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LA GREVE GENERALE

 
n
 
René binamé-la révolte .flv

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La vie, le malheur, l'isolement, l'abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros, héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres.
Les révolutions sortent, non d'un accident, mais de la nécessité.
Les Misérables (1862)
;">Victor Hugo

Qui ne se souvient pas de cette chanson que chante Gavroche dans Les misérables de Victor Hugo :


« Je suis tombé par terre, 
C'est la faute à Voltaire,
Le nez dans le ruisseau,
C'est la faute à Rousseau
. »
 
le contexte historique. Voltaire et Rousseau ont beaucoup influé sur la révolution, c'est pourquoi dans certains cercles, des royalistes, les en tenaient pour responsables

Fichtre ! fit Gavroche. Voilà qu'on me tue mes morts. [...], il chanta : On est laid à Nanterre, C'est la faute à Voltaire, Et bête à Palaiseau, C'est la faute à Rousseau. [...] Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta : Je ne suis pas notaire, C'est la faute à Voltaire, Je suis petit oiseau, C'est la faute à Rousseau. Une cinquième balle ne réussit qu'à tirer de lui un troisième couplet : Joie est mon caractère, C'est la faute à Voltaire, Misère est mon trousseau, C'est la faute à Rousseau. Cela continua ainsi quelque temps. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu follet. [...]. Je suis tombé par terre, C'est la faute à Voltaire, Le nez dans le ruisseau, C'est la faute à... Il n'acheva point. Une seconde balle du même tireur l'arrêta court. Cette fois il s'abattit la face contre le pavé, et ne remua plus. Cette petite grande âme venait de s'envoler.

Les Misérables, vol. 2, Victor Hugo, éd. Le Livre de Poche, 1998 (ISBN 2-253-09634-2), t. V (« Jean Valjean »), chap. XV (« Gavroche dehors »), livre I (« La guerre entre quatre murs »), p. 1631-1634
 
Face à la grève sauvage des coursiers depuis jeudi à Londres, un manager de Deliveroo cherche à s'adresser aux grévistes.
Il leur explique qu'il sera ravi de leur expliquer individuellement pourquoi leur base de rémunération fixe est supprimée au profit d'une paye à la livraison - ce qui équivaut à un salaire à la pièce, comme on n'en fait plus depuis le 19ème siècle. 
La réponse est immédiate : c'est non !
Et pourtant, les dirigeants de l'entreprise qui a levé près de 255 millions d'euros depuis le début du mois, la "start-up" valorisée à plus d'1 milliard d'euros sur les marchés financiers, ne cherchent que le bonheur de leurs salarié-e-s ! Ce qu'elle leur offre n'a pas de prix : c'est la liberté. 
Ben oui la paye à la livraison, c'est la flexibilité: on bosse quand on veut. Et même quand on veut pas d'ailleurs, parce qu'il faut bien gagner de l'argent. Mais bon, ils sont libres, non ?
Si c'est ça l'économie "collaborative", ça fait encore une raison de plus de ne jamais vouloir collaborer. 
Nous, on appelle ça du capitalisme, et vu la merde que c'est, on n'en veut plus ! Ce qu'on veut, à Londres comme ailleurs, c'est tout le pouvoir aux travailleurs !
Source Libération
 
N'oublions pas que l'affaire Take Eat Easy se poursuit : Source Le Figaro




 
 
4 extraits d'Une Histoire de la Grève Générale [HD] - YouTube


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CNT AIT 71

LA GREVE GENERALE
La « grève générale » est sans aucun doute une arme de lutte puissante aux mains du prolétariat ; elle est ou elle peut être une façon et l'occasion de déclencher une révolution sociale radicale. ... la grève générale pourrait être un moyen efficace de transformation sociale, mais à condition de la comprendre et de l'utiliser autrement que ne le faisaient les artisans de la grève générale.


Aux premier temps du mouvement socialiste, on comprenait clairement que le régime soutenu par la force des baïonnettes ne pouvait être abattu que si l'on amenait une partie des soldats à se transformer en défenseurs du peuple et si on battait dans une lutte armée les forces de police et ceux des soldats qui étaient restés fidèles à la discipline. ... C'est pourquoi on conspirait, c'est à dire qu'on faisait une propagande active parmi les soldats, on cherchait à s'armer, on préparait des palans d'action militaires.
 
A vrai dire, les résultats étaient maigres parce que nous étions peu nombreux, parce que les buts sociaux pour lesquels on voulait faire la révolution étaient méconnus et rejetés par l'ensemble de la population ; parce que, en somme, « les temps n'étaient pas mûrs ».
 
Mais la volonté de préparer l'insurrection existait et elle trouvait peu à peu le moyen de se réaliser, la propagande commençait à toucher plus de gens et à porter ses fruits ; « les temps mûrissaient », ce qui était dû en partie à l'action directe des révolutionnaires et plus encore à l'évolution économique qui, en aiguisant le conflit entre travailleurs et patrons, développait la conscience de ce conflit, ce dont les révolutionnaires tiraient parti.
 
Les espoirs placés dans la révolution sociale augmentaient, et il semblait certain qu'à travers les luttes, les persécutions, les tentatives plus ou moins « inconsidérées » et malheureuses, les arrêts et les reprises d'activité fébrile, on arriverait dans un temps assez proche à déclencher l'explosion finale et victorieuse qui devait abattre le régime politique et économique en vigueur et ouvrir la voie à une évolution plus libre vers de nouvelles formes de vie en commun fondées sur la liberté de tous, la justice pour tous, la fraternité et la solidarité entre tous.
 
Mais le marxisme vint freiner de ses dogmes et de son fatalisme l'élan volontariste de la jeunesse .... Et malheureusement, avec ses apparences scientifiques (on était en pleine ivresse scientiste), le marxisme leurra, attira et fit se fourvoyer la plupart des anarchistes.
 
Les marxistes se mirent à dire que « la révolution ne se fait pas, elle vient » ; que le socialisme viendrait nécessairement suivant « le cours naturel et fatal des choses » et que le facteur politique (à savoir la force, la violence mise au service des intérêts économiques) n'a , aucune importance, le facteur économique déterminant la vie sociale tout entière. Et ainsi la préparation de l'insurrection fut laissée de côté et pratiquement abandonnée.
 
Je ferai remarquer au passage que si les marxistes méprisaient toute lutte politique lorsque c'était une lutte qui tendait à l'insurrection, ils décidèrent soudain que la politique était le principal moyen, et presque le seul, pour faire triompher le socialisme dès qu'ils entrevirent la possibilité d'entrer au parlement et de donner à la lutte politique le sens restrictif de la lutte électorale. Et ils s'employèrent ainsi à éteindre dans les masses tout enthousiasme pour l'action insurrectionnelle.
 
C'est alors que, devant cet état de choses et cet état d'esprit général l'idée de la grève générale fut lancée et accueillie dans l'enthousiasme par ceux qui n'avaient pas confiance dans l'action parlementaire et qui voyaient dans la grève générale une voie nouvelle et prometteuse qui s'ouvrait à l'action populaire.
Mais le malheur, c'était que la plupart ne voyaient pas dans la grève générale un moyen de pousser les masses à l'insurrection, autrement dit à abattre par la violence 1e pouvoir politique et à prendre possession de la terre, des instruments de production et de toute la richesse sociale. Pour eux, la grève générale remplaçait l'insurrection ; ils y voyaient un moyen pour « affamer la bourgeoisie » et la faire capituler sans coup férir.
 
Et comme il est fatal que le comique et le grotesque soient toujours mêlés jusque dans les choses les plus sérieuses, il y en a qui entreprirent de chercher des herbes et des « pilules » capables de soutenir indéfiniment le corps humain sans qu'il soit nécessaire de se nourrir, et ceci, afin de les signaler aux travailleurs et de les mettre en mesure d'attendre dans un jeûne pacifique que les bourgeois viennent présenter leurs excuses et demander pardon. Voilà pourquoi j'estime que l'idée de la grève générale à fait du tort à la révolution.
 
Mais j'espère et je crois que cette illusion-faire capituler la bourgeoisie en l'affamant a complètement disparu ; s'il en restait encore, les fascistes se sont chargés de les dissiper.
 
La grève générale de protestation pour appuyer des revendications d'ordre économique ou politique compatibles avec le régime peut être utile si elle est faite à un moment propice, quand le gouvernement et les patrons trouvent opportun de céder tout d'un coup, par peur du pire. Mais il ne faut pas oublier qu'il faut manger tous les jours et que si la résistance se prolonge, ne serait-ce que quelques jours, il faut soit se courber ignominieusement sous le joug des patrons, soit s'insurger ...même si le gouvernement ou les forces spéciales de la bourgeoisie ne prennent pas l'initiative de la violence.
 
Il s'ensuit que si on fait une grève générale, que ce soit pour résoudre définitivement le problème ou que ce soit dans des buts transitoires, on doit être décidé et s'être préparé à résoudre la question par la force.
E.Malatesta
 
 
 
Reprise des manifestations contre la loi travail, procès de la "chemise arrachée" à Air France, élections dans les TPE... Le calendrier est déjà chargé.
 
Mobilisation le 15 septembre, 
Les 27 et 28 septembre devant le tribunal correctionnel de Bobigny, mobilisation de soutien au quinze salariés d'Air France convoqués.
 
Extrait de l'article: "Bien que la loi travail ait été promulguée le 8 août après le feu vert du Conseil constitutionnel, les syndicats qui s'y opposent réclament toujours son retrait. CGT, FO, Solidaires, FSU, Unef, UNL et Fidl ont lancé un nouvel appel à la mobilisation dans toute la France le 15 septembre. Ils décideront le 31 août des actions qui seront menées. L'intersyndicale refuse d'évoquer un « baroud d'honneur », mais se pose la question de l'impact de cette initiative sur un gouvernement qui n'a pas hésité à dégainer à trois reprises l'article 49.3 pour adopter son projet sans vote.
 
Procès Air France
Les 27 et 28 septembre, quinze salariés d'Air France sont convoqués devant le tribunal correctionnel de Bobigny : cinq devront répondre de « violences en réunion » et encourent jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende, les dix autres de « dégradations » en marge d'un comité central d'entreprise (CCE) chahuté, il y a près d'un an, à l'annonce d'une restructuration menaçant 2 900 emplois. Les images de deux responsables d'Air France qui s'étaient retrouvés l'un torse nu, l'autre avec la chemise en lambeaux avaient marqué les esprits.
 
Début août, la ministre du Travail, Myriam El Khomri, a autorisé le licenciement de l'un des cinq, délégué syndical CGT. Les quatre autres avaient été licenciés dès novembre 2015 pour « faute lourde ». Les dix derniers avaient été condamnés à une mise à pied de 15 jours sans solde. CGT, FO et Solidaires appellent à manifester devant le tribunal pour réclamer leur relaxe. Par ailleurs, dès le 24 août, syndicats de stewards et hôtesses reprendront les négociations sur l'accord d'entreprise fixant les règles de travail, de rémunération et d'avancement, qui avaient donné lieu à une semaine de grève fin juillet.

Grève à SFR, tensions chez Renault
Le 6 septembre, CGT et CFE-CGC appellent les salariés du groupe SFR Numericable à une journée nationale de grève pour l'emploi et les conditions de travail. Les deux syndicats n'ont pas signé l'accord entre la direction de SFR, la CFDT et l'Unsa sur un plan de départs volontaires prévoyant des suppressions d'emplois, deux ans après son rachat par Numericable (Altice).
 
 
 
Grève à SFR, tensions chez Renault
Le 6 septembre, CGT et CFE-CGC appellent les salariés du groupe SFR Numericable à une journée nationale de grève pour l'emploi et les conditions de travail. Les deux syndicats n'ont pas signé l'accord entre la direction de SFR, la CFDT et l'Unsa sur un plan de départs volontaires prévoyant des suppressions d'emplois, deux ans après son rachat par Numericable (Altice).
 
Après PSA, les négociations doivent commencer chez Renault en septembre entre syndicats et direction pour un nouvel accord de compétitivité triennal (2017-2019). Après les efforts du précédent plan (8 000 départs sans licenciements, augmentation du temps de travail...), les syndicats veulent aborder les conditions de travail, l'emploi précaire et le niveau des salaires.
 
Des élections sur la représentativité des syndicats dans les très petites entreprises (moins de 10 salariés) se tiendront à partir du 28 novembre, et les résultats seront communiqués le 22 décembre. L'enjeu est de taille: le scrutin servira de base pour désigner les représentants syndicaux dans les futures commissions paritaires régionales (CPRI) créées par la loi Rebsamen en 2015 pour représenter les salariés et les employeurs des TPE, mais aussi désigner les juges prud'homaux et calculer la représentativité des syndicats au niveau national dans le privé."
 
Nous ne disons pas ça parce que nous sommes des ex Goodyear mais la, cette fois ci y a plus à chercher à comprendre ils veulent nous dézinguer....
 
Bien-sûr nous sommes les 8 Goodyear certainement les plus touchés (24 mois de prison dont 9 fermes !)
Mais il serait grand temps que les instances listent tous les camarades, militants, manifestants menacés et que nous lancions une grande offensive nationale pour exiger l'arrêt de TOUTES les poursuites ....
Des jeunes ont été emprisonnés, des camarades sont convoqués, d'autres menacés de prison ,il va falloir se mobiliser à la hauteur de cette situation inadmissible !!!
 
Nous proposons de faire du 15 septembre un énorme mouvement sur Paris qui permette de redémarrer la lutte au plus fort, ensuite faire des journées où sont convoqués des camarades, des journées d'actions nationales !!!! (...)
 
Pourquoi la grève - YouTube
Film réalisé par Paul Seban pour la CGT de Georges Séguy à l'occasion de l'émission "A armes égales", 1971.

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Les Misérables - 21 - La Faute A Voltaire

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Les Miserables - vf - Version 2000 - Part 01

Le rêve de la grève générale - L'info dans le rétro (27/05/2016)
La France immobilisée, un scénario aux airs de déjà vu. En 1995, on s'en souvient, transports, écoles, les fonctionnaires se mobilisent pour protester contre le « plan Juppé » sur les retraites et la sécurité sociale. Au moment où les syndicats menacent de bloquer à nouveau le pays, Thomas Snégaroff se penche dans le « rétro » avec Bernard Thibault, ancien secrétaire général de la CGT et Jean-Marie Pernot, chercheur spécialiste des syndicats, sur le mythe de la grève générale, menace souvent brandie.
Avec :
Jean-Marie PERNOT : Chercheur à l'Institut de Recherches Economiques et Sociales,
Bernard THIBAULT : membre du conseil d'administration de l'Organisation internationale du travail .
A armes égales - Archives vidéo et radio Ina.fr


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" 60 61, LA GREVE " un documentaire de Jean-Christophe ... - YouTube
 
 

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Les Misérables (1862). - 304 citations - Référence citations
Les Misérables (1862) :


Les Misérables - Wikiquote, le recueil de citations libres
La Faute à Voltaire
Citations gavroche - Citation et proverbe sur gavroche
Gavroche, extrait des Misérables de Victor Hugo - Ralentir travaux

“Por Todo El Oro de Colombia” - Roméo Langlois & Pascale Mariani (2012) completo!
Le Rémouleur
Le Rémouleur
106, rue Victor Hugo
93170 Bagnolet
(M° Robespierre ou M° Gallieni)
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Mail : leremouleur@riseup.net
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document au format PDF:

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Tags : 60 61, LA GREVE, documentaire, 'Une Histoire de la Grève Générale, A armes égales -, Les Miserables, Por todo el oro de Colombia, docmentaire, Pour tout l'or de la Colombie", Pascale Mariani, Roméo Langlois, 2012, Le Rémouleur, HK et Les Saltimbanks -, Toute mon vie, Les charlots, - Merci patron.
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#Posté le dimanche 07 août 2016 08:50

Modifié le lundi 12 septembre 2016 14:24

"JE LUTTE DONC JE SUIS"

 
n
 
"PEUX T'ON RIRE DE LA CRISE FINANCIERE AVEC TOUT LE MONDE ?
BONNE QUESTION !


" Passé un certain degré de généralisation, la dérision devrait plutôt être prise pour un symptôme inquiétant, celui d'un stade de détérioration démocratique où, toutes les protestations étant vouées à rester ignorées, tous les médiateurs ayant cessé de médiatiser, tous les "représentants" ayant trahi la représentation, il ne reste plus à la masse des gouvernés que le parti d'en rire, parti despéré, à qui la dérision, seule chose qui lui reste, est l'arme du tout dernier recours - avant peut-être de se retourner brutalement et d'en venir aux pavés". Frédéric Lordon (Surréalisation de la crise)". Marie Pierre Bruyat, Chomeurs Rebelles
 
Un monument de théatre, de rire ouvert a tous !!
On peut rire de la crise financière mais pas avec n'importe qui !!! Voir dans Message à caractère informatif - abri anti-nucléaire , , Peut-on rire de la crise financière avec tout le monde ? - Bienvenue sur le blog d'Isabelle VOLAT, Serge Halimi : Les nouveaux..., Jean-Michel Basquiat

 
Cependant, une fois élu, le gouvernement s'est retrouvé a devoir appliquer « la réal politique », c'est-à-dire équilibriste entre satisfaire les électeurs en essayant de tenir ces promesses électorales et les institutions européenne et financière pour éviter le chantage à la banqueroute exigé par ces créanciers
 
La Troïka s'est réuni dans un climat d'urgence est a mi clos. La perspective de la sortie de l'euro de la Grèce ou un défaut de paiement n'a jamais été aussi concrète. Un référendum le 5 juillet en Grèce, alors que les conditions exigés par les créanciers pour l'obtention des 5 milliards ont coup de théâtre été refusé .... En cause le référendum exigé par le gouvernement grec
 
Mais Athènes s'obstine a laisser la parole au grecs
 
Yannis Varoufakis, ministre des finances : " Depuis que nous avons été élu, nous avons toujours dit que nous voulions un terrain d'entente entre l'accord déjà existant et les priorités de notre gouvernement
 
Intéressant, allez voir ce documentaire  alors que Alexis Tsipras a décidé de lancer un référendum sur la dette Les limites des espoirs du peuple Grec dans le choix de changer le système par des élections sous le signe de la démocratie participative. Le peuple avait élu Siriza (l'équivalent de notre front de Gauche) afin de les faire sortir de la précarisation galopante a laquelle les avait mis les coupes budgétaires imposées par la Troïka, le FMI et les grandes instituions européenne. Jacques Ricau, Karinne Popin's, Karinne Lindignée, Indigné De France, Indignez-vous Montpellier
 
Pourtant les voix n'ont pas manqué pour réclamer, dès 2010, une solution tenable et claire. La Troïka a choisi la solution de l'enfer perpétuel en maintenant l'endettement du pays mais, en outre, en l'accroissant. Nous voici aujourd'hui au bout de ce processus de fuite en avant...


La Grèce paie le prix fort, avec un endettement qui dépasse les 175% du PIB contre, il n'est pas inutile de le rappeler, 113% en 2009, un chômage dépassant les 27% (et plus de 50% chez les jeunes) et un des taux de pauvreté (26% !!!) les plus forts de l'UE (16% en moyenne). Voilà le bilan économique et social de l'aide de la Troïka.

 

 
(Arte) La dette, une spirale infernale

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Il est minuit, c'est officiel : Athènes ne peut pas rembourser au FMI les 1,5 milliard de dollars que l'institution internationale lui avait prêtés. La Grèce est donc officiellement considéré en défaut de paiement même si selon sa charte fondatrice, le FMI a les moyens légaux de reporter, « à la demande d'un Etat-membre » et sans vote de « reporter » la date d'un remboursement dans la limite de 3 à 5 ans, qui correspond à la durée de vie de ses prêts.
 
La Grèce demande au FMI un report du paiement de 1,5 milliard d'euros attendu à minuit. Suivez notre direct
 
 
Les ministres des Finances de la zone euro se réunissent demain matin à 11h30 (heure de Paris) pour examiner les dernières propositions des dirigeants grecs. Mais le rendez-vous majeur de la semaine c'est dimanche avec la tenue d'un référendum. Les Grecs seront appelés à voter pour ou contre les propositions de réformes des créanciers de la Grèce.


http://info.arte.tv/fr/grece
 
 
Les échos viennent de publier La dette publique de la France a augmenté de 51,6 milliards d'euros au premier trimestre, selon l'Insee. Elle atteint désormais 2.089,4 milliards à fin mars.
Mauvaise nouvelle sur le front de la dette publique. Selon les chiffres publiés ce mardi matin par l'Insee ,
En 2014 elle avait atteint 2037,8 milliards d'euros soit 95,6 % du PIB.


 
Extrait de Yannis Youlountas (en grec : Γιάννης Γιουλούντας, né le 21 septembre1970 à Martigues) est un philosophe, poète, écrivain et réalisateur franco-grec contemporain. Formateur et intervenant auprès de publics frappés d'exclusion sociale (classes relais, détenus, migrants, sdf, handicapés), créateur de dispositifs d'éducation à l'image et de philosophie pour les enfants, il est également chroniqueur dans Siné Mensuel, Le Monde libertaire et Les Zindigné(e) Il  est l'auteurs de deux long métrage .Ne vivons plus comme des esclaves (89 min), 2013.Je lutte donc je suis (en préparation) relate les événements et les sentiments des Grecs. .
 
Référendum du dimanche 5 juillet :
LÉGER AVANTAGE POUR LE NON EN GRÈCE
Suite aux débats parlementaires d'hier à Athènes, les positions des principaux partis politiques sont à peu près claires.
 
La grande surprise vient surtout de la posture du second parti communiste grec, le KKE, c'est-à-dire celui des deux qui n'a pas intégré les unions successives jusqu'à SYRIZA et qui pèse aujourd'hui entre 5 et 6% des voix. En effet, alors qu'il a toujours été contre l'euro, il a décidé d'appeler à l'abstention pour le 5 juillet. Cependant, on peut encore espérer que sa base le bouscule un peu dans son mot d'ordre d'ici dimanche, ou encore qu'une partie de ses sympathisants aillent voter NON sans se trop soucier de la tactique de l'appareil politique, plutôt motivé par ses différents avec SYRIZA que par l'opportunité historique d'ouvrir un processus sans précédent en Europe.
 
Une abstention qui sera en partie compensée par l'intérêt de pas mal de militants et sympathisants libertaires pour ce vote non électif. Justement parce qu'il s'agit uniquement d'un référendum et qu'il est décisif, une proportion substantielle des abstentionnistes convaincus, notamment anarchistes, antiautoritaires et autogestionnaires, très influents en Grèce, vont apparemment se déplacer pour voter NON, au vu des premiers retours dont je dispose.
 
Dans le champ électoral, voici les principales forces politiques en présence (avec, entre parenthèses, le score aux élections du 25 janvier dernier) et leur position au vu de ce que j'ai pu lire ou entendre hier :
- SYRIZA (36%) : NON
- Droite/Nouvelle démocratie (28%) : OUI
- Néo-nazis/Aube dorée (6%) : NON
- Centristes/To potami (6%) : OUI
- Parti Socialiste/PASOK (5%) : OUI
- Parti Communiste non allié/KKE (5%) : ABSTENTION (la grosse surprise)
- Grecs indépendants souverainistes/ANEL (4%) : NON
- Mouvement social-démocrate (2,5%) : OUI
- Socialistes révolutionnaires/ANTARSYA (1%) : NON
Total champ électoral (à la louche) :
NON : 47%
OUI : 41,5%
 
Plus quelques libertaires et abstentionnistes convaincus (à vue de nez) qui vont voter NON.
Mais relativisons cependant : tout cela n'est qu'une série d'additions sur un écran. Car il s'agit d'un référendum sur une question aux conséquences cruciales. Pour l'essentiel, ce qui va être déterminant en réalité, c'est :
- le débat durant la semaine, un peu partout et d'ores-et-déjà intense ;
- le bras-de-fer médiatique, entre des médias complètement antagonistes ;
- la sensation de liberté et d'autodétermination (comparaisons avec une colonie ou un protectorat s'émancipant) ;
- le bank run lundi, le défaut mardi et les attaques qui vont suivre ;
- les contre-attaques techniques, diplomatiques et, parfois, ironiques ;
- les peurs, les rumeurs, les paniques ;
- la propagande internationale pro OUI qui va jouer sur l'isolement et la récession ;
- la solidarité internationale pro NON qui va souligner que tout ça n'est qu'un pas-de-côté, qu'il est crucial et que l'intérêt est commun.
Bref, si de votre côté, vous arrivez à rendre visible et/ou audible votre soutien, à pousser vous aussi avec nous, le point de basculement sera probablement atteint, malgré le rouleau-compresseur du camp des bourreaux.
 



 
MÉDIATIQUES ET AUX IDÉES REÇUES DURANT CETTE SEMAINE.
Deux liens à faire tourner, partager, publier, diffuser, si vous voulez nous aider à contre-informer.
1) MON ANALYSE (EN 28 MINUTES) SUR LES DESSOUS DU BATTAGE MÉDIATIQUE SUR LA GRÈCE.
- Situation réelle et enjeux.
- Pourquoi les négociations vont aboutir.
- Pourquoi la dette finira par être annulée.
- Pourquoi le Grexit pourrait intervenir en octobre.


https://www.youtube.com/watch?v=s-3peOXiY98


2) UN EXTRAIT DE "JE LUTTE DONC JE SUIS" QUI MONTRE CLAIREMENT (EN 3 PETITES MINUTES), GRÂCE À ÉRIC TOUSSAINT, LA PROFONDE INJUSTICE DE NOTRE SITUATION FINANCIÈRE ET SOCIALE.
 

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https://www.youtube.com/watch?v=WEHHU65xzKk
 
Tant de mensonges sont diffusés ces jours-ci par les médias dominants : c'est insupportable. On a beau savoir comment sont fabriqués l'opinion conformiste et les préjugés aveugles, ça reste un crève-c½ur pour celles et ceux qui connaissent le dessous des cartes, la situation réelle en Grèce, la précarité sociale et le risque d'une catastrophe humanitaire.
Merci à tou-te-s de nous aider à contre-informer.
Y.Y.
 

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BA longue du nouveau film JE LUTTE DONC JE SUIS de Yannis Youlountas
 
LA PRESSION POPULAIRE QUI MONTE EN GRÈCE S'EST FAIT SENTIR À BRUXELLES : LA TRAHISON DE TSIPRAS, ANNONCÉE HIER PAR TOUS LES MÉDIAS DOMINANTS, N'A PAS EU LIEU !
 
Un vent de protestation, de rumeurs et de lutte commence à souffler partout en Grèce. Les appels à la mobilisation, dont celui de Stathis Kouvelakis (qui l'a fait depuis Londres, en plein mois de juin : petit clin d'½il à l'ami), ont été entendus. Les initiatives spontanées n'ont pas manqué également. Les discussions dans les réseaux politiques ont duré toute la nuit et continuent à l'heure qu'il est. Tout le monde, ou presque, s'en mêle : c'est notre affaire à tou-te-s. Les téléphones chauffent. Les mails fument. Les forums Internet prennent feu. Les manifestations se multiplient. Les actions symboliques aussi. La pression ne cesse plus de monter à Athènes et ailleurs.
 
Alexis Tsipras était visiblement très fatigué et tendu à son arrivé, aujourd'hui vers midi à Bruxelles. On sait pourquoi.
 
Les négociations se sont brutalement durcies, d'après les premiers retours qui nous parviennent. Il est à noter que des arguments laissés de côté, hier, ont été utilisés aujourd'hui, provoquant le blocage total de la situation.
 
Cette réunion préliminaire mais cruciale, avec Junker et Lagarde, qui devait préparer l'Eurogroupe de ce soir avec des propositions communes, s'est terminée sans la trahison annoncée depuis hier par tous les médias dominants. Les charognards de nos aléas, si prompts à distiller la résignation et la soumission, qui se frottaient déjà les mains et avaient mis au frais le champagne, devront encore patienter. L'accord calamiteux qui devait faciliter la réunion de l'Eurogroupe a donc été repoussé. Juncker et Lagarde ont fait grise mine et ont discuté longuement hors micros pendant la pause. Par la suite, l'Eurogroupe s'est réuni et n'a duré qu'une heure. Une heure seulement ! Rien a valider pour l'instant : la situation est belle et bien bloquée, même si les discussions avec les créanciers continuent mollement ce soir.
 
Pour l'instant, Tsipras n'a pas lâché, contrairement à ce que les vautours annonçaient, mais la révolte continue de gronder au sud-est de l'Europe devant les pièges grossiers qui nous sont tendus et les prochaines épreuves, à commencer par la prochaine réunion de l'Eurogroupe qui aura lieu demain, cette fois à 13 heures.
 
Désolé les Pujadas, Barbier, Apathie et autres pantins, mais il faudra encore attendre pour sonner le glas du vent de révolte et d'espoir qui souffle en Grèce. Nous sommes debout et nous ne nous laisserons pas faire. Tsipras le sait. Ses interlocuteurs aussi.
 
CE SOIR, POUR L'INSTANT, C'EST NOUS QUI BUVONS LE RAKI !
A la santé de toutes celles et ceux que nous remercions fraternellement de lutter avec nous !
Y.Y.
PJ : pour fêter ce sursis, ce soir, voici un souvenir en musique, pour ne jamais baisser les bras :
 
LA CHANSON QUI ME TROTTAIT DANS LA TÊTE
DURANT LE TOURNAGE DE 
NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES
ET ME RAPPELAIT LA FORCE DE L'HISTOIRE EN MARCHE.

 
Quand j'étais enfant, mon grand père crétois, dont je porte le nom et le prénom, me jouait souvent de la lyre et me parlait de NIKOS XILOURIS, un célèbre chanteur et joueur de lyre, né quelques années après lui dans le village voisin, près de Réthymnon. Il me faisait notamment écouter une magnifique chanson à jamais gravée dans ma mémoire et qui m'arrache parfois des larmes, mais des larmes de joie, d'amour et de désir de lutter. Une chanson qui parlait d'esclaves (δούλοι, douli) de l'humain maltraité comme un âne, et de marche persévérante et passionnée vers l'émancipation et l'utopie. Une chanson qui disait que la vie n'a pas de sens si on ne lutte pas, avec d'autres, pour la transformer.
 
Cette chanson, c'était "La ballade de monsieur Mentiou" d'après un poème de Kostas Varnalis.
Nikos Xilouris chantait avec tout son c½ur, en serrant le poing, l'immense désir de révolte et d'émancipation des esclaves. En écoutant bien vous reconnaîtrez la répétition du mot "DOULI" (esclaves) qui vous rappellera l'expression NA MIN ZISOUMÉ SAN DOULI (ne vivons plus comme des esclaves). En plus, sur le disque qui me reste de cette époque, le visage de Nikos Xilouris me rappelle étrangement celui mon grand-père, comme s'il s'agissait d'un testament, d'un épitaphe, d'une recommandation à ne jamais oublier.
 
Άιντε θύμα άιντε ψώνιο / Bouge toi, victime, nigaud !
άιντε σύμβολο αιώνιο / Bouge toi, symbole éternel !
αν ξυπνήσεις μονομιάς / Si tu t'éveilles une fois pour toutes,
θα 'ρθει ανάποδα ο ντουνιάς / Le vent tournera enfin !

 
C'est pourquoi, plus efficace que tous les cafés du monde, cette chanson me trottait dans la tête, durant le tournage de NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES en 2013, et me rappelait la force de l'histoire en marche : 40 ans exactement après l'insurrection populaire de l'Ecole Polytechnique à Exarcheia, contre la dictature des Colonels en novembre 1973 (les images qui illustrent la chanson, mêlées de portraits de Nikos). L'écho de cette chanson me tenait éveillé 20 heures par jour, faisait palpiter mon c½ur et toutes mes veines et me portait littéralement aux côtés de mes compagnons et camarades de lutte. Je ne sentais plus mes jambes, même au soir de journées interminables.
 
Un souvenir en musique qui nous invite à ne pas, à ne JAMAIS baisser les bras. Car l'Histoire n'est pas écrite d'avance. C'est notre histoire et il nous revient de l'écrire ensemble.
Y.Y.
 

 
Νίκος Ξυλούρης - Η μπαλάντα του κυρ-Μέντιου (Βάρναλης) / Nikos Xylouris : https://www.youtube.com/watch?v=Kltfc1ZS2l0
 
 

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En argentine, pays qui a connue cette situation désastreuse depuis maintenant 10 ans, le pays s'est organiser. Une amie et camarade est partie 8 mois sur place pour palper le pouds de la population et voir comment elle s'organisait : Le documentaire "Desde Abajo" va à la rencontre en Argentine de
militant-e-s de collectifs de piqueteros de la FOB (Fédération d'organisations de base). Education populaire, organisation en coopérative, radios communautaires, autant de pratiques auto-organisées dans les quartiers. Ce sera l'occasion de parler de quelques expériences de collectifs de piqueteros aujourd'hui dans la banlieue de Buenos Aires.
 
Rendez-vous le 1er vendredi de chaque mois, de 16h30 à 19h30.
Nous sommes des centaines de milliers, rien qu'en Ile-de-France, à dépendre des institutions sociales, pour nos revenus, pour le logement, bref pour vivre. Et nous sommes des centaines de milliers à être considérés par la CAF, Pôle-Emploi, ou la Sécu, comme des fraudeurs en puissance, des mauvais pauvres à rééduquer, et à ce titre, contraints de nous soumettre à des contrôles, des humiliations, à l'arbitraire, pour conserver nos maigres allocations. Au chômage comme dans l'emploi, la culpabilisation, la peur de se faire radier ou virer tend à neutraliser par avance toute forme de défense collective. C'est pour s'opposer à cette politique que les CAFards, collectif de chômeuses et précaires [,]http://cafard93.wordpress.com/], proposent un rendez-vous ouvert à tous une fois par mois pour échanger nos expériences, débrouiller ensemble des dossiers litigieux, s'organiser pour partager les moyens de se défendre sur les lieux de gestion de la précarité. Pour affirmer
d'autres valeurs que celles du travail et du mérite, d'autres désirs que ceux que cette société voudrait nous faire intérioriser. Là où ils voudraient nous enfermer dans la peur et l'isolement, il nous faut inventer de nouvelles formes de lutte et de solidarité !


 
Chaque 3e mercredi du mois.
Quand on participe à des luttes ou à des mouvements sociaux (sans-papiers, mal logés, chômeurs, travailleurs...) on est souvent confronté à la répression. Face à elle, on ne se retrouve pas tous dans
la même situation. La justice fonctionne comme le reste de la société :
dans un rapport de classe. La caisse d'autodéfense juridique collective est un outil pour élaborer ensemble un discours public permettant de continuer à défendre les raisons de la lutte, se réapproprier les
stratégies de défense et ne pas les laisser exclusivement aux spécialistes du droit, mutualiser les moyens de défense (contacts avocats, argent pour les premières dépenses), partager nos expériences et débattre sur la justice, le droit et la manière de réagir face à la répression.
Contact : cadecol@riseup.net

Chaque 4e mercredi du mois.
Des projets de transformation du Bas-Montreuil et du quartier des Coutures à Bagnolet sont en cours. Des centaines de personnes seront obligées de quitter leur logement. Le collectif "Prenons la ville" propose un moment de rencontres, d'échanges et d'organisation le 4e mercredi de chaque mois. Cette réunion permettra de faire ensemble le point sur l'avancée du projet et des problèmes qu'il entraîne ; de lutter contre la hausse du coût de la vie, des loyers, contre le départ forcé des quartiers où nous habitons...
Contact : degage-onamenage@riseup.net
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Débat NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES avec Yannis Youlountas et Thomas Coutrot : 
En attendant les initiatives du jour en Grèce et le résultat de l'Eurogroupe à Bruxelles, je vous propose un petit temps de réflexion et de débat...

POUR COMPRENDRE EN PROFONDEUR CE QUI SE PASSE EN GRÈCE DEPUIS DES ANNÉES, ET EN PARTICULIER CETTE PRESSION QUI MONTE À NOUVEAU CES JOURS-CI.

Voici un débat filmé par Éric Jousse au festival d'Attac "Images mouvementées", le 24 novembre 2013 à Paris, avec Thomas Coutrot, co-président d'ATTAC et économiste atterré, et moi-même, qui...
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Lien :

 Le site d'Alternative Libertaire
Retrouvez le dossier sur la crise financière "La vraie crise est devant nous"
Alternative Libertaire : tous les mercredis dans les maisons de la presse, et en Ile de France, dans les Relay des gares SNCF

 

Programmation musicale :

 Jacques Higelin : Crocodile

 

Agenda :

 Procès-spectacle
du 06 novembre au 07 décembre
Ce ne sont pourtant pas les procès contre des militants associatifs, politiques ou syndicaux ou des citoyens indociles qui manquent. Mais ces poursuites ne sont pas coordonnées, pas optimisées... et finissent par encombrer les tribunaux.


La Compagnie Jolie Môme soucieuse de désengorger la justice prend le problème à bras le corps et vous offre durant 1 mois, 4 jours par semaine : LE PROCES DU MILITANTISME !
 Le site de la Compagnie Jolie Môme


infos pratiques : Théatre de la Belle Etoile
jeudi, vendredi et samedi à 20h30, dimanche à 16h
résa : 01 49 98 39 20

 

Livre :

 Frédéric Lordon : Jusqu'à quand ? Pour en finir avec les crises financières
éditeur : Raisons d'agir (2008)

 

Mondialisation libérale

Jusqu'à quand ? Pour en finir avec les crises financières

Le vendredi 7 novembre 2008

A lire aussi : 
TURQUIE : CHRONIQUE D'UNE RÉVOLTE
« Informer n'est pas un délit »
Socialisme : l'utopie, c'est concret
La Grève des Electeurs -
 

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Appel international de la CNT pour un 1er Mai 2009 de lutte de classe
 
Le Rémouleur
106, rue Victor Hugo
93170 Bagnolet
(M° Robespierre ou M° Gallieni)

https://infokiosques.net/le_remouleur
Mail : leremouleur@riseup.net
S'inscrire à la lettre d'info du local :
https://lists.riseup.net/www/subscribe/leremouleur/

Horaires des permanences (avec accès à l'infokiosque, à la bibliothèque
et aux archives):
le mercredi de 16h30 à 19h30
et le samedi de 14h à 18h.

Entrée libre et gratuite.


 Dossier - Dernière chance avant la guerre, 5 scénarios catastrophe..., web-reportage "Nigeria : la...Le risque d'oligopole/ Oligarchies a été dénoncé dans le courrier international ÉCONOMIE • Ces 147 sociétés qui dominent le monde Pas d'austérité pour les militaires,  Conférence "La stratégie du... 
 
Des lobbies au coeur de la républiqueCréé le dimanche 25 mai 2014

"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
Créé le dimanche 07 juillet 2013 
Quand l'hôpital retient son souffle 
Par Enkolo dans Accueil le 11 Novembre 2020 


Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés

16:25 - Les Gafam préemptent également notre capacité à rêver - LIBERATION.FR 
09:20 - Notre monde, c'est l'ailleurs - LIBERATION.FR



Diffusion intégrale du rapport sur les rassemblements de personnes.
Un Air de Révolution
A l'extrême droite du père
Tous égaux !
Ma soirée avec Boris Vian !

Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé
Les temps changent.... Le système reste !!
Clément Méric agressé par l'extrême-droite
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE
 
Pour que leurs mémoires vivent dans nos luttes...


Divisé pour meiux régner
Ils ont tué l'un des nôtres. Lettre à Clément Méric.
CGT : la couleur de l'argent
Tags : Yannis Youlountas, Grece, dettes, révolte, la troika, Documentaire, La dette, une spirale infernale, Le Rémouleur
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#Posté le dimanche 28 juin 2015 08:54

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:23

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