Mon article va commencer par un article intitulé La Grèce bientôt privée d'électricité ? « Je décrirais plutôt la globalisation comme la liberté pour mon groupe d'investir où il veut pour le délai qu'il veut, de produire ce qu'il veut, de rechercher ses matières premières où il veut et de vendre ses produits où il veut, en s'embarrassant le moins possible des droits des travailleurs et des accords sociaux »." PDF] Pierre Fortin, UQAM.pptm
Percy Barnevik
-qu'il y aura des profits ( Google) :
Ce n'est pas une crise de liquidité, mais de confiance dans le système néolibérale. Du cash, il y en a dans les caisses du patronat. Qu'est ce que c'est... La Baisse tendancielle du Taux de profit ? - tantquil.net « Richard a joué à Euromilllions, et il en a gagné 100. Ce qui permet d'évacuer la question de l'origine du capital, encore appelée accumulation primitive... L'objectif de Richard : le profit. Le capital investi par Richard la première année : 100 million d'euros Mais alors pourquoi absolument maintenir son taux de profit ? Après tout, c'est déjà pas mal, ce qu'il a engrangé ! Conclusion : pour maintenir son capital, il doit en permanence maintenir son taux de profit ; c'est la loi N°1 du capitalisme : la fuite en avant ».
Tant qu'il y aura des profits (Un exemple très flagrant Vincent Bastide, Directeur Général de Bastide Le confort Médical: "Nous allons profiter d'un environnement réglementaire plus stable Pierre Fortin, UQAM.pptm
« La croissance ne se décrète pas, elle se construit Elle se construit ( dans la logique du système) par l'attrait des investisseurs, des réformes sur la compétitivité ou encore la réduction des déficits. Eux préfèrent parler investissement publics, euro-bonds. Bref, endettement ». Elle est tout simplement plus possible dans un monde fini alors que la doctrine néolibérale a besoin d'une croissance infinie Lorsqu'une telle chose se produit, elle peut durer très longtemps.

Crise économique et écologique généralisé : La « restructuration écologique » ne peut qu'aggraver la crise du système. Il est impossible d'éviter une catastrophe climatique sans rompre radicalement avec les méthodes et la logique économique qui y mènent depuis cent cinquante ans. Si on prolonge la tendance actuelle, le PIB mondial sera multiplié par un facteur trois ou quatre d'ici à l'an 2050. Or selon le rapport du Conseil sur le climat de l'ONU, les émissions de CO2 devront diminuer de 85 % jusqu'à cette date pour limiter le réchauffement climatique à2°C au maximum. Au-delà de2°C ( ...) Preuve numéro un : le Japon ! Le Japon a connu suite au Krach de la bulle immobilière et financière, une récession et déflation longue et douloureuse. puis la catastrophe nucléaire de Fukushima a fini de les achevés.,
Une grande partie des japonais connaissent une précarité... ... depuis une génération. Si ça peut arriver aux japonais... est-ce que ça pourrait arriver aux américaines — et occidentales dans leur ensemble ?Bien sûr, pourquoi pas ?
Les Etats-Unis sont déjà “devenus japonais” en ce qui concerne les taux d'intérêt zéro perpétuels. (.... ) gare à la bombe !

▪ La ressemblance avec le modèle Japonais ?
Deux choses.
D'abord, la situation en Europe pourrait se résoudre de manière bien plus grave qu'on l'attend. La Zoneeuro frôle le désastre depuis si longtemps que la plupart des gens pensent qu'elle restera éternellement à la marge...(...) ». L'effondrement de l'Europe pourrait se produire rapidement lui aussi.
Selon les médias, tout le monde se prépare à ce que la Grèce dise auf wiedersehen à l'euro. Mais même une sortie “ordonnée” de la Grèce est estimée à 1 000 milliards de dollars. Et il n'y a pas assez d'argent dans toutes les banques de l'Euroland pour payer une sortie désordonnée.
C'est l'une des raisons pour lesquelles il y a l'Alerte au Krach.
▪ Deuxième cause majeure de krach
L'autre raison majeure est la suivante : toutes les grandes économies de la planète frôlent la récession.
Une récession mondiale soit au dernier trimestre de cette année, soit au début 2013. Si on lui pose la question des probabilités, Faber les met à “100%”.
Cent pour cent, ce n'est pas une probabilité,, selon de nombreuses citations. Cela ressemble à une certitude. Nous doutons qu'une chose puisse être aussi certaine, en économie. Mais disons que les chances d'une “récession mondiale synchronisée ” ne sont que de 50%. Cela met encore une grande marge entre les prix des actions actuels... et un plancher causé par une récession. Nous ne voudrions pas nous tenir dans cette marge, de peur que les marchés ne s'effondrent sur nos têtes.
Chaque jour qui passe nous rapproche de du scénario catastrophe du mardi 22 mai ( cf Facebook).
Chaque jour qui passe confirme l'impuissance et l'absurdité des mensonges derrière lesquels se réfugient les dirigeants Européens depuis l'automne 2008.
Chaque jour qui passe confirme la stratégie de laisser-faire (chère a la doctrine capitaliste d'Adams Smith) — et advienne que pourra — de la BCE... Laquelle attend peut-être de se voir offrir carte blanche pour sauver le monde. « Chaque jour qui passe voit grossir les rangs de ceux qui pensent, avec d'imparables arguments, que la Bourse n'est plus qu'une sorte de casino virtuel. Un champ de bataille numérique où s'affrontent des armées de robots algorithmiques pour lesquels les actions ne sont pas des entreprises opérant dans un monde réel et où les employés ne créent pas de la valeur mais de simples profils mathématiques. Certains titres présentent des niveaux de volatilité intrinsèque et de vulnérabilité des carnets d'ordres qui rendent leurs cours parfaitement manipulables dans des circonstances de “flash krach” tel que celui observé — à la hausse — hier entre 12h59 et 13h01 ».
▪ La guerre des bots est déclarée : Les détails de cette guerre des “bots” échappent à tout contrôle. En effet, tout se joue sur des échelles de temps qui défient l'entendement humain : la milliseconde et même la nanoseconde pour les super-ordinateurs les plus puissants.
Les “bots” sont associés à des logiciels d'analyse lexicale qui scannent toutes les informations disponibles sur Internet, dans pratiquement toutes les langues. C'est pourquoi dès qu'une actualité est identifiée comme un market mover (une info décisive concernant le niveau des taux d'intérêt ou les devises par exemple), cela donne lieu à une unipolarisation immédiate des marchés.
C'est ainsi que s'enclenchent des “flash krach” (Flash Crash de 2010 , parfois nommé tout simplement Flash Crash, fait référence au krach arrivé le 6 mai 2010 aux Etats-Unis) qui peuvent déboucher sur ce nouveau record de 45 points de hausse (entre 3 030 et 3 075 points) sans aucune cotation sur le CAC au cours de l'intervalle 12h59/13h00. Les robots ont réagi en quelques millisecondes à la publication d'une dépêche évoquant un sauvetage collectif des banques européennes via le MES... sauf que les règlements européens interdisent de recourir à un tel procédé. « Un tel écart — pratiquement 1,5% de hausse sans transactions — démontre que la liquidité peut disparaître à la vitesse de la lumière d'un marché représentant des trilliards de capitalisation ».
Tant qu'il y aura des profits... ▪ Le CAC 40 bat un nouveau record
Au delà de ces scores, plusieurs constatations s'imposent, qui sont plutot révélateurs Destruction créatrice' et inondation de liquidités, bulles et crises , privatisation des bénéfices et socialisation... A Wall Street, ce sont les gains de la veille qui ont également été avalés avec une chute de 1,28% du Dow Jones et de 1,43% pour le S&P.. ».
CAC 40 : le printemps des profits
Je fais allusion bien sûr à la chute de l'euro sous les 1,2400 $ puis les 1,2350 hier soir Il s'agit de ce mouvement de cours qui a dominé les conversations dans les salles de marché àla City ou à New York et dont les implications sont les plus lourdes (à la fois pour les détenteurs de bons du Trésor ou d'un portefeuille d'actions) dans une optique de court ou de moyen terme..
Un cercle vicieux « Nous avions passé en revue pas mal d'aspects concrets de la toile de fond macro-économique ces derniers jours sans que ceux-ci semblent avoir d'impact sur l'orientation des marchés. Des stratèges nous expliquaient que plus les nouvelles étaient mauvaises, plus cela augmentait les chances de voir les banques centrales prendre une de ces initiatives dont les marchés raffolent : faire tourner la planche à billets ! » « . Si la Fed — déçue des mauvais chiffres immobiliers parus ces dernières 48 heures et du faible niveau des créations d'emplois en mai — s'apprêtait à injecter massivement de nouvelles liquidités, alors le dollar n'aurait jamais pris 6% au cours des quatre dernières semaines ».
▪ La flambée du dollar suggère que la Fed ne va pas actionner la planche à billets
Autrement dit, la flambée du billet vert suggère que la probabilité de voirla Fed orchestrer un QE3 d'ici la mi-juin est quasi nulle !
La chute symétrique de l'euro alimente en revanche les spéculations sur une baisse du loyer de l'argent en Europe (d'un quart de point à 0,75% par exemple) d'ici une semaine. Et quel impact pourrait avoir une telle mesure ?Aucun ! Néant ! La raison est évidente : cela ne sert plus à rien alors que le 10 ans allemand vient de tomber sous les 1,30% et le deux ans à... 0,00% (voire légèrement négatif). Cela ne fera pas reculer les taux longs italiens plus d'un quart d'heure : ils viennent de franchir le cap des 6% mercredi matin. Cela ne changera rien non plus pour les bonos (c'est leur véritable nom) espagnols : ces derniers s'envolent au-dessus des 6,55%.
Et surtout, une baisse de taux ne résoudrait en rien la principale difficulté du moment qui consiste à recapitaliser les banques ibériques à hauteur de 50 milliards d'euros. Prévoyez à peu près le même montant pour l'an prochain, quand les auditeurs indépendants — mandatés par Mariano Rajoy — auront affiné leurs estimations et publieront leur rapport.
Le Quotidien du Peuple en ligne (Magazine en ligne, organe du Parti communiste chinois) : Intéressant pour comprendre les luttes intérêts et les compromis économique et politique.
LA CITY - LA FINANCE EN EAUX TROUBLES.avi (51 minutes)
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Sauve qui peut ! - Le mien, Sauve qui peut !, Est-ce la crise de la finance, de la dette ou du capitalisme ? - Citoyenactif, mur Facebook), cycle économique ! – Citizen Khane, Sauve qui peut ! - l'indigné, Les mensonges du libéralisme - syti.net ,
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