"Quand létat t'enseigne a tuer, il se fait appeler patrie." Friedrich Dürrenmatt
musique: Harold Berg
Marc Robine - Le Déserteur (Version non censurée)
Le but premier de toutes occupations armées restera TOUJOURS la répression. La torture n'est qu'un corollaire de la pratique du renseignement."
L'antimilitarisme de Georges Brassens face au Général...
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Bachar, moi ou le chaos
l'EI / Bachar el Assad n'était pas juste un problème syrien, ou un problème du Moyen-Orient, mais un problème mondial"
Le Dessous des cartes Syrie les origines de la crise 1/2
Alors que la Syrie est en proie à une guerre sanglante qui dure depuis plus de cinq ans, ce documentaire dresse le portrait de l'homme fort de ce pays : Bachar el-Assad. Quel est le parcours de cet homme qui tient une part du destin mondial entre ses mains ? Daech, le djihadisme international, le chaos au Moyen-Orient, la crise des réfugiés : tous ces défis convergent pour partie vers Damas. Bachar est d'abord le produit d'un clan, les Assad. Cette famille rappelle d'autres dynasties terribles comme les Kadhafi ou les Hussein, Tout à leur volonté de survie politique et d'emprise sur leur pays. Bachar a un seul but : perpétuer son implacable pouvoir et celui de son clan sur la Syrie.
Document: Syrie, "La Guerre sale" de Bachar-El-Assad
es forces armées américaines et la CIA pourraient avoir commis des crimes de guerre en Afghanistan en torturant des détenus, particulièrement en 2003 et 2004, estime la procureure de la Cour pénale internationale (CPI). La magistrate doit décider «de façon imminente» si elle demande l'ouverture d'une enquête.
Afghanistan : l'armée américaine aurait commis des crimes de guerre
>>International|V.F
Explication entre Poutine et Erdogan sur Assad
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s'est expliqué avec son homologue russe, Vladimir Poutine, sur les propos qu'il a tenus mardi à l'encontre de Bachar al Assad qu'il a dit vouloir renverser, rapporte aujourd'hui l'agence Ria, citant un conseiller du Kremlin.
Dans ce discours, Recep Tayyip Erdogan, expliquait que les forces turques étaient présentes sur le sol syrien pour "mettre fin au règne du cruel Assad". La Russie, alliée de la Syrie au côté duquel elle combat la rébellion, a fait part mercredi de sa surprise et a demandé que le président turc s'explique sur ses propos.
Aucun détail sur la teneur des explications livrées par Recep Tayyip Erdogan à Vladimir Poutine n'a été communiqué. Le Kremlin a annoncé mercredi soir que les deux hommes se sont entretenus au cours d'une conversation téléphonique lors de laquelle ils ont évoqué le conflit syrien et la situation à Alep.
6. La Chine, et non seule la Russie, au Conseil de sécurité :
"c'est le discours « souverainiste » de Poutine, avec son soutien inconditionnel aux régimes contre les peuples, qui séduit à l'évidence la Chine. Une fois encore, la Syrie révèle une vision du monde tout autant qu'une politique."
La Russie l'a perfectionné avec son Valet Assad pour occuper Alep
Alep Syrie , vivre avec la guerre documentaire - YouTube
"Today 150,000 people are threatened with extermination. We are calling for a halt to the bombing and guarantees of safe passage of all," Brita Haji Hassan said during a trip to Geneva.
La ville incarne la tragédie syrienne : des milliers de civils sont pris au piège dans ses quartiers insurgés, cibles de bombardements incessant et sans recours à l'aide humanitaire ; des milliers d'autres partent sur les routes, tentant de fuir les combats.
Avec l'aide de sa mère, Bana Al-Abed raconte depuis septembre son quotidien fait de peur, de bruits de bombardements et de destructions dans les quartiers est d'Alep.Bana Al-Abed, 7 ans, raconte depuis plus de deux mois son quotidien à Alep, fait de peur, de bruits de bombardements, de destructions, sur un compte Twitter tenu par sa mère, Fatemah. Les messages sont retranscrits dans un anglais simple et décrivent la difficulté et l'horreur de vivre dans des quartiers assiégés depuis près de quatre mois par l'armée, avec des photos, des petites vidéos, comme une enfant décrirait sa vie normale dans une autre ville.
Le compte Twitter de Bana Al-Abed a été largement médiatisé et, de ce fait, a gagné une audience importante. Elle donne à ceux qui ne sont pas susceptibles de « suivre » ce qu'est la guerre en Syrie une « fenêtre » pour se rendre compte de ce qu'est la vie dans une ville encerclée. Régulièrement, la fillette et sa famille, qui n'ont pas dit où elles habitaient précisément, croient voir leur dernière heure arriver à mesure que l'armée syrienne continue ses bombardements :
Parmi les plus de 350 personnes tuées en une semaine dans l'est d'Alep, près d'une centaine étaient des enfants, selon l'Unicef. Les enfants comme Bana Al-Abed« vivent un cauchemar », a souligné Justin Forsyth, directeur adjoint de l'organisation. Un docteur sur le terrain cité dans le communiqué de l'Unicef ajoute : « La souffrance et le choc que nous avons constatés chez les enfants sont les pires qu'on n'ait jamais vus. »
Les quartiers rebelles d'Alep pourraient être totalement détruits à la fin de l'année si l'armée syrienne, appuyée par son allié russe, poursuit sa vaste offensive, a averti jeudi 6 octobre l'envoyé spécial de l'ONU sur la Syrie, Staffan de Mistura.
« Dans deux mois, deux mois et demi au maximum, à ce rythme, la partie est d'Alep risque d'être totalement détruite, a-t-il dit lors d'une conférence de presse. Nous parlons de la vieille ville en particulier, et des milliers de civils syriens vont être tués. »
D'après ses estimations, en plus de ce millier de djihadistes ront Fateh Al-Cham (ex-Front Al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaida), 8 000 combattants insurgés « au maximum » assurent la défense d'Alep-Est.
L'armée syrienne et ses milices tiennent désormais près d'un tiers de la partie insurgée d'Alep. La chute de la ville marquerait un tournant dans le conflit.LE MONDE | 29.11.2016 « Si les bombardements se poursuivent avec la même intensité, et que le régime maintienne sa tactique de siège, la chute d'Alep va s'accélérer », juge Bassam Al-Ahmad, un militant des droits de l'homme exilé en Turquie, qui recense les exactions commises par les acteurs du conflit syrien. Ville symbole, ancienne capitale économique de la Syrie avant que son activité industrielle soit anéantie par les combats, Alep est aujourd'hui l'épicentre de la guerre.
L'enjeux d'ALEP est devenu l'enjeux stratégique, politique et militaire de la / les guerres en Syrie.
Syrie, dans l'enfer d'Alep Ligne de Front
Syrie : à Alep, un carnage parmi les civils en fuite
Des familles tentant de quitter les quartiers est ont été bombardées par des tirs d'artillerie.
Ils avaient enfilé leur manteau d'hiver, en prévision des nuits qu'il faudrait peut-être passer dehors. Ils portaient à l'épaule ou tiraient derrière eux de gros bagages, remplis de tous les effets qu'ils n'avaient pu se résoudre à abandonner.
Terrorisés par deux semaines de bombardements, à court de nourriture après quatre mois de siège, ces habitants des quartiers est d'Alep, contrôlés par la rébellion anti-Assad, avaient choisi de passer de l'autre côté, dans les secteurs ouest, aux mains des forces loyalistes. Un trajet à haut risque, qu'ils s'étaient décidés à emprunter sous l'effet de la peur, de la faim et peut-être aussi de la propagande gouvernementale, appelant les gens à quitter les zones aux mains des « terroristes », le terme que Damas réserve à tous ses opposants.
Le bombardement a fait 45 morts et des dizaines de blessés, selon les casques blancs, la défense civile de la partie est d'Alep, qui impute ce carnage à l'artillerie gouvernementale. « Ces gens fuyaient la mort, s'indigne un secouriste sur la vidéo. Les déplacés passent par là pour rejoindre la partie ouest de la ville. C'est pour cela que l'endroit a été visé. »
Lire aussi : Les quartiers assiégés d'Alep risquent de devenir un « gigantesque cimetière », selon l'ONU
Accélération de l'offensive
« Nous partions à cause de l'injustice, des frappes aériennes, des bombardements, du manque de nourriture, raconte un rescapé sur d'autres images. J'ai perdu ma femme. Ma fille de 11 ans a aussi été tuée. Et j'ai une autre petite à l'hôpital. » Quelques instants plus tard, l'homme est filmé en train d'envelopper ces deux cadavres dans des linceuls en plastique orange, fournis par les casques blancs.
Hécatombe
D'autres familles errent dans la rue, à la recherche d'un logement ou dans l'espoir d'une accalmie qui leur permettrait de passer à l'ouest. Et c'est là qu'ils sont fauchés par l'artillerie syrienne. Des tirs impossibles à anticiper, alors que, dans les cas de bombardements aériens, le vrombissement des appareils laisse quelques secondes pourtenter de se mettre à l'abri.
Guerre en Syrie : Alep, la chute finale ? (partie 1), (partie 2)
Mardi 29 novembre, veille du massacre de Jub Al-Kubbah, une hécatombe similaire s'était produite à Bab Al-Nayrab, plus au sud. Un avion russe ou syrien avait pris pour cible un groupe d'habitants tentant d'échapper aux combats, faisant 28 morts parmi eux.
Faute d'essence pour les ambulances, les morts et les blessés sont désormais transportés sur des charrettes à bras. Mais, de plus en plus souvent, les secouristes n'ont même pas les moyens d'accéder aux sites des bombardements. Les cadavres pourrissent dans la rue, transformant Alep en une gigantesque fosse commune.
En Syrie, la Russie prépare déjà l'après-Alep Des unités spéciales tchétchènes, envoyées en Syrie, vont être chargées d'une mission de police militaire. LE MONDE | 09.12.2016 Des unités spéciales tchétchènes ont ainsi été envoyées en Syrie, pour accomplir une mission de « police militaire » et sécuriser la base aérienne russe située à Hmeimim, dans la province de Lattaquié.
Des dizaines de soldats suréquipés s'apprêtant à embarquer sur une piste aérienne sont apparus dans une vidéo rendue publique le 6 décembre et diffusée, jeudi, par un site Internet lié au ministère de la défense, et par des médias russes.
« Ramzan, qu'est-ce tu fais ? Rouslan, t'as décidé d'y aller ? », entend-on sur la bande. « Oui, j'ai décidé d'y aller », répond un militaire. « Qu'Allah vous protège », poursuit la voix.
Filmés par un téléphone portable, ces hommes, qui s'exprimaient en langue tchétchène, appartiennent aux bataillons « est » et « ouest » établis sur la base russe de Khankala, à l'est de Grozny, la capitale de la Tchétchénie, une république autonome de Russie à majorité musulmane. Tous arborent des bérets rouges et un nouvel insigne sur leur bras, « MP », pour police militaire.
Téhéran assure la survie militaire du régime de Damas en finançant et en armant des mercenaires Depuis la mi-novembre, des milices chiites étrangères, forces de choc indispensables au régime de Bachar Al-Assad, participent à la reconquête des quartiers rebelles d'Alep.
"Ces groupes accompagnent l'armée régulière syrienne, usée par plus de cinq ans de lutte, et opèrent de façon autonome, sous commandement général iranien. Téhéran, leur parrain, a maintenu les capacités du camp loyaliste en finançant et en armant ces mercenaires, tout en noyautant l'armée et les milices syriennes.
En mars 2011, du côté du régime, le mot d'ordre est à la discrétion. Bachar al-Assad ne tient pas à rendre publics la nature et l'ampleur du soutien que lui apportent déjà ses alliés chiites afin de pouvoir dénoncer le « confessionnalisme » et le « sectarisme » de la partie adverse
Il aurait été surprenant que, recrutés sur une base confessionnelle pour défendre des personnages vénérés et des principes intimement liés à leur histoire religieuse,.
.Les Syriens sont également préoccupés de voir ces mêmes milices autorisées par le pouvoir en place à faire venir en Syrie un nombre sans cesse plus élevé de combattants, séduits par les soldes qui leur sont proposées comme par la possibilité de laisser libre cours à leur haine anti-arabe et anti-sunnite
Mais ce n'est ni au régime, ni à Bachar al-Assad, que ces mêmes Syriens réservent leurs critiques. Elles visent aussi les Etats-Unis et l'Union européenne, dont ils ne comprennent pas pourquoi ils ferment délibérément les yeux sur la présence massive, dans leur pays, de djihadistes
chiites, russes, tchétchènes aussi dangereux et menaçants pour leur avenir et celui de leur pays, que les sunnites radicaux de l'Etat islamique et du Front de Soutien."
Les djihadistes chiites, l'autre menace pour l'avenir de la Syrie et des Syriens (3/3)
Alep brûle
Quelle est l'étendue des forces militaires iraniennes en Syrie ?
Selon le général rebelle de l'Armée syrienne libre, Mithkal Albtaish,
« C'est malheureusement le régime iranien qui gouverne la Syrie militairement (1) et, en cas de besoin, s'appuie sur le droit de veto de la Russie pour peser sur les décisions internationales. La résolution de la crise passe par la fin de l'intervention de Téhéran. »
Au total, le nombre des forces du régime iranien en Syrie est estimé à plus de 70 000 et les mercenaires du régime iranien sont plus nombreux que les forces d'Assad. selon de nombreuses sources . Soit 20 000 à 30 000 de plus que la propre armée Syrienne de Bachar Al-Assad. Autrement dit, militairement parlant, c'est bien l'Iran qui dirige les opérations visant à sécuriser le trône du président Syrien.
Dans le détail, les forces Iraniennes se décomposent comme suit :
- Forces du corps des gardiens de la révolution ; 8 000 à 10 000 hommes ;
- Armée régulière Iranienne ; 5 000 à 6 000 hommes ;
- Mercenaires étrangers rangés sous les ordres des Pasdarans :
o Irakiens de diverses factions (10 groupes différents recensés) ; environ 20 000 hommes ;
o Afghans (Fatemiyoun) ; 15 000 à 20 000 hommes ;
o Libanais (Hezbollah) ; 7 000 à 10 000 hommes ;
o Pakistanais (Zeinabiyoun), Palestiniens, et autres ; 5 000 à 7 000 hommes...
Et toujours la population en otage...
Rohani a confirmé cette implication dans un récent discours : « Aujourd'hui, les gardiens de la révolution sont sollicités pour assumer la sureté des pays qui nous la demande, ils y sont présent avec beaucoup de courage et conviction pour défendre les lieus saints en Irak et en Syrie, comme pour défendre les oppressés au Liban, en Palestine et en Afghanistan et dans les autres pays qui nous font la demande. »
Même si le conflit en Syrie est un sujet récurrent de la presse occidentale, cette dernière parle très peu de l'implication et de la responsabilité de Téhéran.
Quelle est la cible principale ?
La cible principale du régime iranien est la ville d'Alep, comme en témoignent les renseignements recueillis par le réseau de l'Organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI) à l'intérieur du régime des mollahs. Le plan d'offensive contre Alep a été conçu et exécuté par le CGR, et aucune force de l'armée syrienne n'a été présente dans la région. D'après l'OMPI, « Les bombardements aériens inhumains d'Alep au cours des deux dernières semaines par l'aviation syrienne et russe, qui ont fait des centaines de morts parmi la population civile, ont été réalisés dans le but de permettre aux forces du CGR et de leurs mercenaires d'avancer vers Alep. »
En outre, les forces de Gardiens de la révolution et des milices chiites supplétifs ne s'engagent pratiquement pas dans des zones occupées par Daech, mais s'attaquent aux autres groupes rebelles.
Malgré les atteintes au CGR, en particulier la mort du général de brigade du CGR, Khamenei a ordonné au CGR de ne pas se retirer de la région et a doublé ses effectives en Syrie, puis lancé une offensive en mars 2016 causant de nombreuses pertes humaines, y compris des commandants du CGR et ses troupes, des soldats de l'armée régulières iranienne et des mercenaires étrangers en provenance de l'Irak, du Liban et de l'Afghanistan.
Syrie : quel rôle joue l'Iran ? - Cafebabel,
Syrie : le rôle de l'Iran 19 MAI 2016 PAR IRANI BLOG : LE BLOG DE IRANI
La décision de L'Assemblée qualifie l'Etat islamique de "génocidaire" est hypocrite, car la résolution ne faisant pas référence "aux centaines de milliers de victimes du régime syrien" ni aux bombardements de la ville d'Alep, en Syrie.
La Situation deviendrait alors incontrôlable car il n'y aurait une impasse diplomatique aux conflits. Nous verrions un recrutement accéléré des organisations terroristes comme Daesch ou le Front Al Nosra, première bénéficiaire de l'abandon des pays européen dans le conflit et de l'échec d'une transition diplomatique.
L'EI s'approche à nouveau de la ville syrienne de Palmyre Les djihadistes du groupe Etat islamique (EI) sont parvenus à la périphérie de la ville antique de Palmyre (centre de la Syrie), d'où ils avaient été chassé neuf mois plus tôt, et étaient engagés aujourd'hui dans des combats contre les troupes du régime. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, le groupe djihadiste se trouve à moins de quatre kilomètres de la ville antique.Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 08.12.2016 Un commandant du groupe rebelle syrien Djaïch al Moudjahidine, basé dans la région rurale d'Alep, a indiqué que des troupes participant à l'offensive dans cette ville sur le point d'être totalement reprise par les forces gouvernementales avaient été redéployées vers Palmyre.
La reprise de la cité antique dimanche, ainsi que la lenteur de la reconquête de Mossoul par les Irakiens, peut être considérée comme des victoires militaires pour les djihadistes, après de nombreuses défaites ces derniers mois, notamment en Libye.
Au-delà de Palmyre, l'EI agrandit sa zone d'influence dans la province de Homs, presque entièrement sous contrôle de l'armée syrienne. A 250 kilomètres de là, l'EI est solidement implanté dans la ville de Deir ez-Zor et ses alentours, où il assiège 80 000 habitants pris au piège depuis juillet 2014 dans une enclave contrôlée par Damas. Une zone d'où il peut acheminer des renforts, et où seraient arrivés ces derniers temps des militants en provenance d'autres régions où il perd du terrain.
Le Conseil de sécurité est paralysé par le veto russe. Certes Moscou est isolée et même Pékin ne suit plus. Mais elle reste maîtresse du jeu avec son soutien à un régime en passe de reconquérir une bonne partie de la Syrie dite utile. Ce sera une victoire de courte durée qui ne fera qu'alimenter encore un peu plus le djihadisme mais le Kremlin aura réussi à démontrer qu'il est à nouveau incontournable comme à l'époque de la guerre froide.
Marc Robine - Le Pieu
Du temps où je n'étais qu'un gosse
Mon grand-père me disait souvent
Assis à l'ombre de son porche
En regardant passer le vent
Petit vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu'il sera planté comme ça
Nous n'aurons pas la liberté
(refrain)
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu'il tombe, tombe, tombe
Vois-tu comme il penche déjà
Si je tire fort il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C'est sûr qu'il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté
Petit ça fait déjà longtemps
Que je m'y écorche les mains
et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand si lourd
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons bien la liberté
(refrain)
Mais si nous...
Puis mon grand-père s'en est allé
Un vent mauvais l'a emporté
Et je reste seul sous le porche
En regardant jouer d'autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
Je chante des chansons d'espoir
Qui parlent de la liberté
22/11/2016
Erdogan, l'ivresse du pouvoir”
01/12/2016
Syrie, dans l'enfer d'Alep
Lire aussi : En Syrie, les Occidentaux impuissants, la Russie maîtresse du jeu
Documentaire - Le crépuscule des Assad (Syrie - Arte)
Syrie - Dans l'enfer de la répression :
Source "A propos dela Syrie"
Les causes de la révolte
Militarisation
La voie de la négociation
Lettre de Syrie
Le 29 novembre 2016 à 09h54 La bataille stratégique d'ALEP
COMPTE RENDU
Syrie : à Alep, un carnage parmi les civils en fuite
Des familles tentant de quitter les quartiers est ont été bombardées par des tirs d'artillerie.
Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)
COMPTE RENDU
Les quartiers assiégés d'Alep risquent de devenir un « gigantesque cimetière », selon l'ONU
Une réunion d'urgence du Conseil de sécurité s'est achevée sans résultat.
01/12/2016
Syrie, dans l'enfer d'Alep
nA lire aussi : Bachar moi ou le chaos, Syrie : la révolution confisquée ?,
Bachar moi ou le chaos Par Enkolo dans Accueil
Syrie : derrière la ligne rouge de l'embargo Par Enkolo dans Accueil le 27 Novembre 2017
Capitalisme : Le triomphe de l'argent roi - citoyen actif - 20minutes-blogs
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