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Les Misérables - 21 - La Faute A Voltaire
Les Misérables-01-La Journée Est Finie
élections. la preuve en directe ceux qui étaient venu nous faire la moral avec du "tout sauf sarkozy" ce retrouvent avec un gouvernement du même acabit , loi macron, loi el-khomri etc
DES «NANTERRE» AUX «VOLTAIRE»
De la promotion Voltaire au syndicalisme étudiant, comment la gauche a perdu le peuple dans sa confrontation au réel.
" Il n'y a pas d'alternative "
21/07/2011" Les réformistes acceptent l'économie de marché non seulement parce que l'on n'a pas le choix, mais aussi parce qu'elle est garante de libertés."
Rocard
Des Nanterre aux Voltaire
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C'est inévitable : dès qu'ils arrivent au pouvoir, les socialistes mettent un coup de barre au centre (sinon à droite) et désarçonnent leurs électeurs. « Tournant de la rigueur » en 1983 (avec Laurent Fabius), « pacte de responsabilité » en 2014 (avec Emmanuel Macron)... En trente ans, rien n'a changé de cette mécanique schizophrène, entre promesses sociales (en campagne) et pragmatisme économique (une fois au gouvernement).
« Après l'espérance du Grand Soir, il faut affronter les petits matins gris », résume Bertrand Delais dans ce documentaire qui analyse assez précisément l'origine de ces revirements : « La gauche est-elle condamnée à une dérive gestionnaire ? »Chacun y va de sa réponse : Jacques Attali, l'économiste Philippe Dessertine, Jean-Marc Ayrault, Michel Rocard et Macron himself... En face, le film donne la parole aux déçus du PS — la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann ou le socialiste Jérôme Guedj — et sonde les militants locaux qui peinent à comprendre ce grand zigzag politique. Bilan doux-amer du quinquennat de François Hollande, ce film pointe le rapport contrarié des socialistes à l'économie libérale, voire à l'autorité et dessine les contours d'une « crise identitaire » pas loin d'être fatale au parti. — Erwan Desplanques
Suivi d'un débat avec Alain Bergounioux, Bertrand Delais, Renaud Dély et Pascal Perrineau.
Erwan Desplanques
Doc Extrait 1981 2012 des Nanterre aux Voltaire
" Il n'y a pas d'alternative " tel a été le slogan de la gauche social démocratie pour nous faire avaler la rigueur budgétaire et la perte des utopies qu'elle était sensée portée
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Elles ont mutés en : pauvre, riche, très riche
Cet épisode retrace la vie quotidienne devenu banale pour des millions de Français.
2 sur 3, Partie 3 3
Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron affirme dans une interview à paraître demain dans les journaux du groupe Ebra avoir une "loyauté personnelle envers François Hollande", sans avoir le sentiment d'être "son obligé" ou l'homme d'un "clan".
"J'ai une loyauté personnelle envers François Hollande. Je lui dois de m'avoir fait confiance et de m'avoir nommé au gouvernement. En même temps, lorsqu'un président nomme quelqu'un ministre, il le fait parce qu'il pense que c'est bon pour son pays, pas pour en faire son obligé", affirme le ministre.
Emmanuel Macron n'est donc pas l'obligé du président ? "Loyal sur le plan personnel et n'appartenant à aucun clan sur le plan politique. Avec un devoir, tout faire pour que les Français retrouvent le goût de l'avenir", répond-il. François Hollande avait pourtant fait le 14 avril, lors de son intervention télévisée sur France 2, une déclaration en forme de mise au point: "C'est, entre nous, non pas simplement une question de hiérarchie, il sait ce qu'il me doit, c'est une question de loyauté personnelle et politique". Le ministre, qui a lancé le 6 avril son mouvement, En marche!, entend bousculer le "système bipartiste, avec d'un côté le PS et de l'autre les Républicains", et prendre le "calendrier politique dans le bon ordre". "Il faut une recomposition de l'offre politique, et il la faut maintenant", insiste-t-il.
"Dans la logique actuelle, on parle d'abord des personnes (...) Les partis choisissent d'abord un candidat, qui cherche à accentuer le clivage droite-gauche pour gagner sa primaire. Ensuite, chacun va chasser des voix au centre pour gagner l'élection. Et au lendemain de l'élection, on cherche à reconstruire des équilibres, des unions, on lance un grand bilan du pays...", décrit le ministre. Pour lui, "il faut faire les choses dans l'autre sens : d'abord le bilan, le diagnostic du pays, ensuite les idées et les actions pour y répondre et enfin les personnes". C'est à ce diagnostic du pays que veut s'attaquer le ministre en envoyant ses "marcheurs" à la rencontre de 100.000 personnes dans une grande campagne de porte-à-porte.
Une "majorité progressiste"
Pour l'ancien conseiller à l'Elysée de François Hollande, "le vrai clivage aujourd'hui, il est entre les progressistes et les conservateurs, plus qu'entre la gauche et la droite". Pour les "quatre questions" structurantes que sont le travail, le "rapport à la sécurité et à la liberté", le "traitement des inégalités" et l'Europe, il existe "une majorité progressiste, la même qui s'est dégagée lors des débats à l'Assemblée sur la loi Activité-Croissance" (la loi Macron, NDLR).
"Fondons maintenant cette majorité progressiste", demande le ministre, qui précise ne pas vouloir "nouer des pactes entre les appareils politiques existants" comme le propose le Premier ministre. "Les gens ne comprennent plus qu'on exacerbe artificiellement les différences le temps de la campagne pour prétendre s'arranger pour gouverner. Moi non plus", assène-t-il.
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