
" End of Liberty "
End of Liberty (Fin de la Liberté en français) expose une perspective de vie réelle, comment les Etats-Unis sont menés pour un effondrement sociétal complet. Tous les Américains connaissent maintenant des signes d'averti...
ssement innombrables sur une base quotidienne qu'un effondrement sociétal est proche.
Malheureusement, la plupart des Américains ne comprennent pas la signification de ces signes d'avertissement.
Chaque signe d'avertissement isolément n'a pas l'air d'avoir beaucoup de sens, mais ensemble ces signes d'avertissement présentent un dessin très détaillé de l'état actuel de l'économie américaine et où ce pays est bientôt mené...
À VOIR ABSOLUMENT !
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End of Liberty (La Fin de la Liberté) - VOSTFR

P58 : Mathieu Rigouste : " Les Marchands de la peur : la bande à Bauer et l'idéologie sécuritaire"
Les thinks thanks sont des appareils de propagande. Financés par des fonds publics, ces entreprises ou des particuliers, ce sont des instituts chargés de promouvoir une idéologie au service d'un groupement d'intérêts, des club chargé de d'influencer le pouvoir politique et/ou des " populations". Selon Christian Harburot, le directeur de l'Ecole de guerre économique, les thinks thanks " regroupent des patrons, des universitaires, des chercheurs qui réfléchissent ensemble sur un point précis pour atteindre dans le but d'atteindre un objectif" " Think thanks, un conseil made in USA", le journal du management, avril 2004. Think tanks : Un concept "made in USA" - Le Journal du Net
source: Simone Wapler de la Chronique Agora : Simone Wapler
Rédactrice en Chef
La Stratégie de Simone Wapler
Toutes les conditions sont réunies pour une banqueroute générale, Krach Boursier | La Chronique Agora - Part 2
Think Thank et " crise" - citoyenactif, Think Thank - l'indigné
Extrait d'un think Thank financier La France en faillite | Publications Agora :
Simone Wapler. Ingénieur de formation, j'ai quitté depuis plus de 13 ans les laboratoires pour les marchés boursiers. En 2001, je suis entrée dans un groupe de presse et d'édition spécialisé dans les recherches et les conseils financiers. J'en ai pris la direction éditoriale depuis 2011.
Ce qui fait notre différence est que nous sommes totalement indépendants. Attention, nous ne sommes pas pour autant isolés. Notre force est d'appartenir à une sorte de “think tank” financier, un réseau de spécialistes unique au monde : Agora Inc.
Nous ne servons ni la cause des multinationales cotées en bourse, ni celle des grandes banques mais, à travers plus de 120 pays, celle de milliers et milliers de particuliers"
Front De Gauche Sud-Est
«Notre prévision peut être résumée en trois mots: toujours pas d'élan», a déclaré jeudi le chef du département de la conjoncture, Cédric Audenis en présentant la note de conjoncture de décembre dont les perspectives vont jusqu'à fin juin.
L'Insee table sur 10,5% de chômage mi-2013
DERNIER BUDGET FRANCAIS A L'EQUILIBRE : 1973
C'est en 1973 que le dernier budget à l'équilibre a été voté en France. Ensuite, quelle que soit leur couleur politique, les divers gouvernements ont contribué à tour de rôle à élargir le trou de la dette. De 1974 (élection de Valéry Giscard d'Estaing) à aujourd'hui, la dette française est passée de 21,2% du PIB à 89,3%. Il est toujours plus simple d'endetter un pays que d'augmenter les impôts...
Pendant les années Mitterrand, la dette publique est passée de 110,1 milliards d'euros en 1981 à 662,8 milliards d'euros en 1995. Elle a été tout simplement multipliée par six.
Pendant les années Chirac, la surenchère a continué -- elle s'est même accélérée. En moins de 10 ans, la dette a doublé. En 2007, elle était à 1 208,9 milliards d'euros.
Pendant les années Sarkozy, la crise a éclaté, entraînant dans son sillage baisse des recettes fiscales. Qu'importe, l'Etat renfloue les banques, les dépenses flambent et le déficit public atteint les 106,2 milliards d'euros pour la seule année 2008.
Mais que les marchés et les épargnants se rassurent, nous ne nous arrêterons pas en si bon chemin. L'heure du Grand emprunt a sonné. En 2009, l'Etat lève ainsi sur le marché pas moins de 173,9 milliards d'euros. Pour exemple, cela correspond aux postes actuels de dépenses de l'enseignement, de l'armée, de la police, de la justice, de Bercy et du ministère de l'emploi.
A vrai dire, la crise de 2008 n'a été qu'un prétexte pour accélérer la mauvaise gestion financière du gouvernement français et notre déficit public. Le gouvernement a ainsi poursuivi selon Thomas Piketty, professeur à l'Ecole d'économie de Paris s'exprimant dans Le Monde du 24 juin 2009, sa "fuite en avant vers l'endettement".
A vrai dire, si l'on voulait réellement endiguer l'hémorragie de la dette, il faudrait réduire sérieusement toutes les dépenses et couper les budgets de tout le service public, c'est-à-dire :
- fermer tous les écoles, hôpitaux, commissariats et tribunaux ;
- licencier tous les professeurs, le personnel hospitalier, les policiers, les magistrats ;
- ne plus collecter les impôts et couper toutes les subventions ;
- vendre aux enchères les routes et les hôpitaux...
On aperçoit vite l'absurdité d'une telle logique -- d'autant qu'elle ne permettrait même pas de maintenir le budget en équilibre et encore moins de rembourser les dettes.
EN 2011, LA SECURITE SOCIALE FRANÇAISE A DU D'EMPRUNTER LA MEME SOMME QUE LE PORTUGAL ET L'AUTRICHE REUNIS
La situation financière désespérante et probablement désespérée a un responsable que tout le monde connaît, c'est le contribuable, c'est-à-dire toi et moi. La dette de mon pays sert à payer les fonctionnaires, dont tout le monde connaît le salaire moyen mais pas le salaire médian, curieux non ? Elle sert à payer ma retraite et celles des gens de ma génération et de celle d'au-dessus. Quelqu'un est contre ? Et puis encore plein de choses pas nécessaires comme les frais de santé publique et autres fariboles. Enfin, elle finance plein de niches fiscales car, comme tout un chacun le sait, plus les riches sont heureux moins il y a de pauvres au chômage. Je connais quelques pays où les riches sont bien malheureux...
Les banques, les pauvres !
Bon, je peux comprendre le raisonnement qui avance que, puisque les gens, vous et moi donc, ne veulent pas renoncer à leurs acquis sociaux, à leur train de vie, à leur smartphone, il faut qu'ils payent, soit. Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi nous devons payer aussi quand les banques coulent. Un compagnon me glisse dans l'oreille que c'est l'application d'une règle d'or du système libéral, la privatisation des profits et la socialisation des pertes. Je comprends et j'acquiesce. Mais alors que viennent faire là tous ces partis et groupes néonazis qui semblent pulluler et gonfler ces derniers temps ? Le même compagnon me dit que le capitalisme n'a plus besoin que ces gens arrivent au pouvoir. Leur chauvinisme, leur nationalisme, leur racisme vont à l'encontre de la volonté capitaliste de contrôler le monde entier. Pour le capitalisme, seule compte la force de travail à exploiter, qu'elle soit noire, blanche, jaune ou bronzée, qu'elle parle grec, français ou javanais. Par contre, le système se sert de leur présence pour faire peur : « Rappelez vous ce que le fascisme sous toutes ses formes a apporté, la guerre, la Shoah, etc. Il est arrivé pour résoudre la crise sociale du moment. Donc tenez-vous tranquilles, payez et il n'y aura pas de fascisme au pouvoir ! » Cela n'empêche pas les guerres d'arriver ou de menacer. Syrie : Assad et ses affidés contre le peuple ; Israël contre l'Iran ; le Soudan du nord contre celui du sud ; en Afghanistan, perdue avant même d'avoir commencé. Et il y a aussi cette guerre que l'on affuble du nom de crise, la crise devant laquelle tout le monde plie les genoux.
La Grèce, la France et l'Allemagne
Donc, tout a commencé en Grèce. Ce pays où personne ne paie d'impôts et surtout pas madame Lagarde qui n'en paie pas du tout. Elle avait, dans son admonestation en direction des Hellènes, oublié de mentionner que les riches, curés ou armateurs, eux aussi n'en payaient pas du tout. Les premiers à réclamer et imposer une remise en ordre furent les gouvernants allemands. Ce qui leur était bien plus facile que de payer leur dette. Eh oui, l'Allemagne doit de l'argent à la Grèce, et pas qu'un peu ! C'est une histoire de dommages de guerre. Les forces de Hitler ont occupé ce pays et, en le quittant, ont tout rasé. Elles ont laissé un champ de ruines et des morts par milliers (560 000 environ). C'est ce que l'on appelle la politique de la table rase. Après la guerre, les Alliés ont chiffré à 7 milliards de dollars de 1938 les dommages de guerre que Berlin devait à Athènes. Sous diverses formes et justifications, l'Allemagne de l'Ouest a versé 1,7 milliard de dollars à divers requérants. Le reste sous diverses raisons, comme la division du pays, n'a jamais été versé. Un historien allemand a enquêté sur le sujet. Il chiffre à 106,5 milliards de dollars d'aujourd'hui la somme que Berlin doit et qu'elle se refuse à payer. Tout est soumis à un traité de paix formel entre les deux pays qui n'a jamais été signé alors que ce fut le cas avec l'Italie, la Bulgarie, la Roumanie et la Finlande. Italie et Bulgarie, anciens occupants, ont versé 2,2 milliards de dollars d'aujourd'hui. Rien ne dit que ces dommages de guerre, s'ils avaient été payés, seraient allés au bon endroit.
Dans mon désir sans borne d'aider notre nouveau gouvernement à régler le différentiel monétaire avec madame Merckel, je vais lui faire une suggestion. Il parait que, depuis un certain Charles de Gaulle, la France est équipée d'une force de frappe qui lui coûte bonbon. Elle était destinée à défendre le monde libre, dont l'Allemagne, contre le communisme. Celui-ci étant disparu et remplacé fantasmatiquement par le terrorisme masqué international et islamique, je me permets de suggérer que l'on adresse à Berlin un rappel de charge dans un premier temps et que, dans un deuxième temps, on se débarrasse de ce fardeau qui pèse sur notre budget. Le bien nommé Le Terrible coûte 2 milliards d'euros. C'est le quatrième, après Le Triomphant, Le Téméraire et Le Vigilant. Puisqu'il faut faire des économies pour payer la dette de notre beau pays, commençons par couper là-dedans. Le lecteur aura remarqué, sans que je le lui dise, qu'il y a un domaine, celui de la défense, dont personne ne parle jamais.
En Grèce, même ceux qui ont les faveurs de la gauche radicale française, n'abordent jamais ce côté des choses. Pourquoi ?
Pierre Sommermeyer
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