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La tragédie des Brigardes internationales

 
Leo Ferre Les Anarchistes
 

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[AL, le mensuel]
La révolution espagnole avait bien commencé, mais dès 1937, sous l'impact des coups staliniens comme des erreurs des anarchistes, elle recule.
Un débat d'actualité, en ces heures de campagne électorale. Un débat qui nous rappelle, encore, que la seule et unique alternative, comme le défendait Cornelius Castoriadis, demeure, hier, aujourd'hui comme demain : « Socialisme ou barbarie ».1937 : En Espagne, la contre-révolution triomphante ALTERNATIVELIBERTAIRE.ORG

 

 
A voir ce soir sur ARTE : La tragédie des Brigades Internationales - ARTE Documentaire 2016 HD de Patrick Rotman : Sacré tour de force que ces cent minutes tout en archive signées Patrick Rotman ( été 44, les survivants....) Avec un souffle qui n'a d'égal que sa clarté, la guerre d'Espagne et ses multiples développements Méridien Zéro - Les brigades internationales de Franco 1/2 - 2/2-  YouTube  Hommage aux brigades internationales, 
A LAS BARRICADAS Guerre d'Espagne, chants, de, comunero



Méridien Zéro - Les brigades internationales de Franco 1/2




Dans un riche documentaire sur la guerre d'Espagne (1936-39), exclusivement constitué d'images d'archives, Patrick Rotman met l'accent sur le rôle des Brigades Internationales, corps de volontaires étrangers venus prêter main-forte aux Républicains combattant l'armée franquiste.
 
À travers de poignantes archives, Patrick Rotman retrace l'histoire des trente-cinq mille volontaires venus du monde entier combattre le franquisme dans la guerre civile espagnole.
 
Pendant la guerre d'Espagne (1936-1939), des volontaires affluent du monde entier pour défendre la jeune République, menacée par le putsch de Franco, lui-même soutenu d'emblée par l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste. Ouvriers parisiens, tchèques et britanniques, dockers new-yorkais, mineurs polonais ou anglais, militants antifascistes allemands et italiens... : en tout, quelque trente-cinq mille hommes, venus d'une cinquantaine de pays, vont combattre, souvent en première ligne et sans aucune formation, dans des batailles de plus en plus désespérées. Ils répondent à l'appel lancé sous l'égide de Moscou par l'Internationale communiste, alors que les démocraties occidentales ont décidé de ne pas intervenir. Ils ont entendu aussi les plaidoyers d'André Malraux et de George Orwell, engagés dès la première heure, l'écrivain français à la tête d'une escadrille aérienne, l'Anglais au sein du Poum (Parti ouvrier unifié marxiste, antistalinien) . Ils ont peut-être vu aussi les clichés incroyables qu'un couple de jeunes photographes, Gerta Pohorylle et Endre Friedmann, alias Gerda Taro et Robert Capa, expédient jour après jour du front. Comme eux, les écrivains Ernest Hemingway, John Dos Passos, Gustave Regler ou le documentariste Joris Ivens vont aussi contribuer à exalter la résistance héroïque du peuple espagnol, face à une armée franquiste bien supérieure en nombre et surarmée, qui multiplie les massacres au fil de ses victoires. À leurs côtés, le correspondant de la Pravda, Mikhaïl Koltsov, informe aussi le NKVD...
 
Entre deux feux
Dès 1937, les Soviétiques, affirmant leur emprise sur le camp républicain, agissent en effet en Espagne comme à domicile, arrêtant, torturant, exécutant tous ceux qui s'opposent au stalinisme. Les militants anarchistes et libertaires, parmi lesquels figurent nombre de brigadistes, se retrouvent pris ainsi entre deux feux totalitaires. Restituant à la fois destins individuels et complexité historique, Patrick Rotman retrace ces trois années d'un combat perdu, dont les faits d'armes continuent de nourrir, aujourd'hui encore, le romantisme révolutionnaire. Un récit intense et détaillé, porté par de poignantes archives, dont nombre des images magnifiques de Robert Capa et de Gerda Taro, qui mourra avant la défaite finale, à 27 ans, écrasée accidentellement par un char républicain. "Quand je pense à la quantité de gens extraordinaires que j'ai connus et qui sont morts dans cette guerre, avait-elle écrit peu de temps auparavant, j'ai le sentiment absurde que ce n'est vraiment pas juste d'être encore en vie."
 
Ernest Hemingway: The Spanish Earth (1937) - YouTube

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Hommage aux brigades internationales


 
ARTE+7 | La tragédie des Brigades Internationales
À travers de poignantes archives, Patrick Rotman retrace l'histoire des trente-cinq mille volontaires venus du monde entier combattre le franquisme dans la guerre civile espagnole.
ARTE.TV
 
Patrick Rotman et les archives de la guerre d'Espagne
 

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PROTESTATIONS DEVANT LES LIBERTAIRES DU PRESENT ET DU FUTUR SUR LES CAPITULATIONS DE 1937
3 mai 2012, 20:04
Par un « Incontrôlé » de la Colonne de Fer


 JE SUIS l'un de ceux qui ont été délivrés de San Miguel de los Reyes, sinistre bagne qu'éleva la monarchie pour enterrer vivants les hommes qui, parce qu'ils n'étaient pas des lâches, ne se sont jamais soumis aux lois infâmes que dictèrent les puissants contre les opprimés. Ils m'ont emmené là-bas, comme tant d'autres, pour avoir lavé une offense, pour m'être rebellé contre les humiliations dont un village entier était victime : autrement dit, pour avoir tué un « cacique ».
 
J'étais jeune, et je suis jeune maintenant, puisque j'entrai au bagne à vingt-trois ans et que j'en suis sorti, parce que les camarades anarchistes en ouvrirent les portes, quand j'en avais trente-quatre. Onze années soumis au supplice de ne pas être homme, d'être une chose, d'être un numéro !
 
Avec moi sortirent beaucoup d'hommes, qui en avaient autant enduré, qui étaient aussi marqués par les mauvais traitements subis depuis leur naissance. Certains, dès qu'ils ont foulé le pavé de la rue, s'en sont allés par le monde ; et les autres, nous nous réunîmes à nos libérateurs, qui nous traitèrent en amis et nous aimèrent en frères. Avec eux, peu à peu, nous avons formé « la Colonne de Fer » ; avec eux, à grands pas, nous avons donné l'assaut aux casernes et fait rendre les armes à de redoutables gardes civils ; avec eux, par d'âpres attaques, nous avons refoulé les fascistes jusque sur les crêtes de la montagne, là où ils sont encore à présent. Accoutumés à prendre ce dont nous avons besoin, de pourchasser le fasciste, nous avons conquis sur lui les approvisionnements et les fusils. Et nous nous sommes nourris pour un temps de ce que nous offraient les paysans, et nous nous sommes armés sans que personne ne nous fît le cadeau d'une arme, avec ce que nous avions ôté, par la force de nos bras, aux militaires insurgés. Le fusil que je tiens et caresse, celui qui m'accompagne depuis que j'ai quitté ce fatidique bagne, il est à moi, c'est mon bien propre ; si j'ai pris, comme un homme, celui que j'ai entre les mains, de la même façon sont nôtres, proprement nôtres, presque tous ceux que mes camarades ont dans leurs mains.
 
Personne, ou presque personne, n'a jamais eu d'égards pour nous. La stupéfaction des bourgeois, en nous voyant quitter le bagne, n'a pas cessé et s'est même étendue à tout le monde, jusqu'en ce moment ; de sorte qu'au lieu de nous prendre en considération et de nous aider, de nous soutenir, on nous a traités de bandits, on nous a accusés d'être des incontrôlés : parce que nous ne soumettons pas le rythme de notre vie, que nous avons voulue et voulons libre, aux stupides caprices de quelques-uns qui se sont considérés, bêtement et orgueilleusement, comme les propriétaires des hommes dès qu'ils se sont vus dans un ministère ou un comité ; et parce que, dans les villages où nous sommes passés, après en avoir arraché la possession au fasciste, nous avons changé le système de vie, annihilant les féroces « caciques » qui tourmentaient toute l'existence des paysans après les avoir volés, et remettant la richesse aux mains des seuls qui surent la créer, aux mains des travailleurs.
 
Personne, je peux en donner l'assurance, personne n'aurait pu se comporter avec les dépossédés, avec les nécessiteux, avec ceux qui toute leur vie furent pillés et persécutés, mieux que nous, les incontrôlés, les bandits, les échappés du bagne. Personne, personne — je défie qu'on m'en apporte la preuve — n'a jamais été plus affectueux et plus serviable envers les enfants, les femmes et les vieillards ; personne, absolument personne, ne peut blâmer cette Colonne, qui seule, sans aide, et il faut même dire entravée, a été depuis le commencement à l'avant-garde, personne ne peut l'accuser d'un manque de solidarité, ou de despotisme, de mollesse ou de lâcheté quand il s'agissait de combattre, ou d'indifférence envers le paysan, ou de manque d'esprit révolutionnaire ; puisque hardiesse et vaillance au combat ont été notre norme, la noblesse à l'égard du vaincu notre loi, la cordialité avec nos frères notre devise, et que la bonté et le respect ont été le critère du déroulement de toute notre vie.
 
Pourquoi cette légende noire que l'on a tissée autour de nous ? Pourquoi cet acharnement insensé à nous discréditer alors que notre discrédit, qui n'est pas possible, ne ferait que porter préjudice à la cause révolutionnaire, et à la guerre même ?
 
Il y a — nous, les hommes du bagne, qui avons souffert plus que personne sur la terre, nous le savons bien —, il y a, dis-je, dans l'atmosphère un extrême embourgeoisement. Le bourgeois d'âme et de corps, qui est tout ce qu'il y a de médiocre et de servile, tremble à l'idée de perdre sa tranquillité, son cigare et son café, ses taureaux, son théâtre et ses relations prostituées ; et quand il entendait dire quelque chose de la Colonne, de cette Colonne de Fer, le soutien de la Révolution dans ces terres du Levant, ou quand il apprenait que la Colonne annonçait sa descente sur Valence, il tremblait comme une feuille en pensant que ceux de la Colonne allaient l'arracher à sa vie de plaisirs misérables. Et le bourgeois — il y a des bourgeois de différentes classes et dans beaucoup de positions — tissait, sans répit, avec les fils de la calomnie, la noire légende dont il nous a gratifiés ; parce que c'est au bourgeois, et seulement au bourgeois, qu'ont pu et peuvent encore nuire nos activités, nos révoltes, et ces désirs irrépressibles qui emportent follement nos c½urs, désir d'être libres comme les aigles sur les plus hautes cimes ou comme les lions au plus profond des forêts.
 
Même des frères, ceux qui ont souffert avec nous dans les champs et les ateliers, ceux qui ont été indignement exploités par la bourgeoisie, se firent l'écho des terribles craintes de celle-ci, et en arrivèrent à croire, parce que certains, trouvant leur intérêt à être des chefs, le leur dirent, que nous, les hommes qui luttions dans la Colonne de Fer, nous étions des bandits et des gens sans âme ; de sorte qu'une haine, qui en est maintes fois arrivée à la cruauté et au fanatisme meurtrier, sema de pierres notre chemin, pour entraver notre avance contre le fascisme.
 
Certaines nuits, de ces nuits obscures dans lesquelles, l'arme au bras et l'oreille aux aguets, je m'efforçais de pénétrer les profondeurs du pays alentour et aussi les mystères des choses, je ne trouvais pas d'autre remède, comme dans un cauchemar, que de me dresser hors de l'abri, et ceci non pour désenkyloser mes membres, qui sont d'acier parce qu'ils sont passés par le creuset de la douleur, mais pour empoigner plus rageusement mon arme, ressentant des envies de tirer, non seulement contre l'ennemi qui était caché à moins de cent mètres de moi, mais encore contre l'autre ennemi, contre celui que je ne voyais pas, contre celui qui se cachait à mes côtés, et il y est encore à présent, qui m'appelle camarade tandis qu'il me manque bassement, puisqu'il n'y a pas de manquement plus lâche que celui qui se repaît de trahisons. Et j'éprouvais des envies de pleurer et de rire, et de courir à travers les champs en criant et de serrer des gorges avec mes doigts de fer, comme lorsque j'ai brisé entre mes mains celle de l'immonde « cacique », et de faire sauter, pour qu'il n'en reste que décombres, ce monde misérable où il est si difficile de trouver des mains aimantes qui essuient ta sueur et étanchent le sang de tes blessures quand, fatigué et blessé, tu reviens de la bataille.
Combien de nuits, les hommes étant ensemble, et ne formant qu'une seule grappe ou poignée, quand j'exprimais à mes camarades, les anarchistes, mes peines et mes douleurs, j'ai trouvé, là-bas, dans l'âpreté de la montagne, face à l'ennemi qui nous guettait, une voix amie et des bras affectueux qui m'ont à nouveau fait aimer la vie ! Et alors, toute la souffrance, tout le passé, toutes les horreurs et tous les tourments qui ont marqué mon corps, je les jetais au vent comme s'ils eussent appartenu à d'autres époques, et je m'abandonnais avec joie à des rêves d'aventure, apercevant, dans la fièvre de l'imagination, un monde différent de celui où j'avais vécu, mais que je désirais ; un monde différent de celui où ont vécu les hommes, mais que nous sommes nombreux à avoir rêvé. Et le temps passait pour moi comme s'il volait, et les fatigues ne m'atteignaient pas, et mon enthousiasme redoublait, et me rendait téméraire, et me faisait sortir dès le point du jour en reconnaissance pour découvrir l'ennemi, et... tout pour changer la vie ; pour imprimer un autre rythme à cette vie qui est la nôtre ; pour que les hommes, et moi parmi eux, nous puissions être frères ; pour qu'une fois au moins la joie, jaillissant de nos poitrines, se sème sur la terre ; pour que la Révolution, cette Révolution qui a été le pôle et la devise de la Colonne de Fer, puisse être, dans un temps prochain, un fait accompli.
 
Mes rêves se dissipaient comme ces blancs nuages ténus qui, au dessus de nous, passaient sur la montagne, et je retournais à mes désenchantements pour revenir, une autre fois, de nuit, à mes joies. Et ainsi, entre peines et joies, entre l'angoisse et les pleurs, j'ai passé ma vie, heureuse au sein des périls, à la comparer à cette vie obscure et misérable de l'obscur et misérable bagne.
 
Mais un jour — c'était un jour gris et triste —, sur les sommets de la montagne, comme un vent de neige qui mord la chair, arriva une nouvelle : « Il faut se militariser. » Et, dès cette nouvelle, ce fut comme un poignard qui me déchira, et je souffris par avance les angoisses que nous ressentons maintenant. Durant des nuits, dans l'abri, je me répétais la nouvelle : « Il faut se militariser... »
 
À côté de moi, veillant tandis que je me reposais, bien que je ne puisse dormir, il y avait le délégué de mon groupe, qui serait alors lieutenant, et à quelques pas de là, dormant à même le sol, en appuyant sa tête sur une pile de bombes, était couché le délégué de ma centurie, qui serait capitaine ou colonel. Moi... je continuerai à être moi, l'enfant de la campagne, rebelle jusqu'à la mort. Je n'ai pas voulu, et je ne veux pas, des croix, des galons ou des commandements. Je suis comme je suis, un paysan qui a appris à lire en prison, qui a vu de près la douleur et la mort, qui était anarchiste sans le savoir et qui maintenant, le sachant, est plus anarchiste qu'hier, quand il a tué pour être libre.
 
Ce jour, ce jour-là où tomba des crêtes de la montagne, comme un vent glacé qui me déchira l'âme, la funeste nouvelle, sera inoubliable, comme tant d'autres dans ma vie de douleur. Ce jour-là... Bah !
Il faut se militariser !
 
La vie enseigne aux hommes plus que toutes les théories, plus que tous les livres. Ceux qui veulent apporter dans la pratique ce qu'ils ont appris des autres en s'abreuvant à ce qui est écrit dans les livres, se tromperont ; ceux qui apportent dans les livres ce qu'ils ont appris dans les détours du chemin de la vie, pourront peut-être faire une ½uvre maîtresse. La réalité et la rêverie sont choses distinctes. Rêver est bon et beau, parce que le rêve est, presque toujours, l'anticipation de ce qui doit être ; mais le sublime est de rendre la vie belle, de faire de la vie, concrètement, une ½uvre belle.
 
Moi, j'ai vécu ma vie à grande allure. Je n'ai pas goûté la jeunesse qui, d'après ce qu'on en lit, est allégresse, douceur, bien-être. Au bagne, je n'ai connu que la douleur. Jeune par le nombre des années, je suis un vieux par tout ce que j'ai vécu, par tout ce que j'ai pleuré, par tout ce que j'ai souffert. Car au bagne on ne rit presque jamais ; au bagne, qu'on soit sous son toit ou sous le ciel, on pleure toujours.
Lire un livre dans une cellule, séparé du contact des hommes, c'est rêver ; lire le livre de la vie, quand te le présente ouvert à une page quelconque le geôlier, qui t'insulte ou seulement t'espionne, c'est se trouver en contact avec la réalité.
 
J'ai lu certain jour, je ne sais où ni de qui, que l'auteur ne pouvait se faire une idée exacte de la rotondité de la Terre tant qu'il ne l'avait pas parcourue, mesurée, palpée : découverte. Une telle prétention me parut ridicule ; mais cette petite phrase est restée si imprimée en moi que quelquefois, lors de mes soliloques forcés dans la solitude de ma cellule, j'ai pensé à elle. Jusqu'à ce qu'un jour, comme si moi aussi je découvrais quelque chose de merveilleux qui auparavant eût été caché au reste des hommes, je ressentis la satisfaction d'être, par moi-même, le découvreur de la rotondité de la Terre. Et ce jour-là, comme l'auteur de la phrase, je parcourus, mesurai et palpai la planète, la lumière se faisant dans mon imagination à la « vision » de la Terre tournant dans les espaces infinis, faisant partie de l'harmonie universelle des mondes.
 
La même chose advient à propos de la douleur. Il faut la peser, la mesurer, la palper, la goûter, la comprendre, la découvrir pour avoir dans l'esprit une idée claire de ce qu'elle est. A côté de moi, tirant un chariot sur lequel d'autres, chantant et se réjouissant, s'étaient juchés, j'ai vu des hommes qui comme moi, faisaient office de mule. Et ils ne souffraient pas ; et ils ne faisaient pas gronder, d'en bas, leur protestation ; et ils trouvaient juste et logique que ceux-là, en tant que maîtres, fussent ceux qui les tenaient par des rênes et empoignaient le fouet, et même logique et juste que le patron, d'un coup de laisse, leur balafre la face. Comme des animaux, ils poussaient un hennissement, frappaient le sol de leurs sabots et partaient au galop. Après, oh ! sarcasme, qu'on les ait dételés, ils léchaient comme des chiens esclaves la main qui les fouettait.
 
Il n'y a personne qui, ayant été humilié, vexé, outragé ; qui s'étant senti l'être le plus malheureux de la terre, en même temps que l'être le plus noble, le meilleur, le plus humain, et qui, dans le même temps et tout ensemble, éprouvant son malheur et se sentant heureux et fort, et subissant sur son dos et sur son visage, sans avertissement, sans motif, pour le pur plaisir de nuire et d'humilier, le poing glacé de la bête carcellaire ; personne qui, s'étant vu traîné au mitard pour rébellion, et là-dedans, giflé et foulé aux pieds, entendant craquer ses os et voyant couler son sang jusqu'à tomber sur le sol comme une masse ; personne qui, après avoir souffert la torture infligée par d'autres hommes, obligé de sentir son impuissance, et de maudire et blasphémer à cause de cela, ce qui était aussi commencer à rassembler ses forces pour une autre fois ; personne qui, à recevoir le châtiment et l'outrage, a pris conscience de l'injustice du châtiment et de l'infâmie de l'outrage et, l'ayant, s'est proposé d'en finir avec le privilège qui octroie à quelques-uns la faculté de châtier et d'outrager ; personne, enfin, qui, captif dans la prison ou captif dans le monde, a compris la tragédie des vies des hommes condamnés à obéir en silence et aveuglément aux ordres qu'ils reçoivent, qui ne puisse connaître la profondeur de la douleur, la marque terrible que la douleur laisse pour toujours sur ceux qui ont bu, palpé, respiré la douleur de se taire et d'obéir. Désirer parler et garder le silence, désirer chanter et rester muet, désirer rire et devoir par force étrangler le rire dans sa bouche, désirer aimer et être condamné à nager dans la boue de la haine !
 
Je suis passé par la caserne, et là j'ai appris à haïr. Je suis passé par le bagne, et là, parmi les larmes et les souffrances, étrangement, j'ai appris à aimer, à aimer intensément.
 
À la caserne, j'en suis presque arrivé à perdre ma personnalité, tant était rigoureux le traitement que je subissais, parce qu'on voulait m'inculquer une discipline stupide. En prison, à travers de nombreuses luttes, je retrouvai ma personnalité, étant chaque fois plus rebelle à tout ce qu'on m'imposait. Autrefois, j'avais appris à haïr, du plus bas au plus haut degré, toutes les hiérarchies ; mais en prison, dans la plus affligeante douleur, j'ai appris à aimer les infortunés, mes frères, tandis que je conservais pure et limpide cette haine des hiérarchies dont m'avait nourri la caserne. Prisons et casernes sont une même chose : despotisme et libre exercice de la nature mauvaise de quelques-uns, pour la souffrance de tous. Ni la caserne n'enseigne la moindre chose qui ne soit dommageable à la santé physique et mentale, ni la prison ne corrige.
 
Avec ce jugement, avec cette expérience — expérience acquise parce que ma vie a baigné dans la douleur —, quand j'entendis que, au pied des montagnes, venait rôder l'ordre de militarisation, je sentis en un instant que mon être s'écroulait, car je vis clairement que mourrait en moi l'audacieux guerrillero de la Révolution, pour continuer en menant cette existence qui, à la caserne et en prison, se dépouille de tout attribut personnel ; pour tomber encore une fois dans le gouffre de l'obéissance, dans le somnambulisme bestial auquel conduit la discipline de la caserne ou de la prison, qui toutes les deux se valent. Et, empoignant avec rage mon fusil, depuis mon abri, regardant l'ennemi et l'« ami », regardant en avant et en arrière des lignes, je lançai une malédiction semblable à celles que je lançais quand, rebelle, on me conduisait au cachot, et je refoulai une larme, semblable à celles qui m'échappèrent alors, quand personne ne pouvait les voir, à mesurer mon impuissance. Et je voyais bien que les hypocrites qui souhaitent faire du monde une caserne et une prison, sont les mêmes, les mêmes, les mêmes qui, hier, dans les cachots, firent craquer nos os, à nous, des hommes — des hommes.
 
Casernes... bagnes..., vie indigne et misérable.
On ne nous a pas compris, et, parce qu'on ne pouvait pas nous comprendre, on ne nous a pas aimés. Nous avons combattu — maintenant les fausses modesties ne sont pas de mise, qui ne conduisent à rien —, nous avons combattu, je le répète, comme peu l'ont fait. Notre place a toujours été sur la première ligne de feu, pour la bonne raison que, dans notre secteur, depuis le premier jour, nous avons été les seuls.
Pour nous, il n'y eut jamais de relève ni..., ce qui a été pire encore, un mot gentil. Les uns comme les autres, les fascistes et les antifascistes, et jusqu'aux nôtres — quelle honte en avons-nous ressentie ! —, tous nous ont traités avec antipathie.
 
On ne nous a pas compris. Ou, ce qui est le plus tragique à l'intérieur de cette tragédie que nous vivons, peut-être ne nous sommes-nous pas fait comprendre ; puisque nous, pour avoir porté sur nos épaules le poids de tous les mépris et de toutes les duretés de ceux qui furent dans la vie du côté de la hiérarchie, nous avons voulu vivre, même dans la guerre, une vie libertaire, tandis que les autres, pour leur malheur et pour le nôtre, ont suivi le char de l'État, en s'y attelant.
 
Cette incompréhension, qui nous a causé des peines immenses, a bordé notre chemin de malheurs ; et non seulement les fascistes, que nous traitons comme ils le méritent, ont pu voir en nous un péril, mais aussi bien ceux qui se nomment antifascistes et crient leur antifascisme jusqu'à s'enrouer. Cette haine qui fut construite autour de nous donna lieu à des affrontements douloureux, le pire de tous en ignominie, qui fait monter le dégoût à la bouche et porter la main au fusil, eut lieu en pleine ville de Valence, lorsque ouvrirent le feu sur nous d'« authentiques rouges antifascistes ». Alors... bah !... alors il nous faut conclure sur ce que maintenant la contre-révolution est en train de faire.
 
L'Histoire qui recueille tout le bien et tout le mal que les hommes accomplissent, parlera un jour.
Et alors l'Histoire dira que la Colonne de Fer fut peut-être la seule en Espagne qui eut une vision claire de ce que devait être notre Révolution. L'Histoire dira aussi que ce fut cette Colonne qui opposa la plus grande résistance à la militarisation. Et dira, en outre, que, parce qu'elle y résistait, il y eut des moments où elle fut totalement abandonnée à son sort, en plein front de bataille, comme si une unité de six mille hommes, aguerris et résolus à vaincre ou mourir, devait être abandonnée à l'ennemi pour qu'il l'anéantisse.
Combien de choses dira l'Histoire, et combien de figures qui se croient glorieuses seront exécrées et maudites !
 
Notre résistance à la militarisation se trouvait fondée sur ce que nous connaissions des militaires. Notre résistance actuelle se fonde sur ce que nous connaissons actuellement des militaires.
 
Le militaire professionnel a constitué, maintenant comme toujours, ici comme en Russie, une caste. C'est elle qui commande ; aux autres, il ne doit rester rien de plus que l'obligation d'obéir. Le militaire professionnel hait de toutes ses forces, et d'autant plus s'il s'agit d'un compatriote, celui qu'il croit son inférieur.
 
J'ai moi-même vu — je regarde toujours les yeux des hommes — un officier trembler de rage ou de dégoût quand, m'adressant à lui, je l'ai tutoyé, et je connais des exemples, d'aujourd'hui, d'aujourd'hui même, de bataillons qui s'appellent prolétariens, dans lesquels le corps des officiers, qui a déjà oublié ses humbles origines, ne peut permettre — contre ceci il y a de sévères punitions — qu'un milicien les tutoie.
L'Armée « prolétarienne » ne demande pas une discipline qui pourrait être, somme toute, l'exécution des ordres de guerre ; elle demande la soumission, l'obéissance aveugle, l'anéantissement de la personnalité de l'homme.
 
La même chose, la même chose que lorsque hier j'étais à la caserne. La même chose, la même chose que lorsque plus tard j'étais au bagne.
 
Nous, dans les tranchées, nous vivions heureux. Certes, nous voyons tomber à côté de nous les camarades qui commencèrent avec nous cette guerre ; nous savons, de plus, qu'à tout instant une balle peut nous laisser étendus en plein champ — c'est la récompense qu'attend le révolutionnaire — ; mais nous vivions heureux. Nous mangions quand il y avait de quoi ; quand les vivres manquaient, nous jeûnions. Et tous contents. Pourquoi ? Parce que personne n'était supérieur à personne. Tous amis, tous camarades, tous guerrilleros de la Révolution.
 
Le délégué de groupe ou de centurie ne nous était pas imposé, mais il était élu par nous-mêmes, et il ne se sentait pas lieutenant ou capitaine, mais camarade. Les délégués des Comités de la Colonne ne furent jamais colonels ou généraux, mais camarades. Nous mangions ensemble, combattions ensemble, riions ou maudissions ensemble. Nous n'avons eu aucune solde pendant longtemps, et eux non plus n'eurent rien. Et puis nous avons touché dix pesetas, ils ont touché et ils touchent dix pesetas.
 
La seule chose que nous considérons, c'est leur capacité éprouvée, et c'est pour cela que nous les choisissons ; pour autant que leur valeur était confirmée, ils furent nos délégués. Il n'y a pas de hiérarchies, il n'y a pas de supériorités, il n'y a pas d'ordres sévères : il y a la sympathie, l'affection, la camaraderie ; vie heureuse au milieu des désastres de la guerre. Et ainsi, entre camarades, se disant que l'on combat à cause de quelque chose et pour quelque chose, la guerre plaît, et l'on va jusqu'à accepter avec plaisir la mort. Mais quand tu te retrouves chez les militaires, là où tout n'est qu'ordres et hiérarchies ; quand tu vois dans ta main la triste solde avec laquelle tu peux à peine soutenir la famille que tu as laissée derrière toi, et quand tu vois que le lieutenant, le capitaine, le commandant, le colonel, empochent trois, quatre, dix fois plus que toi, bien qu'ils n'aient ni plus d'enthousiasme, ni plus de connaissances, ni plus de bravoure que toi, la vie te devient amère, parce que tu vois bien que cela, ce n'est pas la Révolution, mais la façon dont un petit nombre tire profit d'une situation malheureuse, ce qui ne tourne qu'au détriment du peuple.
 
Je ne sais pas comment nous vivrons désormais. Je ne sais pas si nous pourrons nous habituer à entendre les paroles blessantes d'un caporal, d'un sergent ou d'un lieutenant. Je ne sais pas si, après nous être sentis pleinement des hommes, nous pourrons accepter d'être des animaux domestiques, car c'est à cela que conduit la discipline et c'est cela que représente la militarisation.
 
Il est sûr que nous ne le pourrons pas, il nous sera totalement impossible d'accepter le despotisme et les mauvais traitements, parce qu'il faudrait n'être guère un homme pour, ayant une arme dans la main, endurer paisiblement l'insulte ; pourtant nous avons des exemples inquiétants à propos de camarades qui, en étant militarisés, en sont arrivés à subir, comme une dalle de plomb, le poids des ordres qui émanent de gens le plus souvent ineptes, et toujours hostiles.
 
Nous croyions que nous étions en marche pour nous affranchir, pour nous sauver, et nous allons tombant dans cela même que nous combattons : dans le despotisme, dans le pouvoir des castes, dans l'autoritarisme le plus brutal et le plus aliénant.
 
Cependant le moment est grave. Ayant été pris — nous ne savons pas pourquoi, et si nous le savons, nous le taisons en ce moment — ; ayant été pris, je le répète, dans un piège, nous devons sortir de ce piège, nous en échapper, le mieux que nous pouvons, car enfin, de pièges, tout le champ s'est trouvé truffé.
 
Les militaristes, tous les militaristes — il y en a de furieux dans notre camp — nous ont cernés. Hier nous étions maîtres de tout, aujourd'hui c'est eux qui le sont. L'armée populaire, qui de populaire n'a rien d'autre que le fait d'être recrutée dans le peuple, et c'est ce qui se passe toujours, n'appartient pas au peuple ; elle appartient au Gouvernement, et le Gouvernement dirige, et le Gouvernement ordonne. Au peuple, il est simplement permis d'obéir, et l'on exige qu'il obéisse toujours.
 
Étant pris entre les mailles militaristes, nous n'avons plus de choix qu'entre deux chemins : le premier nous conduit à nous séparer, nous qui, jusqu'à ce jour, sommes camarades dans la lutte, en proclamant la dissolution de la Colonne de Fer ; le second nous conduit à la militarisation.
 
La Colonne, notre Colonne, ne doit pas se dissoudre. L'homogénéité qu'elle a toujours présentée a été admirable — je parle seulement pour nous, camarades — ; la camaraderie entre nous restera dans l'histoire de la Révolution espagnole comme un exemple ; la bravoure qui a paru dans cent combats aura pu être égalée dans cette lutte de héros, mais non surpassée. Depuis le premier jour, nous avons été des amis ; plus que des amis, des camarades, des frères. Nous séparer, nous en aller, ne plus nous revoir, ne plus ressentir, comme jusqu'ici, nos désirs de vaincre et de combattre, c'est impossible.
 
La Colonne, cette Colonne de Fer, qui depuis Valence jusqu'à Teruel a fait trembler les bourgeois et les fascistes, ne doit pas se dissoudre, mais continuer jusqu'à la fin.
 
Qui peut dire que d'autres, pour s'être militarisés, ont été dans les combats plus forts, plus hardis, plus généreux pour arroser de leur sang les champs de bataille ? Comme des frères qui défendent une noble cause, nous avons combattu ; comme des frères qui ont les mêmes idéaux, nous avons rêvé dans les tranchées ; comme des frères qui aspirent à un monde meilleur, nous sommes allés de l'avant avec notre courage. Dissoudre notre totalité homogène ? Jamais, camarades. Tant que nous restons une centurie, au combat. Tant qu'il reste un seul de nous, à la victoire.
 
Ce sera un moindre mal, quoique le mal soit grand d'avoir à accepter que quiconque, sans avoir été élu par nous, nous donne des ordres. Pourtant...
 
Être une colonne ou être un bataillon est presque indifférent. Ce qui ne nous est pas indifférent, c'est qu'on ne nous respecte pas.
 
Si nous restons, réunis, les mêmes individus que nous sommes en ce moment, que nous formions une colonne ou un bataillon, pour nous ce devrait être égal. Dans la lutte, nous n'aurons pas besoin de gens qui nous encouragent, au repos, nous n'aurons pas de gens qui nous interdisent de nous reposer, parce que nous n'y consentirons pas.
 
Le caporal, le sergent, le lieutenant, le capitaine, ou bien sont des nôtres, auquel cas nous serons tous camarades, ou bien sont nos ennemis, auquel cas il n'y aura qu'à les traiter en ennemis.
Colonne ou bataillon, pour nous, si nous le voulons, ce sera la même chose. Nous, hier, aujourd'hui et demain, nous serons toujours les guerrilleros de la Révolution.
 
Ce qu'il nous adviendra dans la suite dépend de nous mêmes, de la cohésion qui existe entre nous. Personne ne nous imprimera son rythme, c'est nous qui l'imprimerons, afin de garder une attitude adaptée à ceux qui se trouveront à nos côtés.
 
Tenons compte d'une chose, camarades. Le combat exige que nous ne retirions pas de cette guerre nos bras ni notre enthousiasme. En une colonne, la nôtre, ou en un bataillon, le nôtre ; en une division ou en un bataillon qui ne seraient pas les nôtres, il nous faut combattre.
 
Si la Colonne est dissoute, si nous nous dispersons, ensuite, étant obligatoirement mobilisés, nous n'aurons plus qu'à aller là où on nous l'ordonnera, et non avec ceux que nous avons choisis. Et comme nous ne sommes ni ne voulons être des bestioles domestiquées, il est bien possible que nous nous heurtions avec des gens que nous ne devrions pas heurter : avec ceux qui, que ce soit un mal ou un bien, sont nos alliés.
La Révolution, notre Révolution, cette Révolution prolétarienne et anarchiste, à laquelle, depuis les premiers jours, nous avons offert des pages de gloire, nous requiert de ne pas abandonner les armes, et de ne pas non plus abandonner le noyau compact que jusqu'à présent nous avons constitué, quel que soit le nom dont on l'appelle : colonne, division ou bataillon.
 
UN « INCONTRÔLÉ » DE LA COLONNE DE FER
 
CET APPEL d'un milicien anarchiste inconnu, appartenant à la fameuse « Colonne de Fer », paraît bien être, jusqu'à ce jour, l'écrit le plus véridique et le plus beau que nous ait laissé la révolution prolétarienne d'Espagne. Le contenu de cette révolution, ses intentions et sa pratique, y sont résumés froidement, et passionnément. Les principales causes de son échec y sont dénoncées : celles qui procédèrent de la constante action contre-révolutionnaire des staliniens relayant, dans la République, les forces bourgeoises désarmées, et des constantes concessions des responsables de la C.N.T.-F.A.I. (ici amèrement évoqués par le terme « les nôtres ») de juillet 1936 à mars 1937.
 
Celui qui revendique hautement le titre, alors injurieux, d'« incontrolado », a fait preuve du plus grand sens historique et stratégique. On a fait la révolution à moitié, en oubliant que le temps n'attend pas. « Hier nous étions maîtres de tout, aujourd'hui c'est eux qui le sont. » À cette heure, il ne reste plus aux libertaires de la « Colonne de Fer » qu'à « continuer jusqu'à la fin », ensemble. Après avoir vécu un si grand moment, il n'est pas possible de « nous séparer, nous en aller, ne plus nous revoir ». Mais tout le reste a été renié et dilapidé.
Ce texte, mentionné dans l'ouvrage de Burnett Bolloten, a été publié par Nosotros, quotidien anarchiste de Valence, des 12, 13, 15, 16 et 17 mars 1937. La « Colonne de Fer » fut intégrée, à partir du 21 mars, dans l'« armée populaire » de la République, sous l'appellation de 83e Brigade. Le 3 mai, le soulèvement armé des ouvriers de Barcelone fut désavoué par les mêmes responsables, qui réussirent à y mettre un terme le 7 mai. Il ne resta plus en présence que deux pouvoirs étatiques de la contre-révolution, dont le plus fort gagna la guerre civile.
 

 
 La tragédie des Brigades Internationales - ARTE
 

La Révolution Sociale espagnole de 1936

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A voir Un autre futur - L'Espagne en rouge et noir, Un autre futur - Contre vents et marées, Living Utopia (The Anarchists & The Spanish Revolution)
 
Documentary: An Anarchist's Story

 
Un autre futur: Sous le signe libertaire (2ème partie 1936>1937 ...
 
 
 un film de Richard PROST 151' COUL extraits d'époque N&B VF et VO Esp stf

50 ans après, l'histoire des anarcho-syndicalistes espagnols, qui menèrent une révolution autogestionnaire au coeur de la guerre civile. 50 anos despues, la historia de aquellos anarcosindicalistas espagnoles que llevaron a cabo una revolucion autogestionaria en el corazon de la guerra civil.


- 1ère partie : Je demande la parole période de 1870 à 1936
- 2ème partie : Sous le signe libertaire période de 1936 à 1937
- 3ème partie : Il n'y a plus de fous période de 1937 à 1945


Je demande la parole - partie 1 - Vidéo Dailymotion 

I. L'ESPAGNE EN ROUGE ET NOIR 

1ère partie : Je demande la parole période de 1870 à 1936 
2ème partie : Sous le signe libertaire période de 1936 à 1937 
3ème partie : Il n'y a plus de fous période de 1937 à 1945 

un film de Richard Prost 
Documentaire couleur et noir et blanc 
Durée 2h.30 
 

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50 ans après, l'histoire des anarcho-syndicalistes espagnols, qui menèrent une révolution autogestionnaire au coeur de la guerre civile. 

Ce film est né de la volonté des vieux libertaires espagnols de reconstituer la mémoire collective de leur génération, et de nous en laisser témoignage. Dispersés par l'exil, affaiblis par l'âge, ils ont gardé une étonnante jeunesse lorsqu'il s'est agit de se lancer, une fois encore, dans une aventure commune. 


Richard Prost est également le réalisateur d'Un cinéma sous influence 
 

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Par Enkolo dans Accueil le 5 Mai 2017




LES DOCUMENTAIRES : 

Un autre futur - 1/4 : Je demande la parole : Partie 1 : Partie 2 :  

Un autre futur - 2/4 : Sous le signe libertaire :Partie 1 :  Partie 2 :

Un autre futur - 3/4 : Il n'y a plus de fous : Partie 1 : Partie 2 :
Un autre futur - 4/4 : Contre vents et marées : Partie 1 : Partie 2 :    


SOURCE VIDEO : 

Un autre futur - 1/4 : Je demande la parole : 
http://www.zalea.org/spip.php?article943  

Un autre futur - 2/4 : Sous le signe libertaire : 
http://www.zalea.org/spip.php?article944  

Un autre futur - 3/4 : Il n'y a plus de fous : 
http://www.zalea.org/spip.php?article945  

Un autre futur - 4/4 : Contre vents et marées : 
http://www.zalea.org/spip.php?article932  


COMMENTAIRES ET INTERVIEW VIDEO DU REALISATEUR : 

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 1/2 - Premier plateau 
Introduction : 
- origine du projet "Un autre futur" 
- présentation du contexte historique 
http://www.zalea.org/spip.php?article937  

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 1/2 - Second plateau 
Questions sur la première partie d'Un autre futur. Présentation de la deuxième partie. 
http://www.zalea.org/spip.php?article938  

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 1/2 - Troisième plateau 
Questions sur la deuxième partie d'Un autre futur 
http://www.zalea.org/spip.php?article939  

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 2/2 - Premier plateau 
Présentation de la deuxième partie de l'émission Rappel de la première partie et présentation de la troisième partie d'Un autre futur 
http://www.zalea.org/spip.php?article940  

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 2/2 - Second plateau 
Questions sur la troisième partie d'Un autre futur 
http://www.zalea.org/spip.php?article941  

Caméra à l'Usine : Révolution sociale en Espagne 2/2 - Troisième plateau 
Questions sur la dernière partie d'Un autre futur Questions sur la diffusion du film 
http://www.zalea.org/spip.php?article942



n « La Tragédie des Brigades internationales Par Enkolo dans Accueil le 25 Octobre 2016

La tragédie des Brigardes internationales Créé le mardi 25 octobre 2016
Accueil - Histoire - La tragédie des Brigades Internationales - Saltabank
, LA TRAGÉDIE DES BRIGADES INTERNATIONALES 19 DÉCEMBRE 2017
La tragédie des Brigades Internationales : citoyen actif
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Accueil - Histoire - La tragédie des Brigades Internationales - cnikos
20 décembre 2017 La tragédie des Brigades Internationales 
A voir aussi Anarchism in America (1983) - Documentary on the American Anarchy Movement. Top Documentary Films: Understanding Anarchy

Land and Freedom (1995) - VOSTFR - YouTube
Loach On Location - Land and Freedom (1995)
The Wind That Shakes the Barley film


La Tragédie des brigades internationales. Documentaire de Patrick Rotman, mardi 25 octobre, 20 h 55, Arte
 
Guerre d'Espagne : l'histoire tragique des brigades internationales contée par Patrick Rotman
>> Lire aussi : Patrick Rotman : “La guerre d'Espagne est un conflit aux multiples imbrications” <<
l'armée.
Le regard des artistes sur la guerre civile


Brigades internationales, André Malraux, Guerre d'Espagne, fascisme, volontaires


Land and Freedom est un film britannique de Ken Loach sorti en 1995. L'action se déroule en Catalogne pendant la révolution sociale espagnole de 1936. Wikipédia


Ni dieu ni maître, une histoire de l'anarchisme
Créé le dimanche 04 décembre 2016


Le monde sous les bombes de Guernica à Hiroshima
Créé le samedi 04 février 2017


Ni dieu ni maître, une histoire de l'anarchisme Créé le dimanche 04 décembre 2016, Lénine, une autre histoire de la révolution russe Créé le samedi 11 mars 2017, Du devoir de la désobéissance civile - Créé le mardi 07 février 2017 , Les faussaires de l'Histoire France ..Créé le lundi 06 février 2017

 
La tragédie des Brigardes internationales
Créé le mardi 25 octobre 2016
LE CRIMINEL, C'EST L'ÉLECTEUR !
Créé le dimanche 04 décembre 2016 
11/04/2017
Ni Dieu, ni maître, une histoire de l'anarchisme
 

 LA GREVE GENERALE, Tchernobyl, le nuage sans fin", Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue!, METRONOM, OBÉIR, C'EST MOURIR, L'1consolable - 49.3, 
On Achève Bien Les Chevaux, ecole de la rue, 14 JUIN 2016, LE BITUME SE SOULÈVE !, Il est cinq heures, Paris s'éveille, "Nous, ouvriers", Grèves 1995:, La tragédie des Brigardes internationales
 
Mourir à Madrid - Frédéric Rossif - Spanish Civil War
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#Posté le mardi 25 octobre 2016 07:59

Modifié le dimanche 08 avril 2018 09:35

Nouvelles d'un anarchiste syrien


 
Nouvelles d'un anarchiste syrien

 
Traduit du site depuis Solidarity Federation par l'UCL (camarades québécois d'Anarkismo)
 
Je m'appelle Mazen ******, un anarchiste syrien. Je veux vous informer de la situation humanitaire dans mon pays, la Syrie; en raison de l'oppression brutale du régime actuel contre les masses en révolte. Un groupe de jeunes anarchistes syrien-ne-s et d'antiautoritaires d'Alep, en Syrie, m'a contacté puisqu'il avait un urgent besoin d'aide. Leur communauté a un besoin urgent pour à peu près tout : médicaments, tentes, lait pour enfant, etc. ; presque tout. Nous espérons que vous pourrez les aider à alléger leurs souffrances en ces temps difficiles.
 
À propos de la situation actuelle en Syrie, ça se détériore rapidement. Après les meurtres de quelques généraux haut placés dans le régime (ministre de la défense et son député, également le beau-frère du président lui-même) par une force inconnue, même si l'armée libre syrienne s'est déclarée responsable des attaques; les groupes armés de l'opposition ont attaqué les deux villes principales qui étaient réticentes à joindre la révolution auparavant : Damas et Alep. Une bataille sans merci a dès lors commencé, après les gains de l'opposition tôt dans le conflit, l'armée d'Assad a réuni ses forces restantes et a contre-attaqué à sa manière conventionnelle, incluant des jets de combat, sans oublier les canons et les tanks qu'elle utilisait déjà depuis des mois. Plusieurs civil-e-s ont dû fuir dans des conditions difficiles, des centaines ont été massacré-e-s.

En fait, maintenant la révolution syrienne est un combat ouvert. Les manifestations pacifiques ont perdu leur signification maintenant, et personne ne porte d'importance à les mentionner ou pense qu'elles peuvent avoir un impact réel sur l'issue du conflit. Ce qui a commencé par une révolution de masse est devenu un conflit armé entre l'armée du régime et leurs opposant-e-s. Ceci est arrivé principalement en raison de l'oppression brutale du régime actuel, utilisant son armée, ses tanks et ses fusils contre le voisinage civil, mais également en raison de l'intervention de certains tyrans comme la monarchie Qatarienne et Saoudienne.

En raison du positionnement stratégique de la Syrie, la révolution a été prise dans la rivalité Iranienne-Saoudienne pour la domination de la région, et même entre la Russie et les États-Unis, chacun supportant son parti dans la rivalité pour leurs propres intérêts; nous ne pouvons pas croire que la monarchie saoudienne ait à c½ur la liberté des syriens et syriennes, ils ne veulent qu'affaiblir davantage leur adversaire : le régime oppressif islamiste iranien. L'Arabie Saoudite et le Qatar ont tout fait pour détourner la révolution syrienne vers le conflit entre les sectes chiites et sunnites de l'islam; et cyniquement, le régime syrien a fait de même.

Récemment, un journaliste saoudien influent a décrit le printemps arabe (terme utilisé pour décrire la succession de révolutions arabes) comme un groupe sunnite menaçant l'Iran chiite. Les autres camps de l'opposition aux régimes oppressants ont également utilisé les termes « sectaires ». Le régime syrien tente de faire la même chose en se proclamant le « protecteur des minorités religieuses » en Syrie.

Nous l'avons vu de façon très différente, nous avons vu comment cela a commencé, une révolution de masse spontanée contre la dictature et ses politiques néolibérales et ses « réformes » et dans ce moment difficile pour les masses, nous comptons sur les masses, sur les oppressé-e-s, de peu importe la religion, la secte ou l'ethnie, de s'unir avec nous contre leurs oppresseurs, peu importe leur religion. Nous comptons sur des organisations comme celles de nos camarades d'Alep et d'autres initiatives faites par des jeunes étudiants et étudiantes ou des travailleurs et travailleuses. C'est un conflit difficile qui pourrait devenir une guerre civile sectaire, il n'y a aucune garantie sauf celle de la détermination des masses de continuer le conflit jusqu'à l'obtention de la vraie liberté, de la justice et de autogestion des opprimé-e-s.

En fait, il y a toujours de très grandes divisions entre la gauche syrienne et arabe : les staliniens conservent des liens avec le régime actuel en tant qu'anti-impérialistes; comme à l'habitude, ils négligent la nature oppressive du régime, c'est tellement naturel pour eux. Il y a trois partis communistes syriens supportant le régime actuel sans remords. D'autres partis staliniens d'Arabie supportent le régime également. De l'autre côté, les trotskystes se tiennent contre ces régimes, mais ils voient les islamistes comme des possibles alliés, ce qui crée un autre conflit, car ils oublient la nature réactionnaire, autoritariste et capitaliste, voir même néolibérale du projet islamiste. On se rappelle de l'Égypte où les trotskystes avaient une très forte organisation : les socialistes révolutionnaires.

Une autre chose, chers frères et s½urs, je retourne en Syrie au mois d'août, pour joindre le conflit de nos camarades. Certain-e-s activistes syrien-ne-s ont organisé une campagne appelée « WE ARE COMING BACK ». On entrera en Syrie en août de *******. Nous prévoyons que le régime nous arrête, il pourrait torturer quelques-un-e-s d'entre nous et même en tuer. J'ai besoin de votre solidarité. Certain-e-s camarades vous feront parvenir des mises à jour à mesure que ces évènements arriveront. Pour l'instant, je suis toujours à *****, Égypte. Si vous pouvez arranger n'importe quel type de support pour nos camarades en Syrie vous pouvez me contacter jusqu'à ce moment, et avant de quitter pour la Syrie; je peux vous donner des contacts de certains camarades en Syrie ou en Égypte ici pour donner vos contributions. Merci à tous et toutes pour votre solidarité.
 


Pour la révolution, la liberté, pour l'anarchie !!
 
, La CNT après Franco 1939-1984
 

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un monde en crise :
Europe : l'insurrection qui vient ? Tous rebelles?, Les raisons de la colère : citoyen actif , Les raisons de la colère - Un film de Samuel Luret & Damien - Arte (partie 1, partie 2, partie 3) , communiqué Association Espoir Chiapas

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les sarkofiottes....le triomphe de l'anarchie
 

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Syrie, le crépuscule des Assad - l'indigné , Syrie, le crépuscule des Assad : citoyen actif
 
Syrie, le crépuscule des Assad (extrait 1/3)

Extrait (1/3)) du film de Vincent de Cointet

Portrait du clan al-Assad et de sa longue emprise sur la Syrie. Une enquête subtile qui aide à comprendre les déchirements d'aujourd'hui.
Retour vers le dossier « Syrie »
(France, 2010, 72mn)
ARTE F

Date de première diffusion: Mar., 11. oct. 2011, 21h35

Date(s) de rediffusion: Aujourd'hui à14h15

En savoir plus
Thèmes: Documentaire, Société, Géopolitique & Histoire
 
 
Syrie, le crépuscule des Assad : , Syrie, dans l'enfer de la répression :


Mazen
*******
Certains détails ont été masqués pour ne pas mettre en péril la sécurité du camarade concerné.
 
A las barricadas - Wikipédia :  las barricadas est un chant anarchiste de la CNT-AIT pendant la Guerre civile espagnole. Il se chante sur l'air de La Varsovienne. Les paroles ont été écrites par Valeriano Orobón Fernández, et publié pour la première fois en novembre 1933 dans un supplément de la revue Tierra y Libertad de Barcelone
 
Paroles
Negras tormentas agitan los airesNubes oscuras nos impiden ver.Aunque nos espere el dolor y la muerteContra el enemigo nos llama el deber.El bien más preciado es la libertadHay que defenderla con fe y valor.
Alza la bandera revolucionariaque del triunfo sin cesar nos lleva en posAlza la bandera revolucionariaque del triunfo sin cesar nos lleva en posEn pie el pueblo obrero, a la batallaHay que derrocar a la reacción.¡ A las barricadas ! ¡ A las barricadas !Por el triunfo de la Confederación.¡ A las barricadas ! ¡ A las barricadas !Por el triunfo de la Confederación.Traduction française

Des tempêtes noires agitent les airsDes nuages sombres nous empêchent de voir.Même si la mort et la douleur nous attendentLe devoir nous appelle contre l'ennemi.Le bien le plus précieux est la liberté.Il faut la défendre avec foi et courage.Lève le drapeau révolutionnaireQui sans arrêt nous mène vers le triompheDebout peuple ouvrier au combatIl faut vaincre la réaction :Aux barricades ! Aux barricades !Pour le triomphe de la Confédération !Aux barricades ! Aux barricades !Pour le triomphe de la Confédération !a las barricadas
 
A las Barricadas par El Comunero, Tarbes, 2008 :
 

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Les Amis de Ta Femme - A Las Barricadas - Vidéo Dailymotion :  
 

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 Diaporama anarchiste barricadas fait par David
 

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08:15 Publié dans Anarchie, Interviews | Lien permanent | Comment







Tags : interview, Nouvelles d'un anarchiste syrien, Anarchie, l'UCL, camarades québécois d'Anarkismo, chant anarchiste, guerre civile, syrie, espagne, liberté
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#Posté le dimanche 07 octobre 2012 17:49

Modifié le lundi 11 juillet 2016 09:22

Soutien au #25S - Occupons l'ambassade d'Espagne !

Lieu :Paris 8e
devant l'Ambassade d'Espagne
22 avenue Marceau
Métro Alma-Marceau

7 rdv pour ce lieu

Soutien au #25S - Occupons l'ambassade d'Espagne !
Soutien au #25S - Occupons l'ambassade d'Espagne !

Traduction du texte d'appel original : Manifeste

http://www.demosphere.eu/node/31722
 
... Plateforme ¡Debout!
Nous sommes des personnes ordinaires, lassées de souffrir des conséquences d'un système conditionné et contraint par les marchés, système qui à tous les égards ne peut être soutenable et nous a rendu victimes d'une grande arnaque appelée « la crise ».
 
Nous nous unissons pour rédiger ce manifeste et invitons tous les citoyens à se joindre à nos revendications. Nous considérons que la situation a passé toutes les limites du tolérable, et pensons être victimes d'une attaque sans précédent du pouvoir économique qui utilise la crise comme prétexte pour ruiner nos vies. Les coupables sont ceux qui, avec la complicité de toutes les forces politiques représentées au parlement, ont constitué cette oligarchie intouchable qui manipule tous les pouvoirs de l'Etat pour maintenir ses privilèges et son enrichissement démesuré et illicite.
 
Aujourd'hui, il n'est plus possible d'occulter cette gigantesque fraude sociale, faite de trahison systématique des engagements électoraux et d'absence de sanction judiciaire pour les banquiers, les politiciens et les grands patrons coupables. Nous voyons à quel point la structure corrompue et immorale du pouvoir instaure des politiques mettant en péril nos droits et nos vies, et à quel point nous subissons une répression injustifiable quand nous demandons un changement.
 
Nous pensons que le problème est d'une telle envergure et que ces racines sont si profondes que la solution ne peut provenir de réformes basées sur le système politique actuel et c'est pourquoi nous exigeons :
La démission du gouvernement en place et du chef de l'Etat, ainsi que la dissolution de l'assemblée, du fait de leur trahison préméditée qui a conduit le pays et l'ensemble des citoyens au désastre.L'ouverture d'un processus constituant démocratique, permettant de rédiger une nouvelle Constitution avec la participation de tous les citoyens, afin qu'elle leur appartienne, car nous ne reconnaissons aucun caractère démocratique au texte constitutionnel actuel, qui rédigé dans le dos des citoyens, consacre la domination des héritiers du franquisme et de ceux pactisant avec eux. Ce doit être le peuple qui détermine le modèle d'organisation social dans le lequel il veut vivre, et non l'inverse.L'audit de la dette publique d'Espagne, avec un moratoire sur son paiement jusqu'à ce que soit déterminé clairement les parties de celle-ci qui n'ont pas à être payées par la nation car ayant servi des intérêts privés utilisant le pays pour ses propres fins et non pour celles de l'ensemble des citoyens. Nous exigeons également le procès de toutes les personnes suspectes de telles manoeuvres, et le fait que leurs biens soient engagés si elles étaient déclarées coupables.La réforme de la loi électorale pour un nouveau processus électoral qui représente véritablement la volonté du peuple à chaque élection, ceci étant nécessaire pour faciliter le développement d'un processus constituant démocratique. L'arrêt immédiat de toutes les coupes budgétaires et de toutes les réformes qui sont contraires à l'état de bien-être car elles entrainent une restriction des droits et des libertés des citoyens : prises avec l'excuse de la crise, elles sont non seulement un désastre pour le pays, mais en plus elles ont été imposées en trahissant la volonté du peuple. Une profonde réforme fiscale qui fasse payer le plus à ceux qui obtiennent le plus de bénéfice de la société. Nous exigeons également l'abrogation de l'amnistie fiscale décrétée par le gouvernement, dont l'injustice est une véritable tromperie aux citoyens honnêtes. La suppression de tous les privilèges de ceux qui ont des charges politiques ou publiques, et la mise en place de mécanismes efficaces pour le contrôle de l'accomplissement de leurs fonctions.L'arrêt immédiat de toutes les expulsions des logements, et la mise à disposition pour la population, au prix du logement social, des logements appartenant aux banques et aux caisses qui ont été aidées avec de l'argent public. La création de nouveaux emplois dont la première condition soit la soutenabilité et dont la fin soit le développement de l'humanité. Ainsi, la gestion cohérente des emplois doit se faire de façon à ce que toute la population puisse travailler pour vivre et ne soit pas obligée à perdre sa vie à la gagner. Le fait que nous soyons obligés de travailler toujours plus est une énorme tromperie, soutenue par l'avarice des grands intérêts et contraire aux intérêts de la plupart des gens.Pour toutes les raisons exposées ci-dessus, nous convoquons les citoyens le 25 septembre 2012 devant les portes de l'assemblée, pour une manifestation illimitée jusqu'à la démission du gouvernement et l'ouverture d'un processus constituant, en faisant appel à l'union de toutes les luttes pour une société plus juste. ¡Nous sommes la majorité, nous sommes le peuple, nous avons raison, et nous ne vous permettrons pas de passer! évènement tcb : https://www.thechangebook.org/event/135/soutien-au-25s-occupons-lambassade-despagne Texte original : http://plataformaenpie.wordpress.com/manifiesto/ Facebook:
 
http://www.facebook.com/OcupaElCongreso
Evénement à Madrid: http://www.facebook.com/events/355184007883632/
Twitter: https://twitter.com/ocupaelcongreso
Blog: http://plataformaenpie.wordpress.com/
Contact en Espagne: info.ocupaelcongreso@gmail.com Signer le manifeste : http://www.convergencedesluttes.fr/petitions/?petition=26 Evénement Facebook Paris : http://www.facebook.com/events/419318491464372/?context=create
Lien : http://www.demosphere.eu/node/31722
Source : http://paris.reelledemocratie.net/node/1589

Tags : Occupons l'ambassade d'Espagne !, indignados, espagne
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#Posté le mardi 25 septembre 2012 10:48

L'éducation victime de la crise mondiale suite : websérie Malviviendo,


 
 
 
La peur du système actuel, que les mesures atteignent le stade ou les peuples ne pourront plus les supporter et « De mettre à feu et à sang son économie et sa paix sociale ? »
 
La spéculation, facteur d'ordre ou de désordre?
Le capitalisme synonyme de problèmes économique , écologique et sociaux
 
L'éducation victime de la crise mondiale suite : websérie Malviviendo,
 
Fight Club Bande-Annonce/Trailer VOST :
A LIRE !
A l'occasion des 12 ans de sa sortie, je vous propose une version sous-titré de la bande -annonce de ce magnifique film qu'est Fight Club ! Afin de ne pas gâcher la surprise aux personnes qui n'auraient pas vu ce film, merci de ne pas révêler des spoilers sur le film (surtout la fin !)
 
Fight Club (1999) - Critique du Film
Une oeuvre choc signée d'une main de maître par un David Fincher en état de grâce. 'Fight Club' est un film coup de poing, une baffe visuelle, qui remet en cause la place de l'individu dans la société de consommation et qui se demande si la violence est une solution pour s'émanciper de cet univers où chacun est confiné dans une case. Un très grand film, LE film choc de l'année 1999, voir peut-être de la fin de la décennie 90. A voir absolument.



Tyler's Message : Pixies - Where is my Mind ( (Scène culte , Fight Club Soundtrack)
 
 

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Fight Club Extrait #1 - Vidéo Dailymotion ( 10 min)
Un employé de bureau (sous-directeur), expert en assurances et en accidents de voitures (Edward Norton, le narrateur), seul, la trentaine, souffrant d'insomnie chronique et désillusionné par la vie, recherche une façon de s'évader de son existence monotone. Il la trouvera d'abord dans la souffrance des autres à travers des groupes d'entraide contre la maladie. Mais cette tentative sera parasitée par Marla Singer (Helena Bonham Carter). Grâce à l'aide d'un louche mais charismatique vendeur de savon, Tyler Durden (Brad Pitt), il découvrira une nouvelle façon de vivre et de voir les choses. Les deux personnages trouveront ainsi leur liberté face à la prison de la réalité à travers un fight club qu'ils créeront ; où l'homme peut être ce que le monde lui refuse d'être. Mais leur fight club et leurs canulars inoffensifs, les conduiront vers un cercle vicieux de comportements et de faits incontrôlables.
 
Fight Club Extrait #2 ( 9 min)

Fight Club le film (FR) : 1h 33 min
 

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Brad Pitt Fight Club Workout - How to Get Ripped Like Brad Pitt    ( 15 min) :
Fight Club Film Analysis - Part 1 , Part 2 : Middle children of history" - Explaining the ideology of Tyler Durden and the similarities to marxism


Fight Club - Le film noir du consommateur :
« Est-ce que Fight Club est un bon film ? Il est tellement bourré d'idées explosives et d'humour féroce que les gardiens de la moralité se mettent à crier : "Danger !" C'est donc un bon film. » (magazine Rolling Stone)
 
 
Fight Club (film) - Wikipédia:
 
Lors de la 72e cérémonie des Oscars, le film a été nommé pour l'Oscar du meilleur montage de son[62]. À l'occasion de la 5e cérémonie des Empire Awards, Helena Bonham Carter a remporté pour son rôle l'Empire Award de la meilleure actrice britannique[63]. Lors des Brit Awards 2000, le film a été nommé dans la catégorie de la meilleure bande originale[63]. Et Edward Norton a été nommé en 2000 aux MTV Movie Awards dans la catégorie du meilleur combat (pour son combat contre lui-même)[64]. Lors des OFCS Awards 2000, le film a reçu cinq nominations dans les catégories du meilleur film, du meilleur acteur (pour Norton), du meilleur réalisateur, du meilleur scénario adapté et du meilleur montage sans remporter un seul trophée. L'année suivante, il a remporté trois OFCS Awards dans les catégories du meilleur DVD, des meilleurs commentaires audio DVD et des meilleurs bonus DVD[63].

Fight Club sur l'Internet Movie Database - Version plus complète en anglaisFight Club sur AlloCiné




117 Secondes À Voir Absolument!!!






 
50,5 % :
 
 
L'éducation victime de la crise mondiale suite : websérie Malviviendo,
 
On croirait un résultat électoral de second tour. Un score serré, mais suffisant pour définir une majorité. Or c'est précisément l'existence de cette majorité qui traumatise l'Espagne. Car il ne s'agit pas d'un décompte des bulletins de vote, mais de la proportion de chômeurs parmi les 16-24 ans. Plus d'un jeune Espagnol sur deux débarquant sur le marché du travail fait la queue à l'agence du Pôle emploi local. Sans parler de ceux qui, de crainte de paraître surqualifiés, gomment leurs diplômes sur leur CV. Voilà le triste bilan d'une crise économique qui n'en finit pas d'anémier le pays. Génération perdue, génération sacrifiée, génération indignée : les qualificatifs pleuvent dans la presse espagnole pour décrire ces jeunes gens aux illusions envolées...
 
En surchauffe, l'Espagne a explosé en vol, condamnant ses enfants au dés½uvrement.
Dans un grand élan de mansuétude, le roi Juan Carlos a avoué, il y a quelques semaines, que ce drame de la jeunesse l'empêchait de dormir. Mais la révélation, la semaine dernière, de sa présence à une partie de chasse au Botswana au moment où ses sujets se serrent la ceinture a brisé net, en même temps que sa hanche, les efforts d'empathie du vieux monarque. Le roi souffre, mais l'Espagne va encore plus mal. C'est une tragédie. Heureusement, le comique n'est jamais loin. ”
 
Téléchargé le PDF 
Consultez en ligne
 
Afin d'expliquer en quoi la phrase de Karl Marx : Le capital de Marx expliqué : Bien de militants s'inspirent des idées de Karl Marx, et considèrent que le combat entre les patrons et les salariés est permanent et inévitable. (...) .  Vous pouvez lire en ligne Le Capital à http://le.capital.free.fr/

Le capitalisme ne peut pas, à long terme, résoudre le problème économique de fournir une vie humaine pour les masses... Cette proposition est la base de l'approche de classe du Marxisme.  Sans elle il n'y a pas d'approche de classe, et il ne peut pas y en avoir. Si ce n'est pas vrai alors il n'y a aucune raison de ne pas être simplement un bon réformiste.3

Le capitalisme est bourré de contradiction entre une planète finie et un système capitaliste néolibérale qui a des besoins infinie.  Écologie - Décroissance : à propos de limites ... - Le Monde Libertaire : « Il y a une éthique des limites, une pensée de la limite qui ne coïncide pas avec la fermeture ou la fin. »
E. Kac et A. Ronell
 
Dans l'univers artificiel du capitalisme et de la technoscience, fondés sur les outrances, les excès, la démesure, le gigantisme, la surenchère, nous sommes sans cesse conviés à repousser nos limites physiques, intellectuelles, professionnelles et sociales. La notion même de limite est devenue impensable. Toute remise en cause de son fonctionnement ( croissance, hausse du PIB....) signifie pour lui son arret de mort. ( google). D'ou des crises de plus en plus dure, une peur des troubles sociaux liés a des mesures impopulaires de préservation ( " plan de sauvetage", émission massive de monnaie fictive, Je vous propose aujourd'hui deux sujets traitant de cette problématique. Pour commencer, abordons ces politiques monétaires expansionnistes qui profitent à certains investisseurs.
 
L'ÉCOLE EST UN DROIT UNIVERSEL , Le Dessous des Cartes ( video)
Dans le monde, un adulte sur cinq est analphabète alors que l'éducation est un droit de l'homme reconnu parla Déclarationuniverselle de 1948. Durant la dernière décennie, le nombre d'enfants non scolarisés au niveau primaire a fortement baissé. Pourtant, plusieurs limites persistent et restreignent l'accès à l'éducation pour tous.
Ainsi si pendant 30 ans les objectifs de rédaction de la pauvreté, et la baisse de l'alphabétisation grâce a des politique volontaire (gratuité de l'éducation, protection des jeunes étudiants et surtout des filles), car l'éducation est le nerf d'une société progressiste, elle a ralentie fortement et pourrais même remonté a 72 millions. Les causes :
-          La précarisation de la famille :
-          L'insécurité politique ( les guerres civiles, les lois de la charias qui entravent tout progrès)
-          Et enfin la crise économique, politique et sociale mondialisé. C'est sur ce point que je voudrais revenir.
 
La reconstitution d'un pays ne peut se faire sans la reconstruction du système scolaire. Les femmes jouent un rôle important dans le bon suivit de la société : c'est vrai pour la prévention du sida, la bonne éducation des enfants
 
 
Le constat : L'éducation victime de la crise :
 
Le triomphe de la websérie Malviviendo, qui raconte l'histoire d'une bande de copains aux prises avec la débrouille et le chômage dans un quartier de Séville, en est la preuve. Ses auteurs ont inventé un concept qui marche : “Rire de la crise qu'on nous vend comme la fin du monde
 
 
 
Malviviendo 1X01 On m'appelle Negro VOSF Partie 1
 

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:Malviviendo 2x06 - 23 días en Los Banderilleros (parte 2)  : ( 27 min)
 
 
 
 

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Malviviendo 1x08 - No girls : ( 40 min)
 

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Malviviendo 1x09 - Cicatrices VOSF :  ( 42 min)
Malviviendo 1x10 - A Vendre VOSF :  ( 42 min)  
Caricaturizando a dos de Malviviendo - YouTube
http://www.youtube.com/watch?v=F40fYSRhROY : turizando a dos personajes dela Web-serie de Malviviendo en el programa "PORLA NOCHE SALGO YO", presentado por Javi Nemo.
Web Series Festival :

 
 

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 Du sauvetage des banques au naufrage des Etats : silence des financiers et hypocrisie de l'Europe
 
Chili : Un raz-de-marée étudiant dans la rue, du jamais-vu depuis la fin de la dictature1 - France Culture
"Même dans ses rêves, le Tea Party n'a jamais imaginé un pays comme celui qu'ont dessiné nos Chicago Boys (les économistes néo-libéraux sous Pinochet) : charge fiscale au plus bas, État minimisé, dérégulation quasi-totale." 

 MalEducados! el problema de la educación en Chile :: DocuHistory (
MalEducados! el problema de la educación en Chile durée 28 min
 
¡Pagan por trabajar! - Esto NO tiene nombre TVN | 17-10-2011 durée 53 min
Documentaire - Grèce - le temps des sacrifices ( durée 54 min)
 
 lire : L'industrie de la finance n'est plus une perversion du système, elle est le système :  Blog / Fonction et limites du système, Scénario l'Argentin appliqué pour la Grèce ... en Europe, ».Hollande et le changement!, Economie d'échelle : cas air France , Capitalisme fonctionement et limites - Anarkia, Le cercle vicieux : " chute des profits, de l'éducation ..." - l'Indigné, L'éducation victime de la crise mondiale – citoyenactif, L'éducation victime de la crise mondiale – altermonde, Les limites du système , le temps des sacrifices,
 
 
L'éducation victime de la crise mondiale - Altermonde, Génération sacrifiée par la crise du capitalisme - Hensozu, article sur Facebook ,

 
n De la servitude moderne - DOCUMENTAIRE COMPLET - HD -  : [PDF]De la servitude moderne - Arpinux
 
Par Enkolo dans Accueil le 30 Septembre 2016 


Industrie agro-alimentaire : business contre santé
Créé le vendredi 30 septembre 2016 

 Invasion Los Angeles part 1 - vidéo Dailymotion,
Ray Faraday Nelson. They Live 1988 | Full Movie - YouTube 
la servitude moderne - l'indigné révolté
Lien entre pollution environnementale et stérilise, cancers...Créé le samedi 20 octobre 2012 
Marinela, solution a la " crise"Créé le jeudi 30 août 2012


nToxic Somalia Créé le lundi 27 août 2012
Antisocial est d'actualitéCréé le vendredi 31 août 2012
Main basse sur le riz Créé le dimanche 12 août 2012 
Le cauchemar de DarwinCréé le mercredi 01 août 2012 
 
 
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial, VOTEZ FN REND CON, Paulo Anarkao (intégrale) , Projection : ENTRÉE DU PERSONNEL , Florange, la flamme des derniers haut-fourneaux, Projection de « La Bataille des Marolles » , Ballade pour une reine , Théorie Du Complot - Les réseaux de l'extrême , Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats : Capitalism : A Love Story , Le basculement du monde , Manager de transition, un bien joli métier, Accroissement continu de la rentabilité par le progrès technique? , Toxic Somalia , Je vais vous faire peur II ... , Le plan de bataille des financiers, La dette ou la vie !,Le poison grec, Les "marchands de doute" nous trompent-ils délibérément ? , Les "marchands de doute" nous trompent-ils délibérément ? , Hollande et le patronat , La bataille du Lithium - videos.arte.tv , Lobby Planet , GAL : des tueurs d'Etat ? , La Machine à Expulser - Webdocumentaire
Tags : websérie Malviviendo, l’École, droit universel, le dessous des cartes, géopolitique & histoire, éducation, école, alphabétisation, websérie, malviviendo, chomage, espagne, crise mondiale, libéralisme, capitalisme, fight club, génération sacrifiée, anthony struth, david fincher, brad pitt, edward norton, movie, picture, study, film, mayhem, consumerism, marxism, communism, deadfilm, politics
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#Posté le mardi 17 juillet 2012 03:51

Modifié le vendredi 30 septembre 2016 16:04

Monnaies alternatives locales : pile ou face ?


 

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Crise financière ce que le public devrait savoir : durée  min)
Face à l'interconnexion des crises à l'échelle mondiale, quelles alternatives ?

Sommes-nous informés correctement sur la crise ou les médias mainstream ne font qu'un travail cosmétique et ne donnent de nouveau la parole qu'aux responsables de la crise?

 
 
rencontre avec Jaime Huenchullan, porte-parole mapuche de la communauté autonome de Temucuicui , Lettre ouverte de Jaime Huenchullan Cayul depuis la prison de Victoria,

Villes en transition - émission sur ARTE Global Mag - 03 février 2010 (9 min.) /

 
(Prof. Senf) Las raíces profundas de la crisis mundial. Alternativas al sistema monetario actual 1. : ( 1H 20 MIN°
http://www.youtube.com/watch?v=nnwnbVqXV3c&feature=related



Monnaies alternatives locales : pile ou face ?
De Londres à Athènes en passant par Toulouse, l'Europe est secouée par une sorte d'euphorie monétaire. Tout le monde veut frapper sa monnaie ! Un défi aux Eurocrates ? Sans-doute. Une réponse à la crise ? Peut-être. Première partie du panorama de ce phénomène qui ne connaît pas de frontières.
FromLondontoAthensviaToulouse,Europeis gripped by a sort of monetary euphoria. Everyone wants to create their own currency! Is it a direct challenge to eurocrats? Probably. Is it a response to the crisis? Maybe. Part one in a series of articles on a phenomenon that transcends national borders
De Londres a Atenas, pasando por Tolouse, una especie de euforia monetaria parece sacudir Europa: todos quieren acuñar su propia moneda. ¿Se trata de un desafío a los eurócratas? Sin duda. ¿Una respuesta a la crisis? Quizás. A continuación, la primera parte de este fenómeno que no conoce fronteras.
overview
by Andrea Paracchini @ Translation: Marie Jackson @
25/06/12
Tags : English »
 SpanishPolishFrench [original version]Italian
4 comments for “Alternative local currencies in Europe: time is funky money”Print “Alternative local currencies in Europe: time is funky money” 
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PANORAMA
par Andrea Paracchini @
19/06/12
Tags : alternatif, Espagne, argent, monnaie, Allemagne, Grèce, France, Italie, Autriche. , Economie / Société / style de vie / Monnaies alternatives locales, Austria, money, Spain, Italy, Germany, France, Greece, underground, currency.
 
.What are regional currencies?
 

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What are regional currencies? Regional/local currencies are a relatively new phenomenon in economy. Since in 2003 the "Chiemgauer", a local currency at the lake Chiemsee (Germany) started off, the project has inspired many similar projects, and enriched the ideas about how money can function a lot.
Regional currencies are a medium of exchange designed for a certain region, which are used in addition to the currency of the country.

How do local currencies work?
 
The Money Fix - A Documentary for Monetary Reform ( durée 1H20 min)
 

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"Money is just information, a way we measure what we trade, nothing of value in itself. And we can make it ourselves, to work as a complement to conventional money. It's just a matter of design."

Money is at the intersection of nearly every aspect of modern life. Most of us take the monetary system for granted, but it has a profound and largely misunderstood influence on our lives. 'THE MONEY FIX' is a feature-length documentary exploring our society's relationship with the almighty dollar.
The film documents three types of alternative money systems, all of which help solve economic problems for the communities in which they operate.

'THE MONEY FIX' examines economic patterning in both the human and the natural worlds, and through this lens we learn how we can empower ourselves by redesigning the lifeblood of the economy at the community level.
 
The Money Fix (La soluciòn al dinero)


 
 

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El dinero está en la intersección de casi todo aspecto de la vida moderna. La mayoría de nosotros no le damos importancia al sistema monetario, pero tiene una profunda y larga influencia incomprendida en nuestras vidas.

"THE MONEY FIX", es un documental que explora la relación de nuestra sociedad con el todopoderoso dolar. "THE MONEY FIX" examina el paternalismo económico en el mundo tanto material como humano, para que a través de éste lente podamos empoderarnos para rediseñar nuestra forma de organizar recursos en nivel comunitario.

La película explora además tres sistemas alternativos de organización monetaria, que podrían crear verdaderas soluciones para las comunidades y sus recursos. El dinero en sí es una herramienta de valoración de intercambio; es el sistema fraccionario a través del cual se crea deuda a través del dinero, el cual ha sostenido y mantenido la desigualdad en la distribución de las tierras y los recursos para la humanidad.
Es interesante ver un estudio del poder del todopoderoso sistema monetario, e inclusive alternativas que demuestran que la forma como se utiliza actualmente es parte de un sistema de fraude y esclavización.

 


 






français [VO] »anglaisespagnolpolonaisitalien4 commentaires pour “Monnaies alternatives locales : pile ou face ? ”Imprimer “Monnaies alternatives locales : pile ou face ? ” 
We're going to repeat the weary phrase...Will Greece End Up Leaving The Eurozone? The coastal city of Volos, half-way between the capital Athens and the second-largest city Thessaloniki, is ready for any eventuality. At least, it's nearly ready. Some months ago, a local exchange trading system (LETS) was created in the port city, which has around 140, 000 inhabitants. The project involves about a thousand people, for whom time has now replaced money as a medium of exchange. For example, I can give an hour of guitar lessons to a member of my local LETS network for an hour of service from one of the other members. If, instead of hours of service accumulated, I receive coupons or 'local alternative units' (called 'Tems' in Volos), I can also use these to buy goods and services from businesses that are members of the network. The idea is simple and user-friendly - once you reach 1, 200 Tems you have to start using them, and you can't owe more than 300 - and there is no more effective a system when you find yourself pockets empty and unable to buy anything
 
La Grèce va-t-elle enfin sortir de l'Euro ? En tout cas, la ville de Volos, à mi-chemin entre Athènes et Thessalonique, est prête. Enfin, presque. Il y a quelque mois, un système d'échanges locaux (Sel) a en effet vu le jour dans cette ville portuaire de quelque 140 000 habitants. Le projet implique un millier d'adhérents pour qui le temps remplace désormais l'argent comme moyen d'échange : je donne une heure de cours de guitare à en membre du Sel, j'ai droit en retour à une heure d'un service de la part d'autres membres. Si au lieu de noter les heures de services rendus sur un compte, je reçois des coupons (les Tems, à Volos), je peux également m'en servir pour acheter des biens et services auprès de commerces et d'entreprises membres du réseau. Relativement simple et convivial, il n'y a pas plus efficace quand on se retrouve, les poches vides, dans l'impossibilité d'acheter quoi que ce soit.
 
¿Acabará Grecia saliendo del euro? Sea cual sea la respuesta, la población de Volos, a medio camino entre Atenas y Tesalónica, está preparada (o casi). Hace unos meses, un sistema de intercambio local (SIL) vio la luz en esta ciudad portuaria de 140.000 habitantes. El proyecto cuenta con un millar de afiliados que utilizan el tiempo en lugar del dinero como medio de intercambio: dar una hora de clase de guitarra a un miembro del SIL, por ejemplo, da derecho a una hora de otro favor prestado por otro afiliado. En lugar de horas de servicio, uno puede también acumular cupones (una especie de divisa conocida como TEM) que se pueden utilizar para comprar bienes o prestaciones en comercios y empresas que formen parte de la red. Pese a que se trata de un sistema simple y de fácil manejo, no acaba de solucionar el problema de encontrarse con los bolsillos vacíos y sin posibilidad de comprar lo que uno quiere
 
The Money Fix (trailer)
 

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“The Money Fix” - Bande-annonce. | Réalisé par Alan Rosenblith, le film aborde le complexe des gens face à l'argent et consacre toute une partie aux monnaies locales.
Just where does that dollar in your pocket originate? The answer is that all money enters the economy as bank debt. So what? You may ask. This seemingly innocuous detail is actually at the core of many of the social and environmental problems of today.

Join us on a voyage that will utterly transform the way you perceive money. Many leading thinkers expose the truth about money, and what we can do about it in this feature length documentary.
 
Cashless currency in Europe / Le temps, c'est de l'argent/ El tiempo es oro
 
Européens reviennent à des monnaies locales
 
 

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A Pézenas, on paie en occitan, une monnaie locale unique

 
  
In Greece, there have been around fifteen active or nascent LETS networks in existence since the crisis hit and austerity plans were introduced. Yet the country, the cradle of modern European civilisation, is not the origin of the LETS system. It is thought that the first such system was introduced in Canada in 1930. However, it was the 1990s that marked the golden age of the LETS scheme in Europe. In Italy, the system has been introduced in its simplest form 'la Banca del Tempo' (the Bank of Time, BdT). A bill which was approved in 2000 set the system within a legal framework and encouraged communities to open these establishments. The success of the scheme is unparelled; the northern Italian region of Émilie-Romagna has always been one of Italy's most prosperous areas, yet during the financial crisis, banks of time could take centre-stage. This is precisely what is happening in Spain, where LETS schemes have become something of a national obssession. A blog called vivir sin empleo ('live without employment) has mapped out LETS networks throughout the country: around 300 are thought to exist inSpain already, with more networks being created every day.
 
En Grèce, on recense une quinzaine de Sel actifs ou en cours d'activation depuis que la crise frappe et les plans de rigueur se succèdent. Berceau de la civilisation européenne, la Grècen'est pourtant pas à l'origine des Sel. On considère que le premier a vu le jour au Canada, en 1930. Mais ce sont les années 1990 qui marquent l'âge d'or du dispositif en Europe. En Italie, le procédé s'installe dans sa forme la plus simple : la Banca del Tempo (Banque du temps). Une loi, approuvée en 2000, donne un cadre légal au système et encourage les communes à ouvrir ces établissements. Le succès est inégal, l'Émilie-Romagne s'affirmant comme l'une des régions les plus propices, mais en ce temps de crise, les Banche pourraient reprendre le devant de la scène. C'est en tout cas ce qui est en train de se passer en Espagne, où depuis quelque temps les Sel font l'objet d'un vrai engouement. Un blog, vivir sin empleo, en a fait une cartographie : quelque 300 Sel existeraient aujourd'hui en Espagne et c'est un chiffre en constante croissance. Si troc, échange et entraide semblent s'adapter particulièrement aux structures sociales du pourtour de la Méditerranée, les Sel comptent leurs adeptes plutôt au nord des Alpes.
 
Grecia cuenta con una quincena de SIL activos o en proceso de ponerse en marcha desde que la crisis empezó y los planes de austeridad no dejan de sucederse. Sin embargo, no fue en Grecia, cuna de la civilización europea, donde se originaron estos sistemas. Parece ser que el primer SIL vio la luz en Canadá en 1930, aunque fue la década de los noventa la que marcó la edad de oro de dichos sistemas. En Italia, el procedimiento se instauró de la manera más simple: la Banca del Tempo (el Banco del Tiempo, en castellano). Una ley aprobada en el año 2000 ofrece un marco legal al sistema y anima a pueblos y ciudades a abrir este tipo de establecimientos. La región italiana de Emilia-Romaña es donde la iniciativa ha tenido más adeptos y, aunque en el resto del país el éxito es desigual, la actual crisis puede llevar a estos bancos de nuevo al primer plano. Al menos esto es lo que parece ocurrir en España, donde desde hace algún tiempo los SIL se reciben con entusiasmo. El blog vivirsinempleo ha elaborado un mapa donde se observa que en la actualidad ya existen más de 300 SIL, cifra que además va en aumento. 
 
Cos'è una Banca del Tempo.flv
 
 

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:
Animation sur le fonctionnement de la Banca del Tempo en Italie.
Una bella animazione, chiara, breve e divertente di cos'è una BdT.

Credits: animazione a cura di Astra-Design / www.astra-design.net , concept di Kristina Tool e Marianna Recchia
En France, on recense 500 Sel, certains très actifs, avec une centaine de membres, d'autres en sommeil. Depuis la rentrée 2011, deux Accorderies ont ouvert à Paris et Chambéry. Déclinaison du Sel inventée au Québec, elle est spécifiquement conçue pour venir en aide aux habitants des quartiers populaires. Enfin, en Autriche, le Tauschkreis bénéficie d'une forte reconnaissance de la part des institutions de la région du Vorarlberg. Selon Rolf Schilling, responsable du projet, 2 000 personnes échangent au sein du Tauschkreis environ 30 000 heures par an. Mais surtout, les Talents – le nom du coupon autrichiens – est accepté par 130 entreprises et commerces de la région ainsi que par nombre de collectivités locales permettant ainsi de régler jusqu'à 75 % des impôts locaux en monnaie locale.
 
In the north, making our own money/ Au Nord, on frappe sa monnaie/ El norte de Europa acuña su propia moneda
In northern European countries, these alternative currencies have freed themselves from systems built on bartering and/or mutual aid. They've become far more sophisticated; within a community, it is possible to exchange your euros against a so-called 'complementary currency' (in the form of notes or credits on an electronic card) which you can use to make purchases. The primary aim is to keep wealth within the district concerned; when you buy something at a supermarket chain, your money usually leaves your community and ends up profiting the company's shareholders at the end of the year instead of local traders.
 
Dans les pays de l'Europe du Nord, ces monnaies alternatives se sont émancipées des systèmes de troc et entraide. L'affaire se complique : au sein d'une communauté, on échange ses euros contre une monnaie dite « complémentaire » (sous forme de billets ou de crédits sur une carte électronique) dont on se servira pour faire ses propres achats. La finalité primaire est de retenir la richesse sur le territoire. Quand vous achetez dans une chaîne de supermarché, par exemple, votre argent quitte votre communauté et finit par profiter, en fin d'année, aux actionnaires de l'entreprise.
 
En los países norteuropeos, estas monedas alternativas han ido más allá de los sistemas de trueque y ayuda mutua. La cuestión es, en efecto, más compleja: en el seno de una determinada comunidad, se pueden cambiar euros por una moneda llamada “divisa complementaria” (en forma de billetes o crédito en una tarjeta electrónica) que se puede utilizar para hacer compras. El objetivo principal es retener la riqueza en el territorio. No hay que olvidar que, por ejemplo, cuando compramos en una cadena de supermercados, nuestro dinero sale de la comunidad para acabar beneficiando, al cierre del ejercicio, a los accionistas de la empresa.
 
Nouvelle édition de billet correspondant au Brixton Pound et faisant figurer David Bowie. | Un mec qui a quand même enregistré un album intitulé “The Man Who Sold The World”. En effet, la cible de ces monnaies n'est pas plus l'Euro que le fonctionnement de l'économie dans son ensemble. Certaines par exemple prônent une véritable déontologie : seulement les entreprises et commerces respectant les engagements d'une charte (commercialisation de produits bios ou issus du commerce équitable, notamment) peuvent intégrer le réseau. C'est typiquement le cas des monnaies complémentaires créées au Royaume-Uni (et désormais dans toute l'Europe) dans le cadre de la démarche des Transition Towns ( cf film « In Transition 2.0 )
. A Brixton, faubourg populaire dans la banlieue de Londres, Simon Woolf est managing director de la structure qui gère le Brixton Pound (B£) : « Nous n'avons pas de chiffres exacts mais nous estimons qu'au moins 3 000 des 56 000 habitants de la ville ont utilisé au moins une fois le B£ dans l'un des 200 commerces agréés. »
 
With 70, 000 B£ in circulation and a 'pay-by-text' system tested by 400 subscribers, you are most likely to see these notes being exchanged in cafes and restaurants, thus drawing accusations that the Brixton pound is a currency for 'champagne socialists'. On the continent, it's Germany that holds the record for alternative currency in circulation, with the equivalent of 900, 000 euros available in various local monies. The leading German example is the Chiemgauer, a currency exchanged by some 3, 000 consumers in 600 businesses in Southern Bavaria. These are impressive figures, to be sure, but it's hard to imagine the leaders of the European central bank worrying about the breakthrough of alternative currencies. What's more, no European government seems able to take these initiatives seriously
 
Avec 70 000 B£ en circulation et un système de payement par sms testé auprès de 400 souscripteurs, c'est dans les restaurants et cafés qu'on a plus de chances de voir échanger ces billes. Ce qui aura valu au Brixton Pound d'être taxé de « monnaies bobo ». Sur le continent, c'est l'Allemagne qui détient le record des monnaies en circulation avec l'équivalent de 900 000 euros en monnaie locale. La star d'outre-Rhin est le Chiemgauer, une monnaie échangée par quelque 3 000 utilisateurs dans 600 entreprises du sud de la Bavière. Des chiffres importants, certes, mais on a du mal à imaginer les dirigeants de la BCE s'inquiéter de la percée des monnaies alternatives. Aucun gouvernement européen ne semble d'ailleurs prendre au sérieux ces initiatives. Et pourtant...
Su circulación es de 70.000 B£ y tiene un sistema de pago por SMS en funcionamiento con cerca de 400 abonados. Es en restaurantes y cafeterías donde hay una probabilidad más alta de poder utilizar estos billetes, lo que le ha valido ser tildada de “moneda de pijoprogres”. El récord en Europa lo tiene Alemania, con una circulación de 900.000 euros en moneda local. La moneda estrella en el país germán es el Chiemgauer, una moneda que utilizan unos 3.000 usuarios en 600 empresas del sur de Baviera. Cifras verdaderamente importantes, aunque cuesta imaginar a los dirigentes del Banco Central Europeo inquietarse por el impacto de las monedas alternativas. Tampoco ningún gobierno europeo parece tomarse estas iniciativas en serio. Por el momento
 
A suivre, la semaine prochaine, la deuxième partie de cet article consacré aux monnaies alternatives locales.
 
A voir sur mon blog : L'agriculture de la faim , Qui est Georges Soros ? , la servitude moderne , Vacances : l'envers de la carte postale , Un autre futur : l' Espagne en rouge et noir , Coup d'Etat au Paraguay , Maurice le vaut bien ! , Quel leçon tiré de la crise? , Quel leçon tiré de la crise? , Et si Karl Marx avait raison ? , Rio + 20 - Sommet des peuples - Lettre d'info n°1 , 39-40, la guerre des images , L'art D'ignorer les Pauvres , Conférence internationale de Rio sur l'environnement du 20 au 22 juin 2012 , Damien Saez - J'accuse [+ paroles] , Je vais vous faire peur... , Rio+20 ne doit pas être vain ! , le capitalisme croule sous le poids de ses contradictions
 
 
1919-1939 : la drôle de paix ,
Les enjeux énergétiques
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#Posté le lundi 02 juillet 2012 04:35

Modifié le lundi 02 juillet 2012 05:43

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