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la Goutta Orientale

n
Nicolas Hernandez Cointot " Pas de paix sans justice.... !!! Cette guerre est de plus en plus complexe et meurtrière entre les différents fronts nationaux, régionaux et internationaux, les jeux d'alliance..... J'ai l'impression de revoir toujours les mêmes scènes, commentaires après Alep etc... ( impuissance des pays occidentaux, cynisme de la Russie, Turquie et de l'Iran : les pompiers pyromanes ), des jeux d'alliances qui se font et se défont....... La plus grave crise humanitaire depuis la seconde guerre mondiale"

Ghouta : massacre à l'arme chimique en Syrie Des femmes, des hommes, des enfants ont péri tôt ce matin, parfois dans leur lit, après une attaque massive à l'arme chimique,menée par l'armée d'Assad, à l'est de la capitale syrienne.
 

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Massacre Chimique Ghouta Syrie 21 8 2013 - YouTube


Victimes des bombardements depuis plusieurs jours, les habitants de la Ghouta orientale, cette enclave rebelle près de la capitale syrienne, vivent dans la terreur, cloitrés dans des sous-sols et des abris.



Depuis dimanche 18 février, contre cette enclave, où vivent encore 400.000 personnes, 296 civils, dont 71 enfants et 42 femmes, ont trouvé la mort, et plus de 1400 personnes ont été blessées  rapporte l'OSD  Des hélicoptères des forces loyalistes ont tiré des roquettes et largué des barils d'explosifs sur les villes et villages de cette région rebelle assiégée,. Ilsont été tués dans des bombardements de l'aviation syrienne dans l'enclave rebelle de la Ghouta orientale, près de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme. L'ONU a décrit une situation humanitaire “hors de contrôle” et a appelé à l'arrêt immédiat des frappes.  Les récits qui émergent de cet enfer sont à glacer le sang. Des femmes enceintes sont extirpées des décombres. Des corps d'enfants sont transportés dans les morgues. Dans les hôpitaux, d'autres enfants en pleurs cherchent leurs parents. Et d'autres parents effarés se précipitent en quête de leur ... 

 
Syrie. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est déclaré mardi «profondément inquiet» devant l'escalade de la violence dans la Ghouta orientale, enclave rebelle de Syrie qui subit des bombardements meurtriers des forces gouvernementales. Des frappes aériennes syriennes et russes sur l'enclave rebelle proche de Damas .  Dans la Ghouta orientale, à l'est de Damas, les quelque 400 000 habitants restés sur place sont bombardés quotidiennement par le régime d'Al-Assad. 500 personnes ont été tuées depuis dimanche.
 

 
les «tactiques» du président syrien Bashar al-Assad consistant à «assiéger et affamer».


Dans la Ghouta orientale, les hôpitaux ciblés de façon « systématique »
 
EN IMAGES
 
Depuis dimanche 18 février, 22 centres médicaux de la Ghouta orientale, dernière poche de résistance anti-Assad de la région de Damas, ont été bombardés. Un ciblage « systématique », selon plusieurs ONG.
La Société américano-syrienne d'aide médicale (SAMS), présente sur le terrain dans la Ghouta orientale, a fourni à plusieurs médias, dont Le Monde, des images de ces établissements après les bombardements. Selon Mohamad Katoub, manageur à SAMS Beyrouth, cette tactique du gouvernement a pour but de venir à bout de la résilience de la population : « Personne ne veut vivre dans un endroit où, si vous êtes blessé, il n'y a plus de médecins pour vous soigner. » LE MONDE

 
«un cataclysme humanitaire»
 
«La situation en Syrie se dégrade considérablement» et «s'il n'y a pas d'élément nouveau, nous allons vers un cataclysme humanitaire», a déclaré mardi le chef de la diplomatie française, Jean-Yves le Drian. S'adressant au Parlement, il a ajouté: «Il y a une urgence absolue sur ce sujet (...) C'est la raison pour laquelle, à la demande du président de la République, je me rendrai dans les jours qui viennent à Moscou et à Téhéran», soutiens du régime du président Bachar al-Assad. 
 
Syrie : « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica », « le massacre du XXIe siècle »
Tandis que la Ghouta orientale n'en finit pas de compter ses morts et ses blessés, sur cette enclave de la périphérie de Damas où sont assiégés, depuis 2013, quelque 400 000 habitants, la paralysie de la communauté internationale, qui ne parvient pas à adopter une position commune contre les massacres, faisait réagir la presse internationale.


Une paralysie que dénonce le quotidien britannique The Guardian, dans une tribune intitulée « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica, et nous détournons le regard une fois encore ». Consacrant sa « une » au sujet, le quotidien dresse un parallèle avec le siège de l'enclave de Srebrenica, durant la guerre de Bosnie, en juillet 1995, qui avait conduit au massacre de plus de 8 000 hommes et adolescents, sous les yeux d'une communauté internationale qui avait « détourné le regard ».
 
« Le Srebrenica syrien »
« Avec chaque enfant qui meurt, chaque acte de barbarie qui reste impuni, la Ghouta orientale ressemble de plus en plus à ce que Kofi Annan avait appelé un jour le pire crime jamais perpétré en Europe depuis 1945. La Ghouta orientale est en train de devenir le Srebrenica syrien », alerte le journaliste Simon Tisdall :
« A Srebrenica, quelque 8 000 hommes et adolescents musulmans furent massacrés en quelques jours. (...) Le tribunal pénal pour l'ex-Yougoslavie a plus tard déclaré que ces crimes constituaient un génocide. (...) La communauté internationale savait pourtant très bien ce que le général Radko Mladic [commandant en chef de l'armée de la République serbe de Bosnie] était en train de faire, et qu'un massacre était imminent. Elle a détourné le regard. L'agonie de la Ghouta orientale (...) est plus lente mais ignorée de la même façon. Encore une fois, des civils, dont de nombreux enfants, sont massacrés. Encore une fois, les pouvoirs occidentaux, avec des forces présentes dans le pays, refusent d'intervenir. Encore une fois, les Nations unies sont impuissantes. »
 
« Au moins, la communauté internationale avait mis fin au conflit en Bosnie au bout de quatre ans. Mais après sept ans de conflit sanglant, le conflit syrien continue. Et l'échec à y mettre fin signe la faillite de la diplomatie internationale. »Lire aussi :   En Syrie, tragédie humanitaire dans la Ghouta orientale
 
« Le massacre du XXIe siècle »
« Un massacre. Comment appeler autrement ce qu'il se passe dans la Ghouta, cette zone naguère agricole, ancien poumon vert de Damas, transformée ces derniers jours en enfer sur terre ? »,s'alarme également le quotidien belge Le Soir, dans un article intitulé « Le massacre du XXIe siècle se déroule à un jet de pierre de Damas ».


« Ce régime et ses alliés reproduisent là les crimes dont ils s'étaient rendus coupables à Alep et cette sauvagerie est si atroce qu'on voudrait presque que ses auteurs l'emportent au plus vite, que ces monstres gagnent au plus vite, pour que cela cesse mais non, rien ne cessera », dénonce aussi le chroniqueur géopolitique Bernard Guetta, sur France Inter mercredi matin.
 
Lire aussi :   Syrie : dans la Ghouta orientale, chronologie d'un désastre humanitaire
 
« On veut terroriser la population, l'obliger à fuir »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/02/21/syrie-la-ghouta-orientale-est-un-autre-srebrenica-le-massacre-du-xxie-siecle_5260362_1618247.html#TMjHi1CVps5trRl4.99
Syrie : « La Ghouta orientale est un autre Srebrenica », « le massacre du XXIe siècle »


Dans la Ghouta orientale assiégée, des habitants racontent leur calvaire sur les réseaux sociaux
Alors qu'en cinq jours plus de 400 civils syriens sont morts, des comptes relaient sur Twitter, Facebook ou YouTube des témoignages de celles et ceux qui tentent de survivre.

des raids aériens du régime syrien visant la Ghouta orientale, un fief rebelle à l'est de Damas, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
A Douma, grande ville de la Ghouta, 12 civils ont péri dans ces frappes, a précisé l'Observatoire, alors que le bastion rebelle est depuis dimanche dernier la cible d'une opération militaire d'envergure ayant fait des centaines de morts.
 

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Syrie : l'interminable supplice de la Ghouta orientale


« C'est bien de mourir dans de beaux habits »
A Douma, la localité principale de l'enclave, le photographe et activiste Firas Abdullah rend compte sur sa page Facebook par des vidéos régulières, commentées en anglais, du cataclysme qui s'abat sur la ville.
D'heure en heure, ses publications retracent les frappes aériennes, les lâchers de bombes barils par des hélicoptères du régime. Une manière de faire prendre au monde extérieur la mesure de la destruction systématique de l'enclave. Mais aussi d'informer ceux qui sont abonnés à sa page qu'il est toujours en vie.
Nivin Hotary, une habitante de la Ghouta orientale, publie elle aussi régulièrement sur sa page Facebook des textes plus longs où, au-delà du décompte des morts et du signalement des frappes, elle raconte le quotidien dans l'enclave assiégée. Jeudi, elle évoquait l'existence de nombreux habitants de la Ghouta orientale reclus dans des caves d'immeuble pour échapper aux bombardements :

« Prisonniers dans les caves (...), nous ne pouvons pas dormir. Toutes les dix minutes, un missile d'artillerie explose pour assurer à ceux qui bombardent que personne ne dormira. Cela, bien sûr, c'est seulement quand les pilotes prennent leur pause (...).  Prisonniers, nous passons nos jours et nos nuits dans les mêmes vêtements, ceux que nous portons pour sortir (...). C'est bien de mourir dans de beaux habits. » Lire aussi :   « La Syrie, réceptacle des infinies complexités du Moyen-Orient »

Clichés insoutenables
Les soignants sont en première ligne, face à la douleur et à la mort dans la Ghouta orientale, pour tenter de sauver ceux qui peuvent l'être, tout en faisant face à de graves pénuries de fournitures, d'équipements, de médicaments. Les hôpitaux sont pris pour cible par les frappes du régime, et c'est dans des conditions de plus en plus dégradées qu'ils continuent d'exercer.


Sur sa page Facebook, le médecin Housam Adnan, qui se trouve à Douma, publie des photographies de ceux qu'il s'évertue à soigner. Corps aux membres arrachés, patients gravement blessés, et aussi le regard épouvanté d'une petite fille, yeux trop grands pour un corps trop maigre, ravagé par la faim.
 
Le 21 février, il a publié, avec deux clichés insoutenables, un long poème dont les vers racontent l'horreur de la Ghouta :
« Des enfants sans membres, sans yeux, sans visage. (...) L'odeur de la poudre à canon et sa couleur noire dégoûtante plane sur ces visages affamés et flétris. Les cris des enfants, les lamentations des femmes, l'oppression des hommes, l'impuissance des médecins atteignaient mon scalpel (...).Aujourd'hui, tous ceux qui nous viennent sont ces corps maigres qui ont manqué de nourriture pendant des jours, enterrés avec leurs enfants sous les décombres de ces barils qui ne distinguent pas la pierre de l'homme. »
 

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Ghouta orientale : "la population civile est l'otage des belligérants"
 
Les civils ont le choix entre mourir sous le feu du régime et supplétif de Damas ou de la famine, ou partir pour et se retrouver de nouveau sous les balles des belligérants.... Il n'y a aucun endroit sur pour la population civile


La Ghouta orientale, au c½ur du conflit syrien
Ancien « poumon vert » de Damas, situé à l'est de la capitale de la Syrie, la Ghouta orientale est un fief rebelle qui fait, depuis 2013, l'objet de bombardements quasi quotidiens.
Cette année-là, le conflit prend un nouveau tournant dans la zone avec des attaques chimiques dans les alentours de Damas ; en mai, les journalistes du Monde sur place sont les premiers à être témoins d'attaques chimiques lancées à l'entrée de la capitale durant plusieurs jours. Mais c'est surtout lors d'un massacre durant la nuit du 21 août de la même année que ces armes sont utilisées massivement.
A partir de 2015, des dizaines de civils sont affectées par les pénuries de nourriture et de médicaments.
Depuis l'été 2017, la région est censée être une des « zones de désescalade » créées en vertu d'un accord entre la Russie, l'Iran — principaux soutiens du régime — et la Turquie, qui appuie l'opposition. Mais les bombardements n'ont jamais cessé. Le 5 février, le régime lance une offensive aérienne d'une intensité inédite.
 
Des combats opposent depuis plusieurs jours en Syrie d'importants groupes rebelles aux jihadistes d'Idleb, dans le nord-ouest du pays en guerre, où cinq civils ont été tués samedi, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
 
La province d'Idleb est dans sa grande majorité contrôlée par l'organisation jihadiste Hayat Tahrir al-Cham, dominée par l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, mais d'importants groupes rebelles islamistes maintiennent leur présence dans le secteur.
 
"C'est une guerre pour élimination" des jihadistes, a indiqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, précisant que l'offensive avait été lancée mardi par les deux importants mouvements rebelles islamistes Ahrar al-Cham et Noureddine al-Zinki.
 
LIRE AUSSI - Syrie : l'ultime bataille est lancée à Idlib
Les deux factions, présentes à la frontière des provinces syriennes d'Idleb et d'Alep, ont annoncé leur fusion le 18 février, sous le nom de Front syrien de libération.
Les combats se déroulent un peu partout dans la province d'Idleb, selon M. Abdel Rahmane, notamment dans le nord, l'est, et le sud de la région.
"Cinq civils ont été tués samedi dans les combats", a-t-il précisé, ajoutant que depuis le début de son offensive, le Front syrien de libération a pu conquérir "26 cités et localités" d'Idleb.
 

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Syrie : la guerre mondiale #cdanslair 22.02.2018

 
Déclenché en 2011, le conflit en Syrie s'est complexifié au fil des ans avec l'implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire de plus en plus morcelé.
Il a fait plus de 340.000 morts et des millions de déplacés et réfugiés.
Soutenu par l'allié russe, le régime de Bachar al-Assad a lancé fin décembre une offensive pour reconquérir le sud-est de la province d'Idleb, la dernière dans le pays qui échappe entièrement à son contrôle.
Sa progression lui a notamment permis de remettre le pied dans la province, avec la reconquête d'un aéroport militaire stratégique.


la Goutta Orientale
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/syrie/article/2018/02/23/dans-la-ghouta-orientale-assiegee-des-habitants-racontent-leur-calvaire-sur-les-reseaux-sociaux_5261822_1618247.html#ZttDzGKbOklHBIo6.99



LIRE AUSSI :
» Syrie : un vote attendu à l'ONU pour obtenir une trêve dans la Ghouta
» Syrie : pour l'ONU, la Ghouta est devenue «l'enfer sur Terre»

21 février 2018 la Ghouta orientale

» LIRE AUSSI : Syrie : 416 morts en 5 jours dans la Ghouta orientale

LIRE AUSSI : 
» La Russie ne parvient pas à sortir le Moyen-Orient de l'impasse syrienne 
» La Syrie, théâtre de nouvelles guerres entre puissances régionales 
» la Goutta Orientale - Indigné révolté 
» Accueil -  proche et moyen orient -  la Ghouta orientale cnikos
» La goutta Orientale - citoyenactif
» « Dans la Ghouta » -  citizenkhane  Proche orient  28 février 2018
» l'offensive terrestre contre la Ghouta orientale Enkolo


Tags : La Syrie, Syrie, Irak, Iran, Israel, middle east, proche orient, Syria's Civil War, war conflict, Bachar el-Assad, géopolitique, Hayat Tahrir al-Cham
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#Posté le samedi 24 février 2018 06:27

Modifié le samedi 10 mars 2018 07:03

Persepolis

 
n


 

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Les Sarkofiottes - Résistance



 
Théisme, Nationalisme, Capitalisme... Les religions vont bien.
...ni contre l'une ni contre l'autre des religions en particulier, mais contre toutes les religions qui de fait enrégimentent les consciences/vivants dans des idées/relations totalitaires, guerrières et qui laissent perdurer, pour la cause, la soumission/domination et l'exploitation des humains par d'autres.
 
 
J'entends cette liberté de chacun qui, loin de s'arrêter comme devant une borne devant la liberté d'autrui, y trouve au contraire sa confirmation et son extension à l'infini ; 
la liberté illimitée de chacun par la liberté de tous, la liberté par la solidarité, 
la liberté dans l'égalité ;
la liberté triomphante de la force brutale et du principe d'autorité qui ne fut jamais que l'expression idéale de cette force ;
la liberté, qui après avoir renversé toutes les idoles célestes et terrestres, fondera et organisera un monde nouveau, celui de l'humanité solidaire, sur les ruines de toutes les Églises et de tous les États.
Je suis un partisan convaincu de l'égalité économique et sociale, parce que je sais qu'en dehors de cette égalité, la liberté, la justice, la dignité humaine, la moralité et le bien-être des individus aussi bien que la prospérité ne seront jamais rien qu'autant de mensonges.
Mais, partisan quand même de la liberté, cette condition première de l'humanité, je pense que l'égalité doit s'établir dans le monde par l'organisation spontanée du travail et de la propriété collective des associations productrices librement organisées et fédéralisées dans les communes, et par la fédération tout aussi spontanée des communes, mais non par l'action suprême et tutélaire de l'État.
Bakounine

Acclaimed French filmmaker Manon Loizeau gives a unique behind-the-scenes perspective on the people and events involved in the protest movement that sweptIran eight years ago.
Filmed on the streets of Tehran, the documentary charts the growing tensions in the build-up to the presidential elections of June 12, 2009, the rallies and marches that followed the controversial official announcement of the result and the government's subsequent aggressive clampdown on dissidents and protesters.
Loizeau followed a group of young Iranians throughout this extraordinary period and captures why they were so angry and willing to risk everything to bring change and political reform to their country. 
Eight years later, Loizeau tells REWIND the hunger for change cannot be suppressed in the Iranian people. 
"The incredible energy of the new generation is there and it really wants to build a new country. And that's going to be very hard to suppress," she says.
Source: Al Jazeera
Tell us what you think

 
Manon Loizeau, cinéaste française acclamée, donne un point de vue unique en coulisses sur les personnes et les événements impliqués dans les mouvements de protestation qui ont déferlé il y a huit ans.
Tourné dans les rues de Téhéran, le documentaire montre des tensions croissantes à l'approche des élections présidentielles du 12 juin 2009, des rassemblements et des marches qui ont suivi l'annonce officielle controversée du résultat et la répression agressive du gouvernement contre les manifestants dissidents.
Suivie par un groupe de jeunes Iraniens dans cette période extraordinaire et capture pourquoi ils étaient tellement en colère et prêts à tout risquer pour apporter le changement et la réforme politique à leur pays.
Huit ans plus tard, Loizeau dit à REWIND que la faim de changement ne peut être réprimée par le peuple iranien.
«L'énergie incroyable de la nouvelle génération est là et elle veut vraiment construire un nouveau pays et il sera très difficile de le supprimer», dit-elle.
Source: Al Jazeera
Dites-nous ce que vous pensez
 
 

En Egypte, les auteurs de fatwas sous le feu des projecteurs


Lettre de Beyrouth. Un film à succès dénonce l'emprise des prédicateurs islamiques sur la société et leur instrumentalisation par le monde du pouvoir et des médias.
LE MONDE | 10.02.2017
 
Epingler les relations incestueuses du pouvoir, de la religion et des médias n'est pas chose aisée dans l'Egypte d'aujourd'hui. C'est pourtant ce que fait Maoulana (« Notre maître »), un long-métrage sorti début janvier, qui a réussi à se hisser en haut du box-office. Égypte, Mawlana, un film polémique et à succès
 
Allusion transparente à la parenthèse Morsi
 
Dans le film, le jeune prêcheur tourne en dérision certains de ces avis, dans une allusion transparente à la parenthèse Mohamed Morsi. Durant l'année au pouvoir de ce cadre des Frères musulmans, élu à la présidence en 2012 et renversé par l'armée en 2013, les islamistes s'en étaient donnés à c½ur joie.
L'une des fatwas les plus incongrues émises à cette époque qualifiaient les femmes se baignant dans la mer d'adultère, même celles voilées. La raison ? Durant le bain, leurs parties intimes entrent en contact avec les flots, un terme masculin en arabe...
 
 

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Iran 1979: Legacy of a Revolution - Featured Documentary

 
« Religion, pouvoir, argent, un triangle fatal »

 
Persepolis est un long métrage d'animation franco-américano-iranien réalisé par Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi, sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi. Wikipédia
 
 



Persepolis (Bande-annonce) - YouTube


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Persépolis: projection à Montréal le 21 mars 2012 au cinéma Beaubien en soutien avec Nabil Karoui, propriétaire de Nessma Tv qui subira un procès le 19 avril pour avoir projeté ce film sur sa chaîne de télévision.
 
 
La veille, il avait condamné à demi-mot l'attaque chimique du 4 avril contre le village syrien de Khan Cheikhoun.


Elle rappelle aux Iraniens, victimes d'armes chimiques durant des années, les attaques de Sardasht », une ville du nord-ouest de l'Iran, bombardée en 1987 par Saddam Hussein au gaz moutarde, selon Téhéran, au cours des huit années de guerre contre l'Irak, qui avait fait un usage régulier de ces armes.
Peu avant, son ministre des affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, avait cependant fait référence sur Twitter à « des accusations fabriquées d'usage d'armes chimiques ». M. Zarif a employé un ton extrêmement dur à l'intention de l'opinion publique iranienne, alors que l'élection présidentielle du 19 mai approche. Hassan Rohani y brigue un second mandat. Ses adversaires conservateurs ne cessent de le présenter, lui et son équipe, comme des « naïfs », des hommes de dialogue qui ont fait leur temps face à Barack Obama, mais qui ne seraient pas de taille face aux militaires qui entourent Donald Trump.

 
Persepolis est un long métrage d'animation franco-américano-iranien réalisé par Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi, sorti en France le 27 juin 2007. Le film s'inspire de Persepolis, la bande dessinée autobiographique de Marjane Satrapi. Wikipédia



 
Avec: Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Danielle Darrieux
Téhéran 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les évènements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la République islamique débute le temps des "commissaires de la révolution" qui contrôlent tenues et comportements. Marjane qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire. Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère. Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger. A Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil et la différence.

Animation - 2007 - France - Français - 95 min.
Persépolis extrait

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n j'irai dormir chez vous Iran Complet-Fr
 


 
L'Iran craint un regain de tension avec les Etats-Unis
Téhéran et la nouvelle administration américaine se jaugent depuis la prise de fonctions de Donald Trump.
LE MONDE | 07.02.2017 


Guerre Iran-Irak - YouTube


Les plus âgés ont connu la guerre Iran-Irak (1980-1988) dont les plaies sont restées ouvertes. Les plus jeunes, eux, n'ont pas oublié l'époque de l'ancien président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad (2005-2013), durant laquelle, en une nuit, le prix du dollar avait triplé, et Israël ne cessait de brandir la menace de frappes préventives sur les installations nucléaires iraniennes. D'où la rapidité avec laquelle les raccourcis sont faits entre un durcissement du discours américain, une possible escalade des tensions et une véritable guerre.
 
La guerre Iran-Irak
 La sale guerre Iran-Irak - Le Monde
Irak les dessous de la guerre du Golf - Documentaire
Guerre du Golfe, autopsie d'un conflit



Les djihadistes de l'Etat islamique (EI) cassent les murs de maisons à Mossoul pour se faufiler de l'une à l'autre, puis demandent à leurs habitants de participer aux frais, rapporte l'AFP.
A 7.000 dinars (environ cinq dollars), le coût est modeste mais une telle exigence est révoltante, dénoncent des habitants de l'ouest de Mossoul, où les djihadistes retranchés se préparent à l'offensive annoncée par les forces de sécurité irakiennes.
» À Mossoul, plongée dans la guerre d'un genre nouveau inventée par Daech
Les trous percés dans les murs mitoyens entre maisons ou immeubles permettent aux djihadistes de passer d'une rue à l'autre sans attirer l'attention des avions ou des drones de l'armée irakienne et de la coalition internationale.
La grande peur des habitants est d'être utilisés comme boucliers humains par l'EI. 
» À Mossoul, avec les forces spéciales françaises
 
Iran, une puissance dévoilée (English subtitles)


(doc - complet) L' Iran, La dernière croisade de Bush

 
L'Iran, notre nouvel ami ? (Un ½il sur la planète #47)

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Depuis une semaine, Washington et Téhéran échangent des philippiques qui marquent un net refroidissement des relations bilatérales, après un timide dégel consécutif à l'accord sur le nucléaire iranien, en 2015.



Un nouveau train de sanctions


C'est un duel d'hubris, un affrontement pour l'heure rhétorique, mais dont certains s'inquiètent qu'il ne puisse glisser à terme sur le terrain militaire. Depuis une semaine, les couteaux sont tirés entre le gouvernement Trump et le régime iranien. CNNEn réponse au tir de missile balistique effectué le 29 janvier par Téhéran, jugé « inacceptable » à Washington, les autorités américaines ont durci le ton et pris vendredi une nouvelle série de sanctions financières à l'égard de la République islamique. Politico, The Christian Science MonitorSignalant un changement de cap majeur par rapport à l'ère Obama, marquée par une tentative de rapprochement, le nouveau secrétaire à la défense, James Mattis, a déclaré que l'Iran était « le plus grand Etat soutenant le terrorisme au monde »

Pourquoi l'Iran fait peur aux Saouds?
 
 

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Iran : Cri d'un peuple indigné



Irak, L'Ombre de la Guerre
 
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NOUVELLES D'IRANIran : Mahmoud Ahmadinejad amorce la campagne électorale de son ami Hamid BaghaieUN OEIL SUR LA SYRIESyrie, « Nous l'avons tant aimé la révolution »NOUVELLES D'IRANIran : dans une région défavorisée, candidatures 100 % féminines pour le conseil de villageUN OEIL SUR LA SYRIEHistoire(s) de Daraya : 2001-2016 (8)
 

Théisme, Nationalisme, Capitalisme... Les religions vont bien.
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La fabrique de la désinformation
Créé le mardi 24 janvier 2017 

Persepolis Par Enkolo dans Accueil le 5 Février 2017
La révolution islamique 
Documentaire - Qu'est ce que le Chiisme ?, révolution islamique iranienne part1, part2, Imam Khomeyni - Biographie (1/9) (sous titré FR)
 
Iran : Cri d'un peuple indigné 
Par Enkolo dans Accueil le 5 Novembre 2017

31 décembre 2017 What triggered Iran's protests?
Iran : Cri d'un peuple indigné : citoyen actif, Persepolis : citoyen actif, Le mal-être à l'adolescence : citoyen actif, 
Accueil proche et moyen orient - What triggered Iran's protests?  - cnikos 
Persepolis - Indigné révolté


Tags : Persepolis, film, iran, Daech, l'Etat islamique, (EI), La guerre Iran-Irak, KHOMEINY, reportage, la révolution Islamique, une puissance dévoilée, documentaire, notre nouvel ami ?, La dernière croisade de Bush, Irak les dessous de la guerre du Golf -, Irak, L'Ombre de la Guerre, Iran, Cri d'un peuple indigné, docmuentaire, livre
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#Posté le dimanche 05 février 2017 09:39

Modifié le mardi 03 novembre 2020 06:59

NON A L INTERVENTION !


 
 

 n
 
Flores Magon

Nous n'admettons pas même comme transition révolutionnaire, ni les Conventions nationales, ni les Assemblées constituante, ni les gouvernements provisoires, ni les dictatures soi-disant révolutionnaires ; pire que nous sommes convaincus que la révolution [...] lorsqu'elle se trouve concentrée entre les mains de quelques individus gouvernants, devient inévitablement et immédiatement la réaction.


Bakounine
 
Le gouvernement - il est bon de le répéter - c'est l'ensemble des individus qui ont reçu ou qui se sont donnés le droit et les moyens de faire les lois et de forcer les gens à obéir
Malatesta
http://fr.wikisource.org/wiki/L'Anarchie_%28Malatesta%29

NON A L INTERVENTION !


El Comunero (chants de lutte de la republique espagnole)
 

Ce soir EL COMUNERO en concert à Fos (31) pour le festival "sortie de l'eau"... VIENS ! ! !

 


L'Algérie en quelques chiffres :

De 1962 a 1978, l'Algérie a engrangé 22 milliards de dollars.
De 1979 à 1991 ce fut près de 100 milliards de dollars.
De 1992 a 1998, c'est 150 milliards de dollars, enfin pour la période 1999 a 2011, l'Algérie a engrangé 545 milliards de dollars.
Qu'avons-nous fait de cette manne ?



 
   
 Christophe Bxn a partagé la photo de Aymeric D. Luffy.
 
NON A L INTERVENTION !
 
La Syrie, la Syrie, la Syrie... Tout l'échiquier politique ne nous parle plus que de ça. Alors, parlons en.

Les va-t'en-guerre déjà, humanistes épris de justice qui nous refont le coup de l'intervention amicale ou néoconservateurs voulant ex...porter la démocratie parlementaire. C'est vrai que ça a tellement bien marché en Afghanistan, en Irak ou au Mali, pour ne citer que les derniers exemples! Honte à ces gens qui justifient les massacres et les pillages de demain au prétexte d'un devoir supposé d'ingérence, d'une fonction de "gendarmes du monde" qu'on conteste à l'impérialisme US pour tenter de la récupérer. Honte à ces pays qui ont armé des dictatures compradores, qui ont fabriqué, vendu et utilisé plus d'armes chimiques que n'importe quelle autre nation au monde, dévastant le Moyen Orient et l'Asie du Sud-Est. Les centaines de milliers de morts au Vietnam, au Laos, en Palestine et ailleurs ne sont ni oubliés, ni pardonnés.
 
]Alors que David Cameron vient d'abandonner sa proposition d'armer les rebelles syriens, le Royaume-Uni a-t-il livré des composants permettant de fabriquer des armes chimiques au régime de Bachar el-Assad Un rapport parlementaire révèle l'exportation par le pays de 12,3 milliards de livres (14 milliards d'euros) d'armement à 25 nations figurant sur sa propre liste de régimes sensibles.
 
[c=black]Selon le comité de contrôle des exportations d'armes de la Chambre des communes, du fluorure de sodium, qui peut servir à la fabrication d'armes chimiques, a été exporté vers la Syrie ces deux dernières années. source : le Figarodu 18/07/2013
 
documentaire e.a.d.s. business armes morts et ... - Dailymotion : 

 
 

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Le Dessous Des Cartes La Syrie - YouTube : 

 

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[ 
[c=black]L'ami russe
 
 
Moscou entretient son influence historique sur le régime d'Assad - Georges Malbrunot -  le 04/09/2013 à 23:08

Quitte à dégrader son image dans les opinions publiques, Moscou a maintenu ses livraisons d'armes à Damas, tout au long de la révolte.
 
«Regardez une carte, lançait il y a quelques mois un diplomate russe de haut rang. Nous avons perdu l'Irak en 2003. Que nous reste-t-il dans le monde arabe? L'Algérie et la Syrie.» Ce n'est donc pas demain que Moscou devrait lâcher son allié Bachar el-Assad, sous la menace de frappes militaires américaines.
Protection des minorités, notamment chrétiennes, attachement à la laïcité du régime, les vecteurs d'influence russe en Syrie sont nombreux. Mais le plus important d'entre eux est l'appui fourni à l'armée depuis le début des années 1950, celle-là même qui réprime l'opposition depuis deux ans.
 
«Des générations d'officiers syriens ont été formées par Moscou, ils parlent russe et pas français», se rappelle un ancien attaché de la défense à Damas. Une armée syrienne dans laquelle la pénétration occidentale est de ce fait très réduite. Ce qui explique, en partie, les difficultés des Occidentaux à y favoriser des défections d'officiers de haut rang.
 
Le maintien de ces forces - et, au-delà, d'un État solide - est un des principaux objectifs de Moscou dans la crise. Seule une armée forte, prévient la Russie, pourra garantir l'intégrité de la Syrie dans un contexte d'extrême chaos qui régnerait en cas de chute brutale du régime. Les Russes veulent éviter à tout prix le scénario irakien de 2003, où la débaassification à outrance exigée par les États-Unis a nourri la violence et un terrorisme islamiste qui a fait tâche d'huile chez son voisin syrien.
 
Quitte à dégrader son image dans les opinions publiques, Moscou a maintenu ses livraisons d'armes à Damas, tout au long de la révolte. Parmi les dernières en date, des missiles antinavire supersonique Yakhont, dont Israël a détruit début juillet un dépôt près de Lattaquié. Un peu plus au nord, à Kessab exactement, la Russie a implanté l'an dernier une station radar pour «écouter» les installations voisines de l'Otan en Turquie.
 
L'appui russe est crucial en matière de défense antiaérienne avec la présence de nombreux instructeurs pour former les servants de nouveaux systèmes missiles Buk-M2 et Pantsir S1 livrés à Damas. En cas d'intervention extérieure, le risque de perte pour ces conseillers n'est pas à exclure. Au total, plus de mille conseillers militaires russes sont en Syrie, notamment à la base navale de Tartous, ultime base russe en Méditerranée. On estime à plus de 150 000 le nombre de Syriens ayant des liens avec la Russie, dont quelque 55 000 binationaux, essentiellement issus de mariages mixtes.
 
Quelle prise ont-ils sur leur allié? «Les Russes font passer des messages à Assad, observe le diplomate, mais il peut très bien leur répondre “Écoutez, j'ai les Iraniens qui me soutiennent et eux me disent de ne pas faire ce que vous me conseillez.”»
 
Moscou détient également de puissants leviers économiques vis-à-vis de Damas. Ces deux dernières années, la Russie a beaucoup ½uvré pour éviter une asphyxie de l'économie syrienne sanctionnée par l'Union européenne. En août 2012, un accord de livraison d'essence russe a été conclu en échange du pétrole brut syrien. Et un mois plus tard, Moscou aurait livré quelque 240 tonnes de billets à Damas, qui ne pouvait plus s'approvisionner chez son fournisseur autrichien en raison de l'embargo européen sur le papier-monnaie.
 
De longs mois durant, Paris jurait que «bientôt» Damas ne pourrait plus payer ses achats d'armes à Moscou. «Détrompez-vous, la Syrie n'a jamais vraiment payé ses fournitures d'armes à Moscou», répond un bon connaisseur du dossier.
 
Alors que les bruits de bottes se font pressants, certaines sources proches de Damas assurent que les Russes auraient indiqué à leur allié les cibles que les Américains comptaient frapper. Les dernières déclarations de Poutine, qui a également suspendu de nouvelles livraisons de composants du système antimissile S-300 à Damas, annoncent-elles un revirement russe? À plusieurs reprises, Moscou a déjà répété que le sort de Bachar el-Assad n'était pas «sacré» mais qu'il appartenait aux Syriens eux-mêmes de trancher.


Lord of War - TagTélé : Lord of War est un film américain écrit et réalisé par Andrew Niccol sur le trafic d'armes, sorti en 2005. Wikipédia ; Lord of War (Jared Leto) - YouTube :
 


Honte aussi aux nationalistes qui se découvrent bon compte une sensibilité antii-impérialiste! Mention spéciale aux néofascistes italiens de Casapound, qui oublient un peu vite les massacres en Éthiopie, les guerres et les crimes du régime de Mussolini. Dans les années 60 et 40, ces sous-merdes ont activement collaboré avec les réseaux terroristes stay-behind de l'OTAN pour réprimer les mouvements populaires. Et les voilà en défenseurs de la paix dans le monde. Gageons que si des troupes sont envoyées sur place, ils changeront encore de discours et soutiendrons "leurs" soldats! Mais n'oublions pas que nous avons les mêmes en France, toujours prêts à demander plus d'armes et plus de soldats, comme le Front National. Leur projet impérialiste agressif est le même que celui du "système" qu'ils prétendent combattre, leur souverainisme affiché n'est rien d'autres qu'une restructuration de la domination néocoloniale. Ces ennemis de classe font le jeu des marchands de canon, Dassault et consorts en tête.

Honte enfin à tous ces "progressistes" qui se jettent dans les bras de Bachar el-Assad sans retenue, qui se cherchent constamment un modèle à l'étranger, ne voyant pas la complexité des rapports de force. Ces enfants de la période Brejnev ne voient qu'un impérialisme, et c'est l'OTAN; ils sont prêts à oublier les centaines de milliers de révolutionnaires assassiné(e)s par les baasistes syriens et les mollahs iraniens, tant qu'ils peuvent agiter un anti-impérialisme à sens unique. Ils légitiment ainsi la répression de leurs camarades car "il y a des priorités" et "il faut être uni". Non, tout ce qui bouge n'est pas rouge, et nous n'avons pas à fermer les yeux sur les crimes d'un régime sous prétexte qu'il est attaqué.

Quant à nous, notre position est claire: nous sommes totalement opposés à l'intervention impérialiste en Syrie, et ce, pour tous les pays. Que ce soit l'OTAN avec les USA et la France, ou bien la Russie, la Chine et l'Iran, qui sont déjà bien implantés dans la région. Nous soutenons les forces progressistes et anti-impérialistes dans ces différents pays, notamment les organisations kurdes contre les salafistes. Néanmoins, puisque nous sommes dans l'État français, notre internationalisme nous pousse à combattre en priorité notre propre impérialisme. Pas de compromis avec la barbarie.

Feu de Prairie
 
Guerre, mensonges et manipulations : La guerre en Irak et les couveuses : Mais ce mensonge, parmi d'autres savamment utilisés, aura coûté la vie à des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants bien réels.

> L'affaire des couveuses koweïtiennes 
> Le mensonge des couveuses kowetiennes, France-Inter

Moyen-Orient compliqué :


No man's land" (2001 / Full movie) - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=_I7kj_oz3KU 
No Man's Land (Bosnian: Ničija zemlja) is a 2001 war drama that is set in the midst of the Bosnian war. The film is a parable and marked the debut of Bosnian writer and director Danis Tanović. It is a co-production among companies in Bosnia-Herzegovina, Slovenia, Italy, France, Belgium and the UK. The film won the Oscar for Best Foreign Language Film in 2001


 
 
 
 
¿Que es el Anarquismo? documental : 
 
 

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En savoir plus :
Sur mon blog :
une conférence de Bakounine
Quoi encore, la Syrie ?
Pierre Bourdieu sur l'Etat
Un mouvement de Paysan sans terre est sur le point de se lever en Bretagne
Chine. Le nouvel empire. Film documentaire de Jean-Michel Carré
TV-LOBOTOMIE
Des héros ordinaires mis aux piloris


Sur le blog Citoyenactif :
Quoi encore, la Syrie ? : citoyen actif
Nouvelles d'un anarchiste syrien : citoyen actif

Sur Zebre plus ultra :
Guerre, mensonges et manipulations


NON-A-L-INTERVENTION !
de indignados » 05 Sep 2013,
NON A L INTERVENTION !
de indigné révolté le Jeu 5 Sep 2013


 

 
Tags : Bachar el-Assad, Syrie, guerre civile, impérialisme, Lord of War, filmm, movie, Front National, Le Dessous Des Cartes, Afghanistan, Irak, Mali, exportations d'armes, documentaire
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#Posté le mercredi 04 septembre 2013 19:02

Modifié le lundi 11 juillet 2016 07:50

La Guerre de l'ombre


 
 
 
 n
 
Le déserteur - Boris Vian (1ere version censurée). 
 

 
Boris Vian- Le déserteur - YouTube :  
Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir
Monsieur le Président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens
C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais déserter

Depuis que je suis né
J'ai vu mourir mon père
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants
Ma mère a tant souffert
Elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers
Quand j'étais prisonnier
On m'a volé ma femme
On m'a volé mon âme
Et tout mon cher passé
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J'irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens:
Refusez d'obéir
Refusez de la faire
N'allez pas à la guerre
Refusez de partir
S'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes /
Et qu'ils pourront tirer / Rt que je sais tirer
 
 
Cyber-attaque contre Téhéran - Le Monde diplomatique :A la veille des négociations d'Istanbul sur le programme nucléaire iranien, en janvier 2011, des révélations fracassantes paraissent dans la presse : le virus informatique Stuxnet qui a affecté l'Iran aurait été mis au point en Israël avec l'aide des Etats-Unis. Ciblant des infrastructures industrielles, cette attaque présage-t-elle une nouvelle ère de cyberguerre ?
 
par Philippe Rivière, mars 2011
 
« Un nouveau Tchernobyl ! » En ce début de 2011, M. Dmitri Rogozin, l'ambassadeur russe auprès de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), fait sensation en demandant l'ouverture d'une enquête sur Stuxnet, le virus informatique qui a attaqué les installations nucléaires iraniennes au cours des derniers mois. Ce virus, affirme-t-il, aurait pu conduire à une explosion thermonucléaire à Bushehr, la centrale de production d'énergie nucléaire située au sud du pays.
 
Une hypothèse « virtuelle [et] complètement infondée », répond l'expert en sécurité allemand Ralph Langner, auteur en septembre de la première étude complète sur ce virus. « Tout d'abord, Stuxnet ne ciblait pas Bushehr. » C'est en effet Natanz, où sept mille centrifugeuses enrichissent de l'uranium, qui est touchée. « Et même dans ce cas, il n'aurait pu interagir avec les systèmes du circuit primaire [au contact de la radioactivité] (1). »
 
Les Allemands en question sont ceux de la firme Siemens, qui fabrique les systèmes informatiques de supervision industrielle (dits « Scada ») employés dans l'usine de Natanz. Selon certains scénarios, après s'être diffusé à travers la planète, notamment en Inde et en Indonésie, Stuxnet aurait fini par pénétrer sur le site de Natanz à travers la clé USB infectée d'un de ses fournisseurs russes.
 
- Assassinats de physiciens
 
- Le piratage est un sport de combat
 
A Washington, où l'on garde un vif souvenir du piratage de la messagerie de Google par les Chinois (vraisemblablement), le président demande un bouton lui permettant de couper tout Internet, ultime ligne de défense en cas de « cyberattaque provenant de l'étranger ». L'Estonie, qui a fait les frais en 2007 d'une telle agression non élucidée (mais dont tout laisse penser qu'elle provenait de la Russie), héberge désormais le Centre d'excellence de l'OTAN pour la défense cybernétique


par Philippe Rivière, mars 2011
 
 Fiche du film La Guerre de l'ombre

La Guerre de l'ombre
 
scène avec jamal kadah Ad la guerre de l'ombre.avi - YouTube : 
 
La guerre de l'ombre
 Cécile Chevré

 
Cécile Chevré, rédactrice de Défis & Profits
C'est une guerre de l'ombre qui se mène aujourd'hui, en toute discrétion, mais dont les ravages, bien réels, coûtent des milliards de dollars chaque année.
 
Depuis quelques années, derrière chaque conflit, qu'il soit ouvert ou larvé, se tient la menace de cyber-attaques voire de cyber-guerre. Les exemples ne manquent pas.
Dernier en date, la montée des tensions entre la Corée du Nord d'un côté, et son voisin du Sud et les Etats-Unis de l'autre. Alors que la Corée du Nord annonce être prête à lancer des attaques contre les Etats-Unis, ceux-ci préparent la riposte avec l'arrivée de navires de guerre et le déploiement d'un système de missiles antibalistiques dans le Pacifique.
 
Si le conflit armé n'en est qu'au stade des menaces et des rodomontades, un autre conflit, virtuel mais pas sans conséquences, a déjà commencé. La Corée du Sud soupçonne en effet l'ennemi du Nord d'être à l'origine des cyber-attaques qui, le 20 mars dernier, ont visé le réseau informatique de trois chaînes de télévision du pays et de deux banques sud-coréennes. Autre victime, le fournisseur d'accès à Internet LGUplus. Ce n'est pas la première fois que le pays est victime de cyber-attaques suspectes. En 2009 et 2011, Séoul avait déjà subi des attaques de vastes envergures. A chaque fois, la Corée du Nord et la Chine sont soupçonnées.
 
Une nouvelle forme de guerre prise au sérieux
En matière de cyber-attaques, la Chine se trouve régulièrement sur le banc des accusés. Il y a quelques semaines, les Etats-Unis ont ainsi dénoncé une vague d'attaques visant les entreprises américaines et, pour la première fois, Barack Obama a directement accusé de Pékin de soutenir des raids informatiques.
 
Si le président américain est monté au créneau, c'est que cette guerre prend une dimension jusque-là inconnue. L'année dernière, un sénateur américain, Mike Rogers, avait accusé la Chine d'avoir volé un volume de données équivalent à 50 fois les informations contenues dans la bibliothèque du Congrès. Un chiffre très largement sous-estimé – d'au moins 5 fois – d'après la plupart des spécialistes de la question.
En février, un rapport mené par la société de cyber-sécurité Mandiant a mis en lumière les activités d'un groupe qu'il a appelé APT1 et qui serait à l'origine du piratage de plus de 140 entreprises américaines au cours des derniers mois. Localisation de ce groupe très actif ? Shanghai, dans un bâtiment de l'armée chinoise.
 
Une guerre qui prend une telle ampleur que Barack Obama s'en est publiquement ému : "Les Etats-Unis doivent aussi faire face à une menace grandissante de cyber-attaques. Nous savons que des hackers s'emparent de l'identité d'individu et infiltrent leurs messageries email. Nous savons que des entreprises et des pays étrangers volent des informations stratégiques à nos entreprises. Maintenant nos ennemis cherchent également à saboter notre réseau électrique, nos institutions financières, nos systèmes de contrôle du trafic aérien. Aujourd'hui, il est impossible de ne pas regarder en arrière sans se demander : pourquoi n'avons-nous rien fait pour nous protéger de ces menaces contre notre sécurité et notre économie ?".
 
On ne peut pas dire les choses plus clairement : la guerre est déclarée. Et pas une semaine ne se passe sans qu'une cyber-attaque d'importance ne soit découverte.
 
Qui sont les cibles ?

Les attaques sur les données personnelles (compte emails, informations bancaires, vol d'identité) sont aujourd'hui monnaie courante.
 
A ces attaques, qui s'apparentent à du vol à l'arrachée, s'ajoutent les tentatives d'espionnage industriel ou stratégique : vol de technologies, d'informations confidentielles...
 
Enfin, des attaques, par leur ampleur et leurs cibles, s'apparentent à de véritables tentatives de déstabilisation d'un Etat. Le récent exemple des attaques visant la Corée du Sud en sont l'illustration. Et c'est ce qu'évoque Barack Obama en soulignant les risques qui pèsent sur les réseaux électriques ou de communication américains. Et ne parlons même pas de la sécurité de sites nucléaires...
 
Des entreprises sous pare-feu

Economiquement, le coût des cyber-attaques est estimé à 110 milliards de dollars chaque année dans le monde.
 
On estime qu'environ 80% des entreprises américaines et européennes ont subi des attaques de virus ou de chevaux de Troie et plus de 70% des tentatives de fishing (usurpation d'identité ou tentatives de fraudes).
 
Selon une étude récente menée sur 45 grandes entreprises américaines, le coût moyen des cyber-attaques s'élève à 3,8 M$ par entreprise et par an. Une autre étude menée sur des PME cette fois estime ce coût à plus de 240 000 $ par an.
 
Les entreprises se sont donc tournées vers des spécialistes de la protection des réseaux, qui sont aussi souvent des fabricants de routeurs. Le principal outil de protection est le pare-feu qui protège le réseau des entreprises des intrusions extérieures en décidant quels types de données sont autorisés à y pénétrer. La capacité du pare-feu à filtrer les informations et surtout sa vitesse de réaction (de calcul, en fait) sont les deux points clés pour les entreprises.
 
Le marché du pare-feu pour les entreprises – et autres solutions de sécurité – est dominé par plusieurs entreprises : Cisco, Check Point Software ou encore Juniper Networks.
Ces dernières années, la sécurité des données est devenue encore plus cruciale pour les entreprises et donc pour les sociétés fournissant des pare-feux que les habitudes des utilisateurs ont changé, au fur et à mesure qu'ordinateurs portables, smartphones, tablettes et connexions mobiles s'imposaient dans notre quotidien, et notre manière de travailler. La plupart de salariés veulent maintenant pouvoir se connecter à leur réseau d'entreprise, accéder à leurs données, leur boîte email ou leur calendrier de rendez-vous qu'ils soient en déplacement ou chez eux.
 
Ces connexions mobiles, hors du réseau protégé de l'entreprise, sont particulièrement vulnérables aux cyber-attaques. Les fournisseurs de sécurité Internet doivent donc s'adapter à cette nouvelle demande et proposer des solutions efficaces pour ces nouveaux types d'usages.
 
Un secteur d'avenir... en restructuration
Au vu de la montée des cyber-menaces, vous pourriez en conclure que tout va bien pour le secteur de la sécurité et des réseaux. Eh bien, pas tant que cela. Première raison, conjoncturelle, une demande en baisse de la part des entreprises confrontées, engluées dans la crise et qui cherchent à réduire leurs dépenses. Plusieurs pointures du secteur, dont Cisco, viennent d'ailleurs d'être dégradées par un analyste qui justifie sa décision par les craintes grandissantes de récession durable en Zone euro.
De manière plus générale, le secteur des réseaux et de la sécurité informatique est extrêmement concurrentiel. Les réputations se font et se défont en quelques années au gré des choix stratégiques des entreprises et surtout de leur capacité d'innovation technologique.
".
 
 
Dans les années 2000, Juniper Networks a par exemple connu une évolution foudroyante, menaçant par ses produits et son expertise le leader du domaine, Cisco. Mais depuis quelques années, le vent a tourné. Des concurrents plus agressifs et plus innovants comme Palo Alto Networks sont arrivés sur le marché et grignotent progressivement les parts de ses aînés.
 
L'exemple de Palo Alto Networks au hasard. La société a en effet été fondée par l'ingénieur israélien, Nir Zuk, ancien employé de Check Point Software et de Juniper, deux sociétés dont il est parti pour désaccord sur les évolutions stratégiques. En proposant un pare-feu plus efficace sur la sélection des données filtrées, Palo Alto peut aujourd'hui se targuer de proposer des solutions bien plus innovantes que ses concurrents.
 
Si le domaine de la sécurité Internetest particulièrement dynamique, il est aussi très compétitif. L'innovation ou la mort pourrait être leur devise. Innovation d'autant plus indispensable que les pirates et autres soldats du monde virtuel débordent de créativité et d'imagination.
 
La guerre secrete en Irak  

 
 
 
 
Irak - Le Nerf De La Guerre   

 

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 Irak, l'ombre de la guerre [de Anne Nivat] - YouTube :  Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au c½ur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l'accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible.

Une mère, un pharmacien, un prêtre, un ancien amiral déchu de l'armée de Saddam Hussein, osent pudiquement témoigner. Dix ans après l'entrée en guerre des Américains, un an et demi après le départ des derniers soldats étrangers, on se rend compte que la guerre en Irak n'est pas vraiment terminée.

Un film qui s'aventure où l'on ne va jamais, avec émotion et retenue

 


 
 
Très vieux disque, mauvaise qualité...
La différence avec la version connue :
Marcel Mouloudji aurait conseillé à Boris Vian de remplacer les deux derniers vers
Que je tiendrai une arme / Et que je sais tirer
par :
Que je n'aurai pas d'armes / Et qu'ils pourront tirer,
afin de conserver le côté pacifiste de la chanson.
Cependant, selon un ami de Harold Berg, la chanson aurait contenu les vers pacifistes dès l'origine2, en contradiction avec la version attestée par Françoise Renaudot, dans son ouvrage Il était une fois Boris Vian. (source de l'information : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_D%C3%A9serteur_(chanson 

 
 

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sources :
(1) «  The virtual Chernobyl  », Langner.com, 1er février 2011.

(2) William J. Broad, John Markoff et David E. Sanger, «  Israeli test on worm called crucial in Iran nuclear delay  », The New York Times, 15 janvier 2011.

(3) Cf. Haaretz, Tel-Aviv, 7 janvier 2011.

(4) «  Iran's nuclear setbacks : a key for U.S. diplomacy  », United States Institute of Peace, 18 janvier 2011.

(5) Scott Ritter, «  In perspective : The Stuxnet effect  », Nuclear Intelligence Weekly, New York, 31 janvier 2011
citoyen actif : Archives, capital fictif : citoyen actif



Tags : La Guerre de l'ombre, Irak, Le Nerf De La Guerre, conflit, conflit armée
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#Posté le dimanche 21 avril 2013 17:58

Modifié le lundi 28 mars 2016 20:55

Irak, l'ombre de la guerre


 
 
 
 
 
 
Bonjour à tous,
 
 
Si vous avez des questions à poser à notre correspondant David Baché, c'est le moment !

David est au Mali et vient d'assister à un drôle de mélange des genres. Une formation au "journalisme de guerre" orchestrée par l'armée Malienne. Si on est en droit de se poser des questions sur les intentions de cette formation, vous verrez qu'elle répond également clairement à une demande des journalistes sur place, règles de sécurité, embargo de l'information et "journalisme patriotique".
 
Tout cela, c'est dans le reportage de la semaine...Ecoutez-le et posez vos questions sur ce thème, les réponses à ces questions seront diffusées à l'antenne ce week-end !
 
http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/mali-redaction-sevare-journaliste-guerre
 
A très vite.
Visitez Atelier des médias à l'adresse suivante : http://atelier.rfi.fr/?xg_source=msg_mes_network
 

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Documentaires Baghdad - Topic 1132 vidéos

 
Irak, l'ombre de la guerre [de Anne Nivat :  : Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au c½ur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l'accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible. Irak, l'ombre de la guerre

Une mère, un pharmacien, un prêtre, un ancien amiral déchu de l'armée de Saddam Hussein, osent pudiquement témoigner. Dix ans après l'entrée en guerre des Américains, un an et demi après le départ des derniers soldats étrangers, on se rend compte que la guerre en Irak n'est pas vraiment terminée.

Un film qui s'aventure où l'on ne va jamais, avec émotion et retenue
 

 
 
 
Bagdad, en l'an 1000 :  Après la seconde guerre d'Irak, Bagdad n'est plus que l'ombre d'elle-même. En l'an 1000 elle était pourtant la capitale de l'Islam, une religion née au début du VIIe siècle que les Arabes ont imposé au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et même en Espagne, avant d'être stoppés à Poitier par Charles Martel. Située au carrefour des routes commerciales vers l'orient et l'occident, Bagdad était alors surnommée 'La citée de la Paix'. Profitant de la richesse générée par un commerce florissant qui s'étendait jusque chez les Vikings et les confins de l'empire chinois Tang, la ville avait rassemblé une formidable bibliothèque, des artistes, des penseurs. Cette richesse intellectuelle sera à l'origine de la renaissance européenne, rendue possible grâce à la redécouverte et les traductions des écrits des auteurs classiques, autant que par les progrès arabes, en particulier en médecine. A l'aide de reconstitutions en trois dimensions, ce documentaire nous explique la structure de la ville de Bagdad en l'an mille et l'apport de la culture arabe. La ville sera malheureusement pillée et détruite par des cavaliers Mongols au XIIIe siècle
 

 
ARTE "Tonnerre Roulant sur Bagdad

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Tonnerre roulant sur Bagdad (1/2)
À partir des témoignages inédits d'Irakiens - anciens militaires et dirigeants, civils, futurs insurgés, journalistes et opposants en exil -, le film retrace dans ses moindres détails l'année décisive de l'invasion, avec en contrepoint les récits des militaires américains et de reporters présents lors de l'intervention. De la préparation aux frontières à la capture de Saddam Hussein, Jean-Pierre Krief, spécialiste de l'Irak et auteur notamment de Saddam Hussein, histoire d'un procès annoncé, propose une véritable immersion dans les événements en s'appuyant sur un remarquable travail d'archives. Des images inédites où l'on découvre notamment les opérations militaires américaines de l'intérieur, mais aussi et surtout les scènes d'apparat d'une dictature totalement engluée dans le mensonge et impréparée à la guerre. En contrebalançant le scénario médiatique officielle offert par les Américains, le film donne à comprendre comment d'une guerre facile face à un pays exsangue, les États-Unis se sont retrouvés embourbés dans une insurrection civile menée par un peuple déçu, qu'ils n'ont pas même tenté de comprendre et qu'ils ont poussé à la révolte.
 
Automne 2002 : massées dans des camps à la frontière kurde, les troupes américaines s'entraînent pour une éventuelle intervention en Irak. Partagés entre espoir et peur, les Irakiens attendent et les militaires tentent de garder la face, même s'ils savent que leur équipement, datant au mieux du début des années 1970, ne pèsera pas bien lourd face à cinq cents blindés et 70 000 hommes dotés des toutes dernières technologies...
 
Tonnerre roulant sur Bagdad (2/2)
Les Américains s'apprêtent à prendre d'assaut l'aéroport de Bagdad. Ce sera la seule et unique bataille de cette guerre. Face à eux : la garde républicaine menée par le fils aîné de Saddam Hussein, Qussaï. Hana Hammed, doctoresse irakienne, veut en profiter pour le rencontrer afin de faire libérer son mari, emprisonné à Abu Ghraïb...
 (France, 2012, 65mn)
ARTE F
 
Tonnerre roulant sur Bagdad (2-2) Arte - YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=OINAzyDPYV4
(France, 2012, 68mn)
ARTE F
 
 Hier marquait le 10ème anniversaire d'une fabuleuse aventure — l'invasion de l'Irak.
Reuters nous donnait quelques chiffres élémentaires :
"La guerre américaine en Irak a coûté 1 700 milliards de dollars, à quoi viennent d'ajouter 490 milliards de dollars d'allocations à verser aux vétérans — des dépenses qui pourraient dépasser les 6 000 milliards de dollars au cours des quatre prochaines décennies si l'on compte les intérêts, selon une étude publiée jeudi [dernier]".
 
"La guerre a fait au moins 134 000 morts parmi les civils irakiens, et pourrait avoir contribué au décès de quatre fois autant de personnes, selon le projet 'Coûts de la guerre' réalisé par le Watson Institute for International Studies de la Brown University".
 
"Si l'on inclut les forces de sécurité, les insurgés, les journalistes et les travailleurs humanitaires, le bilan humain de la guerre passe à une fourchette entre 176 000 et 189 000 victimes, selon l'étude".
 
Nous avons suivi les blogs, les éditoriaux, les récapitulations, les excuses, les justifications désespérées, les critiques...
 
Jonathan Schell :
"Rétrospectivement, nous avons là un record jamais battu en termes de gâchis, de futilité et de honte. Il y a eu le Congrès US et son approbation d'une autorisation dangereusement vague et élastique d'utiliser la force militaire, en lieu et place de la déclaration de guerre exigée par la Constitution. Il y a eu le jour tristement célèbre où l'opération Shock and Awe a été lancée, quand une grande ville antique a été bombardée tandis que le monde — majoritairement opposé à cette attaque — observait avec une consternation impuissante ; un jour marqué dans nos mémoires comme celui où un crime prémédité de longue date a été perpétré en plein jour. Il y a eu les tromperies éhontées et l'aveuglement qui ont permis de justifier la guerre aux yeux du Congrès américain, du peuple américain, des Nations Unies et du reste du monde — les fausses allégations selon lesquelles le gouvernement irakien possédait des armes de destruction massive. Il y a eu la crédulité coupable, obstinée, avec laquelle ces allégations ont été lâchement acceptées par les médias US. Il y a eu la couverture chauvine et cocardière de l'invasion sur le terrain. Il y a eu les prisonniers irakiens promenés en laisse comme des chiens à Abu Ghraib. Il y a eu les escadrons de la mort et les tortures perpétrées par des alliés irakiens conseillés par les Etats-Unis — et, si les données actuelles sont justes, directement financés par les Etats-Unis. Il y a eu l'échec surprenant et prolongé de l'occupation à remettre en route des services de base comme l'électricité, l'eau et les installations sanitaires. Par-dessus tout, il y a eu ceux qui ont perdu leurs vies pour rien..."
 
Les écrivains peinent à trouver des mots assez forts. Dire que c'était une "erreur" ne rend de loin pas justice à une guerre qui a tué plus de 100 000 personnes et coûté plus cher que la Deuxième guerre mondiale. Appeler cela une "calamité" ou une "catastrophe" donne l'impression qu'il s'agissait d'un accident... ou d'un désastre naturel. Ce n'était pas un accident... pas même un cas d'homicide involontaire ; c'était du meurtre prémédité.
 
Voici ce qu'en dit Peter Van Buren :
"J'étais là-bas. Et 'là-bas', ce n'était nulle part. Nulle part, c'est là qu'il fallait être pour assister en direct aux signes de la fin de l'Empire américain. C'est là qu'il fallait être si vous vouliez voir la folie — oui, la folie — sans le filtre de médias endormis et complaisants qui s'arrangeaient pour que la politique guerrière de Washington semblé, sinon sensée, au moins relativement sérieuse et saine d'esprit. Je me suis tenu sur le terrain vierge de ce qui devait être la nouvelle pièce maîtresse d'une Pax Americana dans le Proche-Orient".
 
"Ne mâchons pas nos mots : l'invasion d'Irak s'est révélée être une blague. Pas pour les Irakiens, bien entendu, ni pour les soldats américains — ce n'était pas non plus la sorte de blague dont on rit. Et voilà la vérité la plus triste de toutes : le 20 mars, alors que nous célébrons le 10ème anniversaire de cette invasion infernale, nous ne comprenons toujours pas. Mais si vous voulez en arriver directement à la chute, la voici : en envahissant l'Irak, les Etats-Unis ont plus fait pour déstabiliser le Moyen-Orient que nous n'aurions pu l'imaginer à l'époque. Et nous — et tant d'autres — en paierons le prix pendant très, très longtemps".
M. Van Buren continue en racontant l'histoire d'une usine de traitement de volaille censée illustrer la manière dont les Etats-Unis aideraient l'Irak à se reconstruire. Elle n'a jamais traité un seul poulet. C'était tout de même un grand succès. Chaque fois que la presse était en visite, les acteurs enfilaient leurs combinaisons sanitaires, allumaient les chaînes de production... et donnaient un joli spectacle.
 
*Reportage* Irak - l'Ombre de la guerre. - YouTube Anne Nivat, grand reporter de guerre indépendante, nous plonge au c½ur de la société irakienne. Auteur de nombreux livres sur la question, elle est retournée en Irak cette fois avec une caméra pour retrouver certains de ses amis. Pendant dix ans, elle avait appris à les connaître en partageant leur quotidien, même au plus fort de la guerre. Toujours seule, sans autre protection que celle des familles qui l'accueillaient, Anne Nivat est restée volontairement discrète, par respect pour ses hôtes et pour ne pas devenir une cible

 
 

 
Les sous-traitants s'en sont mis plein les poches. Le Pentagone s'en est mis plein les poches. Les consultants, les experts et les parasites ont tous été payés. Alors franchement, pourquoi se faire du souci si tout ça n'a servi à rien pour les Irakiens ? Quant aux contribuables qui ont dépensé des millions de dollars pour rien... et alors ?



Il semble que le grand vainqueur de la guerre américaine en Irak sera finalement la Turquie. C'est ironique parce que la Turquie s'était opposée à cette guerre. Néanmoins, un article paru il y a quelques jours dans le Financial Times me donne raison -- je viens de rentrer d'un séjour dans ce pays :

"Un nouveau candidat est apparu comme le véritable vainqueur de la guerre d'Irak. 10 ans après que la Turquie a déclenché la fureur Washington en bloquant le déploiement des troupes américaines à travers son territoire pour l'invasion de 2003, ses hommes d'affaires se révèlent être les plus forts dans la bataille pour le marché irakien".

 
Lorsque j'étais sur place, je m'étais déjà rendu compte que la Turquie tirait profit de la reprise en Irak. Il .
D'abord, les chiffres : au cours des 10 dernières années, les exportations turques vers l'Irak ont augmenté de 25% par an pour atteindre 10,8 milliards de dollars en 2012. L'Irak représente aujourd'hui le deuxième marché pour les exportations turques après l'Allemagne. Alors que l'Irak exploite ses riches réserves de pétrole et que son économie se développe, sa demande de marchandises turques augmente elle-aussi. En outre, la reconstruction de l'Irak représente un marché de 3,5 milliards de dollars pour les entrepreneurs turcs. Les deux plus gros projets en Irak sont des projets énergétiques et c'est une entreprise turque, Calik Energy, qui les a emportés.
 
La plupart des entreprises turques proviennent des régions du nord de l'Irak, contrôlées par les Kurdes. La croissance est rapide. Le Financial Times a écrit un article à propos d'un conglomérat détenu par une famille à Gaziantep, au sud de la Turquie. Les ventes ont augmenté de 50% à 60% au cours des deux dernières années. L'entreprise affirme qu'elle possède les deux tiers du marché des couches en Irak. Elle est également leader dans les olives. Le FT cite aussi plusieurs hommes d'affaires turcs qui se réjouissent de leurs activités en Irak.
 
Lire cet article m'a rappelé une conversation que j'ai récemment eue avec Tim Steinle, gestionnaire de portefeuille chez U.S. Global Investors. Et c'est là où nous en venons à mon idée.
Le pétrole irakien va-t-il devenir turc ?

Tim gère l'Eastern European Fund (EUROX), qui possède presque 20% de ses actifs dans des entreprises turques. Selon lui, la Turquie va bénéficier de l'ouverture des champs pétroliers du nord de l'Irak.

 

Thèmes :  Documentaire, Société, Géopolitique & Histoire , Irak, USA, Iraqi Freedom, Saddam Hussein, guerre
 
Chair a Canons

Par Enkolo dans Accueil le 12 Août 2017
Gasland

Tags : Documentaire, Société, Géopolitique & Histoire, Irak, USA, Iraqi Freedom, Saddam Hussein, guerre, l'ombre de la guerre
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#Posté le vendredi 22 mars 2013 18:51

Modifié le jeudi 24 août 2017 06:11

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