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Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?


 
 
   n
 
Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?
 
Evasion fiscale - le hold-up du siècle | ARTE Future :
De la Suisse aux îles Caïmans en passant par Jersey, un tour du monde très pédagogique des paradis fiscaux où sont dissimulés des milliards de dollars, détournés de la richesse publique. La question reste posée : est-il possible de lutter contre ces fraudes ?
 Evasion fiscale
 
Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?
Xavier Harel, journaliste et auteur de "La grande évasion, le scandale des paradis fiscaux", nous emmène aux îles Caïmans, dans le Delaware aux États-Unis, à Jersey, en Suisse ou encore au Royaume-Uni pour nous faire découvrir l'industrie de l'évasion fiscale.
Documentaire : mardi 10 septembre à 20h50 (90 mn)
 
Evasion fiscale, le hold-up du siècle - Extrait - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=y4-wD_RpOlc
 
De l'argent, il y en a / France Inter : 
Avant tout, il faut réduire "la dette". Les moyens ? Règle d'or, rigueur budgétaire, plan de stabilité... C'est-à-dire réduction des budgets santé, éducation, retraite, c'est-à-dire "assouplissement" du code du travail, c'est-à-dire menace sur la sécurité sociale...

Pourtant, chaque année, à cause des paradis fiscaux, l'Etat perd 30 milliards d'euros, deux fois le déficit d e la sécurité sociale...

Selon Antoine Peillon, l'évasion fiscale est responsable des 600 milliards qui manquent à la France. Ces scandales sont connus tout comme les noms des "évadés" fiscaux, la plus célèbre étant Bettencourt.
Mais si les enquêtes n'aboutissent pas, c'est que l'Etat protège les fraudeurs.

Pourquoi ? Comment ?
 
Entretiens de Daniel Mermet.
 
Programmation musicale :
- MC DUVAL : "Rentier"
- Odieu : "Gloire à ma banque"
- Marty : "L'impôt sur les feignants"

 
De l'argent il y en a (II) - www.la-bas.org :
600 milliards manquent à la France. C'est ce qu'affirme Antoine Peillon dans son enquête sur l'évasion fiscale. 10% du patrimoine des Français est ainsi caché dans des paradis fiscaux. "Les paradis fiscaux c'est fini ! " Nicolas Sarkozy l'a dit et répété. Mais notre Pinochio ne fait plus rire, il va sortir de scène sous les sifflets. Les paradis fiscaux sont toujours là et l'évasion fiscale continue. Selon le Comité catholique de lutte contre la faim, c'est plus de 20 milliards qui échappent annuellement au budget de l'Etat. Le gouvernement américain est parti en guerre contre les fraudeurs. En France, toutes les informations sont réunies sur cette délinquance en col blanc "en bande organisée". Mais pourquoi une telle omerta judiciaire ? Face aux plans de rigueurs et aux mesures d'austerité, la question mérite d'être posée.

Pourtant, chaque année, à cause des paradis fiscaux, l'Etat perd 30 milliards d'euros, deux fois le déficit de la sécurité sociale.


Entretien Daniel Mermet.
 
Cahuzac, c'est toujours les petits qui trinquent !
Le mercredi 3 avril 2013

Programmation musicale :
  Zaragraf : "Les francs ch"
  Thomas Pontier : "La complainte du banquier"


 
Le dessous des cartes : Les paradis fiscaux - YouTube :  http://www.youtube.com/watch?v=-3l_1_X6wBI : 
Une manne de 25.000 milliards cachés dans les paradis fiscaux : Un montant équivalent au PIB combiné des États-Unis et du Japon. Les États sont ainsi privés de 280 milliards de dollars de revenus fiscaux.
 

Des fortunes échappent encore aujourd'hui à l'impôt. En dépit de la guerre menée par certains États contre les paradis fiscaux, entre 21.000 et 32.000 milliards de dollars, soit 17.000 à 25.500 milliards d'euros, continueraient à être dissimulés dans ces zones défiscalisées, selon une étude publiée par le groupe de pression Tax Justice Network
 
Et au total, ce serait près de 280 milliards de dollars (225 milliards d'euros) de revenus fiscaux en moins pour les États. Les montants pourraient être encore supérieurs en tenant compte des actifs non financiers comme les biens immobiliers, les yachts, jets, ½uvres d'art ou bijoux. L'étude a exclu ces avoirs et s'est basée sur des chiffres de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international, des Nations unies et des Banques centrales.
 
Complicité des banques privées
Les conséquences de ces évasions fiscales sont lourdes. Elles sont à l'origine de «distorsions au niveau des flux d'investissement et commerciaux et créent les conditions d'un environnement criminologique susceptible de monter les plus riches et les plus pauvres les uns contre les autres». Par ailleurs, selon James Henry, les banques privées sont complices. «Les richesses des plus riches sont protégées par une horde de conseillers professionnels très bien payés». Ils tirent parti de «l'économie mondiale de plus en plus ouverte et fluide», explique-t-il.
 
Des conclusions qui permettent à l'économiste d'affirmer que «les revenus fiscaux perdus sont suffisamment importants pour introduire des changements majeurs dans les finances de nombreux pays». Mais, lueur d'espoir, le spécialiste confie à la BBC que «cette étude est aussi une bonne nouvelle puisque le monde dispose ainsi d'une importante réserve qui pourrait un jour résoudre certains de nos problèmes». En France, l'évasion fiscale coûterait entre 40 milliards et 50 milliards d'euros par an au budget de l'Etat, selon les récentes déclarations d'Eric Bocquet, rapporteur de la Commission parlementaire sur les paradis fiscaux, à Libération .
 
Les milliards d'euros des paradis fiscaux - Alternative libertaire : 30 000 milliards de $ cachés dans les paradis fiscaux


(Agence Ecofin) - Henry James, ancien économiste en chef du bureau de consultance McKinsey, a révélé que les personnes physiques les plus fortunées cachent entre 21000 et 32000 milliards de dollars d'actifs liquides dans les paradis fiscaux. Et ce montant vertigineux ne tient pas compte des actifs non financiers tels que l'immobilier, les pierres et métaux précieux, les collections d'art, les voitures, les yachts et autres biens de luxe.

Selon cet expert qui collabore aujourd'hui avec l'association britannique Tax Justice Network, le manque à gagner fiscal pour les communautés nationales dépasse les 280 milliards de $.

Pour James Henry, les paradis fiscaux ont ainsi provoqué «un énorme trou noir dans l'économie mondiale».

« Les revenus fiscaux ainsi perdus sont immenses. Ils sont suffisamment importants pour introduire des changements majeurs dans les finances de nombreux pays » a-t-il déclaré à la BBC.

Si le volume de ces fortune privées inciviques peut choquer, James Henry y voit tout de même une raison d'espérer : «Cette étude est aussi une bonne nouvelle. Le monde dispose ainsi d'une importante réserve qui pourrait un jour résoudre certains de nos problèmes.»

L'étude se fonde entre autres sur des données de la Banque des règlements internationaux (BRI), du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque mondiale et de plusieurs banques nationales.

 
 
Cash investigation : Les Paradis Fiscaux S01E03 - YouTube : 

 
 
 

 
La méthode Mittal
Combien d'heures, de jours, d'années, de vies entières sacrifiées, combien de morts offertes au travail, à l'économie, à leur paix ? Quelle est cette vie qui exige de nous que nous ...
 
la sacrifions pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres ? Pour bouffer, se loger, pour le confort ? Mais quel intérêt de pouvoir bouffer ou se loger si c'est pour avoir une vie de merde ? Comme le disait Jünger, tout confort se paie et la condition d'animal domestique entraîne celle de bête de boucherie..

Alors ce soir je rêve, je rêve que nous cassons tout, que nos branches enveloppent ce monde et l'écrasent, noyant dans sa sève tous les porcs qui nous rongent les articulations à petit feu. Car aucune des graines de liberté que nous voulons semer dans la terre ne pourra germer, si ce n'est sur les ruines de ce monde pourri qui nous a souillés des racines à la canopée.

Mais l'épaisseur d'une muraille compte bien moins que la volonté de la franchir. Alors je rêve qu'un jour l'humanité relève la tête et se soulève, à la manière des plantes grimpantes, sinon elle ne vaut rien
 



Reportage - L'évasion fiscale !  : 

 
 
 

La City, la finance en eaux troubles : LA FINANCE EN EAUX TROUBLES - l'indigné - Skyrock.com
L'exercice de l'Etat et la noir finance - l'indigné  

 
L'opinion selon laquelle il y a besoin d'y avoir un Etat est trop souvent considérée comme une évidence.
L'objectif principal du livre de Sartwell Against the State  ( Irreverent and incisive critique of liberal theories of the state. ) est de détruire les arguments en faveur d'un Etat, arguments qui sont ceux par exemple de Hobbes, Rousseau et Hegel. En fait, lorsqu'on lit le livre de Sartwell, on comprend très bien à quel point les théories classiques en faveur de l'Etat sont mauvaises.
 
"Très mauvaises", insiste Sartwell. "C'est choquant, vraiment. Pendant trois ou quatre ans, j'ai donné des cours de philosophie politique, c'est à ce moment que ce livre est né. Chaque fois que je lisais Rousseau, Locke ou Hobbes, je me disais 'C'est tellement mauvais. Personne ne se rend-il compte à quel point c'est mauvais ?' Selon moi, ce qui ne va pas, c'est que ces personnages -- Locke ou Hobbes ou Hume -- ont tellement de certitudes quant à leur position [selon laquelle il doit y avoir un Etat] qu'ils n'ont qu'à montrer cette direction pour que les gens les suivent. Une des fonctions de l'anarchisme, selon moi, est de les interpeller. Certains ont essayé. Robert Nozick a du moins essayé d'articuler une alternative. Des gens ont essayé d'amener l'anarchisme en tant que courant conventionnel mais il a toujours été marginalisé parce que les gens trouvent que c'est de la pure folie".
 
Sartwell  pense être le plus fort argument en faveur de l'anarchisme : un argument moral contre la force et la violence ou une défense plus utilitaire basée sur les résultats.
 
"Je pense que l'argument moral est le plus fort", 'a-t-il répondu. "C'est le centre de mon engagement, de toute façon. Le problème avec les arguments utilitaires est : sur quels critères faites-vous votre appréciation dans la réalité ? Regardez ce qui se passe en ce moment. Comment savez-vous vraiment quels seront les effets dans un siècle des actions actuelles du gouvernement américain ? On ne peut pas réellement le savoir. J'aime bien retourner ces arguments utilitaires sur l'Etat. Il faut commencer par évoquer les catastrophes provoquées par les Etats : holocaustes, génocides, guerres mondiales".

Dans son livre, Sartwell cite l'oeuvre de Matthew White sur les exterminations de masse du 20ème siècle. Il s'agit d'un réquisitoire ensanglanté contre les Etats. On ne risque guère de se tromper en affirmant qu'il est difficile d'imaginer de tels massacres à grande échelle avoir lieu dans un monde sans Etat.
 
"Ce n'est pas totalement inimaginable", avance Sartwell, "mais il faut avoir un groupe de personnes très organisées pour en arriver aux armes nucléaires ou à la solution finale. Cela devra être quelque chose qui, dans les faits, sera un Etat d'une manière ou d'une autre. En fait, les seuls groupes constitués qui ont tué à une si large échelle sont les Etats".
 
Individualisme et moralité

Je suis d'accord : les arguments moraux sont plus forts. Je mentionne l'un de mes anarchistes préférés, Lysander Spooner (1808-1887), dont Sartwell fait référence dans son livre. Spooner est anarchiste à l'ancienne. Il se base sur les droits naturels, en utilisant le langage et les concepts utilisés par les Pères fondateurs et les philosophes des Lumières, selon lesquels l'homme dispose de certains droits inaliénables.
 
Il soutient, en se fondant sur un principe de justice naturelle, que les individus ont des droits que seuls des contrats librement consentis peuvent limiter ; l'État n'étant pas fondé sur de tels contrats, il n'est pas légitime.
 
Spooner défend, dans Vices are not Crimes (en français Les Vices ne sont pas des crimes) une liberté totale des m½urs, chaque individu étant libre d'effectuer les choix les plus adaptés afin de vivre comme il l'entend, et d'accéder au bonheur de la manière qu'il souhaite. La distinction que Spooner introduit entre les vices et les crimes est la suivante :

« Les vices sont ces actes par lesquels un homme blesse sa personne ou sa propriété. Les crimes sont ces actes par lesquels un homme blesse la personne ou la propriété d'autrui » (en anglais : «Vices are those acts by which a man harms himself or his property. Crimes are those acts by which one man harms the person or property of another.»)« Tous les grands gouvernements du monde - ceux d'aujourd'hui et ceux d'hier - n'ont été que des bandes de voleurs, associés afin de piller, de conquérir et de réduire leurs frères humains en esclavage. Et leurs lois, comme ils les appellent, ne représentent que les ententes qu'ils ont jugé nécessaire de conclure afin de maintenir leur organisation et d'agir de concert pour dépouiller les autres et les réduire en esclavage, et pour assurer à chacun sa part convenue du butin. Toutes ces lois n'imposent pas plus d'obligations que n'en créent les ententes que les brigands, les bandits et les pirates jugent utile de conclure entre eux. » 
 

« Un homme n'en est pas moins un esclave parce qu'on lui permet de choisir un nouveau maître une fois tous les tant d'années. » (en anglais : « A man is none the less a slave because he is allowed to choose a new master once in a term of years. ») La constitution n'a nulle autorité (titre original : No Treason, No. VI., The Constitution of no authority), 1870."Spooner est étonnant à ce sujet", approuve Sartwell. "Vous lui donnez un concept minimal de droits naturels et tout le reste s'ensuit. C'est quasiment euclidien. En tant que professeur de philosophie, je m'inquiète à propos de ses bases conceptuelles. Je ne peux formuler de philosophie qui rende les droits naturels évidents".
 
Dans son livre, Sartwell met en avant un argument moral en faveur de l'anarchisme. Un des exemples qu'il utilise est frappant. Il écrit qu'il sait qu'il ne veut pas être torturé ; il suppose donc que les autres ne veulent pas être torturés non plus.
 
"Nul besoin d'avoir un concept des droits naturels pour affirmer cela", souligne Sartwell. "Mais les droits naturels sont une façon incontestable de formuler pourquoi cela devrait en être ainsi".
 
Cela nous amène à l'un des auteurs préférés de Sartwell, Josiah Warren (1798-1874), un personnage remarquable dans la tradition anti-autoritaire. On cite souvent Josiah comme étant le premier anarchiste américain.
 
Sartwell a publié un excellent livre de ses écrits, les agrémentant d'une longue introduction fort utile ainsi que de diverses notes. Je recommande fortement ce livre, intitulé The Practical Anarchist: Writings of Josiah Warren ["L'anarchisme en pratique : les écrits de Josiah Warren", NDLR]. A l'issue d'un travail passionné,

Warren construit lui aussi son individualisme sur des bases morales.
 
"Il la fonde sur la réalité de l'individualité humaine et sur la réalité des différences humaines", explique Sartwell.
 

No Treason: The Constitution of No Authority | by Lysander Spooner ... :
 
Documents
 
 :(en) Site dédié à Lysander Spooner, contenant la plupart de ses ½uvres disponible en ligne.(en) Citations de Lysander Spooner sur le site Liberty-Tree.ca
(en) Our Nestor Taken From Us, texte de Benjamin Tucker à la mort de Lysander Spooner (via The Wayback Machine).(en) Bibliographie complète de Lysander Spooner via The Wayback Machine
(« La constitution n'a nulle autorité », tiré de Outrage à chef d'État
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Tags : evasion fiscale, le hold-up du siècle, arte, finance, les paradis fiscaux, reportage, Evasion fiscale, les exterminations de masse, 20ème siècle, Cash investigation, Les Paradis Fiscaux, Reportage, anarchie, capitalisme, néolibéralisme, La City, la finance en eaux troubles, Jérome Cahuzac
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#Posté le mardi 10 septembre 2013 17:57

Modifié le lundi 03 octobre 2016 03:51

Risque financier systémique

 
Risque financier systémique Dans le domaine de la finance, l'emploi du qualificatif «systémique» dans des expressions comme «risque financier systémique», ou «crise financière systémique», veut signifier un changement d'échelle dans l'analyse des enjeux et des risques.
 
Risque financier systémique

Un risque financier qualifié de «systémique» implique qu'il existe une probabilité non négligeable de dysfonctionnement tout à fait majeur :
Soit pas moins qu'une grave dégradation -sinon de la paralysie- de l'ensemble du système financier sur la totalité d'une filière économique, sur une vaste zone géographique voire à l'échelon planétaire .
Par le biais des engagements croisés, des effets-dominos, puis des faillites en chaîne, cela peut conduire à un effondrement du système financier mondial.
Le risque systémique est en principe provoqué par une cause, une caractéristique endogène au système considéré. Il s'oppose au risque non-systémique, qui décrit les risques apparaissant lorsqu'un système doit faire face à un événement exogène, extérieur majeur
 
 Marxisme économique - Wikipédia
(..), Baisse tendancielle du taux de profit :. (...) . À terme donc, le capitalisme croule sous le poids de ses contradictions, c'est l'état de crise permanent, qui ne peut être évité que temporairement par l'expansion économique à des marchés vierges, ou par l'emballement de la croissance technologiqueNB :Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien | Eco89. Devrait on dire maintenant pour tout les pays occidentaux. (...) 3 Le Capital explique pourquoi il ne suffit pas d'être un bon réformiste . cf Le Capital - travail, cf La crise dans les années 30 et Aujourd'hui ( voir Chris Harman), Alternative libertaire - Le capitalisme est malade, achevons-le !,  Crise financière (1) : Pourquoi ? Histoire du capitalisme moderne ..., Le Jeudi - La crise permanente du sens
 
Nous vivons dans un monde interdépendant ou tout va très vite le bon comme le mauvais : L'interdépendance économique est le fait que les économies de deux ou plusieurs pays sont liées les unes aux autres et qu'une décision ou un évènement dans un pays ou dans une partie du monde aura des conséquences sur les autres économies. Les produits dérivés sont les causes les plus graves de par leur effets amplificateurs (effet levier a la hausse/ a la baisse) de ce qu'a pu créer la libéralisation de l'économie accéléré dans les années 1980) LES INTERDEPENDANCES ECONOMIQUES
 
Plusieurs formes d'interdépendance sont distinguées :
interdépendance structurelle : un événement économique touchant un pays affecte automatiquement l'évolution économique de l'autre pays ;interdépendance des objectifs : la réalisation des objectifs de politique économique d'un pays dépend de la réalisation des objectifs de politique économique des autres pays ;interdépendance des chocs exogènes : l'interdépendance des économies entraîne la transmission entre elles des chocs qui viennent les frapper ;interdépendance stratégique : la politique économique optimale d'un pays dépend des mesures prises par l'autre pays.. Crises ayant comporté un risque financier systémique important
Article détaillé : Crises monétaires et financières.
 
Risque financier systémique
 
Depuis 1973, les crises ayant comporté un risque important pour la pérennité du système financier ont été nombreuses.
La crise pétrolière de 1973 qui a entraîné une forte inflation, laquelle s'est répercutée sur l'ensemble de l'économie.
En 1974, a lieu la faillite de la banque allemande Herstatt, première prise de conscience des risques systémiques sur les marchés financiers modernes.
La crise pétrolière de 1979 provoque un nouveau renchérissement des prix du pétrole.
En 1982, la crise de la dette bancaire des PVD secoue le système bancaire international.
En 1987, le krach du marché des taux d'intérêt est suivi de celui des actions.
La crise économique mexicaine de 1994 fait suite a des années de gabegie de la manne pétrolière dans ce pays.
Autre pays pétrolier, la Russie connaît la crise financière russe de 1998. La fuite vers la qualité qui a suivi provoque la quasi-faillite du hedge fund Long Term Capital Management.
En 2001, les attentats du 11 septembre 2001, en partie parce qu'ils ont lieu au c½ur du système financier américain, envoie des secousses de par le monde.
En 2008, la crise des subprimes qui a trouvé son origine aux États-Unis, s'est traduite par une défiance sur les marchés, et plus pratiquement, une crise de liquidité.
En 2010, la crise de la dette publique grecque secoue l'ensemble de la zone euro.
Une banque dite systémique caractérise de grands établissements financiers de réseaux qui, par leur taille ou par la nature de leurs activités, sont susceptibles de déstabiliser la planète en cas de faillite. Ces banques familiales échappent donc à ce principe.
 
Les produits dérivés financiers américains représentent à eux tous une valeur de plus de trois fois le PIB mondial, bien évoqué dans Le risque systémique, Le risque systémique par Citoyen actif et Citizen Khane. L'histoire devient encore plus effrayante lorsqu'on regarde de plus près "de quoi sont faits ces produits dérivés". C'est un méli-mélo de tout et n'importe quoi
 
Le risque systémique est un des risques les plus importants pour le secteur financier, l'économie, les citoyens et les travailleurs. Qu'en dit l'AMF Risque systémiques, crise financière et régularisation » ( Format PDF : AMF Lettre , Rapport annuel 2010 de l'AMF :
: « Ce scénario catastrophe a failli se réaliser lors de la faillite de la banque Lehman Brothers en 2008 ( et toujours d'actualité, le capitalisme néolibérale et la crise permanente). Cette faillite a aggravé « la crise », notamment par parce que les liens entre les acteurs étaient souvent tissés sur les marchés OTC a travers les relations de Gré a Gré, « non encadrées et surveillées » qui seraient touché sur un marché organisé. Quelles Banques et quels fonds d'investissement seraient fragilisés par des pertes importantes ? Personne n'avait de réponse. C'est un climat de défiance/ méfiance que les marchés a été fortement perturbé, nécessitant l'intervention massive des états, mondialement, pour « relancer la machine ».
 
 Cet épisode a eu des répercussions directes et indirectes sur l'ensemble des agents économiques, aggravant lourdement la crise financière et provoquant une crise durable. Il a renforcé la thèse favorable à une réglementation adaptée a des produits pour leur produits et les techniques les plus risqués (titrisation et dérivés de crédits). Il a également engagé une réflexion dans le sens d'un contrôle plus poussé des acteurs clés des marchés financiers que sont les agences les établissements de crédit. Cette réflexion a donné lieu a des projets de renforcement de la réglementation prudentielle et des mesures pour les Hedges Funds ou les banques de taille si grande qu'elles constituent un facteur de risque systémique ( too big to fail). » LA CRISE BANCAIRE ET LA RÉGULATION FINANCIÈRE ( format PDF Documentation française)
 
Sans oublier l'exposition de ces quatre mastodontes à la dette LBO (leverage buy out). » Qui s'élève à plus de 20 milliards d'euros. Ces montages financiers permettent de prendre le contrôle d'une entreprise majoritairement par endettement (la dette est financée par les dividendes de la société rachetée). Au cours des cinq prochaines années, 550 milliards de dollars d'emprunts LBO vont arriver à maturité en Europe, dont 86 milliards en France. En temps de crise, les dividendes se font de plus en plus rares. Le taux de défaut est en hausse, et pourrait exploser dans les années à venir ».
 
Les CDS (credit default swaps)  sont un autre danger auquel sont exposées ces banques. « Si une banque a vendu plus de CDS que ses fonds propres ne le permettent, elle peut se retrouver en difficulté. Cela s'est plutôt bien passé avec le défaut partiel de la Grèce, mais n'oubliez pas que le risque court encore sur l'Italie, le Portugal, l'Espagne et même sur la France ».
 
Les produits dérivés : Un risque représentant trois fois le PIB mondial
Les produits dérivés sont "la viande et les produits à base de viande" des marchés financiers.
 
Une des dernières conséquences de la libéralisation de la finance dans les années 1980, les marchés financiers à des effets secondaires catastrophiques ?
 
▪ rapport sur la stabilité financière dans le monde
Dans son rapport sur la stabilité financière dans le monde, le FMI indique qu'"il ressort de la crise financière mondiale et des doutes grandissants quant à la viabilité de la dette publique de nombreuses économies avancées qu'aucun actif ne peut être considéré comme véritablement sûr". C'est ici qu'intervient l'atout majeur de ces banques.
 
La plupart des grands groupes bancaires, ont maintenu le niveau de ses encours de crédit à 100%.
▪ Pourquoi les grandes banques "systémiques" sont dangereuses

Rappelons que les quatre plus grosses banques françaises (BNP Paribas, le Crédit Agricole,la Société Générale etla BPCE) sont exposées à hauteur de 31 milliards d'euros à la dette souveraine des PIGS (Portugal, Italie, Grèce et Espagne).
 
Elles ont également en portefeuille plus de 45 milliards d'euros de goodwill. Quand une société achète une autre entreprise, elle reporte très souvent à son bilan une somme qui correspond à de la survaleur -- le fameux goodwill. Mais avec la crise, ces survaleurs ont de plus en plus de mal à se matérialiser...
 
Sans oublier l'exposition de ces quatre mastodontes à la dette LBO (leverage buy out). Qui s'élève à plus de 20 milliards d'euros. Ces montages financiers permettent de prendre le contrôle d'une entreprise majoritairement par endettement (la dette est financée par les dividendes de la société rachetée). Au cours des cinq prochaines années, 550 milliards de dollars d'emprunts LBO vont arriver à maturité en Europe, dont 86 milliards en France. En temps de crise, les dividendes se font de plus en plus rares. Le taux de défaut est en hausse, et pourrait exploser dans les années à venir.
 
Les CDS (credit default swaps) sont un autre danger auquel sont exposées ces banques. Si une banque a vendu plus de CDS que ses fonds propres ne le permettent, elle peut se retrouver en difficulté. Cela s'est plutôt bien passé avec le défaut partiel dela Grèce, mais n'oubliez pas que le risque court encore sur l'Italie, le Portugal, l'Espagne et même surla France
.
Le risque systémique pour un épargnant. Si l'une des banques réputées systémiques s'effondre, vous vous retrouverez avec vos comptes bloqués et votre coffre inaccessible.
 
Conclusion : ((argent roi)  qui mène le monde ! Si la crise était un film d'horreur... | Tant qu'il y aura de l'argent ... " En effet ce capitalisme souffre d'une crise de la valorisation qui date de la période précédente
 ( La valorisation est le mécanisme par lequel le capitalisme extrait de la plus-value du procès de production ; Plus concrètement, cela veut dire que c'est la part qui reste au patron  sur le prix d'une marchandise une fois enlevé le cout du travail, des matières premières et des machines.)
 
Ceci étant dit, il est nécessaire d'ajouter qu'au delà de  JP Morgan... ni concernant aucune des trois autres grandes banques – c'est un système qui entretient ces dérives, qui l'entretien en son sein. Peut-être sont-elles de grandes banques -- ou peut-être pas. Nous ne le savons pas. Nous, c'est le péché que nous détestons, mais le système que nous condamnons. Et nous sommes inquiet à propos des risques considérables qui menacent les économies mondialisées et interdépendantes.
 
Les quatre grandes banques de produits dérivés devraient retreindre leur exposition avant que n'éclatent les prochaines crises du crédit -- plutôt que d'avoir besoin du prochain méga-renflouement ".
Nous devons être conscient dans le toboggan sans retour a laquelle nous mène ce système...
Tags : le risque systémique, finance, economie, société, effet dominos, cds, finance direct et indirect, paradis fiscaux, documentaire: city de londres, la finance en eaux troubles, agences de notation, hedges fund, dégradation, crise systémique
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#Posté le samedi 28 avril 2012 14:50

Espagne : Huelga general, grève générale §

 

Espagne : Huelga general, grève générale !Reportage de Daniel Mermet et Antoine Chao dans la manifestation du 29 mars 2012 à Madrid.  Madrid, le 29 mars 2012


Espagne : Huelga general, grève générale §
C'est un "GOLPE ASOCIAL" !! C'est-à-dire un "putsh anti-social". Voilà ce que l'on pouvait entendre et voir, et partager, hier, jeudi 29 mars, dans les rues de Barcelone, de Séville, ou de Madrid. Au moins un million de manifestants contre la destruction du droit du travail, contre les coupes sombres dans les budgets sociaux... le symbole de la manif' était une paire de ciseaux. Coups de ciseaux de 30 milliards d'euros dans les dépenses publiques, des dizaines de milliers de licenciements dans la fonction publique, 620 000 emplois détruits d'ici à la fin de cette année, selon le gouvernement lui-même, soit 25 % d'actifs au chômage et 50 % chez les jeunes de 16 à 24 ans. Mais partout en Espagne, la mobilisation contestataire prend de l'ampleur...

A Madrid, reportage de Daniel Mermet et Antoine Chao, diffué vendredi 30 mars, à 15h sur France Inter.

Photos d'Anaëlle Verzaux,
Journaliste reporter
Espagne : Huelga general, grève générale §
Programmation musicale :

Quinazo : "Huelga en general"
Zpu : "Revolucion"
 

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Los carayos : "Juanita paquita"

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(Cliquez ici pour voir le reportage-photos)  

 
Quoi de neuf sur les marchés ? Plus important encore, de quel genre de marché parlons-nous ?... Et en quoi cela nous intéresse-t-il ?
 
Espagne : Huelga general, grève générale §
 
Dans l'émission de daniel Mermet sur La Bas.org La Finance imaginaire La finance, mon adversaire n'a pas de visage et elle ne se présente pas aux élections". Pour le chercheur Geoffrey Geuens, cette phrase prononcée par François Hollande lors de son meeting du Bourget est emblématique du discours politique dominant qui oppose marché financier et Etat, deux entités sans chair et sans visage. Oui, la finance a un visage, oui l'Etat a un visage et c'est souvent le même. voir La finance a-t-elle un visage? !

 
Voir Documentaire: City de Londres, la finance en eaux troubles  , La finance a-t-elle un visage? ! , De la guerre froide au Grand Jeu
 
Apporte un complément précieux a l'interview de Serge Halimi ( Les vrais maîtres du monde ??? (Durée : 30 min  sur google  " Historique de la dérèglementation des marchés financiers et son influence sur les politiques. Documentaire belge. Bulle financière, libéralisme, mondialisation, finance, banque mondiale, gouvernement mondial, spéculation, bourse)
 
Avant de répondre à ces questions, voici une réponse conventionnelle, de celles que l'on peut s'attendre à lire ou à entendre dans les médias
 
face au chaos capitaliste organisons nous pour l'anarchie 1/5





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Ce matin, LA TENDANCE (boursier.com). 3Les places financières mondiales ne parviennent pas à rebondir et devraient enchaîner une troisième séance consécutive de consolidation ce matin. L'actualité n'a pas beaucoup changé par rapport à celle qui dominait voilà 15 jours, quand un long rebond avait ramené le CAC40 vers les 3.600 points, mais la reprise des indices constatée au début du trimestre peine à se poursuivre. Il est vrai qu'entretemps, de mauvaises performances budgétaires espagnoles sont venues assombrir ... »
 
Le Dow en hausse sur l'annonce trucmuche”, publie un journal. “Les marchés de la Zone euro ébranlés par l'annonce bidule”, clame un autre. Mais en quoi cela nous affecte-t-il réellement ? De quelle manière ces informations influencent-elles notre vie ? Le mouvement de ce marché en particulier détermine-t-il ce qui arrive en bas de chez nous ou bien reflète-t-il simplement le “sentiment” général de robots de trading automatique et de services de trading haute fréquence à Wall Street ? D'ailleurs, pourquoi s'en soucier 
Les informations sont systématiquement trompeuses. Elles rapportent ce qui est facile à percevoir et ignorent ce qui est plus profond, plus subtil. Elles sont fabriquées pour attirer notre attention, pas pour nous informer de ce qui se passe dans le monde. Par conséquent, elles nous donnent un sens erroné du fonctionnement du monde, masquant les probabilités d'événements plus vrais”,. “Nous ne savons pas pourquoi la Bourse agit comme elle le fait. Trop de facteurs varient avec de telles amplitudes. Le journaliste qui écrit 'Le marché a bougé parce que X'... est stupide
 
 
Une question cruciale

Ce qui nous amène à notre seconde question : que signifie “le marché” pour vous ? .?
 
Espagne : Huelga general, grève générale §
Parce que cela a un impact directe sur nos vies, notre pouvoir d'achat, la possibilité ou pas de trouver un travail. Les politiques ultralibérales menées depuis 50 ans ont créé une injustice entre une caste dirigeante liées aux affaires et le peuple.
Détresse psychologique au travail, le tabou( video youtube : Détresse psychologique au travail _ le tabou : De la servitude moderne L'éducation, parent pauvre..., Lettre ouverte au Président... Suicides : le document qui... accuse France Telecom , Le triomphe de la cupidité , Les défis de la société..., Les mille et un discours de... Les ouvriers, les oubliés, Les Yes Men refont le monde , Les raisons de la colère

La détente des marchés ne signifie pas que la crise est finie
 
Espagne : Huelga general, grève générale §
Nicolas Véron
Economiste (Bruegel)
Chercheur invité (Peterson Institute for International Economics)
Voir son profil
 
 
Premièrement, le coeur de la crise est la perte progressive du statut de référence des obligations souveraines des pays de la zone euro
 
Deuxièmement, le risque souverain affecte les systèmes financiers nationaux d'une manière qui ne peut être traitée par les outils habituels de résolution des crises bancaires. C'est la raison pour laquelle le plan de recapitalisation annoncé fin octobre 2011t. C'est aussi la raison pour laquelle Mario Draghi s'est déclaré défavorable à de nouveaux « stress tests » en 2012
 
Troisièmement, les clés de la résolution de la crise ne sont pas des montages innovants d'ingénierie financière, mais des avancées politiques et institutionnelles au niveau européen. La crise accroît les interdépendances politiques de fait, par-delà les frontières des Etats-Nations : la BCE a joué un rôle majeur dans le changement de gouvernement en Italie, la Grèce perd partiellement sa souveraineté économique, M me Merkel devient un acteur à part entière de l'élection présidentielle française. Mais si les systèmes politiques nationaux perdent leur autonomie, les institutions européennes demeurent trop faibles et insuffisamment démocratiques pour prendre leur place comme lieu de la décision( titre la Cour constitutionnelle allemande en 2009. Les modifications correspondantes des traités comportent des risques considérables, mais il n'y a guère d'autre option pour assurer la pérennité de l'euro
 
 
Ces défis sont reflétés sur le front grec. La sortie de l'euro provoquerait une contagion désastreuse, mais le système politique grec ne parvient pas à réaliser tout seul l'ajustement nécessaire. Pour rester dans la zone euro, comme la plupart des Grecs semblent le souhaiter, un abandon important de souveraineté économique doit être consenti. Mais ceci n'est possible que si le transfert se fait au bénéfice d'une entité démocratique dans laquelle les citoyens grecs sont partie prenante
 
Le statu quo, même avec le Mécanisme européen de stabilité (MES) et le pacte budgétaire, est intrinsèquement instable. L'accalmie du marché doit être utilisée pour préparer de nouvelles étapes. Sinon, ce sera une nouvelle occasion manquée, avec un prix de plus en plus lourd à payer pour le temps perdu 
 
Beaucoup de facteurs entrent en jeu ici. Calculé les conséquences de la phobie de la déflation de Ben Bernanke. Le gouverneur de la Fed a peur d'un déclin des prix des actifs,  ce que lui et ses naïfs acolytes définissent à tort comme de la déflation. (En fait, la déflation — ainsi que son pendant, l'inflation — est, comme l'a correctement observé Milton Friedman, “toujours et partout un phénomène monétaire”. La hausse et la baisse des prix des actifs sont les symptômes de l'inflation et de la déflation, non les causes
 
Malgré sa définition erronée, Bernanke, Draghi croit qu' »en piétinant les taux d'intérêt, en imprimant sans fin des nouveaux billets et en jouant avec les manettes et rouages dela Fed en pressant jusqu'à la moile, il peut décourager et punir les écitoyens dans la mesure où oint les contraints de travailler a perte pour satisfaire les marché... et maintiendront donc ainsi à flot les indices que lui et ses homologues du monde entier considèrent comme des mesures de la santé et de la vitalité de l'économie ( capitaliste et néolibérale).
 
 
Ceci est au moins aussi absurde que cela le paraît. Les taux artificiellement manipulés n'encouragent pas des investissements sains... Pire, ils engendrent l'investissement à mauvais escient, fondé sur des informations dont l'exactitude est compromise et sur des distorsions de marché
 
Dommage qu'il ne puisse pas comprendre que la politique de taux des Etats-Unis est malsaine. Dans la mesure où le reste de la planète s'adapte aux taux d'intérêt américains, une politique monétaire américaine malsaine mène à une politique monétaire mondiale malsaine Par 'malsaine', nous entendons une politique qui maintient les taux à un niveau trop bas, qui mène à une inflation des prix des actifs et à une explosion massive de la dette”,.
 
Au vu des forces nombreuses et variées — qu'elles soient naturelles ou non — qui mettent les peuples sous diverses contraintes et autres pressions, existe-t-il un bénéfice pratique à commenter les indices boursiers ou, pire encore, à attribuer des agents de causalité à leurs trajectoires très imprévisibles... et seulement après les faits 
 
C'est d'une certaine manière le snobisme ((argent roi)  qui mène le monde ! Si la crise était un film d'horreur... | Tant qu'il y aura de l'argent ... " En effet ce capitalisme souffre d'une crise de la valorisation qui date de la période précédente capitalisme souffre d'une crise de la valorisation qui date de la période précédente.
 
( La valorisation est le mécanisme par lequel le capitalisme extrait de la plus-value du procès de production ; Plus concrètement, cela veut dire que c'est la part qui reste au patron  sur le prix d'une marchandise une fois enlevé le cout du travail, des matières premières et des machines.)
 
Source Chronique Agora, les échos, l'émission sur France inter La.bas.org de Daniel Mermet, le Monde diplomatique, interview de Serge Halimi du monde diplomatique


A lire aussi
Serge Halimi - Le Grand Bond en Arrière [HD] , Mario Draghi ou le pompier pyromane
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial, VOTEZ FN REND CON, Paulo Anarkao (intégrale) , Projection : ENTRÉE DU PERSONNEL , Florange, la flamme des derniers haut-fourneaux, 
 
globalia : citoyen actif
globalia - citizen khane
 
Projection de « La Bataille des Marolles » , Ma vision de la liberté ; Foi d'anar - Maurice Joyeux - Des lieux de démocratie participative , Raymond Aubrac, les années de guerre , Tierra y libertad !

Tags : la dérèglementation, marchés financiers, néolibéralisme, Documentaire belge. Bulle financière, libéralisme, mondialisation, finance, banque mondiale, gouvernement mondial, spéculation, bourse, City de Londres, la finance en eaux troubles, La finance a-t-elle un visage, De la guerre froide au Grand Jeu, des obligations souveraines, pays de la zone euro, le Mécanisme européen de stabilité, MES, Ben Bernanke, Draghi, argent roi
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#Posté le vendredi 30 mars 2012 09:12

Modifié le samedi 02 avril 2016 13:44

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