Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

l'indigné

Photo de l-indigne

l-indigne

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (29)

  • Planète Rap
  • Mobile
  • Radio Libre
  • Écolo
  • Zlataneur
  • Anniv' 2 ans

» Suite

Son profil

Profil de l-indigne
l-indigne38 ans
Paris (75)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 15/08/2011 à 12:31
  • Mise à jour : Hier à 03:55
  • 1 236 articles
  • 1 070 commentaires
  • 391 amis
  • 414 favoris
  • 3 104 kiffs

Tags

  • ARTE
  • arte
  • capitalisme
  • chronique
  • crise
  • documentaire
  • Documentaire
  • enquête
  • film
  • films
  • finance
  • Globalia
  • histoire
  • musique
  • néolibéralisme
  • obsession sécuritaire
  • politique
  • racisme
  • société
  • surveillance

» Suite

Ses archives (1 236)

  • Vivien Leigh, autant en emporte le vent | Documentaire complet |
  • Epidémies, cette menace invisible
  • Entre idéalisme et esprit de révolte | Histoire bruyante de la jeunesse (1949-2020) | ARTE
  • Cutter & Le Druide (Sang Mêlé) - "NI OUBLI, NI PARDON"

» Suite

Ses fans (515)

  • Julianaattie20
  • MelanieCroze43
  • aurore-music17
  • Bugarach
  • amiryah
  • michel-ho
  • Agatha63

» Suite

Sources (414)

  • Stella-et-l-utopie
  • CLOWN-TRISTE
  • Karine47
  • JamesHetfield
  • titou393
  • Johane839
  • karimus-boukhechem
  • HumanisteDemocrate

» Suite

Son morceau préféré

Berurier Noir - Salut à toi

Jouer Au fond, nous n'avons que peu de choses à dire. Berurier Noir - Salut à toi

Skyrock music Ajouter

Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)

RSS

Retour au blog de l-indigne

2 articles taggés marchés monétaires

Rechercher tous les articles taggés marchés monétaires

Sur les perspectives révolutionnaires en France

 
n
 
 Sur les perspectives révolutionnaires en France
 
«  Les idées de la classes dominantes sont aussi à toutes les époques les idées dominantes ; autrement dit la classes qui a la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle.  La classe qui dispose des moyens moyens matérielle dispose du même coup des moyens de productions intellectuelle, si bien que , l'un dans l'autre, les pensées de ceux à qui sont refusés qui refusés les moyens de production intellectuelle sont soumises du même coup  à cette classe dominante. Les idées dminantes ne sont pas autre chose que l'expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont les rapports matériels dominants saisis sous la forme d'idées, donc d'expression des rapports qui font d'une classe la classe dominante ; autrement dit, ce sont les idées de la révolution ».
 
Karl Marx, Frederich Engels,
L'idéologie allemande, ed. Sociales, 1972, P109

Un petit clin d'oeil pour rappeler une lutte importante ( horizontale, non coorporatrice ...) : Gauche versaillaise : traîtres et valets - ZEC Plus Ultra
 
Commune de Paris
" Il n'y a rien de plus noble que la grandeur de la passion au service de la grandeur de l'idée".
Prosper-Oliver Lissagaray
" L'histoire de la Commune de 1871 a été fabriquée par des escamoteurs. Méconnaître ou haïr la classe qui produit tout est la caractéristique actuelle d'une bourgeoisie jadis grande, qu'affolent aujourd'hui les révolutions d'en bas. Celle du 18 mars 1871." 
(Lissagaray - préface 1896.)
Traîtres et valets

.....
" Quel est le grand conspirateur contre Paris ?
La Gauche versaillaise.
.... "
Prosper-Oliver Lissagaray (1838-1901)
Histoire de la Commune de 1871 (Edition de 1929)
 
.
 
Témoin et acteur de la Commune de Paris, Lissagaray travailla à son Histoire de la Commune de 1871 à 1896 (avec une  première livraison en 1876).
 
 
 Des indices ( CAC 40, le S&P500,  le Dow Jones, Le Nasdaq  )qui sont soutenus par les "très bons résultats des sociétés américaines" ( moins pires que prévues)  ainsi que par la politique accommodante de la FED

 
-Les marchés américains sont en pleine forme. Cela s'explique par des chiffres macro-économiques moins pires que prévus aux Etats-Unis, qui traduisent une croissance moins touchée que prévue. Le chômage, qui était le seul vrai problème de cette économie, s'estompe, et les perspectives de consommation sont à la hausse. Que l'on se place sous un angle d'analyse libéral ou keynesien, marxiste on ne peut que voir que la croissance aux USA est  assise sur une dette monumentale mais cette dette tient bon du fait que les USA sont et resteront encore très longtemps la locomotive du monde. Lorsque l'on entend encore dire que l'empire américain va s'effondrer et que la puissance dominante sera la Chine. Foutèse! Les USA ont de très beaux relais de pérennisation de leur domination économique, à savoir le gaz de schiste d'une part et la future vague d'innovations d'autre part....
 
Nous avons donc un CAC 40 cher, presque surévalué, qui a néanmoins un potentiel de baisse limité car :
-il est tiré vers le haut par les indices américains et par les interventions des banques centrales
- Un système capitaliste qui n'arrive plus a se reproduire, vu l'état du marché obligataire et la bulle sur l'or, sans parler de l'immobilier qui a fini son cycle haussier et se met à baisser
Tant que les USA se maintiennent, le CAC n'aura donc pas grand chose à craindre. Ensuite ce sera autre chose
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. (...)
 
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction(....)
 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée (...)
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 

 


 
 Sur les perspectives révolutionnaires en France




Sur les perspectives révolutionnaires en France http://t.co/NgfoPRgvl3
 Sur les perspectives révolutionnaires en France
 
A l'heure de la crise, d'attaques massives sur nos conditions de vie, de mouvements sociaux de réactionnaire puants, de massacres écologiques, quelle sont nos perspectives de révolution?
Les récents sondages affirment qu'une grosse majorité de la population française pense qu'une explosion sociale va se produire cette année. C'est particulièrement vrai dans la classe ouvrière, alors que les professions libérales et le patronat y croient naturellement moins. A Feu de Prairie nous ne sommes pas très sondages mais vous pourrez trouver les chiffres assez facilement: l'intérêt étant plutôt d'étudier la tendance générale qui se dégage.
 
Penser qu'un mouvement d'ampleur va avoir lieu, c'est aussi le vouloir. Et puisque les médias et "l'opinion public" s'auto-alimentent dans notre dictature du soft power, il faut comprendre d'où viennent les idées subversives qui traversent des consciences bourgeoises jusque là plutôt tournées vers la solution électorale.
Marx puis Gramsci, ainsi que d'autres penseurs, ont expliqué comment les idées dominantes dans une société sont produites et diffusées par la classe sociale qui est au poste de commande. La question de l'hégémonie culturelle est très important pour comprendre comment historiquement des parties de la population dont les intérêts divergeaient du pouvoir en place l'ont soutenu
 
. L'Église a servi de relais à la défense de l'Ancien Régime dans la paysannerie pendant la Révolution française, par exemple
 
. Actuellement nous sommes à l'aire des monopoles, de l'impérialisme. Les états qui en ont les moyens étendent leur marché en s'affrontant (souvent indirectement pour éviter des conflits généralisés fragilisant leur stabilité: les deux guerres mondiales ont été bien assimilées) et en asservissant d'autres pays, dont les peuples sont maintenus dans la misère.
 
Guerre des monnaies - wikipedia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher
 
En affaires internationales, la guerre des monnaies, la guerre des devises, la guerre des changes ou la dévaluation compétitive[1] est une situation où des pays appliquent différentes mesures pour abaisser le taux de change de leur monnaie nationale dans le but de favoriser leurs industries domestiques, et par la même occasion, leurs exportations.
 
Dans l'histoire occidentale, la dévaluation compétitive est plutôt rare. En effet, il n'existait pas jusqu'au XXe siècle de marchés monétaires où échanger les monnaies. Une telle dévaluation est survenue dans les années 1930 suite au krach de 1929. En 2010, une telle dévaluation aurait cours[).
 
La guerre des monnaies des années 1930 est vue, au début du XXIe siècle, comme une situation qui a amené son lot de problèmes économiques, tous les pays concernés ayant subi une diminution importante du commerce international. La guerre des monnaies de 2010 est engagée pour des raisons différentes et les mécanismes en jeu sont aussi différents. Les économistes ont des opinions divergentes à propos de son impact sur l'économie mondiale)
 
(La guerre des monnaies (arrêtons de se mentir) a repris la semaine dernière en Asie avec la multiplication des contrefeux monétaires (Vietnam, Taïwan, Corée, Australie on baissé leurs taux en l'espace de 3 jours)...
 
Cela prouve également que face aux ripostes dérisoires des banques centrales régionales, le marché attend déjà une contre attaque encore plus musclée de la BoJ. La guerre des monnaies devient mondiale puisqu'aucune limite à la puissance de feu ne semble plus être de mise.)

 
 Au niveau idéologique, hors de la voie révolutionnaire, il y a deux grandes tendances dans les pays européens: la social-démocratie et la réaction, incluant le fascisme.
 
La social-démocratie est représentée en France par "l'aile gauche" du PS, certaines organisations d'extrême gauche, la majeure partie du mouvement syndical et bien sûr le Front de gauche qui théorise cette politique. Leur projet est keynésien, il voudrait relancer "l'état social" contre l'austérité. En fait dans la situation de crise généralisée que l'on traverse, ces politiques ne peuvent être appliquées, les "Trente Glorieuses" sont passées depuis longtemps. C'est donc une impasse terrible, qui se cherche des modèles (Die Linke, Chavez, la Norvège, Jaurès, peu importe) et patine dans une dénonciation très limitée de la "finance" et des "banques" comme c½ur du capitalisme, menant dangereusement à la réaction.
 
Car de l'autre côté il y a un mouvement réactionnaire fort et très organisé qui est apparu au grand jour avec les "manifs pour tous". La droite historique, la grande et la moyenne bourgeoisie, sont dans la rue aux côtés de néofascistes, d'identitaires, de nationalistes-révolutionnaires divers... L'alliance et la légitimation des éléments radicaux se fait "par la base", leur permettant d'avoir une aura plus importante que leur force réelle (quelques centaines de militants dans toute la France, hors FN). Le fascisme apparait petit à petit comme une option valable pour la bourgeoisie voulant défendre son pouvoir, avec de fortes capacités répressives, un discours mobilisateur et très peu de concessions sociales à faire (facile de dénoncer les "banquiers apatrides", les patrons français eux peuvent se la couler douce!).
 
( Boutin la médicastre - ZEC plus ultra)
Angelina Jolie, âgée de 37 ans, a annoncé qu'elle avait subi une double mastectomie pour prévenir un risque très élevé de cancer du sein et des ovaires.
 
 En réaction, Christine Boutin, la déïcole cléricale papolâtre, la consulteur de la Sacrée congrégation Pontificale pour la famille, la présidente du parti clérical, Christine Boutin a tweeté : " Pour ressembler aux hommes ? Rire ! Si ce n'était triste à pleurer." Face aux réactions multiples suscitées -elle a même vu son mur Facebook envahi de cacas virtuels, la médicastre de l'Église romaine a précisé que sa démarche " ne se voulait d'aucune manière blessante", et elle a tenté de se justifier : " .... " ( Huffington Post ) Boutin qui  se prononce contre l'avortement, la pilule du lendemain, le PACS, le mariage homosexuel, l'homoparentalité... s'en prend logiquement à la médecine préventive qui contrarie les plans du Très Haut.
 
Lire aussi l'article : " Longue vie à Angelina, mort aux brevets sur ses gènes! " de Jacques Dufresne sur le site de l'encyclopédie Homo vivens : " ...."!  )
 
Alors pourquoi cette analyse, qui est à peu près la seule à se trouver confirmée aujourd'hui par la crise récente, suscite-t-elle si peu d'attention? Pourquoi est-il si difficile d'admettre aujourd'hui que notre système est à bout de souffle? Avant tout parce que personne ne peut vraiment imaginer la fin du capitalisme. L'idée même suscite une peur panique. Tout le monde pense qu'il a trop peu d'argent, mais chacun se sent menacé. Or, c'est bien l'argent mais aussi la marchandise, le travail, la propriété et l'État, qu'il faut attaquer.

 

La disparition de cette société représente un tel bouleversement qu'on ne l'envisage pas nécessairement avec légèreté. Mais nous ne sommes pas condamnés à tenter de sauver l'économie qui chancelle et nous écrase. Nous pouvons contribuer à sa disparition. Pas pour le néant, mais pour un monde sans État et sans classes, un monde pour toutes et tous, sans exploitation ni domination.

_________________________

[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.


 
Il y a donc une mobilisation massive de ces classes sur des mots d'ordre ultra-réactionnaires, avec comme horizon la création d'un front large pour la prise du pouvoir (visible dans les slogans comme dans l'organisation des manifs). Et d'un autre côté, il y a toutes les forces décrépies de la social-démocratie historique rêvant d'un "troisième tour social" ou d'une "sixième république" (et pourquoi pas la 38° aussi?). Celui ci aura certainement lieu au vu des accords sur le travail, l'éducation ou les retraites passant en ce moment à l'assemblée pour restructurer lourdement l'état français. Mais puisque la social-démocratie n'a absolument rien à proposer, il ne faut rien attendre d'une organisation "par le haut" de mouvements sociaux.
 
C'est ainsi qu'un sondage amalgame les deux tendances contestataires, et leurs revendications bien différentes, donnant l'impression d'une contestation générale du système en place (ce qui est vrai) qui mènerait à un mouvement unifié de protestation (ce qui est délirant). Certains en rêvent... D'autres se préparent à la lutte contre la réaction et à l'effondrement de la social-démocratie. La seule voie viable face à ces deux tendances est ailleurs, c'est l'organisation à la base pour la révolution.
 
Repris sur Feu de prairie
 
 
 



 Sur les perspectives révolutionnaires en France


Collectif de la Revue Internationale Sur la Crise – Paris
Sur les perspectives révolutionnaires en France http://t.co/NgfoPRgvl3
 Sur les perspectives révolutionnaires en France


Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral créé le mardi 03 juin 2014 , Looking for Europe Créé le samedi 24 mai 2014, Bruxelles business Créé le mardi 20 mai 2014 , Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014, La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014, Les nouveaux pauvres Créé le dimanche 11 mai 2014 20:04, Brésil, le stade et les favela : le jeudi 08 mai 2014, “Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors le mardi 06 mai 2014, Capitalisme : Le triomphe de l'argent roiCréé le dimanche 16 février 2014 , Concert de soutien au Rémouleurle dimanche 08 décembre 2013, Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:, Les chefs le samedi 01 juin 2013 00:
Tags : Prosper-Oliver Lissagaray, la Commune, L'histoire de la Commune, 1871, marchés monétaires, dévaluation compétitive, krach de 1929, chômage
​ 3 | 2 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (18.215.185.97) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 21 mai 2013 10:24

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:10

Guerre des "monnaies "


 
 
Guerre des monnaies - Wikipédia :
En affaires internationales, la guerre des monnaies, la guerre des devises, la guerre des changes ou la dévaluation compétitive[1] est une situation où des pays appliquent différentes mesures pour abaisser le taux de change de leur monnaie nationale dans le but de favoriser leurs industries domestiques, et par la même occasion, leurs exportations.
 
Dans l'histoire occidentale, la dévaluation compétitive est plutôt rare. En effet, il n'existait pas jusqu'au XXe siècle de marchés monétaires où échanger les monnaies. Une telle dévaluation est survenue dans les années 1930 suite au krach de 1929. En 2010, une telle dévaluation aurait cours[2].
 
La guerre des monnaies des années 1930 est vue, au début du XXIe siècle, comme une situation qui a amené son lot de problèmes économiques, tous les pays concernés ayant subi une diminution importante du commerce international. La guerre des monnaies de 2010 est engagée pour des raisons différentes et les mécanismes en jeu sont aussi différents. Les économistes ont des opinions divergentes à propos de son impact sur l'économie mondiale.
 
Quantitative easing
Le Quantitative easing (QE) est une pratique réalisée par une banque centrale lorsqu'elle tente de réduire l'incidence d'une récession, réelle ou perçue, en émettant un excédent de monnaie
 
La « guerre des monnaies » expliquée aux nuls | Rue89 Eco :
US-Sino Currency Rap Battle :  

 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
Le G20 est de ce point de vue le digne héritier de ses ancêtres, G7 et G8 : il est le théâtre de réunions creuses et sans grande efficacité, qui n'ont d'autre utilité que de permettre aux grands de cette planète de se rencontrer et de papoter. Derrière les beaux sourires, chacun se fiche de ce qui arrive à l'économie des pays de ses collègues.
 
Quel pays s'estime victime de la "guerre des monnaies" ? : LE MONDE ECONOMIE | <:TIME
 
Le ministre des finances brésilien, Guido Mantega, a dénoncé les nouvelles mesures de politique monétaire, dites d'"assouplissement quantitatif", prises mi-septembre par la Réserve fédérale américaine, puis par la Banque du Japon, pour relancer leurs économies nationales, mais dont la conséquence est de faire baisser le cours de leurs devises.
Associées à ces injections de liquidités, les différences de taux d'intérêt provoquent, en effet, un afflux de capitaux spéculatifs vers le Brésil, qui poussent le real à la hausse.
M. Mantega avait le premier utilisé le terme de "guerre des monnaies" en 2010, face aux mesures américaines de ce type prises en 2009. Une inquiétude renforcée par la crise de l'euro
 
Le cas argentin :
 
Le blues du peso argentin


Si vous vous trouviez devant le bureau de change qui fait face à mon lieu de travail à Buenos Aires hier en début d'après-midi, vous auriez pu capter les bribes d'une conversation de ce genre. Elle se tenait entre deux turistas permanentes qui s'étaient aventurés hors des sentiers battus, à la recherche d'un taux de change plus favorable pour leurs dollars américains.

Le taux de change officiel en Argentine est de 4,94 pesos par dollar. Mais personne ne croit une seule seconde à cette affabulation, ni les vendeurs, ni les acheteurs. Les dollars sont très recherchés ici, dans la troisième économie d'Amérique latine, du fait du recours, abusif et pathologique, à la planche à billets par le gouvernement.

Le gouverneur de la Banque centrale de la République argentine (BCRA), Mercedes Marcó del Pont, est une inflationista dans tous les sens du terme. Autrement dit, c'est une voleuse... Elle perpétue un crime contre les gens les plus pauvres de son pays, ceux qui sont sans défense, dont le salaire de misère est le moins capable d'absorber la stupidité de sa politique monétaire.

Naturellement, cela réduit la valeur de la monnaie du pays en augmentant généreusement son approvisionnement.


Comme ses camarades faussaires plus au nord, "la patronne de la Fed argentine" maintient un programme constant de "création" de pesos tout en embobinant la population avec le type de justifications absurdes que seul un haut responsable avec une carrière politico-universitaire peut espérer mener.
Dans un rejet stupéfiant des principales causes qui sous-tendent la tragique histoire monétaire de son pays, Madame Marcó del Pont a déclaré à la presse l'année dernière : "il est totalement faux de dire qu'imprimer plus de monnaie génère de l'inflation. La hausse des prix est due à d'autres phénomènes tels le comportement dans les approvisionnements et les exportations".

Nous l'avions remarqué à l'époque, la première partie de phrase, "des phénomènes tels le comportement dans les approvisionnements", est vraie... en particulier les approvisionnements de billets fraîchement sortis des presses de Madame Marcó del Pont.

Comment cela fonctionne-t-il ?
Les quelques privilégiés qui naviguent dans les hauteurs, ceux qui ont des relations haut placées et à qui on accorde la primauté d'accès aux billets nouvellement imprimés, gagnent gros en les dépensant en premier, en les injectant dans le système avant qu'ils ne se déprécient.


Ceux qui se retrouvent au bout de la liste... les gens ordinaires, les travailleurs qui tentent de joindre les deux bouts... ce sont eux qui pâtissent financièrement de la politique gouvernementale de "diminution de l'inflation". Ce sont eux les pauvres types qui vivent d'une paye à l'autre, pour qui 10% d'inflation signifie un dixième de nourriture en moins... un dixième de toit en moins... un dixième de tout en moins.

Naturellement, l'inflation ne grimpe pas à un rythme de 10% par an, comme le clame sournoisement le gouvernement. . Selon les estimations établies par des sociétés de conseil privées, comme celle contre laquelle le gouvernement a porté des accusations criminelles l'année dernière, les chiffres se situeraient plutôt entre 25% et 30%. Même ces chiffres semblent bas. Pour ceux qui possèdent des économies, leur valeur chute rapidement.

Sans surprise, par conséquent, les porteños locaux paient une forte prime pour échapper aux pesos mis à mal par le gouvernement, ce qui augmente le change des monnaies étrangères -- et du dollar américain en particulier -- jour après jour. Ici, les journaux ont observé que l'écart -- la brecha -- entre le taux de change officiel dollar-peso et le taux de change officieux avait atteint il y a quelques jours un record de 42,7% (de 4,94 pesos pour un dollar officiellement, à plus de sept pesos par dollar officieusement).

C'est véritablement l'histoire de deux marchés parallèles bien que nécessairement interconnectés. L'un déborde de mensonges et de statistiques gouvernementales (mais nous nous répétons) ; l'autre est peuplé d'individus en fuite, réagissant par désespoir à des injustices qui leur sont imposées par des leaders kleptomanes. Il y a un jeu pour les pillards et un jeu pour ceux qui tentent de fuir. Ou plutôt, il s'agit de deux aspects du même jeu... les faces opposées d'une même pièce de monnaie, de plus en plus dévalorisée.
 
La « guerre des monnaies » renforcée en 2013 - Le Figaro : Le recours aux planches à billets dans les pays développés heurte les intérêts des émergents.
Après une légère accalmie, la «guerre des changes» entre pays développés et émergents risque de repartir de plus belle en 2013, sous l'effet de la crise et des politiques de soutien des banques centrales.
 
Le Brésil menace de relancer la "guerre des devises" - Capital.fr : : Le Brésil a menacé vendredi d'adopter de nouvelles mesures contre les mouvements de capitaux étrangers à visées spéculatives, un tir de semonce dans une "guerre des devises" dont il rend responsable le recours massif à la planche à billets par les grandes banques centrales
 
Il me semble très important de regarder ce document .

Amitiés

The Collectivist Conspiracy

This is a PrisonPlanet.TV's exclusive interview with G.Edward Griffin released in the beginning of last year (2011). I think the interview is very pertinent to the Japanese people as well, because the situation is so similar that you could almost always state the identical thing for Japan by merely changing some name to the Japanese one in any given case. But the Japanese politics is, I think, murkier than the US's. Sometimes it's not clear which institution or name that plays a certain role in politics. The interview is quite long so I made a table of contents as follows:



 
 
 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 


0:00:19 Introduction
0:01:12 The Collectivist Ideology
0:03:13 The Truth Behind the Left-Right Paradigm
0:08:28 The Tea Party Movement
0:13:46 The Things That Both Republican and Democrat Agree With
0:17:15 Ron Paul's Popularity
0:20:29 The Real Value of Voting
0:23:49 Professional Politicians
0:26:24 Tactics Used by Right Wingers and Left Wingers
0:30:52 Very Wealthy Families and Political Strategies
0:32:56 A Strategy Behind Achieving Securities
0:34:30 Tax Exempt Foundations
0:37:29 The American Government Is No Longer the One It Used to Be
0:43:07 When Did America become Dictatorship?
0:43:49 Hillary Clinton's Video Clip
0:45:43 Are the Elitists Worry About People Becoming Aware?
0:47:35 The Drift Toward the World Government
0:54:49 A Simple Ideal for the Freedom Movement
0:59:51 Phony Wresting Match
1:01:48 Glenn Beck
1:02:47 FOX News Network
1:05:06 The Politics of Hatred
1:07:57 The Monopoly Capitalist's Conspiracies
1:13:22 Bank Bailouts
1:17:37 Is the Tea Party Movement Valuable?
1:19:05 The Film, "What in the World Are They Spraying?"





[PDF]  guerre des monnaies.A.pdf - Cours Seko

source : Le blues du peso argentin | La Chronique Agora,  le système monétaire international, les accords de Bretton Woods ,  masse monétaire,
Tags : la "guerre des monnaies", Quantitative easing, QE, économie, finance, capitalisme, néolibéralisme, marchés monétaires, récession, taux de change, ministre des finances, Guido Mantega, peso argentin, crise, crise de l'euro, la "guerre des devises, devises
​ 2 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (18.215.185.97) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 18 janvier 2013 10:29

Modifié le samedi 19 janvier 2013 06:51

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile