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« Dialogue citoyen »
(Cliente en terrasse d'un café venue protester contre les éclaboussures de lacrymo ; 14 avril 2016, Paris, par Jan Schmidt-Whitley/CIRIC) Page FB du photographe :
11 - L'État assassine - Assassin - B.O. La Haine - 1995
11 - L'État assassine - Assassin - B.O. La Haine - 1995
A voir ce très bon film Ma 6 T Va Crack er (6 Т Крэк-оригинальная версия 1997) qui e date pas d'hier, mais reste d'actualité
Mouvement Inter Luttes Indépendant à Jeudi 14 avril BLOCUS / MANIFESTATION contre la loi travail et les violences policièresJ'aime la Page
Ca chauffe en banlieue ! (et on en parle moins...)
Big up aux lycéens de Colombes, Nanterre, Levallois, Villeneuve-la-Garenne, Clichy, Le Blanc-Mesnil, Aulnay, Tremblay... les meilleurs ! On vous attend en tête de la manifestation de jeudi - lieu et horaire seront publiés d'ici ce soir.
#FullSupport #JeunesEtDéters
Premier article de la presse mainstream : http://www.europe1.fr/faits-divers/mouvement-lyceen-nouvelles-interpellations-en-banlieue-parisienne-2717704
Deuxième article de la presse mainstream : http://www.europe1.fr/faits-divers/mouvement-lyceen-nouvelles-interpellations-en-banlieue-parisienne-2717704
la photo de Ballast.
"Ce 14 avril à Montpellier, ce sont plus de 1500 lycéen.ne.s et étudiant.e.s qui ont défilé dans les rues contre la loi travail, accompagné.e.s de quelques travailleurs (CGT, Solidaires et Sud Educ) venus leur prêter main forte. Blocage de plusieurs lycées. Dans la publication de Maurice Chonbou.Via Béa Ausardia. : " Prochaine étape, la charge de cavalerie ??? " à Unis sont nos quartiers !"
é14 avril 2016 – Au niveau de l'avenue Jean Jaurés et de la rue Bouret dans le 19e arrondissement de Paris, la police avait enfermé environ 250 manifestants pour la plupart des étudiants. La cliente d'un restaurant qui était assise à une table à l'extérieur s'est ainsi retrouvée prise au piège sans possibilité de sortir. Après avoir reçu du gaz lacrymogène lancé par les CRS, elle s'est approchée d'eux très énervée sans toutefois représenter un danger pour quiconque. Un CRS s'est alors avancé pour la frapper violemment. Paris, France".
Edit: apport de précisions dans la légende.
All rights reserved Jan Schmidt-Whitley/CIRIC
Gazés, traqués, matraqués, tabassés, blessés : une répression sans précédent à Montpellier contre les lycéens. Ce vendredi 15 avril, plusieurs lycées de Montpellier étaient bloqués afin de poursuivre le mouvement contre la Loi Travail. Alors que la veille, plusieurs...
la publication de Mouvement Inter Luttes Indépendant.
16 h ·
Nantes Révoltée a ajouté 10 photos.J'aime la Page
Nantes,14 avril : résistance populaire, vengeance policière
« La loi travail ne sera pas retirée », ce sont les mots de François Hollande jeudi 14 avril au soir, alors que la plus grande lutte sociale de la décennie secoue la France depuis plus d'un mois. Cette dureté s'est illustrée dans la rue, partout en France quelques heures auparavant. A Paris, des centaines de policiers ont enfermé et gazé une manifestation piégée dans une gigantesque nasse. A Montpellier, une pluie de lacrymogène s'est abattue sur des lycéens. A Nantes, la police s'est vengée de plusieurs semaines de résistances acharnées.
Dès 14H, tous les transports sont coupés dans la Cité des Ducs. Un hélicoptère de la gendarmerie gronde dans les airs à très basse altitude. Des centaines de policiers sont positionnés partout dans le centre. Pourtant, la manifestation n'est prévue que pour la fin d'après midi. La préfecture a donc choisi de manifester sa force des heures avant la manif, pour faire peur, pour dissuader les gens de se retrouver, mais aussi pour faire détester le mouvement par les nantais. Ce sont les organisations syndicales qui dictent le tempo de cette journée : rendez-vous fixé à 16H30 au miroir d'eau. Curieux point de rassemblement, qui permet à la police de filtrer les arrivées. Avant même le début de la manifestation, 12 personnes sont déjà interpellées. La consigne est claire : faire le maximum d'arrestations pour étouffer le mouvement. Finalement, 1500 personnes démarrent vers 17H derrière une bannière syndicale, pour une manifestation improbable.
Très jeune, toujours aussi rapide, ce défilé nantais reste le moins fourni, et le moins dynamique, depuis le 9 mars. Pire, contrairement aux précédentes dates, il n'y a aucun équipement défensif pour protéger le cortège. La police en profite pour mettre une grosse pression sur les manifestants. Un escadron de la BAC, entièrement cagoulé, s'approche plus près que d'habitude, des grenades pleuvent sur le parcours sans qu'il n'y ait aucune casse ni aucun geste offensif. Le dispositif policier est massif. C'est une véritable vengeance extra judiciaire qui s'exerce contre le mouvement.
En route, une action réjouissante : la façade de la préfecture est copieusement recouverte de peinture sous les applaudissements. Celle du Parti Socialiste subit le même sort. Mais le parcours prévu par les organisateurs paraît bien court : une demie heure après le départ, la foule est déjà de retour au point de rendez-vous. Les syndicats disparaissent, mais une nasse policière encadre immédiatement celles et ceux qui restent.
Une rangée casquée ceinture l'arrêt de tram Duchesse Anne. La rue de Strasbourg est condamnée par des dizaines de gendarmes mobiles, tout comme le Cours de 50 Otages. C'est l'hésitation. Une poubelle est enflammée sur la voie de tram, provoquant un envoi massif de gaz. Nouvelle pluie de lacrymogènes devant le cordon de gendarmes. Puis la BAC lance des charges toutes particulières place du Bouffay : les agents cagoulés, complètement survoltés, tirent des balles en caoutchouc et lancent des grenades de désencerclement qui éclatent dans la foule tout en fonçant sur le cortège. Panique. C'est le début d'une chasse à l'homme qui va durer plus d'une heure. D'autres policiers en profitent pour inonder la croisée de trams de gaz, histoire de rendre la situation encore plus confuse. Les aubettes de l'arrête de tram Commerce paient pour ces agressions policières. En trente seconde, il ne reste plus une seule vitre intacte. Ce sera la seule dégradation de toute la manifestation. Place du Commerce, nouvelle charge de la BAC qui tire encore dans tous les sens. C'est la folie. Les gens en terrasse fuient paniqués, les clients qui attendent devant le cinéma Gaummont également. Des grenades atterrissent juste devant des bars. Un lycéen est blessé et évacué. D'autres sont frappés. Fuite désorganisée malgré les appels à rester solidaires. C'est tendu.
Cette véritable partie de chasse sur une foule vulnérable va durer jusqu'aux Chantiers Navals, ou la police continue à gazer massivement au milieu des voitures qui circulent quai de la Fosse. Des jeunes en capuche sont cognés au hasard. Des journalistes qui filment une interpellation reçoivent aussi une grenade lacrymogène. La police a fait 19 interpellations au total. La maire de Nantes appelle quelques instants plus tard à des « sanctions exemplaires ». Fin de partie.
Le soir, encore beaucoup de monde sur la Place du Bouffay pour une Nuit Debout consacrée aux répressions. Débat de circonstance. Plus tard, aux abords de la place, une militante seule est prise à partie par des fascistes qui lui donnent gratuitement des coups de poings au visage. Ce épilogue navrant illustre encore une fois la convergence entre la police qui matraque et l'extrême droite qui frappe. Un riposte antifasciste sera lancée immédiatement, sans parvenir à retrouver les agresseurs.
Le 14 avril, la police a clairement tenté de siffler la fin de la récréation, profitant d'un cortège peu organisé et d'un climat de plus en plus anxiogène. Alors que la manifestation est restée très calme, la police a augmenté ses attaques d'un cran supplémentaire, preuve que c'est toujours l'État qui fixe le degré de violence.
Les prochaines journées de mobilisation auront lieu les 20 et 28 avril prochain. Restons unis, solidaires et déter' jusqu'à la victoire ! Les violences policières ne nous feront pas taire ! »
A lire :
Gazés, traqués, matraqués, tabassés, blessés : une répression sans précédent à Montpellier...
SCALP34.WORDPRESS.COM
un lien. : Ce 14 avril. Forte répression de la jeunesse à Montpellier
REVOLUTIONPERMANENTE.FR
« L'étudiante de 24 ans, prénommée Tamara, a l'intention de porter plainte.
Elle a bien raison de porter plainte. Il faut sanctionner ces brutes épaisses qui se croient tout permis mais aussi ce pouvoir qui, comme Caseneuve, justifie cette répression aveugle et injuste. »
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