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6 articles taggés Middle East

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Jérusalem la ville trois fois Sainte

 






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Les Inconnus - Jésus II le retour
 
Ville “trois fois sainte”, capitale contestée d'Israël et d'un possible futur État palestinien, Jérusalem est un symbole du conflit au Proche-Orient. Déjà la construction de la première ligne de tramway de la ville, inaugurée fin 2011 et reliant la partie ouest de la ville avec les implantations israéliennes à l'est, a ravivé les tensions.
 Le dessous des cartes - UN TRAMWAY À JÉRUSALEM | ARTE, Jérusalem, trois fois sainte, ne connait pas la paix - YouTube



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Jérusalem, enjeu politique - YouTube

La désignation par Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël. Reportages et décryptages d'une décision irresponsable, qui risque de solder des décennies d'efforts diplomatiques.
 
En réaction à la décision du président américain, Donald Trump, de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël, le mouvement islamiste Hamas a appelé, jeudi 7 décembre, à un soulèvement populaire palestinien à partir de vendredi, jour de la grande prière.
Jeudi, en Cisjordanie, des Palestiniens avaient appelé à une grève générale, à des manifestations et à un rassemblement à Ramallah. Selon un bilan provisoire, deux personnes ont été blessées par des tirs de balles en caoutchouc et quatorze autres par des jets de grenades lacrymogènes.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/video/2017/12/08/demonstrations-de-colere-en-cisjordanie-apres-l-annonce-de-trump-sur-jerusalem_5226603_3218.html#OEqUeD6EkrOxHkLb.99


Le mouvement islamiste Hamas a appelé, jeudi, à un soulèvement populaire palestinien à partir de vendredi. EN IMAGES

 


Jerusalem: A momentous change, but at what cost?
Donald Trump upends decades of US policy with a single announcement, but its long-term impact remains uncertain.
07 Dec 2017 21:36 GMT Politics, Middle East, Gaza, Palestine, Israel


Pendant des décennies, les candidats à la présidence des United States des deux partis ont promis de transférer l'ambassade américaine en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem. Mais une fois élus, ils se sont retirés de l'idée.
Mercredi, Donald Trump  a changé cela. Il a annulé ses conseillers politiques et militaires pour reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël et annoncer des plans pour relocaliser l'ambassade américaine.
Pour vous donner une idée de ce qui est inhabituel: de tous les pays qui entretiennent des relations diplomatiques officielles avec Israël, aucun d'entre eux n'a actuellement d'ambassade à Jérusalem.
Dans le passé, peu d'ambassades ont été des petits pays ayant peu de liens avec le Moyen-Orient, comme le Costa Rica et El Salvador.
La décision de Trump a été largement condamnée et a déclenché des protestations dans de nombreuses régions du Moyen-Orient et dans le monde musulman en général.
Il reste à voir, cependant, exactement ce qui va changer et à quelle vitesse ces changements seront.
Tout en faisant son annonce très attendue mercredi soir à Washington DC, Trump a également signé une nouvelle décharge de sécurité nationale, exactement le même genre de renonciation à l'ambassade que chaque président américain a signé deux fois par an pendant plus de deux décennies.
Il a également déclaré que le fait de construire une nouvelle ambassade et d'y intégrer des diplomates américains est un processus qui prendra au minimum plusieurs années.
Il ne fait cependant aucun doute que la décision de Trump modifiera la situation diplomatique et politique sur le terrain. La question est: Comment?




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Inside Story - Jerusalem: A momentous change, but at what cost?

Dans une tribune au « Monde », l'écrivain Emmanuel Moses considère que Jérusalem est déjà, de fait, la capitale d'Israël. Selon lui, les réactions à l'annonce de Donald Trump montrent que cette question est devenue essentiellement symbolique.

 POINT DE VUE
Jérusalem : « La décision américaine ne laisse la place qu'aux émotions et aux réflexes conditionnés » 9
Emmanuel Moses (Ecrivain)

Will the US move its embassy in Israel to Jerusalem? - Inside Story

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Jérusalem la ville trois fois Sainte - Documentaire - YouTube
 
 "PALESTINE, PROMESSES ET TRAHISONS "Ce documentaire historique nous plonge dans les sources du conflit israélo-palestinien, le jeu diplomatique ambigu des Britanniques pendant la première guerre mondiale aurait favorisé l'émergence d'un climat explosif en Palestine

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Documentaire Israël - Palestine : comprendre le conflit par l'histoire



07 décembre 2017 " le statut de jérusalem", 'Red line' - citoyenactif, Jérusalem Publié le 07/12/2017 à 19:54 par saltabank, Jérusalem la ville trois fois Sainte
Par Enkolo dans Accueil le 7 Décembre 2017
divers textes de l'anarchiste E Malatesta
Par Enkolo dans Accueil le 8 Décembre 2017 
BAKOUNINE, Michel – Dieu et l'État
08 décembre 2017
Trump : fini de rire ?
Donald Trump : fini de rire ? citoyenactif



Jérusalem la ville trois fois Sainte
 "Nous, ouvriers", L'ANARCHIE C'EST QUOI ? Aujourd'hui en bref, L'ivresse du pouvoir, Bagdad, chronique d'une ville emmurée, La stratégie de la mouche: pourquoi le terrorisme est-il efficace ?, Les jeux d'Hitler, Au nom du Temple
 
Sur le blog citoyenactif La Morale Anarchiste, Théorie du ruissellement, Merde in France, AU C¼UR DU BLACK BLOC, Hollande : pacte avec le Medef, Democracy is so overrated. , Violence



10 décembre 2017
La Morale Anarchiste


Tags : Jérusalem, enjeu politique, géopolitique, Donald Trump, conflit israélo-palestinie, Politics, Middle East, Gaza, Palestine, Israel
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#Posté le vendredi 08 décembre 2017 05:12

Modifié le dimanche 10 décembre 2017 06:40

Comment Daech va se transformer

 
n
 
 


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Terrorisme islamiste, quelle victoire ?
Géopolitis




En Irak et en Syrie, le groupe Etat islamique a perdu près de 80% de son territoire, notamment les bastions de Mossoul et Raqqa. Mais à quel prix ? Les victoires proclamées contre le terrorisme vont-elles nourrir les djihads de demain ? Géopolitis, une émission de la Radio Télévision Suisse, dimanche 22 octobre 2017.​ Le site de Géopolitis : http://geopolitis.ch 

Le tableau était catastrophique. Les milliards de dollars investis depuis 2003 par l'occupant américain pour façonner, non sans erreurs, l'Irak post-Saddam Hussein, étaient partis en fumée. Miné par la corruption et le sectarisme, l'appareil sécuritaire s'était effondré face à quelques milliers de djihadistes, et les provinces sunnites étaient passées sous la coupe du « califat »  en juin 2014. Certains sonnaient déjà le glas de l'unité du pays


ISIS The rise and fall of ISIL
A chronology of ISIL's quick territorial victories and defeats in Iraq and Syria.
05 Nov 2017 07:55 GMT | ISIS, Iraq, Syria's Civil War, Middle East, Interactive
Il y a quatre ans, l'État islamique d'Iraq et le groupe du Levant (EIIL ISIL) ont lancé une série d'avancées fulgurantes en Irak et en Syrie, profitant de l'instabilité régionale pour réaliser des gains territoriaux rapides. Depuis lors, il y a eu des centaines de batailles, des tueries horribles et une campagne d'attaques aériennes dirigée par les États-Unis. Aujourd'hui, l'EIIL est un groupe en déclin, chassé de ses bastions urbains alors que les forces locales et internationales revendiquent un territoire clé.
 

 
Featured Documentary - Enemy of Enemies: The Rise of ISIL (Part 1) ,  (Part 2)

30/06/2014
« l'EIIL est à son apogée en Irak » , The rise and fall of ISIL, Lire aussi :   Comment l'Etat islamique a perdu 90 % de son territoire utile en Irak et en Syrie en trois ans
 
De Mossoul à Rakka, les civils comptent leurs morts et ses blessés physiques ou psychologiques :
« Après le califat » (1/5). Enquête en cinq volets sur les régions d'Irak et de Syrie qui ont vécu sous le joug de l'organisation Etat islamique, désormais pratiquement vaincue.Nadia, Hania, « survivantes » yézidies, racontent l'horreur de leur captivité sous l'Etat islamique « Après le califat » 1/5.
« J'ai été vendue et achetée tant de fois »
Avec simplicité, elle relate plus de deux ans de captivité depuis sa capture dans le Sinjar par des djihadistes irakiens, le 3 août 2014, avec ses parents, ses huit s½urs, son frère et ses deux nièces.
 
L'intégration des milices, un défi pour l'Etat irakien
« Après le califat » (2|5). Alors que la fin des combats contre l'Etat islamique en Irak a été proclamée le 9 décembre, le premier ministre Haïder Al-Abadi souhaite réduire le nombre et l'influence des combattants chiites (140 000 hommes au total). La contribution des milices de la Mobilisation populaire à la lutte anti-EI a suscité autant de fierté que d'inquiétude dans le pays Le pouvoir centrale soucieux d'affirmer son autorité sur la MP, un groupement de milices . Sans la mobilisation de ces civils en 2014, les djihadistes auraient pu s'attaquer à la capitale et aux villes saintes chiites abandonnées par une armée en déroute leur porte-parole, Ahmed Al-Assadi. Mais cet héroïsme a été entaché par des accusations de pillages et d'exactions contre les populations sunnites.

 
Après le « califat » de l'EI en Irak et en Syrie, l'Iran, maître du jeu régional
« Après le califat » (3|5). La guerre engagée depuis juin 2014 contre l'organisation Etat islamique a permis à Téhéran d'étendre fortement leur influence en Syrie et en Irak. 

Après trois ans de combats contre l'EI dans ces deux pays, Soleimani avait l'honneur de proclamer la « victoire » finale contre les djihadistes, dans une lettre ouverte adressée au Guide suprême iranien, Ali Khamenei.
Quelques jours plus tôt, Javan, le quotidien des gardiens, avait publié une tribune résumant l'enjeu de cette bataille : « La libération d'Al-Boukamal signifie l'achèvement du corridor terrestre de la résistance, qui ouvrirait à Téhéran un accès terrestre à la mer Méditerranée et à Beyrouth : un fait notable dans l'histoire millénaire de l'Iran. » Entre les lignes du texte triomphal, pointait comme une nostalgie impériale...
Ce « corridor terrestre » relie trois capitales arabes sous emprise iranienne – Bagdad, Damas, Beyrouth –, selon un axe orienté vers la Méditerranée. C'est une zone d'influence plutôt qu'une véritable autoroute, comme certains critiques de Téhéran aiment pourtant le laisser croire. Il est d'ailleurs étonnant de lire ce terme aux accents coloniaux dans un journal iranien.


 
Syrie : Raqqa est le «pire endroit sur terre» selon l'ONU «Je ne peux pas imaginer un pire endroit sur terre», a déclaré Jan Egeland, chef du groupe de travail humanitaire de l'organisation pour la Syrie. les personnes vivant dans Raqqa étaient «prises au piège dans un labyrinthe mortel où ils sont sous le feu de toutes parts».
 

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Ça vous regarde - Chute de Raqqa : Daech est-il mort ?
#géopolitis
 
Selon l'observatoire  , ISIL  controle encore 40% de la province de  Deir Az Zor province, d'ou Daesch peut mener des attaques sur l'armée syrienne et les Forces Démocratique Syrienne ( FDS) alliance entre kurdes et arabes syrien soutenu par les Etats Unis. . Même si son "califat" autoproclamé sur l'Irak et la Syrie s'est effondré, l'organisation ultraradicale retranchée dans une zone désertique garde sa capacité à frapper par des attaques meurtrières. Le bilan élevé est dû au fait qu'"un nouveau convoi de déplacés était en train de rejoindre le rassemblement au moment de l'attaque", d'après Abdel Rahman les civils fuyaient les deux offensives contre l'EI dans cette province riche en pétrole et frontalière de l'Irak.
 NEWS/MIDDLE EAST Scores killed in ISIL car bomb attack in Deir Az Zor
L'attaque, toujours en cours, et qui a fait au moins quinze morts, a été revendiquée par l'organisation Etat islamique

 
Irak et Syrie. Tandis que les forces irakiennes ont repris à l'EI un poste-frontière vers la Syrie, l'armée syrienne a repris le contrôle total de la ville orientale de Deir Ezzor,  Etat islamique (EI), l'un des derniers grands centres urbains sous contrôle du groupe terroriste depuis la chute de Rakka, son ancien grand bastion syrien, à la mi-octobre.
Cette annonce marque la fin d'une offensive lancée en septembre dans ce chef-lieu d'une province riche en pétrole, frontalière de l'Irak, avec les alliés de la Syrie, l'aviation russe, des milices chiites iraniennes et le Hezbollah.
L'EI tenait l'essentiel de la ville depuis 2014 à l'exception d'une large poche où étaient retranchés l'armée syrienne et 93 000 civils depuis 2013.
 
LIRE AUSSI : » Une force syrienne dit avoir été la cible de raids russes  , COMPTE RENDU Syrie : la coalition intensifie ses bombardements sur la ville de Rakka, tenue par l'EI 19 Syrie: les civils dans des conditions «terribles» 

Si les derniers territoires en Syrie et en Irak sont sur le point d'être perdus, l'organisation terroriste a déjà prévu sa reconversion.

L'armée irakienne lance une offensive pour reprendre Rawa à l'Etat islamique
La ville, qui se trouve près de la frontière syrienne, est la dernière encore sous le contrôle de l'EI en Irak.
 
L'État islamique chassé d'Irak, selon le Premier ministre
L'État islamique a été chassé d'Irak du point de vue militaire mais la défaire définitive du mouvement djihadiste sera annoncée lorsque les opérations de nettoyage en cours dans les zones désertiques seront achevées, a annoncé aujourd'hui le Premier ministre Haïdar al Abadi.
L'EI pourrait toutefois profiter des dissensions politiques pour se regrouper et reprendre l'offensive, a-t-il souligné, évoquant les tensions avec le Kurdistan autonome, qui a proclamé son indépendance après le référendum du 25 septembre.
Le chef du gouvernement, qui s'exprimait dans le cadre de sa conférence de presse hebdomadaire, s'est félicité de l'arrêt de la Cour suprême, qui a jugé la consultation illégale, et a invité les Kurdes à ne pas recourir à la violence.

 
L'EI a multiplié les revers ces dernières semaines en Syrie et en Irak voisin. Affaiblie, l'organisation a recomposé des cellules dormantes dans les zones libérées et se réoriente déjà sur des actions traditionnelles de type guérilla.
Avec l'avancée de l'armée syrienne vers l'est ces derniers mois, l'Etat syrien et les FDS ont pu reprendre le contrôle des gisements d'hydrocarbures.
- En Syrie, la région de la Ghouta orientale, tenue par les rebelles, est assiégée depuis 2013 par les militaires du régime syrien qui ont érigé la famine en technique de guerre.

Après avoir reculé dans la province de Deir ez-Zor face à l'offensive du régime et à une autre menée séparément par une coalition arabo-kurde, les djihadistes s'étaient retranchés dans la cité frontalière de Boukamal.
La ville est certes beaucoup moins grande que Deir ez-Zor. Cependant, depuis la chute au début du mois de la capitale provinciale, Boukamal faisait figure de dernier centre urbain aux mains de l'État islamique (EI) en Syrie.
 
La chute de Boukamal met donc pratiquement fin à l'existence territoriale de l'État islamique. L'EI avait ainsi été chassé jeudi par l'armée syrienne et ses alliés de son dernier fief urbain en Syrie, à Boukamal – une ville de moindre importance à la frontière avec l'Irak. Mais l'organisation extrémiste a mené une contre-offensive spectaculaire et repris vendredi « le contrôle quasi-total de Boukamal »,selon le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane, tentant ainsi de prouver qu'elle reste puissante malgré l'effondrement de son « califat ».
 

 
L'organisation, qui tient également encore une vingtaine de villages dans la vallée de l'Euphrate, est visée dans cette province par deux offensives distinctes. L'une menée par l'armée du président syrien Bachar Al-Assad, l'autre par des combattants kurdes et arabes des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenus par les Etats-Unis.


 
Ailleurs en Syrie, le groupe reste présent dans deux quartiers périphériques de Damas, Yarmouk et Hajar al-Aswad, dans quelques poches de la province centrale de Homs et dans le Sud syrien. En Irak, des combattants de Daech résistent toujours à Rawa, sur l'Euphrate à la frontière syrienne, et dans quelques villages environnants dans une zone appelée Roummana, après avoir été chassés la semaine dernière du district d'al-Qaïm, à une centaine de kilomètres de là. En visite aux Émirats arabes unis, Emmanuel Macron a assuré que la victoire militaire contre l'EI serait totale dans «les prochains mois» en Irak et en Syrie mais qu'elle ne serait pas suffisante pour venir à bout de la menace djihadiste. Par ailleurs, la défaite du groupe djihadiste ne marque cependant la fin du conflit en Syrie, dont le président Bachar el-Assad a promis la reconquête de l'ensemble du territoire.
 
 
L'attaque, toujours en cours, et qui a fait au moins quinze morts, a été revendiquée par l'organisation Etat islamique
COMPTE RENDU Yémen : double attentat meurtrier à Aden, sur fond de tensions croissantes dans la ville


Le groupe État islamique d'Iraq et du Levant (EIIL, également connu sous le nom de groupe État islamique) est en retraite en Syrie et en Irak, où se trouvent leurs deux principales bases. Mais qu'arrivera-t-il aux milliers d'étrangers, y compris au Royaume-Uni, qui ont voyagé pour se battre ou soutenir sa cause? Le groupe s'est vanté de son implication dans des attaques sur le sol britannique, ainsi que dans d'autres pays européens. Alors, comment ceux qui retournent au Royaume-Uni devraient-ils être traités?
Barnaby Phillips d'Al Jazeera rapporte de Londres.
 
» LIRE AUSSI - En Irak, la métamorphose de Daech
 
Les ex-combattants de l'EIIL retournent au Royaume-Uni "un danger sérieux"
 
Le groupe État islamique d'Iraq et du Levant (EIIL, également connu sous le nom de groupe État islamique) est en retraite en Syrie et en Irak, où se trouvent leurs deux principales bases. Mais qu'arrivera-t-il aux milliers d'étrangers, y compris au Royaume-Uni, qui ont voyagé pour se battre ou soutenir sa cause? Le groupe s'est vanté de son implication dans des attaques sur le sol britannique, ainsi que dans d'autres pays européens. Alors, comment ceux qui retournent au Royaume-Uni devraient-ils être traités?
Barnaby Phillips d'Al Jazeera rapporte de Londres.

  A lire L'Ouzbékistan, foyer de radicalisme, "Ashbal - Les lionceaux du califat,

Pour l'Ancien directeur à la Banque mondiale et à l'Agence ­française de développement (AFD), conseiller de plusieurs gouvernements africains, Serge Michailof est engagé depuis près de quarante ans dans les questions de développement. Dans son dernier ­livre, Africanistan. L'Afrique en crise va-t-elle se retrouver dans nos banlieues ? (Fayard, 2015), il dresse un parallèle entre la situation au Sahel et en Afghanistan

Le problème majeur : Le soutien inconditionnel de l'occident a des régimes corrompus aux nom de la stabilité et de la lutte contre le terrorisme alors que c'est même régime ont facilité le développement de l'intégrisme islamistes ou salafistes aux nom de leurs controles de leurs population. C'est ce que révèle le Monde :
« Il ne faut pas s'attendre à ce que les élites des pays arabes réforment l'éducation si cela doit mettre leur survie en péril » 13 « Paradoxe : certains régimes arabes laïques sont responsables de l'islamisation de l'école. Car ils voient dans la religion un outil pour imposer le respect du pouvoir, explique Ishac Diwan, titulaire de la chaire d'excellence « Monde arabe » à l'université de recherche Paris sciences et lettres » 

Autres problématiques : le financement du terrorisme par l'économie souterraine : « Pour lutter contre l'argent de la terreur, traitons vraiment la question de l'économie souterraine et des trafics »Pour Marie-Christine Dupuis-Danon, spécialiste de la finance criminelle, tant que l'on ne cassera pas les réseaux de l'économie criminelle, la lutte  contre le financement du terrorisme ne débouchera sur aucun résultat tangible.


N'oublions enfin jamais qu'une « victoire » avait déjà été annoncée avec emphase contre « l'Etat islamique en Irak » en 2011. La contre-insurrection habilement menée par les Etats-Unis à partir de 2007, avec soutien à des forces arabes et sunnites seules légitimes face aux jihadistes, paraissait alors couronnée de succès. Mais les politiques sectaires suivies par le gouvernement irakien et la contre-révolution déchaînée par le régime Assad avaient permis à Baghdadi de reprendre l'initiative, jusqu'à contrôler un territoire aussi étendu que la Jordanie. C'est avec 2011, et non 2014, qu'il faut comparer la « victoire  » actuelle. Les jihadistes étaient alors réduits à environ 700, ils sont aujourd'hui au moins dix fois plus nombreux entre la Syrie et l'Irak. Ils disposent de surcroît de filiales et de relais solides à l'étranger qui faisaient défaut à Baghdadi en 2011.
 
Surtout, surtout, les mêmes causes produiront implacablement les mêmes effets. En pire. Si la population arabe et sunnite, majoritaire en Syrie, minoritaire en Irak, se voit privée de tout pouvoir réel, voire soumise à de sanglants règlements de compte, les jihadistes apparaîtront tôt ou tard comme un recours. la « victoire totale » contre Daech à une « stabilisation dans la durée » de la Syrie et de l'Irak, ainsi qu'à une « solution politique inclusive et plurielle ». C'est en effet le seul moyen de conjurer enfin le cauchemar jihadiste. "la France soit une fois encore bien seule à prôner une telle solution".
 

 

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 Comment Daech va se transformer - YouTube
 
A lire 
Daech après la chute de son pseudo-califat POST DE BLOG 
A lire
« La guerre de l'ombre au Sahara » -  citizenkhane
« AU SAHEL, NOTRE POLITIQUE D'AIDE AU DÉVELOPPEMENT S'EST COMPLÈTEMENT FOURVOYÉE »
 5 Novembre 2017  
 
Accueil - terrorisme - Is it over for ISIL? - cnikos, Is it over for ISIL? - citoyenactif , Comment Daech va se transformer I- Indigné révolté, 28/12/2017 Comment Daech va se transformer - citoyenactif


 
Overkill? Par Enkolo dans Accueil le 4 Novembre 2017
L'Ouzbékistan, foyer de radicalisme, 
La Libye, Somalie, Les guerres cachées contre Daech, La stratégie de la mouche ?, Libye

lire 29/07/2016 L'histoire sans fin contre le terrorisme , Bilan de la guerre « contre le terrorisme » Par Enkolo dans Accueil le 13 Septembre 2016


n ISIS, Iraq, Syria's Civil War, Middle East, Interactive
Tags : Daesch, terrorisme, etat islamique, ISIS, Iraq, Syria's Civil War, Middle East, Interactive, #géopolitis
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#Posté le dimanche 05 novembre 2017 06:58

Modifié le samedi 26 janvier 2019 07:34

Rojava : Un processus démocratique en cours

n
 Fatals Picards - Les dictateurs
 

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Dès mon plus jeune âge, la première chose que j'ai perçue autour de moi, c'est la souffrance, non seulement celle de notre famille, mais aussi celle de mes voisins. Par intuition, j'étais déjà un rebelle. Je crois que mon destin s'est décidé alors."
Buenaventura Durruti.
 
Eux détenteur du pouvoir, devront se servir des instruments du pouvoirs : armée, moraliste, mouchards et policiers. Depuis plus de 3000 ans, le poète hindou Maha Bharata à formulé sur ce sujet l'expérience des siècles :

« L'homme qui roule dans un char ne sera jamais l'ami de l'homme qui marche à pied ! »
 
e principe d'autorité – c'est ainsi que la chose se nomme – exige que le supérieur n'ait jamais tort, et que dans ces paroles, il est le dernier mot. Mais il faut que les ordres soient observés. Cela simplifie tout : plus besoin d'hésitation, de raisonnement, d'hésitations, de débats , de structures. Les affaires marchent alors toutes seules, mal ou bien. Et quand le maitre n'est plus là pour commander, n'a ton pas des formules toutes faites, des ordres, des décrets ou des lois, édictés aussi par des maitres absolus ou des législateurs à plusieurs degrès.
 
L'ivresse du pouvoir - vidéo Dailymotion
 

Comprendre le grand chaos du proche orient : Tous se réfère a un rève grandiose de l'age d'or de l'islam 'Grand bénéficiaire du martyre d'Alep, Daech a prouvé à Berlin sa capacité à relancer sa dynamique terroriste, notamment en Europe.
 
 
 
Dessous des cartes Turquie, retour vers l'Orient


Merci à P24, pour votre super travail.
PrisonnierEs politiques, otages d'Erdoğan • La liste... | KEDISTAN Première liste des prisonnierEs politiques otages en Turquie, non exhaustive, puisqu'il s'agit là de journalistes et d'intellectuels seulement. A compléter.
KEDISTAN.NET
 


Turquie: le PKK promet d'intensifier la lutte
L'un des chefs militaires du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a promis aujourd'hui une intensification de la lutte armée contre les autorités turques après l'arrestation d'une douzaine de députés du Parti démocratique des peuples (HDP), une formation pro-kurde.


Il est très "très important" que les Kurdes réagissent à ses arrestations, dit Murat Karayilan dans un enregistrement vidéo diffusé sur un site internet proche du mouvement séparatiste. Douze députés du HDP ont été arrêtés, ce qui a suscité l'inquiétude d'une l'Union européenne déjà préoccupée par la purge des services publics, depuis le coup d'Etat manqué du 15 juillet. Les autorités turques leur reprochent d'avoir refusé de témoigner dans des dossiers liés à "la propagande terroriste".



Turquie chronique dune révolte
 

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TURQUIE : CHRONIQUE D'UNE RÉVOLTE - l'indigné révolté
Merci à P24, pour votre super travail.
Rojava : Un processus démocratique en cours

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Indispensable pour entrer dans un début de compréhension du Rojava. Activez les sous titres...
 
Une pensée pour Ebru Firat (alias Amara ou encore Céline), une étudiante en médecine d'origine Kurde, âgée de 25 ans, qui croyait rentrer tranquillement chez elle, à Toulouse, il y a deux mois...
 
CINQ ANS DE PRISON POUR ÊTRE ALLÉE SOUTENIR LA RÉVOLUTION ANTI-AUTORITAIRE DU ROJAVA ET COMBATTRE DAESH


Sur le retour de Kobane, durant son changement d'avion en Turquie, Ebru a été arrêtée le 8 septembre et aussitôt inculpée pour appartenance à une organisation terroriste (PKK).
 
La sentence de la Justice d'Erdogan vient de tomber aujourd'hui : 5 ans de prison ferme.*
Une arrestation à l'aéroport, au moment de repartir, suivie d'une condamnation délirante digne de "Midnight Express", le film d'Alan Parker...
 
A lire aussi L'ivresse du pouvoir

 
Les Kurdes divisés face à Bagdad
A l'exception de quelques échanges de tirs et accrochages, la progression des forces de Bagdad a été facilitée par le retrait des positions qu'ils contrôlaient des peshmergas alliés à l'Union patriotique du Kurdistan (UPK) — parti rival du Parti démocratique du Kurdistan (PDK), du président du Kurdistan irakien, Massoud Barzani, à l'initiative du référendum du 25 septembre. Un responsable de la santé kurde a toutefois fait état de dix peshmergas tués.
 
Des milliers d'habitants ont fui lundi les quartiers kurdes de Kirkouk pour se diriger vers Erbil et Souleimaniyeh, les deux principales villes du Kurdistan, dont le gouvernement est en conflit ouvert avec le pouvoir central de Bagdad.
 
Dans un communiqué, les peshmergas ont réagi à ces pertes de territoire, disant que le gouvernement irakien allait « payer cher » cette opération « de guerre contre le peuple du Kurdistan ». Ils accusent par ailleurs une partie de l'UPK d'avoir « trahi » en aidant les forces irakiennes.
 
Une branche de l'UPK est en effet réputée plus proche du camp chiite et se montre plus conciliante envers Bagdad à propos de Kirkouk. Le premier ministre irakien, Haïdar Al-Abadi, avait appelé les combattants kurdes à se ranger sous la bannière des forces armées irakiennes et à servir les autorités fédérales.
 
« Eviter une escalade »
 

Près de quatre-vingt-dix ans après leur découverte, les ressources pétrolières de Kirkouk sont toujours au c½ur des tensions politiques autour de la ville. L'enjeu est de taille, le volume de brut récupérable des champs pétroliers géants de Kirkouk étant estimé à 40 % de l'ensemble des réserves de brut de l'Irak, deuxième pays producteur, derrière l'Arabie saoudite, de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
 
Le contrôle de Kirkouk, ville riche en pétrole, est au c½ur du contentieux entre les autorités de Bagdad et celles du Kurdistan autonome. En 2014, à la faveur de la déroute de l'armée irakienne dans le nord du pays occasionnée par la chute de Mossoul, aux mains de l'organisation Etat islamique, des factions kurdes avaient pu s'emparer des champs pétroliers et des infrastructures militaires encore tenues par les forces fédérales.
 
 
 
RÉCITIrak : Kirkouk, la guerre d'après par  Allan Kaval (Kirkouk (Irak), envoyé spécial
 Ces richesses considérables et convoitées se trouvent cependant dans une zone grise, disputée depuis 2003 et la chute de Saddam Hussein entre le gouvernement de Bagdad et les factions kurdes qui jouissent d'une large autonomie dans le nord du pays. Cette zone est aujourd'hui plus troublée encore par la lutte contre l'organisation Etat islamique (EI).


 Les revenus des champs de pétrole de Kirkouk sont répartis à égalité entre l'Etat irakien et le gouvernement de la région autonome kurde (GRK).


RÉCIT Irak : le pétrole, manne considérable et convoitée Allan Kaval (Kirkouk, Irak, envoyé spécial)

 
La Turquie, qui compte une importante communauté kurde, a affiché son soutien à Bagdad. Ankara a ainsi décidé lundi de fermer son espace aérien à tous les vols à destination et en provenance du Kurdistan irakien. Elle s'est aussi dite prête à « coopérer » avec Bagdad pour chasser d'Irak, et particulièrement de Kirkouk, tous les membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qualifié d'organisation « terroriste » par la Turquie.
 
Bagdad reprend aux combattants kurdes leur dernier secteur à Kirkouk
Les forces irakiennes ont repris vendredi aux combattants kurdes la dernière zone qu'ils contrôlaient dans la province de Kirkouk, après d'intenses combats.
 
Le Commandement conjoint des opérations (JOC), qui regroupe l'ensemble des forces irakiennes, a annoncé "la reprise de contrôle d'Altun Kupri", un ensemble de 36 villages s'étendant sur 530 km² et habités par une population mixte de 56.000 Kurdes et Turkmènes.
 
» Lire aussi : Les forces irakiennes reprennent des sites aux Kurdes à Kirkouk
Cette zone agricole est stratégique car située à équidistance entre les villes de Kirkouk et d'Erbil (50 km), à la limite entre les deux provinces. La première est placée selon la Constitution sous l'autorité de Bagdad et la seconde est le siège des autorités du Kurdistan irakien, qui bénéficie depuis 1991 d'une autonomie, élargie en 2005. C'est par cette zone que transitent les échanges commerciaux et touristiques entre le Kurdistan et le reste du territoire irakien.
 
» Lire aussi : Irak: Bagdad lance des opérations militaires à Kirkouk
Hormis ces combats, d'autres ont été signalés dans la nuit de dimanche à lundi à la lisière sud de Kirkouk; alors que depuis dimanche, les forces irakiennes ont évincé les forces kurdes de la riche province pétrolière de Kirkouk (nord-est), ainsi que des provinces de Ninive (nord) et de Diyala (est).
 
Dans la très grande majorité des cas, il n'y a pas eu d'affrontement, les peshmergas s'étant retirés en vertu d'un accord de certains de leurs dirigeants avec Bagdad.
 
Parallèlement, les forces irakiennes ont annoncé avoir repris les champs de pétrole de Batma et Aïn Zala, au nord-ouest de Mossoul.
 
Des affrontements ont eu lieu entre les peshmergas et les troupes irakiennes appuyées par les unités paramilitaires du Hachd al-Chaabi, alliés à l'armée, qui tentent d'avancer vers Sirawa, à 5 km au nord d'Altun Kupri. Des peshmergas irakiens et iraniens, qui tenaient une position près d'une station service, au nord de la ville, ont dû se replier après avoir essuyé une série de tirs d'obus.
 
» Lire aussi : Le Kurdistan irakien étranglé économiquement
Le commandement peshmerga à Erbil a dénoncé "une attaque des milices du Hachd al-Chaabi", unités dominées par les milices chiites soutenues par l'Iran, formées en 2014 pour contrer la percée jihadiste. Elle vise à "rallier la frontière administrative de la province de Kirkouk" en direction d'Erbil, a affirmé le commandement peshmerga.




Kurdistan irakien : « Les conditions pour une guerre civile sont réunies »
Adel Bakawan, sociologue franco-irakien, analyse la crise qui oppose l'Irak à sa région autonome, après la large victoire du oui lors du référendum interdit sur l'indépendance. Propos recueillis par Romain Geoffroy. 
Les conditions pour une guerre civile sont réunies. Il y a clairement un risque. Il suffit d'un événement tout banal, un meurtre ou une explosion entre deux brigades de l'armée irakienne ou des peshmergas [les combattants kurdes] et ça peut dégénérer.
 
Tout va dans le sens d'une guerre civile entre deux peuples, et non pas entre deux gouvernements. Le problème étant qu'une guerre entre deux peuples est beaucoup plus dangereuse qu'entre deux gouvernements, car beaucoup plus difficile à résoudre.
 
Le 3 août 2014, au Sinjar, les djihadistes de l'État islamique ont perpétré une tentative de génocide. Libérée en novembre 2015, la ville est toujours en reconstruction. Mais malgré l'insouciance apparente, tous les chefs militaires de la région s'accordent à penser que Sinjar est avant tout une zone disputée.
 

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Inside Story - What does the future hold for Iraq's Kurds after territory seized?



 Les milices chiites et les pechmergas se disputent aussi le pays yazidi n


 Soutenir les forces progressistes au Moyen-Orient
L'éradication du djihadisme dépend des forces organisées au Moyen-Orient et en Afrique. Les forces progressistes peuvent parfois profiter des bombardements mais la participation de grandes puissances étrangères pose beaucoup plus de problèmes qu'elle n'en résout.
La fin de l'interventionnisme militaire ne sera pas la solution miracle, mais un préalable indispensable à l'extinction du djihadisme. Enrayer le délitement de la société
 
Militariser la société ? Sûrement pas !
a LIRE , il réduit les libertés publiques et entrave la contestation sociale. Un ½il sur vous, citoyens...
On connaît d'avance les boucs émissaires de ce climat militariste : les quartiers populaires, les migrant-e-s qui fuient la guerre et la misère, la population musulmane qui a déjà subi plusieurs « représailles » racistes depuis les attentats. C'est révoltant.


Refusons cette logique. Contre le djihadisme, contre l'interventionnisme militaire, contre la militarisation de la société, pour les luttes sociales, pour le soutien aux forces progressistes en Afrique et au Moyen- Orient.

https://www.youtube.com/watch?v=2VhC6UYyqeY
Ras-le-bol du fascisme. Ras-le-bol du pouvoir.
Y.Y.
* Lire Kedistan : 
http://www.kedistan.net/2016/11/08/ebru-firat

A Lire  29/07/2016 L'histoire sans fin contre le terrorisme : " Donald Trump, le « candidat des djihadistes » ?Selon le Monde passé les manifestations d'« indignation » de façade, des figures djihadistes n'ont pas caché une certaine satisfaction sitôt le résultat de la présidentielle américaine connu. 

Turquie : le système Erdogan | ARTE Info

LIRE AUSSI: Turkey War & Conflict Middle East
»Turquie : «Erdogan a exporté la question kurde, Ankara en paie le prix»
»Turquie: la fuite en avant sécuritaire d'Erdogan
Turquie : quand Erdogan muselle les réseaux sociaux | ARTE Info
TURQUIE. “On s'achemine vers un système à la Poutine” par Céline ...
05/11/2016 La Turquie : Face à La Terreur |

COMPTE RENDU
La purge des officiers turcs embarrasse l'OTAN
De 60 % à 80 % des militaires missionnés par Ankara dans les structures de l'Alliance ont été écartés après le putsh raté de juillet.LE MONDE | 22.11.2016 à 10h46 | Par Nathalie Guibert


COMPTE RENDU
La méfiance grandit entre l'Alliance atlantique et la Turquie
Plusieurs Etats membres s'inquiètent du rapprochement entre Erdogan et Poutine et des interventions contre les Kurdes en Syrie.

Rojava : Un processus démocratique en cours 
 Documentaire
Réalisé en 2016 par  Gilles Cayatte, Guillaume Perrier
Télévision, Démocratie, Turquie
 
« révolte de grande ampleur » Par Enkolo dans Accueil le 23 Décembre 2016
 
Le 05 novembre 2016 à 16h34
La Turquie : Face à La Terreur | ARTE


"I Love Democracy : USA "
Créé le dimanche 06 novembre 2016 
Rojava : Un processus démocratique en cours
Créé le samedi 05 novembre 2016
20/11/2016
Erdogan, l'ivresse du pouvoir”
 Accueil / Géopolitique / Erdogan, l'ivresse du pouvoir” citizenkane




11h12
image: http://s1.lemde.fr/image/2016/12/23/147x97/5053349_7_1fc7_des-civils-d-alep-evacues-de-la-ville-le_62e759607e9c1d72ccde0cc780fb1d0e.jpg
COMPTE RENDUAprès Alep, le désarroi de l'opposition syrienne
Le régime Assad a repris le contrôle de la deuxième ville du pays, remportant sa plus grande victoire depuis 2011.
Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)

 
COMPTE RENDU
Israël en quête d'amitiés dans le camp sunnite
 Piotr Smolar (Jérusalem, correspondant)

REPORTAGEEn Iran, les menaces régionales consolident le pouvoir
 Ghazal Golshiri (Téhéran, correspondance)



Ni dieu ni maître, une histoire de l'anarchisme Créé le dimanche 04 décembre 2016, Lénine, une autre histoire de la révolution russe Créé le samedi 11 mars 2017, Du devoir de la désobéissance civile - Créé le mardi 07 février 2017 , Les faussaires de l'Histoire France ..Créé le lundi 06 février 2017

 
La tragédie des Brigardes internationales
Créé le mardi 25 octobre 2016
LE CRIMINEL, C'EST L'ÉLECTEUR !
Créé le dimanche 04 décembre 2016 
11/04/2017
Ni Dieu, ni maître, une histoire de l'anarchisme
L'ivresse du pouvoir
Rojava : Un processus démocratique en cours Par Enkolo dans Accueil le 13 Octobre 2017


02/09/2017
-Les guerres cachées contre Daech


 Les débats
Syrie : Alep, les leçons d'une tragédie« Les crimes perpétrés en Syrie depuis 2012 sont bien des crimes contre l'humanité »Marie Seurat : « La citadelle d'Alep, de l'image pieuse aux larmes et au sang »Bernard-Henri Lévy : « Alep, une honte profonde et indélébile »Syrie : « L'Europe est une puissance herbivore dans un monde de carnivores »
Tags : Rojava, Un processus démocratique en cours, documentaire, Turquie, CHRONIQUE D’UNE RÉVOLTE, La Turquie : Face à La Terreur, ARTE, "Erdogan, l'ivresse du pouvoir”, Erdogan, l'ivresse du pouvoir, Documentaire, Télévision, Démocratie, Face à La Terreur, La fin des Ottomans, Les nations contre l'Empire, Le Moyen-Orient en éclats, histoire, Daesch, accords Sykes-Picot, terrorisme, colonialisme, Henry Laurens, guerres saintes : des omeyyades, des croisades au ottomans, L'histoire sans fin contre le terrorisme, Les guerres cachées contre Daech, 1916-1923, le partage de l’Empire ottoman, Poutine, le nouvel empire, mouvement djihadiste, Coalition nationale syrienne, (CNS), War & Conflict, ISIL, Middle East, Afghanistan, Taliban, 01 « Les Nations contre l'Empire », Dessous des cartes, La Turquie face à la terreur, Arte, Etat islamique, -Les guerres cachées contre Daech
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#Posté le samedi 05 novembre 2016 10:43

Modifié le mardi 26 décembre 2017 13:28

Au nom du Temple

 
n
"Les concepts religieux fonctionnent comme cela, il réalise le miracle d'être exactement ce que les gens vont transmettre parce que les autres variantes ont été oubliées ou abandonnées en chemin. La magie qui semble produire des concepts parfaits à l'esprit humain est simplement la conséquence d'événements sélectionnés."
tiré de " ET L'HOMME CREA LES DIEUX"
en pdf: File:Boyer Pascal Et L Homme Crea Les Dieux 2003.pdf - Monoskop

Java -Dieu

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"Des conflits géopolitiques sous couvert de religion" - Et si les conflits du Moyen-Orient contemporain n'étaient pas de nature religieuse ? 
 
Au nom du Temple: Le sionisme religieux contre la paix - YouTube
 

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 Ce documentaire est réalisé par Charles Enderlin, correspondant de France 2 en Israël. Ce dernier livre un documentaire nécessaire pour comprendre ce qui s'y passe aujourd'hui autour du mont du Temple à Jérusalem, le sionisme et le le rêve messianique juif...
 
Plongeant ses sources dans la haute antiquité biblique, le fondamentalisme messianique juif a pris son essor en juin 1967, après la conquête de la Cisjordanie et, surtout, du Haram Al-Sharif, le troisième lieu saint de l'Islam - là où se trouvent aussi les ruines du Temple d'Hérode, là où le patriarche Abraham avait prétendu sacrifier son fils Isaac.Convaincus que le monde est entré dans l'ère eschatologique, les militants de ce mouvement religieux, allié à la droite nationaliste, s'opposent à toute concession territoriale, et a fortiori à la création d'un Etat palestinien souverain et indépendant. Les idéaux, la politique, les principes qui avaient inspiré le sionisme des origines, libéral et pragmatique, ont été, à mesure que progressait la pénétration du fondamentalisme juif dans la société israélienne, de plus en plus marginalisés.Dans ce nouveau document d'enquête, Charles Enderlin décrit la lente diffusion de l'idée messianique et son corollaire, le développement de la colonisation juive en Cisjordanie, qui rend impossible toute solution à deux Etats. Un nouvel Israël est-il en train de naître, menant le Proche-Orient à un point de non-retour ?Charles Enderlin est le correspondant permanent de France 2 à Jérusalem depuis 1981.
 
L'armée israélienne a indiqué aujourd'hui jeudi 18 aout  avoir envoyé en prison un soldat et sanctionné deux autres accusés d'avoir lancé gratuitement une grenade assourdissante sur des Palestiniens qui fumaient tranquillement la pipe en Cisjordanie occupée.

Une vidéo abondamment diffusée sur internet montre une jeep israélienne s'arrêtant à hauteur de quatre hommes, apparemment jeunes, assis au bord de la route. Les images proviennent d'une caméra de surveillance dans le village de Kafr Laqif, dans le nord du territoire occupé depuis bientôt 50 ans par Israël, ont rapporté les médias. Sur la vidéo dépourvue de son, le véhicule militaire repart au bout d'une dizaine de secondes et, alors qu'il s'éloigne, les Palestiniens se lèvent précipitamment et détalent. Une forte détonation et un nuage de fumée se produisent alors. Les jeunes ne paraissent pas avoir été blessés.

"Les investigations ont établi que les agissements du sergent commandant la patrouille allaient à l'encontre des standards" de l'armée israélienne, a dit l'armée dans un communiqué qui évoque, sans autre précision, un incident survenu à Kafr Laqif.
Le sergent et deux soldats présents dans la jeep ont fait l'objet de mesures disciplinaires, dit-elle sans préciser les sanctions prises contre les deux soldats.Le sergent a été envoyé en prison pour 10 jours, les soldats ont été assignés à leur base pendant sept jours, a précisé plus tard à l'AFP un porte-parole militaire.
 
L'armée israélienne multiplie les opérations en Cisjordanie à la recherche d'ateliers d'armement.
Les territoires palestiniens, Jérusalem et Israël sont en proie depuis le 1er octobre 2015 à des violences qui ont coûté la vie à 220 Palestiniens, 34 Israéliens, 2 Américains, un Erythréen et un Soudanais, selon un décompte de l'Agence France-Presse.
La plupart des Palestiniens tués sont des auteurs ou auteurs présumés d'attaques. Un certain nombre ont été tués lors de heurts avec l'armée israélienne.
 
Documentaire pour comprendre Le conflit israélo-palestinien de 1880 à 1991
 

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Le gouvernement israélien a cédé: il indemnisera les habitants qui occupaient illégalement une parcelle et les relogera sur des terrains voisins.
 
Difficile de ne pas appeler ça une victoire. La quarantaine de familles établies sur l'avant-poste d'Amona (Cisjordanie), dont la Cour suprême avait ordonné l'évacuation d'ici au 25 décembre, a arraché dimanche un généreux accord au gouvernement de Benyamin Nétanyahou. Celui-ci a débloqué en urgence quelque 150 millions de shekels (environ 38 millions d'euros) pour financer leur réinstallation sur des terrains voisins, ainsi que pour les indemniser et créer une nouvelle colonie une dizaine de kilomètres plus au nord. Une baisse du budget qui affectera notamment le ministère de l'Éducation a été approuvée pour compenser cette dépense imprévue. «Les efforts déployés pour éviter de déraciner cette communauté traduisent l'étendue de notre pouvoir politique», se réjouit Oded Revivi, responsable
 
En désignant un partisan de la colonisation de la Cisjordanie comme prochain ambassadeur des Etats-Unis en Israël, le président élu paraît sur le point de bouleverser radicalement la politique américaine dans le conflit israélo-palestinien. Elle marque la fin définitive de toute ambition américaine de favoriser, en tant « qu'honnête courtier », un règlement de paix entre Israéliens et Palestiniens. Les Etats-Unis se rangent non pas du côté d'Israël, leur ami et leur allié dans la région, mais du côté de l'ultra-droite israélienne. M. Friedman fait partie du mouvement des colons. Il finance le développement des implantations. Il soutient le site d'information Arutz Sheva, l'un des organes de la droite nationale religieuse.

 
Contrairement à l'habitude, sa désignation a été annoncée par M. Trump alors que celle de son candidat au poste de secrétaire d'Etat, Rex Tillerson, n'a pas encore été confirmée par le Sénat. Comme si M. Trump avait voulu manifester lui-même son intention de rompre avec la politique suivie par les Etats-Unis dans le conflit israélo-palestinien depuis près de trente ans. C'est un mauvais signe pour la paix dans cette région.

 
EDITORIAL
Donald Trump et l'extrême droite israélienne 18 Editorial. 


Selon Le Monde En plus des logements prévus près de la colonie de Shilo, le projet d'une nouvelle zone industrielle israélienne dans l'ouest de Ramallah a été approuvé.


Les autorités israéliennes ont donné leur feu vert à la construction de 98 logements dans une colonie de Cisjordanie occupée ainsi qu'à celle d'une zone industrielle israélienne près de Ramallah, a annoncé, samedi 1er octobre, l'ONG anti-colonisation La Paix Maintenant.


« Au moment où les dirigeants du monde se réunissaient pour commémorer la mémoire de Shimon Peres et la voie qu'il préconisait pour la paix, le gouvernement israélien crée un nouvel obstacle pour une solution à deux Etats », israélien et palestinien coexistant en paix, a souligné une porte-parole de l'ONG israélienne.
 
Lire aussi :   Les colons, la bombe à retardement d'Israël


La colonisation, un obstacle au règlement du conflit
Par ailleurs, une nouvelle zone industrielle israélienne va être créée à l'ouest de Ramallah, près du territoire israélien. « Cette zone peut être considérée comme une nouvelle sorte de colonie car le gouvernement israélien va encourager les investisseurs à y construire des usines potentiellement attractives en raison de la proximité du site à la fois de Jérusalem et de Tel-Aviv », ajoute La Paix Maintenant.
Pour la communauté internationale, la présence de près de 600 000 colons israéliens dans les Territoires palestiniens occupés est l'un des principaux obstacles au règlement du conflit israélo-palestinien, vieux de près de 70 ans.
 
 
LES COLONS (1/2)

En allant à la rencontre des pionniers comme des jeunes générations, le documentaire de Shimon Dotan analyse les fondements idéologiques et religieux d'une communauté de plus en plus nombreuse, qui compromet tout espoir de paix entre Israël et les Palestiniens. Vous trouverez dans ce dossier deux extraits du documentaire "Les Colons", une interview du réalisateur Shimon Dotan et une animation qui montre l'évolution du tracé des frontières israéliennes en même temps que la prolifération des colonies implantées dans les territoires détenus, notamment en Cisjordanie.


La prophétie


mardi 27 septembre à 20h55 (51 min)

Une exploration en profondeur de l'histoire des communautés de colons, qui exercent une influence déterminante et controversée sur le futur d'Israël. Premier volet : la prophétie. En 1967, la victoire d'Israël lors de la guerre des Six Jours et sa mainmise sur Jérusalem-Est et la Cisjordanie offrent de nouvelles perspectives à ceux qui rêvent de retrouver la "Judée-Samarie" biblique.
 
Les colons (1/2) - bande-annonce - ARTE - YouTube 
 Témoignage d'un palestien a propos d'une colonie " sauvage" en face de son village et de son ressenti.


Les colons (1/2) - ARTE La prophétie (27/09/2016), 1. La prophétie : la prophétie selon les ashkénazes "Edom" 1/2
 

Israeli settlement expansion 'a war on the mind'
As Gilo settlement continues to expand in the occupied West Bank, Palestinians are losing hope of reclaiming their land.
 
"When there are no settlements on a piece of land that has been taken, there is hope that we can get it back, but the second they start building on it, that's it - we know it's gone for good".
Omar Halajay, Walaja resident

Walaja est un village tranquille comme il y en a beaucoup en face de la plus large colonie Gilo a l'est, alors que le gouvernement vient d'annoncer la construction de 770 nouveaux appartements venant se rajouter aux autres
 
Sur le site du courrier ibnternational Yémen. Forte émotion après l'assassinat d'un blogueur pour athéisme
 
Depuis, il est devenu une figure emblématique pour une jeunesse de plus en plus nombreuse qui en a marre des hommes de religion, non seulement au Yémen, mais aussi en Egypte, en Irak, au Maroc, au Liban et ailleurs. La photo de son cadavre, jeté dans la rue, le sang ruisselant de sa tête, a été largement reprise sur les réseaux sociaux”, et notamment sous le mot-dièse à son nom sur Twitter, rapporte le journal libanaisAl-Akhbar.  

Dans un de ses derniers messages sur son compte Facebook, Omar Batawil avait écrit :
 
Nous écrirons jusqu'à détruire ces histoires à dormir debout dans vos têtes, qui rendent nos vies invivables et détruisent nos pays. [...] Nous écrirons jusqu'à ce que nous puissions tous vivre en paix, dans l'amour et en liberté.”




Les colons 1-2 La prophetie - Documentaire Arte - 27.09.2016
Les colons (2/2) - ARTE - YouTube
 
Dans le télérama : Pour cette pionnière des “gender studies”, être un homme ou une femme est une construction. Toujours subversive, la féministe américaine se positionne aujourd'hui contre la politique d'Israël à propos de Judith Butler,
“Israël ne représente pas
tous les Juifs, et le sionisme n'a pas
le monopole du judaïsme.
 
Ecouter un extrait du livre de Judith Butler : Vers la cohabitation. Judéidé et critique du sionisme”  
 “Pourquoi rendre hommage aux victimes
du 11 Septembre, sans y inclure les immigrés
illégaux qui travaillaient dans les Tours ?


Une exploration en profondeur de l'histoire des communautés de colons, qui exercent une influence déterminante et controversée sur le futur d'Israël. Premier volet : la prophétie. En 1967, la victoire d'Israël lors de la guerre des Six Jours et sa mainmise sur Jérusalem-Est et la Cisjordanie offrent de nouvelles perspectives à ceux qui rêvent de retrouver la "Judée-Samarie" biblique.
 
1688 - Israël, la guerre et la philosophe
r) Le Monde libertaire #1688 - Israël, la guerre et la philosophe (en) 

Toute bonne guerre se doit d'être précédée d'une offensive de propagande hystérique. Cette fois, c'est Judith Butler, mondialement connue pour ses travaux sur le genre, qui en fait les frais
 
 
 
Documentaire Israël - Palestine : comprendre le conflit par lhistoire
 
 

. ---- À plusieurs reprises, nous avions signalé que, face aux impasses tant économiques que politiques accumulées au cours des dernières années par le pouvoir israélien, la guerre semblait être une issue désirée, probable, possible. Mais toute bonne guerre se doit d'être précédée d'une offensive de propagande hystérique. Cette fois, c'est une philosophe mondialement connue pour ses travaux sur le genre qui vient d'en faire les frais lors de la remise, en Allemagne, d'un prix couronnant ses travaux. La presse française est restée fort silencieuse à ce sujet. Si Mediapart s'est contenté de reproduire la traduction du texte écrit en réponse par cette philosophe, Judith Butler, aux accusations d'antisémitisme portées contre elle, il faut aller sur le site legrandsoir.info pour avoir la totalité des informations à ce sujet.

Il est à noter que la traductrice, Élisa Trocmé, est parente d'un Juste parmi les nations, un de ceux qui pendant l'Occupation cachèrent des milliers de Juifs sur le plateau cévenol.

Le prix Adorno et la philosophe
Ce prix est décerné par la ville de Francfort-sur-le-Main en mémoire du philosophe Theodor W. Adorno (1903-1969). Ce dernier dut fuir le nazisme, son père étant juif, et se réfugia aux États-Unis. Comme Horkheimer, Benjamin, Marcuse, il fit partie du courant intellectuel connu sous le nom d'école de Francfort, dont le projet était, dans les années 1920-1930, de réaliser une critique des sciences sociales. Adorno a beaucoup travaillé sur la musique d'avant-garde, aussi bien Schöenberg que le jazz. Attribué tous les trois ans, le 11 septembre, ce prix récompense des contributions jugées exceptionnelles dans les domaines de la philosophie comme de la musique. Parmi les récipiendaires, on trouve aussi bien des sociologues comme Norbert Elias ou Bauman qu'un musicien comme Boulez ou un cinéaste comme Godard.

Pour notre compagne Heloisa Castellanos, corédactrice du numéro de Réfractions sur le féminisme, « Judith Butler, depuis la publication de son livre Trouble dans le genre, est devenue la référence obligée, bien qu'elle n'ait pas été la première à formuler une théorie sur le genre ». Elle ajoute : « Les premières recherches sur le genre datent des années 1940, puis en 1968 Robert Stoller, psychiatre et psychanalyste nord-américain, utilise le terme dans ses recherches cliniques sur les problèmes posés par le transsexualisme, essayant de comprendre l'écart entre l'identité sexuelle fondée sur des critères anatomiques et biologiques et l'identité subjective. Judith Butler, philosophe, féministe, est considérée comme LA théoricienne du genre (traduction en français du terme anglais gender), du pouvoir et du corps ; sa théorisation s'appuie sur ce qui est appelé la French Theory, à savoir la pensée postmoderne française et notamment Foucault, Derrida et Lacan. »

Heloisa termine en posant cette question : « Qu'est-ce que le genre ? Il peut être défini comme le sexe social. C'est une construction historique et sociale du sexe dans un système à deux termes, masculin et féminin. À son tour, la théorie queer critique le découpage binaire hétéro/homo, genre masculin/genre féminin et soutient l'existence d'un continuum des genres, du féminin au masculin, en passant par un entre-deux. » Ce sont ces travaux qui ont donc valu à Judith Butler de recevoir ce prix.

Une philosophe juive et antisémite ?


La réponse de Judith Butler
Dans ce texte publié de façon quasi confidentielle, la philosophe explique les origines de son engagement pour la justice.
« J'ai reçu une éducation juive au temple à Cleveland, dans l'Ohio, sous la tutelle du rabbin Daniel Silver, où j'ai développé de solides fondements éthiques sur la base de la pensée philosophique juive. J'ai appris que nous sommes appelés, par d'autres et par nous-mêmes, à répondre à la souffrance et à réclamer, à ½uvrer afin qu'elle soit soulagée. Mais pour ce faire, nous devons entendre l'appel, trouver les ressources permettant d'y répondre, et parfois subir les conséquences d'avoir parlé comme nous le faisons. On m'a enseigné à chaque étape de mon éducation juive qu'il n'est pas acceptable de rester silencieux face à l'injustice. »

Accusée d'antisémitisme, parce que critiquant Israël, voici ce qu'elle répond : « Il est faux, absurde et pénible que quiconque puisse prétendre que ceux qui formulent une critique envers l'État d'Israël sont antisémites ou, si Juifs, victimes de la haine de soi. De telles accusations cherchent à diaboliser la personne qui articule un point de vue critique et à disqualifier ainsi à l'avance son point de vue.
« Cette tactique pour faire taire cette personne est inqualifiable, innommable. Tout ce qu'elle dira doit être rejeté à l'avance ou perverti de telle façon que la validité de sa parole soit niée. Une telle attitude se refuse à considérer, à examiner le point de vue exposé, se refuse à débattre de sa validité, à tenir compte des preuves apportées, et à en tirer une conclusion solide sur les bases de l'écoute et du raisonnement. De telles accusations ne sont pas seulement une attaque contre les personnes qui ont des opinions inacceptables aux yeux de certains, mais c'est une attaque contre l'échange raisonnable, sur la possibilité même d'écouter et de parler dans un contexte où l'on pourrait effectivement envisager ce que l'autre a à dire. [...] C'est ce qui arrive à beaucoup de gens qui émettent un point de vue critiquant Israël – ils sont stigmatisés comme antisémites ou même comme collaborateurs nazis ; ces formes d'accusation visent à établir les formes les plus durables et les plus toxiques de la stigmatisation et de diabolisation. [...] Quand un groupe de Juifs qualifie un autre groupe de Juifs d'“antisémite”, il tente de monopoliser le droit de parler au nom des Juifs. »

Accusée de manquer de solidarité par rapport à l'État d'Israël voici ce qu'elle dit : « Aux États-Unis, j'ai été alarmée par le nombre de Juifs qui, consternés par la politique israélienne, y compris l'occupation, les pratiques de détention à durée indéterminée, le bombardement des populations civiles dans la bande de Gaza, cherchent à désavouer leur judéité. Ils font l'erreur de croire que l'État juif d'Israël représente la judéité de notre époque, et que s'identifier comme juif signifie un soutien inconditionnel à Israël. »
Accusée d'être inféodée au Hamas et au Hezbollah, Butler répond très clairement que c'est faux : « Mes propos sur le Hamas et le Hezbollah ont été sortis de leur contexte et gravement déformés, portant atteinte à l'intégrité de mon opinion ouvertement exprimée et toujours d'actualité. J'ai toujours été en faveur de l'action politique non violente, principe auquel je n'ai jamais dérogé. Il y a quelques années, une personne, dans un auditoire universitaire, m'a demandé si je pensais que le Hamas et le Hezbollah appartenaient à “la gauche mondiale” et j'ai répondu sur deux points :

«– Ces organisations politiques se définissent comme anti-impérialiste, et l'anti-impérialisme étant une des caractéristiques de la gauche mondiale, on peut alors, sur cette base, les décrire comme faisant partie de la gauche mondiale.
«– Comme avec n'importe quel groupe de gauche, il faut décider si l'on est pour ou contre ce groupe, et il faut alors évaluer de façon critique leurs positions.

«Je n'accepte pas ou n'approuve pas tous les groupes de la gauche mondiale. Ces remarques ont été faites à la suite de la conférence que je donnais ce soir-là, qui soulignait l'importance du deuil public (collectif) et des pratiques politiques de la non-violence, principes que j'élabore et défends dans trois de mes livres récents : Vie précaire, Systèmes de guerre et Chemins divergents. La non-violence n'est pas un état pacifique, mais un combat social et politique destiné à rendre la rage articulable et efficace – c'est un “fuck you” soigneusement élaboré. » Elle ajoute : « Je ne cautionne pas les pratiques de résistance violente, tout comme je ne cautionne pas la violence d'État, je ne peux pas, et ce à aucun moment. »

Comment Judith Butler manifeste-t-elle sa solidarité avec ceux qui souffrent : « L'une des raisons pour lesquelles je soutiens le BDS est que le BDS est le plus grand mouvement civique politique non violent, visant à établir l'égalité et les droits à l'autodétermination pour les Palestiniens. Je suis membre du conseil consultatif du Jewish Voice for Peace, membre de la synagogue Kehillah à Oakland, en Californie, et membre exécutif de la Faculté pour la paix israélo-palestinienne aux États-Unis et du théâtre de Jénine en Palestine. »
À une époque où il semble que les intellectuels engagés aient disparu, en voilà une qui prend des risques.
Pierre Sommermeyer


À Beit Shemesh, la loi des Haredim 
AVANT-PREMIÈREREPORTAGE - À mi-chemin entre Jérusalem et Tel-Aviv, la ville de Beit Shemesh est devenue le symbole de la difficile coexistence entre les ultraorthodoxes et les autres composantes de la société israélienne. Le chef de l'État Reuven Rivlin s'inquiète des risques de «tribalisation» du pays.
 
L'avertissement, formulé en Hébreu et imprimé en gros caractères au sommet d'une façade, ne peut échapper à personne. «Vous êtes priées d'entrer dans notre quartier vêtues d'une tenue pudique, c'est-à-dire avec une jupe et des manches longues», annonce-t-il au seuil de la «casbah» de Beit Shemesh. Ce surnom, employé avec une dérision mêlée d'amertume par une poignée de résidents insoumis, désigne le faubourg ultraorthodoxe réputé le plus «dur» de cette ville située à mi-chemin entre Jérusalem et Tel-Aviv.
Plusieurs milliers de religieux hassidiques font régner ici un ordre à part, fruit d'une interprétation stricte de la Loi juive et largement émancipé du droit israélien
 
 
 
Dans le contexte actuel d'agression israélienne sur Gaza, de manifestations à Paris interdites, de militantEs solidaires de la cause palestinienne arrêtéEs alors que des fachos de divers groupes instrumentalisent la solidarité internationale avec le peuple palestinien pour mener leur combat antisémite, le CAPAB se réunit en AGdemain soir. Il discutera notamment (anti)sionisme et (anti)fascisme et des actions à mener. 
Si vous désirez en savoir plus sur notre position, rendez-vous sur : http://capab.samizdat.net/extreme-droite-et-sionisme-introduction-du-capab/
 
 
 
 
 
Environ quatre-vingt-dix personnes sont venues participer au débat.
Différent-e-s intervenant-e-s ont présenté l'histoire du sionisme, les rapprochements de l'extrême-droite fasciste avec l'extrême-droite sioniste et le détournement de la lutte du peuple palestinien au profit d'une idéologie antisémite portée par l'extrême-droite soralienne. Le débat a porté sur ce que pourrait être une stratégie antifasciste pro-palestinienne : une lutte sans concessions contre l'islamophobie diffusée par l'extrême-droite, associée à un mouvement de solidarité avec la Palestine qui soit clairement militant, antiraciste et internationaliste, à l'image de la campagne BDS, Boycott-Désinvestissement-Sanction.
 
INTRODUCTION DU CAPAB :
 
Cette intervention s'est effectuée suite à un exposé sur l'histoire du sionisme par l'UJFP, et précédant une présentation de Génération Palestine et de Quartiers Libres sur les faux-amis de la Palestine que représentent Soral et son mouvement d'extrême-droite antisémite Egalité & Réconciliation et sur les réelles campagnes de solidarité avec le peuple palestinien que nous avons à mener.
 
Extrême-droite et sionisme : une alliance contre-nature ?
 
Ce titre peut surprendre. L'extrême-droite européenne est très liée par ses origines au fascisme, au nazisme et à ses variantes nationales, qui ont commis un génocide de plusieurs millions de juif-ve-s lors de la Seconde guerre mondiale. Et le motif officiel de la création l'Etat d'Israël était d'offrir un refuge pour les survivant-e-s. Si des organisations sionistes ont déjà traité avec des nazis dans les années 30, on ne peut pas vraiment parler d'alliance. Il s'agissait plutôt de trouver une solution séparée, à l'image des rencontres entre les états-majors du Ku Klux Klan et de la Nation of Islam aux Etats-Unis dans les années 50 en vue de la création d'un Etat séparé pour la communauté africaine-américaine sur le sol américain.
 
Pourquoi des partis israéliens, même d'extrême-droite, noueraient des alliances avec leurs anciens ennemis mortels ? Si le sionisme n'est pas un fascisme, il est néanmoins fondamentalement raciste et colonialiste. Et certaines passerelles idéologiques et pratiques peuvent être tissées entre sionisme et fascisme.
 
A)     Alliances au sommet
 
1)     L'extrême-droite israélienne, un modèle pour les fascistes ?
 
La version la plus extrême du sionisme est représentée par le courant du rabbin Meir Kahane, un homme politique israélo-américain, assassiné en 1990. Issu du Betar, un mouvement de jeunesse d'extrême-droite juive radicale, Kahane fonde en 1968 la Jewish Defense League (Ligue de Défense Juive) dans le but de lutter contre l'antisémitisme, et notamment de défendre les Juifs new-yorkais face à la communauté noire. Par la suite, le groupe évolue vers une lutte acharnée contre le communisme, en usant de tous les moyens, très souvent la violence.
 
Extrait 1 : camp d'entrainement Meir Kahane
 
En perte de vitesse, il émigre en 1971 dans l'Etat d'Israël. Il y défend, à travers de violentes provocations, l'expulsion de tous les Palestinien-ne-s (réduit-e-s au terme d' « arabes », déqualifiant la revendication nationale palestinienne) vers les pays arabes voisins. En 1973, il se lance dans le jeu politique institutionnel et fonde le parti Kach pour lequel il sera député en 1981. A partir de 1985, le parti ne peut plus se présenter aux élections car étant considéré comme raciste (il multiplie les appels aux meurtres d'arabes, dénonce les mariages mixtes entre juif-ve-s et non-juif-ve-s) et il est déclaré organisation terroriste par l'Etat d'Israël, puis par les Etats-Unis, le Canada et l'Union européenne en 1994, après qu'un de ses membres, réagissant aux accords d'Oslo, ait massacré 29 palestiniens qui priaient dans le tombeau des Patriarches d'Hébron.
 
On peut se dire que le courant de Kahane est très minoritaire. Pourtant, un ancien membre du parti Kach, Avigdor Lieberman, chef du parti d'extrême-droite Israël Beiteinou, est l'actuel ministre des Affaires étrangères du gouvernement de droite dure dirigé par le Likoud. Une autre formation d'extrême-droite sioniste ultrareligieuse, le Foyer Juif, représente la quatrième force politique du pays aux élections législatives de 2013.
 
Dans l'Etat d'Israël, la frontière entre extrême-droite et droite extrême est mince. Le Likoud, majoritaire au gouvernement, reprend le discours de l'extrême-droite sur le concept de « suprématie juive », opposé à la notion de citoyenneté israélienne qui induit égalité des droits pour tou-te-s les citoyen-ne-s, y compris les Palestinien-ne-s vivant dans les frontières de l'Etat d'Israël. L'Etat d'Israël ne se revendique pas comme une démocratie, c'est un Etat juif revendiqué, d'apartheid, opposé à l'égalité. De même, le gouvernement mène une politique très dure contre l'immigration illégale et les demandeurs d'asile. Le premier ministre, Benyamin Netanyahou, a déclaré que les demandeurs d'asiles constituaient une « menace nationale » alors qu'une députée du Likoud, Miri Regev, a traité les Africains de « cancers ». Les immigré-e-s peuvent être enfermé-e-s pendant un an dans des centres de rétention sans motif ni jugement. De même, la charte du Likoud combat la création d'un Etat arabo-palestinien à l'ouest du Jourdain, c'est-à-dire en Palestine.
 

sionisme et extrême droite une alliance contre nature EXTRAIT 2

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Ce que réclame et met en place la branche la plus radicale du sionisme, à travers la colonisation, l'occupation militaire et les discriminations envers les Palestinien-ne-s, c'est une purification ethnique dans ce qui constitue l'Israël mythique, dans la perspective de former un Etat juif pur.
 
L'artisan du rapprochement : Ayoub Kara, député du Likoud et ministre adjoint au développement des districts de Galilée et du Négueb. « Je suis à la recherche de moyens d'amoindrir l'influence islamique dans le monde », a-t-il déclaré au quotidien israélien Maariv en juin.  « Je pense qu'il s'agit là du véritable nazisme du monde actuel. Je suis prêt à m'associer avec quiconque croit à l'existence de cette guerre. » Il a donc rencontré le millionnaire néo-nazi allemand Patrick Brinkmann, et des dirigeants du FPO autrichien. Eliézer Cohen, ancien colonel de l'armée et ancien député d'Israël Beiteinou, est encore plus clair : « Les politiciens d'extrême droite européens sont plus sensibles aux dangers qui menacent Israël [...] Ils parlent exactement le même langage que le Likoud et la droite israélienne. Je suis trop vieux pour être hypocrite – j'espère que l'extrême droite gagnera en Europe. »
 
Extrait 3 : théoricien sioniste alliances contre-nature
 
2)     Evolutions de l'extrême-droite européenne
 
L'extrême-droite européenne est séduite par cette politique de purification. Remplacer « juifs » par « de souche » (Françaisde souche, Belges de souche etc.) pourrait illustrer le rêve des partis d'extrême-droite européenne. Ce sont leurs théories obsessionnelles de la nation pure qui sont mises en pratique de manière avancée dans l'Etat d'Israël. Chacun chez soi, la France aux français, l'Autriche aux autrichiens, Israël aux juifs et les arabes en Arabie.
 
Comme dit plus haut, l'extrême-droite européenne est très liée au passé fasciste, de manière plus ou moins assumée (plus comme le FPO en Autriche, moins dans la plupart des cas). L'antisémitisme est donc partie prenante de son ADN. Mais les fascistes sont très opportunistes. On assiste à un tournant idéologique notamment depuis le 11 septembre 2001 et le développement de la théorie du « choc des civilisations », d'un antisémitisme congénital vers une islamophobie acharnée. L'ennemi, c'est les musulmans, représentés par la figure de l'immigré ou du terroriste islamique. L'islam, considéré comme une religion non-européenne, donc rétrograde, violente, sexiste et homophobe, est décrite comme une menace pour les libertés acquises. D'un côté, pour les dirigeants sionistes, qui se voient comme le bastion avancé de la civilisation occidentale au Moyen-Orient, Israël est en première ligne face à l' « islamisation rampante de l'Europe ». De l'autre, par opportunisme, cette extrême-droite européenne « moderne » va chercher à s'adresser à celles et ceux qui étaient les cibles de leurs attaques auparavant, notamment la communauté juive.
 
C'est dans cette optique qu'en 2010, une trentaine de dirigeants d'extrême-droite européenne, dont le néerlandais Geert Wilders, le Belge Philip De Winter et l'Autrichien Stratche, successeur d'Haider à la tête du FPO (Haider qui vantait « la politique de l'emploi bien menée » du Troisième Reich ou qui disait en 1995 à propos de la Waffen SS « ces hommes intègres, restés fidèles jusqu'à aujourd'hui à leurs convictions, malgré les vents contraires »), séjournent dans l'Etat d'Israël et ses colonies avec les honneurs. Wilders s'entretient à cette occasion chaleureusement avec Lieberman.
 
Extrait 2 : visite extrême-droite européenne dans l'Etat d'Israël
 

sionisme et extrême droite une alliance contre nature EXTRAIT 4
 
 
 Salutations antifascistes, à demain ou à bientôt dans les prochaines manifs !
 
 

 
Juifs et Musulmans, si loin si proches - Extrait
 
A voir Kadosh (Amos Gitai, Israel, 1999) - YouTube




1/G - ANTI RELIGION (Ni dieu - Ni maitre)

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il faut vraiment être con et putament trouillard
pour gober qu'il y a là-haut, un dieu et ses archanges
mais en vrai tu peux croire tout ce qu'on t'a dit marmot

 source : n°1688 (22-28 novembre 2012) - Israël, la guerre et la philosophe ...
Israël, la guerre et la philosophe - Le Monde libertaire
n 
"Des conflits géopolitiques sous couvert de religion"
LEMONDEDESRELIGIONS.FR
 
L'État Islamique revendique les 25% du Front National
NORDPRESSE.BE|PAR MARIE KAGAN
 
Middle East, Israel, Israeli–Palestinian conflict, Palestine
 
19/07/2014
Au nom du Temple - citoyenactif
23/08/2016
histoire de Charles Martel
Jeudis de l'IMA - Juifs et musulmans, si loin si proches - YouTube
La principale ligne ferroviaire du pays a été fermée ce week-end, sous la pression des ultraorthodoxes.
Correspondant à Jérusalem




Au nom du Temple - citoyenactif
Au nom du TempleCréé le lundi 15 août 2016
Pierre Bourdieu sur l'EtatCréé le mercredi 21 août 2013
Juifs et musulmans, si loin, si proches
Nous sommes en 40 000 avant J.-C

Juifs et Musulmans, si loin si proches

Par Enkolo dans Accueil le 4 Septembre 2016 à

Juifs et musulmans: les origines (610 à 721) - Dailymotion
JUIFS ET MUSULMANS (Ep 2 : La place de l'autre, 721-1789)
JUIFS ET MUSULMANS (Ep3 : La séparation, 1789-1945

 

Israël | ARTE Info
Les colons israéliens : un obstacle à la paix | ARTE Info


LES COLONS 
Par Enkolo dans Accueil le 28 Septembre 2016 
 
Le siège, de Remy Ourdan Créé le mercredi 05 octobre 2016
 
Supports vidéos :
 
Vidéo 1 : Sur la LDJ : http://www.youtube.com/watch?v=91nyzW4nEe8
 
Extrait 1 : 4:58-5:31 : camp d'entrainement Meir Kahane
 
Vidéo 2 : La déferlante anti-islam : http://www.dailymotion.com/video/xp018z_la-deferlante-anti-islam-enquete-sur-la-nouvelle-extreme-droite-special-investigation-stop-a-toutes_news
 
Extrait 2 : 31:25-33:54 : visite extrême-droite européenne dans l'Etat d'Israël
 
Extrait 3 : 37:14-38:00 : théoricien sioniste alliances contre-nature
 
Extrait 4 : 46:56-48:38 : MLP et le tournant sioniste
 
Extrait 5 : 00:47-1:40 : EDL et sionisme



Judith Butler en quelques dates
1956 
Naît à Cleveland, Ohio, dans une famille juive.
1984 Soutient à Yale sa thèse de philosophie sur le désir chez Hegel.
1990 Publie Trouble dans le genre.
1993 Enseigne la littérature comparée à Berkeley, Californie.
2012 Reçoit le prix Adorno. Professeure invitée à Columbia, New York.
 
source : n°1688 (22-28 novembre 2012) - Israël, la guerre et la philosophe ...
Israël, la guerre et la philosophe - Le Monde libertaire
Judith Butler, philosophe : “Le féminisme français m'a beaucoup ...
Au nom du TempleCréé le lundi 15 août 2016
Le 06 octobre 2016  La paix belliqueuse
 
Jérusalem la ville trois fois Sainte
 "Nous, ouvriers", L'ANARCHIE C'EST QUOI ? Aujourd'hui en bref, L'ivresse du pouvoir, Bagdad, chronique d'une ville emmurée, La stratégie de la mouche: pourquoi le terrorisme est-il efficace ?, Les jeux d'Hitler, Au nom du Temple
 
Sur le blog citoyenactif La Morale Anarchiste, Théorie du ruissellement, Merde in France, AU C¼UR DU BLACK BLOC, Hollande : pacte avec le Medef, Democracy is so overrated. , Violence
 
10 décembre 2017
La Morale Anarchiste
 
 


A lire aussi : Israël, attaque, la bande de gaza, Cisjordanie, Palestine, conflit, moyen orient, les raisons de la colère, intifada, haine décomplexée, extrême droite, colons, religion, nationalisme, benjamin Netanyahu, middle east, conflit israélo-palestinien, Proche-Orient , la confrérie, enquête, les frères musulmans


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 n Nocturama, The State, Vietnam, Birmanie : résistants, business et secret nucléaire, Dans le secret de la violence sociale, Terrorisme, raison d'Etat, Arctique, la conquête glacial, Du devoir de la désobéissance civile -, Mafia et république, Le monde sous les bombes de Guernica à Hiroshima, Ni dieu ni maître, une histoire de l'anarchisme, La fabrique de la désinformation, Syrie : la révolution confisquée ?, Hongrie, une démocratie aux pieds d'argile., La stratégie de la mouche: pourquoi le terrorisme est-il efficace ?, Les jeux d'Hitler, Au nom du Temple

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#Posté le lundi 15 août 2016 05:15

Modifié le samedi 31 octobre 2020 06:45

Afghanistan, le prix de la vengeance

 
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Daech, naissance d'un Etat terroriste : Daech, naissance d'un Etat terroriste - 04/02/2015 - YouTube : "
 
«S'il y a une leçon que nous avons apparemment oublié ces vingt dernières années après Oklahoma City, c'est que les violences extrémistes viennent de partout», souligne John Horgan, chercheur à l'Université de Columbia. Il affirme également que «le plus souvent, l'attaque vient de là où on ne l'attend pas».

 

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Marc Robine - Le Déserteur (Version non censurée)

Proudhon et l'économie :
– « La propriété, c'est le vol »
– « Concurrence et profit : l'un est la guerre, l'autre le butin »
– « L'économie politique, en tant qu'elle consacre et prétend éterniser les anomalies de la valeur et les prérogatives de l'égoïsme, est véritablement la théorie du malheur et l'organisation de la misère »

 
Deux citations pour illustrer les erreurs, horreurs particuliers de cette guerre : 


"Les guerres débutent toujours par une poignée de personnages pervers, ayant le pouvoir et pour qui la vie humaine n'a que peu de valeur, mais aussi et surtout par d'autres, beaucoup plus nombreux, et suffisamment bêtes pour aller risquer leurs vies sur le champ de bataille""


" A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire." .
Le Cid. 1637
 
Afghanistan, le prix de la vengeance 2012 - YouTube : 

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A près le départ des Soviétiques, l'Afghanistan s'est vomi dans une guerre civile longue et cruelle. En 1996, le régime des talibans a recentralisé le pays, avec une vision et des méthodes d'une rare violence.
Les attentats du 11 septembre 2001 ont été aussitôt suivis d'une guerre de coalition sous mandat ONU contre le régime des talibans et contre Al-Qaida.
Depuis, c'est-à-dire depuis plus de douze ans, l'Afghanistan n'est pas plus réuni avec lui-même, est profondément corrompu et doit affronter le vide de puissance objectif que représente le départ des Américains fin 2014 (la coalition s'est d'ailleurs effritée depuis des années).
De nombreuses questions en découlent, qui ne laissent d'inquiéter. 
 
http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4757480

Il y a donc douze ans, les Etats-Unis suivis par le monde entier, lançaient la guerre en Afghanistan.
 
Sans débats. Sans l'ombre d'un doute. Comme un acte de légitime défense, après les attaques du 11 septembre 2001.
 

Le dessous des cartes - Afghanistan : l'impossible transition - 23 février 2013

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Fin 2012, les troupes occidentales ont commencé leur retrait d'Afghanistan. Ce pays va-t-il pouvoir expérimenter la paix ? Ou va-t-il connaître une nouvelle phase de guerre ? Le Dessous des Cartes revient sur l'histoire du conflit afghan, et s'interroge sur cette transition délicate.
 
Aucun discours officiel n'a résisté à l'épreuve des faits.
 
Tous les acteurs du conflit, membres des services secrets américains, commandants des force américaines, cadres talibans, seigneurs de guerre afghans, négociateurs de l'ONU, dirigeants pakistanais, responsables des ONG, racontent et démontent l'engrenage d'une guerre. Wikipedia 
 
Le développement des chefs de guerre, chassait sous les Taliban, sont revenus grâce a l'intervention américaine, développement des champs de Pavots et trafiquant de drogue par ces mêmes seigneurs de guerre et pour des raisons pragmatiques. Les Etats Unis ont compris que les Talibans ont été chassé de Kaboul et de la plupart des régions qu'ils contrôlaient non pas essentiellement par l'intervention américaine, mais par le mécontentement de la population suite a leur politique d'éradication du Pavot. 
 
Les américains ne voulant pas recréer ces mêmes erreurs, en ont commis d'autres : le laisser faire des trafiquants.
 
Le leader américain : une conduite sans partage de l'intervention, mais un échec partagé 

Enfin, l'argent de l'aide internationale ( les États-Unis ont injecté 1 000 milliards de dollars dans cette guerre, qui leur coûte encore actuellement 150 milliards de dollars par an [18] ) a été largement détournait par les " amis" de la coalition : les nouveaux maîtres d' Afghanistan" , c'est a dire des seigneurs de guerre ( encore eux) qui se sont fait une " virginité" en accédant aux pouvoir, tout en finissant des milices privés.
 
Cela a eu pour conséquence de voir l'émergence des Taliban des 2004, par le mécontentement croissant de la population qui n'a vu aucune promesse se réaliser : retour de l'emplois, justice social et sécurisation de l'Afghanistan .Une guerre sans victoire peux engendrer la mort d'un soldat ayant crut à sa victoire. Afghanistan - Une Guerre au nom de la paix ( envoyé spécial) , Afghanistan, 2001-2013 : une guerre inachevé
 
Fin 2012, les troupes occidentales ont commencé leur retrait d'Afghanistan. Ce pays va-t-il expérimenter la paix ou connaître une nouvelle phase de guerre ? Le Dessous des Cartes revient sur l'histoire du conflit afghan et s'interroge sur cette transition délicate. VIDEO : 
 
Autres problématiques : le financement du terrorisme par l'économie souterraine : « Pour lutter contre l'argent de la terreur, traitons vraiment la question de l'économie souterraine et des trafics »Pour Marie-Christine Dupuis-Danon, spécialiste de la finance criminelle, tant que l'on ne cassera pas les réseaux de l'économie criminelle, la lutte  contre le financement du terrorisme ne débouchera sur aucun résultat tangible.
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Vers une nouvelle guerre civile ?
 
« Enfin, l'argent de l'aide internationale ( les États-Unis ont injecté 1 000 milliards de dollars dans cette guerre, qui leur coûte encore actuellement 150 milliards de dollars par an [18] ) a été largement détournait par les " amis" de la coalition : les nouveaux maîtres d' Afghanistan" , c'est a dire des seigneurs de guerre ( encore eux) qui se sont fait une " virginité" en accédant aux pouvoir, tout en finissant des milices privés" » 
 

Au moment du retrait précipité des coalisés, certains signes inquiétants font craindre le pire. En 2012, les 6 millions de réfugiés afghans (dont 1,7 million au Pakistan), refusent de rentrer dans leur pays. Autour de Kaboul, des victimes des talibans et des « dommages collatéraux » de la coalition viennent à nouveau grossir les camps de réfugiés, tandis que des déracinés vivent dans des grottes à quelques encablures d'une capitale où les barons de la drogue et les pillards de l'aide internationale étalent un luxe ostentatoire
  

Afghanistan: des dizaines de morts après des offensives talibanes Les récentes offensives des talibans en Afghanistan, dont Kunduz (nord) et le Helmand (sud), ont fait des dizaines de morts et disparus parmi les forces régulières, et contraint des milliers de civils à fuir, selon des responsables.Source: Al Jazeera News And Agencies
 
A lire Afghanistan : attaque-suicide dans une mosquée chiite à Kaboul, 
EVELOPING STORY Bomber, gunmen attack Shia worshippers at Kabul mosque


Une partie des "soldats du Califat" ne pouvant se rendre dans la zone Irak - Syrie, se sont repliés en Afghanistan ou ils espèrent créer un nouveau califa appelé le "Grand Khorasan", une région historique comprenant l'Afghanistan, le Pakistan, l'Iran et l'Asie centrale/.Les talibans afghans déclarent qu'ils ont mis en ½uvre des unités spéciales pour mener la guerre contre les djihadistes du groupe Etat islamique (EI, Daech) qui remet en question la dominance des talibans dans la région.
 
Le début du bras de fer

Les talibans ont appelé les djihadistes de l'EI à ne pas créer "un front djihadiste parallèle" et, dans une lettre adressée au chef de l'EI Abou Bakr al-Baghdadi le 16 juin dernier, ils ont prévenu qu'ils étaient prêts à défendre tout ce qu'ils avaient gagné. En réponse, Daech a ordonné aux djihadistes d'agir "impitoyablement" et sans une "goutte de compassion" contre ceux qui n'avaient "pas fait pénitence" et n'avaient pas adhéré au califat.

La BBC estime que Daech a du mal à devenir la force principale parmi d'autres groupes radicaux. Mais s'il arrive à le faire, cela rendrait impossible le processus de paix en Afghanistan. Dans ce cas-là, l'instabilité pourrait répandre aux autres pays. Si les pays de la région n'acceptent pas un programme d'actions communes, leur avenir s'imagine assez morne.
 
La mort de deux chefs d'al-Qaida confirmée
Les services du renseignement afghans (NDS) ont confirmé aujourd'hui la mort de deux hauts responsables d'Al-Qaïda en Afghanistan dans des frappes de drone.
"Farouq al-Qahtani, Bilal al-Utabi et un troisième membre du groupe ont été tués dans un tir de la coalition (...) dans la province de Kunar", selon un communiqué de l'agence. "La frappe a été menée en coordination avec le NDS".
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Ce qui est sur, c'est que la lutte par des bombardement aérien et la mise en place d'un gouvernement " ami" des occidentaux ne règle pas les problemes sur le long terme. L'Afghanistan est un triste exemple. Après l'intervention de Bush en 2001 pour déloger Al Qaida et renverser le régime des Talibans, les Talibans n'ont jamais été aussi puissant. Détournement d'argent, corruption, l'appuie a des seigneurs de guerre ont déligitimer le gouvernement afghan et ont permis aux étudiants en Théologie de reprendre pied dans le pays. Selon Al Jazeera " http://aje.io/ybau ". Leurs offensives d'été leurs a permis de reprendre pied dans le sud, le nord et l'est, menaçant de grandes villes. Afghanistan's defence ministry says its security forces are currently waging operations in 15 provinces. Roughly 80 percent of Helmand province is under Taliban control, according to officials [EPA/Watan YarNov 2015 14:47 GMT | War & Conflict, ISIL, Middle East, Afghanistan, Taliban

 
 
En quelques jours, la menace de l'EI en Afghanistan a pourtant éclipsé celle des talibans, au moins sur la scène diplomatique internationale. 
Tant de mort, une des guerres les plus longue contre "le terrorisme", chassait les Talibans, certes un mouvement intégrisme, mais pas directement responsable des attentats pour au final renouer la coopération militaire avec eux. A croire que les deux grandes puissances Etats Unis et Russie impliqués dans les deux principaux conflits en Afghanistan et responsable du chaos actuel veulent jouer avec le feu. Seize ans après leur renversement par les forces de l'OTAN en 2001, les talibans n'ont jamais contrôlé un territoire aussi vaste. Le gouvernement de Kaboul ne contrôle plus qu'environ 60 % des districts du pays. Pour Washington, négocier avec les talibans revient à leur accorder influence et légitimité, et donc à diminuer les chances de parvenir à un règlement du conflit


Depuis l'intervention étrangère de 2001, jamais l'insurrection n'avait tué autant que ces deux dernières années.


Afghanistan, 2001-2013 : une guerre inachevée  - 
Par Jean-Charles JAUFFRET*, le 26 avril 2013 

Professeur d'université en histoire. Professeur d'université à Sciences Po Aix, chaire d'histoire de la défense, où il dirige le master de recherches "Histoire militaire comparée, géostratégie, défense et sécurité". Il publie La guerre inachevée. Afghanistan, 2001-2013, Paris, éd. Autrement, 2013. 
 
L'Afghanistan à l'heure du retrait de la coalition internationale  - Par Pierre MICHELETTI , le 12 mai 2013  : 
Professeur associé à l'IEP de Grenoble. Ancien président de Médecins du monde. Pierre Micheletti vient de diriger la publication de : Afghanistan, gagner les c½urs et les esprits, dans sa version ebook, PUG/RFI, avril 2013. 

 
Afghanistan. 2014 : des échéances considérables (présidentielle, retrait des troupes américaines)
14.01.2014 - 06:45
 
Syrie-Irak : l'État islamique recule sur tous les fronts
 Couvre-feu , Rapaces - Sur la religion
Afghanistan, le prix de la vengeance
Afghanistan, le prix de la vengeance Par Enkolo dans Accueil le 22 Août 2017 


Fusillés pour l'exemple “par” la France !


Tags : Afghanistan, le prix de la vengeance, documentaire, arte, franceculture, War & Conflict, ISIL, Middle East, Taliban, Le dessous des cartes, l'impossible transition
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#Posté le samedi 27 juin 2015 06:52

Modifié le dimanche 12 novembre 2017 05:26

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