Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

l'indigné

Photo de l-indigne

l-indigne

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (29)

  • Planète Rap
  • Mobile
  • Radio Libre
  • Écolo
  • Zlataneur
  • Anniv' 2 ans

» Suite

Son profil

Profil de l-indigne
l-indigne40 ans
Paris (75)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 15/08/2011 à 12:31
  • Mise à jour : 05/04/2022 à 16:00
  • 1 231 articles
  • 1 104 commentaires
  • 367 amis
  • 389 favoris
  • 3 101 kiffs

Tags

  • ARTE
  • arte
  • capitalisme
  • chronique
  • crise
  • Documentaire
  • documentaire
  • enquête
  • film
  • films
  • finance
  • Globalia
  • histoire
  • musique
  • néolibéralisme
  • obsession sécuritaire
  • politique
  • racisme
  • société
  • surveillance

» Suite

Ses archives (1 231)

  • SAUVAGES au c½ur des ZOOS HUMAINS
  • Les damnés de la Commune | ARTE
  • La fabrique de l'ignorance | ARTE
  • ON THE LINE, les expulsés de l'Amérique

» Suite

Ses fans (491)

  • caanna
  • pavolita12
  • messagesauxfans
  • nanaisdu33
  • Julianaattie20
  • dialoguesdoutretombe

» Suite

Sources (389)

  • Johane839
  • ErvaDoser
  • Stella-et-l-utopie
  • Solide-Psychose
  • Aurianelib
  • ombrezion-228
  • titou393
  • Katy733060

» Suite

Son morceau préféré

Berurier Noir - Salut à toi

Jouer Au fond, nous n'avons que peu de choses à dire. Berurier Noir - Salut à toi

Skyrock music Ajouter

Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)

RSS

Retour au blog de l-indigne

2 articles taggés technologie

Rechercher tous les articles taggés technologie

Un Monde sans Humains ?


Crise écologique, intelligence artificielle : le monde ressemble de plus en plus à de la science-fiction. Un genre qui connaît aujourd'hui un succès inédit. Car en imaginant l'avenir, il fait écho aux angoisses de notre temps. 
 
3 La fonte de glaciers de l'Ouest de l'Antarctique « a atteint un point de non-retour » 
Carte des risques liés au réchauffement climatique. | Infographie Le Monde
 
Une compilation de près de 20 000 études et projections scientifiques par plus de 800 chercheurs. Voilà la somme que représente le cinquième rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui vient d'être intégralement achevé et s'avère bien plus alarmant que la précédente édition, en 2007.


Après un premier volet qui concernait l'état des connaissances scientifiques sur le réchauffement, publié fin septembre 2013, et un deuxième sur l'impact et l'adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes, fin mars, la troisième partie a été révélée, dimanche 13 avril, et concerne cette fois les mesures d'atténuation de ce dérèglement climatique. Voici une synthèse en dix points pour s'y retrouver dans ces travaux colossaux, les plus complets sur le sujet.


Jusqu'à 4,8 °C d'augmentation de la température d'ici à 2100
Un réchauffement d'origine humaine
Une hausse du niveau des mers jusqu'à un mètre

Une insécurité alimentaire exacerbée : What is a famine? A lire Emeutes de la Faim: comment nourir la planète? Santé : la loi du marchéUn ouvrier tamise des grains de blé dans la cour du Comité des ventes de produits agricoles, près d'Ahmedabad. | REUTERS/AMIT DAVE


Des problèmes sanitaires en hausse ; ÉPIDÉMIES, LA MENACE INVISIBLE , L'énigme de l'autisme , ¼ufs contaminés. Les risques du Bisphénol A ?
 

Des risques accrus d'extinction des espècesPlus de conflits et de rivalitésUn coût économique de l'inaction élevéUn modèle énergétique à revoirLire l'entretien « Dans certaines régions d'Europe, la production de blé pourrait baisser de 20 % d'ici à 2030 »


« Ces résultats indiquent que les valeurs maximales en France pourraient facilement dépasser 50 °C à la fin du XXIe siècle », écrivent les chercheurs
 
Et si le réchauffement climatique continuait sur sa lancée ? Ce film documentaire imagine avec un grand réalisme et d'après les estimations et simulations scientifiques du GIEC ce que serait la terre et la société en 2075 si rien n'était fait pour enrayer le réchauffement climatique, ceci à travers la vie d'un certain nombre de personnages situés aux quatre coins du globe. Chaque extrait dure 20 minutes.  partie 1 : Partie 2 : Et partie 3 : Partie 4 : Partie 5 :
 
En réalité une foule d'indices convergents suggèrent que ce dépassement est déjà amorcé et que les chances d'une sortie civilisée du capitalisme dépendent avant tout de notre capacité à distinguer les tendances et les pratiques qui en annoncent la possibilité. 2016, nouvelle année noire pour le climat,  Urgence, cela chauffe !!
 
Englouties par les eaux (1)National Geographic la publication de National Geographic.
Ces cartes montrent le monde tel qu'il est aujourd'hui, à une différence près : toute la glace continentale a fondu et s'est déversée dans la mer, élevant son niveau de plus de 65 mètres.



Ajouter cette vidéo à mon blog


 





Un Monde sans Humains ? 
Philippe Borrel - ARTE France, Cinétévé - France - 2012 - 96'
Les machines ont envahi notre quotidien. Nous prépare-t-on une réinvention extraordinaire de nos corps et de nos vies ?
Enquête sur un monde «transhumaniste» en genèse à la croisée des technosciences, de la philosophie et de la politique, dont les enjeux nous concernent tous.
Rencontre avec les réalisateurs et débat / ARTE - Un monde sans humains - YouTube / Ont les machines pour seul but d'améliorer notre existence ?

Derrière l'objectif de Philippe Borrel, des savants et des experts prônent l'avènement d'une société dans laquelle des hommes hybrides seraient connectés en réseau et se verraient remplacer par des cyborgs pour les tâches pénibles.

Ce documentaire lève le voile sur un univers futuriste, plus réel et imminent qu'il n'y paraît.
http://www.arte.tv/fr/un-monde-sans-humains/6968786.html
 
http://www.arte.tv/fr/un-monde-sans-humains/6968786.html 
 
 
Que se passerait-il si les humains disparaissaient de la Terre ? en Francais

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
Full Movie  : Population Zero, Un Monde Sans Homme 1/2

 

Certains croient fermement qu'une civilisation disparue il y a 1000 ans avait déjà prédit la fin des temps alors que la météorologie actuelle ne permet de prédire la pluie que quand elle nous tombe déjà dessus. Mais bon il faut avouer que les Mayas étaient malins donc on sait jamais. 
Quoi qu'il en soit, si l'humain venait à disparaitre il pourrait être intéressant de se demander comment la vie continuerait sur Terre sans nous. C'est exactement ce que les gars de la chaine TV Syfy vous proposent de découvrir dans ce documentaire. “Population Zero – Un monde sans homme” vous montre ce qu'il se passerait si l'homme venait à disparaitre. La nature reprend le dessus et efface petit à petit toute trace de notre présence au cours des 30.000 années suivant notre disparition.
 
Population Zero, Un Monde Sans Homme 2/2

Ajouter cette vidéo à mon blog



Un monde sans humains ? - videos.arte.tv :  http://videos.arte.tv/fr/videos/un-monde-sans-humains--7002076.html
 
30,5°C en Corse, il n'a jamais fait aussi chaud la nuit en métropole
La température n'est pas descendue en dessous de 30,5°C dans la nuit d'hier à aujourd'hui à Marignana, en Corse, un record de chaleur nocturne pour la France métropolitaine, annonce Météo-France.
Le précédent record nocturne, 30,3°C, avait été enregistré à Menton pendant la canicule de 2003, a précisé l'organisme de prévision. Selon lui, ce record a été battu à cause du sirocco, un vent très chaud et sec, qui a soufflé dans la nuit d'hier à aujourd'hui.
Notre partenaire, La Chaîne météo*, place actuellement trois départements en alerte orange en raison des fortes chaleurs. 21 autres le sont en raison des risques d'orages.
LIRE AUSSI : 
» Orages : 21 départements du Centre et du Nord-Est en alerte orange


Climat: 5% de chances d'atteindre l'objectif de l'accord de Paris
Il y a 5% de chances de limiter le réchauffement climatique à 2°C, l'objectif fixé par l'accord de Paris scellé par la communauté internationale en 2015, selon des chercheurs. Les chances d'atteindre l'objectif de 1,5°C, également contenu dans l'accord, ne sont que d'1%, estiment-ils dans une étude parue hier dans la revue Nature Climate Change.

 
Sur la base de ces données, "l'augmentation de la température est probablement de 2°C à 4,9° C, avec une valeur médiane de 3,2°C et 5% de chances qu'elle soit inférieure à 2°C", écrivent les chercheurs. Leurs calculs ne sont pas basés sur le pire scénario mais intègrent des efforts pour limiter l'utilisation des énergies fossiles, précisent-ils.
Ils ne prévoient pas en revanche la possibilité d'un basculement massif et soudain vers les énergies renouvelables. "Atteindre l'objectif d'un réchauffement inférieur à 1,5°C suppose que l'intensité en carbone baisse bien plus vite que dans le passé récent", relèvent les chercheurs.
» Lire aussi - Accord de Paris : ce que disent les points-clés

 Thèmes : Documentaire, Environnement & Sciences, Société , technologie, avenir, nanotechnologie, robot
 
A quoi ressemblerait la population mondiale si la Terre n'avait que 100 habitants ? LE MONDE | 11.07.2017  Par Asia Ballufier
 Chaque année, environ 86 millions d'êtres humains naissent sur la planète. En juin 2017, la population mondiale s'élève à 7,6 milliards d'individus. En 2050, selon l'Organisation des nations unies (ONU), elle devrait atteindre les 10 milliards. Mais comment vivent ces milliards d'individus ? Où résident-ils ? Quelle langue parlent-ils ? Dans quelles conditions vivent-ils ? Avec quels moyens ? Pour mieux visualiser ces différents éléments, imaginons qu'il n'y ait que 100 personnes sur la planète
 
 
«Merci, chers politiciens, pour ce beau sommet du G20 !». Le tabloïd allemand Bild n'a pas manqué d'ironie en publiant dimanche sur Facebook un montage vidéo spécial G20 de Hambourg déjà vu plus de 2,6 millions de fois. .A voir sur Facebook, G20 : à Hambourg, la police a été battue Sous-développement: quand Macron s'attaque au ventre des femmes africaines Point. Interview à retrouver, ici.[VIDÉO] Au G20, interrogé sur l'#Afrique, Emmanuel #Macron se lâche sur les «7 à 8 enfants» des Africaines. Un problème «civilisationnel».
A lire Emeutes de la Faim: comment nourir la planète?
 
Sénario Catastrophes Et si la population mondial doublait

 
Jean-Michel Salles - "Peut-on donner une valeur marchande à la biodiversité ?"La biodiversité, ou diversité biologique, est en danger. Aujourd'hui, 1,8 millions d'espèces, sur des dizaines de millions, ont été déjà répertoriées. Une forte diversité qui s'est peu à peu dégradée au cours des derniers siècles. Un très grand nombre d'espèces ont en effet disparu de la surface du globe, conséquence pour la plupart de catastrophes naturelles (volcanisme géant...). Un processus que l'activité humaine est en train d'accélérer aujourd'hui. En ce début de XXIe siècle, les enjeux sont multiples parmi lesquels mieux comprendre la dynamique et valoriser la biodiversité, mobiliser les acteurs sociaux et politiques sur le sujet ou encore préparer une alternative. Jean-Michel Salles, chercheur au CNRS, aborde l'importance de cette biodiversité dans nos vies.
 
C'est une étude peu réjouissante et particulièrement inquiétante : dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), Les deux principaux auteurs, Gerardo Ceballos (université nationale autonome du Mexique) et Paul Ehrlich (Stanford), n'en sont pas à leur coup d'essai sur le thème de l'érosion de la biodiversité.des scientifiques américains et mexicains affirment que les espèces de vertébrés (mammifères, reptiles, oiseaux, amphibiens, etc) connaissent un recul massif de leurs effectifs à travers le monde sur des territoires d'habitat toujours plus restreints depuis 1900. Soit les prémices de ce que les biologistes appellent la sixième extinction de masse. «La disparition des populations est un prélude à celle des espèces, préviennent les scientifiques. Une analyse détaillée du déclin des effectifs d'animaux rend le
problème bien plus clair et inquiétant», écrivent à ce propos les auteurs de l'étude racontée par le Monde.


 La sixième extinction de masse des animaux s'accélère En juin 2015, ils avaient déjà publié une autre étude, qui montrait que la faune de la Terre était d'ores et déjà en train de subir sa sixième extinction de masse. Ils avaient calculé que les disparitions d'espèces ont été multipliées par 100 depuis 1900, soit un rythme sans équivalent depuis l'extinction des dinosaures il y a 66 millions d'années.


Au total, plus de 50 % des animaux ont disparu depuis quarante ans, estiment les scientifiques, qualifiant leurs résultats de « prudents ».   Au total, 32 % des espèces étudiées déclinent ( 30 % des espèces en déclin sont communes ) ainsi en termes de population et d'étendue sur l'ensemble des continents. Cela peut aller des espèces communes comme le lion aux espèces plus exotiques comme le pangolin ( 7 000 guépards et 35 000 lions africain) et cela confirme les précédentes observations comme celles du Fonds mondial pour la nature (WWF) qui concluaient que les populations de vertébrés ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012.en utilisant la base de données de la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) Des conclusions qui confirment celles du dernier rapport « Planète vivante » publié en octobre 2016 par le Fonds mondial pour la nature (WWF) 


« La réelle ampleur de l'extinction de masse qui touche la faune a été sous-estimée : elle est catastrophique », jugent-ils. Au total, 32 % des espèces étudiées déclinent en termes de population et d'étendue. Plusieurs mammifères qui se portaient bien il y a une ou deux décennies sont maintenant en voie de disparition.
Deux ou trois décennies pour agir... Les causes de ces reculs sont connues : ils sont imputables, en premier lieu, à la perte et à la dégradation de l'habitat sous l'effet de l'agriculture, de l'exploitation forestière, de l'urbanisation ou de l'extraction minière. Viennent ensuite la surexploitation des espèces (chasse, pêche, braconnage), la pollution, les espèces invasives, les maladies et, plus récemment, le changement climatique.


« Les moteurs ultimes de la sixième extinction de masse sont moins souvent cités, jugent les auteurs. Il s'agit de la surpopulation humaine, liée à une croissance continue de la population, et de la surconsommation, en particulier par les riches. »
« Nous ne disposons que d'une petite fenêtre pour agir, deux ou trois décennies au maximum », préviennent-ils. Il en va de la survie de la biodiversité mais également de l'humanité. « L'érosion des espèces entraîne de graves conséquences en cascades sur l'ensemble des écosystèmes, ainsi que des impacts économiques et sociaux pour l'humain », rappelle Gerardo Ceballos. La faune et la flore nous rendent en effet de nombreux services, qu'il s'agisse de la pollinisation, de l'amélioration de la productivité des terres, de l'assainissement de l'air et de l'eau ou du stockage du CO2.


Parmi les actions prioritaires, les scientifiques appellent à réduire la croissance de la population humaine et de sa consommation, à utiliser des technologies plus efficaces et moins consommatrices, à freiner le commerce des espèces en voie de disparition ou encore à aider les pays en développement à maintenir les habitats naturels et à protéger leur biodiversité.

L'extinction de l'HOMME
 

Le scénario de Nicolas Stern est entrain de se réaliser : citoyen actif : Nicholas Stern: La situation climatique - et ce que nous pouvons faire ...

1 La sixième extinction de masse des animaux s'accélère , Arctique, la conquête glacial, Le monde sous les bombes de Guernica à Hiroshima
Le mystère de la disparition des abeilles, Comprendre le capitalisme japonais
un monde en crise + investication spécial
un monde en crise + documentaire
 
Investigatiôns
Magazine de reportages  
Investigations : L'Espagne au bord de la crise de nerfs / (54min30) Islande : Takk, la crise

 
Des scientifiques inquiets de l'accélération de la sixième extinction de masse des animaux, Le mystère de la disparition des abeilles
Jean-Michel Salles - "Peut-on donner une valeur marchande à la biodiversité ?"  
 
 
 
11/07/2017
 La sixième extinction de masse des animaux s'accélère
Un monde sans humains
Le présent s'écrit au futur


Transgenre - 45 livres - Babelio : 
ScienceFiction.com
 

Site web de divertissement · 7 833 aiment ça

 
A lire Arctique, la conquête glacial
 
Une redécouverte isolé


La science-fiction, miroir du présent - Livres - Télérama.fr
1957 Sayonara - YouTube
les dystopies au présent
Seulement un mauvais rêve ?
"Zombiland ou les les gestes inconscient "
Cowboys & envahisseurs, La science fiction, Abyss


Investigations : L'Espagne au bord de la crise de nerfs / (54min30) Islande : Takk, la crise
 Un Monde sans Humains ? Gasland, Les révolutions du gaz de schiste, Enjeux alimentaire, spéculation et chute tendanciel du taux de profit, Take Shelter
 
Does "global warming" mean it's warming everywhere?Tuesday, May 6, 2014
 Does "global warming" mean it's warming everywhere?  - L'indigné Révolté,
 
2050_et_si_c_etait_maintenant.avi
Changements climatiques, une menace pour la paix doc complet :
Sénario Catastrophes Et si la population mondial doublait :
Population Zero Un monde sans homme Documentaire new 2013
Englouties par les eaux(Documentaire).
Climat : assez de discours, des actes ! - Antalya


« Un anéantissement biologique ». 


1 La sixième extinction de masse des animaux s'accélère , Arctique, la conquête glacial, Le monde sous les bombes de Guernica à Hiroshima
Changements climatiques, une menace pour la paix doc complet :
Sénario Catastrophes Et si la population mondial doublait :
Population Zero Un monde sans homme Documentaire new 2013
Englouties par les eaux(Documentaire).
 
 
Climat: une espèce animale sur six menacée
Lu sur le Monde 461 partages
 
Quand l'hôpital retient son souffle 
Par Enkolo dans Accueil le 11 Novembre 2020 


Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés

16:25 - Les Gafam préemptent également notre capacité à rêver - LIBERATION.FR 
09:20 - Notre monde, c'est l'ailleurs - LIBERATION.FR



Diffusion intégrale du rapport sur les rassemblements de personnes.
Un Air de Révolution
A l'extrême droite du père
Tous égaux !
Ma soirée avec Boris Vian !

Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"

Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé

Les temps changent.... Le système reste !!, 
L'effondrement de notre civilisation industrielle


Tags : Un Monde sans Humains ?, documentaire, Documentaire, Environnement & Sciences, Société, technologie, avenir, nanotechnologie, robot, festival, bobines sociales, Le présent s’écrit au futur, La science-fiction, miroir du présent -
​ 2 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.200.174.97) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 20 janvier 2013 13:05

Modifié le mardi 17 novembre 2020 07:48

Retour à l'âge du fer ? Quand le monde manquera de métaux


 
 

Retour à l'âge du fer ?
Quand le monde manquera de métaux
Par Agnès Rousseaux (26 septembre 2012)
 

 
Retour à l’âge du fer ? Quand le monde manquera de métaux
 
 
500 Tours Eiffel : c'est ce que nos sociétés modernes consomment en métal chaque 24 heures. De la moindre puce électronique jusqu'aux gigantesques buildings, les métaux sont partout. Or certains sont en voie d'épuisement : les gisements de cuivre, de nickel ou de zinc n'ont plus que quelques décennies devant eux. Et si le recyclage se développe, la consommation s'emballe. Enquête sur une pénurie désormais annoncée.

L'humanité est accro aux métaux. Câbles électriques et circuits électroniques, transports individuels ou collectifs, électroménager ou BTP... Les métaux sont partout. On en oublierait presque qu'ils constituent une ressource non renouvelable. Comme pour les hydrocarbures, il faut plusieurs millions d'années pour en renouveler les stocks. Or, côté consommation, la tendance est à l'emballement. « En l'espace d'une génération, nous devrions extraire une quantité plus grande de métaux que pendant toute l'histoire de l'humanité », prévient Philippe Bihouix, ingénieur centralien et co-auteur d'un livre de référence sur le sujet.
 
Moins de vingt métaux étaient exploités dans les années 1970. Ce chiffre a depuis été multiplié par trois. Mais les réserves ne sont pas infinies. Une cinquantaine de métaux – sur la soixantaine exploités – seraient menacés de pénurie. Il reste plus d'un siècle de réserve pour le cobalt ou le platine. Celles de l'argent, de l'antimoine (utilisé notamment dans l'électronique), de l'indium (utilisé dans les cellules photovoltaïques ou les écrans LCD) se limiteraient à 20 ans, pointe l'étude de Philippe Bihouix. Et il ne resterait que 30 à 60 ans de réserve pour la plupart des grands métaux industriels : zinc, cuivre, nickel, plomb...
 
500 Tours Eiffel par jour
 
Environ 2 milliards de tonnes de métaux sont consommés chaque année, surtout du fer (1,7 milliard de tonnes [1]). L'équivalent de 200 000 Tours Eiffel par an ! Soit plus de 500 par jour. Et chaque Français « consomme » en moyenne l'équivalent de 700 grammes de métaux en 24h !
 
Pourquoi s'inquiéter, rétorqueront certains, les métaux sont présents partout : dans la roche, dans chaque poignée de terre, dans l'eau de mer. La quantité totale de cuivre dans les terres émergées – jusqu'à une profondeur de 1 km sous terre – serait d'environ 20.000 milliards de tonnes. Soit un million d'années de notre consommation actuelle. Tout irait bien... S'il n'était pas impossible de passer l'ensemble de la croûte terrestre au tamis.
Une pénurie de cuivre en 2040 ?
 
Les véritables « réserves », elles, sont limitées. Les réserves constituent les ressources identifiées que l'on peut techniquement extraire au prix actuel. Les réserves de cuivre sont ainsi 10 000 fois moindres que la quantité totale présente sur la planète [2]. L'humanité consomme actuellement 16 millions de tonnes par an, notamment pour les fils électriques. Ce qui laisse, à production constante, une trentaine d'années avant de manquer de cuivre.
Trouvera-t-on de nouvelles réserves dans les décennies à venir ? Les sols ont déjà été beaucoup explorés. Cas emblématique : l'or. C'est le seul métal à avoir franchi son « pic » de production. Son extraction n'augmente plus, bien que 45 % des dépenses d'exploration lui sont consacrées. Le défi à relever n'est pas tant la diminution des dernières réserves, que l'énergie croissante nécessaire pour exploiter les futurs filons.
 
 
« Une mine d'or, en Afrique du Sud ou en Australie, produit à peine 5 grammes par tonne, contre 20 il y a un siècle. Vu le prix, on peut aller chercher quelques grammes d'or par tonne de terre, mais on ne pourra pas se le permettre pour le cuivre », explique Philippe Bihouix. Les gisements les plus rentables, créés par la tectonique des plaques, le volcanisme ou le cycle de l'eau, sont déjà exploités. L'extraction des réserves moins concentrées a déjà commencé. Alors qu'on produisait 18 kg de cuivre par tonne de roches extraite dans les années 1930, on n'en trouve plus que 8 kg aujourd'hui.« Il n'est pas possible de dépenser plus d'énergie pour tous les métaux. On ne va pas ramasser à la petite cuillère les dernières ressources naturelles », pointe l'ingénieur.
 
Métaux et ressources énergétiques sont étroitement liés. Il faut toujours plus d'énergie pour extraire des métaux moins concentrés. Et les métaux sont toujours indispensables pour produire de l'énergie... Quand atteindrons-nous la limite énergétique qui rend l'extraction d'un métal non rentable ou impossible ? C'est le même processus que pour l'exploitation du pétrole. La production de 100 barils de pétrole nécessite 2 barils en Arabie Saoudite, contre 10 à 15 barils pour l'extraction offshore dans le Golfe du Mexique. Et 25 à 35 barils pour l'extraction des sables bitumineux de l'Alberta au Canada [3].
 
Sans métaux, plus d'énergie
 
Nous dépensons aujourd'hui environ 10 % de l'énergie primaire mondiale pour l'extraction et le raffinage des métaux. Combien en dépenserons-nous demain ? Et plus on consomme d'énergie, plus on émet de CO2... pour la même quantité de métal [4]. Sans compter les conséquences environnementales et sociales, lorsque, les réserves diminuant, il deviendra rentable de lancer l'extraction dans des zones protégées ou inaccessibles, avec des procédés plus polluants et des conditions de travail plus pénibles. Une spirale infernale, alors que les conditions d'extraction minière sont déjà très dures [5].
 
Toutes nos sources d'énergie actuelles sont dépendantes des métaux. Des raffineries pétrolières aux gazoducs, des cellules photovoltaïques aux turbines d'éoliennes, des moteurs de véhicules aux batteries électriques... Les énergies renouvelables, nucléaires ou fossiles ne peuvent se passer des métaux. Côté nucléaire, « les « crayons » de combustible sont emballés dans des gaines de zirconium : 50 ans de réserves. Les centrales et les conteneurs pour les déchets nécessitent nickel, chrome, titane, cobalt, tungstène et plomb : 50 à 100 ans de réserves pour les plus abondants », détaille Philippe Bihouix. « On ne pourra pas tenir 10 000 ans avec le nucléaire. » Comment sans ces métaux renouveler les parcs nucléaires une ou deux fois par siècle ?
L'impératif du recyclage
 
Que faire face à cette situation ? Mieux recycler les métaux semble une évidence. Les grands métaux, comme le fer, l'aluminium ou le cuivre sont, en théorie, recyclables à 100%. Et leur recyclage est très rentable énergétiquement : récupérer de l'aluminium consomme 20 fois moins d'énergie que la production de métal neuf ! Reste qu'on ne pourra jamais en recycler 100 %. Difficile de collecter toutes les agrafes utilisées, les opercules de pot de yaourt ou les paires de lunettes ! Le pourcentage de perte diffère selon les métaux. Il est par exemple de 30 % pour le nickel, un métal pourtant bien récupéré dans des filières de recyclage...
 
La multiplication des alliages posent aussi problème. Impossible de séparer les éléments imbriqués ou les matériaux composites. Ou de faire du tri dans les 3 000 sortes d'alliage de nickel. Comment recycler complètement un ordinateur portable, qui contient 30 métaux différents ? Ou un « superalliage » de l'aéronautique, composé de 15 métaux ? De quoi compliquer sérieusement une tâche déjà immense. Surtout quand notre système économique basé sur la consommation – et un taux d'équipement toujours plus élevé – provoque l'accélération des cycles de production et des innovations... Concernant les déchets d'équipements électriques et électroniques (D3E), une directive européenne impose leur collecte à hauteur de seulement 20%.
 
Revenir à l'âge du fer ?
 
 Retour à l’âge du fer ? Quand le monde manquera de métaux
 
A ces limites s'ajoutent les usages « dispersifs » : l'incorporation de métaux dans des produits chimiques ou des objets de consommation courante. Mercure dans les shampoings, plomb et cobalt dans les teintures capillaires, bismuth dans le rouge à lèvres, ou titane et sulfate de zinc, comme colorant blanc de votre dentifrice ! Encres et pigments du papier, déodorants, pneus, peintures, engrais et pesticides, incorporent des métaux à des degrés divers.
 
 
Des usages dispersifs qui peuvent représenter une part importante de la production : 20 % pour le cobalt, 98% pour le titane (qui, sous forme de dioxyde, est le colorant blanc universel). Et les innovations ne manquent pas : les chaussettes « anti-odeur » aux nanoparticules d'argent qui partent dans les égouts au bout de quelques lavages, ne vont pas arranger la situation. « Ce sont autant de métaux qui ne seront pas disponibles pour les générations futures. Quand on crame du cuivre, du plomb ou du lithium dans les feux d'artifice, ce n'est pas très sympa pour l'Homo sapiens de 2250 qui en aura besoin, » illustre Philippe Bihouix.

Quels substituts aux métaux ?
 
Substituer un métal par un autre s'avère aussi compliqué. Des métaux, utilisés comme catalyseur dans le secteur de la chimie, pour fabriquer du nylon ou de la margarine par exemple, pourront peut-être, pour certains, être remplacés par une « catalyse enzymatique ». Pour quelques applications, des solutions seront imaginées. Mais le problème est systémique : comment substituer en même temps plusieurs métaux par d'autres ? Certains sont irremplaçables, comme l'or, le nickel, le cobalt ou l'étain – utilisé pour les soudures en plomberie ou dans les cartes électroniques.
 
Sans oublier le cuivre, qui sert au transport du courant électrique : 8 millions de kilomètres de câbles de cuivre maillent l'Europe ! Les voitures contiennent en moyenne 2 km de câble de cuivre ! Et les réserves se limitent à quelques décennies, au rythme de production actuel. La croissance des pays émergents devrait augmenter encore les besoins... La croûte terrestre est composée à 99 % de 12 éléments dont 6 minéraux : fer, aluminium, silicium, magnésium, manganèse et titane. Ces métaux ne devraient pas manquer à moyen terme. Mais ils ne suffiront pas à remplacer toute la richesse de ceux qui sont en voie d'épuisement.
 
Spéculation effrénée et tensions géopolitiques
Cette situation commence à préoccuper les États. En
2010, des tensions entre la Chine et le Japon – et la menace d'un embargo – ont fait prendre conscience de la dépendance mondiale aux « terres rares », ce groupe de 17 métaux utilisés dans les produits de haute technologie (téléphones portables, écrans LCD, éoliennes, scanners médicaux...). Ces métaux sont aujourd'hui exportés à 97 % par la Chine, qui dispose d'environ un tiers des ressources mondiales. L'Europe importe 48% de son cuivre, 100% du cobalt, du platine et du titane... Quant à la production française, elle est en constante régression [6].
 
Résultat : les prix des métaux flambent. Entre 2005 et 2009, la demande en minerai de fer a augmenté de 47 % et les prix de 93 % ! Quant au cuivre, sa valeur a triplé entre 2009 et 2011. Une situation aggravée par la financiarisation des échanges : investissements spéculatifs sur les réserves de métaux, développement du « trading de haute fréquence », concentration des opérateurs.
 
Des réserves contrôlées par quelques multinationales
 
Le poids financier des métaux représente désormais un quart de celui du marché du pétrole. Et 20% des échanges internationaux de matières premières [7]. De quoi attirer les spéculateurs... Au point que les exigences de rentabilité financière l'emportent sur le souci de répondre à la demande mondiale en métaux. Quelques multinationales ont fait main basse sur une partie des stocks : la multinationale suisse Glencore, leader mondial sur le négoce de métaux, contrôlerait ainsi 60 % du zinc mondial, 50 % du cuivre, 22 % de l'aluminium [8]... A la fois propriétaire de sociétés minières et acteur du négoce mondial, Glencore peut intervenir sur les stocks physiques et donc le prix des matières premières, et en même temps parier sur les marchés... Une situation qui n'augure rien de bon pour la gestion de la raréfaction des métaux !
 
Face aux enjeux du contrôle des métaux, la Commission européenne a adopté en 2008 la stratégie « Initiative sur les matières premières », sous la pression des lobbys indutriels et miniers. Objectif : exiger des autres pays du monde un abandon ou une très forte limitation des « restriction aux exportations ». L'Europe veut sécuriser ses approvisionnements, à n'importe quel prix.
 
Des abysses du Pacifique à la planète Mars
En France, le Sénat s'est également emparé de cette question [9] et le gouvernement a créé en 2011 un Comité pour les métaux stratégiques (Comes), piloté notamment par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Mais ses intérêts semblent avant tout économiques : « La première préoccupation est que chaque entreprise connaisse sa vulnérabilité », explique le secrétaire général du Comes. « Des politiques restrictives, des grèves, des accidents pourraient mettre des filières industrielles en péril en quelques semaines. » Et comment la France, complètement dépendante des importations, fera-t-elle face aux pénuries qui s'annoncent ? La question ne semble pas à l'ordre du jour...
 
La stratégie actuelle des États et entreprises semble être la recherche incessante de nouveaux gisements. Et quand ceux-ci ne suffiront plus, ira-t-on chercher des métaux au fonds des océans ou sur d'autres planètes ? En juillet 2011, des chercheurs japonais ont annoncé la découverte d'immenses gisements de « terres rares » au fond du Pacifique : près de 100 milliards de tonnes. Des réserves 1000 fois supérieures à celle recensées jusqu'à présent, selon l'étude publiée [10]. Mais quelle débauche d'énergie et de technologies seront nécessaires pour exploiter ces gisements, situés entre 4 000 et 6 000 mètres de profondeur ? Quel prix faudra-t-il payer demain pour aller prospecter de nouvelles réserves de métaux à plus de 2000 mètres sous la couche terrestre ? Quant à faire de la Lune ou de nos planètes voisines nos futures réserves géologiques... « C'est la vie, la tectonique des plaques qui créent les concentrations de métaux. Sur la Lune, vous risquez de ne trouver qu'une soupe indifférenciée », décrit Philippe Bihouix. Pas de quoi rentabiliser le voyage aller-retour.
 
Nos arrières-petits enfants, des « ferrailleurs-cueilleurs » ?
 
Face à l'emballement de nos besoins en métaux et les rendements décroissants pour les extraire, l'ONU appelle à « découpler » le taux de croissance économique du taux de consommation des ressources naturelles. Les estimations ont de quoi faire peur : le volume de minéraux, minerais, combustibles fossiles et biomasse consommés chaque année par l'humanité pourrait atteindre 140 milliards de tonnes d'ici 2050. Soit trois fois les niveaux actuels. Et 23 fois plus qu'au début du 20ème siècle. Chaque être humain consomme en moyenne 8 tonnes par an de ressources naturelles – produits agricoles, bois, énergies fossiles ou métaux [11]. Soit 22kg par jour ! Les gisements bon marché et de bonne qualité de certaines ressources essentielles comme le pétrole, le cuivre et l'or commencent déjà à s'épuiser, souligne l'ONU, qui invite « à modifier considérablement les politiques des gouvernements, le comportement des entreprises et les modes de consommation du grand public. »
 
Recycler davantage, ralentir les cycles de consommation, en luttant par exemple contre l'obsolescence programmée, réparer plutôt que jeter, diminuer les usages dispersifs. Les moyens sont nombreux pour réduire l'actuel gaspillage des pays économiquement développés. Mais cela ne suffira sans doute pas, sans changer profondément nos modes de vie, de production et de consommation. « Quel avenir veut-on laisser aux générations futures ? Un retour à l'âge de fer, un monde où quelques dizaines de millions de « ferrailleurs-cueilleurs », survivants de la grande panne ou de l'effondrement, retrouveront l'abondance en exploitant le stock de métaux en place dans les bâtiments délabrés, les décharges, les usines à l'arrêt ? » questionne Philippe Bihouix. Reste à faire prendre conscience des enjeux, pour freiner la course infinie à l'extraction, avec toujours plus de conséquences sociales et environnementales. « Expliquer le pic du pétrole est déjà compliqué ! Avec les métaux, on a 60 histoires différentes... ». Nous n'aurons pourtant bientôt sans doute plus le choix.
Agnès Rousseaux
 
Photos :
 Métal / KittyBitty via Flickr
 Mineur : © Steve Mc Curry
 Mine d'or au Congo / The Velvet Rocket
 
 
 

Notes
[1] et quelques dizaines de millions de tonnes d'aluminium, chrome, cuivre, manganèse, zinc, les principaux métaux extraits aujourd'hui
 
[2] Seulement 500 millions de tonnes, voire 3 milliards de tonnes de « ressources ultimes », selon l'United States Geophysical Survey (USGS), c'est-à-dire des ressources identifiées mais pas encore exploitables avec les techniques et au prix actuel
 
[3] Cette limite physique s'appelle Energy Return On Energy Invested (EROEI)
[4] Le rejet de CO2 augmente avec la consommation d'énergie, elle-même inversement proportionnelle à la teneur des gisements. « Cela apparait de manière patente quand on compare les émissions de CO2 de la production de différents métaux entre le cuivre (5 à 10 t CO2/t de cuivre produite présent à 0.8% en moyenne dans les gisements), l'argent (de l'ordre de 200 t CO2/t pour des gisements exploités à quelques centaines de g/t), le platine (10000 t CO2/t pour des gisements de quelques g/t). » Jacques Villeneuve, Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM), Service Environnement et Procédés. Source
 
[5] A lire, sur l'extraction du cuivre en Zambie : Glencore : comment une multinationale pille l'Afrique avec la complicité de l'Europe. La production d'une tonne de cuivre nécessite aujourd'hui 80 à 150 kg d'explosifs pour les mines à ciel ouvert, une demi-tonne d'acide sulfurique et provoque des émissions de 20 à 2500 kg de dioxyde de soufre... Avec des conséquences sanitaires souvent dramatiques pour les populations locales. Au Pérou, 75% de la forêt amazonienne est cédé en concession à des entreprises pour l'extraction de ressources naturelles !
[6] La France produit surtout du nickel et du cobalt en Nouvelle-Caledonie, et de l'or en Guyane.
[7] 50% des échanges internationaux de matières premières concernent l'énergie et 30 % les produits agricoles
[8] Lire ici.
[9] Le rapport du Sénat pointe notamment l'insuffisance de la recherche sur les métaux stratégiques : « Il est significatif que plus aucune école d'ingénieur ne comporte le terme métallurgie dans son intitulé ! (...) Cette situation apparaît d'autant plus insatisfaisante que la formation et la recherche en métallurgie perdurent aux États-Unis et se développent en Chine comme au Japon. »
[10] "Nous estimons qu'une zone de un kilomètre carré entourant l'un des sites de prélèvement pourrait satisfaire à elle seule un cinquième de la consommation annuelle mondiale de ces éléments", écrivent les chercheurs. Source
[11] Selon un rapport des Amis de la Terre (en anglais)



 
Excellant reportage diffusé à plusieurs reprise sur les chaînes câblés ou sat qui permet de voir d'une façon originale l'impacte de l'espèce humaine sur la planète.

Le scénario est simple et originale :
Si l'homme disparaissait, que resterait il de sont passage sur terre ?
Comment la nature reprendrait elle le dessus ?
Notre pollution arriverait elle à être éliminée (déchets, radioactivité etc...)

Ceci n'est qu'une fiction mais elle permet vraiment d'ouvrir les yeux sur notre place de prédateur sur terre, nous accaparons tous l'espace et toutes les ressources de notre planète.

Diffusé sur SYFY.

Réalisateur / Producteur : CHRISTOPHER ROWLEY
Producteur délégué : David W. BRADY
Auteur / Producteur : STEPHEN MILTON
Montage : JOHN WHITCHER, BARRY MCMANN
Musique : CHRISTOPHER DEDRICK

Un grand merci à eux pour leur travail.

Tags : fin du monde, 21 décembre, disparition homme

Le 11/08/12 :
Les commentaires de certains prouve bien la connerie humaine, incapable de dialoguer sans s'insulter comment voulez vous que l'ont sauve le monde...

Catégorie :

Tags : Science, technologie, documentaire, nanoparticules d'argent
​ 3 | 1 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.200.174.97) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 27 septembre 2012 10:41

Modifié le lundi 11 juillet 2016 09:23

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile