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Une décennie perdue


 
 
Une décennie perdue
Deux fois par an, en automne et au printemps, les instituts de recherches économiques publient leurs prévisions sur le développement de l'économie mondiale. Cet automne, il est frappant de constater que tous les instituts, à travers le monde, ont revu à la baisse leurs prévisions de croissance économique et que toutes les projections sont devenues remarquablement prudentes. Au printemps dernier, les analystes économiques étaient beaucoup plus optimistes. Etat : un paradis fiscal pour les riches? , spécualtion sur les matières premières , privatisation de la sécurité , TV lobotomie , Aveugles face à la crise , L'exercice de l'Etat et la noir finance
 
En début d'année, la Banque mondiale soulignait un redressement significatif de la production industrielle mondiale. Mais aujourd'hui, on constate un ralentissement pratiquement dans toutes les régions. L'institut prévoit un taux de croissance dans le monde de 2,5% en 2012, de 3% en 2013 et de 3,3% en 2014. Au regard de la croissance de la population mondiale (actuellement environ 7 milliards d'individus), c'est au moins 3% de croissance qui sont nécessaire pour seulement maintenir l'équilibre.
 
Vidéo à voir - http://youtu.be/RZKQUaVM4rA Quoi ?! L'Union Européenne, Nobel de la Paix - sociale, économique et démocratique. Vraiment ?
  
 
La Grèce plongée en récession pour une erreur de calcul du FMI | Humanite
 
Le ministre des Finances grec, un libéral de droite, a fait un triste calcul. Il a démontré que la troïka s'était trompée amplement sur le résultat des plans d'économie. Malgré les savants calculs et les « modèles mathématiques » du FMI, il faut se rendre à l'évidence : 1 euro de rigueur, c'est 1 euro de moins dans l'économie.
 
Le pari du FMI et de la troïka c'était d'affirmer que certes, les plans de rigueur drastiques vont contracter l'économie mais pas autant que cela va permettre d'économiser. Ils avaient inventé pour chiffrer cela "le coefficient multiplicateur" des mesures de rigueur sur le recul de croissance, qu'ils avaient estimé à 0,5. Autrement dit, quand la Grèce adoptait un plan de rigueur de 50 milliards d'euros, comme celui de 2010, il y aurait 25 milliards d'économies réalisées, et 25 milliards de récession. Sauf que depuis 2009, ce fameux coefficient multiplicateur est égal à 1. Le FMI vient lui même de reconnaitre ses erreurs dans un rétro-pédalage récent
 
Une décennie perdue
 
Le FMI devra rendre des comptes !
Grèce : vers une sixième année de misère
Nikos Fotopoulos « Nous ne voulons pas vivre comme des mendiants »
La Grèce au régime spartiate
 
Accueil> Economie> Une décennie perdue
« Aveugles face à la crise
 
 Une décennie perdue
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
  Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
  Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. EADS : pertes et profits – citizenkhane, spécualtion sur les matières premières - l'indigné révolté, la grande distribution en crise? - citoyenactif, Choc de compétitivité : est-ce bien le moment? - l'indigné, spécualtion sur les matières premières - l'indigné révolté, Le risque systémique – Antalya, La  » crise » permanente - saltabank, World Compagny et la fin de la crise - alterfinance
 
 
 
A voir en autre :
Le Grand Bond en arrière  Dérèglementation , Révolution conservatrice....

Serge Halimi – Le Grand Bond en Arrière [HD] – YouTube : Serge Halimi cite Gary Becker qui estime que les hommes d'affaires ont parfois intérêt à la victoire des partis de gauche, qui sauront avoir plus facilement la confiance des syndicats, et faire passer des réformes sans heurts sociaux[31], d'autant mieux que les partis socialistes acceptent d'abandonner le socialisme[
  
Laurence Parisot au Figaro : «Certains patrons sont en état de quasi-panique»
Le Figaro Publié le 14/10/2012
Laurence Parisot, présidente du Medef, estime au Figaroque des décisions en faveur de la compétitivité doivent être prises d'urgence.
 
« Nous savons tous que la situation économique est gravissime. Moi-même, je disais avant l'élection que la situation était préoccupante. Mais aujourd'hui, nous sommes passés d'un avis de tempête à un avis d'ouragan. Certains patrons sont en état de quasi-panique« ,
 
indique-t-elle dans son diagnostic sur l'économie française.Elle assure par ailleur qu'aujourd'hui, « un vent de fronde se lève de partout, aussi bien des TPE que du CAC 40. Cela va bien au-delà d'une jacquerie fiscale. Si la coupe est pleine, c'est qu'aucun relais ne valorise l'entrepreneur en France. Tout au contraire, il se heurte en permanence à un a priori systématique contre lui. » Lire cet entretien. : INTERVIEW – La présidente du Medef estime que des décisions en faveur de la compétitivité doivent être prises d'urgence.
 
LIRE AUSSI:
» Les patrons n'ont plus confiance dans le gouvernement
» Révolte fiscale: les patrons toujours mobilisés
» «Que le gouvernement nous fasse confiance» 
 
 Medef : pour une baisse des dépenses publiques  Jugeant «essentiel pour la crédibilité de la France sur les marchés» d'atteindre l'objectif affiché par le gouvernement d'un déficit public réduit à 3 %u produit intérieur brut fin 2013, Laurence Parisot a estimé que l'une des manières d'atteindre cet objectif était de présenter un budget qui «réduise deux fois plus la dépense publique qu'il n'augmente les impôts: c'est le choix de la plupart des pays confrontés à des difficultés budgétaires» en citant l'exemple de la Suède et de l'Allemagne. «Nous allons bientôt être considérés comme l'homme malade de l'Europe si nous ne faisons pas des progrès substantiels en matière de flexibilité sur le marché du travail et en matière de réduction des dépenses publiques», a-t-elle déclaré

 
 
Une décennie perdue


 



 
 
Les malheurs de la Grèce

7 000 policiers en civils, des centaines d'agents en infiltration, des tireurs d'élite postés sur les toits, le quartier du Parlement entièrement bouclé, des hommes-grenouilles et des hélicoptères patrouillant dans le ciel...
Une scène de guerre urbaine ? La description du dispositif chargé de la protection du président américain lors d'une visite à Bagdad ?

Les peuples apprécieront !
Au moment où les peuples européens sont de plus en plus sous un régime d'austérité autoritaire, instituée par l'Europe des élites une caste au service de pouvoir financier mondial.
C'est affligeant. Debout les damnés de la terre ...


Non... tout simplement les mesures prises pour protéger Angela Merkel lors de sa visite à Athènes aujourd'hui. Objectif de la visite : renouer avec le gouvernement grec et reprendre des relations "amicales".


C'est dire la tension qui règne en Grèce ces derniers jours alors qu'une nouvelle tranche de l'aide promise par la troïka est censée être versée sous peu.
Si les ennuis de l'Espagne et de l'Italie ont détourné l'attention des médias de la Grèce, celle-ci se trouve dans une situation inextinguible.

L'effet Cantillon appliqué aux banquiers du XXIe siècle
La Grèce au pied du mur

Pour obtenir l'argent de la troïka (UE, FMI, BCE), la Grèce s'est engagée sur des mesures de rigueur en 2013 et 2014. Le gouvernement a ainsi présenté un budget pour 2013 prévoyant 7,8 milliards d'euros de réduction de dépenses et d'économies. De nouvelles restrictions qui ont soulevé l'opposition non seulement de nombreux partis politiques (comme le parti d'extrême-gauche Syrisa) mais aussi de la rue : nouvelles manifestations et grèves ont accueilli ces mesures.
 
Une décennie perdue
 
La BCE : «Baissez les salaires pour préserver l'euro» : La banque centrale européenne (BCE) revient dans une étude publiée ce 8 octobre sur les enjeux structurels de la zone euro. Ses travaux, cette année, sont consacrés exclusivement au marché du travail et l'hétérogénéité des réponses européennes pendant la crise. Ces divergences, selon la BCE, pose une menace sur la convergence des économies de la zone euro.
 
Ses recommandations : « L'ajustement des salaires aux conditions du marché du travail doit être une priorité sur les marchés du travail de la zone euro. Cela facilitera la nécessaire réallocation sectorielle, soutiendra la création d'emplois durables et la réduction du chômage. Des réformes importantes et approfondies du marché du travail sont donc nécessaires pour accroître la flexibilité de l'emploi et des salaires dans la zone euro afin de réduire le risque d'une montée persistante d'un chômage structurel et d'une baisse de la croissance potentielle. Cette stratégie de réforme est aussi l'élément clé pour une reprise économie solide dans la zone euro, qui contribuerait aussi à corriger et à prévenir les déséquilibres macro-économiques et la consolidation fiscale. Une plus grande flexibilité des marchés du travail dans la zone euro réduirait également les coûts d'ajustement associés aux chocs économiques et renforcerait l'efficacité de la politique monétaire. » 
 
En trois ans de crise, les salaires en Grèce ont baissé de plus de 25 %, le chômage touche désormais 21 % de la population active et 54 % des jeunes...
Lire le rapport de la BCE ici

 

La Grèce s'est aussi engagée dans un vaste programme de privatisations qui était censé lui rapporter 50 milliards d'euros. Seulement, pour le moment, il n'a rapporté qu'1,5 milliard.
 
La troïka s'impatiente donc, ne voyant pas les réformes prévues mises en oeuvre. Elle a fixé comme butoir pour l'application de nouvelles mesures le 18 octobre, date du prochain sommet européen.
 
La Grèce a donc jusqu'à cette date pour" faire preuve de sa bonne volonté". En jeu : le versement d'une tranche de 31,5 milliards d'euros sur les 130 milliards qui ont été promis en tout au pays. Une aide qui est d'autant plus vitale pour la Grèce que, comme l'a déclaré le Premier ministre grec Antonis Samaras, les caisses "sont vides", ou du moins le seront d'ici à fin novembre. Le pays a donc désespérément besoin de cet argent.

La Grèce résistera-t-elle à ce traitement de choc ?
La Grèce peut-elle vraiment aller plus loin dans la réduction de ses dépenses ? Les dernières prévisions du PIB laissent peu de doutes : la rigueur détruit la croissance. Le navire grec sombre, et ce bien plus que la troïka peut le renflouer.
 
La dette publique s'aggrave, passant de 169,5% en 2012 à 179,3% du PIB en 2013. Le chômage quant à lui explose littéralement. Il devrait atteindre 24,7% l'année prochaine, contre 23,5% cette année. Mais c'est surtout quand on compare les chiffres actuels avec la situation avant 2010 (un peu plus de 12% de chômage) que l'ampleur de la dégradation du marché du travail saute aux yeux.
 
Une décennie perdue - anarkia
 
Une décennie perdue
 
 
 
Est-ce que ce sera la même chose pour l'économie mondiale ? L'analyste en chef du FMI, Olivier Blanchard avertit que la sortie de la crise financière mondiale (si on pose son point de départ en 2008) pourrait s'étaler sur une décennie et qu'il pourrait ne pas y avoir de véritable reprise avant 2018... une décennie perdue.
 
Les causes en sont les problèmes dans la zone euro, le surendettement au Japon et aux Etats-Unis, le ralentissement en Chine. La croissance par la dépense (« déficit spending ») dans de nombreux pays industrialisés a tellement gonflé la dette publique que, malgré des taux d'intérêts extrêmement faibles, les politiques budgétaire et fiscale sont devenues impuissantes. Cette situation va probablement perdurer dans la mesure où seulement quelques pays ont entrepris, suffisamment tôt, la réduction de leur dette publique.

 
L'année prochaine, le pays devrait connaître sa sixième année consécutive de récession et les derniers chiffres ne sont guère encourageants. Au second trimestre 2012, la récession atteignait 6,2%. Dans ces conditions, comment envisager que la Grèce puisse satisfaire aux demandes actuelles de la troïka ?
 
Et ce d'autant plus que le reste de la zone euro est à son tour menacé par la récession et que le FMI vient de publier des chiffres inquiétants sur la croissance mondiale. Et comme le soulignent Les Echos, pour la première fois, le FMI n'a pas chaussé ses habituelles lunettes roses : "Une nouveauté toutefois. Le ton est plutôt pessimiste. 'La probabilité d'une croissance globale tombant sous les 2% en 2013 -- ce qui signifierait une récession des pays industrialisés et un sérieux ralentissement des marchés émergents et en développement -- a progressé aux environs de 17% contre 4% en avril 2012 (...)', écrivent les économistes. Quelles seraient les causes d'un tel effondrement relatif. Le FMI en recense deux principales : la zone euro, à court terme ; les Etats-Unis, à moyen terme".
 
"'La crise de la zone euro reste la menace la plus évidente pour les perspectives globales', souligne le rapport du Fonds. Tout en saluant les décisions qui ont été prises par les gouvernements de la zone euro et par la Banque Centrale Européenne, en particulier son programme d'achat de titre d'Etat, le FMI appelle à aller de l'avant. Non seulement il faut mettre en oeuvre les décisions qui ont été prises, notamment permettre au Mécanisme Européen de Stabilité (MES) d'intervenir dans le secteur bancaire et sur le marché des titres d'Etats souverains, mais le Fonds appelle à la mise sur pied effective de l'Union bancaire et d'une meilleure intégration budgétaire".
 
Dans ce contexte difficile, le cas de la pauvre Grèce semble scellé.
 
Que va-t-il se passer ?


Deux solutions sont envisagées à court terme par les élites :


1. Une restructuration (encore une !) de la dette grecque, solution soutenue par le FMI. Cette nouvelle restructuration, après celle concernant essentiellement les créditeurs privés, porterait sur les dettes détenues par les autres Etats de la zone euro.
2. Certains membres de la zone euro préféreraient quant à eux donner plus de temps à la Grèce pour mettre en place les réformes indispensables à l'équilibrage progressif de son budget et à la réduction de son endettement.

 
Quelle que soit la situation choisie, elle ne résoudra pas profondément la crise grecque. Seule véritable solution – du moins celle qui semble à la fois la plus probable et la moins douloureuse pour le pays – le défaut total sur les dettes assorti d'une sortie temporaire de la zone euro.
A suivre donc...



 
 
La crise actuelle pourrait bien sûr être résolue par des moyens déjà utilisés historiquement par ce système dans des contextes comparables: guerre(s), destruction massive des moyens de production et de la force de travail. Elle pourrait aussi durer longtemps dans un processus continu d'appauvrissement pour la plupart d'entre nous, secoué par des explosions sans issue, voire des conflits de tous contre tous (concurrence entre groupes, racisme...).
 
Mais on peut aussi penser que, pendant une crise grave prolongée, les automatismes sociaux, les habitudes, s'affaiblissent et disparaissent. Beaucoup de personnes pourraient remettre en question ce qu'elles considéraient auparavant comme naturel, inévitable. Et c'est bien pour cela que les crises sont potentiellement des moments de remise en cause du capitalisme

Une décennie perdue

Alors pourquoi cette analyse, qui est à peu près la seule à se trouver confirmée aujourd'hui par la crise récente, suscite-t-elle si peu d'attention? Pourquoi est-il si difficile d'admettre aujourd'hui que notre système est à bout de souffle? Avant tout parce que personne ne peut vraiment imaginer la fin du capitalisme. L'idée même suscite une peur panique. Tout le monde pense qu'il a trop peu d'argent, mais chacun se sent menacé. Or, c'est bien l'argent mais aussi la marchandise, le travail, la propriété et l'État, qu'il faut attaquer.
 
La disparition de cette société représente un tel bouleversement qu'on ne l'envisage pas nécessairement avec légèreté. Mais nous ne sommes pas condamnés à tenter de sauver l'économie qui chancelle et nous écrase. Nous pouvons contribuer à sa disparition. Pas pour le néant, mais pour un monde sans État et sans classes, un monde pour toutes et tous, sans exploitation ni domination.
_________________________
[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.
 
une baisse tendancielle du taux de profit : alterfinance[c=black], La baisse tendancielle du taux de profit - l'indigné - Skyrock.com[c=black], Qu'est ce que c'est... La Baisse tendancielle du Taux de profit ?
Tags : Union européenne, les indépendances ont le vent en poupe, Catalans, Ecossais, Flamands, Foire du Livre de Francfort, La Grèce, FMI, les plans de rigueur, Nikos Fotopoulos, la troïka, UE, BCE, La dette publique ?, la zone euro, Le Grand Bond en arrière, spécualtion, les matières premières, Flamme bourgeoise, cendre prolétarienne, Medef
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#Posté le lundi 15 octobre 2012 18:19

Modifié le lundi 08 août 2016 11:41

spécualtion sur les matières premières


 
présentation du groupe
 
:Pourquoi parler de crise ?
 
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
 
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
 
 
 
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
 
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. la grande distribution en crise? - citoyenactif, Choc de compétitivité : est-ce bien le moment? - l'indigné, spécualtion sur les matières premières - l'indigné révolté, Le risque systémique - Antalya, La " crise" permanente - saltabankspécualtion sur les matières premières
 
Les indicateurs économiques - Citizen Khane : " Les principales places boursières ont salué l'annonce par la Réserve Fédérale de son troisième tour d'assouplissement quantitatif pour soutenir l'économie. La FED s'est en effet engagée à acheter 40 milliards de dollars de dette immobilière par mois, à poursuivre son opération twist jusqu'à la fin de l'année et à maintenir les taux proches de 0 jusqu'à mi-2015. Ces annonces contribuent à rassurer les opérateurs comme en témoigne l'indice de volatilité VIX qui revient sur ses plus bas annuels."
 
 
" L'affaiblissement du billet vert favorise l'envolée des matières premières. La semaine fut faste pour les positions longues. L'index des commodités (CRB) a gagné plus de 3% sur les dernières cotations. Parmi, les métaux précieux, l'or grimpe à 1780 USD l'once, en profitant de son statut de « valeur refuge » en cas de risques inflationnistes suite au QE3".
 
 
 
EADS : pertes et profits - Citizen Khane : " Après l'annonce du QE3 il y a trois semaines, les indices américains ont atteint de nouveaux plus hauts annuels. Et même si le chômage n'en finit pas de progresser des deux côtés de l'Atlantique et que le potentiel de hausse paraît relativement limité sur les indices américains, le mois d'octobre sera décisif : la tentation pourrait être grande pour les opérateurs d'aller tester la zone des plus hauts historiques".
 
" Les gros exportateurs ont été pénalisés ces dernières semaines par la baisse du billet vert. EADS  a particulièrement subi les foudres du marché, défiance renforcée avec son projet de fusion avec le Britannique BAE Systèmes  C'est bien simple, depuis le début du mois la valeur a perdu plus de 20%. Faut-il y voir une opportunité ?

il y a un gros risque politique sur l'exécution de ce rapprochement : " Or, comme toujours dans les rapprochements, les conséquences sociales pourraient être importantes (probables réductions d'effectif pour "éviter les doublons") 
 
 
"BAE Systems est l'un des premiers fournisseurs de l'Américain Boeing , concurrent direct d'Airbus. Si la fusion se fait, BAE Systems risque de perdre ce gros contrat (Boeing représente d'ailleurs l'un de ses plus gros clients). Dès lors, du point de vue d'EADS, l'intérêt de percer sur le marché américain pourrait en être d'autant plus réduit"

  
Comment et pourquoi votre pouvoir d'achat sera détruit.
comprendre comment fonctionne notre système monétaire actuel afin de rester confiant lors des phases de consolidation qui apparaissent dans tout marché haussier.

C'est le cas pour l'or depuis plus de 11 mois, et ce, en dépit du fait que tous les fondamentaux auraient du pousser le cours vers de plus haut sommets historiques.

 la manipulation du cours de l'or, "un investisseur ne supportera pas la volatilité du cours (surtout pour l'argent) ou les phases de consolidation, la compréhension de notre système monétaire reste l'élément fondamental expliquant la progression régulière de l'or depuis 11 ans".
 
Comment est manipulé le prix de l'or et de l'argent ? - Agoravox TV / Mike Maloney, fondateur du site goldsilver.com dénonce la manipulation des cours de l'or par quelques grandes banques dont la JP morgan et la célebre blythe master.
 
Comment est manipulé le prix de l'or et de l'argent ? S/T :  
 

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Goldman Sachs dope les audiences d'Arte :
GOLDMAN SACHS - Depuis la crise de 2008, la "banque la plus puissante du monde entourée d'un secret impénétrable" passionne toujours autant le quidam. Le documentaire de Jérôme Fritel et Marc Roche, "Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde", diffusé mardi 4 septembre à 20h40 sur Arte, a permis à la chaîne de réaliser sa meilleure audience pour une programmation Thema, avec 717.000 téléspectateurs et 2,7% de part d'audience :
 
Le film enquêtant sur cette "mégabanque" d'affaires américaine, incarnant tous les excès et dérives de la spéculation financière, a été également vu sur le site internet de rattrapage de la chaîne plus de 30.000 fois. Une plateforme interactive et ludique permet de visionner des extraits du film, en cliquant tantôt sur l'épicerie, la librairie, le rayon bricolage... En cliquant sur l'icône épicerie, on peut ainsi avoir accès à une interview de Frédérick Kaufman, journaliste à Harper's magazine, un prestigieux magazine américain d'enquête, qui a publié en 2011 une longue enquête sur les effets de la spéculation sur les matières premières et denrées alimentaires :
L'exercice de l'Etat et la noir finance , Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015", Aveugles face à la crise
 
Planète à vendre - L'exploitation des petits paysans (ARTE, mardi 19 avril 2011 à 20h40) 
 
 
 

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Reportage scandale LOBBYS speculateurs de la faim 2008 : 
 

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 , Goldman Sachs dope les audiences d'Arte

Comment fonctionne le système monétaire international ?
Depuis 1971, date à laquelle le président Nixon a coupé toute convertibilité du dollar en or, le système monétaire est basé sur la confiance qu'on lui accorde, c'est un système de monnaie fiduciaire dans lequel les monnaies sont créées à partir de rien.
 

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Vers Un Crash Alimentaire 1/7 , part 2/7, part 3/7, part 4/7, part 5/7, part 6/7, part 7/7★
 


 

 
Les banques centrales créent ce qu'on appelle la monnaie de base (base money) et les banques commerciales créent à leur tour via les crédits accordés la totalité du reste des monnaies en circulation (via un coefficient multiplicateur situé en théorie aux alentours de 10).
 
La monnaie créée par les banques centrales est de l'ordre de 10% de la totalité des monnaies en circulation. Les banques commerciales "créent" elles, les 90% restants et prêtent avec intérêts.
 
La totalité de l'argent en circulation est donc inférieure à la somme totale due aux banques (capital + intérêts).
 
On peut donc comparer notre système monétaire à un immense jeu de chaises musicales qui oblige les banques à accorder sans cesse des crédits afin de permettre aux différents agents économiques de rembourser les intérêts.
 
Les agents économiques étant eux, tous en concurrence pour obtenir suffisamment de monnaie pour rembourser leurs crédits. Autrement dit un système basé sur l'exponentialité qui oblige à toujours plus de croissance dans un monde qui a lui des ressources limitées.

Quand la musique s'arrête (baisse du nombre de crédits accordés) les faillites d'entreprises (  puis de banques sont automatiques puisque mathématiquement il n'y a pas assez d'argent dans le système pour permettre le remboursement de la totalité des dettes.
 
A lire :
Les faillites d'entreprises en hausse au quatrième trimestre ... - challenge ( " Pas de retour au niveau d'avant-crise,
 
la grande distribution en crise? - citoyenactif: ( " la grande distribution subit un processus déflationniste, A part le Luxembourg et la Suisse, les consommateurs sont victimes du double choc récessionniste et fiscal, En effet, en Allemagne, les lois Hartz ont permis de maquiller les statistiques du chômage en instituant une société à deux vitesses : les travailleurs à bas (et très bas) salaires et les retraités subissent une paupérisation croissante tandis que la concentration de la richesse s'accentue (10% des ménages les plus aisés détiennent désormais 53% de la richesse privée, contre 45% il y a 10 ans). Ces travailleurs pauvres et retraités sont aujourd'hui autant de clients totalement captifs du hard discount mais ils passent leur temps à chercher sur Internet des offres promotionnelles et des bons plans et délaissent peu à peu les vraies boutiques.

Hausse des faillites en France : ( " Les défaillances de PME ont bondi au printemps, Recul des défaillances d'entreprises sous le seuil de 14.000, Recul des défaillances d'entreprises, mais les emplois de plus en plus menacés , Faillites : le nombre de PME touchées croît de 49,5% sur un an , Le spectre d'un retour des plans sociaux plane sur l'après-6 mai ....)

S&P juge le risque de faillites d'entreprises en Europe un peu plus ... - la tribune : Risque accru pour les entreprises tournées vers le marché intérieur " Les risques de faillite pèseront plus sur les entreprises tournées vers le marché intérieur, explique Paul Watters, principal auteur de l'étude, notamment celles "largement exposées aux économies les plus durement frappées par la crise de la dette: la Grèce, l'Italie, l'Irlande, le Portugal et l'Espagne". D'autant plus que celles qui auront besoin de se refinancer en 2012 seront fragilisées par le fait que les banques, contraintes de renforcer leurs capitaux propres, ont tendance à limiter l'octroi de crédits


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Malheureusement peu de gens comprennent notre système monétaire actuel et sa nature inflationniste, il est vrai qu'il est difficile de s'imaginer que notre système monétaire repose depuis 1971 sur... la confiance.
 
Or, toutes les expériences de monnaies fiduciaires se sont soldées par leur dévaluation progressive et leur disparition à une échelle moyenne de 50 ans.
Notre expérience actuelle date donc de 41 ans si l'on se base sur la rupture de la convertibilité des monnaies en or à partir de 1971.
 
La convertibilité des monnaies en actif tangible (l'or) était la seule chose empêchant la dévaluation par les banques et gouvernements car l'or ne peut tout simplement pas être imprimé.
 
Il impose de fait une discipline qui n'a jamais plu aux gouvernements et aux banquiers.
L'or empêche une fuite en avant permanente où toujours plus de dettes financent les obligations et engagements des Etats.
 
La situation économique actuelle
Le problème avec la crise actuelle, c'est que nous sommes arrivés à un pic de la dette. Les agents économiques privés sont arrivés à un niveau de saturation de dette, donc la création monétaire ne peut plus être assurée par le secteur privé.
 
La création monétaire diminue entraînant la raréfaction de monnaie, donc les faillites d'entreprises ne pouvant plus rembourser leurs dettes, la faillite des banques qui dépendent de la capacité des agents économiques à payer les intérêts et finalement la crise globale que nous vivons depuis 2008.
La seule façon de réamorcer la création monétaire est le recours à l'impression monétaire par les banques centrales via la monnaie de base. Impression qui ne fait qu'augmenter dans les faits la dette gouvernementale.
 
Aujourd'hui , les dirigeants nous proposent  deux options : continuer dans une logique de création monétaire ( et retarder l'échéance) ou appliquer une politique d'austérité conduisant à un effondrement de type crise des années 30.
 
Dans les deux cas les solutions ne sont pas durables et conduiront à une forme d'effondrement : hyperinflation (dévaluation monétaire) ou effondrement déflationniste de type années 30.
 
Le choix entre l'une de ces deux options sera déterminé par les politiques. Or qui vote ?
 
Le choix entre inflation ou austérité sera politique
Ceux qui votent sont majoritairement les agents économiques privés qui ont besoin de l'accès au crédit pour rembourser les intérêts de leur dette. Ce sont les masses qui peuvent se révolter.
 
Ce sont aussi les grandes entreprises qui ont majoritairement recours au crédit pour se financer.
 
Cette double pression sur les politiques a toutes les chances de conduire au choix de l'inflation et de la "relance", d'autant plus que la déflation augmente le poids de la dette, ce qui n'est pas du tout dans l'intérêt des gouvernements.
 
Ben Bernanke, le président de la Banque centrale Américaine (la Fed), a été un étudiant de la crise des années 30. Elle a eu lieu selon lui, suite à une chute de la création monétaire et il a affirmé très clairement qu'il ne laisserait pas une crise déflationniste comme celle des années 30 se reproduire.
 
Le choix sera donc celui de l'impression monétaire et de l'inflation ; il permettra d'éviter un effondrement déflationniste et trop de mouvements sociaux mais se traduira par une destruction du pouvoir d'achat des monnaies et des risques de crise hyper-inflationniste.
 
L'hyperinflation détruira le pouvoir d'achat des monnaies mais tous les actifs tangibles n'en bénéficieront pas. Tous les actifs ayant déjà bénéficié de plus de 40 ans de bulle du crédit (immobilier, actions, bons) ne performeront pas aussi bien que les métaux précieux en terme réel. Ils augmenteront en terme nominal comme dans toute crise hyper-inflationniste mais s'effondreront en terme réel, c'est à dire comparé à l'or.
 
L'or
Les banques et les gouvernements n'aiment pas l'or en raison de la discipline qu'il impose.
Dans le contexte actuel et au vue des choix politiques à venir, la fuite en avant vers l'impression monétaire continuera.
 
Seule une augmentation des taux d'intérêt pourrait permettre de redonner confiance dans la capacité des monnaies à garder leur pouvoir d'achat mais aucun gouvernement ne peut se permettre une augmentation des taux d'intérêt aujourd'hui.
 
Les annonces des banquiers centraux nous font parfois douter du recours à la "planche à billets" , la poursuite de la dévaluation des monnaies est garantie et l'or continuera sa progression.
 
La consolidation des cours depuis 11 mois doit s'analyser comme un mouvement relativement court dans un marché haussier de long terme, qui s'explique principalement par la manipulation des cours .


On comprend logiquement pourquoi nos "élites" ont un intérêt à manipuler les cours au vu du fonctionnement de notre système monétaire. La manipulation limite la progression d'un des rares indicateurs qui révèle la destruction du pouvoir d'achat des monnaies : l'or.

Lorsque la crise hyper-inflationniste se manifestera, il n'y aura pas assez de chaises (or physique) pour tout le monde.
 
LA Fin De La Pauvreté (HD) 1/7 part 2/7, part 3/7, part 4/8, part 5/8, part 6/8, part 7/8, part 8/8, ★
 

 


Conclusion :
spécualtion sur les matières premières
sortir de la logique du capitaliste ( néolibéral) et virer ces dirigeants.
 
Les insurgés de la Terre (1) :  , part 2, part 3, part 4 , part 5

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#Posté le dimanche 14 octobre 2012 18:01

Modifié le samedi 02 avril 2016 11:25

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