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3 articles taggés guerre

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Irak, l'ombre de la guerre


 
 
 
 
 
 
Bonjour à tous,
 
 
Si vous avez des questions à poser à notre correspondant David Baché, c'est le moment !

David est au Mali et vient d'assister à un drôle de mélange des genres. Une formation au "journalisme de guerre" orchestrée par l'armée Malienne. Si on est en droit de se poser des questions sur les intentions de cette formation, vous verrez qu'elle répond également clairement à une demande des journalistes sur place, règles de sécurité, embargo de l'information et "journalisme patriotique".
 
Tout cela, c'est dans le reportage de la semaine...Ecoutez-le et posez vos questions sur ce thème, les réponses à ces questions seront diffusées à l'antenne ce week-end !
 
http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/mali-redaction-sevare-journaliste-guerre
 
A très vite.
Visitez Atelier des médias à l'adresse suivante : http://atelier.rfi.fr/?xg_source=msg_mes_network
 

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Documentaires Baghdad - Topic 1132 vidéos

 
Irak, l'ombre de la guerre [de Anne Nivat :  : Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au c½ur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l'accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible. Irak, l'ombre de la guerre

Une mère, un pharmacien, un prêtre, un ancien amiral déchu de l'armée de Saddam Hussein, osent pudiquement témoigner. Dix ans après l'entrée en guerre des Américains, un an et demi après le départ des derniers soldats étrangers, on se rend compte que la guerre en Irak n'est pas vraiment terminée.

Un film qui s'aventure où l'on ne va jamais, avec émotion et retenue
 

 
 
 
Bagdad, en l'an 1000 :  Après la seconde guerre d'Irak, Bagdad n'est plus que l'ombre d'elle-même. En l'an 1000 elle était pourtant la capitale de l'Islam, une religion née au début du VIIe siècle que les Arabes ont imposé au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et même en Espagne, avant d'être stoppés à Poitier par Charles Martel. Située au carrefour des routes commerciales vers l'orient et l'occident, Bagdad était alors surnommée 'La citée de la Paix'. Profitant de la richesse générée par un commerce florissant qui s'étendait jusque chez les Vikings et les confins de l'empire chinois Tang, la ville avait rassemblé une formidable bibliothèque, des artistes, des penseurs. Cette richesse intellectuelle sera à l'origine de la renaissance européenne, rendue possible grâce à la redécouverte et les traductions des écrits des auteurs classiques, autant que par les progrès arabes, en particulier en médecine. A l'aide de reconstitutions en trois dimensions, ce documentaire nous explique la structure de la ville de Bagdad en l'an mille et l'apport de la culture arabe. La ville sera malheureusement pillée et détruite par des cavaliers Mongols au XIIIe siècle
 

 
ARTE "Tonnerre Roulant sur Bagdad

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Tonnerre roulant sur Bagdad (1/2)
À partir des témoignages inédits d'Irakiens - anciens militaires et dirigeants, civils, futurs insurgés, journalistes et opposants en exil -, le film retrace dans ses moindres détails l'année décisive de l'invasion, avec en contrepoint les récits des militaires américains et de reporters présents lors de l'intervention. De la préparation aux frontières à la capture de Saddam Hussein, Jean-Pierre Krief, spécialiste de l'Irak et auteur notamment de Saddam Hussein, histoire d'un procès annoncé, propose une véritable immersion dans les événements en s'appuyant sur un remarquable travail d'archives. Des images inédites où l'on découvre notamment les opérations militaires américaines de l'intérieur, mais aussi et surtout les scènes d'apparat d'une dictature totalement engluée dans le mensonge et impréparée à la guerre. En contrebalançant le scénario médiatique officielle offert par les Américains, le film donne à comprendre comment d'une guerre facile face à un pays exsangue, les États-Unis se sont retrouvés embourbés dans une insurrection civile menée par un peuple déçu, qu'ils n'ont pas même tenté de comprendre et qu'ils ont poussé à la révolte.
 
Automne 2002 : massées dans des camps à la frontière kurde, les troupes américaines s'entraînent pour une éventuelle intervention en Irak. Partagés entre espoir et peur, les Irakiens attendent et les militaires tentent de garder la face, même s'ils savent que leur équipement, datant au mieux du début des années 1970, ne pèsera pas bien lourd face à cinq cents blindés et 70 000 hommes dotés des toutes dernières technologies...
 
Tonnerre roulant sur Bagdad (2/2)
Les Américains s'apprêtent à prendre d'assaut l'aéroport de Bagdad. Ce sera la seule et unique bataille de cette guerre. Face à eux : la garde républicaine menée par le fils aîné de Saddam Hussein, Qussaï. Hana Hammed, doctoresse irakienne, veut en profiter pour le rencontrer afin de faire libérer son mari, emprisonné à Abu Ghraïb...
 (France, 2012, 65mn)
ARTE F
 
Tonnerre roulant sur Bagdad (2-2) Arte - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=OINAzyDPYV4
(France, 2012, 68mn)
ARTE F
 
 Hier marquait le 10ème anniversaire d'une fabuleuse aventure — l'invasion de l'Irak.
Reuters nous donnait quelques chiffres élémentaires :
"La guerre américaine en Irak a coûté 1 700 milliards de dollars, à quoi viennent d'ajouter 490 milliards de dollars d'allocations à verser aux vétérans — des dépenses qui pourraient dépasser les 6 000 milliards de dollars au cours des quatre prochaines décennies si l'on compte les intérêts, selon une étude publiée jeudi [dernier]".
 
"La guerre a fait au moins 134 000 morts parmi les civils irakiens, et pourrait avoir contribué au décès de quatre fois autant de personnes, selon le projet 'Coûts de la guerre' réalisé par le Watson Institute for International Studies de la Brown University".
 
"Si l'on inclut les forces de sécurité, les insurgés, les journalistes et les travailleurs humanitaires, le bilan humain de la guerre passe à une fourchette entre 176 000 et 189 000 victimes, selon l'étude".
 
Nous avons suivi les blogs, les éditoriaux, les récapitulations, les excuses, les justifications désespérées, les critiques...
 
Jonathan Schell :
"Rétrospectivement, nous avons là un record jamais battu en termes de gâchis, de futilité et de honte. Il y a eu le Congrès US et son approbation d'une autorisation dangereusement vague et élastique d'utiliser la force militaire, en lieu et place de la déclaration de guerre exigée par la Constitution. Il y a eu le jour tristement célèbre où l'opération Shock and Awe a été lancée, quand une grande ville antique a été bombardée tandis que le monde — majoritairement opposé à cette attaque — observait avec une consternation impuissante ; un jour marqué dans nos mémoires comme celui où un crime prémédité de longue date a été perpétré en plein jour. Il y a eu les tromperies éhontées et l'aveuglement qui ont permis de justifier la guerre aux yeux du Congrès américain, du peuple américain, des Nations Unies et du reste du monde — les fausses allégations selon lesquelles le gouvernement irakien possédait des armes de destruction massive. Il y a eu la crédulité coupable, obstinée, avec laquelle ces allégations ont été lâchement acceptées par les médias US. Il y a eu la couverture chauvine et cocardière de l'invasion sur le terrain. Il y a eu les prisonniers irakiens promenés en laisse comme des chiens à Abu Ghraib. Il y a eu les escadrons de la mort et les tortures perpétrées par des alliés irakiens conseillés par les Etats-Unis — et, si les données actuelles sont justes, directement financés par les Etats-Unis. Il y a eu l'échec surprenant et prolongé de l'occupation à remettre en route des services de base comme l'électricité, l'eau et les installations sanitaires. Par-dessus tout, il y a eu ceux qui ont perdu leurs vies pour rien..."
 
Les écrivains peinent à trouver des mots assez forts. Dire que c'était une "erreur" ne rend de loin pas justice à une guerre qui a tué plus de 100 000 personnes et coûté plus cher que la Deuxième guerre mondiale. Appeler cela une "calamité" ou une "catastrophe" donne l'impression qu'il s'agissait d'un accident... ou d'un désastre naturel. Ce n'était pas un accident... pas même un cas d'homicide involontaire ; c'était du meurtre prémédité.
 
Voici ce qu'en dit Peter Van Buren :
"J'étais là-bas. Et 'là-bas', ce n'était nulle part. Nulle part, c'est là qu'il fallait être pour assister en direct aux signes de la fin de l'Empire américain. C'est là qu'il fallait être si vous vouliez voir la folie — oui, la folie — sans le filtre de médias endormis et complaisants qui s'arrangeaient pour que la politique guerrière de Washington semblé, sinon sensée, au moins relativement sérieuse et saine d'esprit. Je me suis tenu sur le terrain vierge de ce qui devait être la nouvelle pièce maîtresse d'une Pax Americana dans le Proche-Orient".
 
"Ne mâchons pas nos mots : l'invasion d'Irak s'est révélée être une blague. Pas pour les Irakiens, bien entendu, ni pour les soldats américains — ce n'était pas non plus la sorte de blague dont on rit. Et voilà la vérité la plus triste de toutes : le 20 mars, alors que nous célébrons le 10ème anniversaire de cette invasion infernale, nous ne comprenons toujours pas. Mais si vous voulez en arriver directement à la chute, la voici : en envahissant l'Irak, les Etats-Unis ont plus fait pour déstabiliser le Moyen-Orient que nous n'aurions pu l'imaginer à l'époque. Et nous — et tant d'autres — en paierons le prix pendant très, très longtemps".
M. Van Buren continue en racontant l'histoire d'une usine de traitement de volaille censée illustrer la manière dont les Etats-Unis aideraient l'Irak à se reconstruire. Elle n'a jamais traité un seul poulet. C'était tout de même un grand succès. Chaque fois que la presse était en visite, les acteurs enfilaient leurs combinaisons sanitaires, allumaient les chaînes de production... et donnaient un joli spectacle.
 
*Reportage* Irak - l'Ombre de la guerre. - YouTube Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au c½ur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l'accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible

 
 

 
Les sous-traitants s'en sont mis plein les poches. Le Pentagone s'en est mis plein les poches. Les consultants, les experts et les parasites ont tous été payés. Alors franchement, pourquoi se faire du souci si tout ça n'a servi à rien pour les Irakiens ? Quant aux contribuables qui ont dépensé des millions de dollars pour rien... et alors ?



Il semble que le grand vainqueur de la guerre américaine en Irak sera finalement la Turquie. C'est ironique parce que la Turquie s'était opposée à cette guerre. Néanmoins, un article paru il y a quelques jours dans le Financial Times me donne raison -- je viens de rentrer d'un séjour dans ce pays :

"Un nouveau candidat est apparu comme le véritable vainqueur de la guerre d'Irak. 10 ans après que la Turquie a déclenché la fureur Washington en bloquant le déploiement des troupes américaines à travers son territoire pour l'invasion de 2003, ses hommes d'affaires se révèlent être les plus forts dans la bataille pour le marché irakien".

 
Lorsque j'étais sur place, je m'étais déjà rendu compte que la Turquie tirait profit de la reprise en Irak. Il .
D'abord, les chiffres : au cours des 10 dernières années, les exportations turques vers l'Irak ont augmenté de 25% par an pour atteindre 10,8 milliards de dollars en 2012. L'Irak représente aujourd'hui le deuxième marché pour les exportations turques après l'Allemagne. Alors que l'Irak exploite ses riches réserves de pétrole et que son économie se développe, sa demande de marchandises turques augmente elle-aussi. En outre, la reconstruction de l'Irak représente un marché de 3,5 milliards de dollars pour les entrepreneurs turcs. Les deux plus gros projets en Irak sont des projets énergétiques et c'est une entreprise turque, Calik Energy, qui les a emportés.
 
La plupart des entreprises turques proviennent des régions du nord de l'Irak, contrôlées par les Kurdes. La croissance est rapide. Le Financial Times a écrit un article à propos d'un conglomérat détenu par une famille à Gaziantep, au sud de la Turquie. Les ventes ont augmenté de 50% à 60% au cours des deux dernières années. L'entreprise affirme qu'elle possède les deux tiers du marché des couches en Irak. Elle est également leader dans les olives. Le FT cite aussi plusieurs hommes d'affaires turcs qui se réjouissent de leurs activités en Irak.
 
Lire cet article m'a rappelé une conversation que j'ai récemment eue avec Tim Steinle, gestionnaire de portefeuille chez U.S. Global Investors. Et c'est là où nous en venons à mon idée.
Le pétrole irakien va-t-il devenir turc ?

Tim gère l'Eastern European Fund (EUROX), qui possède presque 20% de ses actifs dans des entreprises turques. Selon lui, la Turquie va bénéficier de l'ouverture des champs pétroliers du nord de l'Irak.

 

Thèmes :  Documentaire, Société, Géopolitique & Histoire , Irak, USA, Iraqi Freedom, Saddam Hussein, guerre
 
Chair a Canons

Par Enkolo dans Accueil le 12 Août 2017
Gasland

Tags : Documentaire, Société, Géopolitique & Histoire, Irak, USA, Iraqi Freedom, Saddam Hussein, guerre, l'ombre de la guerre
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#Posté le vendredi 22 mars 2013 18:51

Modifié le jeudi 24 août 2017 06:11

Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats :


 
 
 
 
 
Sous-développement: quand Macron s'attaque au ventre des femmes africaines
Point.
Interrogé sur le développement de l'Afrique au G20, Emmanuel Macron pointe les «7 à 8 enfants» des femmes africaines comme un problème «civilisationnel». Une marotte que la politologue Françoise Vergès démonte dans le Ventre des Femmes ( (Albin Michel). L'ouvrage, paru le premier mars 2017, revient sur le scandale, dans les années 70, des interruptions de grossesse et des stérilisations sans consentement sur l'île de la Réunion, alors que se jouait en métropole la mobilisation pour l'IVG avec le «Manifeste des 343». «On rend les femmes du tiers-monde responsables du sous-développement. En réalité, on inverse la causalité : la plupart des études prouvent aujourd'hui que c'est le sous-développement qui entraîne la surpopulation.»,avant de poursuivre: «La théorie de la surpopulation évite aussi de questionner le rôle du colonialisme et de l'impérialisme dans la pauvreté. Et ces discours visent, bien sûr, avant tout les femmes.» Interview à retrouver, ici.

 
 Guerre française au Mali : Pas de lutte anti-terroriste, juste une réalité nommée Areva et Françafrique




 
L' ARMEE FRANCAISE AU SECOURS DES MINES DU ROI AREVA
 
 Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats :


 
Posted on 12 janvier 2013 | in ACTUALITÉS FUKUSHIMA-INFORMATIONS 
 

Après la catastrophe de Fukushima, c'est maintenant une guerre pour l'uranium que nous impose le village nucléaire, qui a litéralement saccagé et contaminé tout un pays .
 
En effet sous couvert d'aller faire la chasse aux méchants islamistes d' Aqmi au Niger, qui avaient accusé les autorités françaises de bloquer tout dialogue à propos de la libération des quatre otages français, le gouvernement a décidé d'intervenir militairement.
 
C' est un dossier à deux versants : l'un qui concerne la construction d'un état islamique dans le Nord Mali, l'autre, moins évoquée mais pas moins importante qui concerne la présence envahissante d'Areva dans le pays. Car ce n'est pas un hasard si la plupart de ces otages sont des employés de la firme nucléaire française et ont été enlevés à Arlit, ville-champignon créée de toutes pièces autour d'une des plus importantes mines d'uranium. Car depuis l'indépendance du pays en 1960, des accords secrets lient la France et le Mali pour cette exploitation qui dans les années 80 représentait 40 % de la production mondiale et 90 % des exportations du Niger ! À des prix aux tiers inférieurs au prix mondial !
 
Au Sahel, cette zone de l'ouest de l'Afrique tourmentée par des affrontements avec des groupuscules islamiques, sur les huit Français qui sont retenus en otages quatre travaillent pour Areva dont deux géologues.
 
C'est grâce à ces accords négociés en son temps par Jacques Foccart, l'un des pères de la Françafrique, que la France peut ainsi se targuer de son « indépendance nucléaire », basée sur l'exploitation du sous-sol africain au prix d'ingérences politiques et de conséquences environnementales, sanitaires et sociales catastrophiques. Une situation maintes fois dénoncée par plusieurs ONG mais aussi par les Touaregs qui peuplaient cette région.
 
Pendant longtemps on a essayé de jouer les Touaregs contre les islamistes. Mais il semble que cette partie de billard à trois bandes se soit retournée contre ses instigateurs, les deux parties s'étant provisoirement alliées pour conquérir le Nord du Mali. Tout indique que les Touaregs, en pointe dans la lutte contre Areva, sont à l'origine des enlèvements, même si, au bout du compte, ces enlèvements ont été revendiqués par Aqmi. Une affaire dont les implications économiques risquent de rendre plus difficile à François Hollande de confirmer ses propos de Dakar expliquant que « le temps de la Françafrique est révolu ». Car avec Areva, numéro un mondial du nucléaire, on entre dans le très, très, lourd.
 
Géopolitique

Point A: la ville de Konna, au Mali, dernière ville prise par les prix méchants Islamistes 
Point B: Imouraren au Niger, mine d'uranium exploité par AREVA 
Point C: Faléa au Mali, trés importante gisement d'uranium
(cliquez sur le lien pour voir les cartes de l'exploitant )
 
La commune de Falea, dans la région de Kayes au sud ouest du Mali est menacée par l'implantation d'une mine d'uranium et subit déjà les affres de la prospection. L'association des ressortissants et amis de la commune de Falea (ARACF) s'est lancée en 2010 dans un combat acharné contre l'exploitation uranifère.
 
Dans la commune de Falea qui regroupe 21 villages et ses 17 000 habitants, l'histoire de l'exploration du sous-sol ne date pas d'hier : dans les années 1970, déjà, la Cogema et le Bureau de Recherche Géologique Minière en collaboration avec la société d'Etat malienne SONAREM avaient effectué travaux de prospection. L'exploitation n'avait pas semblé rentable à l'époque, notamment du fait de l'enclavement de la zone, des problèmes d'accès à l'eau et de l'énergie nécessaire au fonctionnement de la mine. Depuis, le contexte mondial a changé et c'est désormais une véritable « colonisation minière » qui se joue à Falea en passe d'être dépecée : le permis d'exploration de la société canadienne Rockgate pour l'uranium, l'argent et le cuivre concerne plus du tiers de la superficie de la commune, auquel se rajoute celui de la sud-africaine Iamgold pour l'or sur la plus grande partie des deux tiers restant sans oublier celui de la bauxite. La surface préservée de toute exploration est réduite à peau de chagrin.
 
La situation qui a cours à Falea est le parfait reflet de la politique nationale de « diversification de la production minière », justifiée par le ministère des Mines au nom de la lutte contre la pauvreté. Comment adhérer à ce discours quand les Maliens n'ont guère vu les retombées sociales et économiques positives qui auraient dû découler de la production d'or : le Mali est actuellement 3ème producteur d'or en Afrique, avec 8 mines aurifères en exploitation, la dernière ayant ouvert en février 2012.
 
En réalité, le Mali est pieds et poings liés aux demandes des multinationales et le ministère des Mines, créé sous Alpha Oumar Konaré en 1995, au moment de la libéralisation du code minier et des réglementations en matière d'investissement sous l'impulsion de la Banque Mondiale, en est l'instrument docile. Un ministère qui travaille de concert avec les sociétés minières comme l'a révélé le scandale consécutif à la mission d'information des eurodéputées écologiques Eva Joly et Michèle Rivasi en mars 2011 sous l'impulsion de l'ARACF. Les deux eurodéputées avaient alors rencontré le président Amadou Toumani Touré (ATT), qui avait prétendu ne pas être informé du projet uranifère à Falea et s'était même engagé à ne pas octroyer de permis d'exploitation et à favoriser le développement agricole. Une déclaration très vite démentie sous la pression de son entourage tandis que Bamako bruissait de rumeurs sur le montant astronomique du bakchich qu'aurait déboursé Rockgate. Le lendemain, ATT limogeait son 1er ministre, Modibo Sidibe, le ministre des mines, Aboubacar Traore et le ministre des finances, Sanoussi Toure qui s'arrangeaient pour faire passer en Conseil des ministres l'attribution des permis miniers lorsque le président était en déplacement. Mieux : le ministre des mines avait créé un cabinet fiscaliste pour conseiller les compagnies minières en même d'être actionnaire de certaines compagnies minières !
 
En plus de la compromission des élites, le code minier malien ne prévoit aucune contrainte pour les compagnies minières en termes de responsabilité environnementale et sociale pendant la phase d'exploration et de prospection. Cette faiblesse législative rend le sous-sol malien extrêmement attractif. A cet égard la visite des sites de forage sur la commune de Falea est édifiante. La société française Foraco, basée à Marseille et cotée en bourse à Toronto, qui effectue les forages pour le compte de Rockgate, travaille dans un mépris total des populations et de l'environnement : absence d'information donnée aux riverains, forages faits à quelques mètres des habitations ou dans les champs des agriculteurs, pollution de puits par les boues issues du forage, rejets de carottes de forage dans le lit de la rivière...
 
Areva, futur exploitant ?
L'ARACF fait un travail considérable pour la formation des populations riveraines et l'interpellation des élus et des institutions. Ainsi, le forum Uranium Santé Environnement organisé à Bamako du 16 au 18 mars 2012, auquel Survie a pris part, visait à renforcer l'information des habitants de Falea et à mobiliser un réseau international d'acteurs antinucléaires ou militants pour une exploitation maîtrisée et juste des ressources.
 
Sur le terrain, une équipe de radioprotection a été formée sur place et la radio locale explique les dangers liés à la radioactivité et à l'implantation de sociétés minières. Les autorités locales militent désormais de leur côté contre l'exploitation de l'uranium : les 21 maires des villages de la commune de Falea ont signé un mémorandum à ce propos en mars 2012. L'association souligne aussi l'inconséquence que serait l'exploitation d'autant que la concentration en uranium du sous-sol est faible : le gisement de Falea contiendrait entre 5000 et 11 000 tonnes au total selon les estimations officielles – soit plus ou moins ce qu'extrait annuellement Areva au Niger ; elle demanderait en outre des investissements importants pour drainer l'eau et produire l'électricité nécessaire. Le prix à payer pour les populations et l'environnement serait énorme.
 
Pour l'ARACF, il ne fait nul doute que Rockgate ne sera pas la société exploitante le cas échéant : cette société créée en 2004 n'a ni expérience ni expertise dans l'extraction et la production de l'uranium, toutes ses activités concernent l'exploration, et, fait étonnant, elle enregistre, année après année, des comptes déficitaires à tel point qu'elle aurait perdu 80% de sa cotation en bourse mais parvient pourtant à être recapitalisée. Aussi, l'ARACF ne s'est pas étonnée que l'ambassadeur de France en poste en 2011 au Mali, déclare à mesdames Joly et Rivasi qu'Areva serait le futur exploitant de la mine d'uranium à Falea. Une déclaration à prendre au sérieux même si dans le contexte actuel les habitants pourraient bien être sauvés par les déboires d'Areva – dont les projets miniers en Afrique sont gelés- mais aussi par le travail conséquent de l'ARACF et les changements politiques que Many Camara, un des animateurs de l'association, appelle de ses v½ux pour le Mali.
 

 Sources : Falea ou la colonisation minière au Mali - FALEA21 - Les otages, le Mali et Areva Par Jean-Marcel Bouguereau,  Niger : la bataille de l'uranium - Documentaire ...

 


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Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats :
Mercredi 16 janvier de 23h10 à 00h20 sur France 3
 
Magazine de reportages
 
 
Ils dépensent des dizaines de millions d'euros pour s'offrir des voitures de luxe, des yachts, ou encore des hôtels particuliers en plein coeur de Paris et des villas à Malibu, mais dirigent des Etats dont la population vit dans la misère. Pour William Bourdon, cette situation n'est pas une fatalité. Il y a trois ans, cet avocat militant, soutenu par l'assocation Transparency International, a ainsi décidé de lancer une plainte contre trois chefs d'Etats africains pour blanchiment d'argent et détournement de fonds. Retour sur les étapes de cette procédure que beaucoup vouaient à l'échec, à travers une enquête auprès des administrateurs suisses, des hommes de l'ombre de la Françafrique, mais aussi des avocats et des responsables politiques français.

La critique TV de télérama du 12/01/2013
 
Officiellement, il n'existe aucune preuve de corruption : le fils du président de Guinée équatoriale a beau cramer des millions place Vendôme, collectionner les Maserati, posséder un hôtel particulier avenue Foch, distribuer vingt mille euros en petites coupures dans une discothèque parisienne pour le seul plaisir de flamber, il ne puiserait que dans la petite cagnotte familiale ! Depuis 2007, une plainte internationale vise pourtant ces fameux « biens mal acquis » et autres dépenses suspectes de certains dirigeants africains.
 
Villas, berlines, montres de luxe... ce passionnant reportage traque les achats compulsifs et compile les témoignages à charge, de l'avocat William Bourdon (Transparency International) à différents administrateurs suisses, qui décrivent un gigantesque système de détournement de fonds publics. L'enquête est solide, appuyée sur beaucoup d'éléments déjà connus, mais habilement mis en perspective. La journaliste Magali Serre part du très prodigue Téodorin Obiang, vice-président de Guinée équatoriale, puis s'attaque au cas de la famille Bongo (Gabon), avec ses trente-trois « pied-à-terre » parisiens ! Elle souligne la complicité historique des autorités françaises, avec le témoignage de l'avocat Robert ­Bourgi (emblème de la Françafrique), et montre sur le terrain les répercussions dramatiques, au Gabon notamment, avec des hôpitaux sans eau potable, des routes sinistrées et des habitants pillés, condamnés à une misère injustifiable. — Erwan Desplanques
Erwan Desplanques


 
PDF]  Biens mal acquis, à qui profite le crime - CCFD
 
Françafrique 3 L'argent roi 1 - Vidéo Dailymotion :

 
 
 

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Françafrique 1 La raison d'Etat - Vidéo Dailymotion : :
 
 

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 Nice/Françafrique : Sarko et l'Afrique 1/2 - YouTube :
 
 
 
 

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#Posté le mercredi 16 janvier 2013 17:22

Modifié le mardi 01 août 2017 08:11

La guerre ne subit pas la crise

La guerre ne subit pas la crise
La guerre ne subit pas la crise
 
La situation financière désespérante et probablement désespérée a un responsable que tout le monde connaît, c'est le contribuable, c'est-à-dire toi et moi. La dette de mon pays sert à payer les fonctionnaires, dont tout le monde connaît le salaire moyen mais pas le salaire médian, curieux non ? Elle sert à payer ma retraite et celles des gens de ma génération et de celle d'au-dessus. Quelqu'un est contre ? Et puis encore plein de choses pas nécessaires comme les frais de santé publique et autres fariboles. Enfin, elle finance plein de niches fiscales car, comme tout un chacun le sait, plus les riches sont heureux moins il y a de pauvres au chômage. Je connais quelques pays où les riches sont bien malheureux...

Les banques, les pauvres !
Bon, je peux comprendre le raisonnement qui avance que, puisque les gens, vous et moi donc, ne veulent pas renoncer à leurs acquis sociaux, à leur train de vie, à leur smartphone, il faut qu'ils payent, soit. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi nous devons payer aussi quand les banques coulent. Un compagnon me glisse dans l'oreille que c'est l'application d'une règle d'or du système libéral, la privatisation des profits et la socialisation des pertes. Je comprends et j'acquiesce. Mais alors que viennent faire là tous ces partis et groupes néonazis qui semblent pulluler et gonfler ces derniers temps ? Le même compagnon me dit que le capitalisme n'a plus besoin que ces gens arrivent au pouvoir. Leur chauvinisme, leur nationalisme, leur racisme vont à l'encontre de la volonté capitaliste de contrôler le monde entier. Pour le capitalisme, seule compte la force de travail à exploiter, qu'elle soit noire, blanche, jaune ou bronzée, qu'elle parle grec, français ou javanais. Par contre, le système se sert de leur présence pour faire peur : « Rappelez vous ce que le fascisme sous toutes ses formes a apporté, la guerre, la Shoah, etc. Il est arrivé pour résoudre la crise sociale du moment. Donc tenez-vous tranquilles, payez et il n'y aura pas de fascisme au pouvoir ! » Cela n'empêche pas les guerres d'arriver ou de menacer. Syrie : Assad et ses affidés contre le peuple ; Israël contre l'Iran ; le Soudan du nord contre celui du sud ; en Afghanistan, perdue avant même d'avoir commencé. Et il y a aussi cette guerre que l'on affuble du nom de crise, la crise devant laquelle tout le monde plie les genoux.

La Grèce, la France et l'Allemagne
Donc, tout a commencé en Grèce. Ce pays où personne ne paie d'impôts et surtout pas madame Lagarde qui n'en paie pas du tout. Elle avait, dans son admonestation en direction des Hellènes, oublié de mentionner que les riches, curés ou armateurs, eux aussi n'en payaient pas du tout. Les premiers à réclamer et imposer une remise en ordre furent les gouvernants allemands. Ce qui leur était bien plus facile que de payer leur dette. Eh oui, l'Allemagne doit de l'argent à la Grèce, et pas qu'un peu ! C'est une histoire de dommages de guerre. Les forces de Hitler ont occupé ce pays et, en le quittant, ont tout rasé. Elles ont laissé un champ de ruines et des morts par milliers (560 000 environ). C'est ce que l'on appelle la politique de la table rase. Après la guerre, les Alliés ont chiffré à 7 milliards de dollars de 1938 les dommages de guerre que Berlin devait à Athènes. Sous diverses formes et justifications, l'Allemagne de l'Ouest a versé 1,7 milliard de dollars à divers requérants. Le reste sous diverses raisons, comme la division du pays, n'a jamais été versé. Un historien allemand a enquêté sur le sujet. Il chiffre à 106,5 milliards de dollars d'aujourd'hui la somme que Berlin doit et qu'elle se refuse à payer. Tout est soumis à un traité de paix formel entre les deux pays qui n'a jamais été signé alors que ce fut le cas avec l'Italie, la Bulgarie, la Roumanie et la Finlande. Italie et Bulgarie, anciens occupants, ont versé 2,2 milliards de dollars d'aujourd'hui. Rien ne dit que ces dommages de guerre, s'ils avaient été payés, seraient allés au bon endroit.

Dans mon désir sans borne d'aider notre nouveau gouvernement à régler le différentiel monétaire avec madame Merckel, je vais lui faire une suggestion. Il parait que, depuis un certain Charles de Gaulle, la France est équipée d'une force de frappe qui lui coûte bonbon. Elle était destinée à défendre le monde libre, dont l'Allemagne, contre le communisme. Celui-ci étant disparu et remplacé fantasmatiquement par le terrorisme masqué international et islamique, je me permets de suggérer que l'on adresse à Berlin un rappel de charge dans un premier temps et que, dans un deuxième temps, on se débarrasse de ce fardeau qui pèse sur notre budget. Le bien nommé Le Terrible coûte 2 milliards d'euros. C'est le quatrième, après Le Triomphant, Le Téméraire et Le Vigilant. Puisqu'il faut faire des économies pour payer la dette de notre beau pays, commençons par couper là-dedans. Le lecteur aura remarqué, sans que je le lui dise, qu'il y a un domaine, celui de la défense, dont personne ne parle jamais.
En Grèce, même ceux qui ont les faveurs de la gauche radicale française, n'abordent jamais ce côté des choses. Pourquoi ?
Pierre Sommermeyer
Tags : crise, guerre, chomage, capitalisme, néolibéralisme
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#Posté le dimanche 02 décembre 2012 08:11

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