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Le pays qui n'aimait pas les femmes et les pauvres

 
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Le pays qui n'aimait pas les femmes et les pauvres
 
« Révolution et insurrection ne sont pas synonymes.


La première consiste en un bouleversement de l'ordre établi, du status de l'État ou de la Société, elle n'a donc qu'une portée politique ou sociale.


La seconde entraîne bien comme conséquence inévitable le même renversement des institutions établies, mais là n'est point son but, elle ne procède que du mécontentement des hommes ; elle n'est pas une levée de boucliers, mais l'acte d'individus qui s'élèvent, qui se redressent, sans s'inquiéter des institutions qui vont craquer sous leurs efforts ni de celles qui pourront en résulter.


La révolution avait en vue un régime nouveau, l'insurrection nous mène à ne plus nous laisser régir mais à nous régir nous-mêmes et elle ne fonde pas de brillantes espérances sur les « institutions à venir ». Elle est une lutte contre ce qui est établi, en ce sens que, lorsqu'elle réussit, ce qui est établi s'écroule tout seul. Elle est mon effort pour me dégager du présent qui m'opprime ; et dès que je l'ai abandonné, ce présent est mort et tombe en décomposition. En somme, mon but n'étant pas de renverser ce qui est, mais de m'élever au-dessus de lui [...] » Stirner http://fra.anarchopedia.org/anarchisme_insurrectionnel

 
Lettre de Lucie, militante communiste violée par un fasciste
Posted on 9 septembre 2014 by Antifascistes Anarchistes Autonomes
« Notre camarade Lucie, violée par un fasciste au mois d'aout 2013, souhaite expliquer pourquoi elle ne portera pas plainte. Nous souscrivons bien entendu à cette déclaration et c'est avec fierté que nous la publions. Solidarité avec les victimes de violences policières, avec les prisonnier-e-s !
[...]
Alors c'est pour les violences policières, pour leur politique raciste et coloniale, pour le harcèlement et les violences que subissent les victimes de viol et d'agression sexuelle par la procédure judiciaire, c'est pour tout cela que je dis « NON ».
Non je ne porterai pas plainte.
Non je ne demanderai pas l'aide des flics.
Non je n'ai pas besoin de la reconnaissance de mon statut de victime par la justice bourgeoise.
Non je ne subirais pas les violences d'une procédure.
Non je ne veux pas de tout ça. »
Le reste de la lettre ici.
 
Une étude menée en 2009 par deux chercheurs du CNRS, citée par les parties civiles, a permis d'établir la réalité statistique de leur expérience. L'observation de 525 contrôles d'identité en différents endroits de Paris a montré qu'un Noir et un Arabe ont respectivement 6,2 fois et 7,7 fois plus de risques de se faire contrôler qu'un Blanc.
 
Lire : Le contrôle au faciès à la barre

Les plus partagés  L'Etat condamné pour « faute lourde » après des contrôles au faciès

Les parvenus du pouvoir sont encore plus répugnants et plus dangereux que les parvenus de la propriété. 
Aucun moyen ne leur paraît assez brutal et assez bas contre les membres de leur propre «classe» qui osent ne pas être d'accord avec eux.
R.Rocker, anarcho-syndicaliste allemand
1873-1958



 


 
Violence au pays de Gandhi - bande-annonce ... - YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=yPvKqtd0rkA
 
«La caste est le centre de la démocratie indienne : sa cohésion est assurée par la violence», analyse la militante et écrivaine Arundhati Roy.
Si l'Inde, quatrième économie mondiale, se targue d'embrasser la modernité, elle demeure l'un des pays les plus inégalitaires au monde, en dépit des principes proclamés dans sa Constitution. Hiérarchies et discriminations se maintiennent avec une violence inouïe. La survivance du système de castes à l'échelle du pays et l'omniprésence des abus masculins à l'encontre des femmes, à tous les niveaux de la société, restent des réalités insupportables.
 
Le télérama Au coeur de Bombay se dresse Antilia. Vertigineuse. Démesurée. Du haut de ses vingt-sept étages, la maison la plus chère du monde toise le ciel avec orgueil. A ses pieds, des intouchables fouillent les poubelles. C'est ce jeu de contrastes que Lourdes Picareta a voulu saisir. Contrastes sociaux, contrastes religieux, contrastes entre hommes et femmes... Elle dévoile une Inde fragmentée, comme un puzzle impossible à reconstituer. Une Inde où 1 % de la population se vautre dans la richesse, à quelques mètres des bidonvilles. Une Inde où hindous et musulmans vivent dans des quartiers séparés. Une Inde où les femmes violées sont coupables. Une Inde où le communautarisme mène aux pires violences. « J'entends encore les cris de mon épouse brûlée vive », confie un vieil homme, douze ans après le massacre perpétré par les hindous sur la communauté musulmane du Gujarat.
 
Mais Lourdes Picareta ne se contente pas de dresser le constat, tragique, de ces inégalités et de la violence institutionnalisée qu'elles charrient. Elle en cherche la cause. Dans un pays où six cents millions de personnes meurent de faim, pourquoi n'y a-t-il pas plus d'émeutes ? Pourquoi les intouchables tolèrent-ils une sujétion que condamne pourtant la Constitution ? La réponse est donnée par Jayati Ghosh, professeure d'économie : « La croyance en la réincarnation impose un certain fatalisme : si l'on en est là, c'est parce qu'on a fauté dans la vie précédente, ça ira mieux dans la prochaine. »


. En matière de violence, les images parlent très bien d'elles-mêmes. — Alice Rosenthal
 

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Le pays qui n'aimait pas les femmes -extrait n°1  ! https://www.youtube.com/watch?v=bqkrnS2zlEc, extrait n°2 ,extrait n°3 - YouTube
 
Le télérama : Delhi, Sunita, 25 ans, a quitté son mari après avoir subi ses coups pendant un an - la violence conjugale toucherait 65% des femmes en Inde. Suzanne, 38 ans, vit à Calcutta. Elle a décidé d'aller au bout du procès pour viol qu'elle a engagé à visage découvert. Enfin Gulab Bai, 84 ans, fait partie de ces veuves abandonnées aux rues de Vrindavan, haut lieu de pèlerinage du pays. En Inde, quand le mari meurt, sa femme, sous prétexte qu'elle porte malheur, est mise au ban de la société.
 
En décembre 2012, le viol d'une étudiante dans un bus à New Delhi avait suscité des manifestations dans tout le pays et poussé le gouvernement à modifier la législation. Un sursaut national qui, dans les faits, n'a pourtant pas réellement fait évoluer la condition des femmes. Considérées comme des fardeaux, jugées inutiles, elles sont encore, dans certaines régions, assassinées à la naissance. Et celles qui ont le droit de vivre expérimentent, bien souvent, une existence de sacrifice et d'humiliation.


 

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En 2006, La Malédiction de naître fille (1) , récompensé du prix Albert-Londres, évoquait déjà cette situation révoltante. Ce film brosse un état des lieux similaire, en s'appuyant sur le parcours et la parole de plusieurs femmes d'âges et de milieux différents. Saroj, une petite fille du Rajasthan, sauvée de l'infanticide par une mère qui avait, avant elle, été forcée de sacrifier deux filles. Gadgendra, une courageuse militante qui tente de faire évoluer les mentalités dans les campagnes. Sunita, martyrisée par son mari et sa belle-famille à New Delhi. Suzette, première femme à avoir témoigné à visage découvert dans les médias indiens du viol qu'elle a subi. Et enfin Gulab Bai, une veuve octogénaire devenue mendiante.
 
Une mosaïque de témoignages poignants qui révèle, de manière brutale, les facettes les plus obscurantistes de la société indienne. Seul bémol : il n'était pas nécessaire de mettre en scène, en guise de fil rouge, une voix off censée porter les réflexions imaginaires d'un bébé à naître. Ce procédé artificiel appuie lourdement un propos qui se suffisait à lui-même. — Hélène Marzolf
 

La situation des intouchables en Inde aujourd'hui : https://www.youtube.com/watch?v=Yayhx4-PfTk


 
17/06/2017
 
Le pays qui n'aimait pas les femmes

Tags : documentaire, Le pays qui n'aimait pas les femmes, ARTE, violence, La Malédiction de naître fille, le paradoxe de notre époque, arts & culture, pakistan, inde, gang, rape, asia
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#Posté le mardi 07 juillet 2015 16:09

Modifié le samedi 17 juin 2017 14:38

L'amour violé (


 
 
 
 
 
 
 

 n
 
Yannick Bellon : L'amour violé (1978) Pierre Arditi, Daniel Auteuil, Nathalie  Une femme, infirmière à Grenoble, est violée par des hommes un soir. Poussée par une amie, elle porte plainte pour que l'affaire soit jugée devant un tribunal.  'Amour_violé ">L'amour violé

Inde/viol: tous les suspects arrêtés Par Lefigaro.fr , Le Monde  avec l'AFP le 25/08/2013 
 
La police a arrêté aujourd'hui un cinquième homme, le dernier du groupe accusé du viol collectif d'une photographe à Bombay, une nouvelle agression contre une femme qui a déclenché la colère en Inde. Une équipe de la police de Bombay a arrêté ce dernier suspect dans la capitale New Delh.

Ce viol en réunion dans une ville réputée plus sûre pour les femmes que la capitale New Delhi a déclenché une vague de colère et d'indignation sur les réseaux sociaux, au parlement et parmi les journalistes, qui ont organisé une manifestation
 
Les réactions en Inde, comme dans le monde entier, avaient été sans précédent. Elles avaient donné lieu à plusieurs manifestations de grande ampleur, pendant des semaines, à travers tout le pays. L'opinion publique avait pressé le gouvernement de prendre des mesures concrètes, qui se sont traduites par l'adoption le 21 mars de lois visant à durcir les sanctions pénales en cas de viol. «Elles sont insuffisantes, avaient jugé des experts du Conseil des droits de l'homme de l'ONU. La triste réalité, c'est que les droits de nombreuses femmes en Inde continuent d'être violés en toute impunité comme si c'était la norme.» Selon le National Crime Records bureau du ministère de l'Intérieur, plus de 24.900 cas d'agressions sexuelles envers les femmes ont été enregistrés en 2012, soit 500 de plus qu'en 2011

accusé d'être le cinquième et dernier membre du groupe accusé du viol collectif d'une photographe à Bombay.
 
Lire nos explications sur la politique pénale en Inde
 
 Les sanctions contre le viol renforcées au Parlement
 
 
Lire la tribune de Radha Kapoor-Sharma, professeure de littérature et de civilisation françaises à New Delhi L'Inde doit rompre avec l'impunité du viol

 
Que penser de l'Inde qui a fait la "une" des journaux internationaux pour toutes les mauvaises raisons, de l'Inde qui sait lancer des missiles dans l'espace mais ne sait guère comment créer un espace public sûr pour ses femmes ? Et qu'y a-t-il à dire sinon que j'ai honte ?
 
En tant qu'Indienne, originaire de New Delhi, j'ai mon propre vécu de mains baladeuses dans les bus, de gestes déplacés de la part d'hommes à vélo envers moi, piétonne, sans parler des sifflets ni des remarques obscènes.
 
Le code pénal indien reconnaît le problème par un curieux euphémisme, "Eve teasing", "taquiner Eve", pour désigner le harcèlement sexuel. Seulement, dans l'Inde du XXIe siècle, l'actualité de tous les jours a dépassé de loin cette définition archaïque ; le problème est bien plus grave et s'étend à la violence sexuelle aggravée et au viol, parfois collectif, multiple.
 
Les raisons de cette montée de la violence faite aux femmes sont nombreuses. Le vrai coupable est sans doute la démographie et le manque de femmes. La population de l'Inde est jeune ; 70 % a moins de 35 ans ; plus de 100 millions de personnes sont en âge de se marier ou de vivre en couple.
 
914 FEMMES POUR 1 000 HOMMES DANS LA TRANCHE D'ÂGE DE 0 À 6 ANS
Mais il n'y a pas assez de femmes, ce qui risque d'aggraver le problème dans l'avenir. Ce déséquilibre de proportion entre femmes et hommes (914 femmes pour 1 000 hommes dans la tranche d'âge de 0 à 6 ans) est dû à l'avortement des foetus féminins, pratique résultant de la préférence des familles hindoues pour un fils et un héritier.
 
Et puis, une part de responsabilité revient aux films bollywoodiens et aux séries télévisées avec leurs représentations des stéréotypes féminins, leur objectification des femmes et leurs incitations à un comportement machiste.
 
Ajoutons à cela, les effets de la mondialisation et la modernisation rapide de l'Inde sans que les attitudes patriarcales et misogynes n'aient eu le temps d'évoluer.
 
Les partis nationalistes hindous continuent à crier haut et fort que la responsabilité des agressions sexuelles revient aux jeunes filles qui transgressent les codes en portant des jeans ou des jupes, en sortant avec des garçons, et que l'influence culturelle occidentale est néfaste.
 
En outre, la croissance économique a déclenché un véritable exode rural de milliers de jeunes hommes peu instruits vers les villes, à la recherche de travail.
 
Là, au lieu de la ségrégation des deux sexes à laquelle ils sont habitués dans leurs villages, ils côtoient des femmes modernes qui travaillent, sortent, s'habillent comme elles veulent, sans qu'ils aient la moindre idée de la façon de les aborder.
 
UN FLÉAU NATIONAL
Cette nouvelle Indienne urbaine qui a quitté les confins étroits de sa maison est active, donc visible. Elle leur est à la fois accessible et inaccessible. Quelles que soient les raisons, la violence faite aux femmes est un fait de vie en Inde, et si c'est devenu un fléau national, c'est en Inde du Nord qu'elle prend des proportions épiques.
 
Mais tout n'est pas noir dans cette histoire. Comme tout le monde le sait maintenant, l'un des derniers cas, le viol collectif brutal, le 16 décembre 2012 à Delhi, d'une étudiante par six hommes dans un bus a secoué la nation et l'a obligée à laisser tomber son manteau d'indifférence.
 
Est-ce la bestialité outrageuse de ce viol collectif ou le courage inouï de la victime qui a poussé des milliers d'Indiens ordinaires, endurcis comme ils le sont aux récits de violence sexuelle dans les médias, à descendre dans les rues manifester pendant des jours pour demander des mesures concrètes pour promouvoir la sécurité des femmes et la punition rapide des violeurs ?
 
INCOMPÉTENCE DE LA POLICE ET DU GOUVERNEMENT
Ou était-ce la goutte qui a fait déborder le barrage de mécontentement et de colère devant l'incompétence de la police et du gouvernement, voire de tous les partis politiques, devant la difficulté à laquelle une femme fait face pour déposer une plainte pour viol, devant la lenteur insupportable des tribunaux, et l'a transformé en un véritable raz de marée de manifestations et de veillées à la bougie ?
 
La lueur d'espoir est bel et bien là. Il est encourageant que cette "nouvelle Indienne" ait trouvé sa voix et, qui plus est, ait commencé à la faire entendre. Assez, elle en a ras-le-bol d'être toujours la victime.
Elle réclame ses droits. Elle appelle au changement. Encourageant aussi le fait qu'elle ait, à ses côtés, des milliers d'hommes, jeunes et moins jeunes, qui la soutiennent et l'épaulent dans cette lutte.
Tous les hommes indiens ne sont pas à diffamer, à diaboliser, comme l'ont fait certains journaux occidentaux.
 
Très encourageant aussi le comportement inhabituel, exemplaire, des médias indiens, qui ont fait preuve d'une retenue remarquable dans leurs reportages sur le viol du 16 décembre. Ils ont refusé le recours au sensationnel, ont respecté l'intimité de la victime et de sa famille et ont contribué à canaliser la rage du public contre les autorités.
 
Espérons que cette vague de colère et d'indignation aboutira à faire de l'Inde un lieu meilleur et plus sûr pour les femmes, comme l'a souhaité le premier ministre indien, Manmohan Singh, à la suite des protestations. Il s'agit là d'un défi monumental.
 
FAIRE ACCEPTER ET APPLIQUER LES DROITS DE LA FEMME
Il reste beaucoup à accomplir pour faire accepter et appliquer les droits de la femme. Il faudra une grande volonté politique pour instituer des changements nécessaires à la sécurité des femmes.
Mais, aussi importants qu'ils soient, c'est l'éradication des attitudes misogynes et la dissolution des préjugés patriarcaux enracinés qui engendreront un vrai changement.

En tant qu'Indiens, nous enseignons à nos filles comment rester saines et sauves, comment fuir tout contact avec des hommes inconnus, comment se fier à leur instinct pour éviter des situations dangereuses, bref comment éviter l'agression sexuelle.

Mais ce n'est que le jour où nous enseignerons à nos fils la signification du mot "non", que nous leur expliquerons comment traiter les femmes, comment les respecter, comment ne jamais lever la main sur elles, ce n'est que ce jour-là, que nous serons en mesure d'affirmer que "le changement, c'est maintenant".
Radha Kapoor-Sharma, interprète et ex-professeur de littérature et civilisations françaises à New Delhi

Radha Kapoor-Sharma

 
L'amour violé Film Français Tout le film - YouTube :

 

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L'amour violé
 
 
 
Tags : L'amour violé, Yannick Bellon, Pierre Arditi, Daniel Auteuil, Nathalie Baye, film, viol, inde, viol en réunion
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#Posté le samedi 31 août 2013 07:25

Modifié le lundi 31 juillet 2017 14:41

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