
 
Qu'est-ce que La Quadrature?


La Quadrature du Net est une association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet. Elle promeut une adaptation de la législation française et européenne qui soit fidèle aux valeurs qui ont présidé au développement d'Internet, notamment la libre circulation de la connaissance.
 
À ce titre, La Quadrature du Net intervient notamment dans les débats concernant la liberté d'expression, le droit d'auteur, la régulation du secteur des télécommunications ou encore le respect de la vie privée.
Elle fournit aux citoyens intéressés des outils leur permettant de mieux comprendre les processus législatifs afin d'intervenir efficacement dans le débat public.
 
Ses statuts sont visibles ici.

Rapport d'activité 2014.

Rapport financier 2014.
 
 
 

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rage against the machine- Fuck tha police
 
État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique
 
Paris, le 19 novembre 2015 — L'Assemblée nationale a voté aujourd'hui le projet de loi sur la refonte de l'état d'urgence1, adopté en extrême urgence dans un climat de surenchère autoritaire sans précédent. La Quadrature du Net s'inquiète de plusieurs mesures contenues dans la loi, notamment concernant les perquisitions informatiques, la censure d'Internet et la liberté d'association. À rebours de toute réflexion de fond sur les causes profondes des attentats et la manière de régler une situation complexe, la classe politique dans son ensemble se désavoue elle-même en répondant par la restriction générale des libertés publiques à une attaque sans précédent contre nos libertés.
 
Si le projet de loi précise et actualise un certain nombre de points, notamment en rouvrant une possibilité de recours administratif, La Quadrature du Net regrette profondément qu'il soit refondu dans des délais rendant impossible un examen serein et un débat éloigné des émotions actuelles. Les modifications qui sont faites sur le texte ne sont pas anodines et touchent profondément aux libertés fondamentales. La Quadrature du Net appelle les sénateurs qui voteront le texte demain à adopter des amendements visant à restreindre la portée temporelle de l'état d'urgence, à renforcer le contrôle judiciaire et à borner strictement toutes les mesures exceptionnelles afin d'éviter toute utilisation de l'état d'urgence à des fins autres que celles ayant justifié sa déclaration.
 

En effet, les mesures votées sous pression du gouvernement par les députés en ce jour touchent aux fondements des libertés publiques et individuelles :
 

Tout d'abord sur la prorogation de 3 mois de l'état d'urgence, qui n'est pas justifiée par d'autres motifs que celle de s'affranchir du principe de séparation des pouvoirs. Depuis le début de l'état d'urgence samedi dernier, nombre de perquisitions administratives conduites le sont pour des affaires relevant du droit commun, sans aucun lien avec la lutte antiterroriste, et préfigurent un État policier que la prorogation de trois mois risque de banaliser. Au sujet de la perquisition administrative, l'extension aux appareils électroniques et informatiques ne se limite pas à la copie des éléments trouvés sur les appareils, mais permet également la saisie de l'ensemble des éléments et documents « accessibles à partir du système initial ou disponibles pour le système initial ». En dehors de tout contrôle strict par l'autorité judiciaire, c'est donc open bar pour aller chercher de façon extrêmement large n'importe quelle information sur n'importe quel appareil électronique ou informatique de résidents français, et notamment toute information accessible via des identifiants, mots de passe collectés lors d'une perquisition, tout contenu stocké sur Internet, etc.Les députés ont également voté un amendement permettant au Ministre de l'Intérieur de faire bloquer sans délai tout site Internet « faisant l'apologie du terrorisme ou provoquant à des actes de terrorisme ».
 
Ce blocage administratif et secret, instauré avec la loi antiterrorisme de 2014 qui confiait déjà cette possibilité aux services de police, ne bénéficiera d'aucun contrôle judiciaire (pas même celui de la CNIL prévu en temps normal).En ce qui concerne l'assignation à résidence, il est à noter que la nouvelle rédaction allège sensiblement les conditions nécessaires à cette mesure gravement attentatoire aux libertés individuelles : là où le texte de 1955 demandait que l' « activité s'avère dangereuse pour la sécurité et l'ordre publics », le projet de loi prévoit quant à lui de s'appliquer au personnes pour lesquelles il existe des « raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics », formulation beaucoup plus large et floue. Aucune définition des « raisons sérieuses » n'est donnée. L'étude d'impact explique que les personnes visées sont celles « qui ont appelé l'attention des services de police ou de renseignement par leur comportement ou leurs fréquentations, propos ou projets ».
 
Cette mesure laisse donc la porte ouverte à des interprétations très larges, d'autant plus graves que les mesures prises en état d'urgence ne sont pas garanties par l'intervention du juge judiciaire.De même, le texte précise que cette assignation se fera sur des lieux déterminés par le Ministre de l'Intérieur, ce qui ouvre la voie aux pires demandes de rétention évoquées dans la classe politique (certains ayant évoqué des « camps d'internement »), avec possibilité de placement sous bracelet électronique.Concernant la dissolution de groupes et d'associations, la procédure permet une interprétation très large et donc une atteinte grave à la liberté d'association, en décrivant des associations qui « participent à la commission d'actes portant une atteinte grave à l'ordre public, ou dont les activités facilitent cette commission ou y incitent », ce qui permettrait d'y inclure nombre d'associations promouvant, par exemple, l'utilisation de technologies de chiffrement qui sont utilisées certes par des criminels, mais surtout principalement par de nombreux citoyens innocents. Cette crainte est renforcée par le fait que les pouvoirs extraordinaires conférés au pouvoir administratif par l'état d'urgence sont actuellement utilisés pour des affaires sans lien avec l'anti-terrorisme.
 
« Le débat et le vote de la loi sur l'état d'urgence à l'Assemblée nationale montrent que les députés et le gouvernement sont dans le déni complet de la situation actuelle.


Ce vote marqué par une ambiance d'acharnement contre l'État de droit et la séparation des pouvoirs montre que la France est bien loin d'avoir entrepris le travail nécessaire à un vrai règlement du risque terroriste dans toute sa profondeur. Nous appelons les citoyens à marquer leur désapprobation auprès de leurs représentants de manière très claire, puisque c'est au nom de leurs craintes que les députés, paniqués, sacrifient aujourd'hui les libertés. Ils croient ainsi créer un illusoire sentiment de sécurité en mettant en place, pour plusieurs mois, un État réellement policier2.
 

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Les Binuchard - La route à trois grammes - Paroles
 
Il est libre MAX - Hervé Cristiani - YouTube : Jacques TATI, Franquin gaston Lagaffe et Groland : des résistants modernes, 
Berurier noir - LES REBELLES
 

Jeu d'influences : les stratèges de la communication - YouTube



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Le samedi 19 décembre 2015

« Moi aussi je suis écolo, réfugié, altermondialiste, squatter, musulman, zadiste, moi aussi je vends des sandwichs halal, moi aussi je manifeste. Pour ces raisons je vous demande mon assignation à résidence dans les meilleurs délais. » Avec Alain BROSSAT, nous vous aidons à formuler votre demande d'assignation.
 
Alain BERTHO est anthropologue, depuis des années il étudie les émeutes urbaines en France et dans le monde. Autodestructrices, sans but ? Alain Bertho voit dans ces émeutes le symptôme de la fin de l'action politique et de l'action collective. Les États se consacrant désormais exclusivement au service d'une mondialisation sans boussole. Nous sommes dans « une situation globale où toutes les conditions sont réunies pour que des quêtes individuelles de sens de la vie et du monde, rencontrent l'offre contemporaine que constitue aujourd'hui le djihad. »
 
Amis de la poésie, bonsoir ! Voilà Gérard MORDILLAT. Curieusement en France, la poésie écrite ou lue, c'est ringard, alors que dans beaucoup de pays, la poésie est toujours vivante, souvent populaire, et vécue comme un moyen d'être au monde.

Assigné à résidence : Témoignage de X. assigné à résidence 17 jours et 17 nuits dans le cadre de l'état d'urgence et des mesures sécuritaires visant à assurer la COP21. Documentaire de DOC du réel
 

n 
Flores Magon : le Français à l'Algérien:" tu voudrais t'intégrer tu aurais donner un prénom français à tes gamins"
l'Algérien: "à ouai et les tiens comment ils s'appellent?"
le Français:" bin tu le sais bien Dylan, Kevin et Jennifer"""

 

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Assigné à résidence : Témoignage de X. assigné à résidence 17 jours et 17 nuits dans le cadre de l'état d'urgence et des mesures sécuritaires visant à assurer la COP21. Documentaire de DOC du réel


Devant ce vote en sur-urgence3, il ne nous reste plus guère que la possibilité de documenter le désastre, en espérant un sursaut proche. » déclare Adrienne Charmet, coordinatrice des campagnes de La Quadrature du Net.
 
La Quadrature du Net vous invite à appeler vos députés ou à signer la pétition pour leur demander d'ouvrir une enquête parlementaire d'investigation sur les lois de surveillance et antiterroristes : la réponse aux attentats ne peut pas être qu'une baisse des libertés ! Agissez maintenant pour demander un vrai bilan !



 
Les Sales Majestés - Oui j'emmerde


Moi je ne veux plus bosser
Juste pour payer mon loyer
Sans jamais en profiter...

J'en ai marre de me lever
Pour gagner si peu de blé
Et de rentrer toujours crevé...
Alors moi j'ai décidé
Que ça ne pouvait plus durer

Oui ! J'emmerde la société !
A jamais un révolté
Oui ! J'emmerde la société
Plus jamais un exploité !

Je n'ai plus peur de galérer
Même si je dois en crever
Je n'ai plus à obéir

Je n'ai peut-être plus de blé
Mais j'ai repris ma liberté
J'ai retrouvé ma fierté
Même si je suis devenu
Un chien perdu sans collier

Oui ! J'emmerde la société !
A jamais un révolté
Oui ! J'emmerde la société
Plus jamais un exploité !


Les Sales Majestés est un groupe de punk français créé en 1992 dans le département francilien des Hauts-de-Seine.
La musique des Sales Majestés peut être considérée à juste titre comme étant engagée, « simple et efficace ». Le groupe connaît un certain succès en étant toutefois rejeté par une partie du mouvement punk en raison des textes tombant souvent dans la facilité. LSM ont toujours été producteurs de leurs albums et de leurs deux clips ("Je suis fier", "Camarade") de façon à pouvoir fixer un prix peu élevé et accessible à tous aussi bien pour leurs disques que pour leurs concerts.

Artiste : Les sales majestés
Album : No problemo
Numéro : 06
 
 
n
sources
:
État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique
État urgence/Recensement — La Quadrature du Net
 
Code(s) polar

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"Ecolos : ennemis d'etat "


Edwy Plenel: «Pour un état d'urgence démocratique»

5 raisons de revoir "Le Roi et l'oiseau" - Blow up :  LE ROI ET L'OISEAU / Bande annonce - YouTube


" Assigné à résidence :"

Par Enkolo dans Accueil le 25 Septembre 2016 


Comment Sarkozy a rendu possible la dérive raciste à droite : citoyen ...
Le populisme au féminin -Par Enkolo dans Accueil le 20 Octobre 2016
L(in)sécurité : Un champ de bataille ( 2) Créé le lundi 28 mars 2016
État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique Créé le samedi 26 décembre 2015, a bas l'etat policier Créé le lundi 07 décembre 2015
27/10/2016
Patrick Buisson, le mauvais génie


Running Man , Game2: Winter Créé le dimanche 18 décembre 2016,  Akira Mercredi 14 décembre 2016 


L'incroyable histoire de la téléréalité, société : l'essentiel - Télérama.fr, L'oeil de Moscou -, Relents de guerre froide, Syrie, dans l'enfer d'Alep, Le gouvernement Trump, La cyber-sécurité-guerre, Poutine, le nouvel empire, Game2: Winter


Game2: Winter Par Enkolo dans Accueil le 20 Décembre 2016, Jeux de pouvoirs Par Enkolo dans Accueil le 20 Décembre 2016


They live - l'indigné révolté, Discours de la servitude volontaire Créé le mercredi 09 septembre 2015, État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique Créé le samedi 26 décembre 2015



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Tags : état d'urgence, Bernard Cazeneuve, Manuel Valls, rage against the machine, - Fuck tha police, surveillance, obsession sécuritaire, : l'État policier, Obsession sécuritaire, actualité, terrorisme, François Hollande, Assigné à résidence, Etat d'urgence, lois d'exceptions, atteintes aux libertés, "Ecolos : ennemis d'etat ", Spécial investigation
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#Posté le samedi 26 décembre 2015 14:18

Modifié le vendredi 13 octobre 2017 06:27

Paris, 29 novembre : un autre récit des événements

 
n
 
Paris, 29 novembre : un autre récit des événements
 
 
Ce Mercredi 2 et Jeudi 3 décembre auront lieux dans toute la France des rassemblements et manifestations appelée par les syndicats contre la criminalisation et la répression des luttes ; une dynamique de résistance qui prend une importance double en ces temps troubles d'état d'urgence et d'invisibilisation des luttes sociales derrière le sécuritaire et la peur.
 
En première ligne ces dernières semaines, les travailleur-euse-s d' Air France continuent leur lutte. voilà leur appel via un tract de Sud Aérien :http://www.sud-aerien.org/.../20154_-_11_-_25_-_greve_des_2_e...
★ Le 02 décembre, à 12H00, devant le Tribunal de Grande Instance de Bobigny, 173 avenue Paul Vaillant Couturier

★ Le 03 décembre, à 11H00, lors d'un "sit-in", au Siège de CDG sur Main Street (Allée à l'intérieur du Siège).

----SUD Aérien-- Cgt Air France------ Soutien aux salariés de Air France


Paris, 29 novembre : un autre récit des événements
 
Qui a «saccagé» le mémorial de la place de la République ?
 
Qui a «saccagé» le mémorial aux victimes des attentats installé place de la République à Paris ? Deux vidéos permettent de se faire une idée plus précise de ce qui s'est passé hier, lors d'une manifestation pour le climat réprimée par la police à coups de lacrymos et de matraques : la première,diffusée par Taranis, montre clairement, à 19'20", des CRS montant sur le mémorial pour les victimes des attentats, en faisant peu de cas des fleurs et bougies déposées là. 


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Une autre vidéo, diffusée quant à elle par la préfecture de police, montre de son côté quelques personnes ramassant des objets autour du mémorial avant de les jeter sur les CRS (à 1'31"). Vous pouvez également écouter le témoignage d'une militante écologiste de 60 ans, Charlyne, sur le site paris-luttes.info.

C'est l'envers du décor de la Cop21. Les images de la répression de la place de la République, le 29 novembre à Paris, ont fait le tour du monde. Après l'indignation initiale contre les « casseurs », le vent a tourné, les preuves sont tombées, et une partie de l'opinion a bien compris de quel côté était la violence. Il était temps qu'Alternative libertaire publie un récit collectif des événements. Le voici.
 
La matinée avait débuté, place de la République, par des distributions de tracts, des chants et des discussions pour dénoncer la mascarade de la Cop 21. Plusieurs milliers de personnes convergeaient vers cette place dans une ambiance festive, bigarrée mais déterminée : écologistes, politiques, associatifs, syndicalistes.... Malgré l'interdiction, nous étions des centaines, bientôt des milliers à reprendre la parole dans la rue.
 
Ici des clowns, là des associations écolos, une foule de curieux et, au milieu de tout cela, un meeting de rue improvisé sous les drapeaux rouge et noir, qui a commencé à agréger quelques centaines de personnes.
 
Intrigués, des journalistes venus du monde entier, sont venus recueillir notre parole : un reporter de Là-bas si j'y suis, une télévision indienne, une radio espagnole, une web-TV marseillaise... Le Washington Post a probablement découvert les mots « socialisation » et « autogestion ».
 
Vers 13h30, alors que l'afflux se poursuivait sur la place de la République, on a senti que l'ambiance se réchauffait. De bouche en bouche, un slogan commençait à être repris en ch½ur : « Si on ne marche pas, ça ne marchera pas ». Il fallait défiler, à l'instar de ce qu'il s'est passé dans de nombreuses villes du monde.
 
Entre-temps la police avait commencé à boucler tous les accès à la place.
Une manifestation d'un millier de personnes environ a donc entamé un tour de la place de la République, puis un deuxième tour, tandis que les CRS se mettaient en tenue de combat.
Reportage photo : Benjamin/AL Paris nord-est


Tentative d'échappée


Avenue de la République, un passage semblait ouvert pour laisser passer le cortège. Celui-ci s'est engagé dans l'avenue de manière massive, résolue mais non agressive. Les slogans fusaient : contre l'état d'urgence, contre le saccage des libertés publiques. Mais au bout de 50 mètres : blocage. Des hordes de CRS, des camions blindés qui se garent en travers de la route. Les coups de matraque et de bombes lacrymogènes refoulent les plus téméraires.
 
Moment intense où, sur l'avenue, le cri « Liberté ! » jaillit à l'unisson de centaines de poitrines. Plus que jamais l'interdiction de manifester apparaît pour ce qu'elle est : une esbroufe ; une iniquité ; un scandale.
Ne pouvant avancer, on revient progressivement sur ses pas. Retour à la case départ : place de la République, dont les issues sont verrouillées par la police, dont les bouches de métro sont bientôt condamnées. Plus d'issue.
 
La foule reprend sa marche autour de la place. Au deux tiers du parcours, des heurts éclatent, la police distribue les grenades lacrymogènes, assourdissantes, les coups de tonfa. Les militantes et les militants des différentes organisations politiques tentent de maintenir un cortège uni et de limiter les mouvements de panique.
 
Mais le fait est là : la foule est prise au piège. L'immense majorité ignore la signification des fusées rouges qui montent dans le ciel — l'ordre de dispersion intimé par les forces de l'ordre. Une dispersion de toute façon impossible, toutes les issues étant bouclées.
 
Le mémorial saccagé à coups de bottes


Un homme est blessé par des éclats de grenades, un autre manque de s'évanouir du fait des gaz. Bien vite, la présence de policiers déguisés en manifestants est signalée. Dans ce moment d'extrême confusion, alors que la place est noyée par les gaz, des gens ont répliqué en jetant vers la police ce qui leur passait par la main, y compris des bougies du mémorial.
En réalité, le saccage est surtout dû à la police, et les images de robocops piétinant fleurs et bougies pour disperser un sit-in pacifique ont rapidement fait le tour du net.
Cliquer pour voir l'extraitTaranis NewsVers 14h30, la police parvient à isoler et encercler un groupe de 300 personnes dans lequel sont présents des militantes et des militants d'AL, du NPA, de la FA, de la CGA ou de Solidaires.
 
Plus loin une seconde nasse emprisonne un groupe plus nombreux encore. Ce sont au total entre 800 et 1000 personnes qui vont être retenues sur la place pendant plusieurs heures. Certains venaient tout juste d'arriver. Il faut noter qu'au même moment, un rassemblement spontané à Barbès est violemment dispersé et que de nombreuses personnes y sont là aussi arrêtées.
 
Le but de la man½uvre ? Enregistrer les identités des personnes présentes et intimider les militant.e.s politiques et syndicaux.
 
La semaine précédente, la police avait déjà annoncé avoir transmis au procureur l'identité de 58 personnes suspectées d'avoir manifesté en soutien aux migrant.e.s malgré l'interdiction. Cela avait abouti à des convocations et des gardes à vue.
 
Pris dans la nasse


Place de la République, le refus de se plier à cette injonction liberticide est collectif.
Spontanément, des lignes se forment. On se serre les coudes, sur deux ou trois rangs, face aux pandores, sans cesser de scander : « État d'urgence, état policier, on nous enlèvera pas le droit de manifester ! » Dans le dos des policiers, une foule s'assemble et nous applaudit.
 
Voilà les paniers à salade qui arrivent, dont un autocar.
 
La pression policière augmente, l'étreinte se resserre, les manifestantes et les manifestants sont comprimés par un mur de boucliers. Le dispositif le plus commun : un robocop arc-bouté derrière son bouclier ; derrière lui un second avec un tonfa ; derrière encore, un troisième avec une gazeuse.
Sporadiquement, une ou un manifestant est saisi et arraché des bras de ses camarades, et traîné par la police vers l'arrière, souvent avec violence. Direction le panier à salade. Au total, plus de 300 personnes seront interpellées. La majeure partie seront placées en garde à vue. Les autres seront relâchées, sans doute parce que la capacité de détention dans les commissariats arrivait à saturation.
Dans les cellules : université révolutionnaire


Le gros des personnes interpellées est dirigé vers le commissariat de Paris 18e, qui dispose de vastes cellules de 20 places. Les hommes sont séparés des femmes, tout le monde est fouillé au corps, et les cellules sont prestement remplies. Pour faire face à cet afflux inhabituel, il a fallu réquisitionner des policiers qui, à leur domicile, pensaient jouir du repos dominical... raté.
 
Un clair-obscur sinistre, des bancs en béton... la garde à vue, ce n'est jamais très drôle. Mais quand on se retrouve aussi nombreux, entre « politiques », la solidarité rend tout cela plus que surmontable. Dès le panier à salade, ça chantait à tue-tête, tout le répertoire révolutionnaire, ça envoyait des vannes à la chaîne, ça inventait des slogans pour tourner la situation en dérision.
 
Au commissariat, l'atmosphère est plus contrastée. Dans une cellule, l'ambiance est plutôt studieuse –- on s'informe sur nos droits, on analyse la situation, on organise les tours de paroles pour que chacun puisse s'exprimer –- dans une autre, la chorale continue, plus rigolarde et déchaînée que jamais.
 
Dans la soirée, les gens sont sortis par petits groupes et répartis dans différents commissariats de la région parisienne, dans des cellules plus exiguës. On fait l'expérience de l'arbitraire et de la bureaucratie. Selon les comicos, les personnels sont corrects et s'en tiennent à leur rôle de fonctionnaire de police ; d'autres au contraire flirtent avec le sadisme et des cas d'humiliations punitives nous ont été signalés.
Après une nuit sans sommeil sur le béton froid, avec parfois une couverture pas plus épaisse qu'un drap, la grande majorité des gardés à vue seront libérés le 30 novembre, vers 15h30. Toutes et tous restent sous la menace de poursuites judiciaires.
 

 
Bravons l'état d'urgence : place de la République, dimanche 29 novembre 2015 from Là-bas si j'y suis on Vimeo.
 
Les pompiers pyromanes cherchent à se défausser


Leur tort ? Celui d'avoir exprimé leurs opinions dans la rue. Celui d'avoir dénoncé l'instrumentalisation de l'état d'urgence par le gouvernement. Celui d'avoir refusé l'interdiction de manifester, dénoncée à juste titre par de très nombreuses organisations associatives, syndicales et politiques.
 
Faut-il rappeler les nombreuses assignations à résidence ou les perquisitions pour montrer l'utilisation qui est faite de cet état d'urgence ? Faut-il rappeler que d'un côté le gouvernement empêche l'expression de rue mais que de l'autre il laisse se dérouler les matches de football, les marchés de noël et autres rassemblements mercantiles ? Les mesures de sécurité ne concerneraient-elles que les contestataires ?
Pour justifier cette répression, une intense campagne de mensonges se déverse dans les médias de la part de politiciens de tous bords.
 
C'est avec des trémolos dans la voix que François Hollande a condamné les « incidents » de la place de la République. Ses ministres, suivis par un ensemble de politiciens allant du Front national à Europe-Ecologie-Les Verts, ont surenchéri pour dénoncer les « débordements » et réclamer des sanctions. Rien d'étonnant puisque seulement 6 parlementaires sur 925 avaient voté contre ce qui préparait cette curie : la prolongation de trois mois de l'état d'urgence.
 
Ce sont donc ceux qui fricotent avec l'Arabie saoudite, le Qatar ou la Turquie, ceux qui éteignent les libertés publiques, ceux qui entraînent la population dans la guerre, qui se permettent de donner des leçons ?
 
Nous ne nous laisserons pas sermonner par ces pompiers pyromanes et ces menteurs. La responsabilité de ce qu'il s'est passé ce dimanche à Paris incombe aux autorités publiques et à la police.
Alternative libertaire, le 1er décembre 2015


Berurier noir - LES REBELLES

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Sources 
Paris, 29 novembre : un autre récit des événements
2 décembre 2015 par Secrétariat aux relations extérieures / 0 vues
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A lire aussi
 "Ecolos : ennemis d'etat "
Les Scenario de la COP21 2:2
L'état d'urgence c'est pratique, ça sert à tout.
Couvre-feu : Les lois d'urgences
"Emeutes en banlieue : la mécanique infernale " : Emeutes En Banlieue La Mécanique Infernale









 Sur mon blog de l'Indigné révolté : a bas l'etat policier , La France a peur , Pourquoi Je n'irais pas voter.?, Paris, 29 novembre : un autre récit des événements , "Ecolos : ennemis d'etat ", Jean Christophe Rufin pour son livre Globalia

Tags : Paris, 29 novembre, COP 21, Obsession sécuritaire
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#Posté le mercredi 02 décembre 2015 10:32

Modifié le vendredi 22 juillet 2016 13:38

Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE

 
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Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE
 Flores Magon
 
Les titres, les mandats gouvernementaux ne sont bons que pour les nullités qui, trop lâches pour être quelque chose par elles-mêmes, veulent paraître...
L'autorité officielle ou légale, de quelque nom qu'on la décore est toujours mensongère et malfaisante...
extrait de: https://www.facebook.com/notes/flores-magon/%C3%A0-bas-les-chefs-/560592543998334
 
"L'égalité en droit veut dire que chacun est égal devant le droit. Ce n'est pas un mensonge. Il ne peut pas y avoir d'égalité économique et sociale sans que tous soient égaux en droit avant. Et c'est bien là que ça coince justement. Mais ce n'est pas parce que ce principe est bafoué qu'il est un mensonge". cf voir 
TAFTA : "le big brother"?, « Informer n'est pas un délit » , Le Business de la Cyber- sécurité , 
Seulement un mauvais rêve ?....
 
 « Chacun est libre de ses actes. Or, la tendance naturelle des êtres humains est d'abuser de leur liberté, c'est-à-dire d'empiéter sur celle des autres. LA PLUS GRANDE MENACE SUR LA LIBERTÉ, C'EST LA LIBERTÉ ELLE-MEME. Comment défendre la liberté contre elle-même ? En garantissant à tous la sécurité. La sécurité c'est la liberté. La sécurité c'est la protection. La protection c'est la surveillance. LA SURVEILLANCE, C'EST LA LIBERTÉ . Jean-Christophe Rufin, Globalia. Gallimard, Paris 2004 ; réédition, Paris: Gallimard, 2005, 499  cf voir « La sécurité est la première des libertés. " - blog citoyenactif, Le juteux business de la sécurisation des frontières :
 
nous sommes tellement pervertis par cette existence sous la férule de la loi qui régente tout : notre naissance, notre éducation, notre développement, notre amour, nos amitiés, que, si cela continue, nous perdrons toute initiative, toute habitude de raisonner par nous-mêmes.
KROPOTKINE
 
Il n'y a pas qu'en France que les gouvernements durcissent le ton face aux manifestant contestant le pouvoir A lire aussi Ce climat ” années 30” sur citizen khane
 
 Dans le Monde Cinq années se sont écoulées depuis le 15 mai 2011 et la manifestation « Pour une démocratie réelle maintenant » qui a donné naissance au mouvement des « indignés » en Espagne. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? L'Espagne est plongée dans une crise politique inédite. Le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy assure l'intérim depuis les élections législatives du 20 décembre 2015. Le parlement n'est pas parvenu à former un gouvernement. Rien ne garantit que de nouvelles élections, prévues le 26 juin, débloqueront la situation. Le bipartisme a volé en éclats et le temps des accords et des coalitions n'a pas encore été assimilé.

 
A voir maintenant sur France 2 intéressant : On aime beaucoup Le business de la peur
" Bienvenue dans le nouvel ordre sécuritaire, tout droit inspiré des tarés post-911, qui pensent gouverner le monde avec des chars et missiles.
Je pense à Franklin : ceux qui laissent leur liberté pour plus de sécurité n'obtiennent ni sécurité ni liberté.

Je suis heureux que dans notre malheur nous yaons pu faire le bonheur de quelques multinationales de la surveillance ou de politicards.

 
Le citoyen du XXIe siècle est au centre de tous les regards, qu'il y consente ou non. Arte Future recense les enjeux et les scandales de la surveillance globale et ouvre le débat sur les menaces qui pèsent sur nos libertés individuelles. 
 
Bruno Leroux et le projet de loi relatif au renseignement - Désintox - ARTE
 
Pour la 3e fois, Rody, militant d'Alternative libertaire actif dans l'opposition au projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, passe en procès pour refus de prélèvement ADN.
Dernière minute (11 juin) : la décision du tribunal de Nantes quant au refus de prélèvement ADN est remise au 24 juin. La procureur demande un mois ferme, l'avocat de Rody demande la relaxe.




Actuellement, 30.000 personnes par mois sont inscrites au fichier des empreintes génétiques (Fnaeg), plus de deux millions de personnes ont fait l'objet d'un prélèvement ADN lors de leur garde à vue ou de leur détention. Un nombre toujours croissant de personnes disent non à cette logique de contrôle.
Dans le cadre de la lutte contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, Rody a été arrêté suite à des actions collectives. A ceux et celles qui lui réclamaient son ADN, il a toujours répondu : « mes gènes m'appartiennent ». Malgré la menace d'être condamné à un an de prison ferme et à 15.000 euros d'amende, il s'est opposé avec détermination à ce chantage organisé par l'État.
 
En effet, le législateur a prévu que se soustraire au prélèvement biologique est un délit continu, un délit perpétuel. Rien, à part une relaxe ou une grâce ne peut nous extraire de ce cercle vicieux.
Condamné déjà à des peines de prison avec sursis allant de un à deux mois, Rody vient de dire non au procureur pour la troisième fois pour la même affaire. Il est donc convoqué ce mercredi 10 juin 2015 pour nouveau procès... ou il risque de la prison ferme.
 
L'État fait de lui un multirécidiviste et cherche à le faire craquer et à épuiser tout mouvement de soutien. Face à cet appareil judiciaire bien huilé, on ne peut espérer enrayer la machine que par des refus massifs et généralisés.
 
Face au harcèlement de la justice, il ne pliera pas. Il nous invite à venir le soutenir à son procès et par la même à dire notre refus du fichage ADN.

 


Loi sur le renseignement: une copie de la NSA - Un article de MEDIAPART par Jérôme Hourdeaux et François Bonnet



Les révélations sur l'espionnage de hauts responsables français intervient au moment du vote définitif du très critiqué projet de loi renseignement. Ce «Patriot Act» à la française offre à nos services le même type de pouvoirs que leurs homologues américains.
 

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Le symbole fait très mal. La révélation par WikiLeaks et Mediapart d'une mise sur écoute illégale et systématique des principaux responsables français par la NSA intervient alors que ce même pouvoir français s'apprête à mettre en ½uvre une extension sans précédent des pouvoirs de ses services de renseignement. Malgré l'opposition de la quasi-totalité de la société civile, les députés doivent en effet adopter définitivement le projet de loi renseignement ce mercredi 24 juin, au terme d'une procédure d'urgence imposée par le gouvernement et visant à faire taire toutes les oppositions. Ce texte est construit comme un « Patriot Act » à la française, tant il légalise et systématise une série de pratiques déployées depuis des années par les agences américaines.
 
DERNIÈRE MINUTE] C'était l'objectif de la préfecture et du gouvernement : ne pouvant soutenir le coût politique d'une répression à grande échelle dans le contexte actuel, « ils nous ont gazé massivement pour nous faire dégager au plus vite », disaient plusieurs jeunes mobilsiés depuis des semaines et qui sont loin d'avoir baissé la garde
 Rennes, cette nasse à ciel ouvert et le gazage massif, comme aux Invalides, à Paris, jeudi, pose à nouveau la question du renforcement de l'autoprotection des cortèges contre les violences policières.

 
Une étude menée en 2009 par deux chercheurs du CNRS, citée par les parties civiles, a permis d'établir la réalité statistique de leur expérience. L'observation de 525 contrôles d'identité en différents endroits de Paris a montré qu'un Noir et un Arabe ont respectivement 6,2 fois et 7,7 fois plus de risques de se faire contrôler qu'un Blanc.
 
Lire : Le contrôle au faciès à la barre
Les plus partagés : L'Etat condamné pour « faute lourde » après des contrôles au faciès
"SWISSLEAKS" : ENTRETIEN AVEC HERVÉ FALCIANI  mardi 23 juin à 22h25 (10 min)
 La face cachée d'Hadopi et de Loppsi : 
Envoyé Spécial - Loi HADOPI, la chasse aux pirates


Documentaire - L'agence Secrète de Renseignement, La NSA (à voir) https://www.youtube.com/watch?v=w40ceMJMTSM

Pour ajouter à l'ironie de la situation, la publication de ces rapports d'écoute rédigés par la NSA intervient alors même que le Congrès américain vient de voter le « USA Freedom Act ». Il s'agit du premier texte qui revient sur les mesures d'exception votées après le 11-Septembre en limitant la captation de données téléphoniques sur le sol américain.
 
 
 
Suivant le chemin inverse, la France, elle, n'a eu de cesse ces dernières années de renforcer son arsenal sécuritaire, rognant à chaque fois un peu plus sur les libertés individuelles. En décembre 2013, le Parlement adoptait la loi de programmation militaire (LPM), un texte pérennisant la loi antiterroriste votée en 2006 sous Nicolas Sarkozy et étendant les pouvoirs des services en matière de collecte de données sur Internet. Dès cette époque, les défenseurs des libertés numériques dénoncent la mise en place d'un « PRISM français », voire d'une « dictature numérique ».

Moins d'un an plus tard, alors que la LPM n'est même pas encore entièrement entrée en vigueur, le gouvernement donnait un nouveau tour de vis aux libertés sur Internet avec sa loi antiterroriste. Celle-ci a introduit dans le code pénal le délit « d'apologie du terrorisme » qui devient également un nouveau cas de blocage administratif, c'est-à-dire sans contrôle du juge judiciaire, de sites internet. Le texte sanctionne également « l'entreprise terroriste individuelle » qui se caractérise, notamment, par la fréquentation de certains sites. Et il étend enfin les pouvoirs de police dans la lutte contre le terrorisme en facilitant la saisie de données et de documents stockée dans le cloud ou encore le déchiffrement de données chiffrées. Cette fois encore, passant outre les protestations de la quasi-totalité des associations, la loi antiterroriste avait été votée à la quasi-unanimité.

Le projet de loi renseignement, qui doit être définitivement adopté par les députés mercredi 24 juin (les sénateurs l'ont adopté mardi 23), a, lui, été à peine plus discuté même si la majorité a dû faire face à une levée de boucliers sans précédent. « Comment peut-on encore adopter des lois rappelant celles de George W. Bush, qui plus est après les scandales que nous avons connus et les révélations d'Edward Snowden ? Qu'avons-nous fait pour mériter ce traitement antidémocratique ? » s'interrogeait mardi la sénatrice EELV Esther Benbassa, qui a voté contre le texte.

Outre les traditionnelles associations de défense des droits de l'homme, le gouvernement s'est mis à dos une bonne partie des syndicats de la justice, juges et magistrats, ainsi que les professionnels du secteur numérique dont certains ont même menacé de quitter le pays. Plus gênant, la totalité des autorités administratives concernées par le texte en ont critiqué tout ou partie : la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), la Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH). Cette dernière, dans un avis particulièrement sévère (il est à lire ici), s'alarme de la « surveillance de masse » installée par ce texte.

Même si la société civile et certains députés ont été indéniablement beaucoup plus mobilisés que lors des précédents votes, l'adoption du projet de loi renseignement ne fait guère de doute. En première lecture, le texte a été adopté à une majorité écrasante (le détail du scrutin ici), seuls 86 députés sur 566 ayant voté contre. Tout au long des débats, c'est la tendance sécuritaire, emmenée par le tout-puissant rapporteur du texte et président de la commission des lois de l'Assemblée Jean-Jacques Urvoas, qui a eu le dernier mot. L'homme des services du parti socialiste a dirigé le travail des députés d'une main de fer, faisant adopter toute une série d'amendements durcissant encore son texte, parfois même contre l'avis de son propre gouvernement. Les opposants, eux, étaient qualifiés dans l'hémicycle « d'exégètes amateurs ».

Jusqu'à la dernière minute, le gouvernement et Jean-Jacques Urvoas ont tenté de revenir sur les quelques précautions introduites dans leur texte lors du passage au Sénat. Alors que le projet de loi était en commission mixte paritaire, le premier a fait passer un amendement réintroduisant une soi-disant protection des lanceurs d'alerte. Un agent ayant connaissance de faits illégaux ne pourra révéler ceux-ci que dans le cadre d'une procédure secrète devant l'organisme de contrôle des interceptions de sécurité, la CNCTR. De plus, il lui sera interdit de révéler toutes données protégées « au titre du secret de la défense nationale ou susceptibles de porter atteinte à la sécurité des personnels ou des missions des services ». Contrairement à tous les engagements passés, cette disposition fragilisera un peu plus encore la situation des lanceurs d'alerte.
 
Jean-Jacques Urvoas, lui, a tenté de faire adopter un autre amendement de dernière minute, permettant de placer sous surveillance sans aucun contrôle a priori de la CNCTR les étrangers se trouvant sur le sol français. Le gouvernement s'est finalement opposé à cet amendement, face aux réticences de nombreux sénateurs et au cri d'alarme lancé par l'actuel président de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), Jean-Marie Delarue. Mais cette man½uvre faite en catimini en dit long sur l'appétit des services secrets.

Les députés et sénateurs qui s'apprêtent à voter le projet de loi renseignement auront peut-être en tête les révélations de WikiLeaks, exemple flagrant des dérives d'un monde du renseignement à qui le monde politique a donné toute latitude. Depuis plus de dix ans, les États-Unis ont payé très cher la législation mise en place par l'administration Bush au nom d'une « guerre globale contre le terrorisme ». La toute-puissance des services américains, si elle n'a en rien empêché les défaites militaires et politiques en série des États-Unis, a durablement ruiné l'image de la grande démocratie américaine.

Après des années de débats, de batailles politiques et de mobilisation de la société civile, les États-Unis commencent tout juste, notamment grâce aux révélations d'Edward Snowden, à prendre conscience des dangers de cet État profond, échappant à tout contrôle politique et citoyen. L'administration Obama tente enfin de faire marche arrière et de reprendre la main sur des services aux prérogatives plus limitées. Le pouvoir français, lui, répète les mêmes erreurs avec plus de dix ans de retard. Sacrifiant au passage nos libertés de citoyens sans que les parlementaires y trouvent rien à redire
 

Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE 
 

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Le 16 mai 2017 la cybersécurité, Le 13 août 2016 , La cyber-sécurité-guerre , Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue! , Globalia. JC Ruffin


Ce n'est pas la déclaration des droits de l'homme qui est une supercherie, mais plutôt la démocratie représentative qui est un mensonge,



Henry David Thoreau vit et écrit "la désobéissance civile", mélange  le fait de la vision anarchiste de l'article de la déclaration des droits de l'homme concernant la liberté d'expression et aussi de l'article concernant l'égalité en droit (en creux puisqu'il fini en taule pour avoir voulu défendre cette idée en cessant de payer ses impôts pour ne pas alimenter la machine de guerre esclavagiste).
 
 
C'est la démocratie représentative qui se sert de la déclaration des droits de l'homme pour justifier sa légitimité qui est un mensonge !
 
Avec la participation d'Olivier Besancenot (groupe Pour l'émancipation), Philippe Corcuff (ETAPE), Michael Löwy (groupe Pour l'émancipation) et Laurent Esquerre (Alternative libertaire).
 
« repenser l'émancipation au XXIe siècle, entre ressources anarchistes et marxistes »
En partant du livre d'Olivier Besancenot et Michael Löwy :Affinités révolutionnaires. Nos étoiles rouges et noires. Pour une solidarité entre marxistes et libertaires (Paris, Mille et une nuits, 2014)
Ce débat public était organisé par Alternative libertaire, le séminaire ETAPE (Explorations théoriques anarchistes pragmatistes pour l'émancipation) et le groupe Pour l'émancipation.
 

 
America's Surveillance State 1 (The Surveillance Machine) 
En cours depuis de nombreux mois, une nouvelle étape des négociations en trilogue1 sur le futur règlement européen concernant la protection des données personnelles démarrera aujourd'hui. Comme le montre le document publié le 8 juin dernier, le Conseil de l'Union européenne tentera de balayer la plupart des dispositions protectrices pour les citoyens du texte final. Bien qu'elle soit encore trop faible, il est fondamental que les représentants des citoyens dans ces négociations n'infléchissent pas la position adoptée par le Parlement le 12 mars 2014.
 
J'ai eu  envie de me réintéresser à un domaine qui lui est bien plus facile à comprendre et à anticiper : le marché de la cyber-sécurité. Les hackers citoyens'en donnent à coeur joie à harceler ces " bonnes vielles multinationales et les politiciens a leur soldes, ce qui n'est pas une très bonne nouvelle pour la sécurité de leurs données personnelles mais est une excellente nouvelle – et je pèse mes mots – pour les entreprises spécialisées dans ce " nouvelle niche économique.
 
« Le Conseil essaie une fois de plus de passer outre les droits des citoyens, au profit de grosses entreprises qui font un marché juteux des données personnelles. Il est inadmissible de laisser les États brader le droit à la vie privée des citoyens européens, et fondamental que le Parlement européen et la Commission européenne restent fermes et ne laissent pas les libertés des citoyens se réduire comme une peau de chagrin, alors qu'elles sont déjà fortement menacées par les différentes lois adoptées en France et ailleurs, notamment sur le renforcement des services de renseignement » s'indigne Philippe Aigrain, cofondateur de La Quadrature du Net.
La synthèse de La Quadrature du Net sur le texte adopté par le Parlement, le 12 mars 2014
 
Paris Air Forum 2015 - Cybersécurité : les hackers mèneront-ils toujours le jeu ?
Ce secteur a progressé de plus de 12% l'année dernière et va passer de 75 milliards de dollars à plus de 170 milliards en 2020. Il serait peut-être temps que vous y intéresser, non ?
Ce secteur, c'est celui de la cyber-sécurité.
 
Cybersécurité : quels sont les nouveaux enjeux ?

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L'enregistrement du débat est écoutable ici.
C'était le vendredi 17 avril 2015, 18h-20h30 
au Lieu-dit, 6, rue Sorbier, Paris 20e, 
métro Ménilmontant ou Gambetta

 
Regarder les murs Facebook de Flores Magon et Alexandre Girardot 
 
Débat anarchisme et marxisme, l'enregistrement - site alternative libertaire
 
Documentaire « Au-delà d'Internet : PRISM, ECHELON ou la surveillance généralisée » (3/4)
 
Action Science Fiction Drama Movies 2015 Full Movies|Hollywood Fiction Comedy Movies English Sub HD 

Le MONDE SOUS SURVEILLANCE / 19/07/2016
C dans l'air - Qui espionne qui? 
George Orwell : 1984 #Posté le lundi 21 janvier 2013 
Cybercriminalité : Les enjeux de la cybersécurité pour les entreprises 26/01 IT for business 3/4
est-ce que nous sommes en cyberguerre ? La cyber-sécurité, nouvelle priorité des Etats et des entreprises
Tant et si bien que la cyber-sécurité est devenue une priorité que cela soit au niveau des Etats que des individus. Tout récemment, la candidate démocrate aux élections présidentielles américaines, Hilary Clinton, s'est fait très violemment attaquer et critiquer pour avoir utilisé son mail personnel pour des échanges quand elle occupait la fonction de secrétaire d'Etat entre 2009 et 2013.Celles-ci doivent se plier à de nombreuses contraintes imposées par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en matière de sécurité (audit, partage des informations sur les attaques, mise en place de nouvelles mesures en matière de cyber-sécurité).



La Quadrature du Net  DÉFEND :
Les droits de l'Homme dans la société numériqueL'accès à un Internet libre et ouvertLe partage de la culture et des connaissancesLa Quadrature du Net est une association de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet.
Lire les propositions de La Quadrature.



Même si Tolstoi peut être parfois saoulant avec son coté mystique, il reste tout de même un génie de la littérature; avec une profondeur de compréhension que peut ont eu dans l'histoire, par exemple lorsqu'il parle des juges et des tribunaux:
........
"Et, à mesure qu'il étudiait de plus près les prisons et les étapes, Nekhludov comprenait que tous les vices répandus parmi les prisonniers n'étaient nullement la manifestation d'un prétendu « type criminel », inventé par des savants au service de l'autorité, mais qu'ils étaient la conséquence directe de l'aberration monstrueuse en vertu de laquelle certains hommes s'étaient arrogé le droit de juger et de punir d'autres hommes."
...................
Depuis tant de siècles que les hommes s'acharnaient à punir le crime, l'avaient-ils supprimé, l'avaient-ils même atténué ? Loin de l'avoir supprimé, loin de l'avoir même atténué, ils avaient contribué activement à le développer, aussi bien en dépravant les prisonniers par les condamnations qu'ils leur faisaient subir qu'en ajoutant à la somme des crimes de ces prisonniers, — aux crimes des voleurs et des assassins, — leurs propres crimes, ceux de ces criminels que sont les conseillers de cours, les procureurs, les bourreaux, les juges d'instruction, les policiers et les garde-chiourme.



L'affaire Dieudo Arrêt Sur Images : 

14h42 #22 : est-ce que nous sommes en cyberguerre ? 

Complément d'enquête & Chômage Le business de la précarité ! 
 
A lire aussi :
Seulement un mauvais rêve ? - l'indigné Révolté 
Seulement un mauvais rêve ? - citizen khane
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État d'urgence : l'État policier pour éluder tout bilan critique
On n'en a pas fini avec les inégalités 
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial
La Route de la servitude
Ensemble avec la Grèce
Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE
Le capital au XXIe siècle



Quand la réalité TV LOBOTOMIE", Les nouveaux chiens de gardes dépasse la fiction Running Man The Truman Show - Bande AnnonceLes nouveaux chiens de gardes PDF]De la servitude moderne - Indymedia Grenoble
 
Running Man , Game2: Winter Créé le dimanche 18 décembre 2016,  Akira Mercredi 14 décembre 2016 
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De la servitude moderne Par Enkolo dans Accueil le 8 Juin 2017


2017 qui veut gagner des migrants

Par Enkolo dans Accueil le 27 Octobre 2017 



08/06/2017
Le paradoxe de notre époque
 Le paradoxe de notre époque
Tags : Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance", ARTE, surveillance, Obsession sécuritaire, WikiLeaks, Documentaire -, L'agence Secrète de Renseignement, La NSA, Loi sur le renseignement:, la désobéissance civile, Cybersécurité, la cybersécurité, Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue!, Globalia., JC Ruffin, Le paradoxe de notre époque, 2017 qui veut gagner des migrants
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#Posté le vendredi 26 juin 2015 07:53

Modifié le vendredi 27 octobre 2017 06:19

"Emeutes en banlieue : la mécanique infernale "


 
 
 
 
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"On aurait tort de braquer le projecteur sur les seules violences individuelles alors que tous les jours la violence des acteurs du système libéral fabrique les situations délètères dans lesquelles s'engouffrent ceux qui, perdus, sacrifiés, sans foi ni loi, sans éthique, sans valeurs, exposés aux rudesses d'une machine sociale qui les broie, se contentent de reproduire à leur degré, dans leur monde, les exactions de ceux qui (les) gouvernent et demeurent dans l'impunité. Si les vilences dites légitimes cessaient, on pourrait enfin envisager la réduction des violences dites illégitimes." 
(Michel Onfray)
 
Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics
 

 

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Les sales majestés - Le politicien.wmv
Après chaque élection nous revoyons surgir les mêmes questionnements : pourquoi voter dans un système de gouvernance qui ne correspond plus aux grands enjeux que posent pour les générations futures
notre planète pour une co habitation des peuples dans un environnement sain pour un "bien vivre ensemble".
 

J'ai écouté hier sur France Inter, le message de Sarko.'une peur exagérée est la source de toutes les faiblesses – physique, morale et intellectuelle. Une telle peur, disait-il, est si pétrifiante que ceux qui l'éprouvent ne pourraient même pas bouger le petit doigt pour sauver leur peau. Il ne fait aucun doute que, d'un point de vue intellectuel, La peur s'est avérée un outil politique remarquablement efficace. la qualité et le fonctionnement de la démocratie et sa perception par la population – l'existence d'un lien étroit entre une position dure et un niveau de peur élevé. Tout cela s'est manifesté dans les résultats des dernières élections et dans les sondages de l'opinion publique



PACTE INTERNATIONAL RELATIF AUX DROITS ÉCONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS
(A.G. res. 2200A, XXI, 21 U.N. GAOR Supp. No. 16, à 49, U.N. Doc. A/6316,
1966, 993 U.N.T.S. 3, entrée en vigueur le 3 janvier 1976)
PRÉAMBULE

Les Etats parties au présent Pacte,

Considérant que, conformément aux principes énoncés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,
 

Reconnaissant que ces droits découlent de la dignité inhérente à la personne humaine, Reconnaissant que, conformément à la Déclaration universelle des droits de l'homme, l'idéal de l'être humain libre, libéré de la crainte et de la misère, ne peut être réalisé que si des conditions permettant à chacun de jouir de ses droits économiques, sociaux et culturels, aussi bien que de ses droits civils et politiques, sont créées, Considérant que la Charte des Nations Unies impose aux Etats l'obligation de promouvoir le respect universel et effectif des droits et des libertés de l'homme, Prenant en considération le fait que l'individu a des devoirs envers autrui et envers la collectivité à laquelle il appartient et est tenu de s'efforcer de promouvoir et de respecter les droits reconnus dans le présent Pacte
 

Article 1

1. Tous les peuples ont le droit de disposer d'eux-mêmes. En vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et assurent librement leur développement économique, social et culturel.
 

2. Pour atteindre leurs fins, tous les peuples peuvent disposer librement de leurs richesses et de leurs ressources naturelles, sans préjudice des obligations qui découlent de la coopération économique internationale, fondée sur le principe de l'intérêt mutuel, et du droit international. 
En aucun cas, un peuple ne pourra être privé de ses propres moyens de subsistance.

 
3. Les Etats parties au présent Pacte, y compris ceux qui ont la responsabilité d'administrer des territoires non autonomes et des territoires sous tutelle, sont tenus de faciliter la réalisation du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, et de respecter ce droit, conformément aux dispositions de la Charte des Nations Unies.

 

>> Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Art 35 : Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs 


 
 
 


 
 
▪ Les deux mandats de l'Etat
“L'Etat a deux mandats clé : mettre en place des quasi-monopoles et des cartels pour les capitaux privés, et satisfaire assez de demandes de la part des citoyens pour maintenir la stabilité sociale”. Le japon représente bien les " égarements" (  Tokyo Freeters - le Japon ) des dirigeants politique dans la mise en place de politique néolibérale  Le ralentissement de l'immobilier en France et en Chine ainsi que l'économie américaine vont dans ce sens
 
Si l'Etat échoue à répondre aux demandes de ses citoyens, il risque l'instabilité sociale.
 
voir les différentes parties du documentaire : CLIQUEZ ICI . Phénomène ">NOUVEAU, la contestation ? Allons donc demander aux émeutiers des ghettos de Los Angeles ou aux soixante-huitards... Les pavés volent depuis la nuit des temps, c'est un fait. Mais, d'après les réalisateurs, « un ">VENT de révolte inégalé souffle aujourd'hui sur le monde ». En 2009, plus de cinq cent quarante révoltes urbaines ont été recensées à travers le monde, dont un tiers pour l'Europe.

 

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Les raisons de la colère - vidéo dailymotion :  
Plutôt ambitieux, ce ">FILM fait le pari d'une approche globale, ">COMPARATIVE, afin de tisser un « propos commun, par-delà la diversité des situations nationales ». Entre reportage de terrain et mise en perspective sociologique, l'enquête revient sur trois exemples récents : les manifestations de Copenhague, en 2007, la révolte des étudiants en Grèce en 2008, et les émeutes ouvrières qui, en 2010, ont paralysé une centaine d'usines chinoises. A vue de nez, des réalités très disparates, dont Samuel Luret, en s'appuyant sur la parole d'ex-contestataires et d'une poignée d'experts (dont l'anthropologue Alain Bertho, qui a co-écrit le film), parvient à dégager les mécanismes communs : logique d'exclusion à l'oeuvre dans tous les pays, pressions spéculatives de plus en plus fortes au coeur des villes, rupture du dialogue de la part des autorités...
 
Derrière les désordres civils, sporadiques, s'exprime une frustration plus large, une désespérance économique, politique, sociale. Qu'ils soient nés d'une bavure, d'un désaccord salarial, derrière, toujours la même idée : celle d'un rapport de force inégal, le sentiment que les Etats n'oeuvrent plus au service du citoyen, trop occupés qu'ils sont à rendre des ">COMPTES aux marchés financiers.
 
 
Révoltes urbaines : au de la des préjugés :


états-unis. Combien de bavures passées sous silence ? 

Le 3 décembre 2014, à Los Angeles, des manifestants défilent après l'annonce de la non inculpation du policier impliqué dans la mort d'Eric Garner. Sur le panneau : "Arrêtez de nous tuer" -, juste après les funérailles de Freddie Gray, un jeune Noir, mort dans des circonstances encore inexpliquées après son arrestation par la police. S
 
Lire aussi : La police de Baltimore reconnaît une bavure après la mort d'un homme interpellé
Lire aussi :  Heurts en marge d'une manifestation à Baltimore après la mort d'un jeune Noir
 
Colère et frustration.
 .
Lire aussi : Aux Etats-Unis, la longue histoire des brutalités policières  
Une vidéo  reconstituer les 45 minutes ,  la police de Baltimore a reconnu que Freddie Gray aurait dû recevoir une assistance médicale aussitôt après son arrestation 
 
 
 Selon les statistiques officielles, 461 homicides ont été commis par la police américaine en 2013. Un chiffre largement sous-évalué, souligne le chroniqueur Eugene Robinson, qui dénonce l'usage de la force létale par les policiers et le manque de transparence des forces de l'ordre.
 
La mort de l'adolescent noir Michael Brown à Ferguson s'inscrit dans une réalité tragique
et inacceptable : les policiers aux Etats-Unis tuent des civils à un rythme préoccupant. Combien de victimes chaque année ? Personne ne peut le dire précisément, car les départements de police préfèrent visiblement ne pas en parler.
 
Selon le rapport annuel du FBI intitulé Uniform Crime Report, il y a eu, en 2013, 461 “homicides légitimes”, définis ainsi : “action d'un représentant de l'ordre dans l'exercice de ses fonctions ayant entraîné la mort d'un criminel”. Et ces 461 personnes, sauf trois, ont été tuées par balles.
 
Les vrais chiffres sont probablement beaucoup plus élevés, car de nombreux services de police ne communiquent pas toujours leurs données au FBI. Des journalistes ont réussi à compiler des données plus complètes notamment grâce aux informations locales. Selon eux, ces chiffres seraient de l'ordre
de 1 000 morts par an. Impossible de savoir combien de victimes, comme Michael
Brown, ne portaient même pas d'arme.
 
Abus de pouvoirA titre de comparaison, l'année dernière au Royaume-Uni, la
police n'a pas fait une seule victime. Pas une seule. En Allemagne, huit personnes ont été tuées par la police ces deux dernières années. Au Canada, pays qui a également un certain goût pour les armes à feu, on COMPTE une dizaine de bavures policières par an.
 
Les progressistes comme les conservateurs devraient être scandalisés par ce recours trop fréquent de la police à la force létale. Il n'y a pas de plus grand pouvoir que nous puissions déléguer à l'Etat que ce permis de tuer. Or l'abus de ce pouvoir va à l'encontre de toute notion de gouvernement limité.
 
elon le rapport du FBI. Il est si facile dans notre pays de se procurer une arme à feu que les policiers américains, contrairement à leurs homologues du Royaume-Uni, du Japon et d'autres pays où le port d'arme est strictement encadré, ne peuvent ignorer que le moindre suspect est susceptible de faire feu à tout moment.
 
Mais quoi qu'il en soit, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. La formation des policiers est peut-être en cause. Les procédures mises en place ne sont peut-être pas bonnes. Une certaine mentalité d'assiégés prévaut peut-être dans certains commissariats de police.
.
Au-delà de la question raciale Ce qui m'amène à la question raciale. Le quotidien USA Today a épluché les statistiques du FBI sur les “homicides légitimes” de ces dernières années. Il en ressort que dans presque un cas sur quatre, il s'agissait d'un policier blanc qui avait tiré sur un Noir.
 
Les efforts musclés de l'administration Obama pour inciter les municipalités avec des taux de bavures monstrueusement élevés, comme la ville d'Albuquerque (Nouveau-Mexique), à mettre en place des réformes sont certes louables, mais elles ne résoudront rien tant que l'ampleur du problème n'aura pas été mise en lumière.
 
Le cas de Michael Brown va bien au-delà de la question raciale. La police a tué un adolescent non armé. Et, qu'il soit noir ou blanc, c'est très grave.


 
 

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Extrait :

 
En France, un très bon documentaire sur la mécanique des émeutes entre ignorance, arrogance et récupération politique de la part des hommes politiques de l'époque c'est a dire Sarkozy et ses conseiller à l'approche des électrions qu'ils remportera haut la main surfant sur le sentiment d'insécurité provoquée par eux et certains médias a sa " botte")
 
De nombreux films ont essayé d'aborder la " problématique" des banlieues de la Haine de Matthieu Kassovitz
Extrait : partie 1 , La Haine en entier film  ,  full movie :
 
 
Regarder le documentaire canal+ ! entre les mensonges de la police relayés sans filtre par des médias à la solde de sarkozy,ministre de l'interieur et pompier pyromane de ces emeutes!!! d'ailleurs,il aura "en terme" d'exploitation d'un sujet ou fait divers tres bien géré cette crise,il est grimpé en flêche ds les sondages et élu president moins de 2 ans apres! 10 aprés,rien ke ça,apres avoir delocalisé l'affaire,la police est enfin mise en cause!  .. 


  
Emeute en Banlieue , la mecanique infernale - vidéo Dailymotion

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AhhLe soucis principale des différent protagonistes impliqué ( médias, politiques)  a été d'opposer une partie de la population ( ceux habitants dans les quartiers , les abstentionistes) aux autres ( les " bons blancs, les électeurs du FN souffrant de " l'insécurité).  Ainsi pour tout citoyen, le droit à la justice après " une bavure" est un droit dans nos  sociétés. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, ou une bataille judiciaire de plus de 8 ans


 
Le 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois, deux adolescents poursuivis par une patrouille de police meurent électrocutés après s'être réfugiés dans un transformateur électrique. Ce fait divers tragique déclenche à travers la France une vague d'émeutes qui vont durer 21 jours, provoquant quelque 5000 interpellations et plusieurs millions d'euros de dégâts matériels. Ces violentes manifestations ont suivi le même scénario que celles de Vaulx-en-Velin en 1990 et du quartier du Mirail à Toulouse en 1998 : une arrestation qui tourne mal et les autorités donnant une version officielle contredite par les témoins du drame. Interrogeant les familles des victimes, témoins, et anciens responsables politiques, les journalistes retracent la chronologie des faits.

Sans surprise, cette enquête riche en témoignages précieux, dénonce la version officielle des autorités de l'époque
 
Extrait de Globalia du rédacteur en chef d'un journal a son jeune employé voulant démontré les " attentats provoqué par la protection social" qui correspond bien a l'image de l'embalement médiatique :
 
" Suffit jeune idiot !Et commencez par apprendre votre métier. La presse est libre, vous le savez. Elle est libre et responsable. Quand une vérité ce dégage, il faut la respecter. Cela veut dire comme même quelque chose, vous ne croyez tout de même pas, que tout le monde est la même opinion? Vous voudriez que seul, nous nous métions en travers, c'est bien cela?"


 Youtube :

 


L'affaire des jeunes de clichy sous bois,  de Tarnac peut être révélatrice de cette vision idéologique. D'un simple fait divers, au pire représentant un délits de droits commun, les politiciens, médias,...  ont pris soin de monter cette affaire en épingle et de la transformer en lutte contre de dangereux terroristes
 
Nous ne sommes pas des abstentionnistes, vous ne nous enfermerez dans aucune de vos cases !

Nous refusons de participer plus longtemps aux jeux de dupes que sont les élections, épiphénomène dans le cadre de cette « démocratie représentative » érigée en modèle universel, imposé aux peuples du monde entier par la pensée hégémonique de l'Occident au nom d'une soi-disant Raison.
 
Lorsque cette « raison » n'entend plus battre le c½ur de l'humanité et se croit au-dessus de toutes les limites, elle devient vide de sens et n'est rien d'autre qu'une nouvelle religion. : nouvelle divinité, l'argent, : 50 fois supérieur à ce qu'elle était à l'époque ( effet levier)
 
Alors que le scandale ne cesse de s'étendre et de créer des dommage au sein de la coalition gouvernementale ((L'affaire Bettencourt, une affaire d'Etat ? ) tchat dans le monde ( révélé par Mediapart, Plus d'infos en vidéo sur itélé.fr) , le gouvernement par une pirouette ( peut être  Les sept plans d'Hortefeux pour protéger les Français Le ministre de l'Intérieur a dressé mardi le bilan de sa première année Place Beauvau, et répété qu'il n'y a «pas d'avenir pour les délinquants».( pour mieux comprendre, aller voir 10 principes de contrôle de la société  Toujours cette rengaine de vouloir punir les jeunes, les pauvres, mais de ne pas faire le ménage devant sa porte (c.a.d. la délinquance des cols blancs et de l'évasion fiscale). Sauf qu'ici l'affaire est (plus)  grave (touche directement les membres du gouvernement, car en ne tenant pas ces maigres promesses (transparence dans la justice, pas de passe droit, répression accrue, des thèses du front nationale mis sur la scène publique Comment Sarkozy a rendu possible la dérive raciste à droite  ) il fait le jeu du FN du Tous pourris. Je suis pour dénoncer ces magouilles et vous alerter sur les dérives politiciennes et de l'extrémisme.
 
La seconde raison de notre refus, parce qu'elle ne peut pas, ne doit pas, être séparée de la première, porte sur ce qu'apporte dans ses valises cette « démocratie représentative » : son mode de vie fondé sur le mal avoir (après l'esclavage, les colonisations dont celle de l'imaginaire, le pillage des ressources, des terres et des forets jusqu'à l'immigration « choisie », après la main d'½uvre, lorsque l'Occident manquait de bras, est venu le temps de piller les cerveaux), et son mode d'organisation de « société » fondée sur la sacralisation de la propriété et de la liberté individuelle (« seul(e) au monde je fais ce que je veux ; les autres et ce qui nous entoure n'existent pas à mes yeux »), sur la consécration d'une nouvelle divinité, l'argent, et le primat de l'économique, sa financiarisation et le régime de la dette illimitée.
 
En suivant ce « modèle » nous avons, ici, abandonné nos devenirs aux mains de différents professionnel(le)s dans le cadre des institutions de la République ; institutions que ces professionnels se sont taillés sur mesure et à la tête desquelles plastronnent de soi-disant décideurs devenus, avec leur consentement, les rouages de la méga machine ; aujourd'hui, par leurs pantalonnades, ils servent de paravent à ce « modèle » de démocratie .  
 
Les différentes castes institutionnelles partisanes, syndicales, associatives,... se répartissent les rôles pour nous faire croire que la démocratie doit passer uniquement et uniformément par la représentation. L'objectif de ces structures, fonctionnant toutes sur le même mode pyramidal, est de servir de « filtres » ; pour être reconnus nous devrions adhérer, nos paroles devraient passer par l'intermédiaire de ces structures afin d'être « traduites » par les gens qui savent de façon à les rendre conformes à leur schéma de pensée. Ce n'est pas le fait de librement s'associer qui pose problème, mais c'est bel et bien l'institutionnalisation des structures dans le cadre d'institutions établies par d'autres que nous dont l'objectif n'est que de servir le maître suprême !  
 
La mise en scène est assurée par les médias bien-pensants et les experts en tout genre qui ressassent à longueur d'ondes et à travers les différents écrans la même antienne.

Hier le roi montait sur le trône de droit divin ; aujourd'hui nous élisons rois, reines et roitelets...
 
............................
Les raisons de la colère
(France, 2010, 52mn)
ARTE F

En savoir plus sur 

états-unis. Combien de bavures passées sous silence ? 
AMÉRIQUESÉTATS-UNISTHE WASHINGTON POST - WASHINGTONPublié le 04/12/2014 - 17:02

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