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5 articles taggés Arnaud Montebourg

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Les élus locaux dans le piège nucléaire

 
 
source : L'Indigné, Greenpeace
 
Mutations (Slugs) - Une série B réjouissante ! Les élus locaux dans le piège nucléaire
 
Les élus locaux dans le piège nucléaire
  Il y a tout juste vingt ans, l'Europe décidait de libéraliser totalement le marché de l'énergie. A la clé, une promesse : celle d'une électricité moins chère grâce au jeu de la libre concurrence entre tous les opérateurs. Au final, une chimère que les Européens paient au prix fort. Le prix moyen de l'énergie a augmenté de 42 % en huit ans,...EXCLUSIF - «La situation du nucléaire est très préoccupante», selon le président de l'Autorité de sûreté
Après la découverte, au printemps 2015, d'un défaut dans la cuve du futur réacteur EPR de Flamanville, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a déclenché une campagne de contrôle sans précédent. Elle est loin d'être terminée. Son président, Pierre-Franck Chevet, souligne que la situation est « très préoccupante ». 
A lire : Pierre-Franck Chevet: «Il faut repenser le contrôle du nucléaire»
n EDF: Greenpeace alerte sur l'avenir du groupe , Electricité le montant de la facture - YouTube
 
Les élus locaux dans le piège nucléaire

Troisième volet de notre enquête sur les décideurs de l'énergie. Ce sont des élus de la République au niveau local, qui représentent un territoire, des citoyens.
Mais pas seulement. Ils sont aussi pris au piège de la rente nucléaire.

Lire l'article
 
Des spécialistes de l'énergie ? 
Les élus de collectivités abritant des sites nucléaires sont souvent spécialisés sur les questions énergétiques au niveau de la représentation nationale. Ainsi, ils sont ainsi : président de l'OPECST (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques), membres de la Commission des affaires économiques qui sera en première ligne sur le projet de loi sur la transition énergétique, ou du groupe d'étude sur l'énergie.
 
En clair, ils sont ceux qui prendront les rênes des débats parlementaires sur la politique énergétique au moment où le projet de loi sur l'énergie arrivera à l'Assemblée nationale puis au Sénat d'ici fin 2013. Leur influence est donc forte sur un texte pour lequel l'exécutif cherchera à obtenir une majorité solide. Si François Hollande décide d'écouter ces députés, de les suivre, cela risque fort de compromettre toute ambition sur la réduction de la part du nucléaire dans la future loi sur l'énergie.
 
Des ambassadeurs ?
Ils sont des ambassadeurs, à double titre : de la majorité au pouvoir au niveau local, et de l'industrie nucléaire implantée sur leur territoire au niveau national. Ils en assurent régulièrement la défense dans les médias, locaux autant que nationaux, avec des arguments qui rappellent ceux des industriels : industrie de pointe, tarifs, emplois ... (voir notre décryptage complet des arguments des industriels du nucléaire)
 
Quelques citations, pour illustration :
 
Patrice Prat, député-maire de Laudun-l'Ardoise (installations nucléaires de Marcoule et Tricastin) :   "Oui, le nucléaire est une filière d'avenir ! Arnaud Montebourg a exprimé fidèlement la position du président de la République. [...] notre pays ne va pas tourner le dos à cette énergie, sur laquelle il devra pouvoir compter pour fournir aux entreprises et aux ménages, l'énergie la plus sûre et la moins coûteuse possible." le 30 août 2012, en soutien à Arnaud Montebourg
 
Christian Bataille, député du Nord (centrale nucléaire de Gravelines), vice-président de l'OPECST :   "L'accord entre le PS et les Verts est désastreux sur le plan industriel et électoral; il ne durera pas" le 29 novembre 2011 dans une interview aux Echos. ou encore : "De nombreux parlementaires, élus de zones industrielles, considèrent qu'il faut privilégier l'industrie et qu'on ne peut pas faire repartir l'économie à coup d'emplois d'avenir." le 2 août 2013 dans une interview au Figaro.
 
1 2Leur influence
 
3 4 Majorité gouvernementale, Parlement, territoires : un réseau d'influence.
 
Certains élus de collectivités abritant des sites nucléaires ont trois sphères d'influence : la première au sein de la majorité gouvernementale, la seconde au sein du Parlement et enfin la dernière au niveau des territoires. Dans chacune de ces sphères, des élus jouent sur l'équilibre politique pour garantir les intérêts de l'industrie du nucléaire et ainsi maintenir les revenus des collectivités (communes, communautés, départements, régions) auxquels ils doivent leurs sièges (vous découvrirez ces éléments dans la partie concernant leurs intérêts).
 
À l'échelon national, dès les débuts du programme électronucléaire français, il y a toujours eu des élus du nucléaire devenus ministres défendant l'atome.
 
Plus proche de nous, Eric Besson, maire de Donzère (centrale du Tricastin), était ministre de l'énergie et de l'industrie pendant le mandat de Nicolas Sarkozy.
 
Aujourd'hui, quatre ministres ancrés dans des territoires vivant du nucléaire ½uvrent au gouvernement.
 
Bernard Cazeneuve est ministre du Budget et ex-maire de Cherbourg (centrale nucléaire de Flamanville, usine nucléaire de la Hague) ; Arnaud Montebourg est ministre de l'Industrie, particulièrement actif sur les questions d'énergie, et ex-président du conseil général de Saône et Loire (usine Areva du Creusot) ; Sylvia Pinel est ministre de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme, ex-députée de Valence d'Agen (centrale de Golfech) ; enfin Geneviève Fioraso est ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, 1ère vice-présidente de "La Métro" (la Communauté d'Agglomération de Grenoble), et ancienne collaboratrice auprès du CEA de 1989 à 1995.
 
Le corps des Mines est resté généralement dans l'ombre des gouvernements (voir notre enquête sur les X-Mines), mais certains corpsards préférent la lumière.
 
Alors que le projet de François Hollande est de réduire la part du nucléaire, qui entraînera la fermeture de réacteurs, le nucléaire a de nombreux protecteurs au gouvernement. Le président de la République décidera-t-il de les écouter au détriment des intérêts de la France et de sa transition énergétique ?
 
La politique énergétique se discute dans de multiples groupes ou commissions à l'Assemblée nationale et au Sénat.


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Dans la ligné des découverte des films d'horreurs, d'épouvantes de triller et de science fictions abordé avec "Message caché des films " d'horreurs ou d'épouvantes
 
Nucléaire : fusion et confusion
Trois jours après le séisme et le tsunami qui ont frappé le Japon et alors que le pays compte ses morts, le risque nucléaire inquiète les Japonais et le monde entier. La centrale de Fukushima Daiichi, qui a connu une série de dysfonctionnements graves, est au c½ur de toutes les préoccupations. La menace d'une catastrophe nucléaire, que certaines voix autorisées estiment possible, relance partout dans le monde le débat sur la sécurité des centrales.

Découvrez en cliquant ici notre galerie "Japon : une vague de dessins"
 
Dessin de Kroll paru dans Le Soir
 
 
Centrales nucléaires, démantèlement impossible ?
 
De la France aux États-Unis en passant par l'Allemagne, les pays qui ont misé sur l'énergie nucléaire se trouvent aujourd'hui confrontés à un nouveau défi : le démantèlement de leurs centrales vieillissantes ou définitivement mises à l'arrêt. Voici quarante ans, leurs concepteurs n'avaient pas prévu que, devenus trop vieux et donc dangereux, ces réacteurs devraient être un jour démontés, et qu'il faudrait stocker leurs déchets hautement radioactifs. Si les opérateurs et les autorités de la sûreté nucléaire assurent pouvoir maîtriser ce processus de démantèlement, la réalité est toute autre.
 
(France, 2013, 68mn)
ARTE F
 
Centrales Nucléaires : Démantèlement Impossible ? - YouTube : 
 

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 CENTRALES NUCLÉAIRES, DÉMANTÈLEMENT IMPOSSIBLE ?, Les élus locaux dans le piège nucléaire

 




 
Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23

Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé


Bruxelles businessCréé le mardi 20 mai 2014 
Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014 
La démocratie, c'est nous Créé le dimanche 11 mai 2014 
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Foire aux questions abstentionnistes Créé le vendredi 28 mars 2014 
L'Ukraine et'extrême droite ! Créé le samedi 08 mars 2014 
Johnny s'en va-t-en guerre Créé le mardi 25 février 2014 
Le complexe militaro-industrielCréé le dimanche 15 septembre 2013 
Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?Créé le mardi 10 septembre 2013 
Les élus locaux dans le piège nucléaire Créé le samedi 07 septembre 2013
Tags : nucléaire, Japon, Catastrophe, lobbies, lobbing, Eric Besson, Arnaud Montebourg, enquête, Bernard Cazeneuve, réseau d'influence
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#Posté le samedi 07 septembre 2013 13:10

Modifié le jeudi 31 août 2017 06:50

Florange, les lendemains qui déchantent


 
 
 n
Europe, t'a jeunesse est au chomage. Plus de 22% des moins de 25 ans sont sans emplois, cela représente six millions de personnes et pour tenter d'andiguer ce fléaux, les 28 pays de l'Union Européenne se sont réunis a Berlin pour mettre en commun leurs expériences et tirer des mesures qui fonctionnent et en la matière

 " Il n'y a pas d'alternative " 21/07/2011 
" Les réformistes acceptent l'économie de marché non seulement parce que l'on n'a pas le choix, mais aussi parce qu'elle est garante de libertés." 
Rocard
 
 




 
J-C Cambadélis, ex-strauss-khanien,  éliminé lors de la précedente nomination à la tête du PS, rappelle sur son blog, en parlant de lui à la troisième personne, que deux affaires, coup sur coup, ont entravé son ascension remarquable : "Il est accusé d'emploi fictif le même jour qu'Harlem Désir. Les deux responsables seront condamnés à des peines légères."

 
Keny Arkana : « Un autre... est possible
 
Le film commence par cette phrase prémonitoire :
 
«  Il ne faut pas confondre :
L'espoir dans lequel gagne le moins mauvais
Et l'espoir dans lequel gagne
Un projet de transformation
De notre réalité »

 
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit.
 
Mémoire ouvrière: extrait du film-documentaire « Au pays d'Usinor »   En 1981, le PS arrive au pouvoir. Le mot d'ordre est à la modernisation de l'industrie et les bureaucraties syndicales réformistes accompagnent cette volonté moderniste de l'État. Dans la sidérurgie comme dans d'autres secteurs industriels, cette restructuration produit les mêmes effets : licenciements, intensification du travail, nouvelles techniques de contrôle et de gestion de la main d'½uvre, maladies, accidents du travail, suicides, etc.

 
 

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L'histoire secrète du patronat ; de 1945 à nos jours_01.12.2009   Editeur : Editions La Découverte (30 octobre 2009)

Présentation de l'éditeur

De la Seconde Guerre mondiale à la crise financière de 2008-2009, chacun croit connaître plus ou moins l'histoire de l'économie française. Mais derrière l'histoire officielle des manuels scolaires s'en cache une autre, secrète : elle met en scène les patrons qui ont réellement façonné le capitalisme français.
 
C'est cette saga que racontent dans ce livre cinq journalistes d'investigation. Elle plonge le lecteur dans les arcanes d'un véritable " système " né dans l'après-guerre et qui, malgré ses mutations, marque encore aujourd'hui la machine patronale. Du recyclage des anciens cadres de Vichy dans la reconstruction jusqu'aux caisses noires des syndicats patronaux, en passant par le financement secret des partis politiques ou les graves dérives du paritarisme, on découvre le rôle central de personnages aussi puissants que discrets. Comme Georges Albertini, éminence grise du patronat liée à l'extrême droite dans les années 1950, ou les " conseillers du prince " qui ont influencé les choix économiques des présidents successifs de la Ve République. On découvre aussi les efficaces lobbyistes d'un patronat capable de se tailler des réglementations sur mesure au mépris de la santé des citoyens. Et qui a su s'appuyer sur des intellectuels et de grands médias pour convertir les élites politiques aux "mérites" de la finance dérégulée.

Cette somme brosse le vrai portrait de nombreux patrons français, révèle les bonnes affaires des uns dans la " Françafric ", les juteuses opérations des autres dans l'immobilier ou l'industrie. On découvre comment se sont vraiment faites la plupart des grandes fortunes françaises, celles d'hier et d'aujourd'hui : subventions extorquées à l'Etat, entreprises publiques bradées, rachats de sociétés dans des conditions obscures, montages financiers aux marges de la légalité, fraude fiscale, espionnage, coups fourrés, etc. La légende de patrons conquérants, prenant tous les risques pour faire leur fortune à la force du poignet, sort sérieusement écornée de ce magistral livre-enquête.

Biographie de l'auteur

Frédéric Charpier est journaliste indépendant. Benoît Collombat est journaliste à France Inter. Martine Orange est journaliste à Mediapart. David Servenay est journaliste à Rue89. Erwan Seznec est journaliste économique.

 
 


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Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction. On augmentait les salaires, mais on augmentait plus encore la production. On rendait marchands de nombreux secteurs qui ne l'étaient pas auparavant, comme aujourd'hui on est en train de le faire avec l'éducation, la santé ou la sécurité. On fournissait à coûts plus bas (par l'effet de l'industrialisation et de la massification) une foule de produits plus nombreux, et qui faisaient vivre les prolétaires tout en maintenant les bénéfices. Pour développer la production de cette manière, il fallait que la consommation envahisse la société entière, avec tout ce que cela signifie: publicité, manipulation du désir, production d'une foule de saloperies destinées à satisfaire des besoins socialement créés.Par ailleurs, ce qui s'appelait alors le tiers-monde était maintenu sous une domination coloniale ou post-coloniale qui permettait d'en exploiter les matières premières.
 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée. Les délocalisations d'industries et de services ont alors permis de baisser le coût du travail au niveau mondial. La consommation a été soutenue par le développement du crédit, qu'il s'agisse de dépense publique (et de dette publique) ou privée. Mais ce système est lui-même à bout de souffle, comme le montre la crise qui a commencé en 2007. Le krach de 2008 n'a pu être rattrapé qu'au moyen d'une expansion massive de l'endettement étatique. Le montant de cette dette, désormais impossible à rembourser, est l'expression concrète de cette impasse. La crise de la dette publique en Europe et les perspectives de défaut de la Grèce, désormais bien réelles, en sont la preuve. Ce n'est pas la finance qui est la cause de la crise, la finance est au contraire ce qui a permis à la crise provoquée par la contradiction récurrente du capitalisme d'éclater aussi tard.
 
La Finance imaginaire - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " « Européennes : les Grandes (dés)illusions |Page d'accueil | Notre-Dame-des-Landes : 22 février à Nantes »
 
 Le nouveau capitallisme est un texte vu en Licence III d'économie au cnam afin d'analyser les changements de formes du capitalisme et sa transformation en capitalisme actionariale. Cela permettra j'espère de faire une annalyse de la situation et de réfléchir a une lutte efficace. D'aucuns espéreront trouver ici des solutions ou des réponses toutes faites, genre petit manuel de « Comment faire la révolution ? ». Tel n'est pas le propos de ce film. Il s'agit ici de faire la critique exacte de la société qu'il nous faut combattre. Ce film est avant tout un outil militant qui a pour vocation de faire s'interroger le plus grand nombre et de répandre la critique partout où elle n'a pas accès. Les solutions, les éléments de programme, c'est ensemble qu'il faut les construire. Et c'est avant tout dans la pratique qu'elles éclatent au grand jour. Nous n'avons pas besoin d'un gourou qui vienne nous expliquer comment nous devons agir. La liberté d'action doit être notre caractéristique principale. Ceux qui veulent rester des esclaves attendent l'homme providentiel ou l'½uvre qu'il suffirait de suivre à la lettre pour être plus libre. On en a trop vu de ces ½uvres ou de ces hommes dans toute l'histoire du XXº siècle qui se sont proposés de constituer l'avant-garde révolutionnaire et de conduire le prolétariat vers la libération de sa condition. Les résultats cauchemardesques parlent d'eux-mêmes. "Le grand bond en arrière", Le grand bond en arrière : documentaire, Le grand bond en arrière" (Editions Fayard). ,

Que reste-t-il du modèle social français après trente ans de néolibéralisme? Cette question oriente le voyage dans leur pays natal de quatre Français installés depuis plusieurs années au Venezuela. Pour y répondre, le documentaire mêle des données statistiques, journalistiques et des interviews de sociologues, intellectuels, militants, réfugiés politiques, artistes, citoyens, travailleurs sociaux des banlieues, sans-papiers et Roms, enfin tous ceux qui peuvent révéler si la devise "Liberté, Egalité, Fraternité" est toujours en vigueur dans leur réalité concrète.
 
 
 Triche industrielle
 

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Société par Tristan ThilTriche industrielle - Vidéo Dailymotion :
 
NB :
Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien | Eco89. Devrait on dire maintenant pour tout les pays occidentaux. Austérité à tous les étages
 
Par ailleurs, seule l'amélioration du paysage économique permettra aux Etats européens de faire décroître leur dette publique. Or, les gouvernements européens, par leurs décisions, prennent aujourd'hui le risque de casser brutalement la croissance. Ils s'engagent en effet (c'est le point 11 de la déclaration finale du sommet) à ramener tous leurs déficits à 3% dès 2013. Autrement dit, tous les pays, tant ceux qui sont en situation de crise financière que ceux qui ont la confiance des marchés, vont s'engager simultanément dans des programmes d'austérité. Désastre garanti.
 
Si l'on résume, l'Europe s'apprête à vivre avec :
 
des taux d'intérêts à court terme en hausse (la BCE vient de relever son taux directeur) ;
des programmes de rigueur budgétaire, partout ;
des efforts de compétitivité redoublés, qui pèseront sur les salaires.
 
Sur ce dernier point, le paragraphe 11 évoque explicitement la nécessité de généraliser de tels efforts. Ce qui conduit le d'Alfred_Nobel" ">Nobel d'économie Paul Krugman à s'étrangler sur son blog :
 
« Pendant que les Espagnols réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Allemands, les Allemands réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Espagnols. Le progrès est en marche ! »
 
Un petit sparadrap d'un côté, une forte dose d'austérité budgétaire et salariale de l'autre : ce n'est pas ainsi que l'Europe sera remise à flot
 

 
Florange, les lendemains qui déchantent
Après Alliange et Gandrange, une page se tourne définitivement pour les sidérurgistes lorrain de Florange. Le sort de ces 629 salariés a été sellé avec un accord entre la direction d'arcelor Mittal et les syndicats. Cet accord entériné le 17 juin dernier a pris effet aujourd'hui. Qu'est ce qu'il en ai concrètement pour ces ouvriers qui ont évité le licenciment. Départ à la retraite pour les uns, reclassement pour les autres. Entre soulagement et inquiétude Témoignage des ouvriers d'Arcelor Mittal
 
Retour sur nos enquêtes : Florange, Mittal et le gouvernement   Jean Mongin, délégué syndical CGT des usines à chaud d'ArcelorMittal, et Laurent Comaille, maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Metz, spécialiste de l'histoire ouvrière lorraine, sont revenus sur le cas Florange.

 
 

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Florange, une page s'est tournée : L'arret des haut fournaux de Florange sonne la fin d'une carrière pour de nombreux salariés A 58 ans, a arreté le combat et passe devant le site de Florange fermé. Arcelor Mittal propose aux salariés ayant au moins 40 ans d'ancienneté de partir à la retraite avec 12 mois de salaire.
 
Jean-Luc Graetz, salarié d'arcelormittal à Florange
" Les salariés d'Arcelor Mittal qui vont partir à la retraite, on peu dire que c'est pratiquement une condition. Mais c'est surtout pour ceux qui reste : ils vont perdre de l'argent, le régime de travail va changer "
 
Sur les 629 salariés concernés, un bon tiers vont prendre leur départ à la retraite, les autres vont etre placés ( cassés)
 
Jean-Luc Graetz " Cela va etre dur pour les personnes qui n'étaient pas loin de la retraite et doivent refaire pour 5, 6, voir 7 ans au moins de continuer leur carrière. Cela va etre compliqué aussi, ce n'est pas facile"
 
Pour garder Florange, tous se sont mobilisés. François Hollande s'est rendu sur place lors des présidentielles, le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg a meme proposé de nationaliser l'usine. En vain, deux ans de lutte et de manifestations n'ont pas suffit à faire reculer l'inflexible homme d'affaire indien Achimil Mittal. 29 postes sont perdus, les licenciments ont été sauvé de justesse Les salariés toujours présent sont démobilisés. ArcelorMittal Complément d'Enquête - YouTube  

 
 
 

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Sébastien Schauffleberger, salarié d'Arcelor Mittal à Florange :
" Je vais à l'usine et j'attends que la sentence passe" .
 
Pour le moment, Sébastien ne sait pas encore ou il sera affecté.
 
" Avec l'usine d'a coté qui a fermé en 2009, l'usine des haut fournaux j'ai du me reformer. En 2013, je dois me RE-RE former encore une fois. Pour un salarié, c'est un scandale. "
 
La CGT craint que des salariés comme Sébastien doivent changer de rythme de travail et perdre pas loin de 370 euros de salaire. Le choix des postes se fait sur la base du volontariat. Mais il devient de plus en plus restreint.
 
Jean-Luc Delcioanni, délégué CGT-Florange :
Maintenant les sites commencent a se réduire. Il y en a de moins en moins. Donc ils ne savent plus ou ils doivent aller. Cela a commencé en 82 avec Florange, sans compter les hauts fournaux et de tous ce qui s'en suit. Nous étions 14000, nous ne sommes plus qu'environ 2000. dans les années 50, il y avait 150 hauts fournaux en Loraine.
 
 Après Gandrange, une autre se termine a Florange, mais pour les syndicalistes, la lutte continue. Ils craignent que de nouvelles usines soient la cible de fermeture. Florange, l'acier trompé - Tristan Thil - YouTube  

 
 

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Le "crédit impôt recherche" dévoyé (Cash-Investigation) - YouTube :  ou comment financer le trading Haute Fréquence avec l'argent public. Extrait de "Cash-Investigation" du 08-06-2012 d'Elise Lucet
 
Faites le deuil du monde d'hier, Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer !, Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer ! 
 
 DE LA SERVITUDE MODERNE - YouTube, Crise aux pays des merveilles, Lien entre capitalisme et l'endettement - Antalya, La Finance imaginaire - Hensozu
 
BA Les Infiltres Vendredi Prochain 22H50 Sur France 2 [ Inédit ] Pôle Emploi entretien #1 - YouTube :  
Reportage "Ils luttent contre le chômage" - YouTube :57 min Enquête : "Pôle emploi : Peugeot-Sochaux, Cadences en Chaîne - YouTube : 53 min , Pôle emploi au coeur de la crise :
 

• Les raisons de la crise en Europe
• Un retour sur la dette américaine
• Un point sur les banques


  
« Spectacle à tous les étages ! | Page d'accueil | Les croûtes de Bush »  vendredi, 28 février 2014Farce tranquille du capitalisme patient - zebre plus ultra La Finance imaginaire - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " La finance imaginaire : citoyen actif , La Finance imaginaire , La Finance imaginaire Imaginary Finance - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " "
 
Merde in France
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Merde in France
Créé le mardi 18 février 2014 2
 Le Grand Bond en Arrière - Documentaire [HD] - YouTube
Comprendre le capitalisme japonais
Créé le mercredi 01 mai 2013 
Modèle allemand & social libéralisme
Créé le lundi 20 mai 2013 
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
Créé le dimanche 07 juillet 2013 
 
Pourquoi parler de crise ? collectif RISCdont les textes affirment le caractère structurel de la crise actuelle du capitalisme.


Cambadélis : le meilleur d'entre eux...
"Si les poutres supérieures ne sont pas droites, les poutres inférieures sont également de travers"
Proverbe chinois


» La " crise" permanente, Molière, Le misanthrope , Le cauchemar climatisé... , Qu'est ce que la démocratie? , Globalia de Jean Christophe...
 

Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23

Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé


Bruxelles businessCréé le mardi 20 mai 2014 
Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014 
La démocratie, c'est nous Créé le dimanche 11 mai 2014 
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Foire aux questions abstentionnistes Créé le vendredi 28 mars 2014 
L'Ukraine et'extrême droite ! Créé le samedi 08 mars 2014 
Johnny s'en va-t-en guerre Créé le mardi 25 février 2014 
Le complexe militaro-industrielCréé le dimanche 15 septembre 2013 
Les receleurs en politique Créé le dimanche 18 août 2013
Les élus locaux dans le piège nucléaire Créé le samedi 07 septembre 2013 
Dossier d'été: l'austéritéCréé le dimanche 28 juillet 2013 
L(in)sécurité : Un champ de batailleCréé le lundi 22 juillet 2013 
GaslandCréé le mercredi 10 juillet 2013 
Florange, les lendemains qui déchantent Créé le samedi 06 juillet 2013 
Ils ont voté Front NationalCréé le dimanche 09 juin 201
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISECréé le mercredi 05 juin 2013

Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?Créé le mardi 10 septembre 2013 
REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE Créé le samedi 07 septembre
Errico Malatesta Créé le mercredi 04 septembre 2013 
Pierre Bourdieu sur l'Etat Créé le mercredi 21 août 2013
une conférence de Bakounine Créé le samedi 24 août 2013 
extrait du programme et du manifeste des anarchistes mexicains 1911 Créé le vendredi 23 août 2013 
Des héros ordinaires mis aux piloris Créé le dimanche 18 août 2013 
À bas les chefs ! Créé le mercredi 07 août 2013
Tubo d'Ensaio : le curieux squat légal du Portugal Créé le dimanche 11 août 2013
Nés en 68Créé le vendredi 09 août 2013
Johnny Rotten : “En tant que roi du punk, je décrète cette loi : le punk n'a pas besoin de roi” Créé le samedi 03 août 2013 
De la liberté, de la révolte Créé le samedi 27 juillet 2013 
Génération Ferré Créé le lundi 15 juillet 2013
coluche, quand je serais grandCréé le vendredi 12 juillet 2013
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor HugoCréé le dimanche 07 juillet 2013 
la résistance anarchosyndicaliste dans l'allemagne Nazie Créé le mercredi 19 juin 2013 
Clément Méric agressé par l'extrême-droite Créé le vendredi 07 juin 2013


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#Posté le samedi 06 juillet 2013 06:09

Modifié le lundi 03 octobre 2016 04:10

Bruxelles, le vrai pouvoir


 
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Bruxelles, le vrai pouvoir
Politique par Christophe Dubois 
Bruxelles, le vrai pouvoir
Les émissions du même genre
 Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
La Chaîne parlementaire 01/05/2013 17:30 
Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
La Chaîne parlementaire 01/05/2013 18:25 
A vos ordres, monsieur le président par Delais Bertrand
Planète+ 01/05/2013 20:45

 
Plongée dans les coulisses du Conseil européen, où les 27 Etats membres décident de l'avenir de 500 millions de citoyens. A peine élu président de la République, François Hollande promettait d'y imposer sa ligne politique et de réconcilier les Français avec Bruxelles. Un an plus tard, a-t-il tenu ses engagements ?



La critique TV de télérama du 27/04/2013
 
 En 2013, dans la panoplie du dirigeant politique, il y a un abonnement Thalys. Du contrôle des budgets nationaux à l'élaboration des nouvelles lois, Bruxelles est devenu le coeur du réacteur où les chefs d'Etat, sommet après sommet, tentent de faire valoir les intérêts nationaux, où les ministres s'en vont plaider leur cause face aux puissants commissaires. Face à la mécanique du compromis à vingt-sept, à la sacro-sainte règle d'or budgétaire, au libéralisme dominant, quelle est la marge de manoeuvre d'un François Hollande ? De quelle latitude dispose Arnaud Montebourg, croisé du « Made in France », pour protéger l'industrie hexagonale ? Autant de questions lancées par ce documentaire vivant et pédago, qui s'insinue à hauteur d'hommes dans les rouages de la mécanique institutionnelle bruxelloise.
 
Le « machin » souvent perçu comme une entité absconse et complexe est ici incarné par des visages (celui par exemple de Karel De Gucht, très libéral commissaire au commerce), animé par des moments de tensions. Le théâtre d'une dramaturgie huilée, celle des sommets des chefs d'Etat, que les auteurs décryptent avec mordant. Derrière les sourires du consensus destinés aux caméras, on perçoit les négociations bras de fer. Entre couloirs et coulisses, Deloire et Dubois éclairent aussi les rouages anonymes et puissants de Bruxelles, jeunes négociateurs dans l'ombre des ministres ou « gendarmes de la règle d'or » chargés de faire respecter le dogme des 3 % de déficit. — Virginie Félix
 
 
 Suivi d'un débat.
Virginie Félix
 
 Il ne vous aura pas échappé que politiques et responsables économiques sont en train de s'écharper sur les solutions à apporter à la récession-dépression-morosité que nous traversons, non seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe, au Japon ou en Chine
 

« Le Japon et les Etats-Unis ont fait le choix d'une même politique : l'impression monétaire pour favoriser la relance. Les objectifs du gouvernement d'Abe et du nouveau président de la Banque du Japon sont clairs, il faut créer de l'inflation. L'économie japonaise me fait parfois penser à la créature de Frankenstein. Elle est en état de mort clinique depuis 20 ans et, régulièrement, les savants fous du gouvernement s'acharnent sur son corps moribond en lui envoyant une forte décharge (monétaire), espérant créer l'étincelle de la croissance et de l'inflation »
 
Ils sont nombreux comme Yamashita à s'inquiéter du fait que "les nouvelles politiques économiques très énergiques du Premier ministre Shinzo Abe, conçues pour secouer l'économie et la sortir de près de deux décennies de déflation, pourraient provoquer un effondrement du yen

 
Résumé : En trente années de politiques néolibérales, le Japon est devenu l'un des pays les plus inégalitaires de l'OCDE. La publication du livre de Sébastien Lechevalier, "La grande transformation du capitalisme japonais" , arrive à point nommé pour éclairer une zone d'ombre de l'histoire récente du Japon mais aussi pour donner des clés de compréhension à la crise du capitalisme en cours depuis 2007
 
 
Comprendre le capitalisme japonais - Le Japon à l'envers Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013
 
Quand on parle du haut niveau atteint par la dette publique de certains pays, on tient compte de ces dettes hors bilan, la dette publique atteint, globalement, un niveau astronomique qui va devenir un lourd handicap pour les générations futures.
 
 
A titre de comparaison, la valeur nominale du PIB des Etats-Unis est de15 864 milliards de dollars et la dette du gouvernement de 16 432 milliards, soit 104% du PIB.
 
Les critères de stabilité de Maastricht prévoient un plafond de 60% pour les pays membres de la zone euro. . Les années de croissance économique n'ont pas servi à rembourser les dettes antérieures.et l'Europe est menacé de la stagnation, voire à la récession.
 
L'endettement a atteint un niveau qui le rend contre-productif dans presque toutes les régions du monde. Le service de la dette confisque une part toujours plus grande du revenu des ménages. Dans son bulletin mensuel de mars, la BCE démontre qu'un endettement public de plus de 90% du PIB rend impossible toute relance économique par le budget. Si les taux d'intérêt augmentent, de nombreux budgets publics et privés seraient, très vite, acculés à la faillite.
 
Dans la situation actuelle, nombre de membres de la zone euro ne peuvent même pas réduire leur nouvel endettement comme prévu et.

 
BRUXELLES, LE VRAI POUVOIR (documentaire)

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Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche | Public Sénat VOD :

 
A vos ordres Mr. le Président 1_2 le tempsde la guerre froide - YouTube :  A vos ordres, monsieur le président 1l2 Le temps de la guerre froide
Les conditions mêmes de la naissance de la Ve République sont ambiguës. Un «coup d'Etat» met en 1958 un général à la retraite, héros militaire, à la tête de la France. Contrairement aux années de Gaulle, la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, fut, pour la France comme pour l'armée, paisible. Elu en 1974, le président Giscard d'Estaing multipliera les interventions pour protéger la Françafrique : les opérations militaires seront nombreuses sous son septennat. En 1981, François Mitterrand reçoit un accueil glacial de l'armée, notamment à cause de la présence de quatre ministres communistes au gouvernement. Charles Hernu, ministre de la Défense de 1981 à 1985, va réconcilier les socialistes et les militaires
 
A vos ordres Mr. le Président 2_2 des temps incertains - YouTube : A vos ordres, monsieur le président 2l2 Des temps incertains
En août 1990, François Mitterrand arrête la politique française dans la crise du Golfe sans consulter Jean-Pierre Chevènement, son ministre de la Défense, qui finira par démissionner. Elu en 1995, Jacques Chirac décide en 1996 d'abandonner la conscription et de professionaliser l'armée. Le 14 février 2003, Dominique de Villepin exprime à la tribune de l'Onu l'opposition de la France à s'engager aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe. En 2007, le président Nicolas Sarkozy annonce les nouveaux axes de l'armée française : défense et sécurité. Les militaires soulignent que la sécurité intérieure n'est pas leur vocation
 

 
 
Bruxelles, le vrai pouvoir
 
Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 1) - YouTube :




 
 

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  Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 2) - YouTube :

 
 
 
 

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Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral créé le mardi 03 juin 2014 , Looking for Europe Créé le samedi 24 mai 2014, Bruxelles business Créé le mardi 20 mai 2014 , Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014, La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014, Les nouveaux pauvres Créé le dimanche 11 mai 2014 20:04, Brésil, le stade et les favela : le jeudi 08 mai 2014, “Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors le mardi 06 mai 2014, Capitalisme : Le triomphe de l'argent roiCréé le dimanche 16 février 2014 , Concert de soutien au Rémouleurle dimanche 08 décembre 2013, Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:, Les chefs le samedi 01 juin 2013 00:, Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013, UN PENDU EN PLUS, UN CHOMEUR EN MOINS Créé le jeudi 09 mai 2013


Bruxelles, le vrai pouvoir
Créé le mardi 30 avril 2013 22:02




La finance imaginaire

Par Enkolo dans Accueil le 4 Juillet 2016



Tags : Bruxelles, le vrai pouvoir, lobbies, Arnaud Montebourg, François Hollande, documentaire, Barack Obama, la Maison Blanche, François Mitterrand, Charles Hernu, capitalisme, néolibéralisme, Nicolas Sarkozy, dette publique, crise
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#Posté le mardi 30 avril 2013 16:02

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:22

Après PSA, Doux au rapport ?


 
Salut Camarades,
 
" 2 minutes. Intenses. A faire tourner absolument.
"

Discours de Salvador Allende à l'ONU en 1972 ( Incroyable ) :






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Crise permanente du système : Nous avons annoncé avant qu'ils ne fassent la une des journaux grand public l'explosion de la bulle internet en 2000... les dérèglements financiers mondiaux de l'après-11 septembre 2001... la bulle des junk bonds de 2001...la bulle immobilière américaine en 2007... la crise des dettes souveraines entamée en 2010... Et j'en passe, la liste serait trop longue.
 

12 septembre 2012
Après PSA, Doux au rapport ?

Après PSA, Doux au rapport ?On nous cache tout, on nous dit rien! Après PSA Peugeot Citroën, suspecté d'avoir annoncé avec un peu trop de légèreté la fermeture de son usine d'Aulnay, François Hollande est à nouveau monté au créneau, mardi 11septembre, sur le thème «que toute la lumière soit faite». Cette fois c'est le volailler Doux, qui est dans le collimateur. Le dépeçage de l'entreprise va laisser un millier de salariés sur le carreau.

La constance est une qualité, mais le rétropédalage auquel on vient d'assister sur le dossier PSA, devrait inciter le président de la République à la prudence. Les grandes envolées lyriques de l'été, sur le caractère «inacceptable» de la fermeture d'Aulnay, ont fait long feu quand l'automne fut venu. Le gouvernement, qui avait commandé un rapport sur le sujet, en a eu pour son argent. La conclusion est sans appel: PSA doit supprimer des emplois pour survivre. Etait-ce vraiment la peine de faire plancher pendant deux mois un ingénieur général des mines pour le savoir? Il est vrai que les rodomontades de juin obligeaient à trouver un moyen de ne pas perdre la face en septembre. Le rapport Sartorius, du nom de son auteur, aura eu au moins ce mérite.

Il est d'autant plus étonnant dans ce contexte de voir le président de la République reprendre le même cheval de bataille à propos de Doux. Certes, les deux entreprises, au-delà du fait de supprimer des emplois, n'ont pas grand-chose de comparable.

La direction de PSA et son principal actionnaire, la famille Peugeot, ne sont pas au-dessus de tous reproches, mais on est loin de la gestion moyenâgeuse qui a conduit Doux à la liquidation judiciaire. Et après? Un rapport Sartorius II aidera-t-il à remettre l'entreprise sur ses pieds? S'il y a eu des manquements graves en matière de gestion, c'est à la justice de s'en préoccuper pas au politique.

En prononçant en 1999 la fameuse phrase: «L'Etat ne peut pas tout», Lionel Jospin, alors premier ministre, avait commis une erreur de communication, mais pas de jugement. Ce n'est pas en demandant des comptes a posteriori et à tout bout de champs, que le redressement productif prendra forme, c'est en engageant les réformes dont la France à besoin. De ce point de vue, le rapport de Louis Gallois sur la compétitivité, attendu début octobre, sera certainement plus utile à comprendre au pays que tous  les langues de bois lié les rapports Sartorius du monde ».
 
Quand on gueule, on est des fous!

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Les critiques des néolibéraux pour justifier des difficultés de PSA : « La fermeture d'Aulnay aurait pu être évitée PSA ne s'est pas suffisamment ouvert à l'international ». . Dans l'immédiat, PSA doit d'urgence redresser la situation", estime Emmanuel Sartorius, l'expert désigné par le gouvernement dans son rapport dévoilé ce matin aux syndicats du groupe par le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg. "La nécessité, dans son principe, d'un plan de réorganisation des activités industrielles et de réduction des effectifs n'est malheureusement pas contestable", juge M. Sartorius. Cet expert, ingénieur des Mines, avait été mandaté fin juin par Bercy pour établir un diagnostic sur le groupe, avant l'annonce de son projet de suppression de 8 000 postes en France (dans le point) :  Erreurs stratégiques et un Manque de dialogue
 
 
Le rapport Sartorius sur la situation de - Le Figaro ( format PDF)
 
Mais tous ne connaissent pas la crise :
Tous furent touchées, mais tous ne mouraient pas
 
"Ce n'est pas un type, mais le modèle capitalisme néolibérale qui en ai responsable" Tous furent touchées, mais tous ne mouraient pas: Les places financières doivent se préparer à un été maussade, tandis que les peuples meurent a petit feu. Car la crise européenne avance chaque semaine un petit peu plus.cf Le ralentissement de l'économie mondiale?
 
A travers PSA :Comprendre... Les 30 patrons trop bien payés
 
L'euro sauvé... à quel prix ?
Après PSA, Doux au rapport ?

Tout cela est encore moins encourageant lorsqu'on s'aperçoit que la question la plus souvent posée après "d'où venez-vous ?" est "la crise est-elle aussi dure en France qu'ici ?"
A quoi nous n'avons malheureusement pu répondre que par l'affirmative. Au concours de "qui a l'économie la plus pourrie", force est de constater qu'il y a une parfaite égalité France/Etats-Unis : dette publique astronomique, chômage en hausse constante, grogne sociale, avantages sociaux en danger, désindustrialisation...
 
Ceci dit, cette situation est sur le point de prendre fin, cher lecteur. Si si. Rassurez-vous : fin de la crise de l'euro, rétablissement du système bancaire, sérénité des places boursières et tournée générale de cerises sur volutes de crème chantilly. C'est Mario Draghi qui l'a dit pas plus tard que jeudi, comme le détaillait Philippe Béchade hier :
 
"[La BCE] confirme tout ce que les marchés anticipaient depuis 48 heures, c'est-à-dire des rachats (baptisés 'OMT') illimités d'emprunts d'Etat de un à trois ans dès qu'une demande d'aide formelle a été formulée, ainsi que la réduction des exigences en matière de qualité des collatéraux lorsque les banques souhaitent se procurer de nouvelles liquidités. La Banque centrale annonce également renoncer à son statut de créancier privilégié".
 
 
, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation
 
 
"Que nous arrive-t-il véritablement ? L'économie du crédit s'effondre. Dans cette économie, la croissance ne s'achète pas sur fonds propres -- par l'autofinancement ou par l'épargne préalable, donc -- mais elle s'achète à crédit. Cette économie ne peut croître que si la masse de crédits croît".
 
"Le secteur privé était demandeur de crédits, mais lorsque la rentabilité n'était plus au rendez-vous, le secteur public a pris le relais. Il fallait bien 'protéger la croissance', ma bonne dame. Une bulle de crédit souverain -- des dettes publiques -- s'est donc gonflée. Pour que ce système fonctionne, il faut des gouvernements qui endettent leurs concitoyens, des banques centrales qui gèrent la quantité de monnaie et crédit disponibles, des banques commerciales qui la répandent en plaçant des prêts qui ont de moins en moins de chances d'être un jour remboursés. Souvenez-vous que les brasseurs d'argent se paient sur les volumes qu'ils brassent, peu importe la qualité puisque c'est vous, contribuable, qui payez la casse".
 
"L'effondrement de ce système conduirait au discrédit de l'élite qui l'a défendu et qui s'en nourrit depuis un demi-siècle. L'importance d'un homme politique se mesure à la masse d'argent qu'il distribue. L'importance d'une banque se mesure à la masse de prêts qu'elle place".
 
"L'euro n'est pas une monnaie stable dont peuvent jouir des citoyens de plusieurs pays désireux de vivre en paix et de pouvoir échanger librement avec le minimum de contrainte. L'euro est un instrument au service de l'establishment politico-financier. Monsieur Mario Draghi, ex-cadre de Goldman Sachs, est un pur produit de ce milieu. Le mandat de la BCE n'est pas de défendre une monnaie stable, capable de conserver le pouvoir d'achat des centaines de millions de gens qui l'utilisent. L'euro est un instrument au service des milieux politiques et financiers. Les deux seuls objectifs sont la réélection des premiers, les profits des seconds. Le mandat de la Banque centrale européenne n'est que cela. Oubliez 'croissance' (de quoi d'ailleurs, de la dette publique ?) et 'inflation'. Monsieur Mario Draghi a eu l'honnêteté de le dire".
 
"Pour sauver l'euro on émettra autant de monnaie qu'il le faudra, nous dit-il aussi. Nous sommes donc en route vers la destruction monétaire, l'hyperinflation et le discrédit total d'élites incapables de reconnaître leurs erreurs".
Mais pour l'instant, n'est-ce pas, les marchés sont contents... c'est donc que tout va bien.
 
Serge Halimi - Le Grand Bond en Arrière [HD] ,
Scandales financiers : Goldman Sachs et la city
débats à la maison des métallos : les indignés
Occupy Wall Street - La Révolution de l'Amour
La Face Cachee Du Petrole -
Accroissement continu de la rentabilité par le progrès technique?
A voir ce soir Goldman Sachs ...
Antisocial est d'actualité
Marinela, solution a la " crise"
 
Ces anciens fachos qui nous gouvernent
 


 
la photo de Christophe Bxn.
Hier
 
 
Après PSA, Doux au rapport ?
 
 Pas de frontière, pas d'état car l'état est au service du capital, que tout fasciste est un capitaliste.... Car le fascisme est le bras armée du capital. Même si les néolibéraux n'aime pas les interventions ( les " ingérences) de l'état et que les patrons de PME se plaignent de la technocratie, bureaucratie, c'est l'état avec les grands plans keynésiens qui a sauver le système capitaliste autodestructeur en 1929. Le laisser faire entraine une spiral autodestructrice e que seule des opération momentanée de l'état permet a maintenir. La disparition de cette société représente un tel bouleversement qu'on ne l'envisage pas nécessairement avec légèreté. Mais nous ne sommes pas condamnés à tenter de sauver l'économie qui chancelle et nous écrase. Nous pouvons contribuer à sa disparition. Pas pour le néant, mais pour un monde sans État et sans classes, un monde pour toutes et tous, sans exploitation ni domination.
_________________________
[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.
 
Marinella : lien entre hier et aujourd'hui
Marinela, solution a la " crise"
anarkia
 , l'indigné révolté , citoyenactif, Capitalisme et crise... - citizen Khane
 
A lire aussi
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial, VOTEZ FN REND CON, Paulo Anarkao (intégrale) , Projection : ENTRÉE DU PERSONNEL , Florange, la flamme des derniers haut-fourneaux, Projection de « La Bataille des Marolles » , Ballade pour une reine , Théorie Du Complot - Les réseaux de l'extrême , Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats : Capitalism : A Love Story , Le basculement du monde , Manager de transition, un bien joli métier
 
globalia : citoyen actif
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#Posté le vendredi 14 septembre 2012 04:19

Modifié le samedi 24 juin 2017 13:02

le temps des sacrifices


 
 
Arnaud Montebourg n'accepte pas «en l'état» le plan de restructuration annoncé par PSA
Arnaud Montebourg a déclaré jeudi devant le Sénat : "Nous n'acceptons pas en l'état le plan" présenté par PSA, sans préciser les moyens de pression que le gouvernement pourrait faire jouer sur le groupe privé.
le temps des sacrifices
L'annonce jeudi par le constructeur automobile PSA Peugeot Citroën de la suppression de 8000 emplois et de la fermeture de son usine d'Aulnay, près de Paris, a provoqué un séisme en France qui a pris de plein fouet ce signal de la perte de compétitivité de son industrie. Le gouvernement s'attendait à cette annonce mais elle n'en a pas moins constitué "un "véritable choc" pour le pays, a déclaré le premier ministre Jean-Marc Ayrault, alors qu'une série d'autres plans sociaux se profilent à l'horizon.
 
le temps des sacrifices - indigné révolté, le temps des sacrifices - alterfinance, Chaplin Modern Times - Les Temps modernes http://www.youtube.com/watch?v=uwTY4_XJhFo , Charlie Chaplin-Modern Times.mpg ( 1H26 min)
 
La peur du système actuel, que les mesures atteignent le stade ou les peuples ne pourront plus les supporter et « De mettre à feu et à sang son économie et sa paix sociale ? »
une vidéo (entretien) quej'aime : Entretien avec Serge Halimi, journaliste au mensuel le Monde diplomatique, autour de son livre "Le grand bond en arrière" (Editions Fayard).
Comment est-on passé à un nouveau capitalisme orienté par les seuls verdicts de la finance ?
Emission France Inter "Là-bas si j'y suis" de Daniel Mermet, première diffusion le vendredi 2 juillet 2004.
 "Le Grand Bond en arrière
 

 
 

 
Philippe Varin, président du directoire de PSA Peugeot-Citroën, vendredi
 

 
 
 

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Ce qu'il a dit :
"Nous avons le coût du travail le plus cher en Europe et nous produisons 44 % de notre production en France, donc il faut baisser les charges qui pèsent sur le travail de manière massive."

 
Pourquoi c'est plutôt faux ? 
La France se classe certes dans le peloton de tête en matière de coût horaire du travail, mais elle reste moins chère que d'autres pays. Dans l'industrie automobile, le coût horaire est plus élevé en Allemagne qu'en France, selon l'Insee. 
Alors que le groupe PSA annonce un plan de 8000 licenciements et la fermeture de son usine d'Aulnay-sous-Bois,
 
1/ Le coût horaire moyen du travail en France n'est pas le plus élevé d'Europe
2/ Dans l'industrie non plus, il n'est pas le plus élevé
2/ Dans l'automobile non plus, on ne peut pas dire que le coût du travail français est "le plus élevé d'Europe"
3/ L'Allemagne est l'exception en Europe, et la comparaison est donc biaisée
 
 
 
ur ce dernier point, le paragraphe 11 évoque explicitement la nécessité de généraliser de tels efforts. Ce qui conduit le http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_la_Banque_de_Suède_en_sciences_économiques_en_mémoire_d'Alfred_Nobel" target=_blank>Nobel d'économie Paul Krugman à s'étrangler sur son blog :
 
« Pendant que les Espagnols réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Allemands, les Allemands réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Espagnols. Le progrès est en marche ! »
 
 
Les marchés jamais rassassiés


 
Peugeot ). Moody's a placé la note BA1 du groupe sous surveillance avec implication négative au lendemain de l'annonce de 8.000 suppressions d'emplois en France et de la fermeture du site d'Aulnay-sous-Bois. En outre, plusieurs brokers, dont Barclays et SG Cross Asset Research ont abaissé leurs objectifs de cours sur la valeur. Le président du directoire, Philippe Varin, a déclaré espérer que le plan pour la filière automobile que le gouvernement doit présenter à la fin du mois abordera la question du coût du travail en France. Il s'est par ailleurs dit prêt à présenter ses livres de comptes au gouvernement.

Blue Collar 
 

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Scandale financier à la CGC, le syndicat des cadres
Source : Capital.fr
07/06/2012
 
Selon nos informations, les commissaires aux comptes chargés de valider la comptabilité de la Confédération générale des cadres (CGC), le syndicat des cadres, ont alerté il y a quelques semaines le procureur de la République.
Ils auraient découvert que le président de la Confédération, Bernard Van Craeynest, était payé près de 140.000 euros par an par la confédération, une somme remboursée par Safran, l'équipementier aéronautique, dont il est en disponibilité.
Une autre ponte du syndicat, Danièle Karniewicz, ex-présidente de la caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV), actuellement en charge de la protection sociale, se serait pour sa part, fait rembourser près de 500.000 euros de frais par la CNAV et par la Confédération, pendant les six années de sa mandature.
Toujours selon les commissaires aux comptes, les secrétaires nationaux du syndicat auraient perçu chacun 1.500 euros par mois en plus de leur rémunération et de leurs défraiements officiels, en dehors de toute décision officielle des organes confédéraux. Les cotisations sociales afférentes n'auraient pas été versées. Un comité confédéral de la CGC se tiendra demain pour examiner les comptes et « obtenir des éclaircissements » sur ces dérapages. La séance risque d'être chaude.
Personne à la CGC n'était joignable dans la matinée.

Philippe Eliakim
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CHAPITRE V
LA COMPLICITE DES CADRES
http://www.justice.gouv.fr/art_pix/scpc2005-5.pdf
 



 
C'est la question que je me pose en découvrant les mesures prévues par le gouvernement espagnol pour atteindre cet objectif de 65 milliards d'euros de dépenses en moins en deux ans et demi.
 
Angela Merkel, nouvelle Tchatcher européenne pourrait ne pas être sortie si perdante que cela du dernier Sommet européen. L'orchestration de l'annonce de nouvelles mesures de rigueur par le gouvernement Rajoy semble confirmer cette hypothèse : elle a eu lieu deux jours après que la Zone euro ait donné son accord pour le versement d'une aide de 30 milliards d'euros à destination des banques espagnoles.Angela Merkel, the new Maggie Thatcher ...

 
Difficile de ne pas voir un lien de cause à effet. Il semble assez clair que ces 65 milliards d'euros d'économies était la condition sine qua non imposée par l'Europe pour le versement de l'aide. D'autant plus que la Troïka (UE, BCE et FMI) a annoncé qu'elle se rendrait régulièrement dans la péninsule ibérique... pour examiner l'avancée des mesures de rigueur engagées par Rajoy ?
 
Parmi les mesures prises :
- baisse du salaire des fonctionnaires (via la suppression de leur 14e mois)
- baisse des allocations chômage
- et surtout augmentation de la TVA de 18% à 21% (elle avait déjà été revue à la hausse en 2009, passant de 16% à 18%).
Comme le rappelle Le Figaro, une telle augmentation de la TVA devrait correspondre à une dépense supplémentaire 415 euros par famille et par an.
 
Les  familles victimes de la précarisation rampante de l'Europe vont réduire leurs dépenses. Moins partir en vacances, ne pas changer de voiture aussi souvent qu'elle le voudrait, ne pas acheter un nouvel écran plat, réduire son budget loisir, etc. etc. Cela aura donc des répercutions sur la consommation.
 
Mais que se passe-t-il quand toutes ces dépenses ont été réduites à leur maximum et que nos famille ne parvient toujours pas à boucler ses fins de mois ? Elle ne va pas arrêter de s'alimenter, de se chauffer. Elle ne pourra accepter de ne plus avoir un toit au-dessus de sa tête. Quand les besoins fondamentaux sont atteints, nous atteignons le seuil de douleur, celui à partir duquel aucune économie supplémentaire n'est possible ou souhaitable.
Pour les Etats – démocratiques tout particulièrement – et les économies, il existe aussi un seuil de douleur. Une fois ce seuil atteint, deux conséquences :

1. Le gouvernement prend le risque de ne pas être réélu, voire renversé.
2. Le pays peut entrer dans une spirale déflationniste. Trop de rigueur fait fortement chuter la consommation et donc le PIB, enfonçant le pays encore plus dans la crise. C'est ce qui s'est passé en Grèce ; et l'Espagne semble prendre le même chemin.
 
Le cercle vicieux :
Examinons la situation économique espagnole. Le chômage dépasse les 23% sur l'ensemble de la population active mais plus de 50% sur la tranche des moins de 25 ans.
Dans le même temps, les aides en tout genre sont coupées, les salaires réduits et les impôts aussi bien directs qu'indirects augmentent. Or l'augmentation de la TVA va toucher sans distinction le chômeur, le retraité et le travailleur et réduire d'autant la consommation.
 
Prenez tous ces éléments, et secouez bien. Vous obtiendrez une formidable agitation sociale et une situation explosive.
 
Les dirigeants Espagne ont fait le pari que la réduction de l'endettement sera plus importante que la baisse du PIB due à la rigueur. C'est un pari risqué.
 
Parmi les autres exigences de l'Europe en préalable à une aide financière, le Financial Times qui la révèle. D'après les informations réunies par le journal, l'Europe presserait les banques espagnoles d'annuler certaines de leurs dettes (actions préférentielles et dettes subordonnées qui se retrouvent ensuite dans des "super-livrets"). Dettes estimées à 67 milliards d'euros.  ces dettes sont en très grande majorité détenues par de petits épargnants via des produits d'épargne très classiques. ".
 
Coup de froid venu du Nord
Dernière mauvaise nouvelle pour l'Espagne et la Zone euro :la Finlande refuse d'accepter le versement de l'aide aux banques ibériques sans garanties supplémentaires.
 
Pourquoi ? Plusieurs raisons à cela. Tout d'abord, le pays est lui-même touché par les conséquences de la crise de la dette souveraine et ne tient pas à aggraver l'état de ses finances. Mais aussi parce que le cas espagnol crée un précédent. Car le pays n'est pas le seul à être embourbé dans une crise bancaire majeure. C'est aussi le cas de l'Irlande qui s'est lourdement endettée pour sauver ses banques (63 milliards d'euros)... et qui depuis en paie le prix.
Les déclarations faites après le dernier Sommet européen laissent entendre que l'Espagne pourrait ne pas être le seul pays à bénéficier d'un sauvetage direct de ses banques par le MES. Des pays confrontés à une situation identique (i.e. l'Irlande, voire même le Portugal) pourraient se voir accorder « e même privilège »
La réticence dela Finlandeà accepter le sauvetage des banques espagnoles. Aux dernières nouvelles, le pays menacerait même de quitterla Zoneeuro pour se dégager de toutes responsabilités financières communes...
 
Le grand saut
L'été arrive tranquillement, la vie est douce, et les volumes échangés sur les marchés financiers sont toujours aussi menaçant vacances est arrivé servent a faire passer des mesures impopulaires comme le plan de PSA. . Les grands événements que sont la rentrée et la nouvelle année.
 
En Europe, « es problèmes persisteront autour du surendettement des Etats, mais il semblerait que, depuis peu, les marchés soient lassés et ne réagissent plus à ces mauvaises nouvelles. Gare au retour de bâton ! »
En Grande-Bretagne, « es menaces qui pèsent sur l'économie du pays découragent les marchés qui comptent sur de nouvelles stimulations monétaires »
 
Rien de bon à attendre des perspectives économiques japonaises ou chinoises. Le Kabuto Cho se prépare au doublement de la TVA, et la République populaire pourrait voir se développer une crise immobilière.
Les Etats-Unis sont devant toute une série d'échéances importantes, dont la plus importante sera l'élection présidentielle. La course au coude à coude des deux candidats ne devrait pas particulièrement influencer les marchés boursiers.
 
L'augmentation du plafond de la dette d'environ 15 000 milliards de dollars actuellement à environ 17 000 milliards de dollars aura plus de conséquences. La limite est déjà presque atteinte et son augmentation déclenchera des discussions houleuses au Congrès qui ne manqueront pas d'attirer l'attention des marchés sur le niveau absurdement élevé de l'endettement public du pays 
 
En début d'année viendra le temps des "sauts de falaises". Toute une série d'allégements fiscaux mis en place de manière temporaire pour stimuler l'économie vont prendre fin et, comme prévu, les coupes dans les dépenses vont automatiquement prendre effet.
 
« Wall Street se demande si ce changement brutal, appelé "fiscal clip", sera un frein pour la croissance, car cela pourrait coûter environ 4 à 5 points du produit intérieur brut. Cela va contraindre le ministre des Finances à faire quelques "sauts" qui pourraient s'avérer périlleux pour maîtriser cet écueil fiscal. Mais, sans doute, ce seront encore les assouplissements monétaires qui  seront considérés comme un moindre mal. »
 
Le 27 janvier 2010, Obama avait proposé comme remède à cette déroute le doublement des exportations américaines jusqu'en 2015. Comment s'est traduite cette bonne idée dans la réalité .
 
Le solde net du commerce des biens et services (exportations moins importations), en terme réel (c'est-à-dire après la déduction de l'inflation) est profondément dans le moins (ligne rouge).
 
En cherchant dans le moteur de recherche Google les mots clés : la chute du système capitalisme, "Le capitalisme touche à sa fin" : La concentration dans les médias en France (OFM), lLa Grèce confrontée à l'austérité : les Lettons y sont passés aussi – AFP La dette odieuse. Les leçons de la crise grecque
A qui la faute de la crise grecque ? Pour Jason Manolopoulos, d'abord à l'euro. Dénonçant " l'aveuglement collectif " des dirigeants européens, ...Les dessous du triple A. Agences de notation : récit de l'intérieur : Même si l'un des auteurs travaille dans une agence de notation et se dissimule ...
 
Reportage sur La Crise en Grèce ( durée 20 min)
 

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Plongez au c½ur de la Grèce actuelle et découvrez le portrait édifiant d'une jeunesse parfois dés½uvrée mais toujours combattive.


 
Documentaire - Grèce - le temps des sacrifices ( durée 54 min)
 

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Tags : Arnaud Montebourg, plan de restructuration, PSA, suppression de 8000 emplois
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#Posté le vendredi 13 juillet 2012 03:08

Modifié le samedi 03 septembre 2016 06:56

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