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6 articles taggés Barack Obama

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Corée du Nord, la dictature de la bombe

n
 
"Quand létat t'enseigne a tuer, il se fait appeler patrie." 
 
Le Pentagone veut développer des armes tactiques miniaturisées pour s'adapter aux nouvelles menaces internationales.
Barack Obama rêvait d'un monde débarrassé des armes nucléaires. Donald Trump les a replacées au centre de la doctrine américaine. Même si les espoirs de l'ancien président américain, gratifié du prix Nobel de la paix à peine installé à la Maison-Blanche, ont été rapidement douchés par la réalité, la révision de la Nuclear Posture Review (NPR), en proposant de développer des armes nucléaires nouvelles, de faible puissance et à visée tactique, constitue une inflexion dans la politique nucléaire des États-Unis. Washington a défendu cette nouvelle politique à l'ONU mardi en insistant sur la nécessité de faire face à un «climat d'insécurité plus complexe et menaçant» qu'il ne l'a jamais été depuis la fin de la guerre froide.
» LIRE AUSSI - Renaud Girard: «Les ressorts de la nouvelle stratégie nucléaire américaine»
L'initiative de la Maison-Blanche est une réponse globale aux pays qui développent leur arsenal nucléaire, le modernisent ou le miniaturisent.


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Corée du Nord, la dictature de la bombe à 21 heures sur France 2
 


 Au sommaire : Corée du Nord, la dictature de la bombe. En multipliant les provocations, le leader nord-coréen est parvenu à placer son pays au centre de l'échiquier mondial. 2017 aura été l'année de Kim Jong-un. En multipliant les provocations, le leader nord-coréen est parvenu à placer son pays au centre de l'échiquier mondial. Les derniers tirs de missiles balistiques intercontinentaux effectués par le régime de Pyongyang ont confirmé ce que tout le monde craignait : la Corée du Nord est désormais capable de frapper le territoire nord-américain. Des acteurs de premier plan - anciens cadres du régime, ministres, diplomates, agents de la CIA, décrivent les arcanes d'un régime obsédé par la bombe atomique.
 
2017 aura été l'année de Kim Jong-un. En multipliant les provocations, le leader nord-coréen est parvenu à placer son pays au centre de l'échiquier mondial. Les derniers tirs de missiles balistiques intercontinentaux effectués par le régime de Pyongyang ont confirmé ce que tout le monde craignait : la Corée du Nord est désormais capable de frapper le territoire nord-américain. A travers le témoignage d'acteurs de premier plan - anciens cadres du régime, ministres, diplomates, agents de la CIA, spécialistes du nucléaire -, ce documentaire plonge dans les arcanes d'un régime obsédé par la bombe atomique, au point d'avoir institué un système mafieux qui repose notamment sur la production et le trafic de drogue.
 
 
Corée du Nord, la dictature de la bombe - YouTube, Géopolitique - 20h55 le jeudi - La Corée du Nord de Kim Jong-un : Corée du Nord, la dictature de la bombe On aime beaucoup
 

Le Pentagone veut de nouvelles armes nucléaires de faible puissance
 
Ces armes remplaceront des armes nucléaires traditionnelles, ce qui permettra à Washington de continuer à respecter les traités de non-prolifération. Les experts craignent l'augmentation du risque de conflit nucléaire, mais le Pentagone assure n'avoir aucune intention de frapper en premier.
Les États-Unis veulent se doter de nouvelles armes nucléaires de faible puissance en réponse notamment au réarmement de la Russie, selon la nouvelle «Posture nucléaire» publiée vendredi par le Pentagone.


» LIRE AUSSI - Guerre nucléaire: Donald Trump sous surveillance
 
«Escalade-désescalade»
Moscou craint d'être rapidement dominé en cas de conflit conventionnel avec les Occidentaux. Pour compenser, les Russes ont adopté une doctrine «escalade-désescalade» qui consisterait à faire usage en premier d'une arme nucléaire.
 
Rompant avec la vision de l'ex-président Barack Obama qui, en 2009 à Prague, avait appelé à l'élimination de toutes les armes nucléaires, la nouvelle posture nucléaire américaine propose donc de développer un nouveau type de missiles nucléaires de faible puissance, qui seront lancés depuis des sous-marins. Embarqués, ces nouveaux missiles d'une puissance inférieure à la bombe d'Hiroshima n'auront pas besoin d'être stockés sur le territoire de pays alliés. Ils pourront aussi déjouer les défenses antimissiles de la Russie, qui sont essentiellement destinées à contrer une attaque aérienne.
 
Ces armes remplaceront des armes nucléaires traditionnelles, ce qui permettra à Washington de continuer à respecter les traités de non-prolifération. Le Pentagone vise pour le moment un programme d'une trentaine de ces «mini-armes nucléaires» pour un coût d'environ 50 millions de dollars sur cinq ans, qui doit encore être approuvé par le Congrès.
Des voix se sont déjà élevées contre ce genre de missiles, qui augmentent le risque de conflit nucléaire, mais le Pentagone assure n'avoir aucune intention de frapper le premier. «L'objectif de ces capacités est de rendre une réponse américaine à un usage de l'arme nucléaire plus plausible, pas de rendre une attaque initiale des États-Unis plus probable», a déclaré M. Weaver.
Par ailleurs, la nouvelle Posture nucléaire propose le développement d'un nouveau type de missile nucléaire de croisière mer-sol, dont le développement est prévu sur sept à dix ans. Ce nouveau programme pourrait être abandonné «si la Russie acceptait de revenir à des mesures vérifiables de contrôle des armes nucléaires», a noté M. Weaver.

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>(Reportage 01/02/2018) La Corée du Nord de Kim Jong-un - YouTube


A lire aussi
Guerre froide au Moyen Orient?, Trump sur pied de guerre, La guerre de demain?, Poutine, le nouvel empire, Relents de guerre froide, L'hypocrisie diplomatique,  Le prochain grand conflit
03 février 2018 Corée du Nord, la dictature de la bombe

Trump, 100 jours, Poutine contre les US, De Hiroshima et Nagasaki


>(Reportage 01/02/2018) La Corée du Nord de Kim Jong-un - YouTube
 
06 février 2018 "SYRIE, LE CRI ETOUFFE."
03 février 2018 Corée du Nord, la dictature de la bombe
02 février 2018 Journalism in times of war: A Middle East perspective


Tags : Corée du Nord, la dictature de la bombe, documentaire, géopolitique, china, malaysia, south korea, russia, vietnam, myanmar, north korea un, nuclear weapons, Guerre nucléaire, Donald Trump, surveillance, Barack Obama, la Russie, Kim Jong-un
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#Posté le samedi 03 février 2018 05:41

Modifié le mercredi 07 février 2018 12:40

Au Coeur De La Maison Blanche Barack Obama

 
n
House of Cards est une série télévisée américaine créée par Beau Willimon, produite par David Fincher, Kevin Spacey, Eric Roth, Andrew Davies et Michael Dobbs, elle est l'adaptation de la série ...Wikipédia

Barack Obama a déçu le réalisateur William Karel, mais celui ci n'en dira rien, préférant laisser les américains exprimer leurs propres doutes.
 
Au coeur de la Maison Blanche : Barack Obama - part 1/2 , part 2/2
- Dailymotion

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n
Lundi 18 juillet 2016 de 22:30 à 23:30 sur La Chaîne parlementaire
 
Milosevic, Clinton, Arafat, Sharon... Norma Percy a rencontré les plus puissants de ce monde. Opiniâtre, la grande dame du documentaire britannique coréalise une impressionnante série sur la présidence de Barack Obama. Une porte ouverte sur les secrets de fabrication de l'Histoire.
 
Les abstentionnistes joueront un rôle décisif dans une élection qui s'annonce très serrée. Et comme ce sont en majorité les jeunes et les pauvres qui ne se déplacent pas aux urnes, on estime traditionnellement qu'une faible participation profite aux républicains. C'est pourquoi sur TwitterMichael Moore, réalisateur de Fahrenheit 911 et de Capitalism a love story, demande à ses followers de convaincre deux personnes d'ici à mardi d'aller voter. Et sur son blog, l'activiste, qui s'est engagé sans réserve pour la réélection de Barack Obama, se fend d'une lettre "aux abstentionnistes" dont voici la traduction Élections américaines - Michael Moore aux abstentionnistes : "Va faire trembler ces salopards. Pour moi." 

Documentaire Obama, l'homme qui voulait changer le monde : 'Obama, l'homme qui voulait changer le monde', demain dans Grand Format à 22 h 00 20 heures : [émission du 5 novembre 2008]

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Les années Obama (1/4) - ARTE - YouTube





 
Acte I : comment, deux mois avant son investiture, Barack Obama doit mettre de côté ses ambitieuses promesses de réformes pour gérer la plus grande crise économique que le monde ait connue depuis la crise de 1929, et découvre que les Républicains ont résolu de le contrer par une opposition systématique.


 
Les mesures qu'il prend pour prévenir l'effondrement de l'économie américaine sont impopulaires (son refus de nationaliser les banques et de punir Wall Street), chères (son plan de relance est le plus grand de l'histoire américaine) et controversées (sa décision de renflouer l'industrie automobile). L'état de grâce est terminé avant même qu'il ait concrétisé une seule de ses grandes promesses électorales – notamment celle de fermer Guantanamo, mise en échec lorsque les membres du Congrès refusent d'accueillir des détenus sur le sol américain. Il obtient néanmoins une petite victoire au sommet sur le climat de Copenhague, en s'invitant dans une réunion présidée par la Chine.
 
Norma Percy a pourtant toute sa tête. Décrocher une interview de Barack Obama, c'est précisément le genre de prodige que cette productrice-réalisatrice multi-primée est capable de réaliser. Aux côtés de Brian Lapping, légendaire camarade de jeu avec qui elle confectionne des morceaux d'anthologie télévisuelle depuis plus de trente ans, elle a obtenu mille entretiens impossibles : avec Slobo­dan Milosevic (Yougoslavie, suicide d'une nation européenne), Bill Clinton, Tony Blair (Irlande, fin de partie), Yasser Arafat, Ariel Sharon (Israël et les Arabes, une paix insaisissable), Hachemi Rafsandjani, Jimmy Carter (L'Iran et l'Occident),Colin Powell, Dick Cheney (Irak, dans les coulisses d'une guerre)... Et Barack Obama, donc, premier président en exercice bientôt épinglé sur son tableau de chasse.

 « Les attentes immenses sus­citées par Obama avaient été largement déçues, nous voulions comprendre comment il avait exercé le pouvoir. Recons­tituer soigneusement la chaîne des dé­cisions prises à la Maison-Blanche », explique Norma Percy. Se placer dans la peau d'Obama, en somme. Ambitieux projet, qui suppose... la coopération de l'équipe d'Obama. « Ils ont pris un temps fou avant de se décider, puis nous ont dit : "OK, nous ne nous opposons pas à ce que vous interrogiez les membres de notre administration. Mais c'est à vous de convaincre chacun d'entre eux de témoigner." »
 
Les années Obama (2/4) - ARTE
 
 
n 
Ce qui se passe aux USA, c'est aussi une crise politique et financière. La donne est simple : les démocrates ont perdu la majorité au Congrès. Or, actuellement, la dette américaine est arrivée à un niveau qui va nécessité de remonter son plafond, faute de quoi, le Trésor américain a annoncé qu'il ne pourrait plus rembourser ses créanciers à partir du 2 aout. C'est-à-dire très bientôt.

Obama a besoin des républicains pour remonter ce plafond. Or, ces derniers exigent que le Président aille totalement dans leur sens, en faisant des coupes sombres dans le budget qui correspond à la politique sociale qu'il a mise en place – source Etats-Unis : Coupes sombres et chasse aux "mauvais profs
. Selon Source « AFP 25 janvier 2011 Le président Barack Obama devait appeler mardi les Etats-Unis à se mobiliser et à investir pour leur future prospérité, posant le décor d'un choc frontal avec des adversaires républicains renforcés au Congrès et décidés à réduire drastiquement les dépenses de l'Etat fédéral
Timothy Geithner (cf photo), le secrétaire au Trésor américain, estime que le projet de budget de l'opposition républicaine abaisserait les Etats-Unis au rang de pays en développement. "Le projet de budget des républicains à la Chambre des représentants prévoit des coupes claires dans les dépenses mais alloue une portion considérable des économies ainsi dégagées au maintien de bas taux d'imposition pour les plus riches, et non uniquement pour la classe moyenne", a-t-il déclaré lors d'une allocution à New York
Lui voudrait que les Républicains fassent des concessions sur la fiscalité, ce qu'ils ne sont pas prêts à faire. Le bras de fer est très dur. Les Républicains semblent prêts à aller au clash, afin que les USA se trouvent en cessation de paiement, et que Obama porte sur ses épaules la responsabilité d'une crise, qui, pour le coup, pourrait être proche de celle de 1929. Je rappelle au passage que je raillais tous ceux qui avaient rapproché la crise de 2008 de celle de 1929. J'ai eu raison. La crise de 2008 n'était finalement qu'un épiphénomène!
Une mise des Etats-Unis en cessation de paiement engendrerait des hausses de taux, ce qui plongerait le monde financier dans la récession. Les chinois, qui détiennent un tiers de la dette américaine vendraient en masse des titres sur les marchés, ce qui entrainerait un krach obligataire et corrélativement une flambée des taux. Les banques seraient étranglées et vendraient des actions pour se faire du cash, ce qui entrainerait quasi-obligatoirement un krach boursier.

Les années Obama (3/4) - ARTE
 




 Les années Obama (4/4) - ARTE

 4. L'Amérique pure et dure
En 2012, la réélection d'Obama semble propice à réformer l'Amérique en profondeur sur des thèmes aussi capitaux que le port des armes ou l'immigration. Mais, après une série de bavures policières, c'est la question raciale qui va dominer la fin de son mandat. Cet ultime volet revient sur le massacre perpétré dans l'école primaire de Sandy Hook (Connecticut) et l'échec d'Obama pour imposer un contrôle accru des ventes d'armes. Y sont rappelés aussi les aléas de sa réforme de l'immigration, qu'il décide de faire passer en force, par décret présidentiel. Enfin, la série se clôt sur la colère grandissante des Noirs à travers le pays, qui à Ferguson (Missouri), en août 2014, donne lieu à de véritables émeutes. Obama raconte comment, en tentant de ramener le calme, il a cherché à s'inspirer de l'héritage de son héros, Martin Luther King. 
 
Obama commue les peines de 102 condamnés
Le président Barack Obama a commué jeudi les peines de réclusion de 102 personnes majoritairement condamnées dans des affaires de drogue, mettant ainsi en pratique ses appels à une réforme pénale offrant des "secondes chances". (...)Barack Obama s'est déclaré en faveur d'alternatives pénales pour les petits délinquants, en constatant l'échec d'une politique judiciaire qui a longtemps fait de l'incarcération systématique l'alpha et l'oméga de la lutte contre la criminalité.

Les Etats-Unis ont actuellement plus de 2,2 millions de personnes derrière les barreaux, dont des légions de malades mentaux et de toxicomanes souvent issus des minorités défavorisées. Ce système engendre des taux de récidive dramatiques.
 
 L'intérêt particulier contre l'intérêt général. C'est à cela que ressemble la politique aux États-Unis. Tous les quatre ans, les candidats se fabriquent à coup de millions de dollars, à coup de spots anti ou pro tel candidat. Et contrairement à l'idée reçue, ce ne sont pas les lobbyistes qui courent vers Washington, mais bien les élus locaux qui ont besoin d'argent.04/09/2012
Goldman Sachs ...
 
Parmi les 504 engagements du candidat, 318 n'ont pas été tenus par le Président. Y figurent entre autres, pour la partie économique: 


La création d'un fonds d'aide de 10 milliards de dollars (8 mds d'¤) pour prévenir la faillite des propriétaires endettésLa suppression des abattements fiscaux pour les plus riches mise en place par George W. BushLe durcissement des règles concernant la collusion possible entre les lobbyistes et les responsables politiquesLa réduction des frais d'assurance santé pour les ménages jusqu'à 2500 dollars par an (2000 ¤)L'extension des allocations pour les enfants et les personnes dépendantesL'obligation pour les employeurs disposant de plans de retraite d'enroller leurs employésLa création d'un crédit d'impot pour les retraités aux plus bas revenusLa suppression des impots sur le revenu pour les séniors gagnant moins de 50 000 dollars par an (40 000 ¤)L'interdiction pour les entreprises faisant faillite de distribuer des bonus et des dividendesL'interdiction pour les laboratoires pharmaceutiques de bloquer la mise sur le marché de médicaments génériquesObliger les employeurs à couvrir 7 jours de maladie par an et par employéAccroître le salaire horaire minimum pour le porter à 9,50 dollars de l'heure (7,60 ¤)


L'étendue du programme d'Obama s'est, en réalité, limitée en pratique à la réforme de la santé et au soutien aux banques en faillite. Deux gros chantiers qui ont occupé la première moitié de sa mandature avant que le passage aux mains des Républicains de la Chambre des représentants n'enterre 90% de ce programme qui promettait d'engendrer une révolution sociale aux Etats-Unis. Pourquoi avoir tout misé sur ces deux aspects seulement lorsqu'il avait les coudées franches à la fois au Sénat et à la Chambre entre 2008 et 2010? Le reproche n'est jamais loin.
 
 
inside - la Maison Blanche


 
Au coeur de la Maison Blanche : Barack Obama - 1/2, 
2/2


n
Série documentaire
“Les Années Obama”, une plongée au c½ur du pouvoir Marc Belpois  Publié le 04/10/2016.
L'Amérique qui flippe ou l'Amérique qui floppe ? (9) - www.la-bas.org
Élections américaines - Michael Moore aux abstentionnistes : "Va faire trembler ces salopards. Pour moi." 
Les Années Obama, Immersion - Diffusé le 04/10 sur Arte+7‎
23/12/2012
Les hommes de la Maison Blanche
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo
Créé le dimanche 07 juillet 2013 
 
Ceux qui vivent sont ceux qui luttent
Par Enkolo dans Accueil le 4 Octobre 2016

Présidentielle aux États-Unis : Trump en route vers la Maison Blanche (partie 1), (partie 2)
  LES CLÉS DE LA MAISON-BLANCHE: SEXE, FRIC ... :   

BARACK OBAMA, AU COEUR DE LA MAISON BLANCHE : LISTE DES ÉPISODES
 
">Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche - samedi 30 juillet 2016
">Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche - samedi 30 juillet 2016
 
House of cards Season 3.... Premiere
 
Au nom du Temple
Créé le lundi 15 août 2016
Tchernobyl, le nuage sans fin"
Créé le vendredi 29 juillet 2016 
Infrarouge, vous êtes en Garde a Vue!
Créé le jeudi 28 juillet 2016 16:35
Ombres sur le Saint Siège
Créé le samedi 09 juillet 2016
"Nous, ouvriers"
Créé le mercredi 06 juillet 2016
Combattants solitaires de Daesch
Créé le lundi 04 juillet 2016
DARKNET, L'AUTRE RÉSEAU - Documentaire 2016
Créé le samedi 02 juillet 2016 
FRONT POPULAIRE - A nous la vie
Créé le samedi 02 juillet 2016
La reine d'Angleterre
Créé le vendredi 24 juin 2016 
L'ouvrier et la machine
Créé le samedi 11 juin 2016 
"Hollande : Pacte avec le Medef".
Créé le lundi 30 mai 2016
Coluche - Un Clown Ennemi d'Etat
Créé le dimanche 29 mai 2016
The Dead Zone -
Créé le mercredi 04 mai 2016 
"Le meilleur des monde"
Créé le lundi 02 mai 2016 
Révoltes urbaines, au-delà des préjugés!
Créé le samedi 30 avril 2016 
Bye Bye L'Euro
Créé le mardi 26 avril 2016
Le roman noir des Hauts-de-Seine
Créé le samedi 23 avril 2016
Parler le fracas
Créé le jeudi 12 mai 2016 
La fortune cachée de Poutine
Créé le lundi 11 avril 2016 
L'empilement des lois antiterroristes
Créé le dimanche 27 mars 2016
Expulsions la honte
Créé le mardi 22 mars 2016
26/04/2016
Bye Bye L'Euro
Le 26 avril 2016  Bye Bye L'Euro
Tags : Au Coeur De La Maison Blanche, Barack Obama, documentaire, “Les Années Obama”, une plongée au c½ur du pouvoir, House of cards, Série
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#Posté le lundi 18 juillet 2016 16:01

Modifié le dimanche 09 avril 2017 09:35

Divisé pour meiux régner


 
 
 
 
 
Divisé pour meiux régner, est ce la nouvelle stratégie de Vladimir Poutine.
 
Invité Klaus Segbers : pour expliquer
 
Nous le rencontrons : Alors Vladimir Poutine est en froid avec Barack Obama, en difficulté avec l'Union Européenne, tous cela a cause du dossier Ukrainien : quelle peut être dans ce contexte la stratégie du président russe?
 
Klaus Segbers, directeur de l'institut sur l'Europe de l'est, Berlin  : " La stratégie du président russe consiste principalement a obtenir trois choses impossibles
- Premièrement : garder la Crimée
- Deuxièmement : Garder une grande influence en Ukraine sans intervention militaire directe ou de manière indirecte comme c'est le cas en ce moment pour empécher que l'Ukraine n'adhère à l'Union Européenne ou à l'Otan, ce qui serait encore pire pour lui .
- Et la troisième option, objectif pour Poutine : Eviter à un niveau accrue de sanction économique au niveau européenne, car cela aurait un impact sans doute assez important pour différent secteurs économiques de Russie. Cela ferait mal et Poutine tient absolument à l'éviter. .
 
En France, il va essayer de discuter au niveau bilatéral avec différents interlocuteurs occidentaux pour voir aussi quelles sont les nuances ou accent qu'y les distinguent.
 
Ce travail de sappe au sein de l'Union Européenne est aussi en marche en Russie ( Russie : la Machine a proopagande) pour discréditer tout ceux qui pourrait s'opposer à lui, Poutine a décider de mettre en place des méthodes bien huilé :
 
En Russie, la guerre des images est sans merci. A la télévision d'état, les miliciens postés dans l'est de l'Ukraine sont systématiquement traité en héros face à ce qu'ils appèlent en Russie les fascistes de Kiev. La propagande du Kremlin repose sur la manipualtion par l'image. Des images montées de toutes pièces qui montrent des ukrainiens en fuite ou encore des ukrainiens tués qui sont en faites des rebelles du Caucase.
 
"J'ai ramené pour l'Ukraine et des proches de la place Maiden, du matériel pour 500 000 euros", raconte cet homme à une chaine de télévision proche du Kremlin
 
Sur une autre chaine, la même personne se fait passer pour un adversaire de la révolution ukrainienne passait a tabac. Une information mensongère que dénonce les journalistes du tabloid Novaia gazeta . pour lutter contre ces médias anti-gouvernementaux, le pouvoir a recours a des cyber-attaques, a des trolls  Les trolls sont des personnes qui publient des commentaires volontairement provocateurs sur le site des médias. La novaya Gazetta a déjà mis à jours un groupe de saint Pétinsbourg.
 
Olga Prosvirova, journaliste de Novaia gazeta : " Les trolls sont payés en échange ils doivent poster 50 commentaires par jours par des ordinateurs portables et travaillent dans des lieux isolés "
 
Konstantin Poleskov, journaliste de Novaia Gazeta : " Ils sont lancés par des hommes d'affaires en lien avec le pouvoir "
 
Les blogueurs comme Ienaf Podorna sont également visés par les trolls. l'objectif est d'obtenir l'interdiction des blogs. la justice oblige les bloggueurs les plus en vue à s'enregistrer légalement. l'incitation à la rebellion, même pour un simple commentaire est passible de poursuite.
 
Ilja Jaschin, blogueur et memebre de l'opposition : " Les voies dissidentes sont exclus du réseau. Certains internautes ont été poursuivis en justice pour avoir légalement partager ou aimer des liens sur facebook "
 
Pour discréditer l'opposition et les ONG, le Kremlin n'hésite pas à engager des équipes de tournage fidèle au régime seul autoriser à filmer les perquisitions. Les autres journalistes doievent se contenter de scène de violence policière
 
Maria Lipman, politologue : " Cette politarisation rempante provoque parfois de violent conflit au sein des familles russes. Il arrive que les meilleur amis du monde se fachent parce qu'ils ne seront pas d'accord sur la politique Russe en Ukraine.
 
La propagande du Kremlin s'insinue de plus en plus dans les esprits. Pour s'informer sur le conflit en Ukraine, plus de 90% des russes consultent les médias publics et ils sont de plus en plus nombreux a soutenir leur président Vladimir poutine.
 

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A voir aussi pour mieux comprendre se qui s'y trame :  :10 Principes de manipulation des masses ( vidéo)
 

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1| La stratégie de la diversion

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. "Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux." (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

|2| Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

|3| La stratégie du dégradé

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

|4| La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple récent : le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple : les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

|5| S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge
 
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Exemple typique : la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? "Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles") 
 

 

A voir le documemntaire "Les enfants de la pub" sur le marketing qui cible les enfants.

|6| Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

|7| Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. "La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

|8| Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

|9| Remplacer la révolte par la culpabilité

|10| Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes
 
10 Principes de manipulation des masses ( vidéo) 
 
 


 
Le système Poutine - HD - FR - COMPLET - YouTube :  

 
 
Sources :
10 principes de contrôle de la société
 
Les stratégies et techniques employées pour la manipulation de l'opinion publique et de la société,
 
Venise : Corruption et pots de vins
 
Divisé pour meiux régner
L'Amnésie de Tian'amnen
Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral
Espagne : parc naturel a vendre
Lobby Planet
Des lobbies au coeur de la république
Looking for Europe
 Voir l'article avec vidéo
La tragédie électronique
Bruxelles business
Argent, sang et démocratie -
Syrie, dans l'enfer d'Alep
La démocratie, c'est nous
Les nouveaux pauvres
 Voir l'article avec vidéo
“Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors
 
Seulement un mauvais rêve ? - l'indigné Révolté 
Seulement un mauvais rêve ? - citizen khane
 
Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE
Le capital au XXIe siècle
 Vol spécial


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Divisé pour meiux régner
JEU D'INFLUENCES : les crises


Quand l'hôpital retient son souffle 
Par Enkolo dans Accueil le 11 Novembre 2020 


Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés

16:25 - Les Gafam préemptent également notre capacité à rêver - LIBERATION.FR 
09:20 - Notre monde, c'est l'ailleurs - LIBERATION.FR



Diffusion intégrale du rapport sur les rassemblements de personnes.
Un Air de Révolution
A l'extrême droite du père
Tous égaux !
Ma soirée avec Boris Vian !

Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé
Les temps changent.... Le système reste !!
Clément Méric agressé par l'extrême-droite
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE
 
Pour que leurs mémoires vivent dans nos luttes...
Divisé pour meiux régner
Tags : Klaus Segbers, Vladimir Poutine., Barack Obama, Russie, la Machine a proopagande, Olga Prosvirova, Konstantin Poleskov, Novaia Gazeta, Ilja Jaschin, La propagande du Kremlin, manipulation de l'opinion publique
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#Posté le vendredi 06 juin 2014 11:40

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:22

Bruxelles, le vrai pouvoir


 
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Bruxelles, le vrai pouvoir
Politique par Christophe Dubois 
Bruxelles, le vrai pouvoir
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 Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
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Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche par Karel William
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A vos ordres, monsieur le président par Delais Bertrand
Planète+ 01/05/2013 20:45

 
Plongée dans les coulisses du Conseil européen, où les 27 Etats membres décident de l'avenir de 500 millions de citoyens. A peine élu président de la République, François Hollande promettait d'y imposer sa ligne politique et de réconcilier les Français avec Bruxelles. Un an plus tard, a-t-il tenu ses engagements ?



La critique TV de télérama du 27/04/2013
 
 En 2013, dans la panoplie du dirigeant politique, il y a un abonnement Thalys. Du contrôle des budgets nationaux à l'élaboration des nouvelles lois, Bruxelles est devenu le coeur du réacteur où les chefs d'Etat, sommet après sommet, tentent de faire valoir les intérêts nationaux, où les ministres s'en vont plaider leur cause face aux puissants commissaires. Face à la mécanique du compromis à vingt-sept, à la sacro-sainte règle d'or budgétaire, au libéralisme dominant, quelle est la marge de manoeuvre d'un François Hollande ? De quelle latitude dispose Arnaud Montebourg, croisé du « Made in France », pour protéger l'industrie hexagonale ? Autant de questions lancées par ce documentaire vivant et pédago, qui s'insinue à hauteur d'hommes dans les rouages de la mécanique institutionnelle bruxelloise.
 
Le « machin » souvent perçu comme une entité absconse et complexe est ici incarné par des visages (celui par exemple de Karel De Gucht, très libéral commissaire au commerce), animé par des moments de tensions. Le théâtre d'une dramaturgie huilée, celle des sommets des chefs d'Etat, que les auteurs décryptent avec mordant. Derrière les sourires du consensus destinés aux caméras, on perçoit les négociations bras de fer. Entre couloirs et coulisses, Deloire et Dubois éclairent aussi les rouages anonymes et puissants de Bruxelles, jeunes négociateurs dans l'ombre des ministres ou « gendarmes de la règle d'or » chargés de faire respecter le dogme des 3 % de déficit. — Virginie Félix
 
 
 Suivi d'un débat.
Virginie Félix
 
 Il ne vous aura pas échappé que politiques et responsables économiques sont en train de s'écharper sur les solutions à apporter à la récession-dépression-morosité que nous traversons, non seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe, au Japon ou en Chine
 

« Le Japon et les Etats-Unis ont fait le choix d'une même politique : l'impression monétaire pour favoriser la relance. Les objectifs du gouvernement d'Abe et du nouveau président de la Banque du Japon sont clairs, il faut créer de l'inflation. L'économie japonaise me fait parfois penser à la créature de Frankenstein. Elle est en état de mort clinique depuis 20 ans et, régulièrement, les savants fous du gouvernement s'acharnent sur son corps moribond en lui envoyant une forte décharge (monétaire), espérant créer l'étincelle de la croissance et de l'inflation »
 
Ils sont nombreux comme Yamashita à s'inquiéter du fait que "les nouvelles politiques économiques très énergiques du Premier ministre Shinzo Abe, conçues pour secouer l'économie et la sortir de près de deux décennies de déflation, pourraient provoquer un effondrement du yen

 
Résumé : En trente années de politiques néolibérales, le Japon est devenu l'un des pays les plus inégalitaires de l'OCDE. La publication du livre de Sébastien Lechevalier, "La grande transformation du capitalisme japonais" , arrive à point nommé pour éclairer une zone d'ombre de l'histoire récente du Japon mais aussi pour donner des clés de compréhension à la crise du capitalisme en cours depuis 2007
 
 
Comprendre le capitalisme japonais - Le Japon à l'envers Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013
 
Quand on parle du haut niveau atteint par la dette publique de certains pays, on tient compte de ces dettes hors bilan, la dette publique atteint, globalement, un niveau astronomique qui va devenir un lourd handicap pour les générations futures.
 
 
A titre de comparaison, la valeur nominale du PIB des Etats-Unis est de15 864 milliards de dollars et la dette du gouvernement de 16 432 milliards, soit 104% du PIB.
 
Les critères de stabilité de Maastricht prévoient un plafond de 60% pour les pays membres de la zone euro. . Les années de croissance économique n'ont pas servi à rembourser les dettes antérieures.et l'Europe est menacé de la stagnation, voire à la récession.
 
L'endettement a atteint un niveau qui le rend contre-productif dans presque toutes les régions du monde. Le service de la dette confisque une part toujours plus grande du revenu des ménages. Dans son bulletin mensuel de mars, la BCE démontre qu'un endettement public de plus de 90% du PIB rend impossible toute relance économique par le budget. Si les taux d'intérêt augmentent, de nombreux budgets publics et privés seraient, très vite, acculés à la faillite.
 
Dans la situation actuelle, nombre de membres de la zone euro ne peuvent même pas réduire leur nouvel endettement comme prévu et.

 
BRUXELLES, LE VRAI POUVOIR (documentaire)

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Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche | Public Sénat VOD :

 
A vos ordres Mr. le Président 1_2 le tempsde la guerre froide - YouTube :  A vos ordres, monsieur le président 1l2 Le temps de la guerre froide
Les conditions mêmes de la naissance de la Ve République sont ambiguës. Un «coup d'Etat» met en 1958 un général à la retraite, héros militaire, à la tête de la France. Contrairement aux années de Gaulle, la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, fut, pour la France comme pour l'armée, paisible. Elu en 1974, le président Giscard d'Estaing multipliera les interventions pour protéger la Françafrique : les opérations militaires seront nombreuses sous son septennat. En 1981, François Mitterrand reçoit un accueil glacial de l'armée, notamment à cause de la présence de quatre ministres communistes au gouvernement. Charles Hernu, ministre de la Défense de 1981 à 1985, va réconcilier les socialistes et les militaires
 
A vos ordres Mr. le Président 2_2 des temps incertains - YouTube : A vos ordres, monsieur le président 2l2 Des temps incertains
En août 1990, François Mitterrand arrête la politique française dans la crise du Golfe sans consulter Jean-Pierre Chevènement, son ministre de la Défense, qui finira par démissionner. Elu en 1995, Jacques Chirac décide en 1996 d'abandonner la conscription et de professionaliser l'armée. Le 14 février 2003, Dominique de Villepin exprime à la tribune de l'Onu l'opposition de la France à s'engager aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe. En 2007, le président Nicolas Sarkozy annonce les nouveaux axes de l'armée française : défense et sécurité. Les militaires soulignent que la sécurité intérieure n'est pas leur vocation
 

 
 
Bruxelles, le vrai pouvoir
 
Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 1) - YouTube :




 
 

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  Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 2) - YouTube :

 
 
 
 

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Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral créé le mardi 03 juin 2014 , Looking for Europe Créé le samedi 24 mai 2014, Bruxelles business Créé le mardi 20 mai 2014 , Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014, La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014, Les nouveaux pauvres Créé le dimanche 11 mai 2014 20:04, Brésil, le stade et les favela : le jeudi 08 mai 2014, “Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors le mardi 06 mai 2014, Capitalisme : Le triomphe de l'argent roiCréé le dimanche 16 février 2014 , Concert de soutien au Rémouleurle dimanche 08 décembre 2013, Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:, Les chefs le samedi 01 juin 2013 00:, Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013, UN PENDU EN PLUS, UN CHOMEUR EN MOINS Créé le jeudi 09 mai 2013


Bruxelles, le vrai pouvoir
Créé le mardi 30 avril 2013 22:02




La finance imaginaire

Par Enkolo dans Accueil le 4 Juillet 2016



Tags : Bruxelles, le vrai pouvoir, lobbies, Arnaud Montebourg, François Hollande, documentaire, Barack Obama, la Maison Blanche, François Mitterrand, Charles Hernu, capitalisme, néolibéralisme, Nicolas Sarkozy, dette publique, crise
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#Posté le mardi 30 avril 2013 16:02

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:22

Eléction Américaine et Goldman Sachs


 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 
 
en voilà une belle soirée électorale en perspective, demain, on va tous au cirque !

petit rappel au passage que l'italie et la grèce n'ont pas eu le cirque habituel, on leur a imposé des mecs de goldman (qui ??), sans le cirque de l'élection, à cru, carrèment... et ça n'étonne même pas...

c'est fou.
...

enfin, comme dit mon pote rui : and the winner is... goldman sachs !


Afficher la suite
 
où se situe le vrai pouvoir
 
 

 
 
la photo de Ce Que Cachent Vos Medias.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 
 
 Extrait:
Barack Obama
Université de Californie: 491 868 dollarsMicrosoft: 443 748 dollarsGoogle: 357 382 dollarsDLA Piper: 331 715 dollarsUniversité d'Harvard: 317 516 dollars 
Mitt Romney
Goldman Sachs: 676 080 dollarsJP Morgan Chase & Co: 520 299 dollarsMorgan Stanley: 513 647 dollarsBank Of America: 510 728 dollarsCredit Suisse Group: 427 560 dollars(Source: Center for Responsive Politics, 21 août 2012)

Au total, 67 millions de dollars sont déjà allé, cette année, dans les caisses de campagne du candidat Romney contre 44 millions de dollars pour Barack Obama.

Mais comment expliquer ce revirement de confiance dans la politique d'Obama? La réponse tient, principalement, à ce que les milieux financiers américains détestent le plus, comme l'explique à Yuval Rosenberd le fondateur de SeaPort Securities, Ted Weisberg:

« Je n'ai jamais vu dans ma vie de telles politiques dysfonctionnelles à Washington. (...) L'élection est ici un enjeu énorme, parce que si les politiques actuelles ne changent pas - ou, le cas échéant, se renforcent - cela signifie que nous repartons pour 3 à 4 ans pour nulle part. Et ce pays a désespérément besoin d'un changement. (...) S'il ya un changement, je pense que le marché va rugir car le marché est avant tout une question de confiance et de ce que j'appelle le facteur de bien-être. »

Or, à l'instar de Ted Weisberg, beaucoup d'acteurs du marché sortent lessivés d'une paralysie presque totale du gouvernement en raison de la disparition de tout bipartisanisme au Congrès américain en raison de l'opposition farouche et sans concession des deux côtés Républicains et Démocrates. L'incertitude des orientations pesant systématiquement sur les marchés durant de longs mois de débats pour toute initiative ou proposition de loi a fini par assécher l'esprit d'initiative et réduire les volumes de transactions, avec des conséquences lourdes pour la plupart des entreprises d'un pays où tout se joue sur les marchés.
Le grand écart de l'opinion américaine
De manière assez révélatrice, l'opinion des Américains fait le grand écart sur la question. Mais le noyau dur du ressenti de la situation est solide, comme l'explique l'analyse que publie l'Institut Gallup, dans laquelle il note:

« De toutes les données de Gallup, qui ont été recueillies dans le monde entier et sur pratiquement toutes les questions, la conclusion la plus profonde est la suivante: La volonté première du monde n'est plus la paix, la liberté ou même la démocratie, ce n'est pas d'avoir une famille, ni un Dieu, ni de posséder une maison ou un terrain. La volonté du monde est d'abord et avant tout d'avoir un bon travail. Tout le reste vient après. Un bon emploi est une valeur sociale. C'est un énorme changement sociologique de l'humanité. Cela change tout sur la façon dont les gens mènent les pays, les villes, et les organisations. »

En ce qui concerne les Etats-Unis, Gallup aligne les dix facteurs qui façonnent l'opinion américaine aujourd'hui. En résumé, ces facteurs sont:


Avoir un emploi et un bon emploiCe n'est pas le gouvernement qui créé de bons emplois mais les villes, à travers l'innovation et l'entrepreunariatLes 3 sources principales d'emplois sont les 100 premières villes, les 100 premières universités et les 10 000 leaders locauxL'entrepreunariat - et l'investissement dans celui-ci - fait plus que l'innovationL'Amérique ne peut plus alourdir sa facture de santéL'abandon des études scolaires est un fléau à combattre en prioritéIl faut doubler le nombre d'employés engagés dans l'entreprise pour créér des forces commercialesLes Américains doivent comprendre les attentes du consommateur global dans le monde et y répondreLes villes doivent créer des cadres favorables en priorité aux petites et moyennes entreprisesLes Etats-Unis doivent tripler le nombre de leurs exportations et cesser de vendre en priorité aux Américains 
Lorsqu'ils sont interrogés actuellement sur l'ensemble de ces éléments, les Américains font profil bas et leur niveau de confiance dans leur pays montre des signes persistants de scepticisme. Ils se retrouvent pris en étau entre le sentiment globalement favorable qu'il portent vis à vis de Barack Obama - sa côté de sympathie est haute, et se situait il y a trois jours, dans USA Today, à 54% contre 31% pour son rival Romney - et le besoin de voir l'Amérique réagir plus vigoureusement qu'à travers des réformes à long terme. Le même sondage montre ainsi que 52% font plus confiance à Romney pour prendre en main l'économie du pays tandis que 43% soutiennent Obama dans ce domaine.

Des chiffres qui trahissent une certaine impatience dans un pays habitué à des cycles rapides et à des reprises spectaculaires, et où la réapparition du chômage de longue durée, l'assèchement du crédit au particulier et la mise en place d'une réforme coûteuse et à long terme du système des soins génèrent une angoisse difficilement maitrisable. De nombreux Américains soutiennent ainsi le plan de Barack Obama, mais ce n'est pas là que le bâ blesse. Ils n'ont globalement pas confiance dans le gouvernement pour leur venir en aide - l'Etat providence n'est pas une valeur américaine -, ils désespèrent du Congrès dont la paralysie leur est insupportable, surtout, ils sont habitués à compter sur eux-mêmes mais l'entrepreunariat fait face aux pires difficultés face aux banques et à un marché atone. Ils ont été, également, échaudés par trop de promesses en 2008.


Au cours des deux années qui ont suivi son élection, le président a fait passer un record de 50 régulations fédérales du marché financier. Mais à la différence des lois, ces régulations ont souvent été habilement contournées. Et les consommateurs ont attendu en contrepartie, mais en vain, la réalisation de promesses qui devaient contrebalancer l'aide apportée aux géants de Wall Street. Parmi les 504 engagements du candidat, 318 n'ont pas été tenus par le Président. Y figurent entre autres, pour la partie économique:

La création d'un fonds d'aide de 10 milliards de dollars (8 mds d'¤) pour prévenir la faillite des propriétaires endettésLa suppression des abattements fiscaux pour les plus riches mise en place par George W. BushLe durcissement des règles concernant la collusion possible entre les lobbyistes et les responsables politiquesLa réduction des frais d'assurance santé pour les ménages jusqu'à 2500 dollars par an (2000 ¤)L'extension des allocations pour les enfants et les personnes dépendantesL'obligation pour les employeurs disposant de plans de retraite d'enroller leurs employésLa création d'un crédit d'impot pour les retraités aux plus bas revenusLa suppression des impots sur le revenu pour les séniors gagnant moins de 50 000 dollars par an (40 000 ¤)L'interdiction pour les entreprises faisant faillite de distribuer des bonus et des dividendesL'interdiction pour les laboratoires pharmaceutiques de bloquer la mise sur le marché de médicaments génériquesObliger les employeurs à couvrir 7 jours de maladie par an et par employéAccroître le salaire horaire minimum pour le porter à 9,50 dollars de l'heure (7,60 ¤) 


L'étendue du programme d'Obama s'est, en réalité, limitée en pratique à la réforme de la santé et au soutien aux banques en faillite. Deux gros chantiers qui ont occupé la première moitié de sa mandature avant que le passage aux mains des Républicains de la Chambre des représentants n'enterre 90% de ce programme qui promettait d'engendrer une révolution sociale aux Etats-Unis. Pourquoi avoir tout misé sur ces deux aspects seulement lorsqu'il avait les coudées franches à la fois au Sénat et à la Chambre entre 2008 et 2010? Le reproche n'est jamais loin.
 




 
 
une photo de Mieux vaut vivre 1 jour comme un lion que 100 ans comme un mouton.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 

 
ARTE Reportage

USA : dette des étudiants, la prochaine bulle ?
À l'automne 2011, la Réserve Fédérale américaine provoque un électrochoc dans le pays : elle révèle que l'encours de toutes les dettes étudiantes aux Etats-Unis a dépassé les 1000 milliards de dollars.
Les prêts étudiants sont-ils la prochaine bulle immobilière ? 
 
 

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 C'est plus que les dettes des cartes de crédits, et surtout, ce chiffre a doublé en moins de 10 ans. Depuis, la question du coût croissant de l'éducation supérieure aux Etats-Unis s'est imposée dans la campagne présidentielle.

L'équipe d'ARTE Reportage a enquêté à Phoenix, Arizona, surnommée « la Silicon Valley de l'éducation supérieure ». C'est ici que se trouvent à la fois la plus grande université publique du Pays, « l'Arizona State University » qui compte 72 000 étudiants, et le siège de la plus importante des Universités privées à but lucratif, « l'University of Phoenix ». Celle qui est accusée de pousser ses étudiants à s'endetter. Et c'est aussi en Arizona que le taux de défaut de paiement sur les prêts étudiants est le plus élevé du pays.

 
Rencontre avec des étudiants inquiets à l'idée de ne pas trouver un travail qui leur permettra de rembourser leurs emprunts et avec d'anciens étudiants étranglés par les dettes et poursuivis par des organismes de recouvrement, ARTE Reportage dévoile les racines de ce que certains imaginent être la prochaine bulle du crédit, plus dévastatrice encore que la crise des subprimes.
 
Le malheur est dans le prêt :



Ohio : l'économie avant tout !
A quelques jours de l'élection présidentielle, le 6 novembre prochain, l'économie est la préoccupation numéro un des électeurs américains. Souvent présenté comme le plus décisif des "swing states", l'état industriel de l'Ohio bénéficie d'une attention particulière des deux candidats, Barack Obama et Mitt Romney.


Depuis plusieurs élections déjà, cet Etat de 12 millions d'habitants est considéré comme le baromètre politique de l'Amérique. Depuis 50 ans, chaque candidat vainqueur en Ohio a systématiquement été élu Président des Etats-Unis.


Au c½ur de la « Rust Belt », vieux moteur industriel des États-Unis, l'insécurité est d'abord économique. Dans l'Ohio, le taux de chômage est passé de 7 %, fin 2008, peu après la faillite de Lehman Brothers, à près de 12 % en janvier 2010. De nombreuses usines ont fermé leurs portes, notamment dans la sidérurgie et l'industrie automobile.


Pourtant, depuis peu, l'économie semble repartir. Grâce notamment à l'exploitation du gaz de schiste qui bénéficie à toute l'industrie locale. L'Ohio se reprend à espérer et ici, pour l'emporter, les candidats se doivent de parler énergie et voitures, plutôt que réforme de santé et protection de l'environnement.
(France, 2012, 52mn)
ARTE


Date de première diffusion : Sam., 3 nov. 2012, 18h38



Conclusion :
Le Point.fr - Publié le 05/11/2012
 

Élections américaines - Michael Moore aux abstentionnistes : "Va faire trembler ces salopards. Pour moi."
 

Le cinéaste militant Michael Moore écrit aux abstentionnistes qui risquent, selon lui, de faire passer Romney.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 


Les abstentionnistes joueront un rôle décisif dans une élection qui s'annonce très serrée. Et comme ce sont en majorité les jeunes et les pauvres qui ne se déplacent pas aux urnes, on estime traditionnellement qu'une faible participation profite aux républicains. C'est pourquoi sur Twitter Michael Moore, réalisateur de Fahrenheit 911 et de Capitalism a love story, demande à ses followers de convaincre deux personnes d'ici à mardi d'aller voter. Et sur son blog, l'activiste, qui s'est engagé sans réserve pour la réélection de Barack Obama, se fend d'une lettre "aux abstentionnistes" dont voici la traduction

 
 
Tags : Eléction Américaine, Goldman Sachs, ARTE Reportage, Barack Obama, Mitt Romney, gaz de schiste, Michael Moore aux abstentionnistes, mario monti, mario draghi
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#Posté le lundi 05 novembre 2012 14:33

Modifié le jeudi 07 avril 2016 08:35

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