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Licencier, c'est facile et c'est pas cher


n
 Licencier, c’est facile et c’est pas cher
 
Manager de transition, un bien joli métier ((mis sur facebook)
Le jeudi 20 septembre 2012
 
 

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les sales majestes - les patrons

 
 Blog / Manager de transition, un bien joli métier
 
 
 
Des intérimaires heureux ? Si, si, ça existe... Ils ne sont pas la variable d'ajustement des entreprises, ils la créent, la provoquent, la mettent à exécution. Ce sont des femmes et des hommes de crise. A qui l'on confie provisoirement les rênes d'une entreprise ou de l'une de ses filiales. 

On les appelle manager de transition ou consultant de restructuration. Quand ils débarquent, c'est bien pour débarquer d'autres intérimaires, d'autres salariés, CDD ou CDI, moins chanceux. Sous couvert de "performance", de "stratégie industrielle", de "rentabilisation de l'outil de travail", ils n'ont qu'un mot à la bouche : la croissance. 

La leur. Payés entre 1 000 et 1 500 euros la journée, de 30% à 60% des entreprises ont déjà fait appel à leurs services lors de la crise de 2009. 


"La chanson du DRH", Arnaud Catherine et Florent Marchet 

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>la chanson du drh - YouTube


La transformation digitale oblige les entreprises à réinventer leurs fonctionnements et leurs méthodes de management. Les attentes des publics changent : la nécessité de refonder les modèles économiques et de trouver de nouveaux champs de développement nécessite d'embarquer tous les salariés dans une dynamique vertueuse de cocréation entre métiers, entre secteurs de l'entreprise, entre énergies internes et externes. Au delà de ses missions régaliennes classiques, la DRH a un « terrain de jeu » inédit et passionnant pour mobiliser les énergies et les fédérer en projets apprenants : elle détecte et met en mouvement les acteurs, propose des espaces de réflexion et d'échange, met en place des expériences de travail innovantes, diffuse les bonnes pratiques. Elle est aujourd'hui un acteur essentiel de changement.
 
Et si le métier de DRH était le plus beau métier du monde ? | Florence Guémy | TEDxIssylesMoulineaux



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Quand je serai grand, je serai DRH.




Rencontre avec : 
   Bernard Tronel, directeur du cabinet Essensys spécialisé dans ce management 
   Luc Brami, directeur des ressources humaines spécialisé en plans sociaux 
   Didier Crespel, ancien directeur général de Valeo




Plébiscité par le patronat et ratifié cette semaine par l'Assemblée, le barème des indemnités pour les personnes ayant été licenciées abusivement précarise les salariés en plafonnant les sommes accordées par les prud'hommes.


SNCF. Les syndicats de la SNCF ont décidé de donner une chance à la concertation avec le gouvernement sur son projet de réforme du groupe public, avant d'arrêter, le 15 mars, une éventuelle date de grève. 
 
nQuand la SNCF manque de conducteurs et supprime des trains FRANCEINTER.FR
Le gouvernement prévoit de déposer mi-mars un projet de loi d'habilitation pour recourir aux ordonnances. Les syndicats des cheminots se sont donnés jusque-là pour décider d'une grève.
» SNCF: syndicats, direction et ministre se préparent à la concertation 

Statut des cheminots: "regarder ce qui peut évoluer" (CFDT)
Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a estimé samedi qu'"il faut regarder ce qui doit évoluer dans le statut des cheminots", tout en critiquant "un problème d'investissement de l'Etat" dans la SNCF. "Il faut regarder ce qui doit évoluer dans le statut des cheminots, mais pas en les culpabilisant et en les stigmatisant", a déclaré Laurent Berger sur France Inter. Les quatre syndicats représentatifs de la SNCF (CGT, Unsa, SUD rail, CFDT) ont décidé d'attendre jusqu'au 15 mars avant d'arrêter une éventuelle date de grève.
» LIRE AUSSI - Réforme de la SNCF : le spectre des grandes grèves de 1995

Licencier, c'est facile et c'est pas cher
«Rassurant», le plafonnement des indemnités prud'homales accordées en cas de licenciement abusif ? C'est ce qu'a défendu, le 7 novembre, Muriel Pénicaud, à l'Assemblée nationale. Pour la ministre du Travail, la mesure phare des ordonnances, dont le texte de ratification est de retour dans l'hémicycle cette semaine, devrait rasséréner les salariés autant que les employeurs. Prévoyant des montants minimums et maximums, ce barème, réclamé de longue date par les employeurs, doit les inciter à embaucher, en les «libérant» de leurs «peurs» liées au processus de licenciement. Une logique plutôt hasardeuse - le comportement des entreprises étant surtout dicté, en réalité, par leurs carnets de commandes -, mais avantageuse pour le patronat.
Les charlots qui, à mes yeux, font partie des grands comiques français, rendent "hommage" au patronnat
 
Côté salariés, le discours de la ministre, qui se félicite de mettre fin au «peu d'équité et [au] peu de prévisibilité» dans le calcul des dommages et intérêts, est plus difficile à entendre. Pour la CGT, le barème va même «précariser davantage les salariés», en «ouvr[ant] la porte à tous les abus», et notamment à plus de licenciements abusifs, car les entreprises en connaîtront le coût, amoindri, par avance.
A LIRE AUSSI «Avec la mise en place des barèmes, on mettrait un ordinateur ce serait pareil»
Certes, pointe la ministre, la réforme met en place une indemnité minimale pour les salariés des entreprises de moins de onze salariés, là où elle était réservée aux entreprises aux effectifs supérieurs. Mais le barème est plutôt pingre : jusqu'à trois ans d'ancienneté, ils n'ont droit qu'à un demi-salaire mensuel.
Et dans les entreprises de plus de onze salariés, le plancher, qui était de six mois de salaire minimum dès deux ans d'ancienneté, oscille désormais entre zéro (moins d'un an d'ancienneté) et trois mois. Côté plafond, il n'est pas plus charitable. Tous types d'entreprises confondues, pour espérer toucher une indemnité maximale de six mois, le salarié doit désormais avoir cinq ans au compteur. Et au-delà de 28 ans d'ancienneté, le plafond s'arrête à 20 mois.
«Apprécier au cas par cas»


Pas de quoi déclencher une révolution, tempèrent certains, notant que les prud'hommes n'étaient pas toujours très généreux. «C'est une juridiction paritaire, avec autant de conseillers salariés qu'employeurs, donc plutôt modérée», note l'un d'eux. Selon une étude du ministère de la Justice, les indemnités prud'homales pour licenciement abusif atteignent dix mois de salaire en moyenne. Mais avec des écarts importants selon les cas. D'autres estiment néanmoins que la référence à un plafond pourrait pousser les indemnités vers le haut. Un scénario auquel Samuel Gaillard, avocat en droit social, ne croit pas : «Pour les salariés qui ont entre huit et vingt ans d'ancienneté, peut-être que cela ne change pas grand-chose, car les montants moyens sont proches de ceux du barème. Mais il y aura des perdants chez les salariés avec une faible ancienneté.»
En effet, selon l'étude du ministère de la Justice, entre deux et cinq ans d'ancienneté, les salariés touchaient en moyenne 8 mois de salaire. Demain, ils ne pourront espérer - au maximum - qu'entre 3 et 6 mois. Exemple avec un vendeur au smic depuis trois ans dans une entreprise de plus de onze salariés. En cas de licenciement abusif, il avait droit, a minima, à 8 880 euros (6 smic). Désormais, il devra se contenter d'une indemnité comprise entre 4440 euros (le plancher à 3 mois) et 5920 euros (le plafond à 4 mois).
 
Autres victimes de ce barème, poursuit Samuel Gaillard : les salariés âgés. Ces derniers pouvaient bénéficier d'un geste des prud'hommes, soucieux de garantir une réparation intégrale du préjudice subi, vu leur faible employabilité. Avec le barème, cela risque de passer à la trappe. Même chose pour ceux ayant des difficultés financières ou des charges de famille. «Un homme de 35 ans, célibataire, a de fortes probabilités de retrouver un emploi. Mais une femme séparée avec deux enfants à charge, elle, n'a aucune chance si le bassin est sinistré», souligne Gérard Behar, expert CGC au Conseil supérieur de la prud'homie, qui défend une «approche qui part de l'humain». «Autant de situations qui nécessitent que le juge apprécie au cas par cas l'étendue du préjudice», note le Syndicat des avocats de France (SAF).


Réduction à un an du délai de prescription
S'il est trop tôt pour percevoir les effets du barème devant les conseils, les avocats notent déjà une baisse des dossiers. «Pour certains, ça ne vaut plus le coup d'aller aux prud'hommes. D'autant qu'il faut payer les honoraires et qu'il y a toujours le risque de ne pas gagner», souligne l'avocat Abdel Kachit. Autre mesure qui ne devrait pas aider à remplir les chambres, souffrant déjà d'une baisse des affaires (- 18,7 % entre 2015 et 2016) : la réduction, à un an, du délai de prescription pour saisir les prud'hommes.
 
Pour contrer les effets du barème, les juristes ont toutefois prévu une parade : multiplier les demandes, notamment sur des faits de harcèlement et de discrimination, non concernés par le plafonnement. Mais «cela risque d'apparaître gros comme une maison qu'il s'agit de gratter en allant sur un autre terrain», note Kachit. Autre angle d'attaque : agir en justice en s'appuyant sur la jurisprudence du Comité européen des droits sociaux, qui a déjà permis de condamner une réforme similaire en Finlande.
 
Si nombre de juristes peine à croire que l'argument suffise à faire tomber le barème, il pourrait toutefois être repris dans les chambres prud'homales. Avec l'espoir, souligne l'un d'eux, de faire évoluer la pratique. Car «quand une situation choque, les juges ne peuvent pas rester les bras croisés».
 
Virés, indemnisés : ce qu'ils perdront avec la loi travail

VÉRONIQUE, RESPONSABLE D'UN MAGASIN DE MEUBLES Avant : 40 000 ¤ / Après : entre 2 000 et 8 000 ¤

Les faits. Véronique (prénom modifié) avait pourtant «réussi son pari», note son avocat Gilles Tesson. Celui d'augmenter les ventes du magasin en difficulté pour lequel elle avait été recrutée en tant que responsable en juin 2014. Mais l'arrivée, quelques mois plus tard, de nouveaux gérants à la tête de cet établissement vendéen spécialisé dans les meubles a changé la donne. «Elle se rend compte qu'[ils] veulent se passer d'elle», explique son avocat. «A compter de ce jour, les objectifs de vente ont été augmentés de 57% et des fonctions contractuelles lui ont été retirées», soulignent, de leur côté, les conseillers prud'homaux de la Roche-sur-Yon dans leur jugement de mai 2017. Elle est licenciée pour faute grave le 23 décembre 2015. Les faits reprochés ? Une ubuesque histoire de vol de canapé. Dans la lettre de licenciement, on l'accuse d'avoir donné à sa fille l'ancien sofa de clients, repris par la société au moment de la livraison du nouveau qu'ils venaient d'acquérir. Ce que Véronique ne nie pas, puisqu'elle explique avoir obtenu l'accord de sa direction. Mais cette dernière «conteste fermement». Sans convaincre les conseillers qui notent que «rien n'a été caché à la SARL» qui était «parfaitement au courant de l'accord qu'elle avait conclu». Ce qu'une ancienne vendeuse, témoin de la conversation téléphonique au cours de laquelle Véronique avait reçu le feu vert de son employeur, confirme dans une attestation. En l'absence de «preuve formelle» de la faute, le conseil a donc jugé le licenciement abusif. «Il est apparu devant les juges que le motif est inventé de toutes pièces», résume l'avocat. L'employeur a fait appel.
Indemnité reçue. 40 000 euros de dommages et intérêts, soit près de 10 mois de salaire (4 033 euros brut mensuels), pour une ancienneté d'un an. Une somme qui se justifie, selon les conseillers, par l'âge de la plaignante - 56 ans -, la perte de revenu, ou encore la «perte de chance d'employabilité». D'autant qu'elle avait quitté un poste pour intégrer l'entreprise. Autre facteur aggravant : la «déloyauté de la SARL» et l'«atteinte à sa réputation».

Indemnité avec barème. Entre 2 016 euros (0,5 mois de salaire) et 8 066 euros (2 mois de salaire), dans cette entreprise de moins de 11 salariés.

FABRICE, EMPLOYÉ D'UNE SOCIÉTÉ INFORMATIQUEAvant : 80 000 ¤ / Après : entre 11 700 et 50 600 ¤
Les faits. Aux juges prud'homaux de Boulogne-Billancourt, Fabrice (prénom modifié), engagé en CDI en 1998 par l'un des leaders français de services informatiques, a expliqué avoir «été l'objet de pressions de la part de son employeur pour obtenir son départ». Une situation qui aurait débuté, selon le chef de projet, en 2013, après de multiples missions réalisées pour l'entreprise auprès de grands groupes. Il se retrouve alors, début octobre 2013, en période «d'intercontrats», c'est-à-dire qu'il n'est plus affecté chez un client. Convoqué à un entretien préalable, fin octobre, il sera licencié dans la foulée. Sa faute, selon son employeur : des retards dans la rédaction de la réponse à un appel d'offres pour un client et un «comportement désinvolte lors d'une réunion». Une «insubordination» qui aurait été préjudiciable à l'image de l'entreprise. Une analyse disproportionnée pour le conseil de prud'hommes, saisi en 2014 par le salarié. Certes, l'informaticien «n'a pas rempli les attentes» de ses supérieurs et a «fait preuve d'un manque de professionnalisme», précise le jugement. Mais ces faits «ne justif[iaient] pas un licenciement», d'autant qu'ils n'avaient pas été précédés d'alertes suffisantes. De plus, Fabrice avait jusqu'alors donné satisfaction, son entretien de septembre 2013 pointant des «compétences indéniables et évidentes». Le licenciement est donc sans cause réelle et sérieuse. Il n'y a pas eu d'appel.

Indemnité reçue. 80 000 euros de dommages et intérêts, soit 20,5 mois de salaire (3 898 euros brut mensuels), pour une ancienneté de quinze ans. Une indemnité justifiée, selon Samuel Gaillard, l'avocat du salarié, par la taille de la société, mais aussi par «des circonstances bien particulières». Et d'expliquer : «C'est une problématique classique dans le secteur», marqué par une «course au jeunisme» et le «licenciement des salariés lorsqu'ils restent trop longtemps en intercontrats». Autre facteur : l'âge - 61 ans - du plaignant, «qui a été licencié à trois ans et demi du départ à la retraite».

Indemnité avec barème. Entre 11 694 euros (3 mois de salaire) et 50 674 euros (13 mois de salaire). «Mais peut-être que le conseil de prud'hommes aurait alors admis le caractère discriminatoire de ce licenciement», pointe l'avocat du salarié.

GUILLAUME, CHEF D'UN CENTRE DE RÉPARATION AUTOAvant : 10 000 ¤ / Après : entre 0 et 2 000 ¤
Les faits. Fin 2016, lorsqu'une société de réparation de pare-brise normande lui propose de l'engager en CDI pour devenir chef d'un de ces centres, Guillaume (prénom modifié) décide de quitter le poste qu'il occupait jusqu'alors, depuis dix-huit mois, dans une autre société sous un statut d'intérimaire. Mais dès le contrat signé, la situation se corse. En novembre 2016, quelques jours à peine après son arrivée, l'entreprise est placée en redressement judiciaire. Chaque mois, son salaire est payé en retard. Jusqu'au mois de février 2017, pour lequel il ne recevra jamais son dû. Il va alors saisir, le 14 mars 2017, les prud'hommes de la Roche-sur-Yon pour faire constater une rupture de contrat aux torts de l'employeur. Deux jours avant, l'établissement dans lequel il travaillait «a été vidé de tout son matériel», notent les conseillers qui, dans leur jugement, lui donnent raison sans sourciller. Soulignant la «désinvolture et les manquements de la SARL», ils décident donc de considérer la rupture comme un licenciement sans cause réelle et sérieuse, et condamnent l'AGS de Rouen, l'organisme patronal chargé de payer les créances salariales des entreprises en difficultés. Ce dernier a fait appel.

Indemnité reçue. 10 000 euros de dommages et intérêts, soit près de 5 mois de salaire (2 078 euros brut mensuels), pour une ancienneté de moins d'un an. Une décision qui tient compte de la «situation juridique et financière désastreuse» subie par le plaignant, père de trois enfants. Interdit bancaire, l'homme de 39 ans s'est retrouvé dans une «impasse», expliquent les conseillers :«Pôle emploi ne le prend pas en compte, n'ayant aucun document de fin de contrat. La CAF refuse de prévoir le RSA, car selon l'organisme, il devrait être pris en charge par Pôle emploi.» Un imbroglio administratif qui a de quoi plonger Guillaume dans «l'angoisse, le stress».

Indemnité avec le barème. Entre zéro et 2 078 euros (un mois de salaire). «Mais il aurait peut-être été possible, malgré ce barème, de demander une indemnisation liée à la mauvaise foi manifeste de l'employeur», précise Gilles Tesson, l'avocat du salarié.
Amandine Cailhol
 
Découvrez cette émission dédiée aux enjeux de la fonction de Directeur des Ressources Humaines. Proposée par le Groupe IGS et le CNED, cette heure de vidéo présente des témoignages, des reportages et des interventions sur plateau pour vous donner toutes les informations utiles sur les DRH. Les ressources humaines occupent une place stratégique dans l'évolution des structures et la performance présente et à venir des entreprises.
 

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Tags : manager de transition, un bien joli métier, chronique, daniel mermet, la bas.org, emplois, chomage, délocalisation
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#Posté le samedi 03 mars 2018 06:11

Modifié le lundi 06 août 2018 13:55

NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE


 
 
Chèr-e-s camarades
 
 NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE 
 
 NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE

 
Le problème sino-japonais, lié à la dette ?
l'état de l'économie ... - citoyenactif, l'économie mondiale en feu ! - anarkia, Les moissons du futur -anarkia,  l'Etat et la noir finance : , Le bout de la logique 1 , Le bout de la logique , Japon : cette déflation qui... n'en finit pas
 
Et si l'Espagne quittait la zone euro ?.
 
Certes, cher-e-s camarades c'est une hypothèse qui ne peut être complètement écartée – et "qui conviendrait sûrement mieux à l'Espagne qu'à la Grèce".

 
Les tensions sino-japonaises  ( google) : Les tensions sino-japonaises autour des îles Senkaku-Diaoyu commencent à influer sur les échanges commerciaux bilatéraux.Les tensions sino-japonaises s'étendent au sport (  » Sur fond de conflit entre le Japon et la Chine depuis la nationalisation nippone des îles Senkaku, Pékin a expulsé des cyclistes japonais « . Chine-Japon: Tout comprendre des tensions entre les deux pays
 
Une chose est sure, partagée par tous, c'est la crise. Depuis plus de 30 ans, le chomage est a des niveau très élevé, et aucune politique n'y a rien changé. Sauf le tournant " libéral" des année 1980 a amené un fait nouveau : si les profits des patrons n'ont cessé de progresser, les droits sociaux des travailleurs n'ont de cesse, eux d'être "réformés" : salaire, retraite, assurance maladie, temps de travail, etc. Jusqu'au déclenchement de la crise dite " fiancière", suivie de celle dite de la dette, suivies d'un reforcement des attaques contre les protections sociale, le droit du travail et des vagues de licenciments. A l'opposé, une concentration de plus en plus visible de la richesse. face à un patronat triomphant et aux Etats et gouvernements qui mettent en oeuvre les conditions de cette domination, les salariés, les petits paysans et les artisants sont appelés à se "serrer la ceinture" et tout faire pour éviter de plonger dans une grande précarité.(....)sans parler des didacture des colonels en GrèceSans parler des dictatures néocoloniales du continent africain ou du monde arabe. Le constat est toujours le même : lorsque l'extrême droite sous toutes ces formes arrivent au pouvoir, les Etats "démocratiques" aux mieux critiques sans rien faire, au pire soutiennent voir organisent. la toile de fond est toujours la même : lutte contre le communisme et ses expressions syndicales ou politiques, nationalisme exacerbé et mythologie défense des " valeurs traditionnelles  face aux "agressions mondialistes" ou a la mauvaise influence des culture étrangères" ( qu'elles viennent des juifs, noirs ou des musulmans, etc...)
 
 NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE

 
Diviser pour meiux régner
Les dérives autoritaires actuelles, en France comme ailleurs ( Hongrie, en Grèce, avec l'entrée de l'extrême droite au gouvernement, etc..) relève d'une continuité historique . La stratégie est simple : diviser les travailleurs pour assurer le patronat, avec en premier ennemi l'étranger, l'immigré, celui qui "vole le pain et le travail", profite de la bonté de l'occident", menace nos valeurs avec sa religion (...)

" Le fascisme international, c'est la contre révolution préventive, c'est la Sainte Alliance des natis
terrifiés, la dernière cartouche contre ce rassemblement populaire qui déjà, dans le monde entier, allait détruire les privilège d'un capitalisme moribond"


Lucie Aubrac, Libération ( journal de la résistance), 1er mars 1943  
 
 
A l'extrême droite du père  source : Présentation du blog :Anarkia. Mon blog a pour but d'expliquer la crise permanente » du capitalisme, ces dérives, les enjeux d'hier et de demain : A l'extrême droite du père - 1ère partie :A l'extrême droite du père - 2ème partie :Reportage sur le milieu intégriste et fasciste de l'extrême droite bordelaise. 3ème partie : Les infiltrés - A l'extreme droit du père (27 avril 2010) : Seulement les échanges entre les deux pays ne sont pas cantonnés aux domaines économique ou culturel. Au fur et à mesure de l'extension des empires japonais et chinois, les conflits se sont accentués avec pour toile de fond des luttes d'influence sur la région. L'opposition s'est cristallisée dans la seconde moitié du XIXe s. avec pour toile de fond l'influence que les deux empires voulaient exercer sur les pays voisins, comme la Corées. Ces tensions grandissantes ont abouti à deux guerres sino-japonaises (1894-1895 et 1938-1945).
 
Ces dernières années, les crispations nationalistes et territoriales se sont aussi portées sur le domaine économique
 
Même patron, même combat
"L'occident ( gouvernement, entreprise et institution internationales) crée des conditions de l'immigrations et hurle ensuite contre "l'invasion des étrangers" et l'impossibilité " d'accueillir toute la misère du monde". tout les salariés Tout les salariés, chomeurs, précaires, petits paysans ou artisans n'ont ils pourtant pas les mêmes ennemis, patronat et gouvernemants, qui entretiennent chaque jour l'exploitation, voir la destruction pure et simple?
L'illusion nationaliste
Attention aux droits des femmes
La question sociale
L'alternative syndicale
Actuellement, toute l'économie mondiale se trouve en plein marasme et personne ne peut dire quand cela finira. Toutes les grandes régions signalent une croissance en baisse et des problèmes sur les marchés du travail. Les budgets publics surendettés obligent à couper dans les dépenses, ce qui ne fait qu'aggraver la situation. Tout a été essayé. LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ?  et Pourquoi parler de crise ? Posted on 22 avril 2012 by risc
 
 , Crise financière ce que le public devrait savoir, Aller lire : 10 principes de contrôle de la sociétéLes stratégies et techniques employées pour la manipulation de l'opinion publique et de la société
, A travers PSA :Comprendre le capitalisme

Beaucoup d'analystes arrêtent leur jugement sur le CAC 40 sur la seule base d'une comparaison de la valorisation actuelle avec un historique réduit de valorisations et que la survalorisation des années 1999-2000 déforme de façon significative. Ce n'est pas sérieux.

Par ailleurs, l'économie de marché telle que nous la connaissons aujourd'hui en France est une réalité relativement récente.

Il faudra attendre 1993 pour qu'un mouvement de privatisations s'engage et se poursuive jusqu'en 2005. Près de la moitié des entreprises actuellement cotées dans le CAC 40 vient du secteur public ! L'historique est donc peu fiable. Il est néanmoins possible de contourner cette absence d'historique fiable. La solution se trouve de l'autre côté de l'Atlantique.
 

 
Privatisations en France - Wikipédia :
 

 NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE
Les marchands de peur. La bande à Bauer et l'idéologie sécuritaire ... - monde diplomatique Du haut de la chaire qui lui a été créée sur mesure au Conservatoire national des arts et métiers par M. Nicolas Sarkozy, M. Alain Bauer entend promouvoir la « criminologie » en France. La conquête d'une position académique apparaît comme la dernière victoire de cet ancien consultant en sécurité urbaine, conseiller écouté d'élites politiques de droite comme de gauche et chéri des médias. L'ouvrage de Mathieu Rigouste permet de comprendre cette ascension apparemment irrésistible. Elle repose sur un système d'échanges, de dons et de contre-dons avec une série d'autres personnages que l'auteur regroupe sous le label de « bande à Bauer ». Si l'on peut émettre quelques réserves sur le cadre général d'explication, ce livre n'en reste pas moins un passionnant voyage dans l'univers des « marchands de peur », pour qui la « sécurité globale » sert de substitut à l'anticommunisme de naguère.
 
La rassemblite aigüe nuit terriblement à la crédibilité de nos luttes et mouvements de contestation.

- Concernant Manuel Valls, oui il y a clairement une continuité de la politique de Sarkozy et ses sinitres de l'Intérieur Hortefeux puis Guéant, mais ça ne sert à rien de mobiliser si on ne se renseigne pas un minimum.  Le projet de réactualisation du Livre blanc de la Sécurité est à surveiller mais ça passe par une veille de l'INHESJ, de l'IHEDN et une compréhension approfondie des relations existantes entre les acteurs économiques de la sécurité (Safran, Thalès, Sagem & co) , les théoriciens du sécuritaire (Alain Bauer, ancien M. sécurité de Sarko, un grand ami et le parrain du fils de Valls) les politiques et la géopolitique internationale (relation entre l'actualité des conflits et le discours sécuritaire).

- Pour ce qui concerne ACTA et a fortiori INDECT, ce ne sont pas des épouvantails et ça serait bien qu'on évite de faire la même chose que nos gouvernants : brandir la peur et le scandale pour mobiliser. La politique de la peur c'est la politique de la médiocrité et de l'incompétence compensée par le chiffre et l'émotionnel; et si on veut avoir un tant soit peu de crédibilité on doit rester réaliste, concret et ne pas spéculer sur ce qu'on a "entendu dire" ou ce qu'on croit deviner.

ACTA et CETA sont des accords européens soumis au parlement européen en vue de "lutter contre la contrefaçon", ce sont aussi des accords qui nuisent gravement à la liberté et la neutralité du net puisqu'ils émanent d'un intense lobbying des majors de la production cinématographique et musicale et des entreprises de services propriétaires payants en ligne. ACTA a été rejeté par les parlementaires, mais un nouvel accord, CETA est proposé avec, à peu de choses près, les mêmes dispositions que le précédent. http://www.laquadrature.net/fr/ceta-le-zombie-dacta-doit-subir-le-meme-sort

Quant à INDECT, c'est un programme européen financé à 10,9 millions d'euros par l'Europe et 4 millions de fonds privés, il réunit 17 instituts de 11 pays différents autour de l'idée de concevoir des outils susceptibles :
- d'analyser les situations filmées par des caméras de surveillance et de déclencher des alertes automatisées vers l'opérateur


- de capturer le visage d'une personne filmée pour le soumettre à une reconnaissance faciale

- d'injecter le contenu de ces données biométriques sur internet pour retrouver les personnes concernées grâce aux logiciels d'identification faciale

Ces recherches ont fait l'objet de nombreuses présentations dans les salons sécuritaires internationaux et des tests devaient être menés dans un stade ukrainien durant l'Euro2012. Par ailleurs, les polices irlandaises et polonaises collaborent avec INDECT pour la mise à l'épreuve de terrain. 


Conclusion :
Ces événements nous rappellent que les pays émergents du Sud-est asiatique ne sont pas à l'abri de conflits territoriaux qui impacteraient durablement leurs économies. Les Etats-Unis pourraient s'y trouver impliqués bon gré mal gré, ce qui serait financièrement catastrophique – pour ne parler que de cet aspect. Enfin, l'enjeu des ressources naturelles va devenir de plus en plus un facteur de risque qu'il convient d'appréhender ..."
 
Cette situation de la chute tendanciel mis en avant par Karl Marx,  implique un contrôle social accru de l'Etat par un renforcement de la répression : fermeture des frontières, chasse aux sans-papiers, conditions tyranniques d'obtention ou de maintien des allocations de chômage et des minima sociaux, coupures de gaz et d'électricité et expulsions locatives en toutes saisons, enfermement des jeunes déviants... deviennent notre paysage quotidien et suscitent régulièrement des résistances et révoltes de prolétaires subissant l'accroissement de leurs difficultés financières et une répression de plus en plus omniprésente
La BCE : polique monétaire , l'état de l'économie ...
La finance imaginaire
Japon : cette déflation qui...
Aider les banques ou leur mettre le feu ?
Publié le 18/08/2012 à 17:13 par anarchie23
 
 
  NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE
 
Remettre nos besoins et nos libertés au centre de l'organisation de la société, contre les oppressions étatiques et patronales. voilà l'enjeu, réel, voilà notre choix.
TOUJOURS ANTIFASCISTES, ANTICAPITALISTES TOUJOURS
LUTTER, SE SYNDIQUER, NE PAS SE LAISSER DIVISER
[PDF] 
NE PAS SE TROMPER D'ENNEMI, CHOISIR LA BONNE ... - CNT
Il importe de construire dès aujourd'hui les résistances à cette attaque et de se poser dès maintenant la question d'aller plus loin que la simple résistance à l'austérité...Matthijs - AL-Montpellier
source : Alternative libertaire   
LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ? sur facebook, Loi Du Capitalisme | Tant qu'il y aura de l'argent ... - tanquil.net :  




 lire dessus :  immigration, entreprises, sans-papiers, étrangers, expulsion, g4s, sécurité privée, expulsions, une aubaine, alian bauer, l'idéologie sécuritaire, les marchands de la peur, manuel valls, roms - citoyenactif, NE PAS SE TROMPER D ENNEMI, CHOISIR LA BONNE COLERE - l'indigné
 
 
procès de Sonja Suder et Christian Gauger, Hollande, Ayrault, Notre-Dame-Des-Landes sera votre Larzac, Nous ne gagnerons pas sans la grève générale !, PROJECTION DEBAT DU FILM LOUISE MICHEL, Je ne suis pas raciste, mais les Roms..., Les moissons du futur, La bourgeoisie telle qu'en elle-même, L'Europe va-t-elle couper les vivres à ses pauvres ?, Xénophobie Bussiness - anarkia, Les banques centrales a la rescousse - citizen Khane
 
 
 

 
un lien.
 
Lancement du bulletin du forum anarchiste révolutionnaire 






 

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3 e tour social I : Sur ce, je vous souhaite une très bonne semaine, que les déçus du front de Gauche, du NPA, et d'EELV ayant remplis leur devoir de «  vote » et déçu par celui-ci rejoignent le troisième tour social. AL d'avril est en vente (mais pas en kiosque)  Fronts anticapitalistes : Rompre avec le capitalisme plutôt que de lui résister









Tags : crise, dettes, privatisation, délocalisation, Manuel Valls, Alain Bauer, ACTA, INDECT, immigration, entreprises, sans-papiers, étrangers, expulsion, g4s, sécurité privée, expulsions, une aubaine, alian bauer, l'idéologie sécuritaire, les marchands de la peur, l'INHESJ, de l'IHEDN
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#Posté le lundi 22 octobre 2012 18:24

Modifié le lundi 22 octobre 2012 19:12

A voir !!

 
 
 
L'arnacoeur Comédie sentimentale réalisé en 2010 par Pascal Chaumeil . Vendredi 12 octobre de 20:55 à 22:40 sur Canal+Voir dans la grille
Téléfilm Rapace:
Téléfilm dramatique par Claire Devers 
Vendredi 12 octobre de 20:50 à 22:25 sur Arte
Voir dans la grille
 
L'Arnacoeur bande-annonce - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=TcsbtIUlfvA
Alex est expert dans un domaine peu ordinaire : il est briseur de couples professionnel. Usant de son charme, il peut transformer n'importe quel petit ami en ex. Avec sa soeur Mélanie et son beau-frère Marc, il gère une petite entreprise chargée de venir en aide aux femmes malheureuses dans leur couple. Un jour, il est amené à s'occuper de la jolie Juliette, une riche héritière qui file le parfait amour avec Jonathan, un Anglais avec qui elle doit prochainement se marier. Alex refuse tout d'abord cette mission car il s'est donné comme mot d'ordre de ne pas s'en prendre aux femmes comblées. Mais des soucis financiers vont l'amener à revenir sur ses principes...
L'arnacoeur Part 1/13 HD Movie - YouTube
L'Arnacoeur - The Time Of My Life (extraits du film en musique) | Genre : attraction fatale.
 
 
 
 
 

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Rapace - videos.arte.tv
George Fall est sur le point de réaliser un rêve : être élu meilleur courtier de l'année, titre qui lui permettra d'asseoir son règne pour la décennie à venir. Mais à flirter toujours plus avec les limites de la légalité, l'as de la finance en vient à commettre une erreur fatale. Ruiné, il se réfugie dans les bras de Janis, qui fuit toute possession matérielle, et envisage, un temps, de changer de vie. Mais sa cupidité démesurée reprend rapidement le dessus. George met tout en oeuvre pour collecter les sommes nécessaires à la création d'un fond d'investissement. Les millions ne tardent pas à pleuvoir, ce qui n'est pas du goût de lord Norman, défenseur d'un capitalisme raisonné...
Claire Devers / France Inter : Claire Devers  « Rapace » film diffusé sur Arte vendredi 12 octobre à 20H50 avec Grégory Gadebois et Julie-Marie Parmentier ré)écouter cette émission
 
Interview acteur du film Rapace - Vidéo Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/x4t68_interview-acteur-du-film-rapace_creation
 
Cinéma & Fiction,crise financière, trader, Londres, Claire Devers, Grégory Gadebois
 

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 Cinéma & Fiction,crise financière, trader, Londres, Claire Devers, Grégory Gadebois
 
A lire aussi sur le sujet : L'exercice de l'Etat et la noir finance , Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015", October 13 against debt , Après PSA, c'est ta boite qui te jettera à la rue ! , Délits d'initiés , évasion fiscale et capitalisme , Le bout de la logique , Nous ne vivons pas une » crise », mais un coup d'état anti social,  Quand La Chine Delocalise En Europe - YouTube,Quand la Chine délocalise en Europe
Tags : Cinéma, Fiction, crise financière, trader, Londres, Claire Devers, Grégory Gadebois, L'exercice de l'Etat, la noir finance, October 13 against debt, L'arnacoeur, Pascal Chaumeil, Comédie, sentimentale, délocalisation, la chine
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#Posté le vendredi 12 octobre 2012 15:08

Modifié le vendredi 12 octobre 2012 17:37

MARGIN CALL


 
MARGIN CALL Chère camarades
 
La grande pompe à phynances
Pourquoi faut-il renflouer les banques quand les entreprises ferment, quand l'euro est attaqué, et quand l'Etat croule sous les dettes ? En déroulant le fil de cette question, «Noire Finance» retrace le processus qui a abouti à la financiarisation de l'économie mondiale sur fond de déréglementation. L'exemple du krach boursier de 1929 illustre le développement d'une crise, au départ boursière, en crise bancaire, puis en catastrophe mondiale. Quelles leçons doit-on en retirer ? Au fil des décennies suivantes, quel rôle les hedge funds, les produits dérivés et autres créations aventureuses ont-ils joué dans l'épreuve que traverse l'économie mondiale ?

NOIRE FINANCE - La grande pompe à phynances - Arte EP01.flv : Casse-toi, pov' Libération Casse-toi, pov' Libération : Qu'y a-t-il de plus scandaleux : que M. Bernard Arnault réclame la nationalité belge afin de préparer l' « optimisation fiscale » de sa fortune — la première française et quatrième du monde — ou que les politiques publiques successives (en France, en Belgique, ailleurs) aient offert de telles possibilités à leurs contribuables les plus opulents ? On ne peut libérer le marché des capitaux, laisser proliférer les paradis fiscaux, y compris en Europe, et se plaindre ensuite que les individus pour qui de telles décisions sont prises choisissent d'en tirer le meilleur profit.
 
HD | Margin call (J.C. Chandor, 2011) - 720p

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 Noire Finance - Le bal des vautours - Partie 2 - YouTube 66 min
 


Afin de mieux comprendre ce qui va suivre :

 
Interview  tiré Toronto ou Londres, comment bien investir dans la mine ?
:
Ce qui fait notre différence est que nous sommes totalement indépendants. Attention, nous ne sommes pas pour autant isolés. Notre force est d'appartenir à une sorte de "think tank" financier, un réseau de spécialistes unique au monde : Agora Inc. Présent à travers plus de 120 pays, celle de milliers et milliers de particuliers qui investissent.  Conseil surtout, leurs lecteurs à  se protéger à temps -- comme en 2008, avant la crise des crédits subprime et l'effondrement boursier qui s'en est suivi. Mieux, alors que les autres investisseurs déploraient de lourdes pertes, un lecteur ayant suivi nos conseils aurait pu voir son capital plus que quadrupler. Comment ? Tout simplement en investissant dans un secteur clef : l'or (qui, pour rappel, est passé de moins de 300 euros au début de l'année 2000 aux récents 1 300 euros - soit une multiplication par plus de quatre...)
 
Plus récemment les obligations grecques, espagnoles ou portugaises ainsi que de nombreux placements autrefois sûrs, désormais à fort risque. Pour cela, nous n'avons pas attendu la dégradation des notes souveraines de ces Etats ou encore celle, en juin 2012, de grandes banques comme la Société Générale ou BNP Paribas. D'ailleurs, cela ne m'étonnerait pas que vous possédiez, comme 46 millions de Français, un de ces placements à risque -- et que vous soyez particulièrement exposé aujourd'hui.
 

. S'il est vrai que le marché brésilien n'est pas facile à percer, on peut dire la même chose à propos du marché de la mine. En à peine un mois, j'ai abordé le marché au minimum d'une dizaine de métaux, et évoqué 4 ou 5 places financières. Londres (LSE), Toronto (TSX), Sydney (ASX), Jakarta (JSX)... La liste est longue.
 
les places financières occidentales, Londres et Toronto. Le secteur de la mine offre toujours des opportunités exceptionnelles... pour autant que l'on arrive à s'y retrouver !
 
Londres attire les grandes capitalisations

C'est peut-être l'héritage de l'empire coloniale anglais, Londres abrite des minières du monde entier. Le FTSE 350 mining, l'indice qui regroupe les minières de Londres, est l'électrocardiogramme du secteur de la mine. Je m'y réfère régulièrement pour connaître les performances générales du secteur. Pourtant cette place n'abrite pas n'importe quelle minière.
 
RPT-Londres attire les "réfugiés fiscaux" - Les Echos : La SocGen envisage de transférer des banquiers à Londres -sources
 
MARGIN CALL


Les hausse. s d'impôts effraient certains banquiers et entreprises
20% des entreprises du CAC 40 penseraient à quitter Paris -avocats
Mais les réductions d'effectifs touchent aussi la City
LE POINT sur l'actualité des banques (Cyril Altmeyer pour le service français, édité par Dominique Rodriguez)

 
PARIS/LONDRES, 23 août (Reuters) - Même ternie par les scandales et les licenciements, la City de Londres conserve son attrait pour les banquiers parisiens qui veulent fuir des hausses d'impôts et la désagréable impression de ne pas être très aimés dans leur propre pays.
 
Des groupes financiers français, des sociétés de capital-investissement aux grandes banques, considèrent Londres comme un possible refuge face à l'arrivée annoncée d'un nouveau taux d'imposition de 75% pour les plus grosses fortunes françaises, disent des banquiers
 
Un exemple : quittant après de nombreuses années un poste à responsabilité chez PAI Partners, société française de capital-investissement scindée de BNP Paribas il y a plus de dix ans, Bertrand Meunier a récemment déménagé à Londres pour rejoindre la société de capital-investissement CVC Capital PartnersLa situation fiscale, reconnaît-il, a joué dans sa décision, s'ajoutant au sentiment grandissant que Londres récompense le travail et l'esprit d'entreprise alors que beaucoup de ses compatriotes voient d'un mauvais oeil le succès financier.
 
"J'ai beaucoup d'amis et de famille ici, et cela faisait déjà un moment qu'ils essayaient de me persuader de déménager", raconte Bertrand Meunier à Reuters. "Je pense que Londres est assez extraordinaire ; les bâtiments sont petits, c'est très vert, les gens ont une bonne attitude vis-à-vis du travail et de la richesse."
"Ce qui m'irrite en France aujourd'hui, c'est la manière dont le goût du travail, de l'effort, a été complètement perdu", ajoute cet expatrié.
 
 

 
TRANSFÉRER DES ACTIVITÉS DE M&A
MARGIN CALL
 
Peu de banquiers acceptent de parler aussi ouvertement de leur mécontentement, mais la communauté des Français installés à Londres pourrait bientôt grossir.
 
"Bon nombre de banques françaises ont prévu de transférer des activités à Londres. La pression fiscale est moins forte et il y a plus de flexibilité. Cela paraît également cohérent de développer des activités internationales à partir de là-bas", estime Stéphane Rambosson, associé au sein du cabinet Veni Partners.
 
La Société générale en particulier étudie très sérieurement le transfert d'une partie de ses traders à Londres, ont déclaré trois sources proches du dossier.
 
Certains banquiers d'affaires spécialisés dans les fusions-acquisitions pourraient ainsi grossir les rangs des équipes londoniennes, selon plusieurs sources au sein de la SocGen. Plusieurs banquiers spécialisés dans les télécoms, médias et technologies pourraient ainsi aller à Londres en septembre.
 
La SocGen employait 12.000 personnes dans la banque d'investissement fin 2011, même si ce nombre a baissé depuis à la suite de réductions d'effectifs.
 
La SocGen s'est refusée à tout commentaire.
 
Même si Londres a supprimé des dizaines de milliers d'emplois dans la finance depuis le début de la crise mondiale en 2008, elle domine toujours au classement des capitales financières établi par le Global Financial Centres Index, où Paris n'arrive que 22e. Ce classement prend en compte le nombre de professionnels qualifiés disponibles, le climat des affaires, l'accès aux marchés, les infrastructures et la compétivité. Certains banquiers estiment que la ligne politique du président François Hollande, qui a fait de la finance son ennemi pendant sa campagne électorale, est une invitation à traverser la Manche pour les banquiers mais aussi pour leur clientèle des grandes entreprises.
 
LVMH AUSSI REGARDERAIT DU CÔTÉ DE LA CITY
 
"Vous allez être surpris du nombre de gens qui partent", a dit un banquier d'affaires, comparant Paris à un hôtel cinq étoiles où la vie est somptueuse mais inabordable. "J'ai des amis proches qui sont déjà partis."
 
Stéphane Rambosson estime que 30.000 à 40.000 professionnels français du secteur financier se trouvent déjà à Londres. Les chiffres de la Fédération française des banques suggèrent que 55.000 Français travaillent à Londres, pour beaucoup dans le "back office", sans contact direct avec les clients.
Les banques françaises ne révèlent pas la répartition géographique de leurs effectifs dans la banque d'investissement.
 
Le Premier ministre britannique David Cameron avait promis en juin de "dérouler le tapis rouge" aux entreprises françaises si François Hollande mettait à exécution sa menace de taxer les plus fortunés. Des avocats fiscalistes ont dit à Reuters qu'environ 20% des entreprises cotées au CAC 40 envisageaient "sérieusement" une telle option.
 
Selon plusieurs conseillers financiers et juridiques, l'homme le plus riche de France, Bernard Arnault, fondateur et président du groupe de luxe LVMH, étudierait la délocalisation du comité exécutif du groupe dans une ville étrangère, Londres arrivant en tête de liste dans ces réflexions.
 
"Je ne serais pas surpris s'ils prenaient une telle décision. S'ils le faisaient, ils ne seraient pas les seuls," a déclaré un conseiller proche de la stratégie de Bernard Arnault.
LVMH n'a pas souhaité faire de commentaire.
 
 
"Je ne crois pas aux relocalisations brutales. Un scénario à la Schneider est plus intéressant", estime Sébastien de Mones, fiscaliste au cabinet Bredin Prat, à Paris.
 
Schneider Electric avait montré l'an passé qu'une grande entreprise française pouvait être dirigée de l'étranger. Le groupe avait transféré une partie de son comité exécutif, dont son président Jean-Pascal Tricoire, à Hong Kong où il réalise 12% de son chiffre d'affaires et 26% de ses bénéfices.
 
Berne va continuer de choyer ses riches "réfugiés" fiscaux - le monde : L'heure de l'exode n'a pas encore sonné pour les riches résidents étrangers du bourg alpestre de Gstaad, en Suisse. Le résultat de la votation organisée, dimanche 23 septembre, dans le canton de Berne, dont Gstaad fait partie, a de quoi rassurer les quelque 170 chefs d'entreprise, vedettes de la chanson ou du sport domiciliés dans la station et y bénéficiant d'un très avantageux système d'imposition : le forfait fiscal
 
MIEUX QUE LA SUISSE
Quant à la Suisse, qui pourrait aussi être attirante pour les "réfugiés fiscaux", il lui manque la palette de services financiers de Londres, où vivent déjà quelque 300.000 expatriés français.
Des chasseurs de tête appellent cependant à la prudence face à cet engouement pour Londres, où la demande dépasse les possibilités d'emploi.
 
"Que vous soyez à Londres ou à Paris, vous allez rencontrer le même genre de problèmes", dit Gaël de Roquefeuil, responsable du cabinet de recrutement parisien ROC Partners. "Les banques d'investissement n'embauchent pas, un point c'est tout. Tout est gelé."
Même si de nouvelles réductions d'effectifs se profilent et si la législation européenne risque de limiter les bonus, la City n'en reste pas moins au centre des flux mondiaux de capitaux.
Installer des banquiers de manière permanente à Londres reste une meilleure solution que de les abonner à l'Eurostar, résume un responsable d'une grande banque française.
 
D'abord, Londres abrite les plus grandes minières du monde (London is home to the largest global mining). C'est là que vous retrouverez Xstrata et AngloAmerican par exemple. Aussi, vous trouverez une exposition aux pays miniers dont les places financières ne sont pas jugées sûres. C'est le cas du JSX (Johannesburg Stock Exchange) par exemple. Depuis bien longtemps, les minières ont commencé à quitter cette place pour Londres.PDF]  Aperçu de l'industrie minière ( cliquez ici )
PDF]  Londres - le marché minier mondial - London Stock Exchange



[PDF]  La levée de capitaux dans le c½ur de la population mondiale - Finance
 
Vous trouverez également des cotations plus "exotiques", comme Kazakhmys. Ne vous méprenez pas, ce type de minières est solide. Seulement, le code minier kazakh est impénétrable, et on n'est jamais à l'abri d'une surprise. Vous retrouverez toute une série de mines venant de l'est. Peut-être parce que Londres est devenu un paradis pour les oligarques russes et autres magnats ouzbeks ou géorgiens.
Le contraste est ainsi flagrant avec Toronto, qui attire davantage les amoureux de la mine (ils existent !).
 
Toronto, la Mecque de la mine

Toronto a développé ses compétences dans la mine d'abord, parce que le Canada est un pays minier. Que ce soit en potasse, en or, en uranium ou en phosphate, le pays est une des grandes puissances productrices dans le monde. Ainsi les grandes compagnies y sont cotées. C'est le cas de Barrick Gold, un des leaders de la production aurifère. Mais le véritable atout de Toronto, c'est la myriade de petites minières qui viennent y lever quelques dollars pour donner leur premier coup de pioche.
L'explication est d'abord réglementaire. Le groupe TSX est composé du TSX (senior market) et du TSX Venture Exchange (anciennement le Canadian Venture Exchange). Cette dernière place est beaucoup plus tolérante sur les conditions d'inscription des minières. Ainsi, les plus petites minières, avec de maigres ressources ou une comptabilité brouillonne, peuvent s'y lister. Par exemple, sur le secteur de l'uranium, on compte pas moins de 100 minières inscrites !
 
C'est sur cette place que résident les plus belles opportunités... et les plus grands risques.
 

 
Toronto-Londres, avantage Toronto
Mais un autre élément différencie Londres et Toronto. Choisir entre ces deux places revient à choisir entre un groupe de copains et une caste de groupes de techniciens. Je m'explique.

Certaines minières ont choisi d'être cotée à Londres pour la visibilité et le prestige de la place londonienne. Mais d'autres ont préféré Toronto, parce qu'elle attire tous les métiers possibles et imaginables autour de la mine (avocats, géologues, consultants, journalistes spécialisés) — vous obtiendrez donc un suivi plus régulier sur votre investissement
 
LA CITY - LA FINANCE EN EAUX TROUBLES : : Mathieu Verboud propose une enquête sur l'un des plus importants paradis fiscaux méconnu du grand public : la City de Londres. Comment a-t-elle réussi à être un des acteurs majeurs de la dérégulation financière, des bonus extravagants, de la culture du profit à court terme, de la fiscalité douce mais aussi du secret bancaire, de l'évasion fiscale et du blanchiment d'argent ?
 
 

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C'est ce qui explique que certaines minières choisissent Toronto contre Londres ou leur place d'origine. Ainsi Equinox Minerals et First Quantum Minerals, pourtant basés en Australie et travaillant en Afrique, ont choisi Toronto comme lieu de cotation.

 
sa conclusion :J
 
Un film a voir pour mieux comprendre :  On aime passionnément
 
L'automne 2008 ne porte pas chance à Eric Dale, trader dans une grande banque d'investissement new-yorkaise que ses patrons ont décidé de licencier. Alors qu'il prépare son départ, la rage au coeur, il remet à son supérieur, Peter Sullivan, une clef USB contenant le dossier sur lequel il travaillait, en lui recommandant de se montrer prudent. Dans la soirée, Sullivan, en lisant les notes de Dale, découvre que la banque compte dans ses actifs une masse de produits financiers capables de l'acculer à la faillite. Il alerte ses chefs, Will Emerson et Sam Rogers. Les plus hauts responsables se réunissent. Il ne leur reste que la nuit, avant la réouverture des marchés, pour sauver l'entreprise...
 
Il n'en croit pas ses yeux, le petit trader. C'est dix, cent, mille fois plus grave que ce que lui a suggéré son supérieur hiérarchique, le matin même, avant d'être viré comme un malpropre, en cinq minutes, bureau immédiatement vidé, portable instantanément coupé... Il est très tard et le jeune homme se sent bien seul dans le grand immeuble désert où siège la firme la plus puissante de Wall Street. S'il a raison — et il a raison ! —, c'est un tsunami qui menace. Un néo-big krach. La terre va s'entrouvrir et précipiter dans les flammes de l'enfer tous ses supérieurs, ces brillants incompétents, qui n'ont rien vu venir...
 
Ce qui se passe ? En jargon économique, on dirait que l'entreprise a dépassé plusieurs fois depuis quinze jours « les limites historiques de l'indice de volati­lité ». Traduction en bon français par l'un des responsables : « On se retrouve avec le plus grand sac d'excréments de l'histoire du capitalisme. »Problème : à qui le fourguer avant que la panique ne se répande partout,urbi et orbi...


Des documentaires sur la crise de 2008, on en a vu, et des bons (Cleveland contre Wall Street). Mais des fictions, peu ou alors des nulles (l'infâme Wall Street 2, d'Oliver Stone). Rien qui égale la force, l'intensité de ce premier film. Ou l'inconnu qui le signe a vu tous les grands films hollywoodiens et les imite si bien qu'il en devient génial. Ou il est génial, lui, qui fait se croiser, à la manière de Robert Altman, une dizaine de personnages sans en sacrifier aucun.
 
Ils sont tous passionnants. Le big boss (Jeremy Irons), qui énonce les trois règles d'un patron de la finance : « Etre le premier, le plus intelligent ou le plus tricheur. Surtout le premier. » Le responsable des ventes (Kevin Spacey), qui, alors que son univers vacille, pleure à gros sanglots, visage collé au pelage, sa chienne mourante. Ou le petit chef (Paul Bettany), perpétuel mâcheur de chewing-gum, suicidaire, qui explique comment il a bien pu dépenser 2,5 millions de dollars en une année : « Trois cent mille dollars pour mon emprunt immobilier, 50 000 pour ma voiture, 150 000 pour mes parents (c'est un bon fils !) et 76 520 (la somme est précise) pour l'alcool et les putes. Surtout les putes »...
 
Comme chaque minute compte, comme chacun est tendu à l'extrême, on s'atten­drait à ce que le rythme s'affole. D'autant que le réalisateur vient de la pub qui pousse, parfois, à certains effets faciles. Mais non ! J.C. Chandor étire le temps au maximum, il l'« élastifie » comme Hitchcock dans ses grandes scènes de suspense. Chez Hitch, la bombe est sous la table, le spectateur le sait, mais pas les personnages. Ici, tout le monde est au courant et c'est le compte à rebours, implacable, qui crée l'angoisse. Dans les étages, à peine éclairés, silencieux, doucereusement inquiétants, les petits chefs semblent en attente, comme pétrifiés. Des travellings en traquent d'autres que l'on découvre affalés sur leur bureau, terrassés par la fatigue.
 
Au coeur de l'immeuble, dans des bureaux aussi sécurisés qu'un coffre-fort suisse, J.C. Chandor filme en plans fixes des visages qui expriment d'autant plus la détresse qu'ils tentent de la cacher à toute force. Celui du petit jeune (Zachary Quinto) qui se sait fichu. Celui du bouc émissaire (Demi Moore), qui va payer pour n'avoir pas été entendue à temps... Sans oublier le big boss, bien sûr. Peut-être le plus beau personnage de tous : l'interprétation british de Jeremy Irons lui confère une noblesse et une monstruosité quasi shakespeariennes...
 
 
 
Margin Call film entier version français

 
 

Conclusion :
A lui seul, le big boss oppose un démenti cinglant aux idéalistes qui rêvent encore de moraliser le capitalisme. Même dans la tourmente, sa seule arme reste l'argent : il paye un employé renvoyé 176 471 dollars l'heure pour s'assurer de son silence. Il verse un bon million à ceux qui, avant que la nouvelle de la faillite se répande, entuberont le plus de clients possible en un minimum de temps. Casser le marché, il s'en fiche. Mettre en faillite ses confrères, il s'en fout. Ruiner les petits épargnants, il s'en moque...
 
Au petit matin, il songe même à rebondir : « On peut s'enrichir grâce à ce merdier ! » Il évoque, presque amusé, toutes les crises auxquelles il a été confronté : 1974, 1987, 1992, 1997, 2000. Il résistera à celle-là comme aux autres. Même quand il se plante, ce type-là survit : c'est Moloch dans toute sa gloire... L'attirance-répulsion joue à plein. — Pierre Murat
 
Andre Gorz, André Gorz – La sortie du capitalisme a déjà commencé ,
 
C'est l'exemple non pas d'une dérive d'un homme, mais d'un système. La crise des subprime a révélé le scandale, lorsque l'appât du gain de ces clients ( banques et clients) en cherchant a retirer leurs sous, ont eu des pertes

NOIRE FINANCE - La grande pompe à phynances - Arte EP01.flv
 
Margin Call (film 2011) - Drame - L'essentiel - Télérama.fr

 
 
Afin de mieux comprendre ce qui va suivre :
 
Le risque systémique, Le Capital - travail, tant qu'il y aura des profits , Qu'est ce que c'est... La Baisse tendancielle du Taux de profit ?, Loi Du Capitalisme | Tant qu'il y aura de l'argent ... - tanquil.net :  
La crise du système se manifeste au niveau macro-économique
 
En Chine, aux Philippines ou au Soudan, les chiffres attestent que cette limite est atteinte. L'accumulation productive du capital productif ne cesse de régresser. Aux États-Unis, les cinq cents firmes de l'indice Standard & Poor's disposent de 631 milliards de réserves liquides ; la moitié des bénéfices des entreprises américaines provient d'opérations sur les marchés financiers. En France, l'investissement productif des entreprises du CAC 40 n'augmente pas même quand leurs bénéfices explosent
 
Voir Le capitalisme synonyme de problèmes économique , écologique et sociaux – Altermonde, Pourquoi parler de crise ?Posted on 22 avril 2012 by risc, Modèle Japonais généralisé
 
ECONOMIE DE MARCHE, , L'exercice de l'Etat et la noir finance - citizen Khane, hensozu. , anarkia, Etats, capitalisme et finance - antalya, Etats et NOIRE FINANCE - l'indigné, Capitalisme ou la finance noir - hensozu, L'exercice de l'Etat et Noire finance - l'indigné, La Finance imaginaire - Alterfinance, Non au traité de la rigueur - Altermonde
 
Système Capitaliste : Ce n'est pas le virus qui est malade, c'est l'organisme qui va mal ?
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"

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#Posté le vendredi 12 octobre 2012 11:04

Modifié le jeudi 10 août 2017 14:16

Le changement ? C'est nous qui le ferons !

 
 Le changement ? C'est nous qui le ferons !
Le changement ? C’est nous qui le ferons !
 
Global Revolution LIVE
 
L'Espagne, le nouveau visage de l'économie européenne ?
 
Ce matin, la lecture des titres des journaux. "L'Espagne s'enfonce davantage dans la récession", titrait Le Figaro.
 
 J'avais décidé de vous parler de l'Espagne. En faisant ma revue de presse, je suis tombée sur un article de l'Usine nouvelle qui commençait ainsi : "Où trouver la croissance quand on est sur un marché en récession ?". La solution : exporter.
 
José Vicente Roca, le directeur de Porcelanosa, une entreprise de céramique, a la solution : "au-delà des frontières !".
Cela paraît tout bête mais cela m'a aussi rassuré sur la capacité des entreprises européennes à innover et à s'adapter à la nouvelle donne économique.
 
Mais commençons pas une mise à jour sur la crise espagnole.
Comme prévu, le pays est plombé par ses banques, par son chômage (25% de la population active), par la récession (un nouveau recul du PIB de 0,4% au deuxième trimestre après un recul de 0,3% au premier trimestre) et aussi et surtout par la situation budgétaire catastrophique de nombre de ses régions autonomes. Après Valence et la Murcie, la Catalogne, la plus riche région espagnole, a dû se résoudre à demander l'aide du Fonds régional de liquidité, fonds mis en place par le gouvernement espagnol pour aider les régions en difficulté.
La Catalogne a demandé 5 milliards d'euros qui devraient lui permettre de rembourser les dettes arrivant à échéance d'ici la fin de l'année (5,8 milliards d'euros).
 
Le plus intéressant dans cette demande est que la Catalogne s'est empressée de préciser qu'elle n'accepterait aucune concession ou surveillance financière du gouvernement espagnol sur son budget et ses dépenses en échange de l'aide consentie. Une attitude qui rappelle l'opposition stricte des pays périphériques à toute ingérence d'inspiration fédérale.
 
L'argent sans les contraintes... voilà qui résume plutôt bien la crise de la dette souveraine européenne.
Au fil des demandes d'aide des régions autonomes, le Fonds régional de liquidité voit fondre ses capacités financières. Doté au départ de 18 milliards d'euros, c'est déjà 8,8 milliards qui ont été alloués – 5 milliards pour la Catalogne, 3,5 milliards pour Valence et 0,3 milliard destinés à la Murcie. Or si seules trois régions ont pour l'instant annoncé avoir besoin de l'aide de Madrid, les 14 autres régions autonomes ne sont pas en meilleure santé financière...
 
La probabilité d'une demande d'aide de l'Espagne à la zone euro se fait donc de plus forte. Car les besoins espagnols se jouent sur deux niveaux :

- Besoins de recapitalisation des banques espagnoles. La zone euro a décidé d'aider directement les banques afin qu'elles satisfassent aux exigences de fonds propres imposés par Madrid. L'Europe avait proposé 100 milliards d'euros, aux dernières nouvelles, les banques espagnoles n'auraient besoin "que" de 60 milliards.
- Besoins de financement de l'Etat espagnol. Pour le moment, Madrid ne s'est toujours pas décidé à demander directement l'aide du FESF/MES. Mais alors que la récession s'aggrave et que de plus en plus de régions autonomes se résolvent à faire appel au Fonds régional de liquidité – dont les capacités limitées sont, comme nous l'avons vu, bien entamées – le besoin de refinancement se fait plus pressant. Reste à savoir quels seront les moyens choisis par la zone euro pour soutenir l'Espagne et surtout quelles seront les conditions qui accompagneront cette aide ?
 
Jusqu'à présent, vous vous dites certainement que l'Espagne est à fuir, un trou noir économique et qu'il est hors de question d'y investir.
 
Mais vous auriez tort. Car la crise oblige les entreprises espagnoles à innover et à s'adapter pour survivre. De là à voir dans ces entreprises des pionnières de la nouvelle croissance européenne et les cobayes d'un nouveau modèle économique, il n'y a qu'un pas que nous n'hésiterons peut-être pas à franchir !
 
Les entreprises espagnoles championnes de l'exportation
C'est ce que souligne L'Usine nouvelle : "En 2011, les exportations espagnoles ont progressé de 15,4%, à un rythme plus rapide que celles de la France (8,6%) ou de l'Allemagne".
 
Comment expliquer un tel phénomène ? Par la baisse du coût du travail – en grande partie dû à la baisse des salaires – et l'augmentation de la compétitivité de 11%. En fait, selon la banque espagnole BBVA, les salaires n'ont pas augmenté depuis 2009.
 
, Claire Diaz s'intéressait au coût du travail dans la zone euro. Je reproduis ici une carte représentant l'évolution du coût du travail depuis 2008.
 
Conclusion, l'Espagne devient attractive pour les entreprises étrangères. Selon le baromètre sur l'attractivité européenne d'Ernst & Young cité par L'Usine nouvelle, en 2011, le nombre d'entreprises étrangères qui se sont installées en Espagne a augmenté de 62%.
 
Une attractivité qui a plusieurs causes. Certes, les coûts salariaux sont plus faibles que dans le reste de l'Europe – mais ce n'est pas la principale raison. C'est surtout l'offre immobilière et surtout la présence d'une importante main-d'oeuvre qualifiée disponible qui attirent les entreprises.
Point noir persistant pour les entreprises ibériques : l'accès de plus en plus difficile aux prêts. Cela ne vous surprendra évidemment pas. Alors que les banques espagnoles sont plombées par les crédits immobiliers pourris, elles ne sont pas très enclines à accorder des crédits aux entreprises – même celles qui affichent une bonne santé financière.
 
Comment en profitent ils ?
En misant sur ces sociétés espagnoles qui ont réussi leur "virage exportateur". "Et ce d'autant plus que la persistance de la crise obligataire a plombé les cours boursiers : les actions espagnoles sont donc bon marché !"
 
Parmi ces sociétés, deux à suivre de près :

- Viscofan (Madrid: VIS), un fabricant de boyaux en cellulose ou collagène – ce qui emballe vos saucisses. Viscofan ne paraît pas très sexy au premier abord mais la société a publié des résultats très encourageants pour le premier semestre 2012, 14% de croissance sur un an, avec un chiffre d'affaires consolidé de 370,9 millions d'euros et un bénéfice de 51,4 millions d'euros.
 
Une société tellement prometteuse que - Inditex (Madrid:ITX) : comment mieux vendre cette société qu'en disant qu'elle possède entre autres la chaîne Zara. Inditex est le premier fabricant textile au monde. "Malgré la crise économique en Europe, où il réalise 70% de son chiffre d'affaires, Inditex caracole avec des ventes en progression annuelle de 10%. En 2011, il a ouvert des magasins dans cinq nouveaux pays, dont l'Azerbaïdjan, le Pérou et l'Afrique du Sud. Et il prévoit près de 500 autres ouvertures cette année, dont 123 en Chine, optimisme qui s'appuie sur le succès planétaire de Zara, sa marque étendard", explique Challenges.
 source L'Espagne, le nouveau visage de l'économie européenne ? | La ...
 
Le changement ? C’est nous qui le ferons !
 Espagne : violence et indignation :
Malgré une 60 de blessés, rajoy félicite la police. 5 Indignés en Espagne : une manifestation dégénère à Madrid Atlantico / Des affrontements ont éclaté mardi à Madrid entre manifestants du mouvement des indignés et policiers anti-émeute. Au moins 60 personnes ont été blessées3
 
Plusieurs organisations et mouvements d'indignés ont convoqué cette manifestation via les réseaux sociaux. En cause, l'austérité à laquelle est confronté le pays. Bénéficiant d'un plan d'aide européen pour ses banques depuis juin et luttant au prix d'une cure de rigueur historique pour réduire son déficit, le gouvernement conservateur a adopté depuis décembre des mesures d'austérité qui ont provoqué un profond mécontentement. "Toute une série de mesures ont été adoptées par décret, sans qu'elles ne passent par les députés", dénonçait une porte-parole de Coordinadora #25S, une organisation qui appelait à manifester
 
 
 
Pourquoi ? Les actionnaires réclament toujours plus de dividendes pour augmenter leurs profits. tous les moyens
Au dela du nombre, c'est l'efficacité de la lutte qui compte. La lutte doit être anticapitaliste, libertaire, coupant tout lien avec chef, état et ne pas être juste une réaction ponctuelle de colère sur un sujet. Cela demande une réflexion sur la géopolitique et le fonctionnement du rapport de force qu'occassionne le système capitaliste. Un exemple :
Les luttes des manifs sur les retraites a mobiliser plus de 3 millions de personnes dans la rue, mais étant en grande majorité réformiste, les français sont rentrés gentiment le soir. Du coup, nous l'avons eu dans l'os
Les mobilisations étudiantes ne comptait peut être 20.OOO a 1 millions ( je n'ai plus le chiffre en tête), mais les occupations
Si on ne bloque pas l'économie, alors les profits continuerons. Le capitalisme est en phase de restructuration, un peu comme l'arbre perd ces feuilles en hivers pour concntrer sa sève sur les organes vitaux
defense : avis de naissance d'un géant : EADS-BAE-Systems : naissance d'un géant de l'aéronautique
 
Défense de l'Industrie et de l'Emploi - Alternative Libertaire 33

 
Ce projet est politique, eads et BAE fusionnait, si Si elle est finalisée , elle ce serait finalisée, la fusion EADS-BAE Systems aboutira à la création le numéro 1. , d'un leader mondial de l'aéronautique et défense, fort de 220.000 salariés pour un chiffre d'affaires de près de 78 milliards d'euros, loin devant les américains, Boeing et Loockheed Martin
Mais les politiciens européens sont réservés. Ces fusions fait peur : risque de suppression d'emplois.
Cette affaire est devenue une affaire d'état. Hollande et Merkel se sont réunis
Les anglais sont mécontent :

 
L'objectif pour rajoy est de promouvoir l'idéologie sécuritaire
 HOP LA GRECE !!! Y A DEJA DU MONDE DEVANT LE PARLEMENT. SUIVEZ LA REVOLUTION EN DIRECT. Ca va être chaud ce soir avec les espagnols qui remettent ça.

http://globalrevolution.tv/ --> pour le moment des retours sur les évènements précédents
http://rt.com/on-air/greece-strike-unions-athens/ --> en direct

 grèce en live !! ça chie !!!
Grèce, Athènes: en Live de la place Syntagma : http://globalrevolution.tv/
 

 
 
Source : Le changement ? C'est nous qui le ferons !
 
Le changement ? C’est nous qui le ferons !




 
Pourquoi ? Les actionnaires réclament toujours plus de dividendes pour augmenter leurs profits. tous les moyens
 
Quelles réponses ?
Face à cette situation qui ne cesse d'empirer depuis le milieu des années 1970, certains entonnent le couplet du repli national, du “produisons français”, alors que
le véritable problème est l'absence de pouvoir des travailleurs et travailleuses dans les entreprises, quels que soient les secteurs d'activité (....)
S'il est déterminant de se battre sans concessions pour le maintien intégral des emplois (ce n'est pas à nous de payer pour augmenter leurs profits!), il importe de faire grandir dans nos luttes, parmi la population la nécessité que les travailleurs et travailleuses prennent en main l'économie, qu'ils et elles ôtent les pouvoirs dictatoriaux des actionnaires et patrons en socialisant les moyens de production, d'échange et de services. C'est ce que nous défendons :
pour sortir de la crise du capitalisme, propriété collective des travailleurs sur l'économie !
 
Autogestion sociale et économique !
Dehors les parasites patronaux et actionnaires !
 
Face à la surproduction, réduisons le temps de travail entre les sites, avec maintien de tous les salaires. Proposons des contre-projets industriels basés sur la satisfaction des besoins de la population et les ressources naturelles locales dans une logique de développement écologique de long terme.
 
Comment ?
 
Le changement ? C’est nous qui le ferons !
Le capitalisme et tous ceux qui soutiennent ce système vont tout faire pour nous faire payer leur échec.
Par nos luttes, déjouons leur pronostic.
 
Unifions et radicalisons nos moyens d'actions, mettons en avant le seul débat qui vaille : à qui doit revenir le pouvoir dans les entreprises et dans la société ?
 
Alternative libertaire
 
contacts@alternativelibertaire.org
 
Les travailleurs et travailleuses subissent des plans de licenciements en cascade, et pour certains la fermeture de leurs boîtes. Chômage pour les uns, stress et exploitation accrue pour celles et ceux qui restent.
 
le changement ?
c'est nous qui le ferons !
 
Le Peuple de l'Herbe - Parler le fracas - Official Video

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globalia - citizen khane


 
Tags : les indignés, démocratie réelle, démocratie directe, crises, chomage, rajoy, entreprises espagnoles, l'exportation, délocalisation
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#Posté le mercredi 26 septembre 2012 16:48

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