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Une décennie perdue


 
 
Une décennie perdue
Deux fois par an, en automne et au printemps, les instituts de recherches économiques publient leurs prévisions sur le développement de l'économie mondiale. Cet automne, il est frappant de constater que tous les instituts, à travers le monde, ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance économique et que toutes les projections sont devenues remarquablement prudentes. Au printemps dernier, les analystes économiques étaient beaucoup plus optimistes. Etat : un paradis fiscal pour les riches? , spécualtion sur les matières premières , privatisation de la sécurité , TV lobotomie , Aveugles face à la crise , L'exercice de l'Etat et la noir finance
 
En début d'année, la Banque mondiale soulignait un redressement significatif de la production industrielle mondiale. Mais aujourd'hui, on constate un ralentissement pratiquement dans toutes les régions. L'institut prévoit un taux de croissance dans le monde de 2,5% en 2012, de 3% en 2013 et de 3,3% en 2014. Au regard de la croissance de la population mondiale (actuellement environ 7 milliards d'individus), c'est au moins 3% de croissance qui sont nécessaire pour seulement maintenir l'équilibre.
 
Vidéo à voir - http://youtu.be/RZKQUaVM4rA Quoi ?! L'Union Européenne, Nobel de la Paix - sociale, économique et démocratique. Vraiment ?
  
 
La Grèce plongée en récession pour une erreur de calcul du FMI | Humanite
 
Le ministre des Finances grec, un libéral de droite, a fait un triste calcul. Il a démontré que la troïka s'était trompée amplement sur le résultat des plans d'économie. Malgré les savants calculs et les « modèles mathématiques » du FMI, il faut se rendre à l'évidence : 1 euro de rigueur, c'est 1 euro de moins dans l'économie.
 
Le pari du FMI et de la troïka c'était d'affirmer que certes, les plans de rigueur drastiques vont contracter l'économie mais pas autant que cela va permettre d'économiser. Ils avaient inventé pour chiffrer cela "le coefficient multiplicateur" des mesures de rigueur sur le recul de croissance, qu'ils avaient estimé à 0,5. Autrement dit, quand la Grèce adoptait un plan de rigueur de 50 milliards d'euros, comme celui de 2010, il y aurait 25 milliards d'économies réalisées, et 25 milliards de récession. Sauf que depuis 2009, ce fameux coefficient multiplicateur est égal à 1. Le FMI vient lui même de reconnaitre ses erreurs dans un rétro-pédalage récent
 
Une décennie perdue
 
Le FMI devra rendre des comptes !
Grèce : vers une sixième année de misère
Nikos Fotopoulos « Nous ne voulons pas vivre comme des mendiants »
La Grèce au régime spartiate
 
Accueil> Economie> Une décennie perdue
« Aveugles face à la crise
 
 Une décennie perdue
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
  Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
  Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. EADS : pertes et profits – citizenkhane, spécualtion sur les matières premières - l'indigné révolté, la grande distribution en crise? - citoyenactif, Choc de compétitivité : est-ce bien le moment? - l'indigné, spécualtion sur les matières premières - l'indigné révolté, Le risque systémique – Antalya, La  » crise » permanente - saltabank, World Compagny et la fin de la crise - alterfinance
 
 
 
A voir en autre :
Le Grand Bond en arrière  Dérèglementation , Révolution conservatrice....

Serge Halimi – Le Grand Bond en Arrière [HD] – YouTube : Serge Halimi cite Gary Becker qui estime que les hommes d'affaires ont parfois intérêt à la victoire des partis de gauche, qui sauront avoir plus facilement la confiance des syndicats, et faire passer des réformes sans heurts sociaux[31], d'autant mieux que les partis socialistes acceptent d'abandonner le socialisme[
  
Laurence Parisot au Figaro : «Certains patrons sont en état de quasi-panique»
Le Figaro Publié le 14/10/2012
Laurence Parisot, présidente du Medef, estime au Figaroque des décisions en faveur de la compétitivité doivent être prises d'urgence.
 
« Nous savons tous que la situation économique est gravissime. Moi-même, je disais avant l'élection que la situation était préoccupante. Mais aujourd'hui, nous sommes passés d'un avis de tempête à un avis d'ouragan. Certains patrons sont en état de quasi-panique« ,
 
indique-t-elle dans son diagnostic sur l'économie française.Elle assure par ailleur qu'aujourd'hui, « un vent de fronde se lève de partout, aussi bien des TPE que du CAC 40. Cela va bien au-delà d'une jacquerie fiscale. Si la coupe est pleine, c'est qu'aucun relais ne valorise l'entrepreneur en France. Tout au contraire, il se heurte en permanence à un a priori systématique contre lui. » Lire cet entretien. : INTERVIEW – La présidente du Medef estime que des décisions en faveur de la compétitivité doivent être prises d'urgence.
 
LIRE AUSSI:
» Les patrons n'ont plus confiance dans le gouvernement
» Révolte fiscale: les patrons toujours mobilisés
» «Que le gouvernement nous fasse confiance» 
 
 Medef : pour une baisse des dépenses publiques  Jugeant «essentiel pour la crédibilité de la France sur les marchés» d'atteindre l'objectif affiché par le gouvernement d'un déficit public réduit à 3 %u produit intérieur brut fin 2013, Laurence Parisot a estimé que l'une des manières d'atteindre cet objectif était de présenter un budget qui «réduise deux fois plus la dépense publique qu'il n'augmente les impôts: c'est le choix de la plupart des pays confrontés à des difficultés budgétaires» en citant l'exemple de la Suède et de l'Allemagne. «Nous allons bientôt être considérés comme l'homme malade de l'Europe si nous ne faisons pas des progrès substantiels en matière de flexibilité sur le marché du travail et en matière de réduction des dépenses publiques», a-t-elle déclaré

 
 
Une décennie perdue


 



 
 
Les malheurs de la Grèce

7 000 policiers en civils, des centaines d'agents en infiltration, des tireurs d'élite postés sur les toits, le quartier du Parlement entièrement bouclé, des hommes-grenouilles et des hélicoptères patrouillant dans le ciel...
Une scène de guerre urbaine ? La description du dispositif chargé de la protection du président américain lors d'une visite à Bagdad ?

Les peuples apprécieront !
Au moment où les peuples européens sont de plus en plus sous un régime d'austérité autoritaire, instituée par l'Europe des élites une caste au service de pouvoir financier mondial.
C'est affligeant. Debout les damnés de la terre ...


Non... tout simplement les mesures prises pour protéger Angela Merkel lors de sa visite à Athènes aujourd'hui. Objectif de la visite : renouer avec le gouvernement grec et reprendre des relations "amicales".


C'est dire la tension qui règne en Grèce ces derniers jours alors qu'une nouvelle tranche de l'aide promise par la troïka est censée être versée sous peu.
Si les ennuis de l'Espagne et de l'Italie ont détourné l'attention des médias de la Grèce, celle-ci se trouve dans une situation inextinguible.

L'effet Cantillon appliqué aux banquiers du XXIe siècle
La Grèce au pied du mur

Pour obtenir l'argent de la troïka (UE, FMI, BCE), la Grèce s'est engagée sur des mesures de rigueur en 2013 et 2014. Le gouvernement a ainsi présenté un budget pour 2013 prévoyant 7,8 milliards d'euros de réduction de dépenses et d'économies. De nouvelles restrictions qui ont soulevé l'opposition non seulement de nombreux partis politiques (comme le parti d'extrême-gauche Syrisa) mais aussi de la rue : nouvelles manifestations et grèves ont accueilli ces mesures.
 
Une décennie perdue
 
La BCE : «Baissez les salaires pour préserver l'euro» : La banque centrale européenne (BCE) revient dans une étude publiée ce 8 octobre sur les enjeux structurels de la zone euro. Ses travaux, cette année, sont consacrés exclusivement au marché du travail et l'hétérogénéité des réponses européennes pendant la crise. Ces divergences, selon la BCE, pose une menace sur la convergence des économies de la zone euro.
 
Ses recommandations : « L'ajustement des salaires aux conditions du marché du travail doit être une priorité sur les marchés du travail de la zone euro. Cela facilitera la nécessaire réallocation sectorielle, soutiendra la création d'emplois durables et la réduction du chômage. Des réformes importantes et approfondies du marché du travail sont donc nécessaires pour accroître la flexibilité de l'emploi et des salaires dans la zone euro afin de réduire le risque d'une montée persistante d'un chômage structurel et d'une baisse de la croissance potentielle. Cette stratégie de réforme est aussi l'élément clé pour une reprise économie solide dans la zone euro, qui contribuerait aussi à corriger et à prévenir les déséquilibres macro-économiques et la consolidation fiscale. Une plus grande flexibilité des marchés du travail dans la zone euro réduirait également les coûts d'ajustement associés aux chocs économiques et renforcerait l'efficacité de la politique monétaire. » 
 
En trois ans de crise, les salaires en Grèce ont baissé de plus de 25 %, le chômage touche désormais 21 % de la population active et 54 % des jeunes...
Lire le rapport de la BCE ici

 

La Grèce s'est aussi engagée dans un vaste programme de privatisations qui était censé lui rapporter 50 milliards d'euros. Seulement, pour le moment, il n'a rapporté qu'1,5 milliard.
 
La troïka s'impatiente donc, ne voyant pas les réformes prévues mises en oeuvre. Elle a fixé comme butoir pour l'application de nouvelles mesures le 18 octobre, date du prochain sommet européen.
 
La Grèce a donc jusqu'à cette date pour" faire preuve de sa bonne volonté". En jeu : le versement d'une tranche de 31,5 milliards d'euros sur les 130 milliards qui ont été promis en tout au pays. Une aide qui est d'autant plus vitale pour la Grèce que, comme l'a déclaré le Premier ministre grec Antonis Samaras, les caisses "sont vides", ou du moins le seront d'ici à fin novembre. Le pays a donc désespérément besoin de cet argent.

La Grèce résistera-t-elle à ce traitement de choc ?
La Grèce peut-elle vraiment aller plus loin dans la réduction de ses dépenses ? Les dernières prévisions du PIB laissent peu de doutes : la rigueur détruit la croissance. Le navire grec sombre, et ce bien plus que la troïka peut le renflouer.
 
La dette publique s'aggrave, passant de 169,5% en 2012 à 179,3% du PIB en 2013. Le chômage quant à lui explose littéralement. Il devrait atteindre 24,7% l'année prochaine, contre 23,5% cette année. Mais c'est surtout quand on compare les chiffres actuels avec la situation avant 2010 (un peu plus de 12% de chômage) que l'ampleur de la dégradation du marché du travail saute aux yeux.
 
Une décennie perdue - anarkia
 
Une décennie perdue
 
 
 
Est-ce que ce sera la même chose pour l'économie mondiale ? L'analyste en chef du FMI, Olivier Blanchard avertit que la sortie de la crise financière mondiale (si on pose son point de départ en 2008) pourrait s'étaler sur une décennie et qu'il pourrait ne pas y avoir de véritable reprise avant 2018... une décennie perdue.
 
Les causes en sont les problèmes dans la zone euro, le surendettement au Japon et aux Etats-Unis, le ralentissement en Chine. La croissance par la dépense (« déficit spending ») dans de nombreux pays industrialisés a tellement gonflé la dette publique que, malgré des taux d'intérêts extrêmement faibles, les politiques budgétaire et fiscale sont devenues impuissantes. Cette situation va probablement perdurer dans la mesure où seulement quelques pays ont entrepris, suffisamment tôt, la réduction de leur dette publique.

 
L'année prochaine, le pays devrait connaître sa sixième année consécutive de récession et les derniers chiffres ne sont guère encourageants. Au second trimestre 2012, la récession atteignait 6,2%. Dans ces conditions, comment envisager que la Grèce puisse satisfaire aux demandes actuelles de la troïka ?
 
Et ce d'autant plus que le reste de la zone euro est à son tour menacé par la récession et que le FMI vient de publier des chiffres inquiétants sur la croissance mondiale. Et comme le soulignent Les Echos, pour la première fois, le FMI n'a pas chaussé ses habituelles lunettes roses : "Une nouveauté toutefois. Le ton est plutôt pessimiste. 'La probabilité d'une croissance globale tombant sous les 2% en 2013 -- ce qui signifierait une récession des pays industrialisés et un sérieux ralentissement des marchés émergents et en développement -- a progressé aux environs de 17% contre 4% en avril 2012 (...)', écrivent les économistes. Quelles seraient les causes d'un tel effondrement relatif. Le FMI en recense deux principales : la zone euro, à court terme ; les Etats-Unis, à moyen terme".
 
"'La crise de la zone euro reste la menace la plus évidente pour les perspectives globales', souligne le rapport du Fonds. Tout en saluant les décisions qui ont été prises par les gouvernements de la zone euro et par la Banque Centrale Européenne, en particulier son programme d'achat de titre d'Etat, le FMI appelle à aller de l'avant. Non seulement il faut mettre en oeuvre les décisions qui ont été prises, notamment permettre au Mécanisme Européen de Stabilité (MES) d'intervenir dans le secteur bancaire et sur le marché des titres d'Etats souverains, mais le Fonds appelle à la mise sur pied effective de l'Union bancaire et d'une meilleure intégration budgétaire".
 
Dans ce contexte difficile, le cas de la pauvre Grèce semble scellé.
 
Que va-t-il se passer ?


Deux solutions sont envisagées à court terme par les élites :


1. Une restructuration (encore une !) de la dette grecque, solution soutenue par le FMI. Cette nouvelle restructuration, après celle concernant essentiellement les créditeurs privés, porterait sur les dettes détenues par les autres Etats de la zone euro.
2. Certains membres de la zone euro préféreraient quant à eux donner plus de temps à la Grèce pour mettre en place les réformes indispensables à l'équilibrage progressif de son budget et à la réduction de son endettement.

 
Quelle que soit la situation choisie, elle ne résoudra pas profondément la crise grecque. Seule véritable solution – du moins celle qui semble à la fois la plus probable et la moins douloureuse pour le pays – le défaut total sur les dettes assorti d'une sortie temporaire de la zone euro.
A suivre donc...



 
 
La crise actuelle pourrait bien sûr être résolue par des moyens déjà utilisés historiquement par ce système dans des contextes comparables: guerre(s), destruction massive des moyens de production et de la force de travail. Elle pourrait aussi durer longtemps dans un processus continu d'appauvrissement pour la plupart d'entre nous, secoué par des explosions sans issue, voire des conflits de tous contre tous (concurrence entre groupes, racisme...).
 
Mais on peut aussi penser que, pendant une crise grave prolongée, les automatismes sociaux, les habitudes, s'affaiblissent et disparaissent. Beaucoup de personnes pourraient remettre en question ce qu'elles considéraient auparavant comme naturel, inévitable. Et c'est bien pour cela que les crises sont potentiellement des moments de remise en cause du capitalisme

Une décennie perdue

Alors pourquoi cette analyse, qui est à peu près la seule à se trouver confirmée aujourd'hui par la crise récente, suscite-t-elle si peu d'attention? Pourquoi est-il si difficile d'admettre aujourd'hui que notre système est à bout de souffle? Avant tout parce que personne ne peut vraiment imaginer la fin du capitalisme. L'idée même suscite une peur panique. Tout le monde pense qu'il a trop peu d'argent, mais chacun se sent menacé. Or, c'est bien l'argent mais aussi la marchandise, le travail, la propriété et l'État, qu'il faut attaquer.
 
La disparition de cette société représente un tel bouleversement qu'on ne l'envisage pas nécessairement avec légèreté. Mais nous ne sommes pas condamnés à tenter de sauver l'économie qui chancelle et nous écrase. Nous pouvons contribuer à sa disparition. Pas pour le néant, mais pour un monde sans État et sans classes, un monde pour toutes et tous, sans exploitation ni domination.
_________________________
[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.
 
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#Posté le lundi 15 octobre 2012 18:19

Modifié le lundi 08 août 2016 11:41

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