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la Goutta Orientale

n
Nicolas Hernandez Cointot " Pas de paix sans justice.... !!! Cette guerre est de plus en plus complexe et meurtrière entre les différents fronts nationaux, régionaux et internationaux, les jeux d'alliance..... J'ai l'impression de revoir toujours les mêmes scènes, commentaires après Alep etc... ( impuissance des pays occidentaux, cynisme de la Russie, Turquie et de l'Iran : les pompiers pyromanes ), des jeux d'alliances qui se font et se défont....... La plus grave crise humanitaire depuis la seconde guerre mondiale"

Ghouta : massacre à l'arme chimique en Syrie Des femmes, des hommes, des enfants ont péri tôt ce matin, parfois dans leur lit, après une attaque massive à l'arme chimique,menée par l'armée d'Assad, à l'est de la capitale syrienne.
 

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Massacre Chimique Ghouta Syrie 21 8 2013 - YouTube


Victimes des bombardements depuis plusieurs jours, les habitants de la Ghouta orientale, cette enclave rebelle près de la capitale syrienne, vivent dans la terreur, cloitrés dans des sous-sols et des abris.



Depuis dimanche 18 février, contre cette enclave, où vivent encore 400.000 personnes, 296 civils, dont 71 enfants et 42 femmes, ont trouvé la mort, et plus de 1400 personnes ont été blessées  rapporte l'OSD  Des hélicoptères des forces loyalistes ont tiré des roquettes et largué des barils d'explosifs sur les villes et villages de cette région rebelle assiégée,. Ilsont été tués dans des bombardements de l'aviation syrienne dans l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, près de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme. L'ONU a décrit une situation humanitaire “hors de contrôle” et a appelé à l'arrêt immédiat des frappes.  Les récits qui émergent de cet enfer sont à glacer le sang. Des femmes enceintes sont extirpées des décombres. Des corps d'enfants sont transportés dans les morgues. Dans les hôpitaux, d'autres enfants en pleurs cherchent leurs parents. Et d'autres parents effarés se précipitent en quête de leur ... 

 
Syrie. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est déclaré mardi «profondément inquiet» devant l'escalade de la violence dans la Ghouta orientale, enclave rebelle de Syrie qui subit des bombardements meurtriers des forces gouvernementales. Des frappes aériennes syriennes et russes sur l'enclave rebelle proche de Damas .  Dans la Ghouta orientale, à l'est de Damas, les quelque 400 000 habitants restés sur place sont bombardés quotidiennement par le régime d'Al-Assad. 500 personnes ont été tuées depuis dimanche.
 

 
les «tactiques» du président syrien Bashar al-Assad consistant à «assiéger et affamer».


Dans la Ghouta orientale, les hôpitaux ciblés de façon « systématique »
 
EN IMAGES
 
Depuis dimanche 18 février, 22 centres médicaux de la Ghouta orientale, dernière poche de résistance anti-Assad de la région de Damas, ont été bombardés. Un ciblage « systématique », selon plusieurs ONG.
La Société américano-syrienne d'aide médicale (SAMS), présente sur le terrain dans la Ghouta orientale, a fourni à plusieurs médias, dont Le Monde, des images de ces établissements après les bombardements. Selon Mohamad Katoub, manageur à SAMS Beyrouth, cette tactique du gouvernement a pour but de venir à bout de la résilience de la population : « Personne ne veut vivre dans un endroit où, si vous êtes blessé, il n'y a plus de médecins pour vous soigner. » LE MONDE

 
«un cataclysme humanitaire»
 
«La situation en Syrie se dégrade considérablement» et «s'il n'y a pas d'élément nouveau, nous allons vers un cataclysme humanitaire», a déclaré mardi le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian. S'adressant au Parlement, il a ajouté: «Il y a une urgence absolue sur ce sujet (...) C'est la raison pour laquelle, à la demande du président de la République, je me rendrai dans les jours qui viennent à Moscou et à Téhéran», soutiens du régime du président Bachar al-Assad. 
 
Syrie : « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica », « le massacre du XXIe siècle »
Tandis que la Ghouta orientale n'en finit pas de compter ses morts et ses blessés, sur cette enclave de la périphérie de Damas où sont assiégés, depuis 2013, quelque 400 000 habitants, la paralysie de la communauté internationale, qui ne parvient pas à adopter une position commune contre les massacres, faisait réagir la presse internationale.


Une paralysie que dénonce le quotidien britannique The Guardian, dans une tribune intitulée « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica, et nous détournons le regard une fois encore ». Consacrant sa « une » au sujet, le quotidien dresse un parallèle avec le siège de l'enclave de Srebrenica, durant la guerre de Bosnie, en juillet 1995, qui avait conduit au massacre de plus de 8 000 hommes et adolescents, sous les yeux d'une communauté internationale qui avait « détourné le regard ».
 
« Le Srebrenica syrien »
« Avec chaque enfant qui meurt, chaque acte de barbarie qui reste impuni, la Ghouta orientale ressemble de plus en plus à ce que Kofi Annan avait appelé un jour le pire crime jamais perpétré en Europe depuis 1945. La Ghouta orientale est en train de devenir le Srebrenica syrien », alerte le journaliste Simon Tisdall :
« A Srebrenica, quelque 8 000 hommes et adolescents musulmans furent massacrés en quelques jours. (...) Le tribunal pénal pour l'ex-Yougoslavie a plus tard déclaré que ces crimes constituaient un génocide. (...) La communauté internationale savait pourtant très bien ce que le général Radko Mladic [commandant en chef de l'armée de la République serbe de Bosnie] était en train de faire, et qu'un massacre était imminent. Elle a détourné le regard. L'agonie de la Ghouta orientale (...) est plus lente mais ignorée de la même façon. Encore une fois, des civils, dont de nombreux enfants, sont massacrés. Encore une fois, les pouvoirs occidentaux, avec des forces présentes dans le pays, refusent d'intervenir. Encore une fois, les Nations unies sont impuissantes. »
 
« Au moins, la communauté internationale avait mis fin au conflit en Bosnie au bout de quatre ans. Mais après sept ans de conflit sanglant, le conflit syrien continue. Et l'échec à y mettre fin signe la faillite de la diplomatie internationale. »Lire aussi :   En Syrie, tragédie humanitaire dans la Ghouta orientale
 
« Le massacre du XXIe siècle »
« Un massacre. Comment appeler autrement ce qu'il se passe dans la Ghouta, cette zone naguère agricole, ancien poumon vert de Damas, transformée ces derniers jours en enfer sur terre ? »,s'alarme également le quotidien belge Le Soir, dans un article intitulé « Le massacre du XXIe siècle se déroule à un jet de pierre de Damas ».


« Ce régime et ses alliés reproduisent là les crimes dont ils s'étaient rendus coupables à Alep et cette sauvagerie est si atroce qu'on voudrait presque que ses auteurs l'emportent au plus vite, que ces monstres gagnent au plus vite, pour que cela cesse mais non, rien ne cessera », dénonce aussi le chroniqueur géopolitique Bernard Guetta, sur France Inter mercredi matin.
 
Lire aussi :   Syrie : dans la Ghouta orientale, chronologie d'un désastre humanitaire
 
« On veut terroriser la population, l'obliger à fuir »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/02/21/syrie-la-ghouta-orientale-est-un-autre-srebrenica-le-massacre-du-xxie-siecle_5260362_1618247.html#TMjHi1CVps5trRl4.99
Syrie : « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica », « le massacre du XXIe siècle »


Dans la Ghouta orientale assiégée, des habitants racontent leur calvaire sur les réseaux sociaux
Alors qu'en cinq jours plus de 400 civils syriens sont morts, des comptes relaient sur Twitter, Facebook ou YouTube des témoignages de celles et ceux qui tentent de survivre.

des raids aériens du régime syrien visant la Ghouta orientale, un fief rebelle à l'est de Damas, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
A Douma, grande ville de la Ghouta, 12 civils ont péri dans ces frappes, a précisé l'Observatoire, alors que le bastion rebelle est depuis dimanche dernier la cible d'une opération militaire d'envergure ayant fait des centaines de morts.
 

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Syrie : l'interminable supplice de la Ghouta orientale


« C'est bien de mourir dans de beaux habits »
A Douma, la localité principale de l'enclave, le photographe et activiste Firas Abdullah rend compte sur sa page Facebook par des vidéos régulières, commentées en anglais, du cataclysme qui s'abat sur la ville.
D'heure en heure, ses publications retracent les frappes aériennes, les lâchers de bombes barils par des hélicoptères du régime. Une manière de faire prendre au monde extérieur la mesure de la destruction systématique de l'enclave. Mais aussi d'informer ceux qui sont abonnés à sa page qu'il est toujours en vie.
Nivin Hotary, une habitante de la Ghouta orientale, publie elle aussi régulièrement sur sa page Facebook des textes plus longs où, au-delà du décompte des morts et du signalement des frappes, elle raconte le quotidien dans l'enclave assiégée. Jeudi, elle évoquait l'existence de nombreux habitants de la Ghouta orientale reclus dans des caves d'immeuble pour échapper aux bombardements :

« Prisonniers dans les caves (...), nous ne pouvons pas dormir. Toutes les dix minutes, un missile d'artillerie explose pour assurer à ceux qui bombardent que personne ne dormira. Cela, bien sûr, c'est seulement quand les pilotes prennent leur pause (...).  Prisonniers, nous passons nos jours et nos nuits dans les mêmes vêtements, ceux que nous portons pour sortir (...). C'est bien de mourir dans de beaux habits. » Lire aussi :   « La Syrie, réceptacle des infinies complexités du Moyen-Orient »

Clichés insoutenables
Les soignants sont en première ligne, face à la douleur et à la mort dans la Ghouta orientale, pour tenter de sauver ceux qui peuvent l'être, tout en faisant face à de graves pénuries de fournitures, d'équipements, de médicaments. Les hôpitaux sont pris pour cible par les frappes du régime, et c'est dans des conditions de plus en plus dégradées qu'ils continuent d'exercer.


Sur sa page Facebook, le médecin Housam Adnan, qui se trouve à Douma, publie des photographies de ceux qu'il s'évertue à soigner. Corps aux membres arrachés, patients gravement blessés, et aussi le regard épouvanté d'une petite fille, yeux trop grands pour un corps trop maigre, ravagé par la faim.
 
Le 21 février, il a publié, avec deux clichés insoutenables, un long poème dont les vers racontent l'horreur de la Ghouta :
« Des enfants sans membres, sans yeux, sans visage. (...) L'odeur de la poudre à canon et sa couleur noire dégoûtante plane sur ces visages affamés et flétris. Les cris des enfants, les lamentations des femmes, l'oppression des hommes, l'impuissance des médecins atteignaient mon scalpel (...).Aujourd'hui, tous ceux qui nous viennent sont ces corps maigres qui ont manqué de nourriture pendant des jours, enterrés avec leurs enfants sous les décombres de ces barils qui ne distinguent pas la pierre de l'homme. »
 

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Ghouta orientale : "la population civile est l'otage des belligérants"
 
Les civils ont le choix entre mourir sous le feu du régime et supplétif de Damas ou de la famine, ou partir pour et se retrouver de nouveau sous les balles des belligérants.... Il n'y a aucun endroit sur pour la population civile


La Ghouta orientale, au c½ur du conflit syrien
Ancien « poumon vert » de Damas, situé à l'est de la capitale de la Syrie, la Ghouta orientale est un fief rebelle qui fait, depuis 2013, l'objet de bombardements quasi quotidiens.
Cette année-là, le conflit prend un nouveau tournant dans la zone avec des attaques chimiques dans les alentours de Damas ; en mai, les journalistes du Monde sur place sont les premiers à être témoins d'attaques chimiques lancées à l'entrée de la capitale durant plusieurs jours. Mais c'est surtout lors d'un massacre durant la nuit du 21 août de la même année que ces armes sont utilisées massivement.
A partir de 2015, des dizaines de civils sont affectées par les pénuries de nourriture et de médicaments.
Depuis l'été 2017, la région est censée être une des « zones de désescalade » créées en vertu d'un accord entre la Russie, l'Iran — principaux soutiens du régime — et la Turquie, qui appuie l'opposition. Mais les bombardements n'ont jamais cessé. Le 5 février, le régime lance une offensive aérienne d'une intensité inédite.
 
Des combats opposent depuis plusieurs jours en Syrie d'importants groupes rebelles aux jihadistes d'Idleb, dans le nord-ouest du pays en guerre, où cinq civils ont été tués samedi, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
 
La province d'Idleb est dans sa grande majorité contrôlée par l'organisation jihadiste Hayat Tahrir al-Cham, dominée par l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, mais d'importants groupes rebelles islamistes maintiennent leur présence dans le secteur.
 
"C'est une guerre pour élimination" des jihadistes, a indiqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, précisant que l'offensive avait été lancée mardi par les deux importants mouvements rebelles islamistes Ahrar al-Cham et Noureddine al-Zinki.
 
LIRE AUSSI - Syrie : l'ultime bataille est lancée à Idlib
Les deux factions, présentes à la frontière des provinces syriennes d'Idleb et d'Alep, ont annoncé leur fusion le 18 février, sous le nom de Front syrien de libération.
Les combats se déroulent un peu partout dans la province d'Idleb, selon M. Abdel Rahmane, notamment dans le nord, l'est, et le sud de la région.
"Cinq civils ont été tués samedi dans les combats", a-t-il précisé, ajoutant que depuis le début de son offensive, le Front syrien de libération a pu conquérir "26 cités et localités" d'Idleb.
 

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Syrie : la guerre mondiale #cdanslair 22.02.2018

 
Déclenché en 2011, le conflit en Syrie s'est complexifié au fil des ans avec l'implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire de plus en plus morcelé.
Il a fait plus de 340.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
Soutenu par l'allié russe, le régime de Bachar al-Assad a lancé fin décembre une offensive pour reconquérir le sud-est de la province d'Idleb, la dernière dans le pays qui échappe entièrement à son contrôle.
Sa progression lui a notamment permis de remettre le pied dans la province, avec la reconquête d'un aéroport militaire stratégique.


la Goutta Orientale
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/02/23/dans-la-ghouta-orientale-assiegee-des-habitants-racontent-leur-calvaire-sur-les-reseaux-sociaux_5261822_1618247.html#ZttDzGKbOklHBIo6.99



LIRE AUSSI :
» Syrie : un vote attendu à l'ONU pour obtenir une trêve dans la Ghouta
» Syrie : pour l'ONU, la Ghouta est devenue «l'enfer sur Terre»

21 février 2018 la Ghouta orientale

» LIRE AUSSI : Syrie : 416 morts en 5 jours dans la Ghouta orientale

LIRE AUSSI : 
» La Russie ne parvient pas à sortir le Moyen-Orient de l'impasse syrienne 
» La Syrie, théâtre de nouvelles guerres entre puissances régionales 
» la Goutta Orientale - Indigné révolté 
» Accueil -  proche et moyen orient -  la Ghouta orientale cnikos
» La goutta Orientale - citoyenactif
» « Dans la Ghouta » -  citizenkhane  Proche orient  28 février 2018
» l'offensive terrestre contre la Ghouta orientale Enkolo


Tags : La Syrie, Syrie, Irak, Iran, Israel, middle east, proche orient, Syria's Civil War, war conflict, Bachar el-Assad, géopolitique, Hayat Tahrir al-Cham
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#Posté le samedi 24 février 2018 06:27

Modifié le samedi 10 mars 2018 07:03

Persepolis

 
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Les Sarkofiottes - Résistance



 
Théisme, Nationalisme, Capitalisme... Les religions vont bien.
...ni contre l'une ni contre l'autre des religions en particulier, mais contre toutes les religions qui de fait enrégimentent les consciences/vivants dans des idées/relations totalitaires, guerrières et qui laissent perdurer, pour la cause, la soumission/domination et l'exploitation des humains par d'autres.
 
 
J'entends cette liberté de chacun qui, loin de s'arrêter comme devant une borne devant la liberté d'autrui, y trouve au contraire sa confirmation et son extension à l'infini ; 
la liberté illimitée de chacun par la liberté de tous, la liberté par la solidarité, 
la liberté dans l'égalité ;
la liberté triomphante de la force brutale et du principe d'autorité qui ne fut jamais que l'expression idéale de cette force ;
la liberté, qui après avoir renversé toutes les idoles célestes et terrestres, fondera et organisera un monde nouveau, celui de l'humanité solidaire, sur les ruines de toutes les Églises et de tous les États.
Je suis un partisan convaincu de l'égalité économique et sociale, parce que je sais qu'en dehors de cette égalité, la liberté, la justice, la dignité humaine, la moralité et le bien-être des individus aussi bien que la prospérité ne seront jamais rien qu'autant de mensonges.
Mais, partisan quand même de la liberté, cette condition première de l'humanité, je pense que l'égalité doit s'établir dans le monde par l'organisation spontanée du travail et de la propriété collective des associations productrices librement organisées et fédéralisées dans les communes, et par la fédération tout aussi spontanée des communes, mais non par l'action suprême et tutélaire de l'État.
Bakounine

Acclaimed French filmmaker Manon Loizeau gives a unique behind-the-scenes perspective on the people and events involved in the protest movement that sweptIran eight years ago.
Filmed on the streets of Tehran, the documentary charts the growing tensions in the build-up to the presidential elections of June 12, 2009, the rallies and marches that followed the controversial official announcement of the result and the government's subsequent aggressive clampdown on dissidents and protesters.
Loizeau followed a group of young Iranians throughout this extraordinary period and captures why they were so angry and willing to risk everything to bring change and political reform to their country. 
Eight years later, Loizeau tells REWIND the hunger for change cannot be suppressed in the Iranian people. 
"The incredible energy of the new generation is there and it really wants to build a new country. And that's going to be very hard to suppress," she says.
Source: Al Jazeera
Tell us what you think

 
Manon Loizeau, cinéaste française acclamée, donne un point de vue unique en coulisses sur les personnes et les événements impliqués dans les mouvements de protestation qui ont déferlé il y a huit ans.
Tourné dans les rues de Téhéran, le documentaire montre des tensions croissantes à l'approche des élections présidentielles du 12 juin 2009, des rassemblements et des marches qui ont suivi l'annonce officielle controversée du résultat et la répression agressive du gouvernement contre les manifestants dissidents.
Suivie par un groupe de jeunes Iraniens dans cette période extraordinaire et capture pourquoi ils étaient tellement en colère et prêts à tout risquer pour apporter le changement et la réforme politique à leur pays.
Huit ans plus tard, Loizeau dit à REWIND que la faim de changement ne peut être réprimée par le peuple iranien.
«L'énergie incroyable de la nouvelle génération est là et elle veut vraiment construire un nouveau pays et il sera très difficile de le supprimer», dit-elle.
Source: Al Jazeera
Dites-nous ce que vous pensez
 
 

En Egypte, les auteurs de fatwas sous le feu des projecteurs


Lettre de Beyrouth. Un film à succès dénonce l'emprise des prédicateurs islamiques sur la société et leur instrumentalisation par le monde du pouvoir et des médias.
LE MONDE | 10.02.2017
 
Epingler les relations incestueuses du pouvoir, de la religion et des médias n'est pas chose aisée dans l'Egypte d'aujourd'hui. C'est pourtant ce que fait Maoulana (« Notre maître »), un long-métrage sorti début janvier, qui a réussi à se hisser en haut du box-office. Égypte, Mawlana, un film polémique et à succès
 
Allusion transparente à la parenthèse Morsi
 
Dans le film, le jeune prêcheur tourne en dérision certains de ces avis, dans une allusion transparente à la parenthèse Mohamed Morsi. Durant l'année au pouvoir de ce cadre des Frères musulmans, élu à la présidence en 2012 et renversé par l'armée en 2013, les islamistes s'en étaient donnés à c½ur joie.
L'une des fatwas les plus incongrues émises à cette époque qualifiaient les femmes se baignant dans la mer d'adultère, même celles voilées. La raison ? Durant le bain, leurs parties intimes entrent en contact avec les flots, un terme masculin en arabe...
 
 

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Iran 1979: Legacy of a Revolution - Featured Documentary

 
« Religion, pouvoir, argent, un triangle fatal »

 
Persepolis est un long métrage d'animation franco-américano-iranien réalisé par Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi, sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi. Wikipédia
 
 



Persepolis (Bande-annonce) - YouTube


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Persépolis: projection à Montréal le 21 mars 2012 au cinéma Beaubien en soutien avec Nabil Karoui, propriétaire de Nessma Tv qui subira un procès le 19 avril pour avoir projeté ce film sur sa chaîne de télévision.
 
 
La veille, il avait condamné à demi-mot l'attaque chimique du 4 avril contre le village syrien de Khan Cheikhoun.


Elle rappelle aux Iraniens, victimes d'armes chimiques durant des années, les attaques de Sardasht », une ville du nord-ouest de l'Iran, bombardée en 1987 par Saddam Hussein au gaz moutarde, selon Téhéran, au cours des huit années de guerre contre l'Irak, qui avait fait un usage régulier de ces armes.
Peu avant, son ministre des affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, avait cependant fait référence sur Twitter à « des accusations fabriquées d'usage d'armes chimiques ». M. Zarif a employé un ton extrêmement dur à l'intention de l'opinion publique iranienne, alors que l'élection présidentielle du 19 mai approche. Hassan Rohani y brigue un second mandat. Ses adversaires conservateurs ne cessent de le présenter, lui et son équipe, comme des « naïfs », des hommes de dialogue qui ont fait leur temps face à Barack Obama, mais qui ne seraient pas de taille face aux militaires qui entourent Donald Trump.

 
Persepolis est un long métrage d'animation franco-américano-iranien réalisé par Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi, sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi. Wikipédia



 
Avec: Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Danielle Darrieux
Téhéran 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les évènements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la République islamique débute le temps des "commissaires de la révolution" qui contrôlent tenues et comportements. Marjane qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire. Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère. Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger. A Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil et la différence.

Animation - 2007 - France - Français - 95 min.
Persépolis extrait

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n j'irai dormir chez vous Iran Complet-Fr
 


 
L'Iran craint un regain de tension avec les Etats-Unis
Téhéran et la nouvelle administration américaine se jaugent depuis la prise de fonctions de Donald Trump.
LE MONDE | 07.02.2017 


Guerre Iran-Irak - YouTube


Les plus âgés ont connu la guerre Iran-Irak (1980-1988) dont les plaies sont restées ouvertes. Les plus jeunes, eux, n'ont pas oublié l'époque de l'ancien président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad (2005-2013), durant laquelle, en une nuit, le prix du dollar avait triplé, et Israël ne cessait de brandir la menace de frappes préventives sur les installations nucléaires iraniennes. D'où la rapidité avec laquelle les raccourcis sont faits entre un durcissement du discours américain, une possible escalade des tensions et une véritable guerre.
 
La guerre Iran-Irak
 La sale guerre Iran-Irak - Le Monde
Irak les dessous de la guerre du Golf - Documentaire
Guerre du Golfe, autopsie d'un conflit



Les djihadistes de l'Etat islamique (EI) cassent les murs de maisons à Mossoul pour se faufiler de l'une à l'autre, puis demandent à leurs habitants de participer aux frais, rapporte l'AFP.
A 7.000 dinars (environ cinq dollars), le coût est modeste mais une telle exigence est révoltante, dénoncent des habitants de l'ouest de Mossoul, où les djihadistes retranchés se préparent à l'offensive annoncée par les forces de sécurité irakiennes.
» À Mossoul, plongée dans la guerre d'un genre nouveau inventée par Daech
Les trous percés dans les murs mitoyens entre maisons ou immeubles permettent aux djihadistes de passer d'une rue à l'autre sans attirer l'attention des avions ou des drones de l'armée irakienne et de la coalition internationale.
La grande peur des habitants est d'être utilisés comme boucliers humains par l'EI. 
» À Mossoul, avec les forces spéciales françaises
 
Iran, une puissance dévoilée (English subtitles)


(doc - complet) L' Iran, La dernière croisade de Bush

 
L'Iran, notre nouvel ami ? (Un ½il sur la planète #47)

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Depuis une semaine, Washington et Téhéran échangent des philippiques qui marquent un net refroidissement des relations bilatérales, après un timide dégel consécutif à l'accord sur le nucléaire iranien, en 2015.



Un nouveau train de sanctions


C'est un duel d'hubris, un affrontement pour l'heure rhétorique, mais dont certains s'inquiètent qu'il ne puisse glisser à terme sur le terrain militaire. Depuis une semaine, les couteaux sont tirés entre le gouvernement Trump et le régime iranien. CNNEn réponse au tir de missile balistique effectué le 29 janvier par Téhéran, jugé « inacceptable » à Washington, les autorités américaines ont durci le ton et pris vendredi une nouvelle série de sanctions financières à l'égard de la République islamique. Politico, The Christian Science MonitorSignalant un changement de cap majeur par rapport à l'ère Obama, marquée par une tentative de rapprochement, le nouveau secrétaire à la défense, James Mattis, a déclaré que l'Iran était « le plus grand Etat soutenant le terrorisme au monde »

Pourquoi l'Iran fait peur aux Saouds?
 
 

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Iran : Cri d'un peuple indigné



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Tags : Persepolis, film, iran, Daech, l'Etat islamique, (EI), La guerre Iran-Irak, KHOMEINY, reportage, la révolution Islamique, une puissance dévoilée, documentaire, notre nouvel ami ?, La dernière croisade de Bush, Irak les dessous de la guerre du Golf -, Irak, L'Ombre de la Guerre, Iran, Cri d'un peuple indigné, docmuentaire, livre
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#Posté le dimanche 05 février 2017 09:39

Modifié le mardi 03 novembre 2020 06:59

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