L'éclairage. Ce n'est pas l'Europe en tant que telle qui est la cause du malheur des peuples, mais l'idéologie ultralibérale de ceux qui la dirigent. Ressusciter le "projet européen," celui de la solidarité et de l'entraide, est une question de survie. selon Le Monde
L'enfoncement dans la crise est aujourd'hui manifeste. Le terme de crise est un peu galvaudé et il faut distinguer ici trois sortes de crises auxquelles le capitalisme est confronté : crises périodiques, crises de régulation et crises systémiques. La crise actuelle est évidemment autre chose qu'une crise périodique : c'est de toute évidence une crise de régulation, autrement dit : une crise de la forme néolibérale du capitalisme. Mais celle-ci est suffisamment profonde pour contenir les éléments d'une crise systémique.
Les fractures européennes : La montée des nationalismes et de l'euroscepticisme en Europe conduisent à un continent morcelé et fracturé.
Avec Christian Makarian, directeur délégué de la rédaction de l'Express.
(ré)écouter cette émissiondisponible jusqu'au 21/01/2019 04h06
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le capitalisme est le règne d'une extorsion invisible, il s'accapare la production collective au profit du détenteur du capital ( capitaliste). Pour cela au court de l'histoire remplaçant la monarchie il se base sur cette idée originellement subjective de propriété privée des moyens de production afin que cette minorité d'exploiteurs vivent sur le travail et les dépenses du plus grand nombre ( le prolétariat ou pour faire court le peuple) ;
L'Europe en ce moment ? C'est le bordel ! Entre le gouvernement belge qui se dissout deux mois avant que le plat pays prenne la tête de la présidence tournante de l'UE, les rumeurs de démission de Mrs. PESC Lady Ashton et la crise grecque qui place les membres de la zone euro face à leurs contradictions, beaucoup d'entre-nous tournent le dos à l'europhilie naïve. Du coup, le discours de Lukas Reimann, l'intransigeant eurosceptique suisse ( membre du TEAM : risque de développement des mouvements nationalistes et racistes ( voir Politiquement incorrects : la nouvelle droite radicale en Europe ), se retrouve aussi dans la bouche de jeunes européens, et c'est la cohésion de l'Europe, de plus en plus divisée entre les PIIGS et les Etats solvables, qu
Je suis assez d'accord avec Pierre Laurent Pierre Laurent : "Une sortie de la zone euro n'empêche pas la pression des marchés"
« C'est un débat qui existe dans la gauche européenne et dans la gauche française, c'est évident. Je crois que la leçon qu'il faut tirer de ce qui s'est passé, c'est qu'il n'y a pas de solution à la crise avec le maintien des politiques européennes actuelles. Et une sortie de la zone euro laisserait n'importe quel pays qui la pratiquerait devant la même pression des marchés financiers, voire une pression décuplée et une dévaluation nationale plus grave encore. Une sortie de la zone euro, sans changement des politiques européennes de manière générale, risquerait aujourd'hui de déboucher pour un peuple, à la fois sur la sortie et à la fois sur des politiques d'austérité »
« Puisque les solutions apportées par Tsipras étaient totalement viables et elles restent praticables dans la zone euro. Ce n'est pas la zone euro qui les empêche mais la décision politique prise par les dirigeants allemands et un certain nombre d'autres dirigeants européens de rendre impossible l'expérience politique de Syriza. Aujourd'hui, ils en ont même rajouté dans la punition financière, économique et politique, pour continuer à faire cette démonstration. Une des grandes leçons de ce qui s'est passé est que la France, lorsqu'elle a mis tout son poids dans la balance pour empêcher le Grexit qui était ouvertement réclamé par les Allemands, a réussi son entreprise. Le problème est que le président de la République n'a pas utilisé cette capacité de faire bouger les lignes pour impulser une véritable alternative »
L'économie, mode d'emploi Qu'est ce que la spéculation ? - YouTube
Exploitation des rumeurs
Ces stratégies «gagnant gagnant» ne marchent pas toujours. L'un des plus célèbres gestionnaires de «hedge funds», John Paulson, qui a beaucoup gagné en misant contre les «subprime» en 2008, se retrouve aujourd'hui en grande difficulté. En début d'année, il affirmait sa confiance dans les actions. Une erreur qui lui coûte cher : selon Bloomberg, son fonds principal aurait perdu 11 % lors de la première semaine d'août. Et la contre-performance atteindrait 31 % depuis janvier. Mais cette bête blessée peut encore faire mal : «un fonds en difficulté profite toujours des périodes troublées, comme celle que nous vivons en ce moment, pour se refaire : il exploite les moindres rumeurs pour entraîner les marchés derrière lui» , confie, amer, un banquier français.
Voir la vidéo Ils font autrement (2): vivre sans l'euro - no Dailymotion
Le journal Les Echos reste confiant et, sur les marchés, tout va pour le mieux. Les Echos évoque une hausse du taux directeur de la Fed dès septembre et estime qu'il s'agirait "d'un facteur de tension".
Économiste et professeur à Sciences-Po, Jacques Généreux était vendredi l'invité de Parlons net , l'émission de France Info en partenariat avec lepoint.fr et d'autres grands sites d'information. Pour celui qui a quitté le PS et rejoint le Parti de gauche, le plan européen pour sauver l'euro est une aberration. Les gouvernements auraient dû accompagner leur plan de sauvetage d'une série de mesures fortes pour s'attaquer aux spéculateurs. Quant aux plans de rigueur que mettent en place les gouvernements européens, ils ne sont destinés qu'à faire plaisir aux marchés.
ÉCOUTEZ - Jacques Généreux à propos du plan de secours européen ( durée 1'04''35"') L'économiste montre que dans des situation comme celle-ci, on aimerait bien que cela se traduise par un report des votes a gauche, malheureusement cela se traduit par une montée du fasciste ( voir Politiquement incorrects : la nouvelle droite radicale en Europe) .
Pour tout les populistes, les souverainistes de droite ou de gauche qui s'imagine que des politiques souverainistes comme la sortir de la zone euro permettrait de régler les problématiques liés aux systeme capitalistes est contredit dans ce très bon docu-fiction.
Bye Bye L'Euro Documentaire 2015
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Un scenario dans lequel la France sortirait de la zone euro est-il possible ? Est-il souhaitable ? Que se passerait-il si le franc circulait à nouveau dans l'Hexagone, comme le veulent certains économistes et certains hommes politiques ? Ce documentaire met en scène une situation fictive : l'abandon par l'Italie, puis par la France, de la monnaie que l'Europe a mis plus de 20 ans à construire. Des intervenants, personnalités de premier plan ou anonymes, se sont prêtés au jeu et ont tenté de répondre aux interrogations que susciterait un tel changement. Quelles conséquences sur la vie quotidiennes et sur l'économie ? Les participants tentent d'imaginer quelle serait leur réaction.
Que se passerait-il si la France sortait de l'euro ? Ce « documentaire fictif » imagine le scénario et nous plonge, façon film d'anticipation, dans cette grande inconnue — rien, dans les traités européens, ne prévoit le cas de figure. Agrémenté de vrais-faux reportages et interviews (avec des politiques, des économistes, des citoyens), le procédé est concret et percutant, même s'il présente trop souvent ses hypothèses comme des vérités absolues, oubliant que l'économie n'est pas une science exacte.
N'empêche, la mécanique décrite est passionnante — et glaçante : avec la sortie de l'euro, la France s'exposerait à une dévaluation brutale, à une perte de pouvoir d'achat, à une hausse de la dette et à une explosion du chômage. Et encore, cela ne serait que la partie « paisible et aimable », prévient l'ex-ministre François Baroin qui, à Bercy, avait commandé une étude sur le coût de la sortie de la Grèce de la zone euro. Car il faudrait également compter sur la défiance des marchés financiers, la spéculation contre la France, les troubles sociaux et politiques à l'intérieur même du pays. Un scénario infernal, à mille lieues des projections controversées du Front national, qui fait de l'abandon de la monnaie européenne la pierre angulaire de son programme économique. — Lucas Armati
Suivi, à 21h35, d'un débat animé par Jean-Pierre Gratien.
Lucas Armati
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L'euro peut-il disparaître ? Séminaire de La Règle Du Jeu :http://www.dailymotion.com/video/xm6zvm_l-euro-peut-il-disparaitre-seminaire-de-la-regle-du-jeu_news"> : L'euro peut-il disparaître ? »
France 2 | Envoyé special | Espagne : la faillite ?
Finalement, l'évolution de l'euro depuis sa création n'est autre que le reflet des néolibérauxx et de ses limites : à savoir son incapacité à se limiter et s'auto-réguler pour rester dans les "clous", essentiels à la survie de l'euro et par la même du capitaliste néolibéral.
Après un retour de quelques espoirs, l'Europe se heurte à nouveau à une énorme déconvenue avec le refus par la Slovaquie, étant tout à fait périphérique pourtant, de participer au sauvetage de la Grèce. Cela montre encore une fois qu'il n'y aura à terme que deux alternatives possibles : soit arrêter cette construction européenne et des lendemain plus dure, soit aller vers un une nationalisation des banques dans un premier temps, mais durable et définiif avec une refonte de la structure
s banques cliquez ici
Le constat est sans appel, nous n'avons pas le choix sauf a vouloir reporter le problème en l'amplifiant
Trois semaines...
C'est le temps que se donne Angela Merkel et Nicolas Sarkozy pour régler les problèmes de la zone euro.
On reconnaît bien là notre hyperactif-président, qui illustre une nouvelle fois l'incompétence chronique de la classe politique à traiter les problèmes de fond. Malgré les beaux discours, rien n'est réglé. Pire la situation se dégrade, tout comme les notes des établissements bancaires espagnoles, grecs et portugais.
Vous pensez que les agences de notation exagèrent ? Moi non.
◊ Un château de cartes prêt à s'effondrer
Extrait du New York Times, montre à lui seul l'étendu du problème.
Constat n°1 : la Grèce ne représente pas grand-chose par rapport aux créances des autres pays.Constat n°2 : la France n'a pas chômé sur le terrain des obligations pendant ces dix dernières années !L'Espagne est le plus gros créancier de son voisin portugais avec près de 30% de la dette détenue. La France et l'Allemagne ne sont pas en reste avec 15% chacun, soit tout de même 45 à 47 milliards de dollars.
Là où les choses se compliquent, c'est quand on regarde les créanciers de l'Espagne. Là aussi, le couple Franco-Allemand se distingue avec 458 milliards de dettes (oui, vous avez bien lu) soit 40% de la dette espagnole globale. Pour comparaison, l'exposition de la France à la dette grecque est de "seulement" 75 milliards. L'Espagne et le Portugal ont été dégradés, ce qui signifie que leurs prêteurs (nous) sont aussi impactés.
Mais là où la France arrive en tête, c'est avec nos amis Italiens dont nous détenons plus de 500 milliards de dettes soit près de 20% de la dette globale !
Ce château de cartes est désormais prêt à s'effondrer alors que les agences de notations dégradent chaque jour de nouvelles institutions et soufflent sur cet équilibre fragile. D'ailleurs les perspectives de croissance sont revues à la baisse chaque jour en zone euro et la récession paraît désormais inévitable pour 2012.
Dans ce contexte de tensions économiques et politiques, l'euro est clairement le moins bien armé pour résister.
Le problème est le systeme capitalise dont l'état n'est pas la solution, mais le garant ( le problème) . Le probleme est la domination que mette en pllace les dominants dans tout les parties de la sociétés ( culture, travail : « lean management »....). Les force armées ne sont que le bras armée du capital ( Alire L(in)sécurité : Un champ de bataille ( 2), L'empilement des lois antiterroristes ///) Rappeler vous le célèbre discours de François Hollande
Les marchés financiers ont un visage, par Geoffrey Geuens ...
Selon Le Monde : " La City de Londres paye le sabotage du projet européen"
La City de Londres ne sait plus, depuis le Brexit, à quel saint se vouer, tant ce vote signe irrémédiablement son déclin. Mais elle devrait d'abord faire son examen de conscience : n'est-elle pour rien dans le remplacement dans les esprits des valeurs de solidarité par celles de la concurrence, de la compétition forcenée, de la compétitivité – l'autre nom de la guerre de tous contre tous sur le marché de l'emploi ?
Car c'est bien la sacro-sainte « compétitivité » prônée par la City et ses relais idéologiques qui a poussé les Britanniques à voir d'abord dans les flux migratoires, plutôt que l'apport en forces vives qu'ils sont avant tout pour leur nation, les concurrents qui les priveront bientôt d'emploi dans la foire d'empoigne qu'est devenu le monde du travail. Qui a voté pour le Brexit, sinon ceux qui se croient menacés par les migrants ?
Ce n'est donc pas en réalité l'Europe en tant que telle qui est la cause du malheur des peuples, mais l'idéologie ultralibérale de ceux qui la dirigent et qui, au lieu d'unir les nations dans...
Le grand gagnant du Brexit est... New York !
Alors que Paris, Francfort ou Amsterdam rivalisent d'ingéniosité pour devenir le premier centre financier européen, il apparaît que New York pourrait être le grand bénéficiaire du Brexit.
« Les grands gagnants du Brexit seront New York et les Etats-Unis, a récemment affirmé le PDG de Morgan Stanley, James Gorman, lors d'une conférence à Washington. Nous assisterons à davantage de transfert d'activité à New York. » « Il est impossible qu'il y ait dans l'Union européenne un centre avec l'infrastructure et le dispositif réglementaire pour reprendre le rôle de Londres [notamment sur les marchés de capitaux], soutient John Nelson, président de Lloyd's à Londres. Il y a une seule ville au monde qui en est doté, et c'est New York. »
Même son de cloche chez Xavier Rolet, le patron de la Bourse de Londres. Dans une interview au Telegraph, il a clairement indiqué qu'un seul autre centre financier est en mesure d'assurer les activités de compensation en euro de manière centralisée et sécurisée pour les 17 grandes devises : ce n'est ni Paris, ni Francfort, ni Amsterdam, mais bel et bien New York
Des limites
La ville américaine, qui abrite déjà les activités de Wall Street, dispose de la profondeur de marché, de la largeur d'expertise et de l'attrait réglementaire de La City. D'ailleurs, un grand nom de Wall Street a déjà relocalisé une partie de son activité londonienne, et finira par rapatrier le personnel non indispensable en Europe vers les Etats-Unis ou l'Asie, indique l'agence Bloomberg, en citant un banquier, qui a requis l'anonymat en raison du caractère confidentiel du plan.
Mais il y a des limites au transfert d'activité. La première est la nécessité de garder un pied sur le Vieux Continent et un accès à ses 450 millions d'habitants. La deuxième est le décalage horaire. La troisième, la perte de temps, et donc d'argent, liée au transfert d'activité. Enfin, la quatrième réside dans les différences culturelles. Une banque installée à l'étranger aura plus de difficultés à comprendre les spécificités d'une entreprise européenne. De tout cela découle que certains établissements pourraient conserver quelques activités sur le Continent, mais uniquement dans le but de satisfaire aux règles d'accès au marché unique
La plupart des investisseurs se détournent des obligations européennes. Le président de la Chine Investment Corp., Gao Xiqing, a déclaré : "Nous sommes toujours à la recherche d'opportunité en Europe, même si nous ne souhaitons plus acheter d'obligations souveraines européennes". La Chine n'est pas la seule à fuir. De nombreux fonds américains – et même européens – ont annoncé s'être désengagés ou avoir fortement réduits leur exposition aux obligations de la zone euro.
A lire Le grand gagnant du Brexit est... New York ! ACTUALITÉS DES MARCHÉS dans INVESTIR.FR | LE 17/10/16
Un autre scénario fiction :
On vous aura prévenu - l'indigné révolté - Skyrock.com
« La Présidente »: une bande dessinée où Marine Le Pen prend les rennes du pays
la publication de Le Comptoir.
Nicolas Hernandez" Frédéric lordon se dit dans les économiste altérés, mais je trouve que l'on met dedans tout.... C'est assez vaste. En gros, ils réflechissent à comment réinventer l'économie face à "l'ideologie dominante" du néolibéralisme véhiculé par les principaux magazines répétant souvent les mêmes sources. Si le constats peut être juste, la réponse ne l'ai pas forcément. Frédéric Lordon se revandique de Spinoza mais aussi d'un souverainiste de gauche. C'est son souverainisme qui me gène le plus ainsi qu'une volonté de récuérer les mouvements sociaux.Il est membre du CNRS et écris régulièrement dans le monde diplomatique ou il a un blog"
Nuit Debout nous donne l'occasion de publier, en partenariat avec plusieurs autres groupes et sites antifascistes, un dossier qui se veut aussi exhaustif que possible sur la galaxie citoyenniste, ses réseaux et ses errements idéologiques. Vous trouverez ci-dessous son sommaire avec des liens cliquables afin de naviguer à l'intérieur aussi aisément que possible. Fruit d'un travail intense qui nous a occupés depuis un mois, nous tenons à remercier tous les camarades qui nous ont aidé à réunir la documentation nécessaire. Bonne lecture !
Au sommaire de ce dossier :
Introduction
La Genèse : une opération d'auto-promotion initiée par François Ruffin et Frédéric Lordon
Fakir ou le journal de bord d'un réac
Frédéric Lordon ou la virtuosité bavarde d'un social-chauvin
> « Le protectionnisme, ça nous fait gerber »
Extrait
Chez Frédéric Lordon, on observe depuis quelques années une tendance poussée à vouloir se positionner sur le marché – bien vide il faut le dire – des intellectuels engagés. Mais cette stratégie s'est accélérée ces dernières semaines. Il faut dire que Lordon a beaucoup d'atouts pour rencontrer du succès : ses analyses faussement impertinentes écrites tantôt sur le ton de l'humour, tantôt à coup de locutions latines peuvent séduire un public de petits intellectuels en mal de vraie-fausse radicalité.
D'économiste atterré, groupe de néokeynésiens qualifiés ironiquement « d'économistes chagrinés »par la marxiste Mylène Gaulard, le personnage s'est ainsi mu en philosophe auto-proclamé, à grands jets de brouillard conceptuels capables de faire illusion
" Lordon, derrière une rhétorique volontiers absconse, défend en fait des idées simples, pour ne pas dire simplistes : la nation et l'Etat c'est bien, l'internationalisme et l'anarchisme c'est mal. De l'Etat-nation, il donne d'ailleurs une définition si extensive qu'elle en interdit toute critique matérialiste en tant que construction historique intimement liée au développement du capitalisme, dont l'Etat-nation est le bras armé. Pour Lordon, l'Etat est déjà en développement dans la moindre communauté humaine, on pourrait dire qu'il existe en tous temps et en tous lieux.
" : Frédéric lordon se dit dans les économiste altérés, mais je trouve que l'on met dedans tout.... C'est assez vaste. En gros, ils réflechissent à comment réinventer l'économie face à "l'ideologie dominante" du néolibéralisme véhiculé par les principaux magazines répétant souvent les mêmes sources. Si le constats peut être juste, la réponse ne l'ai pas forcément. Frédéric Lordon se revandique de Spinoza mais aussi d'un souverainiste de gauche. C'est son souverainisme qui me gène le plus ainsi qu'une volonté de récuérer les mouvements sociaux.Il est membre du CNRS et écris régulièrement dans le monde diplomatique ou il a un blog"
« Le protectionnisme, ça nous fait gerber »
Le protectionnisme, ce n'est rien d'autre que le fait de remettre du libéralisme à l'échelle du territoire légal sur lequel s'abat la prédation d'une bourgeoisie donnée. Le protectionnisme n'a jamais protégé les travailleur-e-s, il a toujours protégé le patronat et la bourgeoisie du pays donné. Ruffin, en ardant promoteur du protectionnisme, prétend se mettre aux côtés de la classe ouvrière tout en étant son farouche ennemi. Ce sont souvent les pires.
ce qui nous fait dire "la propriété c'est le vol!"
Pour notre part, nous voulons la liberté et l'égalité économique et sociale , ce qui signifie abolition du capitalisme ( propriété privée) afin que la production soit géré collectivement ( autogestion) par la base; ce qui signifie que l'économie doit être orienté par les besoins et non par l'idée de profit source de misère et de massacre:
cela sous entend la mise en commun des outils de production.
La solidarité contre la concurrence
l'anarchosyndicalisme comme moyen
le communisme anarchiste comme but
Et si l'on en juge par la manière dont les choses se sont passées dans d'autres pays, vous pouvez probablement vous attendre à de nouvelles mesures d'austérité... voire un passage sous la tutelle du FMI et Goldman Sachs et des agences de notations ( agences de notation sont les dictateurs de l'Occident). Et tout cela pourrait naturellement s'accompagner de manifestations et de soulèvement populaire comme on en a constaté à Athènes, en Italie ou à Londres.
Mémoire d'un Saccage - L'effondrement de l'Argentine
La Finance imaginaire , "
Marc Ogeret - Faut Plus d'Gouvernement
> Bye bye l'euro - >Ella Cerfontaine
Mardi 26 avril de 20:30 à 21:25 sur La Chaîne parlementaire LCP
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"Paradis fiscaux : le casse du siècle" u
enquête Panama Papers
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"Le Pen présidente... On nous aura prévenus" Le 13 décembre 2015 à 15h01 par Citizen Khane
Le Pen présidente... On nous aura prévenus |Par Enkolo dans Accueil le 27 Décembre 2015 à 21:19
IMPOSTURES, IMPOSTURES D'EXTRÊME DROITE, IMPOSTURES DE GÔCHE, LES ENRAGÉ-E-S
RUFFIN ET LORDON, UNE NUIT À DORMIR DEBOUT
23 AVRIL 2016 LESENRAGÉS
la publication de Le Comptoir.
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Bye Bye L'Euro : citoyen actif
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Sur le blog citoyenactif : Bye Bye L'Euro, Les fractures européennes, contre le fascisme sous toutes ces formes
Sur mon blog : contre le fascisme sous toutes ces formes
En savoir plus Les nouveaux rois des marchés... , réforme de Wall Street essuie un premier revers au Sénat, Warren Buffett soutient Goldman Sachs et son patron , L'effondrement du dollar fera exploser le système monétaire global ..., L'effondrement du dollar fera exploser le système monétaire global ..., 2009, année de la faillite du système monétaire mondial ( alterinfo)
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