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5 articles taggés États-Unis

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Labos

 Labos



Face une situation mondiale inquiétante, AT Kearney appelle à l'action urgente


(AOF) - La crise sanitaire a profondément bouleversé les équilibres économiques, provoqué des faillites qu'on pensait impossibles, aggravé les dettes publiques et plonger les plus fragiles, individus et pays, dans une détresse nouvelle, la vague de trop pour un équilibre mondial déjà précaire et préoccupant, observe AT Kearney dans son dernier rapport sur l'état du monde.

La société de conseil dresse un tableau inquiétant et un appel à l'action d'urgence alors que cinq bouleversements majeurs se dessinent au cours des cinq prochaines années : des gouvernements sous forte pression, l'urgence des autonomies nationales, des sociétés toujours plus divisées et inégalitaires, à la limite de l'implosion, la perspective d'une crise alimentaire mondiale et la naissance de géants via des fusions-acquisitions.

"La simultanéité de la crise sanitaire mondiale, des difficultés économiques et des troubles sociaux met en péril l'équilibre du monde, et va changer définitivement le fonctionnement des économies et des sociétés. Les gouvernements,parvenus au bout de l'arsenal dont ils disposent et pour lequel ils ont fait fi des tabous et des orthodoxies en vigueur, sont confrontés à un niveau de défiance lui aussi inédit et seront bientôt dans l'impasse pour fournir davantage de protection avec moins de ressources. Les dirigeants politiques de la planète sont appelés à man½uvrer sans boussole et sans barre", analyse Nicolas Lioliakis, président de Kearney France.

"La seule issue est de faire preuve de réalisme, de responsabilité et de solidarité. Face aux menaces qui pèsent sur les entreprises –quelle que soit leur taille-, pour les plus fragiles, pour un marché du travail en pleine réinvention, pour une harmonie sociale plus que jamais fragile, il sera capital que public et privé coconstruisent dans la durée, un monde post-pandémie qui reste à imaginer; un exercice de funambule auquel nul ne saurait se soustraire", prolonge le dirigeant.





Les labos pharmaceutiques promis à des ventes soutenues grâce au Covid-19
Vaccins, tests, traitements: l'agence Moody's prévoit une croissance du secteur de 4 à 6 % en 2021.
 
C'est l'un des rares gagnants de la crise sanitaire. Le secteur pharmaceutique voit sa croissance bondir sous l'effet des ventes de traitements et vaccins liés au Covid-19. Son chiffre d'affaires devrait progresser de 4 à 6 % au cours des douze à dix-huit prochains mois, selon les prévisions de l'agence Moody's, contre 2 à 4 % prévus initialement.
 
>À LIRE AUSSI :Covid-19: les grands labos mobilisent leur armée de l'ombre pour produire les vaccins


Les fabricants de vaccins devraient rafler la plus grosse part du gâteau. Et en particulier les cinq premiers sur la ligne d'arrivée (sauf surprise de dernière minute des autorités réglementaires): Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca, Novavax et Johnson & Johnson pourraient gagner 38,5 milliards de dollars, selon les analystes de la société Bernstein Research. Avec une prime à ceux arrivés en pole position: les vaccins devraient rapporter 14,3 milliards de dollars à Pfizer, suivi de Moderna (10,9 milliards) et d'AstraZeneca (6,4 milliards).
 
Vaccins contre le coronavirus
Si le pic des ventes de vaccins contre le Covid est prévu en 2021, l'atterrissage devrait être progressif



L'action de Palantir Technologies, le spécialiste américain des logiciels de "big data", s'envole mercredi de 18,5% à 28,55$ en séance à Wall Street. Son cours a désormais été multiplié par 4 par rapport au prix de référence de son introduction en Bourse, il y a moins de 2 mois, le 30 septembre dernier, à 7,25$.

Le titre Palantir a notamment flambé depuis le 17 novembre, suite à la révélation que deux fonds spéculatifs avaient acquis des parts importantes de la société, dont Point72 Asset Management (29,9 millions d'actions, soit 2,6% du capital) et Anchorage Capital Group (3 millions de titres, soit 0,3% du capital).

Quelques jours plus tôt, on apprenait que le fonds de Daniel Loeb, Third Point, détenait 2,4 millions de titres et que le fonds de George Soros avait acquis 18,5 millions de titres (1,6% du capital), bien que ce dernier a précisé mardi sur la chaîne 'CNN' avoir déjà vendu ses parts en raison d'un désaccord sur les activités du groupe.

Les investisseurs ont aussi apprécié la semaine dernière la publication des premiers résultats trimestriels de Palantir en tant que société cotée. La compagnie a certes publié une perte nette de 853,3 millions de dollars (contre -144,1 M$ un an plus tôt), mais la plus grande partie de cette perte (847 M$) est liée à la distribution de stock-options aux dirigeants et au personnel.

Le coronavirus a créé "d'énormes opportunités"

Les revenus trimestriels ont dépassé les attentes, à 289 M$ (+52% sur un an) contre 279,4 M$ de consensus, et la direction s'est montrée optimiste pour l'exercice, relevant sa prévision de chiffre d'affaires annuel dans la fourchette de 1,07 à 1,072 milliard de dollars (+44% par rapport à 2019). Le directeur général de Palantir, Shyam Sankar, a estimé que la pandémie de Covid-19 "a créé d'énormes opportunités pour nous", notamment pour aider le gouvernement dans le suivi des données cliniques, et pour préparer la distribution du vaccin contre le Covid-19.

Fondé par l'entrepreneur Peter Thiel (qui détient 11,1% du capital du groupe), Palantir fournit des logiciels et des services d'analyse de données pour aider les agences gouvernementales (CIA, NSA...) et les grandes entreprises à traiter de grandes quantités d'informations. Une activité discrète qui lui vaut d'être régulièrement accusée de surveillance de masse et critiquée pour ses liens étroits avec les forces de l'ordre.
 
 
 

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Big Pharma, labos tout-puissants | ARTE

 
Hold up
Main basse sur l'eau : la bataille de l'or bleu | ARTE
19:28 - Vaccin Covid : le nouvel outil numérique pour sécuriser la vaccination - LIBERATION.FR

Vaccin contre le covid 19

 
Tags : Vaccins contre le Covid-19, Vaccins, Covid-19, Moderna, Info, société, ARTE, Daily coronavirus briefing, vaccine, social distancing, COVID-19 patients, Reconfinement, Hold-up, un documentaire, complotistes, discours complotiste, Conspirationnisme, la Russie, mutations, coronavirus, pandémie, États-Unis, Coronavirus, traitement, Donald Trump, Regeneron, l’Agence américaine des médicaments (FDA), Médicaments, Actualité en continu, Brevets, Gabriel Attal Modifier
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#Posté le mercredi 25 novembre 2020 16:54

Modifié le lundi 04 janvier 2021 15:50

Le complot se porte bien, merci...

 
n
 

 Le complot se porte bien, merci…
Ignorance est mère de tous les maux

 Les grands maîtres de notre tradition humaniste, comme Rabelais ou Montaigne, nous ont appris que le savoir, « ça sert d'abord à former le jugement », et qu'une tête bien faite vaut mieux qu'une tête bien pleine.
 
«Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin»,«Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller». «C'est difficile, car la pandémie ( et ses conséquences sociales, environnementales, psychologiques... ) sont par essence imprévisibles et mondiale»,
 
L'Eglise de scientologie tente de profiter de la pandémie pour recruter 
 
«Des marchands de chaos»
Parmi elles, un cours en ligne intitulé «Solutions à un environnement dangereux» pour soulager les angoisses liées à «l'isolement et au sentiment d'être submergé». Dans la vidéo d'introduction de cinq minutes, l'Eglise déclare, tout en montrant des images de politiciens et de journalistes, qu'il y a dans ce monde «des gens dont le rôle est de rendre l'environnement le plus menaçant et dangereux possible». Ce sont des «vendeurs de conflits», des «marchands de chaos», dit-elle tout en préconisant d'éteindre sa télévision, sur laquelle une présentatrice annonce que «des milliers de personnes pourraient mourir d'un virus mystérieux qu'on trouve actuellement seulement chez les souris».










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Les Inconnus - Les sectes :  LES INCONNUS : LES SECTES
 
Le peuple est bête et méchant, le peuple est obtus. Au mieux il pense mal, le plus souvent il délire. Son délire le plus caractéristique a un nom : conspirationnisme. Le conspirationnisme est une malédiction. Pardon : c'est une bénédiction. C'est la bénédiction des élites qui ne manquent pas une occasion de renvoyer le peuple à son enfer intellectuel, à son irrémédiable minorité. Que le peuple soit mineur, c'est très bien ainsi. Surtout qu'il veille à continuer d'en produire les signes, l'élite ne s'en sent que mieux fondée à penser et gouverner à sa place.
 
 Né en 2017 aux Etats-Unis, le mouvement Qanon développe massivement sur les réseaux sociaux les théories conspirationnistes les plus extrêmes. Jusqu'à influencer la campagne présidentielle américaine.



 

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Qanon : le mouvement complotiste pro-Trump gagne l'Europe - L'Instant M

Le complotisme ne se définit pas par sa production d'informations – cela, c'est ce que veulent faire croire les élites. Non : le complotisme se définit comme schéma répétitif d'interprétation simplifiée du monde qui fait croire que tout procède de la subjectivité malicieuse des élites.

Les thèses complotistes prétendent que les gens, les élites, les puissants complotent.

En ce sens, la doctrine complotiste croit fondamentalement que le monde est produit par la volonté de quelques-uns. 
 
Adolescent, je lisais avec passion tout ce qui concernait les vestiges de l'Atlan­tide, les signes extraterrestres de Nazca, le trésor des Templiers avec Graal et Baphomet, tout ce qu'il y avait dans Le Matin des magiciens. Je n'y croyais pas plus que ça, c'était pour moi un complément à ma passion pour la science-fiction, pour les histoires extraordinaires, et je ne me souviens pas d'y avoir cru un instant après avoir refermé le livre où c'était raconté. Je me souviens par contre de l'exaltation du signe qui était la mienne, ce plaisir intense de la révélation, du moment d'alignement des indices en une explication cachée qui résout le mystère, c'était comme un soulagement, un jet d'hélium dans la poitrine, et le sentiment d'avoir tout compris. Je suppose que c'est la même chose pour l'amateur de roman policier au moment de la résolution de l'énigme, je suppose car je n'en lis pas beaucoup, ne trouvant pas d'intérêt à découvrir l'identité de l'assassin alors qu'on a l'Atlantide sous nos pieds.
 

Ça m'a passé, mais je garde une curiosité amusée pour toutes les dingueries de cette sorte qui ont maintenant quitté la petite niche de la littérature de genre pour fleurir sur Internet. En accès libre, hélas. Je suis effrayé qu'on les prenne au sérieux, ces bricoles. Quand un mien cousin raconta à table qu'il s'intéressait de près à cette affaire que l'on venait de révéler, comme quoi les Américains n'étaient pas allés sur la Lune, puisqu'une image montrait leur drapeau flotter alors qu'il n'y a pas de vent là-haut, et qu'il allait vérifier, je me suis dit qu'on était quand même allé trop loin. William Karel en avait fait un documentaire canular, Opération Lune, où pince-sans-rire il raconte que tout avait été filmé par Kubrick, mais c'était une blague, il n'avait jamais été question de prendre ça au sérieux.
 
 
Bruno Latour, philosophe des sciences, explique qu'une vérité scientifique se constitue lentement grâce à une chaîne complexe de concepts, d'observations et de résultats, chaque maillon de la chaîne vérifié, soigneusement connecté, et soumis à la critique de la communauté scientifique. Une photo d'ovni, seule, n'est pas un fait puisqu'elle n'est pas incluse dans un tel réseau de sens, c'est ce que les amateurs d'ovni ne comprennent pas. J'ai bien la photo dans la main, non ? Oui, mais une photo n'est preuve de rien, la science ne marche pas comme ça.
 
C'est ça le problème d'Internet, tout le monde se mêle de tout, tout le monde veut donner son avis sur tout, et le bon sens, la chose du monde la mieux partagée puisque chacun s'en pense suffisamment pourvu, devient faiseur de vérité. Les exemples pullulent, à chaque événement son complot. Des exemples ? D'une photo à l'autre, un reflet semble faire changer la couleur du rétroviseur d'une voiture de terroriste... Bizarre, non ? C'est une autre voiture... Pourquoi l'ont-ils changée ? Personne ne pose bien sûr la question des sources, on ne questionne pas la photo. Un terroriste perd sa carte d'identité dans sa voiture. Vous perdez votre carte d'identité quand vous faites un attentat, vous ? Bizarre... On remarquera l'inanité de l'appel au bon sens pour évaluer une telle expérience.
 
Dans le film Hold-up, dernière mouture de réalité-fiction avant la prochaine, on montre un brevet sur les tests de détection du Covid-19 datant de 2015... Donc ils connaissaient le virus... déposé en plus par un certain Rothschild, on tient la bonne histoire... mais le brevet de 2015 avait une portée générale, et la mention du Covid-19 est un ajout qui date de 2020... On connaît peu de chose sur les brevets, on se contente de pointer une date. Date de quoi ? Peu importe, c'est Rothschild.
 
un monde où l'individu est à la fois mesure de toutes choses et impuissant à maîtriser son destin puisque ballotté par des forces qui le dépassent, on aimerait avoir prise. Dans un monde envahi d'informations disjointes auxquelles on ne trouve aucun sens parce que la pensée, c'est plus lent et plus compliqué qu'un fil d'actualité, on voudrait comprendre. Dans un monde assez inquiétant parce que l'on sent bien qu'il nous échappe, on aimerait identifier le responsable. Alors on veut à tout prix ne pas être dupe, on cherche une volonté, une causalité, toutes choses connues que l'on voudrait appliquer à la marche du monde. On voudrait un peu de bon sens.
 
Le complotisme est la tentative désespérée de l'individu pour se ressaisir de son destin, et de créer une communauté d'avertis. Quand c'était dans de petits livres inoffensifs, ça m'amusait beaucoup ; maintenant que l'on y croit, ça me fait un peu peur.
 
Le complotisme est la réponse, c'est le symétrique de l'illusion des puissants qui se prennent pour des démiurges alors qu'ils sont agis par des forces matérielles et historiques qui les dépassent.

Les volontés de puissance forcenée de gens comme Emmanuel Macron, par exemple, leur font croire qu'ils commandent alors qu'ils ne font qu'endosser les nécessités qui découlent à la fois des conditions objectives du système et de leur position dans ce système.

Macron se plie aux nécessités de la crise du système et, en même temps, à la logique qui l'a conduit à être mis en place dans ce système.

Tout est sur-déterminé, ce qui produit une impression de complexité – et cette dernière donne la possibilité aux hommes de se faire passer comme conduisant les événements dont ils ne sont que les jouets.
 
Pas de magie

Il n'y a pas de démiurges ou de magiciens. Il n'y a que des gens qui veulent tirer profit des situations et jouer le rôle, se faire passer pour le maître – alors qu'ils ne sont que de pauvres médiateurs entre le réel et nous.
 
 "Tout d'abord, le capitalisme n'est pas un complot : il ne se cache pas. Nous savons parfaitement comment il fonctionne, de même que nous connaissons aussi bien ceux qui en profitent que ceux qui en pâtissent.
Pourtant, au lieu de combattre clairement et nommément le capitalisme, le complotisme procède systématiquement en détournant le regard ailleurs au prétexte d'ennemis imaginaires qui, bien souvent, paraissent encore plus difficiles à combattre.
Le complotisme fabrique des leurres, des chimères, des fantômes qui compliquent l'affaire de ceux qui y croient.
Le complotisme est donc très utile au capitalisme parce qu'il brouille la réalité du problème, grossit la difficulté et favorise par conséquent la résignation."
 
Pour lutter, il est indispensable d'y voir clair, de ne pas se tromper d'objectif, de problème, d'ennemi, et de ne pas prendre des vessies pour des lanternes ni des moulins à vent pour des géants.
Le capitalisme est une simple affaire d'hommes et de femmes, parmi lesquels certains en exploitent d'autres et s'offrent les services d'un panel de collaborateurs qui prennent ainsi leur commission pour contribuer à maintenir cet état de fait.
 
C'est cette société qu'il nous revient d'abattre pour l'émancipation sociale et la sauvegarde de la vie.
Tout le reste n'est que dispersion abrutissante, inutile et nuisible.
Le complotisme est un fléau, tout comme le fascisme et le confusionnisme.


07:00 - Le complot se porte bien, merci... - LA-CROIX.COM
 
 A lire : Pourquoi le complotisme est un fléau
PAR YANNIS YOULOUNTAS · 16/09/2016

 
Hold up
Par Enkolo dans Accueil le 21 Novembre 2020
QAnon, la nouvelle «conspiritualité»

Par Enkolo dans Accueil le 24 Novembre 2020 


Avoir 20 ans en 2020.
Par Enkolo dans Accueil le 24 Novembre 2020 


 
Le paradoxe de notre époque
contre le fascisme sous toutes ces formes Créé le mercredi 27 avril 2016 , 
Qu'est ce qu'être antifasciste? Par Enkolo dans Accueil le 22 Juin 2017
PROTOCOLE « DEVENIR FASCISTE, AVEC LA CONFUSION, C'EST POSSIBLE ! »
COMPLOT PARTOUT ? COMPLOT NULLE PART ?

 Articles de l-indigne taggés "complot"
Tags : ★02 L’ouverture d'esprit et ses limites, (zététique), complot, théorie du complot, Complotisme, fausses révélations, Hold-up, Vaccin contre le covid 19, Vaccin, le covid 19, Didier Raoult, La Finance imaginaire, impact psychologique, santé, Les sectes, conspiracy theories, États-Unis, Donald Trump, Théories du complot
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#Posté le mardi 24 novembre 2020 04:25

Modifié le mardi 24 novembre 2020 09:24

Vaccin contre le covid 19



 
n
pas besoin de complot ,quand les intérêts convergent .Ces gens ont été dans les memes universités ,vont dans les mêmes conseils d administration, dans les meme clubs, ils ont des intérêts communs ils n ont pas besoin de se réunir pour savoir ce qui est bon pour eux.
Georges Carlin
 
A lire aussi : Hold up


Covid-19 : la course mondiale au vaccin
Les Etats-Unis ont annoncé le 9 novembre qu'ils pourraient avoir un vaccin autorisé contre le Covid-19 d'ici quelques semaines, après l'annonce par le groupe pharmaceutique Pfizer que son vaccin réduisait de 90% le risque de tomber malade du virus, mais le reste du monde devra encore attendre des mois. La course au vaccin contre la Covid-19 est lourde d'enjeux économiques et géopolitiques. Les pays riches en seront-ils plus rapidement dotés que les pays pauvres ? Les plus vulnérables seront-ils vaccinés avant les autres ? Quel laboratoire sera le premier à décrocher la timbale et quel profit en tirera-t-il ? Pour comprendre comment fonctionnent ces potentiels vaccins et quels sont leur enjeux, retrouvez notre sélection de reportages et d'analyses.
 
Covid-19 : la course mondiale au vaccin - Info et société | ARTE
 
Coronavirus. Les États-Unis autorisent le traitement de Regeneron, utilisé sur Donald Trump
L'épidémie est hors de contrôle dans le pays. 


À LIRE AUSSI : Brevets : Sanofi et Regeneron obtiennent une décision favorable en Europe face à Amgen
 
Le traitement de Regeneron contre le Covid-19, qui avait servi à soigner Donald Trump a été autorisé par l'autorité de santé américaine. Il s'agit de la deuxième « autorisation pour une utilisation en urgence ».

Confrontés à une épidémie galopante de Covid-19 qui a contaminé 12 millions de personnes sur leur territoire, les États-Unis ont autorisé en urgence un traitement novateur de la firme Regeneron déjà essayé sur le président Donald Trump.


« Autoriser ces thérapies aux anticorps monoclonaux pourrait permettre à des patients d'éviter l'hospitalisation et d'alléger la charge qui pèse sur notre système de santé », a expliqué un responsable de la FDA, Stephen Hahn.
 
« Thérapie prometteuse »
Le président de Regeneron, Leonard Schleifer, a assuré que cette décision constituait « une étape importante dans la lutte contre le Covid-19, car les patients à haut risque aux États-Unis auront accès à une thérapie prometteuse au début de leur infection ».


« Les récents développements positifs concernant les vaccins et les tests de masse permettent d'espérer que le recours aux restrictions pour lutter contre le virus pourra être progressivement réduit d'ici au printemps », a estimé Downing Street dans un communiqué.
 
Le haut responsable a aussi dit espérer qu'une fois lancée cette campagne de vaccination massive, le pays t Etats Unis ) pouvait s'attendre à atteindre une "immunité collective" au mois de mai. "Normalement, avec le niveau d'efficacité que nous avons (95%), le fait d'immuniser 70% ou presque de la population permettrait d'avoir une vraie immunité collective. Cela arrivera probablement en mai, ou quelque chose comme ça selon nos plans", a-t-il affirmé. "J'espère vraiment voir le niveau de perception négative du vaccin baisser et l'acceptation par les gens augmenter. Cela va être essentiel pour nous aider", a-t-il insisté, en allusion à la méfiance de beaucoup vis-à-vis d'un vaccin. 
 
Celui de Regeneron est le deuxième traitement aux anticorps synthétiques à recevoir une «autorisation pour une utilisation en urgence» (EUA) de la FDA. Une thérapie similaire développée par le laboratoire américain Eli Lilly avait déjà obtenu ce statut le 9 novembre.
 
Regeneron a déjà conclu plusieurs contrats avec le gouvernement américain, dont un à 450 millions de dollars, pour fabriquer des doses à grande échelle aux Etats-Unis. Le gouvernement a aussi annoncé fin octobre l'achat de 300.000 doses du traitement de Lilly pour 375 millions de dollars, soit 1250 dollars la dose.
À voir aussi - Qu'est-ce qu'on appelle un vaccin fiable à 90%?

 
07:14 - Covid-19 : le Regeneron, traitement pris par Donald Trump, est approuvé aux États-Unis - LEFIGARO.FR
 
Pour les vaccins, Gabriel Attal affirme que la France a trois contrats «signés, au moins trois autres très avancés et d'autres en discussion», avec «en moyenne 30 millions de doses par contrat».
 


L'annonce de Moderna est "un facteur positif" même si ce n'est "pas une grande surprise", les marchés ayant déjà en partie "intégré dès la semaine dernière que de plus en plus de laboratoires avancent sur des solutions à la crise sanitaire", commente Andrea Tuéni, analyste pour Saxo Banque.
 
Pour le patron de la biotech américaine Moderna, le Français Stéphane Bancel, la vaccination contre le Covid-19 pourra commencer "dès la fin de l'année aux Etats-Unis, et en janvier en Europe", dès lors que les agences sanitaires auront délivré leurs autorisations d'utilisation d'urgence de son candidat vaccin. Dans un entretien publié lundi soir par le quotidien 'Les Echos' sur son site internet, le directeur général de Moderna, ancien responsable de bioMérieux, commente les très bons résultats préliminaires annoncés plus tôt dans la journée concernant l'efficacité à 94,5% de son candidat vaccin mRNA-1273 contre le Covid-19.

De quoi balayer, dans l'esprit des investisseurs la progression ininterrompue de l'épidémie aux Etats-Unis, où les 250.000 morts pourraient être atteints avant la fin de la semaine. En Europe, les dernières mesures de confinement en date semblent porter lentement leurs fruits...


09:49 - Vaccins contre le Covid-19 : Moscou rejette des accusations de cyberattaques - LEFIGARO.FR
 
Où l'on reparle de rotation sectorielle

L'annonce que le candidat vaccin de Moderna contre la Covid-19 est efficace à 94,5% semble avoir amorcé une rotation sectorielle des valeurs défensives vers les cycliques les plus exposées aux mesures de restriction liées à la pandémie. Mais la distribution de ce vaccin, ou de celui de Pfizer, constitue un défi, notamment sur le plan logistique, mais également pour ce qui est du temps nécessaire à une reprise totale de l'activité en cette période de résurgence des cas de contaminations au coronavirus dans le monde.

« On pourrait assister à un transfert des positionnements d'un marché haussier défensif vers un rally plus orienté sur des cycliques plus offensives, mais cela requiert plus de clarté sur le fait de savoir quand l'on pourra revenir à une forme de normalité en termes de mobilité sociale », observe Chris Iggo, responsable des investissements chez Axa Investment Managers. Il note également que « l'euphorie provoquée par les résultats de l'élection présidentielle [américaine] et l'annonce sur le vaccin va céder la place à une analyse plus modérée de ce que sera la reprise et du temps qu'elle prendra ».



Eli Lilly, le laboratoire d'Indianapolis, se distingue à son tour sur le compartiment pharmaceutique... Ainsi, la FDA, agence américaine du médicament, vient d'autoriser l'utilisation en urgence de son traitement expérimental aux anticorps contre le Covid-19 dans le cas de patients non hospitalisés mais risquant de tomber gravement malades du fait de leur âge ou de leur santé. La FDA justifie sa décision par des données montrant qu'une injection unique du traitement réduirait la nécessité d'hospitaliser ou de soigner en urgence les patients à haut risque contaminés. La Maison blanche a salué la décision de la FDA, évoquant un 'tournant majeur'.
Un traitement comparable de Regeneron avait été administré à Donald Trump lors de son hospitalisation le mois dernier, suite à son infection. L'expert américain en maladies infectieuses Anthony Fauci a estimé que le traitement avait sans doute contribué à la guérison de Trump...

La FDA a indiqué que le traitement aux anticorps d'Eli Lilly pouvait être utilisée pour toute personne âgée de plus de 65 ans affectée par des symptômes modérés du Covid-19, et pour des patients âgés de 12 ans et plus ayant des conditions préexistantes susceptibles de provoquer des maladies graves. Le traitement n'a pas été autorisé pour les patients hospitalisés ou ceux nécessitant une aide respiratoire.

Il s'agit donc d'une bonne nouvelle supplémentaire dans la lutte contre le covid. Hier, Pfizer et son partenaire BioNTech avaient enthousiasmé les marchés en annonçant leurs résultats intermédiaires de phase 3 de leur vaccin contre le nouveau coronavirus. Les deux groupes avaient fait état d'une efficacité de plus de 90% du vaccin. Albert Bourla, président et directeur général de Pfizer, saluait "un grand jour pour la science et l'humanité". L'Américain et son partenaire allemand BioNTech estiment que les données comparant les individus vaccinés avec leur produit et ceux ayant reçu un placebo indiquent un taux d'efficacité du vaccin de plus de 90% à sept jours après la seconde dose. Cela signifie que la protection du Covid-19 serait atteinte 28 jours après la vaccination initiale. Emporté à juste titre par un bel enthousiasme, le CEO de Pfizer évoquait même "la plus importante avancée médicale des 100 dernières années".
 
Sur le front de l'épidémie, la moyenne des contaminations dépasse désormais les 100.000 nouveaux cas chaque jour aux Etats-Unis et le système hospitalier est sous tension.
 
Mercredi, Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale américaine (BCE) a par ailleurs averti que la reprise en zone euro promettait d'être "instable, sur un mode marche-arrêt" en dépit d'un vaccin.
 
Covid-19 : vaccin, crise économique, États-Unis... le récap'du 11 novembre
Les faits 
 
Coronavirus : jeunes, femmes, populistes... qui sont les anti-vaccins ?
 
En octobre, seuls 54% des Français déclaraient avoir l'intention de se faire vacciner contre le Covid-19. Quel est le profil type des anti-vax ?

À lire : Hold up , A lire aussi : 
Hold-up : un documentaire sur la pandémie aux accents complotistes ? Thomas Boisson·13 novembre 2020, Articles de l-indigne taggés "complot" : Conspirationnisme : la paille et la poutre - Les blogs du Diplo
 
Covid-19. Nouveau record d'infections en Russie qui dépasse les deux millions de cas.
Ce bilan reflétant une létalité bien moindre qu'ailleurs dans le monde est toutefois sujet à caution, les autorités ne recensant que les décès qui, après autopsie, ont pour cause première établie le coronavirus.

Ce bilan reflétant une létalité bien moindre qu'ailleurs dans le monde est toutefois sujet à caution, les autorités ne recensant que les décès qui, après autopsie, ont pour cause première établie le coronavirus.
 
La Russie évoque de possibles mutations du coronavirus en Sibérie
Selon la directrice du service fédéral russe de protection des droits des consommateurs, des mutations du coronavirus sont probables en Sibérie. Elle a ajouté que cela ne rendrait pas le virus plus dangereux pour autant.
 
« Nous voyons certaines évolutions [...] en Sibérie qui nous permettent de penser que dans cette région se forme sa propre version avec des mutations spécifiques », a dit Anna Popova, cheffe du Rospotrebnadzor.
 
Les essais cliniques d'un deuxième vaccin russe se poursuivent
Anna Popova a déclaré que les essais cliniques d'un deuxième vaccin russe développé par l'institut Vector en Sibérie et baptisé EpiVacCorona se poursuivaient.
Les mutations du coronavirus ne peuvent pas avoir d'effet sur l'efficacité de ce vaccin, a dit le directeur général de l'institut, Rinat Maksioutov, cité par l'agence TASS.

 
Lire aussi: :la Russie évoque de possibles mutations du coronavirus en Sibérie

La résurgence de la pandémie a-t-elle affecté la consommation des ménages américains ?
Les investisseurs seront particulièrement sensibles à l'évolution des ventes au détail en octobre. Entre l'incertitude liée à l'élection présidentielle américaine, la hausse des cas de contamination à la Covid-19 et les nouvelles mesures de restriction de circulation à l'approche de Thanksgiving, le consensus table sur un ralentissement de la dynamique aux Etats Unis.

Le Covid provoque un décrochage chez les étudiants brésiliens
 
Au moins 850 000 Brésiliens ne poursuivront pas d'études supérieures à cause de la pandémie.
Chômage et difficultés à suivre les cours en ligne ont eu raison de leur année scolaire.
07:00 - Le Covid provoque un décrochage chez les étudiants brésiliens - LA-CROIX.COM
 
Alors que la recherche contre le Covid-19 avance, l'Europe annonce qu'elle pourrait commencer les vaccinations début 2021. Mais, même avec un vaccin, la reprise économique risque d'être « instable », selon Christine Lagarde. En attendant, l'épidémie continue à faire des milliers de morts à travers le monde et notamment au États-Unis, pays le plus touché.
 
> Suivez notre direct du mardi 17 novembre sur la pandémie de Covid-19 : Coronavirus , États-Unis, Médicaments, Actualité en continu

 Covid-19 : le virus ou la vie ?, Philippines : à l'ombre du virus / Nord-Coréens, la dernière pêche
 
Hausse très inquiétante des cas de rougeole dans le monde 
Fleur Brosseau·17 novembre 2020

 10:21 - États-Unis - Coronavirus. Les États-Unis autorisent le traitement de Regeneron, utilisé sur Donald Trump - OUEST-FRANCE.FR
07:34 - Covid-19 : le Regeneron, traitement pris par Donald Trump, autorisé aux États-Unis - SUDOUEST.FR
10:06 - Reconfinement : les répétitions de spectacles sont autorisées, pourquoi pas celles des amateurs ? - LIBERATION.FR
10:06 - Coronavirus : jeunes, femmes, populistes... qui sont les anti-vaccins ? - SUDOUEST.FR
 
8:58 - Covid-19 : vaccin, crise économique, États-Unis... le récap' du 11 novembre - LA-CROIX.COM
 
08:56 - «J'ai attrapé deux fois le Covid avec des symptômes crescendo» - LIBERATION.FR
 
07:36 - Examen du texte sur la «sécurité globale», évacuation d'un campement de migrants à Saint-Denis, vaccin Moderna... L'actu de ce mardi matin - LIBERATION.FR
 
07:00 - 54 millions de personnes contaminées dans le monde - LA-CROIX.COM
06:37 - Covid-19 : ce que l'on sait sur ce virus qui intrigue toujours - LA-CROIX.COM
 
Les bisphénols issus des microplastiques affectent le cerveau
Un virus qui déchire l'Europe | ARTE
 L'effondrement de notre civilisation industrielle
Quand l'hôpital retient son souffle
Covid-19 : «Le virus est avec nous pour toujours», prévient une spécialiste de l'OMS
Confinés en automne, confinés dans un film de Tim de Burton - Le Billet de Charline

T'as voulu voir le salon
En Inde, l'impossible confinement -


Coronavirus : La Chine instrumentalise-t-elle la pandémie ?
Daily coronavirus briefing: Calif. Governor pulls 'emergency brake'
Emeutes de la Faim: comment nourir la planète?



Capitalisme : Le triomphe de l'argent roi

Tags : Vaccins contre le Covid-19, Vaccins, Covid-19, Moderna, Info, société, ARTE, Daily coronavirus briefing, vaccine, social distancing, COVID-19 patients, Reconfinement, Hold-up, un documentaire, complotistes, discours complotiste, Conspirationnisme, la Russie, mutations, coronavirus, pandémie, États-Unis, Coronavirus, traitement, Donald Trump, Regeneron, l’Agence américaine des médicaments (FDA), Médicaments, Actualité en continu, Brevets, Gabriel Attal
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#Posté le lundi 16 novembre 2020 12:32

Modifié le dimanche 22 novembre 2020 11:30

Election américaine

 

Election américaine


 "Le pouvoir est maudit, c'est pourquoi je suis anarchiste." 
(Louise Michel)

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Le criminel c'est l'électeur - YouTube

Donald Trump a réitéré ses attaques envers le système électoral américain et affirmé qu'une série de procédures judiciaires lancées par son équipe de campagne pourraient aboutir à la Cour suprême. Alors que Joe Biden se rapproche de la victoire selon les principaux médias américains, ce stratagème peut-il fonctionner ?
Présidentielle américaine 2020. Les tribunaux sauveront-ils Trump ?
 

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À LIRE AUSSI : Pourquoi Donald Trump enrage, ne lâche rien, et cherche à préparer l'avenir

Le système électoral américain est éminemment complexe. Indirect, l'élection présidentielle se joue dans une poignée d'États-clé où quelques milliers de voix peuvent faire la différence. C'est d'ailleurs ce qui s'était passé en 2016, au profit de Donald Trump, qui avait gagné



Le monde en faceTrump face au FBI

A quelques jours des élections présidentielles aux Etats-Unis, ce documentaire lève le voile sur les relations entre Donald Trump et le FBI. Dés le début de son mandat, l'ancien promoteur immobilier a partagé son mépris à l'encontre de la principale agence de force de l'ordre des Etats-Unis en renvoyant son directeur James Comey. Bien que Donald Trump ait été impliqué dans le passé dans différentes affaires suspectes, notamment liées à la mafia, il n'a jamais été inquiété. Ses relations avec le FBI n'ont d'ailleurs pas toujours été aussi hostiles. A travers les témoignages d'anciens agents du FBI, ce film dresse un constat resté opaque sur la relation complexe entre le FBI et Trump, qui semble jouer un double jeu avec la mafia et le bureau.


Le monde en faceTrump face au FBI
 



«Aux Etats-Unis, il y a désormais deux pays qui vivent en parallèle et s'ignorent»
 
Spécialiste des médias et professeure d'économie à Sciences-po, Julia Cagé analyse le rôle joué par les réseaux sociaux dans l'élection américaine et la manière dont ils ont fracturé le pays.
 
 «Aux Etats-Unis, il y a désormais deux pays qui vivent en parallèle et s'ignorent»Pour Julia Cagé, qui a été étudiante à Harvard et a longtemps vécu aux Etats-Unis, l'élection américaine de 2020 a encore accentué les divisions entre les deux camps et montré que le trumpisme et ses fake news n'était pas un épiphénomène dans l'histoire politique récente. La chercheuse s'interroge sur le refus des différences dans le débat politique et l'impossibilité croissante, dans les régimes représentatifs, de maintenir une délibération politique apaisée. Un avertissement pour la France, dit-elle.
 
Présidentielle américaine : des tensions éclatent en marge du dépouillement (1'43)
 
Présidentielle américaine : du recomptage des voix à la Cour suprême, quelle contestation possible ?  (1'54)
 
Quelles sont vos premières impressions à l'issue de cette élection ?
Ce qui me frappe, c'est le degré de polarisation entre les deux camps jamais vu à l'occasion de cette élection. Elle est bien plus forte qu'il y a quatre ans, et tous ceux qui prédisaient une vague bleue en ont été pour leurs frais. On a assisté à une sorte d'aveuglement d'une partie de la presse libérale outre-Atlantique et des médias français selon lesquels la gestion calamiteuse de l'épidémie par l'administration Trump et le retournement de l'économie allaient le renvoyer aux oubliettes de l'histoire. Or s'il a bien perdu l'élection avec de surcroît un vote populaire qui devrait dépasser les quatre millions de voix d'écart en faveur de Biden, le trumpisme n'apparaît absolument pas pour autant en perte de vitesse. La participation a nettement augmenté mais l'Amérique apparaît plus divisée et polarisée que jamais et c'est une très mauvaise nouvelle pour la démocratie.

 14:37 - Monde - Climat. Joe Biden investira 2 000 milliards pour verdir les États-Unis - OUEST-FRANCE.FR

Au-delà des invectives et de la tension entre les deux camps, comment les résultats du vote illustrent-ils cette polarisation ?
Quand on regarde non pas Etat par Etat où les préférences partisanes sont souvent établies de longue date mais comté par comté, les écarts entre les deux camps s'y sont fortement accrus. Là où ils étaient de 10 points en 2016, ils ont souvent doublé et il n'est pas rare de voir des scores de 70% ou même 80% pour un camp et l'inverse dans le comté d'à côté. Il y a désormais deux pays qui vivent en parallèle et s'ignorent, avec des systèmes de valeurs radicalement incompatibles. C'est aussi le reflet du poids croissant des inégalités politiques et économiques dans la ségrégation spatiale du territoire.
 
La couverture des médias a-t-elle permis d'éclairer les électeurs sur les enjeux de cette élection, selon vous ?
De la même manière qu'en 2016, les grands quotidiens nationaux ont pu penser que leurs révélations sur Trump allaient constituer un point de bascule, comme lorsque le New York Times a dévoilé les déclarations d'impôts du président sortant. Mais si tout ce travail a renforcé les électeurs démocrates dans leurs convictions anti-Trump, cela n'a été d'aucun effet dans le camp adverse. Les fake news de Trump ne s'adressent pas aux démocrates mais à son propre électorat. On peut dire que c'est de la désinformation mais en réalité, c'est plus profond et plus grave : il y a deux électorats qui ne consomment plus les mêmes informations et ne cherchent même plus à connaître les arguments de l'adversaire.
 
Les réseaux sociaux sont-ils le principal responsable de cette situation ?
Les réseaux sociaux, sans lesquels le trumpisme n'aurait jamais pu se déployer avec une telle force, ne sont pas seulement les meilleurs propagateurs des fake news. Ils renforcent ce que l'activiste et chercheur Eli Pariser a appelé la «bulle de filtre», le fait d'enfermer les citoyens dans un univers informationnel clos. Pour toute une fraction de l'opinion qui s'est détournée des médias officiels accusés de partialité et d'élitisme, ils n'y voient plus que ce qui conforte leur opinion.

N'a-t-on pas assisté à un début de remise en cause de leur part avec, pour la première fois, ces avertissements accompagnant la diffusion de certains messages de Donald Trump ?
Avec cette élection, les réseaux sociaux et certains grands médias comme Fox News qui jusqu'ici n'avaient aucun scrupule à se faire le relais de fausses nouvelles commencent à prendre leurs distances et à se responsabiliser en avertissant le public sur le caractère trompeur et non prouvé des assertions de Trump. C'est un des très rares points positifs, avec la hausse de la participation, de ce scrutin. Le fait que les grands networks américains aient interrompu une déclaration mensongère du président en exercice est une première. Les médias font de la politique et cette polarisation éditoriale participe du pluralisme mais ils ne sont pas prêts à franchir la ligne rouge de la désinformation.
 
Comment peut-on analyser le divorce entre Trump et la chaîne conservatrice Fox News, qui était jusqu'ici un soutien inconditionnel du candidat ?
On peut à ce stade constater qu'ils ne semblent pas prêts à devenir un média purement complotiste, et s'ils suivaient cette voie je crois qu'ils ont compris qu'ils perdraient toute crédibilité. Cela montre que pour fonctionner, la démocratie a besoin de partager quelques vérités factuelles de base au-delà de la diversité des opinions. Ce qui sera intéressant, c'est de voir dans quelles mesures cela pourrait coûter à Fox News une partie de son audimat. Si ces derniers se replient par exemple sur Breitbart News, cela va être pire encore et aggraver cette polarisation. C'est la crédibilité de la démocratie qui est en jeu. Certains disent que le clash avec Fox pourrait être une manière pour Trump de se lancer dans la télé avec sa propre chaîne. On n'en sait rien mais il y aura potentiellement un espace ultraconservateur à droite laissé vacant par Fox News.
 
Dans votre livre, vous dénoncez le fait que la philanthropie aux Etats-Unis est devenue un ennemi de la démocratie...
C'est une dérive qui concerne à la fois les républicains et les démocrates et remet en cause le principe démocratique fondamental «une personne, une voix ». Le pouvoir philanthropique qui est celui de l'argent s'est traduit par une capture du débat public par les intérêts privés et une poignée de milliardaires. On l'a bien vu dans la polarisation des débats sur l'environnement avec les milliards dépensés par les frères Koch, dont la fortune s'est faite dans l'industrie pétrolière et qui ont financé tout ce qui pouvait nourrir le climatoscepticisme. Dans cette campagne, les deux candidats ont tous deux atteint le milliard de fonds levés, soit bien plus qu'en 2016, le tout en pleine épidémie de Covid-19 et sur fond de récession. C'est dément ! Les démocrates ont contribué à cette polarisation. Le parti repose de plus en plus sur les grands donateurs privés et s'est coupé des classes populaires. Biden a reçu davantage de dons de la part de ceux qui ont un revenu médian annuel supérieur à 100 000 dollars tandis que Trump a drainé des financements chez des ménages plus modestes. Cela se retrouve dans la structure de l'électorat de Biden. Le désamour entre les classes populaires et le Parti démocrate vient aussi de ce mode de financement. L'argument selon lequel Biden était le démocrate le moins pire pour les républicains n'a pas fonctionné, le fait que la polarisation se soit encore accentuée le démontre. Avec une ligne plus à gauche incarnée par Bernie Sanders ou Elisabeth Warren, la victoire aurait pu être plus large.
 

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U$A : La démocratie du dollar | ARTE


Les Etats-Unis sont-ils au bord de la guerre civile, comme l'agitent certains ? Élections américaines. Qui sont les « grognards » du président sortant Donald Trump ?
Ce qui est le plus terrible, et c'est une leçon à méditer pour la France, c'est que l'on a perdu toute capacité de délibération politique apaisée dans nos démocraties. On n'arrive plus à régler nos problèmes par le débat et l'alternance, et aux Etats-Unis on manifeste avec des armes en bandoulière. Tout cela peut évidemment partir en vrille à tout moment.
 
 

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 USA, la poudrière (23') , 16:07 - À Atlanta, des supporters de Trump et de Biden prêts à tirer pour se défendre - FRANCE24.COM
 
Donald Trump s'appuie sur une poignée d'hommes, et de femmes, qui lui sont totalement dévoués, pour lancer son offensive et ne pas s'avouer perdant. Donald Trump peut compter sur le dévouement sans faille d'hommes et de femmes qu'il a placés aux postes clés depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Portraits des principaux d'entre eux actuellement à la man½uvre.
 
, 21:44 - États-Unis - Élections américaines. Qui sont les « grognards » du président sortant Donald Trump ? - OUEST-FRANCE.FR

A voir 
RÉVÉLATIONS SUR LES RÉSEAUX MAFIEUX DE DONALD TRUMP

 
La démocratie américaine, longtemps vantée, est-elle aujourd'hui devenue un contre-exemple aux yeux du reste du monde ?
On vote beaucoup trop aux Etats-Unis, la démocratie, c'est plus compliqué et subtil que d'appeler aux urnes les citoyens tous les deux ans à se prononcer sur tous les sujets ! Leur système, comme ailleurs, est à bout de souffle, même si la participation historique, autour de 70%, démontre la volonté des citoyens de s'impliquer. Même les outils de démocratie participative sont détournés par des intérêts privés comme on vient de le voir en Californie avec le référendum d'initiative citoyenne financé par Uber et Lyft pour annuler l'obligation de salarier leurs chauffeurs, c'est-à-dire de leur fournir une couverture sociale. Mais ce mode de consultation n'a pas été suffisamment encadré, notamment sur le financement des campagnes, et détourné à des fins perverses afin de faire annuler une loi. Or pour qu'une démocratie soit au service de tous dans une réelle égalité politique, il ne suffit pas d'empiler les consultations mais d'encadrer précisément le financement et la qualité de cette délibération. Dans le cas contraire et si rien n'est fait, la défiance des citoyens pour la démocratie ne fera que s'accroître, et elle pourrait bien mourir de n'avoir jamais véritablement existé.
 
 
«Aux Etats-Unis, il y a désormais deux pays qui vivent en parallèle et s'ignorent»
Par Christophe Alix — 8 novembre 2020 à 10:24
 

 
11:01 - "L'Amérique de retour sur la scène mondiale", la diplomatie selon Joe Biden - FRANCE24.COM
09:17 - États-Unis. Le Parti démocrate garde le contrôle de la Chambre des représentants - OUEST-FRANCE.FR

17:55 - La dynastie Trump, un chaudron d'héritiers prêts à relever le gant - LEFIGARO.FR
 
SARKOFIOTTES - C'est pas nous les méchants - 2007 - (COMPLET - FULL ALBUM)
 
Covid-19 : «Le virus est avec nous pour toujours», prévient une spécialiste de l'OMS
 
Joe Biden et la Silicon Valley, amis ou ennemis?
Le président élu a envoyé des signaux contradictoires vis-à-vis de la «Big Tech».
 
 
18:31 - Joe Biden et la Silicon Valley, amis ou ennemis? - LEFIGARO.FR
 
18:59 - Joe Biden le catholique accepte le droit à l'avortement - LA-CROIX.COM
18:43 - La nouvelle Amérique féminine et multiraciale - LA-CROIX.COM
 
18:27 - États-Unis : Trump ne reconnaît toujours pas sa défaite, des Républicains l'y encouragent - SUDOUEST.FR
18:22 - Présidentielle américaine: Berlin appelle de ses v½ux un retour à la normalité - LEFIGARO.FR

17:35 - Etats-Unis : la bataille pour le Senat, première étape cruciale pour Joe Biden - SUDOUEST.FR
17:20 - Joe Biden, la mue d'un vieux politicien en homme providentiel - LEFIGARO.FR
10:40 - «Il est temps que l'Amérique guérisse» : la presse internationale salue la victoire de Joe Biden - LIBERATION.FR


11:19 - Marion Muller-Colard : « Ne cédons pas à la fascination du malheur » - LA-CROIX.COM
11:32 - Les évêques français seraient-ils en train de désobéir au pape ? - LIBERATION.FR
10:57 - Le gouvernement écarte un confinement imposé pour les personnes âgées - LEFIGARO.FR
10:43 - Joe Biden veut unir et « guérir » l'Amérique - LA-CROIX.COM
10:32 - Interdiction des messes: les évêques espèrent des «efforts collectifs» pour sauver Noël - LEFIGARO.FR


10:15 - Des fédérations de commerçants demandent l'interdiction du Black Friday - LEFIGARO.FR
10:04 - Elections américaines : la liesse et le soulagement des partisans de Joe Biden après sa victoire - FRANCE24.COM


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Maladies imaginaires le nouveau jackpot pour les labos

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Election américaine
Tags : SARKOFIOTTES, chansons, musique, Le monde en faceTrump face au FBI, U$A : La démocratie du dollar, ARTE, Election américaine, USA, la poudrière, documentaire, Donald trump, Présidentielle américaine, Joe Biden, États-Unis
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#Posté le mardi 03 novembre 2020 07:48

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:55

Ces pauvres jeunes !


 
 
 

 
 
 
 
 
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Ces pauvres jeunes !
 
Je vous transmets le texte, cela peut servir de groupe de réflexion
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.
 
En effet, le capitalisme est confronté à une contradiction récurrente: d'un côté, il lui faut diminuer (ou en tout cas limiter) les salaires pour baisser les coûts de production et maintenir les profits. D'un autre, il faut que les consommateurs aient suffisamment de revenu pour acheter les marchandises produites.
 
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction. On augmentait les salaires, mais on augmentait plus encore la production. On rendait marchands ....
 

 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée. Les délocalisations d'industries et de services ont alors permis de baisser le coût du travail au niveau mondial. La consommation a été soutenue par le développement du crédit, qu'il s'agisse de dépense publique (et de dette publique) ou privée. Mais ce système est lui-même à bout de souffle, comme le montre la crise qui a commencé en 2007. Le krach de 2008 n'a pu être rattrapé qu'au moyen d'une expansion massive de l'endettement étatique. Le montant de cette dette, désormais impossible à rembourser, est l'expression concrète de cette impasse. La crise de la dette publique en Europe et les perspectives de défaut de la Grèce, désormais bien réelles, en sont la preuve. Ce n'est pas la finance qui est la cause de la crise, la finance est au contraire ce qui a permis à la crise provoquée par la contradiction récurrente du capitalisme d'éclater aussi tard
 
 Ces pauvres jeunes. Vraiment pas de chance, hein ?
 
Aux Etats-Unis, les revenus baissent. Les emplois sont rares. La croissance est deux fois inférieure à celle des années 50 ou 60... voire plus. L'immobilier est en berne. Les plus-values ont disparu des marchés boursiers — dans leur ensemble — depuis au moins 12 ans. Les ménages sont plus pauvres qu'il y a 20 ans... sauf, bien entendu, les ménages des seniors et des riches.
 
La fin du rêve américain ? : RDV sur notre 2 ieme chaîne : http://www.youtube.com/user/Report360 >http://www.youtube.com/user/Report360 pour plus de reportage

 
 Le capitalisme ne peut pas, à long terme, résoudre le problème économique de fournir une vie humaine pour les masses... Cette proposition est la base de l'approche de classe du Marxisme.  Sans elle il n'y a pas d'approche de classe, et il ne peut pas y en avoir. Si ce n'est pas vrai alors il n'y a aucune raison de ne pas être simplement un bon réformiste
 
2. Le capitalisme doit son expansion et sa domination au pouvoir qu'il a pris en l'espace d'un siècle sur la production et la consommation à la fois. Ainsi même les modèle du néolibéralisme ( avec des courants a la marge, peuvent ne pas appliqué complètement la logique néolibérale, tant qu'il reste dans le cadre de la défence des intérêts privés maintenant ainsi un "ordre social" ou achetant l'ordre social dominant, dominé) , sont rattraper par la chute du capitalisme ( cf chute tendanciel du taux de profit). Ce système ne peut être réguler, réformer car ces dérives ne sont  pas liées a un ou deux individus comme ils veulent nous le faire croire, mais au fonctionnement de l'ensemble du système. Ce sont ces bases qui sont entrain de se fissurer
 
Etudiants, l'avenir à crédit - ARTE - YouTube

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Mort à crédit est un roman de Louis-Ferdinand Céline paru en 1936 aux Éditions Denoël. Il a aussi été illustré par Jacques Tardi dans la collection Futuropolis de Gallimard en 1991. Wikipédia. 18/05/2017
Etudiants, l'avenir à crédit. Les Damnées Du Low Cost - L'indigné




Du côté du coût de la reproduction de la force de travail, les réformes portent sur la baisse des dépenses de santé et d'éducation et, plus généralement, la rentabilisation des services publics, la hausse des cotisations sociales et des taxes, des réductions et suppressions de minimas sociaux... Si la mise en place des réformes a été progressive depuis les années 80, elle s'accentue depuis la crise de 2008, rendant la survie de plus en plus difficile à la majorité de la population, et encore plus aux travailleurs précaires, « réservistes » de la force de travail, et aux travailleurs surnuméraires, ceux dont le capital n'a plus l'usage. Pour ces derniers, la seule chance à s'employer est le secteur de l'économie informelle, lequel appartient tout de même en réalité à l'économie globale
 
Cette situation de la chute tendanciel mis en avant par Karl Marx,  implique un contrôle social accru de l'Etat par un renforcement de la répression : fermeture des frontières, chasse aux sans-papiers, conditions tyranniques d'obtention ou de maintien des allocations de chômage et des minima sociaux, coupures de gaz et d'électricité et expulsions locatives en toutes saisons, enfermement des jeunes déviants... deviennent notre paysage quotidien et suscitent régulièrement des résistances et révoltes de prolétaires subissant l'accroissement de leurs difficultés financières et une répression de plus en plus omniprésente
 
Dessin issus de l'article : 50 articles pour comprendre les crises financières (26/50) : la
 
En conclusion : Mais il est facile d'imaginer que beaucoup d'autres produits et services -- les superflus comme les essentiels -- ne sortiront jamais de leur état de concept, simplement parce que les certificats de nécessité les empêcheront toujours d'atteindre le marché». .

Imaginer un  monde grâce avec la dictature du marché, politiquement orienter dans une logique fascisante. Le système néolibéral, en forte difficulté essaye de trouver tout les moyens possible (détourner l'attention..


 Lorsque l'accroissement de la rente devient le but déterminant de la politique des firmes – plus important que le profit qui, lui, se heurte à la limite interne indiquée plus haut – la concurrence entre les firmes porte avant tout sur leur capacité et rapidité d'innovation. C'est d'elle que dépend avant tout la grandeur de leur rente. Elles cherchent donc a se surpasser dans le lancement de nouveaux produits ou modèles ou styles, par l'originalité du design, par l'inventivité de leurs campagnes
 
En France, près de trois milliards de personnes franchissent les portes des centres commerciaux chaque année. Des dizaines sont en construction. Les promoteurs immobiliers rivalisent d'ingéniosité pour en concevoir de toujours plus grands. Mais le modèle français, importé des Etats-Unis dans les années 1960, se fissure. La consommation ne suit pas toujours. Des friches apparaissent un peu partout dans l'Hexagone et inquiètent les élus. Des citoyens lancent des recours pour empêcher leur ouverture.

 

L'empire américain... et toute sa structure capitalistique.
 
Celle-ci frappe actuellement les États sous la forme d'une crise budgétaire et de divers programmes d'austérité. Partout en Europe, on nous explique que nous vivons au-dessus de nos moyens, qu'il va falloir travailler plus et se serrer la ceinture. Face à cette situation beaucoup se retournent vers l'État comme ce qui permettrait d'imposer des limites aux « dérèglements du marché ».
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 
Concrètement aujourd'hui les États n'ont le choix qu'entre deux politiques : austérité draconienne ou création monétaire, c'est-à-dire recours à la planche à billets. La première mène à la récession violente, la seconde à l'explosion d'une inflation incontrôlable.

 
Déficits : les Etats-Unis redéfinissent l'infini
 
. Mais s'agissant du gouvernement fédéral des Etats-Unis, les gens semblent bien vouloir nous prêter une quantité infinie d'argent... cf  La Chine rachète Detroit... voici pourquoi - Citizen Khane
 
ARTE - Tokyo Freeters - 08 février 2011

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Freedom and Survival - The Freeter Union
 
▪ “Une société a crédit . Vraiment ?

Cela me rappelle le commentaire du vice-président Dick Cheney : “les déficits importent peu”. Il a raison si le déficit ne dépasse jamais le taux de croissance du pays (PIB nominal). .
 
C'est là qu'est le problème. Trop de dirigeants ne comprennent même pas encore que nous nous sommes approchés de la limite — il est vrai que nous ne sommes pas encore arrivés à l'infini ! Les répercussions politiques et économiques à s'auto-restreindre seraient tout simplement trop difficiles pour certains en regard à la tentation de repousser les limites un peu plus loin.
 
La Grèce a manifesté contre l'austérité qui lui a été imposée. Mais quelles ont été les moyens de pressions ? Si elle n'avait pas réduit son budget, le reste de l'Europe n'aurait pas financé la nouvelle dette dont elle avait besoin. . Les marchés obligataires ont donc simplement cessé de financer la dette grecque.

L'austérité, ce n'est pas amusant. . Il s'ensuit une grosse colère. Cela ressemble aux cinq stades du deuil : déni, colère, marchandage, dépression et acceptation. Sauf que lorsque vous parlez de gouvernements gravement surendettés, la dépression peut durer beaucoup plus longtemps que les autres stades.
 

 
bownling for columbine, by Mickael Moore - Fr - Français :  Un beau matin, 2 jeunes américains se réveillent et, vont changer la vie de quelques familles ayant leurs enfants dans cette école de la ville de Columbine.

 
Marilyn Manson - Bowling For Columbine

 

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▪ Revenons-en aux Etats-Unis
Le maire de New York, Michael Bloomberg, et ceux qui pensent comme lui projettent notre expérience actuelle dans un futur lointain. “Regardez les taux d'intérêt”, disent-ils ; “ils nous apprennent que les marchés s'accommodent bien des niveaux de la dette américaine et du déficit”. 
 
 Mais ceux d'entre nous qui connaissent l'histoire savent que cela n'est pas inhabituel. Généralement, les marchés obligataires restent optimistes... jusqu'au moment où tout explose et qu'ils ne le sont plus.
 
L'expérience de plus de 250 crises de la dette au cours des cent dernières années nous apprend qu'il n'existe pas de point particulier où les marchés perdent confiance dans la dette d'un gouvernement. Toutefois, lorsque cela arrive, c'est violent.
 
Crise financiere expliquée aux nuls : 
 
 
Et tous ces prêts étudiants (plus de 1 000 milliards de dollars). Et la dette nationale officielle (à un peu plus de 16 000 milliards de dollars). Et la dette officieuse, mais très réelle, que le professeur Lawrence Kotlikoff estime à 222 000 milliards de dollars, tandis que le professeur Niall Ferguson la met à 238 000 milliards de dollars.
 

Le fractionnement, par exemple, augmentera de 1 200 $ les revenus des ménages américains, annonce un article de Bloomberg :
 
"La hausse de la production de pétrole et de gaz naturelle engendrée par la fracturation hydraulique stimule l'économie américaine en réduisant les coûts de l'énergie pour les consommateurs et les fabricants, selon un rapport financé par le secteur".
 
"En 2012, le boom énergétique a soutenu 2,1 millions d'emplois, a ajouté près de 75 milliards de dollars de revenus fédéraux et nationaux, a contribué à hauteur de 283 milliards de dollars au PIB US et a augmenté les revenus des ménages de près de 1 200 $, selon le rapport publié aujourd'hui par HIS CERA".
 
. Peut-être que le fractionnement donnera à l'Empire de dettes américain un nouveau souffle... tout à fait comme Rome a connu un renouveau pendant 200 ans supplémentaires après la Crise du troisième siècle. Le fractionnement réduira le déficit commercial, dit-on, rendra le secteur manufacturier américain encore plus puissant et augmentera les revenus des ménages.
 
1932 le Système Américain Contre l'Empire Britannique : 


 
 
. La première partie de ce boom était authentique — avec une hausse des salaires du niveau de vie. La deuxième partie — dans les années 80 et 90 — était en grande partie frauduleuse, financée presque entièrement avec de l'argent emprunté. Les gens dépensaient plus... ils vivaient mieux... mais ils s'endettaient plus lourdement. Maintenant, les voilà confrontés à des années de réduction de dette et de niveau de vie en baisse.
 
Pour l'instant, le 21ème siècle n'est pas exactement un âge d'or non plus. Plutôt un âge où les apparences comptent plus que la réalité. D'abord, les gens semblent améliorer leur niveau de vie en dépensant de l'argent qu'ils n'ont pas en choses dont ils n'ont pas besoin... achetant des maisons plus grandes et des voitures plus élégantes... Puis, quand la bulle éclate, les autorités semblent provoquer une "reprise" en leur donnant plus de crédit.
 
Les choses qui comptent vraiment, pendant ce temps — l'épargne, les investissements, la paix et la prospérité — n'ont pas eu lieu. Les choses qui se sont produites, par contre, ont été de gigantesques désastres — des guerres inutiles et des politiques économiques .
 
▪ Et qu'en est-il du secteur de la santé ?
les coûts ont grimpé. Les médecins ont commencé à subir des procès. Les personnes âgées voulaient plus de traitements et plus de pilules. Les gens sont devenus plus conscients des nombreuses choses qui pouvaient mal tourner. Il a fallu traiter des maux qui auraient été stoïquement acceptés comme “allant avec la vieillesse”. On a mis en place de nouveaux tests et appareils.
 
Système de santé américain : du rêve au cauchemar?  : 

 

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Le coût de l'assurance santé pour une famille américaine est désormais de 15 000 $ par an. Dans l'ensemble, les dépenses de santé par personne dépassent les 7 000 $ par an.
 

 Eh bien, c'est là que les dés sont pipés. Au lieu de permettre aux gens d'avoir une protection santé, un accés au travail, une répartition équitable des richesses et de la force de travail, "(de sorte que la charge des soins de santé reposerait sur ceux qui en ont besoin ou qui en veulent), les autorités ont mis en place un système en place l'argent roi, " le crédit facile qui, fondamentalement,  prend l'argent des plus jeunes et le redistribue (sous la forme d'une consommation quasi illimitée de “soins de santé”) aux plus âgés, précarise l'ensemble des plus pauvres et de la classe moyenne.
 
Seul un dollar sur 10 dépensé en soins de santé provient directement de la poche de la personne qui dépense. Les neuf dollars restants proviennent des autres... généralement plus jeunes.
Qui dépense ? Les seniors. Qui paie les coûts ?
 
 ▪ Prenons l'éducation, par exemple
D'où viennent tous ces prêts étudiants (garantis par le gouvernement, aux Etats-Unis) ? N'était-ce pas une bonne chose que les autorités veuillent prendre l'argent des parents pour le prêter aux enfants ?
 
Pour commencer, les autorités ont réalisé que les étudiants ne s'affichent pas sur les listes du chômage — du moins pas tant qu'ils n'ont pas fini leurs études, par peur de la précarisation, du chomage. Les forçants a ralentir aussi longtemps que possible leurs marchés sur le travail et la vie active

 
Les États-Unis ont mal à leur système de santé : 

 
  Laurent Cibien, Pascal Carcanade et Marie Semelin -- ARTE GEIE / Vol de Nuit -- France 2012

À l'automne 2011, la Réserve Fédérale américaine provoque un électrochoc dans le pays : elle révèle que l'encours de toutes les dettes étudiantes aux Etats-Unis a dépassé les 1000 milliards de dollars.

C'est plus que les dettes des cartes de crédits, et surtout, ce chiffre a doublé en moins de 10 ans. Depuis, la question du coût croissant de l'éducation supérieure aux Etats-Unis s'est imposée dans la campagne présidentielle.

L'équipe d'ARTE Reportage a enquêté à Phoenix, Arizona, surnommée « la Silicon Valley de l'éducation supérieure ».

C'est ici que se trouvent à la fois la plus grande université publique du Pays, « l'Arizona State University » qui compte 72 000 étudiants, et le siège de la plus importante des Universités privées à but lucratif, « l'University of Phoenix ». Celle qui est accusée de pousser ses étudiants à s'endetter. Et c'est aussi en Arizona que le taux de défaut de paiement sur les prêts étudiants est le plus élevé du pays.

Rencontre avec des étudiants inquiets à l'idée de ne pas trouver un travail qui leur permettra de rembourser leurs emprunts et avec d'anciens étudiants étranglés par les dettes et poursuivis par des organismes de recouvrement, ARTE Reportage dévoile les racines de ce que certains imaginent être la prochaine bulle du crédit, plus dévastatrice encore que la crise des subprimes
 

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▪ Si on parlait des prêts étudiants...

L'une de ces politiques fait à nouveau les gros titres : les prêts étudiants. Encore un programme gouvernemental corrompu donnant naissance à un fruit pourri. Voici un article de Reuters :
"Ce que nous ne savons pas sur le problème à 1 200 milliards de dollars des prêts étudiants"
 
"Les bases :
1 200 milliards de dollars — la somme estimée des dettes étudiantes en cours.
260 milliards de dollars — le montant de cette somme en 2004.
37 millions — le nombre d'Américains ayant une dette étudiante en cours, selon les estimations de la Fed de New York.
28 000 $ — la charge de dette typique du diplômé universitaire en 2012 le jour où il termine ses études, selon Hamilton Place Strategies.
9 000 $ — cette même charge de dette en 1993.
810 milliards et 670 milliards de dollars — le total des prêts automobiles et cartes de crédit en cours détenus par des Américains, respectivement, ce qui donne une bonne longueur d'avance à la dette étudiante".
"Les taux de défaut de paiement :

13,4% — le taux de défaut de paiement aux Etats-Unis concernant les emprunteurs dont les prêts sont entrés en remboursement depuis l'automne 2009-automne 2010. (C'est la première année pour laquelle le gouvernement a publié les taux de défaut à trois ans).

22,7% — les défauts durant les trois premières années pour les diplômés provenant d'universités à but lucratif. Ces dernières avaient le taux de défaut à trois ans moyen le plus haut, à 22,7%, les institutions publiques suivant avec 11% et les institutions privées à but non lucratif à 7,5%, selon le département de l'Education.

Sept millions — le nombre d'emprunteurs ayant des prêts étudiants en défaut, sur un total estimé à 37 millions. Cela inclut les prêts publics et privés, selon le CFPB".
 
Les prêts étudiants ne sont qu'une petite partie d'un tableau plus vaste — mais partout où l'on regarde, la scène est la même. . Dans une démocratie, au cours du temps, de plus en plus de gens trouvent des moyens de truquer le système et rejoindre les initiés. En fin de compte, tout le monde semble avoir un angle d'attaque.
 
USA : Dette des étudiants, la prochaine bulle ? - YouTube :  
 

 
 
Et en peu de temps, la civilisation elle-même est en route vers le déclin et la ruine. . La vieille définition est encore la meilleure : la démocratie — un système politique dans lequel deux loups et un agneau votent sur ce qu'il y aura à dîner.
 
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#Posté le mercredi 11 septembre 2013 11:31

Modifié le jeudi 30 novembre 2017 16:18

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