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1 article taggé Mathieu Plane

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Le basculement du monde


 
 
 
 
 
 
Le basculement du monde
 
 
 
 
 
 
PAUVRETÉ  (51).
L'austérité, c'est quand la finance internationale contraint les élus à appauvrir le peuple pour enrichir les banques.  Romain Guilleaumes  (L'Amanite humanoïde)
 

La pauvreté est une compagne ardente et redoutable ; elle est la plus vieille noblesse du monde. Bien peu sont dignes d'elle.  André Suarès  (Péguy)


 

Le basculement du monde :
Pourquoi parler de "crise" ? Pourquoi parler de crise ?Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États. cf : pensée complotiste d'A. Soral, théorie du complot
 
une photo de L'Info Autrement.


 
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
 
Le basculement du monde
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.

Le basculement du monde : De nombreuses études estiment que l'économie européenne est entrée en déclin. Elles divergent pourtant lorsqu'elles pronostiquent l'état de notre planète vers 2050. Synthèse...
 
L'économie mondiale est en passe d'entrer dans une nouvelle ère. Ainsi, en septembre 2010, une étude du groupe d'assurance allemand Allianz dressait un constat étonnant : la classe moyenne mondiale (1) avait triplé en dix ans. Elle se chiffrait à 200 millions de personnes en 2000, contre 565 millions aujourd'hui. Et sur ce total, la moitié vit aujourd'hui dans des pays émergents : 130 millions en Chine, 40 millions au Brésil... 
La tectonique économique : Cette étude apporte avec bien d'autres l'indice d'un changement de cap mondial. Après deux siècles d'hégémonie occidentale, assisterait-on au déclin de l'Occident ? C'est en tout cas ce que laisse entendre un rapport intitulé Le Basculement de la richesse. Dirigé par Johannes Jütting, économiste à l'OCDE, ce document prolonge l'analyse du précédent. Si la classe moyenne mondiale a considérablement augmenté ces dernières années au bénéfice de ce que l'on appelait autrefois le tiers-monde, ce n'est rien à côté de ce qui y est projeté : « En 2050, prédit J. Jütting, 50 % de la consommation globale du monde sera le fait des Chinois et des Indiens contre 10 % actuellement. » Pour l'immédiat,
 
« Nous allons assister au retour de l'Asie »
Le grand basculement des pouvoirs économiques : les projections ...
Basculement de l'économie : citoyen actif
 
L'internationalisation du renminbi se poursuit à marche forcée





Traité budgétaire : comment il va nous mettre à l'heure allemande

Source : Capital
04/12/2012 à

Le basculement du monde




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© REA

Ses opposants ont raison de le clamer : avec ce nouveau pacte européen, nous n'aurons plus les mains libres pour élaborer notre budget. Mais ce n'est peut-être pas plus mal...

Elle a le sourire, Angela. Depuis quelques semaines, la chancelière allemande confie régulièrement à ses ministres : «Cette fois, on tient le bon bout.» Il est vrai qu'elle a de quoi se réjouir. La majorité des Etats de la zone euro ont, comme nous, adopté le pacte budgétaire européen, censé entrer en vigueur le 1er janvier prochain. Pour certains, il s'agit d'une excellente nouvelle. «L'Europe va être enfin dotée d'un mécanisme antidérapages sérieux», se réjouit ainsi l'économiste Charles Wyplosz. Pour d'autres, la règle d'or que ce texte impose n'est qu'un diktat germanique, qui nous condamnera à «l'austérité perpétuelle». Qui croire ? Ces pages devraient vous permettre d'y voir un peu plus clair, dans ce dossier bien plus complexe qu'il n'y paraît.
 
Le pacte va-t-il vraiment révolutionner notre procédure budgétaire ?
Oui. D'abord, bien sûr, parce qu'il va nous contraindre à respecter la fameuse règle d'or, qui limite à 0,5% le déficit structurel de nos finances publiques. Nous aurons, certes, quelques années pour atteindre ce seuil (on en est loin aujourd'hui). Mais ensuite, il faudra le tenir. «Nous ne pourrons plus concevoir notre budget comme nous l'entendrons», confirme Jean-Luc Proutat, de BNP Paribas.

Pour faire bonne mesure, le gouvernement devra à deux reprises au moins (en avril et en octobre) présenter son projet de loi de finances à Bruxelles. La Commission et le Conseil européen discuteront avec lui des mesures à prendre pour tenir les objectifs. Et, le cas échéant, des «mécanismes de correction automatique» à activer si, pour des raisons de mauvaise conjoncture, le budget se mettait à déraper en cours d'année. Ils ne lui présenteront, certes, que des suggestions. Mais si Bercy n'en tient pas compte et que notre pays sort des clous en fin d'exercice, la France risquera de lourdes sanctions (lire plus loin). «En somme, nous pourrons encore choisir quels impôts et dépenses modifier mais, pour le reste, on ne pourra plus rien décider sans l'aval de Bruxelles», résume Jean-Luc Proutat. «C'est vrai, concède Christophe Caresche, député PS rapporteur du projet de loi de ratification du traité. Mais c'est le prix à payer pour sauver l'euro.»
 
Nous condamnera-t-il à la rigueur perpétuelle ?
Non. Le traité offre en réalité bien plus de souplesse que ses détracteurs ne veulent le reconnaître. Il précise en effet que la règle d'or pourra être suspendue en cas de «circonstances exceptionnelles» et, notamment, de «grave récession économique». Comme celle que nous traversons aujourd'hui... En d'autres termes, les gouvernements pourront très bien faire dériver leurs déficits au-delà de 0,5% du PIB pour financer des mesures de soutien à la consommation, comme les primes à la casse. Ce n'est qu'une fois la croissance revenue qu'ils devront ­reprendre leurs efforts.
 
Ajoutons qu'à y regarder de près la règle d'or est bien mieux conçue que les principes de Maastricht. Elle s'affranchit en effet de la notion de déficit ­public classique pour lui préférer celle de déficit structurel. «C'est un concept bien plus pertinent pour la politique économique», observe Maurice Baslé, de l'université de Rennes. A la différence du premier, le déficit structurel ne prend pas en compte les variations de dépenses et recettes publiques engendrées par la conjoncture, comme la hausse des allo­cations chômage versées pendant les récessions. Ainsi, lorsque notre déficit public est monté à 7,1% du PIB en 2010, le déficit structurel, lui, s'établissait à seulement 5,2%.
 
Problème : personne n'est d'accord sur la façon de calculer ce dernier. Comment, au juste, réussir à isoler précisément la part du déficit liée à la conjoncture ? «C'est l'un des exercices les plus compliqués qui soient», reconnaît Mathieu Plane, de l'OFCE. Pour y parvenir tant bien que mal, les économistes mesurent l'écart entre la croissance réelle et la «croissance potentielle» (celle que le pays enregistrerait en dehors de toute crise, quand ses usines tournent à plein). Mais comme aucun institut de prévision n'utilise le même modèle mathématique, tous aboutissent à des estimations de déficit structurel très différentes. Pour la Commission, le nôtre s'établit aujourd'hui à 4,1% du PIB, la Cour des comptes le voit plutôt à 3,9%, tandis que Bercy jure qu'il ne dépasse pas 3,7%...
 
A ce petit jeu, le gouvernement choisit évidemment toujours les chiffres qui lui sont le plus favorables. «Il fait cela ­depuis des années et sera tenté de continuer», pronostique François Ecalle, spécialiste des finances publiques à Paris-I. Pas sûr cependant que les intraitables de Bruxelles acceptent de se ranger à ses estimations...
 

 
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  Le contrôle du Haut Conseil des finances publiques sera-t-il efficace ?
On peut l'espérer. Certes, Bercy, effrayé à l'idée que ce gendarme ne lui mette des bâtons dans les roues, a discrètement ½uvré pour en limiter les prérogatives. Les avis du Haut Conseil seront ainsi simplement consultatifs et il n'aura pas de pouvoir d'initiative, contrairement à son homologue suédois (lire l'encadré ci-contre). Il ne pourra vérifier les comptes qu'avant la validation de la loi de finances et une seule fois, à mi-parcours de son application.
 
En dépit de cette faiblesse congénitale, la nouvelle instance disposera tout de même de puissants moyens d'action. Elle pourra pointer du doigt les éventuelles astuces comptables de Bercy pour réduire artificiellement le déficit avant qu'elles ne soient actées. Jusqu'ici, la Cour des comptes ne les dénonçait qu'a posteriori. «L'impact médiatique sera bien plus fort, se réjouit un sage de l'institution. Cela devrait pousser les gouvernements à arrêter une fois pour toutes les bidouilles.»
 

Le Haut Conseil pourra également taper du poing sur la table lorsqu'il jugera les prévisions de croissance officielles trop optimistes. «Bercy sera obligé de plier pour ne pas se ridiculiser», souffle-t-on à la Cour. Aujourd'hui, la vigie aurait par exemple exigé que le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, construise sa loi de finances 2013 sur une hypothèse de croissance de 0,4% (retenue par la majorité des économistes) et non de 0,8%.
 
Naturellement, il faudra pour cela que ses membres n'aient pas peur du conflit avec l'exécutif. Son futur président sera ­celui de la Cour des comptes, Didier ­Migaud, dont le franc-parler fait l'unanimité. Il choisira quatre des membres au sein de son institution, quatre autres seront nommés par les députés et les sénateurs, les deux derniers étant le patron de l'Insee et celui du Conseil économique et social. «Si, dès leur entrée en fonction, les nouveaux gendarmes se montrent combatifs, leurs successeurs suivront le mouvement», analyse Charles Wyplosz. S'ils sont trop dociles, il sera dur de relever la barre après.
 
Sur quoi les Allemands ont-ils cédé en échange de la signature du traité ?
Ils ont d'abord accepté la création du Mécanisme européen de stabilité (MES). Ce «FMI du Vieux Continent», d'une ­capacité de prêts de 700 milliards d'euros, pourra accorder des ai­des financières aux pays en dif­ficulté, via des prêts et prises de participation dans les banques. Seuls les Etats qui ont signé le pacte pourront en profiter.
 
Nos voisins d'outre-Rhin ont ensuite donné leur feu vert à la BCE pour qu'elle rachète aux banques, sans condition ni limite, les obligations souveraines (de 1 à 3 ans) déjà émises par les Etats en difficulté. Dès son annonce, cette mesure a d'ailleurs fait chuter l'échange de produits spéculatifs (les CDS) sur les dettes espagnole et italienne. «Comme les pays membres ont enfin affirmé qu'ils ne laisseraient jamais tomber aucun des leurs, les hedge funds n'ont plus intérêt à parier sur l'explosion de l'euro», décrypte Jean-Christophe Caffet, de Natixis.
 


 
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contrôle du Haut Conseil des finances publiques sera-t-il efficace ?
 
Une pieuvre nommée Bercy extrait - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=4pK8ddkcAQ8


On peut l'espérer. Certes, Bercy, effrayé à l'idée que ce gendarme ne lui mette des bâtons dans les roues, a discrètement ½uvré pour en limiter les prérogatives. Les avis du Haut Conseil seront ainsi simplement consultatifs et il n'aura pas de pouvoir d'initiative, contrairement à son homologue suédois (lire l'encadré ci-contre). Il ne pourra vérifier les comptes qu'avant la validation de la loi de finances et une seule fois, à mi-parcours de son application.
 
pieuvre nommée Bercy - YouTube :
 
 

 
 
 

 
 
En dépit de cette faiblesse congénitale, la nouvelle instance disposera tout de même de puissants moyens d'action. Elle pourra pointer du doigt les éventuelles astuces comptables de Bercy pour réduire artificiellement le déficit avant qu'elles ne soient actées. Jusqu'ici, la Cour des comptes ne les dénonçait qu'a posteriori. «L'impact médiatique sera bien plus fort, se réjouit un sage de l'institution. Cela devrait pousser les gouvernements à arrêter une fois pour toutes les bidouilles.»
 
Le Haut Conseil pourra également taper du poing sur la table lorsqu'il jugera les prévisions de croissance officielles trop optimistes. «Bercy sera obligé de plier pour ne pas se ridiculiser», souffle-t-on à la Cour. Aujourd'hui, la vigie aurait par exemple exigé que le ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, construise sa loi de finances 2013 sur une hypothèse de croissance de 0,4% (retenue par la majorité des économistes) et non de 0,8%.
 
Naturellement, il faudra pour cela que ses membres n'aient pas peur du conflit avec l'exécutif. Son futur président sera ­celui de la Cour des comptes, Didier ­Migaud, dont le franc-parler fait l'unanimité. Il choisira quatre des membres au sein de son institution, quatre autres seront nommés par les députés et les sénateurs, les deux derniers étant le patron de l'Insee et celui du Conseil économique et social. «Si, dès leur entrée en fonction, les nouveaux gendarmes se montrent combatifs, leurs successeurs suivront le mouvement», analyse Charles Wyplosz. S'ils sont trop dociles, il sera dur de relever la barre après.
 
Sur quoi les Allemands ont-ils cédé en échange de la signature du traité ?
Ils ont d'abord accepté la création du Mécanisme européen de stabilité (MES). Ce «FMI du Vieux Continent», d'une ­capacité de prêts de 700 milliards d'euros, pourra accorder des ai­des financières aux pays en dif­ficulté, via des prêts et prises de participation dans les banques. Seuls les Etats qui ont signé le pacte pourront en profiter.
 
Nos voisins d'outre-Rhin ont ensuite donné leur feu vert à la BCE pour qu'elle rachète aux banques, sans condition ni limite, les obligations souveraines (de 1 à 3 ans) déjà émises par les Etats en difficulté. Dès son annonce, cette mesure a d'ailleurs fait chuter l'échange de produits spéculatifs (les CDS) sur les dettes espagnole et italienne. «Comme les pays membres ont enfin affirmé qu'ils ne laisseraient jamais tomber aucun des leurs, les hedge funds n'ont plus intérêt à parier sur l'explosion de l'euro», décrypte Jean-Christophe Caffet, de Natixis.
 

 
 

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Coluche président (secrets d'acualité) 1/3 - YouTube : 
 
 

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#Posté le vendredi 14 décembre 2012 05:35

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