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Liberté

 
n
De façon générale, la liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement.  Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration.
 

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Il est libre MAX - Hervé Cristiani https://www.youtube.com/watch?v=8dx3rktr4Ls
 
L'albatros
Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées 
Qui hante la tempête et se rit de l'archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.

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L'albatros de Charles Baudelaire https://www.youtube.com/watch?v=YznFJysK2iA
 
 
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin)
Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)

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Liberté-Paul Eluard.wmv - YouTube, Les Enfoirés - Liberté (Clip officiel), >Liberté, poème de Paul Eluard - poetica.fr


Le Spleen de Paris, également connu sous le titre Petits poèmes en prose, est un recueil posthume de poèmes en prose de Charles Baudelaire, établi par Théodore de Banville.

« J'invoque la muse familière, la citadine, la vivante, pour qu'elle m'aide à chanter les bons chiens, les pauvres chiens, les chiens crottés, ceux-là que chacun écarte, comme pestiférés et pouilleux, excepté le pauvre dont ils sont les associés, et le poète qui les regarde d'un oeil fraternel », écrit Baudelaire. La métaphore évoque le petit peuple des Poèmes en prose : veuves esseulées dans les parcs, mystérieuse recluse aperçue à la fenêtre d'une mansarde, mendiants glorieux ou misérables.
Donnant à voir les turpitudes urbaines et sociales de la capitale au XIXe siècle, Le Spleen de Paris complète la galerie des « Tableaux parisiens » réunis dans Les Fleurs du mal. Et le poète, tantôt dandy indifférent, tantôt flâneur fraternel, de saisir dans le spectacle ordinaire de la rue les mille et uns reflets de la modernité de son époque.

Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle ...
 

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Charles Baudelaire - Les Fleurs du Mal (FR)

L'albatros de Charles Baudelaire https://www.youtube.com/watch?v=YznFJysK2iA, Baudelaire, Les Fleurs du Mal - L'Albatros (commentaire analyse version ancienne) https://www.youtube.com/watch?v=KBiYG5EYoyQ
 
[PDF]Le spleen de Paris - Bibebook

 Le spleen de Paris - France Culture


Les Sentiers de l'Utopie, 
Mary And Max 2009
BAKOUNINE, Michel – Dieu et l'État
This is our world


Mai 68, les coulisses de la révolte, 
The history of French RAP – 30 years of success
Licencier, c'est facile et c'est pas cher
Projection débat « Anarchism in America »
COBAIN : Montage Of Heck
Yemen : les enfants et la guerre

Tags : L'albatros, Charles Baudelaire, poème, Le Spleen de Paris, Liberté, Paul Eluard
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#Posté le samedi 28 avril 2018 05:23

Modifié le samedi 28 avril 2018 06:03

Errico Malatesta


 
 
 
 
  
 
n
 
Flores Magon
2 septembre
http://fr.wikisource.org/wiki/Les_Anarchistes_et_le_sentiment_moral






Errico Malatesta
 
Vive l'anarchie - extrait de "la bande à bonnot"
 
la citation entière

Être GOUVERNÉ, c'est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n'ont ni le titre, ni la science, ni la vertu...
Être GOUVERNÉ, c'est être, à chaque opération, à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, apostillé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C'est, sous prétexte d'utilité publique, et au nom de l'intérêt général, être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé ;
puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré.
Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale !
 

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Errico Malatesta



Errico Malatesta est un propagandiste et un révolutionnaire anarchiste très actif tout au long de sa vie. Il se réclama plus particulièrement de la tendance communiste libertaire. Wikipédia


 
En 1872, durant le congrès de Saint-Imier, pour la création de l'internationale anti-autoritaire, il rencontre le révolutionnaire libertaire Michel Bakounine. Sur cette période "bakouniniste", il écrira plus tard :
« Nous voulions, par une action consciente, imprimer au mouvement ouvrier la direction qui nous semble la meilleure, contre ceux qui croient au miracle de l'automatisme et aux vertus de la masse travailleuse... Nous qui dans l'Internationale, étions désignés sous le nom de bakouninistes, et étions membres de l'Alliance, nous criions très fort contre Marx et les marxistes parce qu'ils tentaient de faire triompher dans l'Internationale leur programme particulier ; mais à part la loyauté des moyens employés et sur lesquels il est maintenant inutile d'insister, nous faisions comme eux, c'est-à-dire que nous cherchions à nous servir de l'Internationale pour atteindre nos buts de parti. »

— Volontà, 1914
 
 

Il expérimente divers principes révolutionnaires dont l'insurrectionalisme dans le Bénévent, mais aussi dans d'autres pays, où il dut s'exiler.
« Une chose est de comprendre, une autre de pardonner certains faits, les revendiquer, en être solidaires. Nous ne pouvons accepter, encourager et imiter de tels actes. Nous devons être résolus et énergiques, mais nous devons également nous efforcer de ne jamais dépasser les limites nécessaires. »

— Errico Malatesta, Un peu de théorie (1892), dans Articles Politiques (10/18).
 
Il critique la violence comme fin en soi :
« Nous comprenons que cela puisse arriver, dans la fièvre de la bataille, chez des natures généreuses mais manquant de préparation morale -fort difficile à acquérir actuellement- qui peuvent perdre de vue le but à atteindre et prennent la violence comme une fin en soi et se laissent entraîner à des actes sauvages. »
« Le danger le plus grand qui menace le mouvement ouvrier est la tendance du leader à considérer la propagande et l'organisation comme un métier »
— cité dans L'espresso, 3 août 2006, p. 118






L'Anarchie Lire en ligne
L'organisation Lire en ligneL
e Programme Anarchiste Lire en ligne
La terreur révolutionnaire Lire en ligne
Majorités et minorités Lire en ligne
Au Café Lire en ligneEntre paysans (1897) Lire en ligne
Réponse au Manifeste des 16 Lire en ligne
Anarchie et organisation Lire en ligne
Sur Kropotkine Lire en ligne)[2]
 
Malatesta de Peter Lilienthal (1970
 
ANARCHY by by Errico Malatesta - FULL AudioBook | Greatest Audio Books :
 
ANARCHY by by Errico Malatesta - FULL AudioBook | Greatest Audio Books
Errico Malatesta (December 14, 1853-- July 22, 1932) was an Italian anarchist. He spent much of his life exiled from his homeland of Italy and in total spent more than ten years in prison. He wrote and edited a number of radical newspapers and was also a friend of Mikhail Bakunin. He was an enormously popular figure in his time. According to Brian Doherty, writer for Reason magazine, "Malatesta could get tens of thousands, sometimes more than 100,000, fans to show up whenever [he] arrived in town." (summary from Wikipedia.org)

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- READ along by clicking (CC) for Closed Caption Transcript!

- LISTEN to the entire audiobook for free!

Chapter listing and length:

01 - Section 01 -- 00:09:48
02 - Section 02 -- 00:23:11
03 - Section 03 -- 00:19:57
04 - Section 04 -- 00:29:23
05 - Section 05 -- 00:24:11

 

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 Errico Malatesta : programme de l'Union Anarchiste Italienne (1920)

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Convegno Errico Malatesta, un rivoluzionario a Roma (28/05/2016) Franco Bertolucci
La Vita Del rivoluzionario anarchico Errico Malatesta
La Parola, Il Fatto: "ANARCHIA" ( Documentario Completo )
NESTOR MAKHNO Par Enkolo dans Accueil le 15 Octobre 2017



 
Anarchisme individualisme Par Enkolo dans Accueil le 14 Octobre 2017

Germinal est un roman d'Émile Zola publié en 1885. Il s'agit du treizième roman de la série des Rougon-Macquart. Écrit d'avril 1884 à janvier 1885, le roman paraît d'abord en feuilleton entre novembre 1884 et février 1885 dans le Gil Blas. Wikipédia


Germinal - Wikisource

 
14/10/2017
Errico Malatesta : programme de l'Union Anarchiste Italienne (1920)
 
 "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
Créé le dimanche 07 juillet 2013 
 
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
Par Enkolo dans Accueil le 22 Octobre 2017



 
Tags : Errico Malatesta, anarchie, révolutionnaire libertaire, Michel Bakounine, congrès de Saint-Imier, histoire, Mikhail Bakunin, Victor Hugo, poème, lutte, mobilisations, programme de l'Union Anarchiste Italienne, 1920, Germinal, d'Émile Zola
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#Posté le mercredi 04 septembre 2013 08:43

Modifié le dimanche 22 octobre 2017 07:49

extrait du programme et du manifeste des anarchistes mexicains 1911


 
 
 
 
   n
 
Vive l'anarchie - extrait de "la bande à bonnot"
 
la citation entière

Être GOUVERNÉ, c'est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n'ont ni le titre, ni la science, ni la vertu...
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puis, à la moindre résistance, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré.
Voilà le gouvernement, voilà sa justice, voilà sa morale !
 
 
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo 
Être ou Avoir - Ceux qui vivent sont ceux qui luttent 
 
extrait du programme et du manifeste des anarchistes mexicains 1911
3 août 2013,
 
Abolir le principe de propriété privée signifie l'anéantissement de toutes les institutions politiques, économiques,
sociales, religieuses et morales qui composent le milieu dans lequel s'asphyxient la libre initiative et
la libre association des êtres humains qui se voient obligés, pour ne pas périr, d'établir entre eux une
concurrence acharnée, de laquelle sortent triomphants, non pas les meilleurs, ni les plus dévoués, ni
les mieux dotés dans le physique, dans le moral ou dans l'intellectuel, mais les plus malins, les plus
égoïstes, les moins scrupuleux, les plus durs de coeur, ceux qui mettent leur bien-être personnel au dessus
de n'importe quelle considération de solidarité et de justice humaine.

Sans le principe de propriété privée, le Gouvernement n'a pas de raison d'être, car il est seulement
nécessaire pour tenir en respect les déshérités dans leurs querelles ou dans leurs révoltes contre les
détenteurs de la richesse sociale ; n'aura pas de raison d'être, non plus, l'Église dont l'objet exclusif
est d'étrangler dans l'être humain la révolte innée contre l'oppression et l'exploitation en prêchant la
patience, la résignation et l'humilité, faisant taire les cris des instincts les plus puissants et féconds
avec la pratique de pénitences immorales, cruelles et nocives à la santé des personnes ; et pour que
les pauvres n'aspirent pas aux jouissances de la terre et constituent un danger pour les privilèges des
riches, ils promettent aux humbles, aux plus résignés, aux plus patients, un ciel qui se balance dans
l'infini, plus loin que les étoiles qu'on arrive à voir...

Capital, Autorité, Clergé : voilà la sombre trinité qui fait de cette belle terre un paradis pour ceux
qui sont arrivés à accaparer dans leurs griffes par l'astuce, la violence et le crime, le produit de la
sueur, des larmes, du sang et du sacrifice de milliers de générations de travailleurs, et un enfer pour
ceux qui avec leurs bras et leur intelligence travaillent la terre, conduisent les machines,
construisent les maisons, transportent les produits ; de cette façon, l'humanité se trouve divisée en
deux classes sociales aux intérêts diamétralement opposés : la classe capitaliste et la classe
ouvrière ; la classe qui possède la terre, les machines de production et les moyens de transport des
richesses, et la classe qui ne peut compter qu'avec ses bras et son intelligence pour se procurer la
subsistance.

Entre ces deux classes sociales il ne peut exister aucun lien d'amitié ni de fraternité, parce que la
classe possédante est toujours disposée à perpétuer le système économique, politique et social qui
lui garantit la tranquille jouissance de ses pillages, tandis que la classe ouvrière fait des efforts pour
détruire ce système inique pour instaurer un milieu dans lequel la terre, les maisons, les moyens de
production et les moyens de transport soient d'usage commun.

........................................

Ces premiers actes d'expropriation ont été couronnés par le plus souvent des succès ; mais il ne faut
pas se limiter seulement à prendre possession de la terre et du matériel agricole : il faut que les
travailleurs prennent possession des industries dans lesquelles ils travaillent, obtenant de cette façon
que les terres, les mines, les usines, les ateliers, les fonderies, les voitures, les trains, les bateaux, les
magasins de toutes sortes et les maisons soient ainsi au pouvoir de tous et de chacun des habitants
du Mexique, sans distinction de sexe.

Les habitants de chaque région où un tel acte de suprême justice est réalisé n'ont rien d'autre à faire
que se mettre d'accord pour que tous les produits se trouvant dans les boutiques, magasins, greniers,
etc., soient rassemblés dans un lieu facilement accessible à tous, où hommes et femmes de bonne
volonté feront un minutieux inventaire de tout ce qui a été ramassé, pour calculer la durée de ces
produits, en tenant compte des besoins et du nombre d'habitants qui devront s'en servir, durée qui
devra s'étendre entre le moment de l'expropriation et le moment des premières récoltes, et la remise
en marche des industries.

Tout ce qui sera produit sera envoyé au magasin général de la communauté où tout le monde aura le
droit de prendre tout ce qui lui est nécessaire selon ses besoins, sans autre formalité que de présenter
une carte qui prouve qu'il travaille dans telle ou telle industrie.
Comme l'aspiration de tout être humain est de satisfaire le plus grand nombre de besoins, avec le
moindre effort possible, le moyen le plus adéquat pour obtenir ce résultat est le travail en commun
de la terre et des autres industries. En divisant la terre afin que chaque famille prenne son lopin,
outre le grave danger qu'on encourt de retomber dans le système capitaliste, car il ne manquera pas
d'hommes rusés ou qui ont l'habitude de faire des économies, et qui arriveront à avoir plus que
d'autres et pourront à la longue exploiter leurs semblables ; outre ce grave danger, si une famille
travaille un morceau de terre, il lui faudra travailler autant ou davantage qu'aujourd'hui, sous le
système de la propriété individuelle, pour obtenir le même résultat mesquin qu'on obtient
actuellement ; tandis que si on groupe la terre et on la travaille en commun, les paysans travailleront
moins et produiront davantage. Bien sûr, il y aura assez de terre pour que chaque personne puisse
avoir sa maison et un bon terrain pour en faire usage selon son plaisir.

Ce qui se dit à propos du travail en commun de la terre, on peut le dire du travail en commun à
l'usine, à l'atelier, etc... ; mais chacun, suivant son tempérament, suivant ses goûts, suivant ses
inclinations pourra choisir le genre de travail qui lui convient le mieux, pourvu qu'il produise
suffisamment pour couvrir ses besoins et ne soit pas une charge pour la communauté.
OEuvrant de la manière ainsi décrite, c'est-à-dire, l'organisation de la production suivant
immédiatement l'expropriation, libre alors de patrons et basée sur les besoins des habitants de
chaque région, personne ne manquera de rien malgré le mouvement armé, jusqu'à ce que s'achève
ce mouvement par la disparition du dernier bourgeois et du dernier représentant de l'autorité. Une
fois détruite la loi qui soutient les privilèges, et lorsque tout sera remis aux mains de ceux qui
travaillent, nous nous embrasserons tous fraternellement et célébrerons avec des cris de joie
l'instauration d'un système qui garantira à tout être humain le pain et la liberté.

Ricardo Florès Magon
 
Dossier Mexique : Décembre 1910 : Une prise d'armes au cri de « Tierra y Libertad »
La Révolution mexicaine commença comme une insurrection civique contre la dictature. Les insurgés « magonistes », déjà éprouvés par deux tentatives de soulèvement, entreprirent de la transformer en une révolution sociale. Pourquoi échouèrent-ils ? Quelle était leur stratégie ? Quelles furent leurs erreurs ?

Lire également les autres articles du dossier :
 
Edito : les anarchistes dans la Révolution mexicaine
 
Chronologie et cartographie de la campagne de Basse-Californie
 
Controverse en France : la Révolution mexicaine est-elle communiste ?
 
Le Manifeste anarchiste-communiste du 23 septembre 1911
 
Le magonisme aujourd'hui : une mémoire à se réapproprier
 
Ricardo Florès Magón s'adresse aux femmes

Dossier Révolution mexicaine : le manifeste du 23 septembre 1911 - alternative Libertaire publie 8 décembre 2010 par Commission Journal (mensuel)


En ce mois de décembre 1910, les petites révoltes qui depuis un mois secouent le Mexique sont en train de se convertir en révolution. Le vieux général Porfirio Díaz, au pouvoir depuis trente-quatre ans, a été réélu président de la république en juin pour la 7e fois. La fois de trop. L'opposition démocrate, lassée du trucage des urnes, a appelé à prendre les armes et a été entendue. Dans tout le pays, des groupes armés ont surgi, menés soit par des dissidents de longue date, soit par des chefs locaux sans appartenance politique comme Pascual Orozco, Pancho Villa ou Emiliano Zapata.
 
Mais la révolution sera-t-elle uniquement politique, ou également économique et sociale ? De ce point de vue, deux tendances sont au coude à coude au sein de l'opposition. À droite, il y a le Parti antiréélectionniste de Francisco Madero, un grand bourgeois moderniste qui réclame simplement le départ de Díaz et la démocratisation du pays. À gauche, il y a le Parti libéral mexicain (PLM), dirigé par Ricardo Flores Magón, qui appelle lui à l'expropriation des capitalistes, à la socialisation des terres et des moyens de production.
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SxC5PKfKqgs Historia del anarquista mexicano Ricardo flores Magón
 
 
Des anarchistes à la tête du Parti libéral
 
Biografía de Ricardo Flores Magón - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=WuFSsXsiJUU
 
Vie de Ricardo Flores Magon - Résistance en terre mexicaine
 
Revolución Mexicana 1,910 a 1,920 Documental Completo  http://www.youtube.com/watch?v=yaRpFj9VEwI
 
les anarchistes dans la Révolution mexicaine

débat prisoniers politiques - YouTube


 


film-documentaire.fr - film - Terre révolutionnaire : " Le film nous propose une enquête au c½ur de la mémoire du monde révolutionnaire du Sud du Mexique.
Par la parole du monde paysan humble et celle de "chroniqueurs", nous nous immergeons dans l'histoire de la première Révolution moderne qui eut lieu de 1910 à 1920.
Mêlant la grande Histoire aux petites histoires individuelles, il s'agit de mettre en lumière la vie d'Emiliano Zapata (Général de l'armée du Sud), la pensée de Ricardo Flores Magon (le théoricien anarchiste de l'insurrection) et le quotidien villageois avant, pendant et après la Révolution. Terre révolutionnaire : Mexique sud : Voir le film en entier

 
 
 

 
 
Héros et Martyrs - Brigada Flores Magon - YouTube :  Brigada Flores Magon is a Paris-based anti-fascist, anarcho-communist street punk band.
They are named after Ricardo Flores Magon, a Mexican anarchist and a leading inspirer of the Mexican Revolution that began on 20 November 1910



 

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Nestor Makhno BD, film documentaire, archives - Forum Anarchiste ...

 
 Revolución Mexicana 1,910 a 1,920 Documental Completo  http://www.youtube.com/watch?v=yaRpFj9VEwI


 Actualités - Michel Bakounine - Atelier de création libertaire

Textes Choisis (Bakounine) | Kontre Kulture
 
 Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:
 
La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014

 
Trois ans après, on ne baisse pas les bras!
La tentation de l'émeute
La Vie d'Adèle
Tu disais mai 68 -
HOTEL WOODSTOCK
Charge 69 - vos lois
 
Chante Ton Bac D'abord
Créé le vendredi 10 juin 2016 

OBÉIR, C'EST MOURIRCréé le jeudi 21 juillet 2016 
Pour que leurs mémoires vivent dans nos luttes...
Créé le dimanche 08 juin 2014
Innocents, the Dreamers
Créé le samedi 27 août 2016 
« Film d'amour et d'anarchie »,
Créé le lundi 11 juillet 2016

Brazil (1985)
Créé le dimanche 10 juillet 2016 
"Nous, ouvriers"
Créé le mercredi 06 juillet 2016
FRONT POPULAIRE - A nous la vie
Créé le samedi 02 juillet 2016
Les Révoltés du Bounty
Créé le jeudi 30 juin 2016
Vol au -dessus d'un nid de coucou
Créé le jeudi 23 juin 2016 
Il est cinq heures, Paris s'éveille
Créé le mardi 14 juin 2016 
L'ouvrier et la machine
Créé le samedi 11 juin 2016 1


Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23

Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé


Bruxelles businessCréé le mardi 20 mai 2014 
Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014 
La démocratie, c'est nous Créé le dimanche 11 mai 2014 
Mains brunes sur la ville Créé le mardi 06 mai 2014
Foire aux questions abstentionnistes Créé le vendredi 28 mars 2014 
L'Ukraine et'extrême droite ! Créé le samedi 08 mars 2014 
Johnny s'en va-t-en guerre Créé le mardi 25 février 2014 
Le complexe militaro-industrielCréé le dimanche 15 septembre 2013 
Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?Créé le mardi 10 septembre 2013 
 
REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE Créé le samedi 07 septembre
 
Errico Malatesta Créé le mercredi 04 septembre 2013 
 
Les élus locaux dans le piège nucléaire Créé le samedi 07 septembre 2013 
 
Pierre Bourdieu sur l'Etat Créé le mercredi 21 août 2013
une conférence de Bakounine Créé le samedi 24 août 2013 
extrait du programme et du manifeste des anarchistes mexicains 1911 Créé le vendredi 23 août 2013 
 
Victor Hugo, poème, lutte, mobilisations

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#Posté le vendredi 23 août 2013 03:21

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"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo


 
 
 
 
 
 
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"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
 
 
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"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
par Black Fab (Articles), dimanche 14 décembre 2008, 12:52
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.


Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans n½ud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
 
Opus Slam 'Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent' - Vidéo Dailymotion :
 
 

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Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhovah,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, c½urs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !
 
ceux qui vivent sont ceux qui luttent : http://www.dailymotion.com/video/xv68g_ceux-qui-vivent-sont-ceux-qui-lutte_creation
 
 

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"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo Par Enkolo dans Accueil le 22 Octobre 2017 



 
Tags : Victor Hugo, poème, lutte, mobilisations
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