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Charlie Chaplin - Discours - Le Dictateu

 
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AMOUR ET RÉVOLUTION
"La révolution dont je rêve est une révolution d'amour. L'amour de l'humain et l'amour de la vie. Une révolution d'amour en rupture avec l'existence actuelle qui est basée sur la peur, la violence et la haine."
Nansy (Exarcheia)
https://www.facebook.com/nansy.stamati
dans "Je lutte donc je suis" (de 1:27:22 à 1:28:41)
https://youtu.be/97HTxo20c-E?t=1h27m22s
(musique de la séquence : Loran Béthune)


 

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Charlie Chaplin - Discours - Le Dictateur - VF - francais


« Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s'effondrer.
Mon pessimisme sur tout ce qu'elle fait pour nous entraîner dans sa chute. »



"Toute vérité passe par trois stades :
En premier lieu on la ridiculise;
en deuxième lieu on s'y oppose violemment;
enfin on l'accepte comme si elle allait de soi."
SCHOPENHAUER
 
" Quelle époque terrible ou les aveugles sont dirigés par des idiots" William Shakespeare.
 de la servitude moderne : De la servitude moderne - DOCUMENTAIRE COMPLET ...

En 1516, Thomas More publiait L'Utopie. Il dénonçait “laconspiration des riches” et jetait les bases d'un genre littéraire fécond. Cinq cents ans plus tard, le critique littéraire britannique Terry Eagleton part à la recherche de ceux qui s'autorisent à encore rêver d'un monde meilleur.
 
Les fusées sont à l'Est
Janvier 2009. Barack Obama, porté par le désir de changement d'une Amérique galvanisée par son slogan “Yes we can”, rêve tout haut d'un autre monde. “Nous allons travailler sans relâche avec nos anciens amis et nos ennemis pour atténuer la menace nucléaire”, promet-il dans son discours d'investiture. Fermons les yeux pour imaginer les autocrates de l'époque – le Premier ministre russe Vladimir Poutine, l'Iranien Mahmoud Ahmadinejad, le Libyen Muammar Kadhafi ou encore le Nord-Coréen Kim Jong-il – travailler main dans la main avec le 44e président des Etats-Unis et renoncer au feu atomique.
 
Barack Obama, l'idéaliste, évoquera même quelques mois plus tard à Prague un“monde sans armes nucléaires”. En guise de réponse, Pyongyang déclenchera un essai nucléaire. C'est ce qu'on appelle un accusé de réception. Mais, en ce début de mandat présidentiel, Barack Obama continue de marcher sur l'eau. Perché sur le petit nuage d'une popularité sans frontières, il recevra à l'automne 2009 le prix Nobel de la paix.
 
Sept ans plus tard, à l'heure du bilan, que reste-t-il des belles idées du président américain ? L'Iran et Cuba ont, c'est vrai, signé des accords d'une portée historique. Mais la “stratégie de la patience” déployée par la Maison-Blanche face à la Corée du Nord s'est révélée un fiasco. Car non seulement les gesticulations de Kim Jong-un, le dictateur fantasque du royaume ermite, n'ont pas cessé, mais elles inquiètent désormais l'ensemble des dirigeants de la région, y compris ceux de Pékin.


En Syrie, le conflit risque de tourner en une nouvelle guerre froide : 
L'opposition syrienne dans une impasse
Après cinq ans de massacres et de destruction qui ont poussé la population syrienne à l'exil, voilà que Moscou et Téhéran promettent une nouvelle vie au régime de Bachar El-Assad”,s'indigne Al-Hayat dans son éditorial daté du 11 février, alors qu'une réunion internationale doit se tenir à Munich pour tenter de trouver une solution au conflit syrien. Cette rencontre se déroule moins de deux semaines après la suspension de négociations intersyriennes entre le régime et l'opposition parrainées par les Nations unies
 
A lire : Quoi encore, la Syrie ?


Cet ennemie sommet , ne va pas arrêter une guerre a tué plus de 400.000 Syriens selon le figaro, Le quotidien britannique The Guardian a publié jeudi le rapport accablant d'une ONG syrienne, le Syrian Centre for Policy Research(SCPR) qui brosse un tableau catastrophique de l'état du pays après cinq années de guerre civile et le Monde  ressemble aux autres avec le même " incertitude"", "le manque de chance de réussite", le blocage des belligérant, la focalisation Accès humanitaire plutôt qu'arrêt immédiat des bombardements Alors que l'ONU a stoppé ses propres statistiques, une ONG syrienne estime que 11,5% de la population du pays a perdu la vie ou été blessée dans un conflit qui dure depuis près de cinq ans.

69,3% des Syriens en état d'extrême pauvreté


Riyad a annoncé son intention d'envoyer des troupes au sol en Syrie, alors que l'armée régulière de Damas est en passe de reprendre la ville d'Alep, fief des rebelles, avec l'appui de l'aviation russe.
 
Pas d'accord sur un cessez-le-feu permanent, un piège selon les rebelles : le régime Instrumentaliser Daech

  Moyen-Orient : quelles sont les véritables intentions des Russes ?


 ET AUSSI...
Edward Snowden : “Laissez tomber Dropbox, Facebook et Google”COURRIER INTERNATIONAL
L'opposition syrienne dans une impasseDESSIN



«Les Américains et nos partenaires arabes doivent bien réfléchir : veulent-ils une guerre permanente ?»
Dmitri Medvedev, premier ministre russe


“Le roi saoudien Salman ben Abdelaziz Al-Saoud a expliqué dimanche 7 février que son pays ne s'ingérait pas dans les affaires intérieures d'autres pays et ne faisait que se défendre contre les ingérences des autres. Or, non seulement l'Arabie Saoudite mène déjà une guerre au Yémen, mais le pays s'apprêterait désormais à envoyer des soldats en Syrie”, s'étonne le quotidien panarabe Raï Al-Youm.
 
La prochaine vague de réfugiés viendra du Yémen



Le 4 février, Riyad a en effet officiellement déclaré qu'il envisageait l'envoi de troupes au sol en Syrie dans le cadre de la coalition – actuellement – aérienne contre Daech, sans indiquer le nombre de soldats qu'il pourrait mobiliser. Dans le même temps, des man½uvres géantes se préparent en Arabie Saoudite même, qui pourraient concerner 150 000 hommes venus de différents pays de “l'alliance sunnite” tels que le Soudan, la Jordanie, l'Egypte et d'autres pétromonarchies du Golfe.
  
Combattre Daech, mais surtout Assad

Ces man½uvres, tout comme l'annonce d'un éventuel envoi de troupes en Syrie, s'inscrivent dans la nouvelle politique étrangère très offensive de Riyad. “Si intervention militaire saoudienne il y a, elle se fera probablement à partir du territoire turc”, poursuit le journal.

Officiellement, l'objectif consiste à combattre Daech, mais le véritable but est ailleurs. Il s'agit de renverser l'équilibre des forces qui est en train de tourner en faveur du régime de Bachar El-Assad, grâce à l'appui de l'aviation russe.”
Les Saoudiens ont en effet deux “obsessions”, avance Raï Al-Youm. La première :“avoir la peau” de Bachar El-Assad, ce qui les a conduit à déployer depuis cinq ans des moyens considérables pour obtenir sa chute, mais ils craignent aujourd'hui de subir une défaite politique sur le terrain syrien.

La deuxième : former une alliance politique et militaire sunnite face à “l'axe iranien [chiite]” dont la Syrie est une pièce maîtresse.  
L'escalade sunnites-chiites



“Ils sont prêts à mobiliser toutes leurs capacités militaires et financières pour parvenir à leurs fins, quels que soient les dommages matériels et humains”, juge le journal, selon qui “les dirigeants saoudiens se laissent emporter par une pulsion de vengeance sans précédent.” 

“C'est une attitude risquée”, pointe Al-Raï Al-Youm :

Au Yémen, pays pauvre et dépourvu de moyens militaires, leur opération 'Tempête décisive' n'a pas produit de résultats décisifs en onze mois de combats. Qu'en sera-t-il quand il s'agira de faire face à l'armée syrienne, soutenue non seulement par les Iraniens et le Hezbollah, mais aussi et surtout par l'aviation russe ? L'armée saoudienne a-t-elle les moyens de vraiment peser en Syrie ? Si tel était le cas, alors l'Arabie Saoudite serait une troisième superpuissance mondiale qu'on ignorait”.

Les Saoudiens sont déterminés
Du côté de la presse saoudienne, en revanche, le doute n'est pas permis : “L'Arabie Saoudite, de même que la Turquie, ne permettra pas une victoire russo-iranienne en Syrie”, écrit ainsi Jamal Khashoggi, un des plus célèbres éditorialistes saoudiens, dans Al-Hayat. “Dans le cadre de l'alliance sunnite que la politique confessionnaliste de l'Iran nous impose, Riyad et Ankara vont se rapprocher davantage. Il est temps que les Américains comprennent que les Saoudiens et les Turcs sont sérieux : ce n'est pas du bluff. Comment faut-il le dire pour se faire comprendre ?”  
Pour reconstruire l'Irak, vaincre Daech ne suffit pas
 

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Docteur Folamour - Bande annonce FR ( Doctor Strangelove)

Khashoggi souligne la détermination saoudienne, est laisse entendre que les Saoudiens finiront par entraîner les Américains : 
Tout comme Riyad n'a pas attendu le feu vert de Washington pour intervenir au Yémen, une action sera menée en Syrie. [...]Nous devons faire pression sur les Américains pour qu'ils s'engagent à leur tour, au nom de la paix mondiale”.
L'éditorialiste compare la situation à celle de l'Europe en 1939 : “Quand la France et la Grande-Bretagne ont finalement déclaré la guerre à Hitler, elles l'ont gagnée avec l'appui des Etats-Unis. Et ceux-ci y avaient été entraînés malgré eux.”  

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Stanley Kubrick : Dr Folamour


Les utopies de Barack Obama se sont fracassées sur le 38e parallèle, qui sert de démarcation au milieu de la péninsule coréenne. “Les fusées sont à l'Est, les pacifistes à l'Ouest”, avait dit un jour (c'était en 1983) François Mitterrand lorsque les Soviétiques installaient les fameux missiles SS-20 dans les pays d'Europe centrale, pointés vers l'Europe occidentale. Aujourd'hui encore les fusées sont à l'(extrême) Est et menacent cette fois-ci les Etats-Unis. Après les nouvelles provocations, ces dernières semaines, de Pyongyang – essai nucléaire, tir de fusée –, Barack Obama va peut-être perdre patience et changer de stratégie. A moins qu'il ne se contente de déclarer qu'une “ligne rouge” a été franchie. Laissant à son successeur le soin de régler le problème de la Corée du Nord et de ses ogives nucléaires.
 
Kim Jong-un continue son jeu dangereux
 
En Europe et aux États-Unis, la progression de l'État islamique et les attentats de l'année 2015 ont provoqué une révision à la hausse de l'effort militaire. Sans que l'on sache si cette tendance sera durable.
 
Contexte géopolitique, persistance d'une forte menace terroriste, contraintes économiques, chute du prix du pétrole, échéances électorales à venir, aux États-Unis et en Europe: une équation à paramètres multiples conditionne l'effort budgétaire que consacrent à leur défense les principales puissances militaires. En Europe, et particulièrement en France, l'année 2015 a marqué un tournant, le paysage sécuritaire impactant les budgets à la hausse. Une tendance qui n'est pas forcément pérenne.
 

D'une façon générale, dans un climat sécuritaire très alourdi, l'année 2015 a confirmé une tendance déjà observée l'année précédente: «La tendance baissière qui affectait les budgets de la Défense en Europe, tout particulièrement après 2008, s'est interrompue»




HEBDO N° 1319 DU 11 FÉVRIER 2016
Y a-t-il encore des utopies ?
 
A lire aussi
Les Aryens


Tags : Charlie Chaplin, - Discours, Le Dictateur, Syrie, Bachar Al Assad
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#Posté le dimanche 14 février 2016 10:21

Modifié le dimanche 03 avril 2016 17:07

Charlie Chaplin, la légende du siècle


 
 
 
 
 
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Chaplin / Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu

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Retour sur le parcours de deux géants de l'âge d'or du cinéma comique, acteurs-réalisateurs de talent dont les destins et les carrières ont bifurqué tragiquement alors qu'ils étaient tous deux parvenus à une indépendance et à une maturité artistique totales. Longtemps présentés comme de parfaits antagonistes, Charlie Chaplin et Buster Keaton se sont acharnés, films après films, à prouver leur suprématie l'un sur l'autre, sous la forme d'une rivalité amicale. La querelle de chapelle a été entretenue par plusieurs générations de cinéphiles. Mais l'affrontement est surtout l'oeuvre des spectateurs eux-mêmes.
 
Signes particuliers : un habit noir trop grand, un corps toujours en mouvement, un rapport problématique aux objets et au monde. Signes distinctifs : l'un est jovial derrière sa petite moustache, l'autre ne sourit jamais. Charlie Chaplin et Buster Keaton se sont partagé la scène du burlesque dès les années 1910. En compétition mais pas vraiment en duel. Ce n'est que dans les années 1950 que les nouveaux théoriciens du cinéma demanderont aux cinéphiles de choisir leur camp ! En attendant, les deux saltimbanques ont affiné leur personnage de film en film. Chaplin plus poète, Keaton plus casse-cou ? L'un imprégné de réalisme social (Les Temps modernes), l'autre préoccupé par le spectaculaire (Le Mécano de la General) ?
 
Peut-être, mais les similitudes paraissent plus intéressantes que les prétendues divergences. A commencer par leur indépendance financière et idéologique vis-à-vis de l'industrie cinématographique. Et de leur déclin dès que les Studios (la MGM pour Keaton) ou les conservateurs (qui soupçonnèrent Chaplin de sympathies communistes) mirent leur grain de sel dans la mécanique terriblement efficace de leur talent.
Les nombreux extraits de films illustrent brillamment les deux parcours, jusqu'à la scène finale des Feux de la rampe, qui les réunit pour un duo émouvant et irrésistible. — Anne Dessuant
 
 Chaplin - Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu

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Duels : Chaplin et Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu
Dimanche 20 23:05 - 00:00 Chaplin - Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu Documentaire Réalisé en 2015 par  Simon Backès Fiche programme
 
Duels : Chaplin et Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu
Charlie Chaplin, la légende du siècle:Diffusé le mardi 13 mai à 21h40 sur France 2.

Il y a 100 ans exactement naissait un étrange personnage de cinéma: clochard, irrespectueux, opprimé, tendre et bouleversant, amoureux des femmes et misérable... La planète entière éclata de rire. Il fut l'homme du peuple qui refuse d'obéir et les peuples furent Charlot. Il fut la noblesse du siècle et l'homme le plus célèbre du monde. On peut à peine imaginer ce qu'était sa gloire, l'amour et la haine qu'il aura provoqués. Mais qui connait l'incroyable et magnifique histoire de Charlie Chaplin ?
 

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http://www.dailymotion.com/video/x1ug1kb_un-jour-une-histoire-charlie-chaplin-la-legende-du-siecle-teaser-france-2_tv
 
Charlie Chaplin, Charlot collection 6 - films complets - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=f6k5CqVoNzg 
Charlie Chaplin, son nom à lui seul évoque le personnage légendaire que nous connaissons avec sa célèbre moustache en brosse, son chapeau melon, ses pantalons trop grands et bien sûr sa canne, accessoire essentiel.

Charlot était et est encore l'acteur le plus connu dans l'histoire du cinéma. Il est pour toujours "le vagabond".
L'histoire de son ascension et de sa gloire est remarquable.
Chaplin est né dans la partie Sud de Londres le 16 avril 1889. Son enfance dans la pauvreté, l'insécurité quasiment dans l'indigence, avec une mère mentalement déficiente et un père qui abandonne le foyer conjugal, le jeune Chaplin fut souvent livré à lui-même.ce fut à l'âge de 9 ans qu'il fit ses débuts sur une scène au théâtre Tivoli de Manchester dans une troupe de danseurs en sabots. Bien que cela semblait impossible ce fut à cette époque que Chaplin commença sa route vers la gloire.
En raison de son enfance très difficile et des épreuves qu'il traversa que Chaplin fut résolu à réussir.
Plutôt que d'oublier son origine. Chaplin se référait continuellement à celle-ci qui faisait partie intégrante de lui-même et qui est ici dans ses films muets bien restituée.
C'est ainsi qu'il créa son personnage universel le plus connu du "Vagabond".

La force de Chaplin est d'avoir fait rire le monde entier, de l'avoir fait pleurer et aussi méditer par son génie et sa versatilité. Chaplin mourut en 1977 en Suisse où il s'était volontairement exilé. Il fut de son vivant anobli par la reine sous le nom de Sir Charles Chaplin. Sa légende est toujours vivante.

Cette vidéo contient 4 courts métrages Grands Classiques
The Champion (1915)
In the Park (1915)
A Jitney Elopement (1915)
Triple Trouble (1918)
Charlie Chaplin: The Kid (1921) : http://www.youtube.com/watch?v=b7q9hTRcJYQ


 
O Grande Ditador [The Great Dictator] - Charlie Chaplin - 1940 https://www.youtube.com/watch?v=yPQKFDf2BEM

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Best Comedy Movie Ever★The Great Dictator★Charlie Chaplin  https://www.youtube.com/watch?v=sXDiFc5MZH0


 
Demain, sur Arte, à 1h50, le magazine Court-circuit est consacré à Buster Keaton.
Duels : Chaplin et Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu
Dimanche 20 23:05 - 00:00 Chaplin - Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu Documentaire Réalisé en 2015 par  Simon Backès Fiche programme
 
Duels : Chaplin et Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu
 
 
25/09/2017
Chaplin - Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu

 
Tags : Charlie Chaplin, la légende du siècle, Chaplin / Keaton, le clochard milliardaire et le funambule déchu, documentaire, humouriste
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#Posté le mardi 13 mai 2014 16:22

Modifié le mercredi 15 novembre 2017 10:17

Le fascisme rouge


 
 
 
 
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Le fascisme rouge
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Le fascisme rouge
3 mai 2012, 21:13
 
Je viens de lire un extrait de lettre de notre vaillant camarade A. Petrini, qui se trouve en U.R.S.S., dans une situation de proscrit. J'y trouve les lignes suivantes :
 
«... Un par un on nous emprisonne tous. Les vrais révolutionnaires ne peuvent pas jouir de la liberté en Russie. La liberté de la presse et celle de la parole sont supprimées, aucune différence donc entre Staline et Mussolini».
J'ai souligné exprès la dernière phrase, car elle est parfaitement juste.
Cependant, pour bien comprendre toute la justesse de cette brève formule, pour bien saisir tout son terrible réalisme, il est indispensable d'avoir du fascisme une notion profonde et nette : plus profonde et plus nette que celle qui est généralement admise dans les milieux de gauche.
Ayant cette notion, le lecteur comprendra la phrase de Petrini non pas comme une sorte de boutade, mais comme l'expression exacte d'une très triste réalité.
*
* * Lorsque il y a douze ans, le mouvement de Mussolini — le fascisme italien remporta sa victoire, on croyait généralement que celle-ci n'était qu'un épisode local, passager, sans lendemain.
Depuis, non seulement le «fascisme» s'est consolidé en Italie, mais des mouvements analogues se déclenchèrent et l'emportèrent dans plusieurs pays. Dans d'autres, le «fascisme», sous tel ou tel aspect, forme un courant d'idées menaçant. Le terme lui-même, d'abord purement national, est devenu général, international.
 
Cet état de choses nous impose la conclusion que voici : le mouvement dit «fasciste» doit avoir des bases historiques concrètes, profondes et vastes. Dans le cas contraire, il ne serait pas ce qu'il est.
 
Quelles seraient donc ses bases? Quelles seraient les raisons principales de la naissance et, surtout, des succès du fascisme?
 
Pour ma part, j'en conçois trois, que je considère, dans leur ensemble, comme raisons fondamentales de son triomphe.
 
1° Raison économique. Elle est assez nette et généralement bien comprise. En quelques mots la voici : Le capitalisme privé (dont la base économique est la libre concurrence des appétits pour le maximum de profits, et dont l'expression politique est la démocratie bourgeoise) est en pleine décomposition, en pleine faillite. Violemment attaqué par tous ses ennemis, de plus en plus nombreux, il s'écroule dans la boue, dans le crime, dans l'impuissance. Les guerres, la crise, les armées de chômeurs, la misère des masses, face à l'abondance des richesses matérielles et à la possibilité illimitée de les augmenter encore, démontrent cette impuissance du capitalisme privé à résoudre les problèmes économiques de l'époque. D'une façon de plus en plus générale, on est, aujourd'hui, conscient de son agonie, de sa mort imminente. Alors instinctivement ou sciemment, on pense à lui substituer un capitalisme nouveau modèle, dans l'espoir que ce dernier pourra «sauver le monde». On pense — une fois de plus dans l'histoire humaine — à la haute mission d'un État fort, tout-puissant, à base dictatoriale. On pense à un capitalisme d'État, dirigé par une dictature «au-dessus des intérêts privés». Telle est la nouvelle orientation du capitalisme qui alimente le mouvement fasciste économiquement.
 
2° Raison sociale. Elle est aussi très nette et, généralement, bien comprise. La faillite du capitalisme privé, avec toutes ses conséquences effroyables, crée une situation nettement révolutionnaire. Les masses, de plus en plus malheureuses, s'agitent. Les courants révolutionnaires gagnent du terrain. Les travailleurs organisés se préparent, de plus en plus activement, à combattre le système qui les écrase au profit de bandes de malfaiteurs. La classe ouvrière, librement et combativement organisée (politiquement, syndicalement, idéologiquement) devient de plus en plus gênante, de plus en plus menaçante pour les classes possédantes.
 
Ces dernières se rendent compte de leur situation précaire. Elles ont peur. Alors, instinctivement ou sciemment, elles cherchent le salut. Elles s'efforcent de maintenir, à tout prix, leur situation privilégiée, basée sur l'exploitation des masses laborieuses. Il importe surtout que ces dernières restent un troupeau exploité, salarié, tendu par les maîtres.
 
S'il est impossible de maintenir le mode d'exploitation actuel, il faudra changer le mode (ce qui n'est pas grave), pourvu que le fond reste. Les maîtres d'aujourd'hui pourront rester tels s'ils acceptent de devenir membres d'un vaste appareil dirigeant, économique, social et politique, essentiellement étatiste. Or, pour réaliser cette nouvelle structure sociale, il faut disposer, avant tout, d'un État omnipotent, mené par un homme fort, un homme à poigne, un dictateur, un Mussolini, un Hitler ! Telle est la nouvelle orientation du capitalisme qui alimente le fascisme socialement.
*
* *
Si le fascisme n'avait que ces deux bases : base économique et base sociale, il n'aurait jamais acquis la puissance que nous lui connaissons. Sans aucun doute, les masses travailleuses organisées lui auraient, rapidement et définitivement barré la route. En effet, les moyens avec lesquels la classe laborieuse lutte généralement contre le capitalisme resteraient valables sauf quelques remaniements de détails, pour lutter efficacement contre la réaction et le fascisme. Ce ne serait que la continuation de la grande lutte historique des travailleurs contre leurs exploiteurs. Combien de fois, déjà, au cours de l'histoire, l'ennemi changea de méthode, de façade ou d'armes! Ceci n'empêchait nullement les travailleurs de continuer leur lutte, sans perdre l'équilibre ou l'assurance, sans se laisser démonter par les man½uvres de et les volte-face de l'adversaire.
 
Or, voici ce qui est important. Le fascisme, tout en étant considéré comme une nouvelle man½uvre (défensive et offensive) du capitalisme remporta partout où il s'est mis sérieusement à l'½uvre, un tel succès — éblouissant, extraordinaire, fantastique — que la lutte de la classe laborieuse s'avéra du coup et partout, — en Italie comme en Allemagne, en Allemagne comme en Autriche, en Autriche comme en d'autres pays, — non seulement difficile, mais absolument inefficace et impuissante. Non seulement la démocratie libérale bourgeoise ne sut se défendre, mais aussi le socialisme, le communisme (bolcheviste) ; le mouvement syndical, etc., furent absolument impuissants à combattre le capitalisme aux abois man½uvrant pour se sauver. Et non seulement toutes ces forces ne purent livrer une résistance victorieuse au capitalisme réorganisant ses rangs bouleversés, mais ce fut ce dernier qui, rapidement, se regroupa et écrasa tous ses ennemis.
 
Impuissance du socialisme, qui était si fort en Allemagne, en Autriche, en Italie. Impuissance du «communisme», très fort, lui aussi, surtout en Allemagne. Impuissance des organismes syndicaux. Comment expliquer cela ?
 
Le problème, déjà assez compliqué, le devient davantage si l'on songe à la situation actuelle en U.R.S.S. Comme on sait, ce fut le communisme autoritaire et étatiste (le bolchevisme) qui y remporta une victoire complète et assez facile lors des événements de 1917. Or, de nos jours, presque 17 ans après cette victoire, non seulement ce communisme s'avère impuissant à résister au fascisme dans d'autres pays, mais même en ce qui concerne le régime de l'U.R.S.S., on qualifie ce dernier, de plus en plus fréquemment, de plus en plus sciemment, de «fascisme rouge». On compare Staline à Mussolini. On constate dans ce pays l'exploitation féroce des masses travailleuses par l'appareil dirigeant, comprenant un million de privilégiés qui s'appuient, comme partout ailleurs, sur une force militaire et policière. On y constate l'absence de toute liberté. On y constate des persécutions arbitraires et impitoyables. Et ce qui importe, c'est que de pareilles constatations ou appréciations émanent non pas des milieux bourgeois, mais surtout des rangs révolutionnaires : socialistes, syndicalistes, anarchistes, et même des rangs de l'opposition communiste (trotskiste) qui, pour cette raison, «reprend la lutte émancipatrice» et forme la IVe Internationale.
 
Tous ces faits sont extrêmement troublants. Ils nous mènent fatalement à cette conclusion, paraissant paradoxale, que même en U.R.S.S., quoique sous des apparences différentes, c'est le fascisme qui l'emporte ; que c'est un nouveau capitalisme (capitalisme d'État dirigé par un homme à poigne, un dictateur, un Staline !) qui s'installe.
 
Comment expliquer tout cela ?
Y aurait-il donc encore un élément, encore une base, encore une raison d'être qui donnerait au fascisme une force tout à fait particulière ?
 
Je réponds : oui. C'est la troisième raison : celle, précisément, qu'il me reste à examiner. Je la considère comme la plus importante, en même temps que la plus compliquée et la moins comprise. C'est elle, cependant, qui nous explique tout.
 
3° Raison psychologique (ou idéologique). La raison fondamentale des succès fascistes et de l'impuissance des forces émancipatrices est, à mon avis, l'idée néfaste de la dictature. Je dirai même plus. Il existe une idée répandue à un tel point qu'elle est devenue presque un axiome. Des millions et des millions d'hommes s'étonneraient, aujourd'hui encore, si on la mettait en doute. Mieux encore : bon nombre d'anarchistes et de syndicalistes ne la tiendraient pas, eux non plus, pour suspecte. Pour ma part, je la considère comme foncièrement fausse. Or, toute idée fausse acceptée comme juste est un grand danger pour la cause qu'elle touche. L'idée en question est celle-ci : Pour gagner dans la lutte et conquérir leur émancipation, les masses travailleuses doivent être guidées, conduites par une «élite», par une «minorité éclairée», par des hommes «conscients» et supérieurs au niveau de cette masse.
 
Qu'une pareille théorie, — qui, pour moi, n'est qu'une expression adoucie de l'idée de dictature car, en fait, elle enlève aux masses toute liberté d'action et d'initiative — , qu'une pareille théorie soit préconisée par des exploiteurs, rien d'étonnant. Pour être exploitées, les masses doivent être menées et soumises comme un troupeau. Mais qu'une telle idée soit ancrée dans l'esprit de ceux qui se prétendent émancipateurs et révolutionnaires, c'est un des phénomènes les plus étranges de l'histoire. Car — ceci me paraît évident, — pour ne plus être exploitées, les masses ne doivent plus être menées. Tout au contraire: les masses travailleuses arriveront à se débarrasser de toute exploitation seulement lorsqu'elles auront trouver le moyen de se débarrasser de toute tutelle, d'agir par elles-mêmes, de leur propre initiative, pour leurs propres intérêts, à l'aide et au sein de leurs propres et véritables organismes de classe : syndicats, coopératives, etc., fédérés entre eux.
 
Le fascisme rouge
 
L'idée de la dictature — brutale ou adoucie — étant universellement répandue et adoptée, la route est toute prête pour la psychologie, l'idéologie et l'action fascistes. Cette psychologie pénètre, empoisonne et décompose tout le mouvement ouvrier et l'engage dans une voie périlleuse.
 
Si la dictature est jugée nécessaire pour mener la lutte émancipatrice de la classe ouvrière, la lutte des classes devient, en réalité, lutte des dictateurs entre eux. Au fond, il s'agit, dans cette lutte, de savoir qui conservera ou gagnera l'emprise décisive sur les masses. L'issue de la lutte dépend alors de toutes sortes de circonstances, d'un caractère plutôt accessoire. Ici, c'est le dictateur X, là le dictateur Y ou Z qui l'emporte. L'un ou l'autre peuvent afficher des idéals très différents, même opposés. Il n'en reste pas moins qu'au lieu d'une libre et vaste activité des masses elles-mêmes, c'est le vainqueur qui va mener les masses, forcées de le suivre, sous peine de répression terrible. Il est évident qu'une telle perspective ne peut avoir rien de commun avec l'émancipation réelle des masses travailleuses.
 
L'idée de la dictature, de l'élite dirigeante, mène fatalement à la formation de partis politiques: Organismes qui enfantent et soutiennent le futur dictateur. Enfin, tel ou tel parti l'emporte sur les autres. C'est alors sa dictature installée. Quelle qu'elle soit, elle crée rapidement des situations et, finalement, des couches privilégiées. Elle soumet les masses à sa volonté. Elle les opprime, les exploite, et, au fond, devient fatalement fasciste.
*
* *
Ainsi, je conçois le fascisme d'une façon vaste. Pour moi, tout courant d'idée qui admet la dictature — franche ou estompée, «droite» ou «gauche» — est au fond, objectivement et essentiellement, fasciste. Pour moi, le fascisme est surtout l'idée de mener les masses par une «minorité», par un parti politique, par un dictateur. Le fascisme, au point de vue psychologique et idéologique, est l'idée de la dictature. Tant que cette idée est émise, propagée, appliquée par les classes possédantes, on la comprend. Mais quand la même idée est saisie et mise en pratique par des idéologues de la classe laborieuse comme le moyen de son émancipation, on doit considérer ce fait comme une aberration funeste, comme une singerie aveugle et stupide, comme un égarement périlleux. Car étant essentiellement fasciste, cette idée, appliquée, mène fatalement à une organisation sociale foncièrement fasciste.
 
Cette vérité a été justement démontrée — sans contestation possible — par «l'expérience russe». L'idée de la dictature comme moyen d'émancipation de la classe ouvrière y a été pratiquement appliquée. Eh bien ! son application produisit fatalement l'effet qui devient aujourd'hui de plus en plus net et que, bientôt, les plus ignorants, les plus aveugles, les plus obstinés, seront obligés de constater : la révolution triomphante, au lieu de mener à l'émancipation de la classe ouvrière, aboutit en fait, et en dépit de toutes les théories des émancipateurs-dictateurs, à l'esclavage et à l'exploitation les plus complets, les plus terribles, de cette classe ouvrière par une classe dirigeante privilégiée.
 
Telle est la troisième et principale raison de la puissance particulière du fascisme. Il est alimenté surtout par l'idéologie foncièrement fasciste — inconsciemment fasciste — d'une multitudes de gens qui seraient les premiers étonnés et indignés si on les accusait de fascisme. Cette idéologie, répandue partout, voire parmi les «émancipateurs» et les travailleurs eux-mêmes, empoisonne le mouvement ouvrier, le ramollit, le décompose. Elle tue la vrai activité des masses et réduit à néant — ou plutôt au résultat fasciste — leurs luttes et même leurs victoires.
 
Voilà pourquoi — hélas ! — Petrini a raison. «Aucune différence n'existe entre Staline et Mussolini». Et voilà pourquoi le «fascisme rouge» n'est nullement une boutade, mais l'expression exacte d'une bien triste réalité.
Une consolation existe cependant. Les masses s'instruisent surtout par l'expérience vécue, bien palpable. Cette expérience est là. Elle est là tous les jours, sur une sixième partie du globe. Ses véritables résultats commencent à être connus de plus en plus amplement, avec de plus en plus de précisions. Il faut espérer que les masses travailleuses de tous les pays sauront en dégager, en temps opportun, la leçon indispensable pour le succès de leurs luttes futures.
 
La réalisation de cet espoir dépend beaucoup de la conduite de tous ceux qui ont déjà compris. Il est de leur devoir de s'employer, avec la plus grande énergie, à faire comprendre aux vastes masses travailleuses le véritable sens négatif de l'expérience russe.
 
Nous, les anarchistes, nous qui avons compris, nous devons amplifier, intensifier notre propagande, en tenant compte surtout de cette expérience. Si nous remplissons notre devoir, si nous aidons les masses à la comprendre en temps opportun, alors «le fascisme rouge» de l'U.R.S.S. aura rempli, historiquement parlant, un rôle utile : celui d'avoir tué, en l'appliquant, l'idée de la dictature.
VOLINE
 juillet 1934
 
Communisme & nationalisme (1870-1991) Communisme & Guerre : : Communisme et nationalisme. Conférence-débat à l'Université d'Ottawa (Canada) de Stéphane Courtois (historien). 19.11.2010

Stéphane Courtois présente une conférence intitulée « Résurgence des nationalismes dans l'ex-Union soviétique ». L'activité est présentée par le Centre Interdisciplinaire de Recherche sur la Citoyenneté et les Minorités (CIRCEM) et le département de sociologie et d'anthropologie (Faculté des sciences sociales).

CHAPITRAGE
- François Charbonneau
[00:00] remerciements (Daniel Tanguay, Stéphane Vibert, revue Argument)
[00:53] présentation de S.Courtois
- Stéphane Courtois
[02:33] avant-propos
[04:22] introduction: relations entre socialisme et nationalisme avant 1914 (montée de l'État-nation, guerre franco-prussienne, Commune, IIe Internationale, internationalisme, Jean Jaurès, Lénine, Union Sacrée, Mussolini)
[XX:XX] 1914-17 (Révolution de Février, Kerenski, Marcel Cachin, Lénine, bolcheviks, Staline, Constitution soviétique de 1918, RSFS de Russie, guerre soviéto-polonaise)
[XX:XX] 1921 (invasion de la Géorgie, mencheviks, révolte ouvrière de Pétrograd, révolte de Kronstadt, NEP)
[XX:XX] 1924 (Soulèvement d'Août, Ordjonikidze, Beria, Trotski)
[XX:XX] 1922 (création de l'URSS, Staline)
[XX:XX] 1924 (mort de Lénine, répression en Géorgie)
[XX:XX] 1929 (collectivisation, paysannerie ukrainienne)
[XX:XX] 1930-33
[XX:XX] 1937-38
[XX:XX] 1935-37
[XX:XX] 1939-41 (pacte Molotov-Ribbentrop, propagande PCF: La Vérité Sur 1939, ...)
[XX:XX] 1940
[XX:XX] 1944-45
[XX:XX] 1978 (Carrère d'Encausse: L'Empire Éclaté)
[XX:XX] 1989-90 (Voie balte)
[XX:XX] 1991
[1:01:30] communismes non-soviétiques
[1:01:48] Chine (propagande maoïste, révolution chinoise sous contrôle de Staline, ...)
[1:06:58] Cambodge (Khmers rouges, propagande vietnamienne, PCF & Pol Pot, Kang Sheng, Phnom Penh, Jean Lacouture & fascisme rouge, Douch)
[1:11:12] débat (Questions / Réponses)
[1:12:56] Q/R 1 (nationalisme tchétchène)
[1:20:38] Q/R 2 (fin de l'URSS & réveil des nationalismes)
[1:48:37] Q/R 3 (communisme & violence)

 

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2eme Guerre Mondiale - Heinrich Himmler 07/10/1900-23/05/1945 : http://www.youtube.com/watch?v=3ooaL1XEGhQ

 
L'expérience de la Troisième Vague : http://www.youtube.com/watch?v=faw5t0oo3ns :
Pendant une semaine d'atelier, un professeur de collège propose à ses élèves une expérience ayant pour but de leur expliquer comment fonctionne un régime totalitaire. Commence alors un jeu de rôles aux conséquences tragiques. Au bout de quelques jours, ce qui avait débuté par des notions inoffensives telles que la discipline et l'esprit communautaire, devient alors un véritable mouvement : LA VAGUE. © Constantin Film Verleih Gmbh. (Titre original: Die Welle)
Die Welle (2008) ( Nederlandse ondertitels ) ( Dutch subs. )
HD: "La ola" - "Die Welle - Una dictadura, ¿es posible en nuestros


 
 

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#Posté le samedi 14 septembre 2013 04:29

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