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Modèle allemand & social libéralisme

 
n
Modèle allemand & social libéralisme 
Hollande, les banques françaises et la dette grecque - ZEC plus Ultra
 
  " S'il y a bien quelque chose que le socialiste français fera pour le continent, c'est légitimer un capitalisme européen instable de par nature et profondément injuste."
 
 
 
Jérôme E. Roos
militant et économiste politique
 
La question de la sortie du capitalisme n'a jamais été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec une urgence d'une radicale nouveauté. Par son développement même, le capitalisme a atteint une limite tant interne qu'externe qu'il est incapable de dépasser et qui en fait un système qui survit par des subterfuges à la crise de ses catégories fondamentales : le travail, la valeur, le capital.
 
La crise du système se manifeste au niveau macro-économique aussi bien qu'au niveau micro-économique. Elle s'explique principalement par un bouleversement technoscientifique qui introduit une rupture dans le développement du capitalisme et ruine, par ses répercussions, la base de son pouvoir et sa capacité de se reproduire. J'essaierai d'analyser cette crise d'abord sous l'angle macro-économique [1], ensuite dans ses effets sur le fonctionnement et la gestion des entreprises [2].
 
Observez l'Europe pendant des siècles. Pas trente années sans guerres, famines ou épidémies... Aujourd'hui, avec la mondialisation, les réflexes ont changé ; tout le monde se rend compte que nous sommes sur "le même bateau" et que nous avons tout intérêt à la solidarité avec son voisin ! ( sauf les dirigeants politiques)  Cela ressemble au scénario de Globalia de Jean Christophe Ruffin. Au sortir de la seconde guerre mondiale, et la guerre froide : des dirigeants d'entreprises ont décidé de créer des marchés communs, ou certes un semblant de liberté parfaite ...Mais avec un prix très cher cf Basculement de l'économie ,  " Modèle Allemand" , un lien. CHÔMAGE : Alcatel-Lucent: "Nous ne nous attendions pas à une vague de licenciements aussi massive" | , « La main invisible »  - altermonde
 
Modèle allemand & social libéralisme
 
NB :Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien | Eco89. Devrait on dire maintenant pour tout les pays occidentaux.
 
Austérité à tous les étages
Par ailleurs, seule l'amélioration du paysage économique permettra aux Etats européens de faire décroître leur dette publique. Or, les gouvernements européens, par leurs décisions, prennent aujourd'hui le risque de casser brutalement la croissance. Ils s'engagent en effet (c'est le point 11 de la déclaration finale du sommet) à ramener tous leurs déficits à 3% dès 2013. Autrement dit, tous les pays, tant ceux qui sont en situation de crise financière que ceux qui ont la confiance des marchés, vont s'engager simultanément dans des programmes d'austérité. Désastre garanti.
 
Si l'on résume, l'Europe s'apprête à vivre avec :
des taux d'intérêts à court terme en hausse (la BCE vient de relever son taux directeur) ;
des programmes de rigueur budgétaire, partout ;
des efforts de compétitivité redoublés, qui pèseront sur les salaires.

Sur ce dernier point, le paragraphe 11 évoque explicitement la nécessité de généraliser de tels efforts. Ce qui conduit le Nobel d'économie Paul Krugman à s'étrangler sur son blog :

« Pendant que les Espagnols réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Allemands, les Allemands réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Espagnols. Le progrès est en marche ! »
Un petit sparadrap d'un côté, une forte dose d'austérité budgétaire et salariale de l'autre : ce n'est pas ainsi que l'Europe sera remise à flot
 
Mise en vente de la propriété publique - ZEC plus Ultra
 Les ouvertures de capitaux des entreprises publiques, réalisées par le gouvernement Jospin, se sont faites à l'époque avec l'aval des syndicats et de l'ensemble des partenaires composant alors la Gauche plurielle PCF-PS-MRG-Verts.
 
 
. "... les trois gouvernements de droite, entre 1986 et 1997, ont vendu la propriété publique pour 36 milliards d'euros. De son côté, le gouvernement Jospin a vendu pour 31 milliards d'euros... en cinq ans.
Le gouvernement  de " gauche plurielle " fut ainsi l'un des" plus zélés pour orchestrer le passage au privé de nos groupes nationaux." : Airbus, France Télécom, Thomson-CSF, Thomson Multimedia, Air France...

Pudiquement la "Commission de privatisation" des socialistes fut rebaptisée " Commission d'évaluation des participations et des transferts" pour ne pas effrayer le "peuple  de gauche". Et là  où  Alain Juppé, le prédécesseur de Jospin, avait accumulé  échec sur échec, le Parti Socialiste menait avec succès sa course aux " adaptations " dictées par le capitalisme sous couvert de ce fameux "pragmatisme" qui anesthésient les militants, les électeurs.
Et le gouvernement de gauche plurielle et anti-libéral ne s'est pas limité à des cessions totales :
 
 Changement d'époque... même tour de passe-passe
 
"d'un certain nombre d'entreprises publiques où le taux de participation de l'État est très important ".
.

Pour mieux faire avaler le retour des privatisations, Moscovici, naguère Strauss-kahnien, présente le projet sous le joli nom ''de gestion fine du capital de l'État ". On jure, la main sur le c½ur, que la vente d'actifs ne servira pas " à boucher les trous " du budget, mais à " financer l'investissement ", par exemple " 20 milliards nécessaires pour installer l'internet à haut débit sur tout le territoire ". On a tellement juré.


> Ayrault annonce la vente de participations de l'État au capital d'entreprises publiques - POI


 
 
 Face aux délitements des pays Européen : Une lettre des indignés grec., 10 principes de contrôle de la sociétéLes stratégies et techniques employées pour la manipulation de l'opinion publique et de la société
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE - citoyenactif
 
Les états avaient le choix entre Se serrer la ceinture ou creuser les déficits , ils ont choisi de se serrer la ceinture, ils auront à la fois à se serrer la ceinture et un creusement des déficits. Pour repprendre le parallèle avec la citation de churchill : " ils avaient le choix entre la honte et la guerre. Ils ont choisi la honte, ils auront la honte et la guerre".



n
 
1) dégradation → tension brutale sur les taux → renchérissement du coût de la dette → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → tension supplémentaire sur les taux, etc. ;
et
2) dégradation → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, etc. – ( Frédéric Lordon )
 
> Le commencement de la fin - Frédéric lordon - La pompe à phynance
 
C'est là tout le paradoxe : si vous diminuez les dépenses de l'Etat, l'économie souffre. Le budget des ménages est réduit. L'économie souffre encore davantage. L'Etat a moins de revenus. Il réduit davantage ses dépenses les dépenses sociales et privatisent... et la faillite arrive encore plus vite ! Le point de non retour est atteint Economie, Politique : ayrault, moscovici, ps, hollande, privatisation
 
 
Un petit tour d'horizon des titres dans les journaux ces derniers jours ? 
Zone euro : la confiance se dégrade, Le Figaro
A Chypre, file devant des banques après des rumeurs de nouvelles ponctions,
Le MondeRegain d'inquiétudes sur Monte dei Paschi di Siena et le secteur bancaire italien,
 Les EchosLa Bundesbank enquête sur la Deutsche Bank, Le Monde 
... et même Allemagne : personne n'est épargné

 
Et si l'Allemagne quittait l'euro?
01 décembre 2010 | Par Mathieu Magnaudeix
source médiapart ( payant)
Malgré le plan de ce week-end pour aider l'Irlande, l'euro a continué de baisser lundi. Les dettes portugaise, espagnole, italienne et belge semblent sur la sellette. Angela Merkel ne veut pas sortir de l'euro. Mais elle peine à assumer le leadership qui lui revient en Europe et laisse prospérer à domicile le sentiment anti-monnaie unique
 
Modele Allemand" : Une Main d'½uvre pas chère suite a la réunification de l'Allemagne et La création du deutschemark se fera dans la douleur : cf voir Allemagne de 1945 à nos jours, Coût du travail : la France et l'Allemagne à égalité dans l'industrie ... - blog le Monde, Allemagne, Travailleurs, Allemands - et Emploi : Moins de travailleurs de l'Est que prévu en Allemagne - le figaro

Après la guerre de 39-45, l'Allemagne est détruite, ruinée, à genoux, humiliée et occupée. Mais elle a un homme extraordinaire à sa tête : Ludwig Erhard. Et sa première mesure, extrêmement courageuse, sera de créer une nouvelle monnaie, le deutschemark


 
 
Modèle allemand & social libéralisme
 
Modèle allemand & social libéralisme - ZEC plus ultra
En France, oser critiquer le fameux « modèle allemand » relève de l'hérésie voire de la xénophobie.  Pour  Pierre Rimbert, ce  modèle est :
 
" l'expression synthétique de la doctrine économique portée par les élites européennes qui associe austérité budgétaire (réduire le déficit de l'Etat et la dette), austérité monétaire (monnaie forte, lutte contre l'inflation) et austérité salariale.
 
Ce dernier volet, mis en ½uvre par le chancelier social-démocrate Gerhard Schröder dans les années 2000 et systématisé depuis par la droite allemande, repose lui-même sur deux principes. Premièrement, « activation » coercitive des chômeurs par le rabotage des prestations sociales et l'obligation d'accepter des emplois mal payés (les « mini-jobs »). Deuxièmement, création d'un marché du travail flexible et précaire destiné à accueillir ces nouveaux salariés des services dans un pays dépourvu de salaire minimum ; des accords syndicaux de branche troquent simultanément le maintien dans l'emploi des salariés de l'industrie contre la rigueur salariale et l'aménagement du temps de travail à la convenance de l'employeur. Ainsi cet appareil productif rendu « compétitif » par la baisse des « coûts du travail » et dopé par une fiscalité accommodante se tourne-t-il vers l'exportation et la conquête des marchés émergents. "
 
>  Le « modèle allemand » ou comment s'obstiner dans l'erreur par Pierre Rimbert, lundi 6 mai 2013
 
Rappel

Social-démocratie allemande :  être aux affaires

Gerhard Schröder a donc réussi sa politique méthodique de destruction du système allemand en  s'inspirant des choix de Tony Blair - autre social démocrate - et du "libéralisme social"  :
 
destruction du marché du travail, baisse des prestations sociales,mise en pièces du système des retraites.
Le 14 mars 2003, devant le Bundestag, le chancelier présentait son programme baptisé "Agenda 2010" et y allait du refrain bien connu : " Nous allons devoir couper dans les prestations de l'Etat, encourager la responsabilité individuelle et exiger plus d'efforts de chacun".
 
Seront mis en place au nom de l'esprit de sacrifice :
la fin de la gratuité des soins et des médicaments avec l' introduction d'une taxe financière de 10 euros lors d'une visite médicale particulièrement lourde pour les malades chroniques souvent à faibles revenus;la réduction des allocations chômage : coupe dans les prestations par la fusion de l'assitance chômage et de l'aide sociale; réduction de la durée de la perception de l'assurance chômage par les salariés " seniors ";la facilitation des licenciements dans les petites entreprises et l'obligation pour les chômeurs d'accepter la 2ème proposition d'emploi;la modération salariale - pour ne pas dire la perte du pouvoir d'achat.

 
L'Allemagne n'a pas de salaire minimum légal. Les diverses réformes du marché du travail adoptées sous Schröder (les lois "Hartz") facilitent le recours aux travailleurs intérimaires et encourage le développement massif de "mini-jobs" pour un salaire compris entre à  400 euros et 800 euros par mois.  Entre 2009 et 2010, plus de la moitié des créations d'emploi  ont concerné du travail intérimaire, et les trois-quarts des emploi du travail précaire.
_-_
> "Le Nouveau centre, digne héritier du social-libéralisme de Gerhard Schröder " Laureline Dupont - Marianne - 20 Novembre 2011
> Les lois Hartz : "Les réformes du marché du travail mises en place par Schröder s'inspirent largement de la Commission Hartz, qui a déposé son rapport en 2002. À ce jour, le gouvernement allemand a adopté quatre Lois sur la prestation de services modernes sur le marché du travail (Die Gesetze für moderne Dienstleistungen am Arbeitsmarkt, I und II), dites "Lois Hartz".
> "En Allemagne, un salarié sur quatre est précaire" Par Rachel Knaebel - Bastamag
> "Les dessous de l'Allemagne " Blog d'information politique et sociale sur l'Allemagne – injustices, inégalités, pauvreté, répression, le plan Hartz et ses conséquences, le paragraphe 129a, protection de la vie privée – liste non exhaustive.
> Les réformes sociales en Allemagne : l'agenda 2010 du gouvernement Schröder -  Brigitte Lestrade - Cerfa - 2004 
> " Comment Gerhard Schröder a restauré la compétitivité allemande " Slate.fr

Reconversion juteuse
Dès 2005, l'ex-chancelier Schröder a su mené de main de maître sa reconversion:
Janvier 2006, il devient conseiller pour les questions de politique internationale de Ringier, le plus grand groupe de presse suisse. Pour "explorer les marchés en Chine et en Europe de l'Est", son  salaire est estimé à 150 000 euros par an.Il conseille également la Banque Rothschild. " L'agence américaine Walker l'a sur ses listes d'orateurs prêts à traverser le globe pour donner du lustre à de grandes réunions d'affaires, à New Delhi à l'occasion d'un obscur «Conclave 2006» ou à Vienne pour les dix ans d'un fonds d'investissement qu'il aurait conspué il y a six mois encore. Les honoraires sont secrets, " ( le Figaro)il est nommé à la présidence du conseil de surveillance du consortium germano-russe ( dont la société gazière russe Gazprom détient 51% ) Le consortium North European Gas Pipeline Company a été crée en vue de construire un gazoduc entre l'Allemagne et la Russie. Le projet avait reçu quelques semaines auparavant la signature de l'Allemagne...

Pour ce poste ses émoluments s'élevaient à 250 000 euros par an. La présidence du consortium étant confiée à " Matthias Warnig, un ancien de la Stasi avec lequel le président russe, Vladimir Poutine, avait travaillé lorsqu'il était stationné en Allemagne de l'Est pour le compte du KGB." En 2005, le gouvernement Schröder, qui ne gérait plus que les affaires courantes, se portait garant d'un prêt d'un milliard d'euros proposé par deux banques à Gazprom.En  2009,  Schröder intègre le conseil de direction du géant pétrolier russo-britannique le groupe TNK-BP pour 200 000 euros par an. Il y restera jusqu'en 2011.
 _-_
> "Schröder et Fischer, rois du pétrole " , Pascale Hugues - Le Point - 15-12-2011-   "L'ex-chancelier et son ministre se sont lancés dans de juteuses affaires."
>" Gazprom : la reconversion de M. Schröder scandalise la Pologne " Le Monde - 13.12.05
> "Schröder nommé à la direction du pétrolier russe TNK-BP" - Elisabeth Studer Le Blog Finance - 18-01-2009
> " La tapageuse reconversion de Gerhard Schröder " , Pierre Bocev  - Le Figaro - 15/10/2007
 
Modèle allemand & social libéralisme - Forum FA
Modèle allemand & social libéralisme - Forum Alternative libertaire
 
  
« Spectacle à tous les étages ! | Page d'accueil | Les croûtes de Bush »  vendredi, 28 février 2014Farce tranquille du capitalisme patient - zebre plus ultra 
 
Merde in France
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Merde in France
Créé le mardi 18 février 2014 2
 Le Grand Bond en Arrière - Documentaire [HD] - YouTube
Comprendre le capitalisme japonais
Créé le mercredi 01 mai 2013 
Modèle allemand & social libéralisme
Créé le lundi 20 mai 2013 


Tags : Chypre, France, Italie, Allemagne c, capitalisme, néolibéralisme, crise, zone euro, françois Hollande, Angela Merkel, Economie, Politique, ayrault, moscovici, ps, hollande, privatisation
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#Posté le lundi 20 mai 2013 07:21

Modifié le lundi 11 juillet 2016 12:56

Le basculement du monde


 
 
 
 
 
 
Le basculement du monde
 
 
 
 
 
 
PAUVRETÉ  (51).
L'austérité, c'est quand la finance internationale contraint les élus à appauvrir le peuple pour enrichir les banques.  Romain Guilleaumes  (L'Amanite humanoïde)
 

La pauvreté est une compagne ardente et redoutable ; elle est la plus vieille noblesse du monde. Bien peu sont dignes d'elle.  André Suarès  (Péguy)


 

Le basculement du monde :
Pourquoi parler de "crise" ? Pourquoi parler de crise ?Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États. cf : pensée complotiste d'A. Soral, théorie du complot
 
une photo de L'Info Autrement.


 
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
 
Le basculement du monde
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.

Le basculement du monde : De nombreuses études estiment que l'économie européenne est entrée en déclin. Elles divergent pourtant lorsqu'elles pronostiquent l'état de notre planète vers 2050. Synthèse...
 
L'économie mondiale est en passe d'entrer dans une nouvelle ère. Ainsi, en septembre 2010, une étude du groupe d'assurance allemand Allianz dressait un constat étonnant : la classe moyenne mondiale (1) avait triplé en dix ans. Elle se chiffrait à 200 millions de personnes en 2000, contre 565 millions aujourd'hui. Et sur ce total, la moitié vit aujourd'hui dans des pays émergents : 130 millions en Chine, 40 millions au Brésil... 
La tectonique économique : Cette étude apporte avec bien d'autres l'indice d'un changement de cap mondial. Après deux siècles d'hégémonie occidentale, assisterait-on au déclin de l'Occident ? C'est en tout cas ce que laisse entendre un rapport intitulé Le Basculement de la richesse. Dirigé par Johannes Jütting, économiste à l'OCDE, ce document prolonge l'analyse du précédent. Si la classe moyenne mondiale a considérablement augmenté ces dernières années au bénéfice de ce que l'on appelait autrefois le tiers-monde, ce n'est rien à côté de ce qui y est projeté : « En 2050, prédit J. Jütting, 50 % de la consommation globale du monde sera le fait des Chinois et des Indiens contre 10 % actuellement. » Pour l'immédiat,
 
« Nous allons assister au retour de l'Asie »
Le grand basculement des pouvoirs économiques : les projections ...
Basculement de l'économie : citoyen actif
 
L'internationalisation du renminbi se poursuit à marche forcée





Traité budgétaire : comment il va nous mettre à l'heure allemande

Source : Capital
04/12/2012 à

Le basculement du monde




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Ses opposants ont raison de le clamer : avec ce nouveau pacte européen, nous n'aurons plus les mains libres pour élaborer notre budget. Mais ce n'est peut-être pas plus mal...

Elle a le sourire, Angela. Depuis quelques semaines, la chancelière allemande confie régulièrement à ses ministres : «Cette fois, on tient le bon bout.» Il est vrai qu'elle a de quoi se réjouir. La majorité des Etats de la zone euro ont, comme nous, adopté le pacte budgétaire européen, censé entrer en vigueur le 1er janvier prochain. Pour certains, il s'agit d'une excellente nouvelle. «L'Europe va être enfin dotée d'un mécanisme antidérapages sérieux», se réjouit ainsi l'économiste Charles Wyplosz. Pour d'autres, la règle d'or que ce texte impose n'est qu'un diktat germanique, qui nous condamnera à «l'austérité perpétuelle». Qui croire ? Ces pages devraient vous permettre d'y voir un peu plus clair, dans ce dossier bien plus complexe qu'il n'y paraît.
 
Le pacte va-t-il vraiment révolutionner notre procédure budgétaire ?
Oui. D'abord, bien sûr, parce qu'il va nous contraindre à respecter la fameuse règle d'or, qui limite à 0,5% le déficit structurel de nos finances publiques. Nous aurons, certes, quelques années pour atteindre ce seuil (on en est loin aujourd'hui). Mais ensuite, il faudra le tenir. «Nous ne pourrons plus concevoir notre budget comme nous l'entendrons», confirme Jean-Luc Proutat, de BNP Paribas.

Pour faire bonne mesure, le gouvernement devra à deux reprises au moins (en avril et en octobre) présenter son projet de loi de finances à Bruxelles. La Commission et le Conseil européen discuteront avec lui des mesures à prendre pour tenir les objectifs. Et, le cas échéant, des «mécanismes de correction automatique» à activer si, pour des raisons de mauvaise conjoncture, le budget se mettait à déraper en cours d'année. Ils ne lui présenteront, certes, que des suggestions. Mais si Bercy n'en tient pas compte et que notre pays sort des clous en fin d'exercice, la France risquera de lourdes sanctions (lire plus loin). «En somme, nous pourrons encore choisir quels impôts et dépenses modifier mais, pour le reste, on ne pourra plus rien décider sans l'aval de Bruxelles», résume Jean-Luc Proutat. «C'est vrai, concède Christophe Caresche, député PS rapporteur du projet de loi de ratification du traité. Mais c'est le prix à payer pour sauver l'euro.»
 
Nous condamnera-t-il à la rigueur perpétuelle ?
Non. Le traité offre en réalité bien plus de souplesse que ses détracteurs ne veulent le reconnaître. Il précise en effet que la règle d'or pourra être suspendue en cas de «circonstances exceptionnelles» et, notamment, de «grave récession économique». Comme celle que nous traversons aujourd'hui... En d'autres termes, les gouvernements pourront très bien faire dériver leurs déficits au-delà de 0,5% du PIB pour financer des mesures de soutien à la consommation, comme les primes à la casse. Ce n'est qu'une fois la croissance revenue qu'ils devront ­reprendre leurs efforts.
 
Ajoutons qu'à y regarder de près la règle d'or est bien mieux conçue que les principes de Maastricht. Elle s'affranchit en effet de la notion de déficit ­public classique pour lui préférer celle de déficit structurel. «C'est un concept bien plus pertinent pour la politique économique», observe Maurice Baslé, de l'université de Rennes. A la différence du premier, le déficit structurel ne prend pas en compte les variations de dépenses et recettes publiques engendrées par la conjoncture, comme la hausse des allo­cations chômage versées pendant les récessions. Ainsi, lorsque notre déficit public est monté à 7,1% du PIB en 2010, le déficit structurel, lui, s'établissait à seulement 5,2%.
 
Problème : personne n'est d'accord sur la façon de calculer ce dernier. Comment, au juste, réussir à isoler précisément la part du déficit liée à la conjoncture ? «C'est l'un des exercices les plus compliqués qui soient», reconnaît Mathieu Plane, de l'OFCE. Pour y parvenir tant bien que mal, les économistes mesurent l'écart entre la croissance réelle et la «croissance potentielle» (celle que le pays enregistrerait en dehors de toute crise, quand ses usines tournent à plein). Mais comme aucun institut de prévision n'utilise le même modèle mathématique, tous aboutissent à des estimations de déficit structurel très différentes. Pour la Commission, le nôtre s'établit aujourd'hui à 4,1% du PIB, la Cour des comptes le voit plutôt à 3,9%, tandis que Bercy jure qu'il ne dépasse pas 3,7%...
 
A ce petit jeu, le gouvernement choisit évidemment toujours les chiffres qui lui sont le plus favorables. «Il fait cela ­depuis des années et sera tenté de continuer», pronostique François Ecalle, spécialiste des finances publiques à Paris-I. Pas sûr cependant que les intraitables de Bruxelles acceptent de se ranger à ses estimations...
 

 
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  Le contrôle du Haut Conseil des finances publiques sera-t-il efficace ?
On peut l'espérer. Certes, Bercy, effrayé à l'idée que ce gendarme ne lui mette des bâtons dans les roues, a discrètement ½uvré pour en limiter les prérogatives. Les avis du Haut Conseil seront ainsi simplement consultatifs et il n'aura pas de pouvoir d'initiative, contrairement à son homologue suédois (lire l'encadré ci-contre). Il ne pourra vérifier les comptes qu'avant la validation de la loi de finances et une seule fois, à mi-parcours de son application.
 
En dépit de cette faiblesse congénitale, la nouvelle instance disposera tout de même de puissants moyens d'action. Elle pourra pointer du doigt les éventuelles astuces comptables de Bercy pour réduire artificiellement le déficit avant qu'elles ne soient actées. Jusqu'ici, la Cour des comptes ne les dénonçait qu'a posteriori. «L'impact médiatique sera bien plus fort, se réjouit un sage de l'institution. Cela devrait pousser les gouvernements à arrêter une fois pour toutes les bidouilles.»
 

Le Haut Conseil pourra également taper du poing sur la table lorsqu'il jugera les prévisions de croissance officielles trop optimistes. «Bercy sera obligé de plier pour ne pas se ridiculiser», souffle-t-on à la Cour. Aujourd'hui, la vigie aurait par exemple exigé que le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, construise sa loi de finances 2013 sur une hypothèse de croissance de 0,4% (retenue par la majorité des économistes) et non de 0,8%.
 
Naturellement, il faudra pour cela que ses membres n'aient pas peur du conflit avec l'exécutif. Son futur président sera ­celui de la Cour des comptes, Didier ­Migaud, dont le franc-parler fait l'unanimité. Il choisira quatre des membres au sein de son institution, quatre autres seront nommés par les députés et les sénateurs, les deux derniers étant le patron de l'Insee et celui du Conseil économique et social. «Si, dès leur entrée en fonction, les nouveaux gendarmes se montrent combatifs, leurs successeurs suivront le mouvement», analyse Charles Wyplosz. S'ils sont trop dociles, il sera dur de relever la barre après.
 
Sur quoi les Allemands ont-ils cédé en échange de la signature du traité ?
Ils ont d'abord accepté la création du Mécanisme européen de stabilité (MES). Ce «FMI du Vieux Continent», d'une ­capacité de prêts de 700 milliards d'euros, pourra accorder des ai­des financières aux pays en dif­ficulté, via des prêts et prises de participation dans les banques. Seuls les Etats qui ont signé le pacte pourront en profiter.
 
Nos voisins d'outre-Rhin ont ensuite donné leur feu vert à la BCE pour qu'elle rachète aux banques, sans condition ni limite, les obligations souveraines (de 1 à 3 ans) déjà émises par les Etats en difficulté. Dès son annonce, cette mesure a d'ailleurs fait chuter l'échange de produits spéculatifs (les CDS) sur les dettes espagnole et italienne. «Comme les pays membres ont enfin affirmé qu'ils ne laisseraient jamais tomber aucun des leurs, les hedge funds n'ont plus intérêt à parier sur l'explosion de l'euro», décrypte Jean-Christophe Caffet, de Natixis.
 


 
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contrôle du Haut Conseil des finances publiques sera-t-il efficace ?
 
Une pieuvre nommée Bercy extrait - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=4pK8ddkcAQ8


On peut l'espérer. Certes, Bercy, effrayé à l'idée que ce gendarme ne lui mette des bâtons dans les roues, a discrètement ½uvré pour en limiter les prérogatives. Les avis du Haut Conseil seront ainsi simplement consultatifs et il n'aura pas de pouvoir d'initiative, contrairement à son homologue suédois (lire l'encadré ci-contre). Il ne pourra vérifier les comptes qu'avant la validation de la loi de finances et une seule fois, à mi-parcours de son application.
 
pieuvre nommée Bercy - YouTube :
 
 

 
 
 

 
 
En dépit de cette faiblesse congénitale, la nouvelle instance disposera tout de même de puissants moyens d'action. Elle pourra pointer du doigt les éventuelles astuces comptables de Bercy pour réduire artificiellement le déficit avant qu'elles ne soient actées. Jusqu'ici, la Cour des comptes ne les dénonçait qu'a posteriori. «L'impact médiatique sera bien plus fort, se réjouit un sage de l'institution. Cela devrait pousser les gouvernements à arrêter une fois pour toutes les bidouilles.»
 
Le Haut Conseil pourra également taper du poing sur la table lorsqu'il jugera les prévisions de croissance officielles trop optimistes. «Bercy sera obligé de plier pour ne pas se ridiculiser», souffle-t-on à la Cour. Aujourd'hui, la vigie aurait par exemple exigé que le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, construise sa loi de finances 2013 sur une hypothèse de croissance de 0,4% (retenue par la majorité des économistes) et non de 0,8%.
 
Naturellement, il faudra pour cela que ses membres n'aient pas peur du conflit avec l'exécutif. Son futur président sera ­celui de la Cour des comptes, Didier ­Migaud, dont le franc-parler fait l'unanimité. Il choisira quatre des membres au sein de son institution, quatre autres seront nommés par les députés et les sénateurs, les deux derniers étant le patron de l'Insee et celui du Conseil économique et social. «Si, dès leur entrée en fonction, les nouveaux gendarmes se montrent combatifs, leurs successeurs suivront le mouvement», analyse Charles Wyplosz. S'ils sont trop dociles, il sera dur de relever la barre après.
 
Sur quoi les Allemands ont-ils cédé en échange de la signature du traité ?
Ils ont d'abord accepté la création du Mécanisme européen de stabilité (MES). Ce «FMI du Vieux Continent», d'une ­capacité de prêts de 700 milliards d'euros, pourra accorder des ai­des financières aux pays en dif­ficulté, via des prêts et prises de participation dans les banques. Seuls les Etats qui ont signé le pacte pourront en profiter.
 
Nos voisins d'outre-Rhin ont ensuite donné leur feu vert à la BCE pour qu'elle rachète aux banques, sans condition ni limite, les obligations souveraines (de 1 à 3 ans) déjà émises par les Etats en difficulté. Dès son annonce, cette mesure a d'ailleurs fait chuter l'échange de produits spéculatifs (les CDS) sur les dettes espagnole et italienne. «Comme les pays membres ont enfin affirmé qu'ils ne laisseraient jamais tomber aucun des leurs, les hedge funds n'ont plus intérêt à parier sur l'explosion de l'euro», décrypte Jean-Christophe Caffet, de Natixis.
 

 
 

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Coluche président (secrets d'acualité) 1/3 - YouTube : 
 
 

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Le basculement du monde






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 G20 : la fracture entre politiques et manifestants à Hambourg résumée en une vidéo, 
Rage mécanique.
«Merci, chers politiciens, pour ce beau sommet du G20 !». Le tabloïd allemand Bildn'a pas manqué d'ironie en publiant dimanche sur Facebook un montage vidéo spécial G20 de Hambourg déjà vu plus de 2,6 millions de fois. Le résultat alterne plans des dirigeants les plus puissants du monde réunis vendredi dernier dans la salle Philharmonie de l'Elbe pour déguster du Beethoven, et scènes de manifestations musclées dans les rues. Toute la fracture idéologique entre grandes puissances et anticapitalistes résumée en un peu moins 4 minutes, le tout évoquant, musique oblige, le Orange Mécaniquede Kubrick.
A voir sur Facebook, G20 : à Hambourg, la police a été battue 

 
 
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#Posté le vendredi 14 décembre 2012 05:35

Modifié le lundi 17 juillet 2017 03:58

Tous égaux !


SOURCE / hensozu, anarkia : Citizen khane : l'indigné révolté , citoyenactif, Capitalisme et crise... – citizen Khane, hensozu, anarkia: 

 
Tous égaux !
 
Tous égaux !

 
Les inégalités se creusent, mais elles ne sont pas une fatalité. Enquête sur un fléau mondial.


• Il y a un an naissait à New York le mouvement Occupy Wall Street avec pour slogan “Nous sommes les 99 %”, en référence aux disparités de revenu et de pouvoir.
• De plus en plus d'études pointent les effets délétères des inégalités sur l'ensemble de la population.
• Mais l'inégalité est un phénomène récent dans l'histoire de l'humanité, nous disent des anthropologues
 
Consultez en ligne :
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Tous égaux !

 
 
Crise permanente du système : Nous avons annoncé avant qu'ils ne fassent la une des journaux grand public l'explosion de la bulle internet en 2000... les dérèglements financiers mondiaux de l'après-11 septembre 2001... la bulle des junk bonds de 2001...la bulle immobilière américaine en 2007... la crise des dettes souveraines entamée en 2010... Et j'en passe, la liste serait trop longue.

 Tous égaux !
Je vous transmets le texte, cela peut servir de groupe de réflexion
 
Pourquoi parler de crise ?
 
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.
 
ARGENT SALE, LE POISON DE LA FINANCE
 
Tous égaux !

 

 
Argent sale, le poison de la finance – Vidéo Dailymotion 53 min
.  Goldman Sachs – La banque qui dirige le monde ..., , Mario Monti : pompier pyromane, Documentaire: City de Londres, la finance en eaux trouble, lire la presse...Voir plus La loi des gredins, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde , Nestlé et le business de l'eau en bouteille  Economie par Urs Schnell, Res Gehriger : la photo de Nature to Share. Nestlé et le business de l'eau en bouteille - arte TV+ 7
 
 
 
 
Agitations autour d'un troisième plan d'aide grec
Tous égaux !
 
 
14/09/2012 Angela Merkel, Georges Papandréou, Jean-Claude Juncker, Jean-Claude Trichet, Nicolas Sarkozy, Gouvernance économique, gouvernement, crise de l'euro, crise grecque, Espagne, eurozone, Grèce, Irlande, Portugal
 
 
 
Suivez jour après jour les évènements marquant de la crise de la zone euro grâce à cet « article évolutif ».
 
   13 septembre 
 
  Agitations autour d'un éventuel 3e plan d'aide grec 
  
L'euro est tombé jeudi à un plus bas de séance face au dollar après la publication par Dow Jones d'une déclaration d'un responsable du Fonds monétaire international selon lequel la Grèce aurait besoin d'un troisième plan de sauvetage.
 
 
Selon les traders qui en ont fait état, l'article avance également qu'Athènes n'aura pas les moyens de couvrir ses besoins si une nouvelle tranche d'aide n'est pas rapidement débloquée, alors que le gouvernement grec n'a rempli que 22% des objectifs qu'il s'était fixés pour réduire son déficit budgétaire.
 
L'évocation d'un 3e plan d'aide pour la Grèce fait chuter l'euro | Reuters 
NEW YORK, 13 septembre (Reuters) – L'euro est tombé jeudi à un plus bas de séance face au dollar après la publication par Dow Jones d'une...
 
 Les rumeurs de nouveau plan de sauvetage ont été rapidement démentis par le FMI. Toutefois, les tractations actuelles entre Athènes et ses partenaires européens portent sur un éventuel délai qui serait accordés aux Grecs pour atteindre les objectifs réclamés par la Troika (BCE, FMI, Commission). Le sujet sera en discussion au sommet européen des 18 et 19 octobre
Annonce des syndicats grecs: journée de grève générale le 26 septembre prochain pour protester contre les nouvelles mesures d'austérité prévue pour les budgets 2013 et 2014.
 
 
 
Pierre Moscovici, le ministre français des finances a rencontré jeudi 12 septembre son homologue grec Yannis Stournaras ainsi que le premier ministre grec Antonis Samaras à Athènes. Il a souligné la volonté de la France d'aider la Grèce à condition que celle-ci mette en pratique ses engagements de redressement et prouve à ses partenaires européens qu'elle en a la volonté et qu'elle applique les décisions requises. On aurait pu résumer les propos exprimés par Pierre Moscovici dans un entretien accordé à la presse grecque par : « aide-toi, et l'Union européenne t'aidera ». 

 
La Grèce attend le versement d'une nouvelle tranche du deuxième prêt accordé soit plus de 30 milliards d'euros. Le versement du prêt est gelé depuis la fin juin. 
Les créanciers de la Grèce exigent de la part d'Athènes un train d'économies de 11 milliards et demi d'euros qui tarde à se concrétiser. En échange de quoi, Athènes demande un sursis supplémentaire pour atteindre l'objectif d'ajustement budgétaire fixé à 2014. 

Parallèlement le chômage en Grèce est monté à 23,6% de la populations active au deuxième trimestre : un record. Le taux de chômage était de 16,3% l'an dernier à la même période.
 
      12 septembre 
         11 septembre
Un député allemand cherche à retarder la décision sur le fonds de secours
Un député allemand dépose un recours contre le plan de la BCE | Reuters
BERLIN, 9 septemb
re (Reuters) – Un député dela CSU, branche bavaroise dela CDUmembre de la coalition de la chancelière Angela Merkel, ...  Rajoy ne veut pas que l'aide européenne accentue l'austérité  (....).
 
D'ici là, le gouvernement espagnol compte profiter du ballon d'oxygène offert le 6 septembre par les déclarations de Mario Draghi, le gouverneur dela Banquecentral européenne, prêt à racheter des obligations de manière illimitée. “Le seul fait quela BCEait donné ce message, estime Mariano Rajoy, suffit à lancer “un signal magnifique.”
 
 
Rajoy apunta que no pedirá el rescate antes de las autonómicas en Galicia y el País Vasco 
El presidente del Gobierno, Mariano Rajoy, ha apuntado que no pedirá un rescate para España antes de las elecciones autonómicas en Galici...
 
§             6 septembre 
 
La colère gronde en Grèce 
 

Dans son nouveau rapport, qui va conditionner l'octroi à la Grèce d'une tranche d'aide de 31 milliards d'euros, la Troika (Banque centrale européenne, Fonds monétaire international et Commission européenne) demande l'allongement de la semaine de travail à six jours (au lieu de cinq actuellement). L'information a été révélée par le quotidien britannique, The Guardian, le 4 septembre. 
Une telle mesure doit permettre d'accroitre la productivité des Grecs, sans couper une nouvelle fois dans les salaires. En février 2012, le salaire minimum avait été baissé de 22%, tombant à 586 euros. 
La troïka demande à la Grèce de mettre en place une semaine de ...Elle réclame notamment au pays de rallonger la semaine de travail à six jours. La lettre reproduite en partie par le Guardian indique: «M...
Parmi les autres mesures proposées, la mise sous tutelle de l'inspection du travail grecque, qui devra aussi être réformée en profondeur. (....)Grèce : la colère monte contre la semaine de six joursUn projet dela Troïka(FMI, BCE, UE) veut imposer à tous les secteurs une semaine de travail allongée, d'après un document adressé la se 
§             3 septembre
L'Espagne fourbit ses armes en vue de la visite d'Angela Merkel à Madrid

Dans dans un entretien accordé au quotidien français Le Journal du dimanche, à l'espagnol ABC, à l'allemand Bild am Sonntag et à l'italien Corriere della Serra, publié dimanche 2 septembre, le Premier ministre espagnol détaille son plan en faveur de la mise en place d'eurobonds d'ici 2018. Ces émissions de dette commune à l'échelle de la zone euro auraient l'avantage de faire baisser les taux d'intérêts des pays du Sud. 
Pour atteindre cet objectif, Mariano Rajoy envisage trois étapes:- en 2013-2014: une convergence fiscale et économique des Etats, « imposée par le Conseil européen ». - en 2015-2016: la création d'une autorité budgétaire européenne chargée de surveiller les budgets nationaux. Elle formulerait aussi des recommandations sur les objectifs et l'orientation de la politique budgétaire de la zone euro. Une fois cette étape réalisée, le chef du gouvernement espagnol estime que les premières euro-obligations pourraient être émises, à moyen et long terme mais toujours portées par les Etats. - en 2017-2018: définition d'objectifs budgétaires contraignants pour les membres de la zone euro et émissions des premières obligations communes. 
"L'Equipe" lance un plan d'économies, avec 46 départs volontaires à la clé
FTVi avec AFP
Carrefour va supprimer 500 à 600 emplois en FranceCinq offres de reprise partielle déposées pour le pôle frais du volailler DouxVIDEO. Des salariés menacent d'incendier leur usine dans le Nord
 
Aider les banques ou leur mettre le feu ?
Publié le 18/08/2012 à 17:13 par anarchie23
Agitations autour d'un troisième plan d'aide grec
 
L'euro a plongé face au dollar après la publication par Dow Jones d'une déclaration d'un responsable du Fonds monétaire international selon lequella Grèceaurait besoin d'un troisième plan de sauvetage.
 
14/09/2012 Angela Merkel, Georges Papandréou, Jean-Claude Juncker, Jean-Claude Trichet, Nicolas Sarkozy, Gouvernance économique, gouvernement, crise de l'euro, crise grecque, Espagne, eurozone, Grèce, Irlande, Portugal
 
Suivez jour après jour les évènements marquant de la crise de la zone euro grâce à cet « article évolutif ».
 
   13 septembre 
 
  Agitations autour d'un éventuel 3e plan d'aide grec 

[a=[a=http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202253808205-hausses-d-impots-et-croissance-la-mise-en-garde-des-economistes-360522.php?xtor=EPR-1500-[nl_8h]-20120911-[s=461370_n=2_c=201_]-1243403@1]Hausses]http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202253808205-hausses-d-impots-et-croissance-la-mise-en-garde-des-economistes-360522.php?xtor=EPR-1500-[nl_8h]-20120911-[s=461370_n=2_c=201_]-1243403@1]Hausses d'impôts et croissance : la mise en garde des économistes

La France maintient son objectif d'un retour du déficit à 3 % en 2013 malgré une prévision de croissance abaissée à 0,8 %. 20 milliards d'euros de recettes sont recherchés. Une ponction qui va peser sur la croissance, craignent les économistes.
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Dix milliards d'euros d'économies et vingt milliards de hausses d'impôts. Ce sera l'effort budgétaire « le plus important depuis trente ans », a prévenu François Hollande, qui veut absolument tenir l'objectif d'un déficit réduit de 4,5 % à 3 % de PIB en 2013. Un objectif maintenu malgré une prévision de croissance revue en baisse, à 0,8 %. A moins de trois semaines de la présentation du budget, le président de la République a coupé court à tout débat au sein du gouvernement (« Les Echos » d'hier), mais il a relancé les mises en garde d'économistes quant à l'impact des hausses d'impôts sur le peu de croissance restant. La Banque de France a confirmé hier sa prévision d'un recul du PIB de 0,1 % au troisième trimestre et la production industrielle peine à se redresser (lire ci-contre).

FRÉDÉRIC SCHAEFFER
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lors du débat la projection de "la traversée solidaire)
 
Foi d'anar - Maurice Joyeux - , part 2/6 , part 3/6 , part 4/6 , part 5/6 , part 6/6
Présentation de l'idée anarchiste. Maurice Joyeux : Foi d'anar – Maurice Joyeux –,
 Vive l'anarchie! CNT AIT FAI IFA,anarchisme,les anarchistes : et le rapprochement avec les combats d'aujourd'hui :
El Comunero (chants de lutte de la republique espagnole)
Les raisons de la colère : citoyen actif : Les raisons de la colère - Un film de Samuel Luret & Damien - Arte :
Fureur de la jeunesse, colère des exclus... : il souffle sur la planète un vent de révolte inédit par son ampleur. Enquête en Grèce, au Danemark et en Chine.
 
ESPAGNE • Une utopie anti-crise en Andalousie ( google)  
Marinaleda est une ville sans chômage et aux loyers modiques. Alors que la politique d'austérité bat son plein en Espagne, son maire, Juan Manuel Sanchez Gordillo, a pris la tête d'un mouvement de résistance populaire.
 
 Marinaleda, une utopie vers la paix - YouTube, Marinaleda : un modèle d'auto-gestion unique en Europe par ..., Marinaleda, le village andalou qui résiste à la crise / France Inter





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#Posté le dimanche 16 septembre 2012 10:05

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