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10 articles taggés Goldman Sachs

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Où va la Pologne ?


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Pour moi, tout courant d'idée qui admet la dictature — franche ou estompée, «droite» ou «gauche» — est au fond, objectivement et essentiellement, fasciste.
Pour moi, le fascisme est surtout l'idée de mener les masses par une «minorité», par un parti politique, par un dictateur. Le fascisme, au point de vue psychologique et idéologique, est l'idée de la dictature.
VOLINE
 
Voici une vidéo réalisée sur la chanson "Allons enfants..." de la Canaille. Nous vivons en ce moment des passages difficiles ou il est très facile de sombrer dans le communautarisme ou le repli national et ainsi faire le jeu des extrêmes. J'ai voulu réaliser cette vidéo pour montrer que cela est dangereux car l'on a vu par le passé ce que cela peut engendrer. On peut avoir envie de vouloir défendre son pays, ses idées son modèle de vie, ses croyances, mais la ou cela devient dangereux c'est lorsque l'on veut les imposer aux autres...
 
 
FASCISME ET CAPITALISME
 
Quand la production capitaliste entre en crise profonde et ne peut plus subvenir aux besoins élémentaires du plus grand nombre (chômage massif, inflation galopante, etc.), quand une situation révolutionnaire menace, la démocratie représentative peut s'avérer incontrôlable. C'est ce qui s'est produit en Allemagne dans les années 1930.
 
La grande bourgeoisie industrielle et financière, menacée dans ses privilèges, peut alors choisir des moyens exceptionnels de contrôle et de domination – autoritaires et totalitaires. Les partis et mouvements fascistes, jusqu'alors en réserve, deviennent le recours attendu.
Pour Larry Portis, « le fascisme existe à l'état latent, ou larvé, à l'intérieur même des institutions politiques libérales, dites démocratiques ».
Extrait de Qu'est-ce que le fascisme ?

 
" Gare alors aux troupeaux de tondeurs, car là ou il y a il y a un troupeau, il y aura forcément des tondeurs et des mangeurs de troupeau" - Bakounine
 
Flores Magon avec la "macron-isation des mentalités et le retour des bigots toutes religions confondues, cette citation n'a jamais été autant d'actualité


De Orbán à Trump, on assiste à une instrumentalisation croissante du phénomène religieux comme véritable marqueur ethnique et identitaire. Une monstruosité politique qui est donc loin d'être purement américaine.



 
 Où va la Pologne ? - Le film | ARTE Info : Nourri des images de manifestations qui ont fait l'actualité, celles en faveur du droit à l'avortement comme celles des militants conservateurs, ce documentaire ausculte la fracture d'une Pologne "au bord de la guerre civile".

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Ou va la Pologne ? - YouTube
La Pologne s'interrogeait, dimanche 12 novembre, au lendemain d'une fête de l'indépendance sous haute tension dans les rues de Varsovie. Samedi, quelque 60 000 personnes ont participé à une marche nationaliste, à l'appel de l'extrême droite.
 
60 000 manifestants à Varsovie, pour la défense de la "Pologne pure, la Pologne blanche".
Des manifestants d'extrême droite venue de toute l'Europe.
Une des plus grosses manifestations de ce type depuis très longtemps qui doit nous amener à réfléchir et à nous préparer nous aussi.
A lire « Il se joue actuellement en Pologne quelque chose qui ne fait réagir personne »

 



Le rassemblement se tenait sous le mot d'ordre officiel « Nous voulons Dieu », une expression rappelant un chant catholique interprété parfois aujourd'hui comme un rejet de l'islam, auquel le président américain Donald Trump ( Hate in Trump's America )  avait fait référence en juillet, lors d'une visite à Varsovie. Le président américain avait alors félicité la Pologne pour sa défense « de la civilisation occidentale ». A l'unisson, les manifestants ont scandé samedi des slogans appelants à la violence et à la xénophobie, tels que « La Pologne pure, la Pologne blanche ».


Cette « Marsz Niepodległości », inaugurée en 2009 et réputée comme le plus grand événement fasciste et nationaliste d'Europe, a rassemblé des participants venus de divers horizons européens. Une participation saluée par certains des orateurs à l'origine du rassemblement, qui ont martelé que « la culture chrétienne est supérieure à la culture islamique ».
 
Pas de condamnation
 
 
 
Nourri des images de manifestations qui ont fait l'actualité, celles en faveur du droit à l'avortement comme celles des militants conservateurs, ce documentaire ausculte la fracture d'une Pologne "au bord de la guerre civile".

 
Depuis l'arrivée au pouvoir du parti conservateur de Jaroslaw Kaczynski, les lois liberticides se multiplient en Pologne. Ce documentaire, réalisé par un journaliste qui fut le correspondant de la chaîne ARD à Varsovie dans les années 1980, fait un parallèle entre la révolution populaire de cette époque, menée par Solidarnosc, et les bouleversements qui fracturent aujourd'hui le pays. Il existe désormais deux Polognes, irréconciliables et "au bord de la guerre civile", estime Lech Walesa, rencontré sur l'ancien chantier naval Lénine, transformé en musée consacré à son mouvement.
 
Villes contre campagnes
Mardi 15 novembre
23.50
 
Où va la Pologne ?
Nourri des images de manifestations qui ont fait l'actualité, celles en faveur du droit à l'avortement comme celles des militants conservateurs, ce documentaire ausculte la fracture d'une Pologne "au bord de la guerre civile".
 

Les deux camps s'affrontent dans le film, à travers des images fortes. Des foules agitent des drapeaux européens et polonais, entonnant des slogans pour sauver une démocratie en danger et défendre le droit à l'avortement. Face à eux, d'autres foules brandissent des crucifix, se signant sans cesse, manifestant leur adoration pour Jaroslaw Kaczynski et son défunt jumeau Lech, érigé en héros, et glorifiant la famille catholique et son fort taux de natalité. Leurs manifestations réglées au cordeau rappellent celles de l'ère communiste. Une Pologne des campagnes, nationaliste et catholique, contre une Pologne des villes, ouverte au monde et proeuropéenne. Ce film fait aussi intervenir des journalistes, des prêtres, des militants des deux camps, et des personnalités emblématiques : Lech Walesa, son ancien compagnon de lutte, le journaliste Adam Michnik, le cinéaste Andrzej Wajda, disparu récemment, et le fondateur du Comité de défense de la démocratie (KOD) Mateusz Kijowski.
 
Un exemple parmi d'autre Etats-Unis : Steven Mnuchin, ancien de Goldman Sachs, nommé secrétaire au Trésor le 30/ 11/2016 Alors que Donald Trump n'a eu cesse de fustiger « les élites de la finance » pendant la campagne présidentielle, Steven Mnuchin, qui a travaillé pour la banque Goldman Sachs, annonce qu'il sera secrétaire au Trésor dans la prochaine administration américaine. 
Donald Trump : la première « marque » présidentielle

La Maison Blanche se désintéresse des détails du législatif et se concentre sur la promotion de la « marque » Trump. Les médias peinent à dépeindre Donald Trump. Goldman Sachs et la Maison Blanche, une histoire d'allers-retours et d'intérêts bien compris A lire La marque Trump, la «diplomatie du caviar»


Donald Trump ne fait pas exception, en dépit de son discours hostile aux élites, annonçant d'emblée l'arrivée de trois anciens « Goldman boys » à des postes-clés. ( mis en ligne un article de trump du monde)
 
S'il est une entreprise qui est sortie gagnante de l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis, c'est bien la banque d'affaires Goldman Sachs, dont le cours en Bourse s'est amélioré d'un tiers depuis le 8 novembre. Institution financière réputée, Goldman Sachs a longtemps été le lieu d'où venaient et où atterrissaient les hauts fonctionnaires, du Trésor en particulier, suivant la dynamique desrevolving doors (« portes tambour », en français, c'est-à-dire le passage du public au privé).
 
L'actuel dirigeant de la banque, Lloyd Blankfein, a lui-même estimé que celui, dont il ne pouvait pas « imaginer » quelques mois plus tôt « qu'il ait le pouvoir nucléaire », était un « gars intelligent » :« M. Trump pourrait se révéler un bien meilleur président que tous les gens qui ont occupé cette place », saluait-il dernièrement.


Ce travail quantitatif ne permet pas de visualiser la totalité des liens entre la banque et le pouvoir politique, mais il permet d'en tracer les grandes lignes. Premier enseignement, c'est sous l'administration Bush que la pieuvre a étendu ses ramifications, avec le plus de puissance, en nombre d'employés recrutés mais aussi d'organismes pénétrés.

 








 
 

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La Canaille: "Jamais Nationale"
 

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1 En Pologne, 60 000 personnes défilent à l'appel de l'extrême droite

La marque Trump , 
Seulement un mauvais rêve ? : citoyen actif


A lire La Finance imaginaire, Le gouvernement Trump, Le gouvernement TRUMP Par Enkolo dans Accueil le 9 Novembre 2016, Le gouvernement Trump, 09/11/2016 Quel président pour l'Amérique ? ,


SOURCE: 
 Seulement un mauvais rêve ? : citoyen actif, Où va la Pologne ?, 13 novembre 2017 LE MONDE ENTIER DEVIENT FASCISTE ,  Ou va la Pologne ?, Extrait de Qu'est-ce que le fascisme ?, Ou va la Pologne? blog enkolo
 
This entry was posted in Texts in all languages, Texts in English and tagged crisis, International bulletin about crisis, Paris, RISC, Why talk of “crisis?”. Bookmark the permalink.
 Traduit de Why talk of “crisis?” Posted on 5 juin 2012 by risc
 Accueil /Etats Unis, racisme /'America First', really?
12 novembre 2017lA MARQUE TRUMP

L'oeil de Moscou - : citoyen actif :  Le Système Poutine,le populisme au féminin - Par Enkolo dans Accueil le 20 Octobre 2016 ,  1 En Pologne, 60 000 personnes défilent à l'appel de l'extrême droite , Seulement un mauvais rêve ? : citoyen actif, Où va la Pologne ?, 13 novembre 2017 LE MONDE ENTIER DEVIENT FASCISTE ,  Ou va la Pologne ?, Qu'est-ce que le fascisme ? -   citizenkhane, citoyenactif
 
Accueil /Racisme /Ou va la Pologne ? - citizenkane



 
A lire La Finance imaginaire, Le gouvernement Trump, Le gouvernement TRUMP Par Enkolo dans Accueil le 9 Novembre 2016, Le gouvernement Trump, 09/11/2016 Quel président pour l'Amérique ? , La marque Trump - Enkolo




Tags : ou va la pologne ?, documentaire, pologne, arte, racisme, fascisme, Hate in Trump's America, La marque Trump, Goldman Sachs, Donald Trump
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#Posté le dimanche 12 novembre 2017 16:39

Modifié le jeudi 18 janvier 2018 17:18

Fight Club

 
 
 
n
Fight Club
 
 
 
"La révolution veut changer les institutions. La révolte consiste à refuser de se laisser gouverner par des institutions." 
(Max Stirner)
 

 
Quand hier j'ai entendu meugler les "vive la France" avec un engouement n'ayant d'équivalent que la collaboration des années 40; 
je me suis dit la situation sociale est mûr pour la tyrannie et le fascisme. Peut être commencer à chercher des maquis.
Seul lueur au tableau au milieu des bagnoles qui gueulaient "vive la France" une équipe est sortie des HLM en leur répondant "mais on l'emmerde ta France!!"
 
Alors qu'un collectif antifasciste vient de voir le jour, suite à la mobilisation contre Pegida le 2 juillet, Solidaires Dieppe nous a fait parvenir un communiqué pour dénoncer la répression qui, une fois de plus, a visé les antifascistes :La police préfère s'en prendre aux militants antifascistes plutôt que d'empêcher l'extrême droite xénophobe de se déplacer librement dans les rues de Dieppe.


BANDE ANNONCE  : Fight Club - Le film noir du consommateur - YouTube « Est-ce que Fight Club est un bon film ? Il est tellement bourré d'idées explosives et d'humour féroce que les gardiens de la moralité se mettent à crier : "Danger !" C'est donc un bon film. » (magazine Rolling Stone) Fight Club (1999) - Critique du Film
 

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Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer ! État libéral dégénéré : « [...] iL'argent sans foi ni loi 2, mis sur facebook
 
" Je vois ici les hommes les plus intelligents et les plus forts que je n'ai jamais vu. Je vois un potentiel, et je le vois gaché. Je vois une génération entière qui travaille a des pompes a essence, qui fait le service dans les restos, qui est un esclave d'un petit chef dans un bureau. La Pub nous fait courrir après des voitures, des fringues. On fait des boulots que l'on déteste et qui ne servent a rien. On est les enfants oubliés de l'Histoire mes amis, on n'a pas de but ni de vraie place, on n'a pas de Grande guerre pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirutuelle, notre grande dépression, c'est nos vies. La télévision nous fait croire qu'un jour on sera tous millionnaires, des dieux du cinema ou des rockstars, mais c'est faux... et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment plein le cul !" Tyler Durden
 
Le Monde - 741741 - 153 partages
n « Outre le trouble à l'ordre public d'une publicité qui peut être vue par des mineurs, ce site est une violence faite aux femmes. Derrière ces images dorées, des jeunes peuvent tomber dans la prostitution. Nous voulons une enquête qui pourrait amener à des poursuites pour proxénétisme. » n La justice saisie à propos d'une publicité qui inciterait les étudiant(e) s à la prostitution LEMONDE.FR

Black Mirror trailer / 

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A voir  º-ºblack.mirror.s01e02.720p hdtv x264


William Shakespeare La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent généreusement à leur donner, s'ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu'ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d'absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d'abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation.

L'Incroyable histoire de la télé-réalité

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A lire  Le Temps de Cerveau Disponible (FR), Game2: Winter , LE CRIMINEL, C'EST L'ÉLECTEUR !



  « Choisir ces chefs, c'est juste choisir qui nous mènera a l'abattoir »
Le père nouel,c'est pas un mec fréquentable : il bosse un jour par an...un peu comme un patron...moi,j'y écris plus , malgré ses lettres de relance

sous les apparences du rêve, ce qu'ils trouveront ici, c'est la réalité. (...) C'est exactement le contraire de ce qu'ils peuvent voir sur les écrans. 
Globalia, Jean-Christophe Rufin, éd. Folio, 2005 (ISBN 2-07-0309018-5), association Walden, p. 186

 
 
Princesses, Pop Stars & Girl Power - vidéo Dailymotion

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a lire aussi 31/10/2016 Princesses, pop stars & girl power , Princesses, pop stars & girl powerCréé le vendredi 28 octobre 2016 La dictature de l'immédiateté



Nouveau gouvernement : le changement dans la continuité LATRIBUNE.FR la publication de La Tribune.  
LETTRE À NOS COUSINS D'AMÉRIQUE - Trump est élu. Trêve de bavardages.Trump est élu. Trêve de bavardages.LUNDI.AM

Voila bien l'étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l'Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n'aspirent finalement qu'à se laisser aller dans la danse macabre du système de l'aliénation. L'oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d'occulter notre condition d'esclave.

 l'incroyable histoire de la tele realité demain 20h55 W9 21 9 2015 part TV LOBOTOMIE"
 

Black Mirror - La société du futur, une prison virtuelle

 

4ème de couverture : Tu ne comprends pas, Kate. Ce sera partout la même chose. Partout nous serons en globalia. Partout nous retrouverons cette civilisation que je déteste.


Evidemment, Puisqu'il n'y en a qu'une ! Aurais-tu la nostalgie du temps ou il y avait des nations différentes qui n'arrêtaient pas de se faire la guerre ? Tu me récites la propagande que tu as apprise comme nous tous. Globalia, c'est la liberté ! Globalia, c'est la sécurité ! Globalia, c'est le bonheur !  Kate prit l'air vexé. Le mot de propagande était blessant. Moi, reprit Baïkal d'un  ton passionné, je continue à croire qu'il existe un ailleurs. 
Un grand roman d'aventures et d'amour, par l'auteur de l'Abyssin et de rouge Brésil (prix Goncourt 2001). Mais aussi une fable visionnaire sur la mondialisation. 
 
P219 , le passé était englouti au fur et à mesure. Un mois paraissait aussi lointain qu'un siècle. Les titres de l'actualité disparaissaient d'une semaine à l'autre.

Dans une société qui donnait a chacun la possibilité du plein épanouissement jusqu'au age les plus avancée de la vie. Les femmes étaient habillé de textile  fluo , le corps et le visage tenu dans une éternelle jeunesse grâce aux sport et a la chirurgie esthétique. Exhibé avec  tranquillité  son abandon,  et la lenteur, aux marques que le temps  imprime sur le corps, revendiquer ouvertement son mépris du corps , du mouvement, de la couleur, de la santé, en un mot des règle de la société, était une insulte à la collectivité, que tout autre aurait payé d'un rigoureux bannissement. Mais c'était Ron Altman. Un nombre infime qui pouvait d'afficher une telle apparence et que nul n'ignorait - sans en connaitre ouvertement ses pouvoirs - l'influence de cette minuscule élite que l'on ne voyait jamais.
 
 
 
Nip Tuck - Générique - YouTube : Nip/Tuck - Official Trailer - YouTube

 
Nip/Tuck est une série télévisée américaine en 100 épisodes de 45 minutes, créée par Ryan Murphy et diffusée du 22 juillet 2003 au 3 mars 2010 sur FX.Wikipédia : Nip/Tuck : Best of season 1 - YouTube
 
Avec l'allongement de la durée de vie, les pratiques charnelles requerraient de plus en plus de la stimulation. l'amour en public, grâce a de mintes techniques pour voir sans être vu, un classique du genre et faisait régulièrement la une des magazines consacré a la santé. 
 
A lire aussi 
Imprime-moi un organe : la bio-impression 3D – Télérama.fr : A lire 29/10/2017Notre avenir en pièces détachées


.Loin d'être anecdotique, elle pousse fabricants cosmétiques et groupes pharmaceutiques à élargir leurs solutions de tests et d'essais. Plus les consommateurs demanderont du "sans cruauté animale", plus la demande pour les tissus bio-imprimés sera forte, et portera les résultats des entreprises du secteur
 

P282 dans Globalia Cette villa faisait étalage de ce qui est désormais le bien le plus rare : l'espace. L'immense majorité des globaliens s'entassait dans des logements chers et minuscules

Etudiants, l'avenir à crédit - Fipa 2017  
A lire «Le monde selon Trump», Le 15 décembre 2016 à 19h57
les rêves de grandeur de Vladimir Poutine, Jeux de pouvoirs Créé le dimanche 11 décembre 2016
Hollywood Action movies 2016 - Fight Club 10th Anniversary Edition 1999 - 720p Full English
 

 Le deep learning — Science étonnante #27
En la matière, IBM est une référence, grâce à son IA Watson. Watson s'est fait connaître en 2011 en gagnant au jeu télévisé Jeopardy! (un jeu télévisé américain dans lesquels les candidats doivent non pas répondre à des questions mais trouver les questions correspondant aux réponses).
 
Jeopardy Series 1 Episode 1 - YouTube



Cela peut rappeler le film visionnaire Truman Show.... Comme l'histoire se répète et se croise :
Articles de l-indigne taggés "The Truman Show" - 

Mais ce que cette intelligence artificielle est en train de réaliser dans le domaine de la santé est encore plus impressionnant. A lire l'intelligence artificielle


 
Donc (pour celles et ceux qui avaient encore espoir en leur députés ou qui croyaient encore que nous étions en démocratie), la motion de censure n est pas déposée a cause des traites habituels de radicaux de gauche, baylet en tête. A la rue de renverser ce pouvoir corrompu et il ne reste pas beaucoup de temps pour changer de système (pas juste de gouvernement ou de teinte de couleur politique), bientôt ça sera pire.
 
Jusqu'au jour où, toujours plus nombreux, nous aurons décidé de les chasser, de les exproprier et de prendre nos vies en mains.
Avec, en tête, la mémoire de nos ainés martyrisés qui ont mille fois rêvé cette émancipation sociale que nous n'osons pas encore, mais que nous sommes pleinement en mesure de réaliser.
Viennent le temps des cerises et la fin du monde autoritaire.
 
A lire 08/06/2017
Le paradoxe de notre époque

Effectivement, nous sommes au c½ur de ce paradoxe : c'est parce que nous ne sommes pas grand chose pour cette société que nous en sommes quelque part, un peu libérés. Nous on n'a pas misé un kopec sur ce monde alors on a pas besoin de faire l'autruche à mesure qu'il s'enfonce. Si on y réfléchit, on ne lutte pas contre la précarité mais à partir d'elle.

 Loi Travail : des étudiants s'expriment sur la « jeunesse » du mouvement - .publié le 22 mars.LUNDI.AM- publié le 22 mars. LUNDI.AM
 
Selon Le Monde Personne ne peut lui échapper, c'est un véritable phénomènedes ,Pokémon GO occupe une bonne partie de l'actualité vidéoludique mais aussi internationale. Entre faits divers, rencontres inattendues et chasse au Pokémon, le jeu de Niantic Labs a réussi à porter de nombreux gamers sur les routes du monde entier. Les dollars pleuvent pour Nintendo alors que ce titre vient à peine de sortir sur mobiles. C'est une "vraie réussite pour le constructeur japonais .
 
Pokemon Go arrive officiellement en AllemagnePar hefigaro.fr avec AFP A lire l Running Man , Game2: Winter Créé le dimanche 18 décembre 2016,  Akira Mercredi 14 décembre 2016 , Fight Club Créé le mercredi 06 juillet 2016:Jeux video - Les nouveaux maitres du monde Créé le mercredi 16 novembre 2016 "I Love Democracy : USA "Créé le dimanche 06 novembre Le jeu s'est imposé auprès de tous les publics, virant quasiment à la folie - avec des effets qui vont du cocasse au dangereux. 

Pixies - Where is my Mind(Fight Club Soundtrack) HQ ? 
Jeux video - Les nouveaux maitres du monde

 
cher galabru, et  Borat , merci d'avoir réalisé en fiction mon rêve le plus cher.............
 Kamikaze (1986)
 

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God bless America Bande annonce VF - YouTube :  Kamikaze (1986)  Kamikaze (1986) Michel Galabru en croisade contre la médiocrité télévisuelle !  The Truman Show - Bande Annonce  The Truman Show Ending Scene (HD)  
 
Kamikaze (part1)

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08/02/2016
God Bless America
 


 
Best Part of Requiem for a Dream
>
Requiem for a dream - Marion and Harry , Requiem for a Dream Full Movie - YouTube, Requiem for a Dream 2000 Movie - Ellen Burstyn & Jared Leto


Source Notre avenir en pièces détachées Cécile Chevré 
 
03/05/2015
Globalia. JC Ruffin

Les Marchands de la ,peur
Fight Club
Articles de l-indigne taggés "globalia" - l'indigné révolté- Skyrock.com
10/04/2012
La Fontaine de Jouvence
 
04/06/2017
l'intelligence artificielle

La sécurité, première des libertés ? Histoire d'une formule
Antisocial
Stephen King | Le mal nécessaire | ARTE

La Guerre des mondes selon Orson Welles
Akira, METRONOM, L'extravagant Mr Deed, 
Brazil (1985), Badlands, Fight Club
Confinés en automne, confinés dans un film de Tim de Burton - Le Billet de Charline

 
God Bless America 2011 720p| Comedy Movies ... - YouTube
God Bless America
God Bless America (2011) Full Movie HD Official
 Black Mirror trailer / 
º-ºblack.mirror.s01e02.720p hdtv x264
 Pubs des années 70
 

Online anschauen Fight Club 1999

 
Fight Club (1999) Full Movie David Fincher - YouTube
 
Fight Club Audiobook


n Fight Club 1999 - full movie


 
L'union fait la force Hors Contrôle
Les films et docs exprimants la rebellions, la recherche de soi, le spleen adolescent...
Control, LAST DAYS -2005, Renoir, Badlands, Fight Club, 
On Achève Bien Les Chevaux, Thelma and Louise 1991, 
Akira, Chante Ton Bac D'abord
 
 Nous ouvriers Nos mains ont reconstruit la France Episode 1 - YouTube
UN OUVRIER DE L'INDUSTRIE AUTOMOBILE 1968
L'envers de la méfaille
L'union fait la force
Les Camarades
Ballade pour une reine
Globalia de Jean Christophe Ruffin 
L'ouvrier et la machine
 "Nous, ouvriers"

 
Nous, ouvriers  Par Enkolo dans Accueil le 6 Juillet 2016 
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 La finance imaginaire Par Enkolo dans Accueil le 4 Juillet 2016 
n Nous, ouvriers"
 
Yannis Youlountas
https://www.youtube.com/watch?v=wGrdG85mmL0
 
Dieppe : la police avec Pegida contre les antifas
227);">0  Imprimer ce billet
SUPER MÂCHÉ !

 



Chacun sa version : "À l'ouest rien de nouveau"
Créé le lundi 30 juin 2014
 

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 13h32 13 juil. 2016 Saga Pokemon Go
Géants du net : ennemis d'Etat Par Enkolo dans Accueil le 12 Juillet 2016
Fight Club - l'indigné révolté

Un ½il sur vous, citoyens sous surveillance" ARTE
Créé le vendredi 26 juin 2015 
 
Débat anarchisme et marxisme, l'enregistrement - site alternative libertaire


Le MONDE SOUS SURVEILLANCE / 19/07/2016

 
George Orwell : 1984 #Posté le lundi 21 janvier 2013 



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Jeux video - Les nouveaux maitres du monde
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31/10/2016
Princesses, pop stars & girl power


 
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 C'EST ARRIVÉ PRÈS DE CHEZ VOUS [film complet] (1992 ...
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"Le Canard enchaîné" s'est intéressé à la très lucrative entreprise de conseil de François Fillon (dont il ne parle jamais)


04/12/2016
VIVE L'ABSTENTION 
Etienne de la Boetie
berurier noir - vivre libre ou mourir
LE CRIMINEL, C'EST L'ÉLECTEUR ! Créé le dimanche 04 décembre 2016
"Souvenirs d'un révolté"
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02Que pèse réellement l'extrême droite en Europe ?
VIVE L'ABSTENTION Publié le 04/12/2016  par saltabank


06/12/2016
Electricité le montant de la facture
Hongrie, une démocratie aux pieds d'argile.
Créé le vendredi 02 décembre 2016 
 
Un livre d'anticiption décrivant notre sytème , que je conseil au même titre qu'Orwells décrivait dans 1984 un monde futuriste ou les 3 dictatures héritiers de la guerre froide régnerait sur les peuples à défaut depuvoir s'anniler.
Sources
Sources
RISC – Revue Internationale Sur la Crise | Paris :
revue risc | Tant qu'il y aura de l'argent ...
André Gorz
 
La sortie du capitalisme a déjà commencé
Version en ligne sur le site d'ÉcoRev
et publiée dans Écologica (Galilée, 2008)
 
Capitalisme : Le triomphe de l'argent roi
George Orwell. De la guerre civile espagnole à 1984
 Comprendre le capitalisme japonais
Et si Karl Marx avait raison ?
Andre Gorz

 
08/06/2017 Le paradoxe de notre époque

 
La Boetie Par Enkolo dans Accueil le 28 Septembre 2016

Mr. Robot Créé le mardi 25 octobre 2016 0
Mon flic, ce robot Créé le mercredi 08 juin 2016
 A lire : Corruption à la FIFA




16/11/2016
Jeux vidéo : les nouveaux maîtres du monde
Fight Club


31/10/2016
Princesses, pop stars & girl power
Fight Club - Eyes on Fire Music Video
Game2: Winter




LE PARADOXE DE NOTRE ÉPOQUE 26 OCTOBRE 2017

JE RETOURNE VIVRE CHEZ MES PARENTS...EXCLUSIF - «La situation du nucléaire est très préoccupante», selon le président de l'Autorité de sûreté
A lire : Pierre-Franck Chevet: «Il faut repenser le contrôle du nucléaire»
n EDF: Greenpeace alerte sur l'avenir du groupe, Electricité le montant de la facture - YouTube
Tags : Fight Club, 1999, Movie, film, crise, capitalisme, rebellion, loi travail, Pokémon GO, Pubs des années 70, culture pub, god bless america, kamikaze, (1986), films, movie, critiques, médias, The Truman Show, Black Mirror, L’Incroyable histoire de la télé-réalité, Classes moyennes, pauvres demain? -, VIVE L'ABSTENTION, Electricité le montant de la facture, documentaire, ARTE, paupérisation, LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ?, Pourquoi parler de crise ?, revue risc, Goldman Sachs, États-Unis. Trump et son équipe de milliardaires, Les milliards de Moscou -, «Le monde selon Trump», l'intelligence artificielle, Globalia, Jean-Christophe Rufin, globalia., jc ruffin, livre, surveillance, controle, démocratie, sous surveillance par didier cros, le réalisateur, didier cros, centre de détention de châteaudun, les marchands de peur. la bande à bauer, l’idéologie sécuritaire, sous surveillance, union européenne, : la ratification, l’accord, colombie, pérou, une honte »., webdocumentaire, arte, france 5, proche-orient, coalition, terrorisme, daech, conflit armé, les guerres cachées contre daech, enquête, sociologique, politique, peuple, oligarchies, mouvements, indignés, démocratie réelle, globlien, citoyen connecté, vendre, vie privée, contre sociabilité, le sénat, enquête sur les superprivilégiés de la république, l'actu médias net, attentats du 13 novembre, libertés publiques, manuel valls, « minority report », spielberg, citoyen actif, Le film noir du consommateur, Etudiants, l'avenir à crédit, Requiem for a Dream, Les nouveaux Jackpots des Laboratoires, Le paradoxe de notre époque, Princesses, pop stars & girl power, La dictature de l'immédiateté, Black mirror
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#Posté le mercredi 06 juillet 2016 10:48

Modifié le dimanche 01 novembre 2020 08:31

Bye Bye L'Euro

  
L'éclairage. Ce n'est pas l'Europe en tant que telle qui est la cause du malheur des peuples, mais l'idéologie ultralibérale de ceux qui la dirigent. Ressusciter le "projet européen," celui de la solidarité et de l'entraide, est une question de survie. selon Le Monde
 
L'enfoncement dans la crise est aujourd'hui manifeste. Le terme de crise est un peu galvaudé et il faut distinguer ici trois sortes de crises auxquelles le capitalisme est confronté : crises périodiques, crises de régulation et crises systémiques. La crise actuelle est évidemment autre chose qu'une crise périodique : c'est de toute évidence une crise de régulation, autrement dit : une crise de la forme néolibérale du capitalisme. Mais celle-ci est suffisamment profonde pour contenir les éléments d'une crise systémique.
 
Les fractures européennes : La montée des nationalismes et de l'euroscepticisme en Europe conduisent à un continent morcelé et fracturé.
Avec Christian Makarian, directeur délégué de la rédaction de l'Express.
(ré)écouter cette émissiondisponible jusqu'au 21/01/2019 04h06

s'abonner au podcast via iTunes s'abonner au podcast via RSS
 
le capitalisme est le règne d'une extorsion invisible, il s'accapare la production collective au profit du détenteur du capital ( capitaliste). Pour cela au court de l'histoire remplaçant la monarchie il se base sur cette idée originellement subjective de propriété privée des moyens de production afin que cette minorité d'exploiteurs vivent sur le travail et les dépenses du plus grand nombre ( le prolétariat ou pour faire court le peuple) ;


L'Europe en ce moment ? C'est le bordel ! Entre le gouvernement belge qui se dissout deux mois avant que le plat pays prenne la tête de la présidence tournante de l'UE, les rumeurs de démission de Mrs. PESC Lady Ashton et la crise grecque qui place les membres de la zone euro face à leurs contradictions, beaucoup d'entre-nous tournent le dos à l'europhilie naïve. Du coup, le discours de Lukas Reimann, l'intransigeant eurosceptique suisse ( membre du TEAM : risque de développement des mouvements nationalistes et racistes ( voir Politiquement incorrects : la nouvelle droite radicale en Europe ), se retrouve aussi dans la bouche de jeunes européens, et c'est la cohésion de l'Europe, de plus en plus divisée entre les PIIGS et les Etats solvables, qu


Je suis assez d'accord avec Pierre Laurent Pierre Laurent : "Une sortie de la zone euro n'empêche pas la pression des marchés" 
 
  « C'est un débat qui existe dans la gauche européenne et dans la gauche française, c'est évident. Je crois que la leçon qu'il faut tirer de ce qui s'est passé, c'est qu'il n'y a pas de solution à la crise avec le maintien des politiques européennes actuelles. Et une sortie de la zone euro laisserait n'importe quel pays qui la pratiquerait devant la même pression des marchés financiers, voire une pression décuplée et une dévaluation nationale plus grave encore. Une sortie de la zone euro, sans changement des politiques européennes de manière générale, risquerait aujourd'hui de déboucher pour un peuple, à la fois sur la sortie et à la fois sur des politiques d'austérité »


« Puisque les solutions apportées par Tsipras étaient totalement viables et elles restent praticables dans la zone euro. Ce n'est pas la zone euro qui les empêche mais la décision politique prise par les dirigeants allemands et un certain nombre d'autres dirigeants européens de rendre impossible l'expérience politique de Syriza. Aujourd'hui, ils en ont même rajouté dans la punition financière, économique et politique, pour continuer à faire cette démonstration. Une des grandes leçons de ce qui s'est passé est que la France, lorsqu'elle a mis tout son poids dans la balance pour empêcher le Grexit qui était ouvertement réclamé par les Allemands, a réussi son entreprise. Le problème est que le président de la République n'a pas utilisé cette capacité de faire bouger les lignes pour impulser une véritable alternative »
 
L'économie, mode d'emploi Qu'est ce que la spéculation ? - YouTube

 
Exploitation des rumeurs 
Ces stratégies «gagnant gagnant» ne marchent pas toujours. L'un des plus célèbres gestionnaires de «hedge funds», John Paulson, qui a beaucoup gagné en misant contre les «subprime» en 2008, se retrouve aujourd'hui en grande difficulté. En début d'année, il affirmait sa confiance dans les actions. Une erreur qui lui coûte cher : selon Bloomberg, son fonds principal aurait perdu 11 % lors de la première semaine d'août. Et la contre-performance atteindrait 31 % depuis janvier. Mais cette bête blessée peut encore faire mal : «un fonds en difficulté profite toujours des périodes troublées, ­comme celle que nous vivons en ce moment, pour se refaire : il exploite les moindres rumeurs pour entraîner les marchés derrière lui» , confie, amer, un banquier français.
Voir la vidéo Ils font autrement (2): vivre sans l'euro - no Dailymotion



Le journal Les Echos reste confiant et, sur les marchés, tout va pour le mieux.  Les Echos évoque une hausse du taux directeur de la Fed dès septembre et estime qu'il s'agirait "d'un facteur de tension".


Économiste et professeur à Sciences-Po, Jacques Généreux était vendredi l'invité de Parlons net , l'émission de France Info en partenariat avec lepoint.fr et d'autres grands sites d'information. Pour celui qui a quitté le PS et rejoint le Parti de gauche, le plan européen pour sauver l'euro est une aberration. Les gouvernements auraient dû accompagner leur plan de sauvetage d'une série de mesures fortes pour s'attaquer aux spéculateurs. Quant aux plans de rigueur que mettent en place les gouvernements européens, ils ne sont destinés qu'à faire plaisir aux marchés.
 
ÉCOUTEZ - Jacques Généreux à propos du plan de secours européen ( durée 1'04''35"') L'économiste montre que dans des situation comme celle-ci, on aimerait bien que cela se traduise par un report des votes a gauche, malheureusement cela se traduit par une montée du fasciste ( voir Politiquement incorrects : la nouvelle droite radicale en Europe) . 


Pour tout les populistes, les souverainistes de droite ou de gauche qui s'imagine que des politiques souverainistes comme la sortir de la zone euro permettrait de régler les problématiques liés aux systeme capitalistes est contredit dans ce très bon docu-fiction.
 
Bye Bye L'Euro Documentaire 2015

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n


Un scenario dans lequel la France sortirait de la zone euro est-il possible ? Est-il souhaitable ? Que se passerait-il si le franc circulait à nouveau dans l'Hexagone, comme le veulent certains économistes et certains hommes politiques ? Ce documentaire met en scène une situation fictive : l'abandon par l'Italie, puis par la France, de la monnaie que l'Europe a mis plus de 20 ans à construire. Des intervenants, personnalités de premier plan ou anonymes, se sont prêtés au jeu et ont tenté de répondre aux interrogations que susciterait un tel changement. Quelles conséquences sur la vie quotidiennes et sur l'économie ? Les participants tentent d'imaginer quelle serait leur réaction.


 

Que se passerait-il si la France sortait de l'euro ? Ce « documentaire fictif » imagine le scénario et nous plonge, façon film d'anticipation, dans cette grande inconnue — rien, dans les traités européens, ne prévoit le cas de figure. Agrémenté de vrais-faux reportages et interviews (avec des politiques, des économistes, des citoyens), le procédé est concret et percutant, même s'il présente trop souvent ses hypothèses comme des vérités absolues, oubliant que l'économie n'est pas une science exacte.
 
N'empêche, la mécanique décrite est passionnante — et glaçante : avec la sortie de l'euro, la France s'exposerait à une dévaluation brutale, à une perte de pouvoir d'achat, à une hausse de la dette et à une explosion du chômage. Et encore, cela ne serait que la partie « paisible et aimable », prévient l'ex-ministre François Baroin qui, à Bercy, avait commandé une étude sur le coût de la sortie de la Grèce de la zone euro. Car il faudrait également compter sur la défiance des marchés financiers, la spéculation contre la France, les troubles sociaux et politiques à l'intérieur même du pays. Un scénario infernal, à mille lieues des projections controversées du Front national, qui fait de l'abandon de la monnaie européenne la pierre angulaire de son programme économique. — Lucas Armati
 
Suivi, à 21h35, d'un débat animé par Jean-Pierre Gratien.
Lucas Armati

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L'euro peut-il disparaître ? Séminaire de La Règle Du Jeu :http://www.dailymotion.com/video/xm6zvm_l-euro-peut-il-disparaitre-seminaire-de-la-regle-du-jeu_news"> : L'euro peut-il disparaître ? »

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 France 2 | Envoyé special | Espagne : la faillite ?

Finalement, l'évolution de l'euro depuis sa création n'est autre que le reflet des néolibérauxx et de ses limites : à savoir son incapacité à se limiter et s'auto-réguler pour rester dans les "clous", essentiels à la survie de l'euro et par la même du capitaliste néolibéral.
 

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Après un retour de quelques espoirs, l'Europe se heurte à nouveau à une énorme déconvenue avec le refus par la Slovaquie, étant tout à fait périphérique pourtant, de participer au sauvetage de la Grèce. Cela montre encore une fois qu'il n'y aura à terme que deux alternatives possibles : soit arrêter cette construction européenne et des lendemain plus dure, soit aller vers un une nationalisation des banques dans un premier temps, mais durable et définiif avec une refonte de la structure
s banques cliquez ici


Le constat est sans appel, nous n'avons pas le choix sauf a vouloir reporter le problème en l'amplifiant
 
Trois semaines...
C'est le temps que se donne Angela Merkel et Nicolas Sarkozy pour régler les problèmes de la zone euro.
On reconnaît bien là notre hyperactif-président, qui illustre une nouvelle fois l'incompétence chronique de la classe politique à traiter les problèmes de fond. Malgré les beaux discours, rien n'est réglé. Pire la situation se dégrade, tout comme les notes des établissements bancaires espagnoles, grecs et portugais.
Vous pensez que les agences de notation exagèrent ? Moi non.
 
◊ Un château de cartes prêt à s'effondrer


Extrait du New York Times, montre à lui seul l'étendu du problème.
Constat n°1 : la Grèce ne représente pas grand-chose par rapport aux créances des autres pays.Constat n°2 : la France n'a pas chômé sur le terrain des obligations pendant ces dix dernières années !L'Espagne est le plus gros créancier de son voisin portugais avec près de 30% de la dette détenue. La France et l'Allemagne ne sont pas en reste avec 15% chacun, soit tout de même 45 à 47 milliards de dollars.
Là où les choses se compliquent, c'est quand on regarde les créanciers de l'Espagne. Là aussi, le couple Franco-Allemand se distingue avec 458 milliards de dettes (oui, vous avez bien lu) soit 40% de la dette espagnole globale. Pour comparaison, l'exposition de la France à la dette grecque est de "seulement" 75 milliards. L'Espagne et le Portugal ont été dégradés, ce qui signifie que leurs prêteurs (nous) sont aussi impactés.


Mais là où la France arrive en tête, c'est avec nos amis Italiens dont nous détenons plus de 500 milliards de dettes soit près de 20% de la dette globale !
 
Ce château de cartes est désormais prêt à s'effondrer alors que les agences de notations dégradent chaque jour de nouvelles institutions et soufflent sur cet équilibre fragile. D'ailleurs les perspectives de croissance sont revues à la baisse chaque jour en zone euro et la récession paraît désormais inévitable pour 2012.
 
Dans ce contexte de tensions économiques et politiques, l'euro est clairement le moins bien armé pour résister.
 
Le problème est le systeme capitalise dont l'état n'est pas la solution, mais le garant ( le problème) . Le probleme est la domination que mette en pllace les dominants dans tout les parties de la sociétés ( culture, travail : « lean management »....). Les force armées ne sont que le bras armée du capital ( Alire L(in)sécurité : Un champ de bataille ( 2), L'empilement des lois antiterroristes ///)  Rappeler vous le célèbre discours de François Hollande 
Les marchés financiers ont un visage, par Geoffrey Geuens ...


Selon Le Monde : " La City de Londres paye le sabotage du projet européen" 

 
La City de Londres ne sait plus, depuis le Brexit, à quel saint se vouer, tant ce vote signe irrémédiablement son déclin. Mais elle devrait d'abord faire son examen de conscience : n'est-elle pour rien dans le remplacement dans les esprits des valeurs de solidarité par celles de la concurrence, de la compétition forcenée, de la compétitivité – l'autre nom de la guerre de tous contre tous sur le marché de l'emploi ?
Car c'est bien la sacro-sainte « compétitivité » prônée par la City et ses relais idéologiques qui a poussé les Britanniques à voir d'abord dans les flux migratoires, plutôt que l'apport en forces vives qu'ils sont avant tout pour leur nation, les concurrents qui les priveront bientôt d'emploi dans la foire d'empoigne qu'est devenu le monde du travail. Qui a voté pour le Brexit, sinon ceux qui se croient menacés par les migrants ?
Ce n'est donc pas en réalité l'Europe en tant que telle qui est la cause du malheur des peuples, mais l'idéologie ultralibérale de ceux qui la ­dirigent et qui, au lieu d'unir les ­nations dans...
 
Le grand gagnant du Brexit est... New York ! 
Alors que Paris, Francfort ou Amsterdam rivalisent d'ingéniosité pour devenir le premier centre financier européen, il apparaît que New York pourrait être le grand bénéficiaire du Brexit.


« Les grands gagnants du Brexit seront New York et les Etats-Unis, a récemment affirmé le PDG de Morgan Stanley, James Gorman, lors d'une conférence à Washington. Nous assisterons à davantage de transfert d'activité à New York. » « Il est impossible qu'il y ait dans l'Union européenne un centre avec l'infrastructure et le dispositif réglementaire pour reprendre le rôle de Londres [notamment sur les marchés de capitaux], soutient John Nelson, président de Lloyd's à Londres. Il y a une seule ville au monde qui en est doté, et c'est New York. »
 
Même son de cloche chez Xavier Rolet, le patron de la Bourse de Londres. Dans une interview au Telegraph, il a clairement indiqué qu'un seul autre centre financier est en mesure d'assurer les activités de compensation en euro de manière centralisée et sécurisée pour les 17 grandes devises : ce n'est ni Paris, ni Francfort, ni Amsterdam, mais bel et bien New York


Des limites
La ville américaine, qui abrite déjà les activités de Wall Street, dispose de la profondeur de marché, de la largeur d'expertise et de l'attrait réglementaire de La City. D'ailleurs, un grand nom de Wall Street a déjà relocalisé une partie de son activité londonienne, et finira par rapatrier le personnel non indispensable en Europe vers les Etats-Unis ou l'Asie, indique l'agence Bloomberg, en citant un banquier, qui a requis l'anonymat en raison du caractère confidentiel du plan.
 
Mais il y a des limites au transfert d'activité. La première est la nécessité de garder un pied sur le Vieux Continent et un accès à ses 450 millions d'habitants. La deuxième est le décalage horaire. La troisième, la perte de temps, et donc d'argent, liée au transfert d'activité. Enfin, la quatrième réside dans les différences culturelles. Une banque installée à l'étranger aura plus de difficultés à comprendre les spécificités d'une entreprise européenne. De tout cela découle que certains établissements pourraient conserver quelques activités sur le Continent, mais uniquement dans le but de satisfaire aux règles d'accès au marché unique
 
La plupart des investisseurs se détournent des obligations européennes. Le président de la Chine Investment Corp., Gao Xiqing, a déclaré : "Nous sommes toujours à la recherche d'opportunité en Europe, même si nous ne souhaitons plus acheter d'obligations souveraines européennes". La Chine n'est pas la seule à fuir. De nombreux fonds américains – et même européens – ont annoncé s'être désengagés ou avoir fortement réduits leur exposition aux obligations de la zone euro.

A lire Le grand gagnant du Brexit est... New York ! ACTUALITÉS DES MARCHÉS dans INVESTIR.FR | LE 17/10/16 
 
Un autre scénario fiction : 
On vous aura prévenu - l'indigné révolté - Skyrock.com
« La Présidente »: une bande dessinée où Marine Le Pen prend les rennes du pays

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la publication de Le Comptoir.


Nicolas Hernandez"  Frédéric lordon se dit dans les économiste altérés, mais je trouve que l'on met dedans tout.... C'est assez vaste. En gros, ils réflechissent à comment réinventer l'économie face à "l'ideologie dominante" du néolibéralisme véhiculé par les principaux magazines répétant souvent les mêmes sources. Si le constats peut être juste, la réponse ne l'ai pas forcément. Frédéric Lordon se revandique de Spinoza mais aussi d'un souverainiste de gauche. C'est son souverainisme qui me gène le plus ainsi qu'une volonté de récuérer les mouvements sociaux.Il est membre du CNRS et écris régulièrement dans le monde diplomatique ou il a un blog"
 

 
Nuit Debout nous donne l'occasion de publier, en partenariat avec plusieurs autres groupes et sites antifascistes, un dossier qui se veut aussi exhaustif que possible sur la galaxie citoyenniste, ses réseaux et ses errements idéologiques. Vous trouverez ci-dessous son sommaire avec des liens cliquables afin de naviguer à l'intérieur aussi aisément que possible. Fruit d'un travail intense qui nous a occupés depuis un mois, nous tenons à remercier tous les camarades qui nous ont aidé à réunir la documentation nécessaire. Bonne lecture !
Au sommaire de ce dossier :
Introduction
La Genèse : une opération d'auto-promotion initiée par François Ruffin et Frédéric Lordon
Fakir ou le journal de bord d'un réac
Frédéric Lordon ou la virtuosité bavarde d'un social-chauvin
> « Le protectionnisme, ça nous fait gerber »


Extrait 
Chez Frédéric Lordon, on observe depuis quelques années une tendance poussée à vouloir se positionner sur le marché – bien vide il faut le dire – des intellectuels engagés. Mais cette stratégie s'est accélérée ces dernières semaines. Il faut dire que Lordon a beaucoup d'atouts pour rencontrer du succès : ses analyses faussement impertinentes écrites tantôt sur le ton de l'humour, tantôt à coup de locutions latines peuvent séduire un public de petits intellectuels en mal de vraie-fausse radicalité.
D'économiste atterré, groupe de néokeynésiens qualifiés ironiquement « d'économistes chagrinés »par la marxiste Mylène Gaulard, le personnage s'est ainsi mu en philosophe auto-proclamé, à grands jets de brouillard conceptuels capables de faire illusion


" Lordon, derrière une rhétorique volontiers absconse, défend en fait des idées simples, pour ne pas dire simplistes : la nation et l'Etat c'est bien, l'internationalisme et l'anarchisme c'est mal. De l'Etat-nation, il donne d'ailleurs une définition si extensive qu'elle en interdit toute critique matérialiste en tant que construction historique intimement liée au développement du capitalisme, dont l'Etat-nation est le bras armé. Pour Lordon, l'Etat est déjà en développement dans la moindre communauté humaine, on pourrait dire qu'il existe en tous temps et en tous lieux.
 
"  : Frédéric lordon se dit dans les économiste altérés, mais je trouve que l'on met dedans tout.... C'est assez vaste. En gros, ils réflechissent à comment réinventer l'économie face à "l'ideologie dominante" du néolibéralisme véhiculé par les principaux magazines répétant souvent les mêmes sources. Si le constats peut être juste, la réponse ne l'ai pas forcément. Frédéric Lordon se revandique de Spinoza mais aussi d'un souverainiste de gauche. C'est son souverainisme qui me gène le plus ainsi qu'une volonté de récuérer les mouvements sociaux.Il est membre du CNRS et écris régulièrement dans le monde diplomatique ou il a un blog"
 
« Le protectionnisme, ça nous fait gerber »


Le protectionnisme, ce n'est rien d'autre que le fait de remettre du libéralisme à l'échelle du territoire légal sur lequel s'abat la prédation d'une bourgeoisie donnée. Le protectionnisme n'a jamais protégé les travailleur-e-s, il a toujours protégé le patronat et la bourgeoisie du pays donné. Ruffin, en ardant promoteur du protectionnisme, prétend se mettre aux côtés de la classe ouvrière tout en étant son farouche ennemi. Ce sont souvent les pires.


ce qui nous fait dire "la propriété c'est le vol!"
Pour notre part, nous voulons la liberté et l'égalité économique et sociale , ce qui signifie abolition du capitalisme ( propriété privée) afin que la production soit géré collectivement ( autogestion) par la base; ce qui signifie que l'économie doit être orienté par les besoins et non par l'idée de profit source de misère et de massacre:
cela sous entend la mise en commun des outils de production.

La solidarité contre la concurrence
l'anarchosyndicalisme comme moyen
le communisme anarchiste comme but
 
Et si l'on en juge par la manière dont les choses se sont passées dans d'autres pays, vous pouvez probablement vous attendre à de nouvelles mesures d'austérité... voire un passage sous la tutelle du FMI et  Goldman Sachs et des agences de notations ( agences de notation sont les dictateurs de l'Occident). Et tout cela pourrait naturellement s'accompagner de manifestations et de soulèvement populaire comme on en a constaté à Athènes, en Italie ou à Londres.


 Mémoire d'un Saccage - L'effondrement de l'Argentine
 

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La Finance imaginaire , "
 Marc Ogeret - Faut Plus d'Gouvernement
 
> Bye bye l'euro - >Ella Cerfontaine 
Mardi 26 avril de 20:30 à 21:25 sur La Chaîne parlementaire LCP
Voir dans la grille
 
forum rouge et noir
http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/

CNT-AIT ET ANTIMILITARISME
pdf
http://cnt.ait.caen.free.fr/cas/4-CNT_antimilitarisme.pdf

c'est de la merde , 
A droite toute -
"Paradis fiscaux : le casse du siècle" u
enquête Panama Papers
Les Aryens

Les Aryens

Sur le blog Citoyenactif
Le cauchemar climatisé continue : citoyen actif
Le Pen présidente... On nous aura prévenus | : citoyen actif

"Le Pen présidente... On nous aura prévenus" Le 13 décembre 2015 à 15h01 par Citizen Khane
Le Pen présidente... On nous aura prévenus |Par Enkolo dans Accueil le 27 Décembre 2015 à 21:19

 
IMPOSTURES, IMPOSTURES D'EXTRÊME DROITE, IMPOSTURES DE GÔCHE, LES ENRAGÉ-E-S
RUFFIN ET LORDON, UNE NUIT À DORMIR DEBOUT
23 AVRIL 2016 LESENRAGÉS


la publication de Le Comptoir.

Bye Bye L'Euro
Sur le blog citoyenactif : Bye Bye L'Euro, Les fractures européennes, contre le fascisme sous toutes ces formes
 
Sur le blog Indigné Révolté contre le fascisme sous toutes ces formes

LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ? : citoyen actif, Je reprends LENÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ?  et Pourquoi parler de crise ?


Bye Bye L'Euro : citoyen actif
Articles de l-indigne taggés "crise" - l'indigné révolté - Skyrock.com

 
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Tags : Bye Bye L'Euro, Documentaire, 2015, fiction, crise, institutions, la zone euro., le système, ne sera pas sauvée..., La City, Goldman Sachs
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#Posté le mardi 26 avril 2016 14:54

Modifié le mardi 16 mai 2017 14:43

Dossier d'été: l'austérité

 

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Dossier d'été: l'austérité

Dossier d'été: l'austérité http://t.co/rgm1NzkdS3 via @@ALMontpellier
 
C'et pas nous, c'est eux... Ne nous en prenons pas aux effets, attaquons toujours les causes !
Bakounine

 
 Samir Bouzid : « Cette crise planétaire est encore plus dévastatrice que la Grande Dépression des années 1930. Elle a de lourdes conséquences géopolitiques; le démembrement économique donne lieu à des guerres régionales, à la fracture des sociétés nationales et, dans certains cas, à l'anéantissement de pays. Elle constitue de loin la plus grave crise économique des temps modernes » 

 
Dossier d'été: l'austérité
 
Reste-t-il un peu de courage dans l'avion ? -
ZEC plus ultra
Zèbres En Cavale




S'ils restent, ils ne savent plus ou ils vont. Ils sont comme dans un avion en chute libre et ne savent pas quand est ce qu'il faut sauter. C'est tout le système des zones de libre échanges, de la Troika, de la lutte contre l'inflation, de la libre concurrence.... Tous ce qui a batti le système mondiale qui prend l'eau....

Les cycles économiques théorisés dans les manuels économiques classiques ont sans doute fait leur temps. La courbe sinusoïdale qui prévalait dans les années 70, 80 ou 90 pourrait bien définitivement appartenir au passé. A cette époque, le principal objectif des politiques monétaires menées par les banques centrales était d'assurer la stabilité des prix. On leur demandait de gérer le plus finement possible les retournements de conjoncture. Les politiques monétaire et budgétaire étaient décidées en fonction de ce cycle conjoncturel.

Aujourd'hui, les banques centrales ne sont plus indépendantes de leur gouvernement et utilisent leur politique monétaire et de taux, le montant de la masse monétaire et l'assouplissement quantitatif (QE) pour sauvegarder notre système financier mondial et pour écarter une récession et une déflation mondiale.
Écrit par : L'Indigné
 
Les prêts ne se dirigent plus vers les investissements productifs et d'avenir mais vers des investissements plus risqués, ce qui peut alimenter de nouvelles crises. Nous sommes parti dans une déflation qui risque de durer longtemps . cf voir le cas du japon
 
 
La crise de l'euro est l'histoire d'un malade que l'on prolonge indéfiniment en espérant qu'entretemps une solution sera retrouvée. Nous assistons donc au cycle sans fin des rémissions et des rechutes mais aucun traitement définitif n'est trouvé jusqu'à présent.
 
Dossier d'été: l'austérité
Une remontée des taux interbancaire sur le marché monétaire pourrait entrainé une faillite de tout les créanciers ayant emprunter des créances sur le marché monétaire., y compris les banques centrales.
 
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE
 Les états avaient le choix entre Se serrer la ceinture ou creuser les déficits , ils ont choisi de se serrer la ceinture, ils auront à la fois à se serrer la ceinture et un creusement des déficits. Pour repprendre le parallèle avec la citation de churchill : «  ils avaient le choix entre la honte et la guerre. Ils ont choisi la honte, ils auront la honte et la guerre ».
 
Les déséquilibres dans l'économie mondiale ont pris une telle ampleur que les craintes quant à la stabilité de notre système financier sont entièrement justifiées.
 
Presque tous les pays souffrent d'un chômage historiquement élevé (troubles sociaux). Les flux de biens et de services dans le commerce international se sont fortement déséquilibrés. Alors que les Etats-Unis enregistrent un déficit chronique et extrêmement élevé de leur compte-courant, la Chine et les pays de l'OPEP enregistrent de forts excédents.
 
En conséquence, le système monétaire international affiche des déséquilibres jamais vus. La Chine a des réserves en devises de l'ordre de 3 400 milliards de dollars alors que les Etats-Unis sont le pays le plus endetté au monde. Le Japon s'est lancé dans une dévaluation compétitive (turbulences de devises). .
 
Pour lutter contre le ralentissement économique, les gouvernements des pays industrialisés ont poussé le creusement du déficit tellement loin que leurs dettes publiques ont atteint d'absurdes niveaux qui ont des effets contre-productifs sur la conjoncture. Le service de la dette pousse les pays vers la faillite.
 
Les seules issues semblent être l'inflation et/ou l'abandon de créance pure et simple, ce qui est une menace pour les marchés obligataires et pourrait entraîner de fortes moins-values (la capitalisation boursière du marché obligataire est de 98 000 milliards de dollars à comparer aux 60 000 milliards de PIB mondial). Tous secteurs confondus, les Etats-Unis financent une dette de 56 280 milliards via le marché du crédit alors que leur PIB est de 15 864 milliards de dollars. Leur plus grand créancier est leur propre banque centrale devant la Chine et le Japon.
 
La dette publique du Japon à hauteur de 240% du PIB est encore plus absurde (le marché obligataire en yen risque l'effondrement).
 
Les principales banques centrales du monde appliquent une politique de taux d'intérêt zéro et inondent les marchés financiers de liquidités comme jamais vu auparavant. La Fed et la Banque du Japon ensemble achètent mensuellement pour 159 milliards de dollars de titres.
 
Les bilans des banques centrales augmentent considérablement. Le montant des titres détenus par la Fed va passer de moins de 1 000 milliards de dollars en 2007 à 6 000 milliards en 2016. Au cours de la même période, le montant des titres détenus par la Banque du Japon sera passé de 20% du PIB à 60% et pour la BCE de 15% à 45%. Dans ces conditions, comment peut-on imaginer que les banques centrales pourront revenir à une structure "normale" des taux sans provoquer une crise extrêmement grave ?

 

 
Dossier d'été: l'austérité
 
 :  » Le commencement de la fin « Les politiques font du business, il est normal que les agences de notation fassent de la politique. Elles ont  aussi ce talent particulier de transformer des situations gérables en crises inextricables :  Irlande, Grèce, et Portugal en ont fait les frais. C'est au tour des États-Unis  de connaître la joies du cercle vicieux créé par les pronostics de l'opinion financière
 

1) dégradation → tension brutale sur les taux → renchérissement du coût de la dette → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → tension supplémentaire sur les taux, etc. ;
et
2) dégradation → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, etc. – ( Frédéric Lordon )
 
 > Le commencement de la fin – Frédéric lordon – La pompe à phynance


L'économie de la zone euro va se contracter davantage que prévu cette année, ce qui se traduira par une réduction ralentie des déficits publics, selon la Commission européenne. L'exécutif communautaire a revu en baisse ses prévisions économiques et table désormais sur une contraction de 0,4% du produit intérieur brut (PIB)

DEUX ANS DE PLUS POUR PARIS ET MADRID

Pour réduire l'impact baissier de la consolidation budgétaire sur l'activité économique, la réduction du déficit global de la zone euro devrait être un peu

Sur le conseil d'Antalaya, un article de Guillaume Duval : Politique budgétaire : errare humanum est, perseverare diabolicum...  paru dans Alternatives économiques. " Si le gouvernement avait visé un déficit public de 3,7 % du PIB en 2013 au lieu de 3 %, nous aurions probablement évité la récession et 300 000 chômeurs supplémentaires.> Lire la suite.
 
Le 27 juin dernier la Cour des Comptes dans son rapport sur la situation des finances publiques confirme une évidence : les mesures de restriction budgétaire prises en 2012 et en 2013  ont entraîné une limitation de l'activité et une hausse du chômage.
 
« . (...) la structure même de l'économie est transformée par la récession et le chômage : les chômeurs qui le sont restés pendant deux ou trois ans, ne sont plus vraiment aptes à l'emploi immédiatement, ils doivent être lourdement formés et accompagnés pour pouvoir revenir sur le marché du travail, et les entreprises qui ont fait faillite, les usines qui ont fermé ne sont plus capables de produire quoi que ce soit quand la reprise arrive... L'austérité prolongée fait en réalité baisser ce que les spécialistes appellent le « PIB potentiel » de l'économie, sa capacité théorique à produire des richesses. Ce qui implique que les faibles déficits « structurels » affichés officiellement ne sont en réalité qu'une fiction : ils ne peuvent plus être atteints car le potentiel productif que cela supposerait a été détruit par la récession prolongée. »
 
La question n'est même plus de savoir si l'austérité diminue l'activité mais à quel niveau elle le fait :

« le « multiplicateur » (...) est supérieur à 1, surtout lorsqu'on se trouve déjà en phase de ralentissement économique et que les principaux partenaires commerciaux du pays mènent eux aussi des politiques d'austérité. Autrement dit 1 point de PIB de restriction budgétaire entraîne probablement une perte de l'ordre de 1,5 point de PIB d'activité économique. »
 
C'est sans doute pour ces bonnes raison que le gouvernement Hollande-Ayraut a décidé de poursuivre dans la même voie et a présenté au Parlement ses grandes orientations pour le budget 2014, budget d'austérité qui sera "discuté" à la rentrée par le PS et ses alliés naturels et surnaturels.   




Dossier d'été: l'austérité

 
Dossier d'été: l'austérité http://t.co/rgm1NzkdS3 via @@ALMontpellier
Dossier d'été: l'austérité "socialiste". Les chomeurs 2/4
 
 
Le gouvernement Hollande a pu distraire la galerie pendant quelque temps en se faisant passer pour progressiste : ainsi il y eu une intervention au Mali au nom des droits de l'Homme (et de l'industrie nucléaire), puis le Mariage Pour Tous, dont les opposants entre cathos intégristes et nostalgiques du IIIe Reich, nous ont fait oublier pendant quelque temps le gouvernement socialiste.
 
Pourtant, c'est une erreur. Les « socialistes » sont arrivés au pouvoir avec une mission « restaurer la compétitivité ». Cela peut paraitre sympa au premier abord, mais ce n'est rien d'autre qu'écraser le prolétariat, les travailleurs en diminuant leurs droits, leurs salaires pour augmenter le taux de profit du patronat. Pendant que ceux qui peuvent encore se le permettre bronzent dans le Sud de la France, les socialistes, main dans la main avec des syndicats jaunes et le patronat préparent l'offensive contre nos droits.
C'est pour cela que nous faisons un dossier d'été qui présente les différentes « réformes » ou plutôt attaques en cours dont nous serons les victimes en septembre.
 
Voici un article qui récapitule les différentes pistes de réduction de nos droits, qui ne sont pourtant pas mirobolants...dans un contexte d'explosion du chomage
 
(Article issu de la presse bourgeoise)
 
L'Unedic a rendu public ce jeudi de nouvelles prévisions qui montrent que le pari du gouvernement d'une inflexion de la courbe du chômage à la fin de l'année est compromis et, surtout, que 2014 s'annonce sombre. Pour 2013, les nouvelles sont plutôt bonnes compte tenu du contexte. Alors que le consensus des
économistes ne table plus sur une quasi-stagnation mais sur un diminution de 0,2 % du PIB, le régime géré par les partenaires sociaux n'a pas dégradé ses prévisions de chômage sur 2013. Il anticipe désormais une hausse de 178.700 du nombre de demandeurs d'emploi n'ayant pas du tout travaillé dans le mois, soit 7.000 de moins qu'il y a cinq mois. Du côté de l'emploi salarié, les destructions concerneraient 35.600 postes, deux fois moins qu'en 2012.
 
Une inflexion au troisième trimestre
(...) .
 
Michel Sapin, cela « conforte l'analyse du gouvernement et son objectif d'inverser la courbe du chômage d'ici la fin 2013 et au-delà ». Pour le ministre du Travail,, l'Unedic fonde son calcul sur « une hypothèse de croissance inférieure à celle du gouvernement (+0,7% contre +1,2%) et ne prend pas en compte tous les effets des politiques et réformes ». Une « inversion durable de la courbe du chômage est donc à notre portée », affirme-t-il.
 
(.....)
 
Une dette portée à 24,1 milliards d'euros (...) .
 
La situation est pour l'instant sous contrôle car, comme l'avait expliqué son président, Jean-François Pilliard, son programme d'endettement pour cette année permet de faire face au besoin de financement prévu fin 2013, soit quelque 18 milliards d'euros. Mais ce n'est pas le cas pour l'an prochain. La renégociation des règles de l'assurance-chômage, dont la convention arrive à son terme en décembre prochain, doit démarrer à la rentrée. Elle va se dérouler avec en toile de fond d'une dégradation financière record, ce qui augure de discussions très tendues entre patronat et syndicats. Tout cela avec un changement de président à la tête du Medef .
 
Les exorbitants déficits budgétaires dans presque tous les pays industrialisés ne peuvent être financés que par l'impression monétaire et des achats d'obligations par les banques centrales (QE). Mais une telle politique comporte aussi un risque élevé pour tout le système financier (formation de bulles en cours) ainsi que des dangers latents d'inflation. ].

 Les Etats-Unis sont loin d'avoir réduits leur endettement et seule la création de nouvelles dettes assure un semblant de croissance à l'économie américaine
 
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ÉTATS-UNIS • Detroit : après la faillite, les questions
La ville de Detroit s'est officiellement déclarée en faillite le 18 juillet. Le point d'orgue d'une longue descente aux enfers pour le berceau de l'industrie automobile.
Courrier international| Corentin Pennarguear19 juillet 2013 
 
 
Le siège de General Motors en arrière-plan, géant de l'automobile basé à Detroit.- Photo AFP.
“Inévitable.” Le mot revient dans presque tous les articles de la presse américaine à l'heure d'évoquer la faillite de Detroit et ses 18 milliards de dollars de dette [environ 14 milliards d'euros]. “Confrontés à des revenus fiscaux en chute constante, les dirigeants municipaux n'ont rien fait à part se chamailler, nier le problème... et dépenser”, se désole The Detroit News.

La ville de plus de 700 000 habitants ne s'est jamais remise de la crise financière de 2008 et du fort déclin de l'industrie automobile. “Comme la mort de quelqu'un atteint d'une maladie incurable, la banqueroute planait au-dessus de Detroit depuis deux ans”, constate Detroit Free Press. Mais la chute de la ville vient de plus loin. “Tous les habitants ne se sont pas enfuis dans la nuit, fait remarquer The Detroit News, leur nombre s'effondre constamment depuis les années 1950.” Autrefois quatrième ville des Etats-Unis, “Motor City” a perdu 63 % de sa population en soixante ans.

“Les 18 milliards de dette ne se sont pas non plus matérialisés d'un coup, continue le quotidien local. Ils ont été empilés par les maires et les conseillers municipaux, qui ont préféré hypothéquer le futur pour payer les factures d'aujourd'hui plutôt que de faire correspondre dépenses et recettes.”

Maintenant que sa banqueroute est annoncée, Detroit attend de savoir si elle pourra être placée sous la protection du chapitre 9 de la loi sur les faillites, ce qui lui permettrait de renégocier sa dette. Mais comme le souligne The Detroit News, “si personne ne peut prédire avec certitude où ce processus va mener [...] on peut dire avec quasi-certitude que cela va constituer une nouvelle épreuve pour les citoyens de Detroit qui ont déjà beaucoup souffert”. Ils vivent déjà dans une ville “où 90 % des affaires d'homicide ne sont pas résolues, où 80 000 bâtiments abandonnés pourrissent le paysage et où la moitié des lampadaires ne fonctionnent pas la nuit”.

Face à ses difficultés, Detroit avait été mise sous tutelle dès mars dernier et est à présent gérée par Kevyn Orr, "celui qui pourrait faire la différence", selon Detroit Free Press. Le journal attend beaucoup de ce juriste qui “a déjà mis en place un plan pour restructurer la dette et remettre de l'argent dans les services municipaux”. Son plan démontre que la ville ne peut rembourser l'intégralité de sa dette, mais traite tous les créditeurs “de manière égale”, d'après le quotidien. “Il n'y a plus d'argent et aucun moyen d'en avoir plus.”

Si Detroit est la plus grande ville des Etats-Unis à s'être déclarée en faillite, ce n'est pas la première, comme le souligne une carte interactive de Governing.com. Depuis janvier 2010, huit villes et des dizaines d'organismes assurant des services publics ont fait banqueroute aux Etats-Unis.

 
 . Depuis la crise de 2007, la Chine voit ses principaux clients s'enfoncer dans la crise et ralentir leurs exportations
 
Des chiffres qui s'expliquent non seulement par la faiblesse de la demande extérieure évoquée plus haut mais aussi par la hausse continue du coût du travail en Chine et la force du yuan ainsi que le contrôle accru des autorités chinoises sur les fausses factures
 

- Le crédit fait des bulles
- Chaudron social : La montée de la contestation sociale est nourrie par un taux de chômage. (....) .  

Ces deux (gros) points noirs risquent de déstabiliser non seulement la croissance mais surtout la société chinoise.

 A vrai dire, Pékin n'a plus le choix. S'étant lancées dans une politique tournée vers la consommation intérieure, les autorités chinoises ont semé le grain de la réduction des inégalités sociales et de son pendant, la perte de compétitivité de la production chinoise


Les prêts interbancaires, thermomètre de la santé d'une économie
Mais réflexion faite, ce fameux taux pourrait être bien plus intéressant qu'il n'y paraît au premier abord. Les prêts interbancaires sont la pierre angulaire d'une économie. Le fonctionnement quotidien, les crédits qu'elle accorde, d'une banque repose sur eux. Donc quand une banque hésite à prêter à une autre, un signal d'alarme retentit.

C'est ce qui s'est passé au plus fort de la crise de l'euro en Europe. . Le marché interbancaire avait été presque paralysé, menaçant le crédit aux particuliers et aux entreprises, et donc toute l'économie européenne. C'est ce que les économistes appellent un "credit crunch", un effondrement du crédit...


Or la menace d'un credit crunch chinois grandirait. Comment expliquer une telle flambée ?

Bulle de crédit à la chinoise
Par la croissance faramineuse qu'a connue le crédit ces dernières années, encouragée par le gouvernement central qui voulait soutenir l'économie et lutter contre les effets persistants de la crise mondiale. Le remède est connu – et a été administré par toutes les banques centrales dans le monde entier après 2008 – : en baissant le taux directeur, en encourageant le crédit, les banquiers centraux espèrent relancer l'investissement des entreprises et la consommation des particuliers.


Dans le cas chinois, une seconde raison est venue se grever à ses impératifs économiques : l'impératif social. Car la Chine doit faire face à un afflux massif des ruraux vers les centres urbains. D'ici à 2030, 300 millions de ruraux devraient s'installer dans les villes. Un exode qui est là encore encouragé par Pékin qui voit dans ces nouveaux urbains aussi bien une réserve de main-d'oeuvre que de consommateurs – deux composants de choix de la stratégie économique chinoise. (....) .. Et là encore, il y a un double effet sur l'économie. Car tous ces projets de construction et d'infrastructures vont permettre de soutenir l'économie, via la construction et les dépenses d'infrastructures.

[L'urbanisation croissante et le manque d'infrastructures orientent les nouveaux besoins de la Chine en matières premières. Première d'entre elles, le cuivre, utilisé non seulement dans la construction mais aussi dans les dépenses d'infrastructures (câbles, etc.). La demande chinoise devrait donc exploser dans les années qui viennent. Pour financer ces projets, Pékin a non seulement mis de l'argent sur la table (l'équivalent de 12% de son PIB) mais aussi encouragé le crédit local, accordé par des banques (locales) à des projets (locaux).

Le crédit, Golem de Pékin
. Le crédit doit être manipulé avec la même précaution : le créer, l'encourager, c'est très bien, encore faut-il ensuite pouvoir le contrôler et le maîtriser. C'est justement ce qui est en train de se passer dans l'empire du Milieu.

Le ratio crédit/PIB est ainsi passé de 75% en 2008 à plus de 200% aujourd'hui. Les gouvernements locaux, pour financer leurs projets de construction et de développement se sont lourdement endettés et alors que les recettes fiscales sont en recul, la situation devient périlleuse.
 
A cela il faut ajouter qu'une part non négligeable du crédit chinois (plus de 10%) échappe totalement à tout contrôle. En effet, la Chine –, le marché du crédit est contrôlé par l'Etat qui possède un monopole sur le système bancaire. S'est donc développé un système de prêt parallèle, non-autorisé. Il peut prendre la forme de prêts entre particuliers, de prêteurs sur gage ou d'établissements bancaires de l'ombre... et de grandes entreprises publiques qui profitent des faibles taux d'emprunt qui leur sont accordés par l'Etat pour ensuite accorder des prêts à de plus petites entreprises.
 
Leur point commun : un taux d'intérêt souvent usuraire... Ce crédit parallèle est d'autant plus dangereux qu'il échappe à toute tentative de contrôle de l'Etat ou des gouvernements locaux.
 
Où est passé l'argent ?
Conséquence à la fois de la manne financière étatique qui a inondé certains secteurs ainsi que du développement du shadow banking, l'affluence de crédit et de liquidités n'a pas forcément irrigué les secteurs les plus productifs de l'économie. Je vous le disais plus haut, certaines grandes entreprises d'Etat ont préféré prêter leur argent plutôt que d'investir dans leur appareil de production.
 
 
Surendettée à hauteur de 100 milliards de yuans (12 milliards d'euros), la ville d'Ordos doit en outre, comme le rappelle L'Agefi, faire face à une importante baisse de ses revenus (-18,5%), rendant sa situation intenable.
 
quels dangers fait courir cette menace de credit crunch sur l'économie chinoise et quelle est la réponse de Pékin. Car le gouvernement chinois se trouve confronté à un dilemme de poids : faut-il privilégier la croissance quitte à favoriser la croissance de la bulle du crédit ou bien contrôler l'endettement aux dépends de la croissance.
 
Cécile Chevré
Hier, nous avons vu comment s'est gonflée une bulle du crédit en Chine et comment celle-ci a progressivement échappé à tout contrôle. Reste maintenant à savoir quels dangers peuvent découler d'un dégonflement brutal de cette bulle et quels sont les moyens d'intervention de Pékin.
 
Commençons par les risques.
 
D'une banque chinoise à l'économie mondiale


Une économie fonctionne grâce aux prêts. Les entreprises empruntent pour investir, augmenter leur production et créer de la croissance. Les particuliers empruntent pour consommer, se loger, faire des études, etc. Le crédit n'est pas forcément mauvais pour une économie quand il permet à terme de créer de la valeur ajoutée et de la richesse. Reste à maîtriser la qualité des crédits accordés ainsi que leur quantité. . Trop de (mauvais) crédits, et c'est la bulle spéculative. Pas assez de crédits, et c'est une économie toute entière qui ralentit".
 
Certains observateurs font déjà le lien ente ralentissement économique chinois et le resserrement de l'offre de crédit. .
 
Les risques ? Un assèchement complet du marché du crédit et donc de la liquidité qui bloquerait la consommation et l'investissement. Et une faillite en série de banques qui voient déjà leur bilan sérieusement plombé par d'innombrables créances douteuses.
 
Des risques qui pourraient prendre une ampleur mondiale. Comme le rappelait Gustavo Horenstein de Dorval Finance dans une interview accordée au site Sicavonline.fr : "L'économie chinoise représente 12% de l'économie mondiale en dollar courant mais plus de 40% de sa croissance. Si la décélération de la croissance chinoise se transforme en récession, l'impact sera fort sur la croissance mondiale. Les plus touchés seront les principaux partenaires commerciaux asiatiques et les pays producteurs de matières premières. Concernant les marchés financiers, les entreprises très tournées vers cette zone ne seront plus le refuge qu'elles ont été face à la crise de la zone euro".
 
Reste à savoir ce que Pékin veut – et peut – faire face à ces risques.
 
Pékin face à ses banques
Vendredi dernier, les taux interbancaires redescendaient, vers les 8%, laissant soupçonner une intervention massive de la Banque centrale chinoise, la Banque populaire de Chine (PBoC). Celle-ci, selon certaines rumeurs persistantes, aurait injecté 40 milliards de yuans (4,88 milliards d'euros) dans certaines banques, résolvant les problèmes d'approvisionnement des liquidités.

 
Officiellement, cependant, la PBoC se refuse à intervenir de manière massive, estimant que le niveau de liquidités était suffisant. Après moult tergiversations, elle a tout de même consenti à annoncer hier qu'elle était prête à soutenir de manière temporaire les banques en manque de liquidités afin de ramener les taux interbancaires à des niveaux raisonnables. Une annonce qui a rassuré les marchés : e.
 
Pourquoi une telle prudence de la part de la PBoC ? Parce que Pékin – et sa banque centrale – sont conscients des risques que font peser le système bancaire et les investissements dits à fort effet de levier (une manière de dire que le rendement est élevé), comme l'immobilier, sur la stabilité financière et économique du pays.
 
Après avoir encouragé le crédit et les investissements spéculatifs après la crise de 2008, Pékin préférerait aujourd'hui que l'argent aille vers la consommation intérieure et l'investissement des entreprises mais aussi vers les investissements à long terme. Le gouvernement chinois est aujourd'hui prêt à limiter et encadrer le marché du crédit, et en accepte la conséquence principale, le ralentissement de la croissance du PIB.
  
Selon l'économiste Xu Gao, cité par Le Figaro : "si les taux d'intérêt restent à des niveaux si élevés, le seul scénario pour l'économie chinoise sera celui d'un atterrissage brutal. Il semble que les dirigeants chinois suivent délibérément une approche attentiste en laissant le ralentissement de la croissance se poursuivre sans intervenir".
 
Reste à savoir si la PBoC utilise la bonne méthode pour contrôler le marché du crédit. Comme le souligne Bank of America Merrill Lynch, cité par Reuters : "Nous pensons que le plus gros risque est que la PBoC ne gère pas correctement la situation. S'occuper des banques qui violent les règles devrait se faire en améliorant la réglementation prudentielle et non en organisant une crise du crédit interbancaire qui pourrait avoir des effets indésirables en cas de perte de la confiance entre banques".
 
Etincelle de krach en Chine ?

La Chine risque-t-elle un credit crunch capable de faire plonger la croissance mondiale ? Une telle hypothèse ne peut être totalement écartée mais contrairement à ce qui s'est passé en Europe lors de la crise de l'euro, le resserrement du crédit est la conséquence directe de la volonté de la Banque centrale chinoise. Banque centrale qui en outre a les moyens de ses ambitions et de sa politique grâce à ses énormes réserves de change et de métaux précieux.


 
Pour aller plus loin aujourd'hui : le pouvoir de la Banque populaire de Chine et comment profiter de la transition économique chinoise :

- Si le pouvoir des banquiers centraux occidentaux est plus que douteux, celui de la PBoC est indéniable, comme le souligne Philippe Béchade dans La Chronique Agora : "La seule qui semble encore en mesure de dicter sa loi aux marchés, c'est la banque centrale chinoise. Elle reste bien à l'abri des attaques des “hordes de sangliers” dans son périmètre monétaire parfaitement étanche. Elle a administré de façon magistrale une punition aux spéculateurs mardi matin. Avec le soudain assèchement du crédit, un grand nombre d'opérateurs ont dû réduire la voilure en catastrophe face à l'impossibilité de refinancer des positions lourdement perdantes via le shadow banking (des entreprises industrielles ou commerciales se transformant en prêteurs sur gage, ce qui rapporte beaucoup plus que d'exercer leur coeur de métier).
 
- La position de la PBoC devant l'emballement des taux interbancaires est un signe de plus de transition économique en cours dans l'empire du Milieu, vers une économie centrée sur la consommation intérieure et reposant sur l'explosion de la classe moyenne urbaine. Cette transition a des conséquences non seulement sur la société chinoise, mais aussi sur les modes de consommation et de vie des Chinois. Premier de ces bouleversements : l'alimentation, plus grasse, plus carnée, plus sucrée.



 
Politique monétaire
 
Vendredi 28 juin 2013 I
Qui dit hausse des taux, dit...
 

Pékin se lance dans le cyclisme acrobatique : faire passer l'économie d'un vélo carburant aux exportations extérieures à un vélo alimenté par la consommation intérieure. Il faut imaginer l'économie chinoise en équilibriste . Difficile voire impossible d'éviter les déraillements, les ralentissements et autres accidents de parcours.

  
]Menace de credit crunch en Chine

   
latribune.fr | 21/06/2013, 08:48 - 445 mots
Le marché interbancaire chinois a été pris de panique ce vendredi et a contraint la banque centrale à intervenir. Les marchés craignent des faillites bancaires : le risque de restriction du crédit est élevé.
Sur le même sujet

En Chine, la conjoncture économique se dégrade
 
Europe-Chine : la guerre de l'acier est déclarée
 
Chine: la production industrielle en hausse de 9,2%
 
Chine: nouveaux signes de contraction de la production manufacturière
 
Menace de credit crunch en Chine ( google)

Est-on au seuil d'une crise bancaire en Chine ? En tout cas, la panique s'est emparée ce vendredi du marché interbancaire chinois. Le taux de référence au jour-le-jour, équivalent de l'Eonia européen, a atteint un record , avant de reculer nettement sous la pression, prétendent les rumeurs, d'une intervention de la banque centrale. Selon Bloomberg, 50 milliards de yuan (environ 6,15 milliards d'euros) auraient été injectés dans le marché par la banque centrale.
 
« Assainir » le système bancaire
 
Ce mouvement de panique s'explique par la volonté des autorités monétaires et politiques de mettre fin à l'expansion très rapide du crédit de ces dernières années. Dans le viseur de Pékin se trouveraient les petites banques qui ont beaucoup prêté et qui ont également beaucoup spéculé. Leur endettement serait devenu intenable. . Une logique qui n'est pas sans rappeler aux marchés l'audace des autorités américaines en septembre 2008 dans l'affaire Lehman Brothers...
 
Confusion
(...) . En cas de hausse durable du taux interbancaire, les établissements devraient restreindre leur offre de crédit et le ralentissement de l'économie, déjà sensible depuis quelques mois, n'en serait qu'accéléré. C'est un risque que le gouvernement ne souhaite pas prendre. Pas plus, sans doute, qu'il est prêt à prendre le risque d'un Lehman chinois. Mais pour autant, comment maintenir un système bancaire aussi endetté sans risques ? Comment développer, comme souhaite le faire Pékin, une demande intérieure sur des bases aussi fragiles ?
 
Méfiance et risques sur la croissance mondiale
(....)  Le risque d'un crédit crunch chinois ne peut donc être pris à la légère. Or, s'il devenait réalité, la contraction du crédit en Chine et de la deuxième économie mondiale réduirait à néant les espoirs de reprise par les exportations en Europe. Or, c'est le seul levier dont disposent désormais les pays de la zone euro, notamment ceux qui ont été ravagés par la crise de la dette. Le nouvel acte de la crise mondiale commencée en 2007 se joue donc en Chine.
 
Par Mathieu Lebrun, analyste et rédacteur du service Agora Trading (pour les traders aguerris et actifs) 
 
◊ L'actualité de ces dernières semaines est incontestablement la remontée des rendements des taux longs constatés un peu partout sur les marchés. OAT français, Bund allemand, TNote américain, les mouvements ont été pour le moins spectaculaires. En cause évidemment, la fin de l'argent facile de la FED. Prenez le cas des bons du trésor US à 10 ans. Aux Etats-Unis, cette envolée constatée en un peu plus d'un mois constitue d'ailleurs tout simplement un record depuis 2001...
 

Dans ce contexte, il me semble intéressant de faire le point sur deux secteurs qui se trouvent en première ligne. Les seuls gagnants de ces plans de relance monétaire et de l'écart des taux sur le marché interbancaire  sont certaines banques comme le crédit Suisse, les traders, les insitutionnels et les professionnels des sales des marchés pourtant responsable de la crise qui a d'abord été bancaire, puis économique avant de se déplacer sur les états et les peuples.



Dossier d'été: l'austérité
 
Tout d'abord, les sociétés foncières. Ce genre d'acteurs – structurellement très endettés et très friands de recherche de financement sur le marché obligataire – affichent une rentabilité de leur business model d'autant plus élevée que les taux sont bas. Puisqu'en se finançant à taux bas (3% par exemple ou moins) et en offrant une croissance annuelle quasi linéaire (en moyenne 5%), l'écart y est de plus en plus favorable au fur et à mesure que les taux baissent. Mais gare quand les tensions se manifestent et que les taux remontent. C'est l'effet inverse. .
 
Le bénéfice de Credit suisse en hausse grâce au trading -     Source : Reuters
25/07/2013  


On distingue assez nettement une large phase de trading range horizontale (visible en pointillés) en place depuis l'été 2011. Gare à la sortie par le bas car elle risque d'être brutale.


une cassure à la baisse et l'inscription de nouveaux plus bas sur ce secteur risquent d'avoir comme catalyseur de nouvelles tensions sur l'obligataire au début de l'été. .

Souvenez-vous des déclarations de Greg Smith, ancien responsable des ventes de produits dérivés basé à Londres chez Goldman Sachs -- requin parmi les requins :


"Les intérêts du client continuent d'être mis de côté dans le fonctionnement de l'entreprise... Cela me rend tout simplement malade de voir à quel point les gens peuvent parler sans gêne de voler leurs clients. Sur les 12 derniers mois, j'ai vu cinq directeurs gestionnaires différents traiter leurs clients de 'marionnettes', parfois dans des e-mails en interne... Ces jours-ci, la question la plus fréquemment posée par les analystes juniors au sujet des produits dérivés, c'est "combien d'argent avons-nous gagné sur le dos du client ?"
 
 

Pour les institutionnels, les traders et les professionnels des salles de marché, vous n'êtes qu'un petit poisson dont la seule tâche est de rester à sa place dans cette chaine alimentaire !

Ils vous permettent quelquefois de faire de petites plus-values pour que vous restiez dans l'océan... mais quand vous ne leur êtes plus utile, ils n'hésitent pas à vous sacrifier au nom de leurs profits !

 Les données à observer

La première et, sans doute la plus importante, est la différence entre les deux catégories principales de traders :
 
les Commerciaux : ce sont les agents qui se servent des marchés options et futures pour ajuster et couvrir un stock réel ou une activité liée au sous-jacent physique. Par exemple, un agriculteur qui veut couvrir le prix de sa récolte de blé ;

Les Non commerciaux : ce sont les spéculateurs. Ceux qui essaient de faire des profits en échangeant les contrats, sans but de couverture et sans rapport au sous-jacent réel. Par exemple, vous, qui achetez des contrats sur le pétrole mais qui ne vous ferez jamais livrer les barils à la maison !!
 
D'autres termes méritent également d'être expliqués.
 
Long : Les positions acheteuses
Short : Les positions vendeuses
 
Et enfin une dernière notion à connaitre pour la suite :
 
Open interest : contrats qui n'ont pas de contrepartie identifiée au moment du rapport. Les contrats "ouverts" donc à la négociation. 

 La semaine prochaine, nous verrons comment s'organisent les différentes catégories de traders et surtout qui sont ceux qui font et défont les tendances. 
 
 
Conclusion : de nouvelles crises financières sont inévitables. Les sources potentielles sont nombreuses et elles peuvent se déclencher à n'importe quel moment. Aucun investisseur ne devrait se croire à l'abri. Les plus grands perdants seront les peuples, et peut ^^etre les épargnants et les Etats mais surement pas Goldman Sachs.



Sources :
Peur et servilité : les deux mamelles du gouvernement
 
Cf voir l'article sur le blog  Antalya
 
/, Citoyenactif Quand le remède devient poison...
 
Le commencement de la fin :
 
Reste-t-il un peu de courage dans l'avion ? :
 
A lire : Documentaire Génération-Précaire, « Modele » allemand
 
La France peut elle faire faillite? - l'indigné

 
Mardi 25 juin 2013
Chroniques émergentes : la Chine va-t-elle se faire dévorer par le Golem du crédit ?
 Cécile Chevré
Mercredi 26 juin 2013
Chroniques émergentes : la Chine va-t-elle faire "crunch" ?
 Cécile Chevré
 
Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23

Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé


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Génération Ferré Créé le lundi 15 juillet 2013
coluche, quand je serais grandCréé le vendredi 12 juillet 2013
Tags : Documentaire Génération-Précaire, « Modele » allemand, crise, dettes, dettes souveraines, capitalisme, la Troika, la FED, la BCE, austérité, chomage, récession, credit crunch, Chine, OAT français, Bund allemand, crise du crédit interbancaire, shadow banking, banque centrale chinoise, conjoncture économique se dégrade, Krach Obligataire, shadow banking n, la crise de l'euro, contraction du crédit en Chine, Goldman Sachs, Politique monétaire, Michel Sapin
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#Posté le dimanche 28 juillet 2013 10:55

Modifié le lundi 03 octobre 2016 04:06

Eléction Américaine et Goldman Sachs


 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 
 
en voilà une belle soirée électorale en perspective, demain, on va tous au cirque !

petit rappel au passage que l'italie et la grèce n'ont pas eu le cirque habituel, on leur a imposé des mecs de goldman (qui ??), sans le cirque de l'élection, à cru, carrèment... et ça n'étonne même pas...

c'est fou.
...

enfin, comme dit mon pote rui : and the winner is... goldman sachs !


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où se situe le vrai pouvoir
 
 

 
 
la photo de Ce Que Cachent Vos Medias.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 
 
 Extrait:
Barack Obama
Université de Californie: 491 868 dollarsMicrosoft: 443 748 dollarsGoogle: 357 382 dollarsDLA Piper: 331 715 dollarsUniversité d'Harvard: 317 516 dollars 
Mitt Romney
Goldman Sachs: 676 080 dollarsJP Morgan Chase & Co: 520 299 dollarsMorgan Stanley: 513 647 dollarsBank Of America: 510 728 dollarsCredit Suisse Group: 427 560 dollars(Source: Center for Responsive Politics, 21 août 2012)

Au total, 67 millions de dollars sont déjà allé, cette année, dans les caisses de campagne du candidat Romney contre 44 millions de dollars pour Barack Obama.

Mais comment expliquer ce revirement de confiance dans la politique d'Obama? La réponse tient, principalement, à ce que les milieux financiers américains détestent le plus, comme l'explique à Yuval Rosenberd le fondateur de SeaPort Securities, Ted Weisberg:

« Je n'ai jamais vu dans ma vie de telles politiques dysfonctionnelles à Washington. (...) L'élection est ici un enjeu énorme, parce que si les politiques actuelles ne changent pas - ou, le cas échéant, se renforcent - cela signifie que nous repartons pour 3 à 4 ans pour nulle part. Et ce pays a désespérément besoin d'un changement. (...) S'il ya un changement, je pense que le marché va rugir car le marché est avant tout une question de confiance et de ce que j'appelle le facteur de bien-être. »

Or, à l'instar de Ted Weisberg, beaucoup d'acteurs du marché sortent lessivés d'une paralysie presque totale du gouvernement en raison de la disparition de tout bipartisanisme au Congrès américain en raison de l'opposition farouche et sans concession des deux côtés Républicains et Démocrates. L'incertitude des orientations pesant systématiquement sur les marchés durant de longs mois de débats pour toute initiative ou proposition de loi a fini par assécher l'esprit d'initiative et réduire les volumes de transactions, avec des conséquences lourdes pour la plupart des entreprises d'un pays où tout se joue sur les marchés.
Le grand écart de l'opinion américaine
De manière assez révélatrice, l'opinion des Américains fait le grand écart sur la question. Mais le noyau dur du ressenti de la situation est solide, comme l'explique l'analyse que publie l'Institut Gallup, dans laquelle il note:

« De toutes les données de Gallup, qui ont été recueillies dans le monde entier et sur pratiquement toutes les questions, la conclusion la plus profonde est la suivante: La volonté première du monde n'est plus la paix, la liberté ou même la démocratie, ce n'est pas d'avoir une famille, ni un Dieu, ni de posséder une maison ou un terrain. La volonté du monde est d'abord et avant tout d'avoir un bon travail. Tout le reste vient après. Un bon emploi est une valeur sociale. C'est un énorme changement sociologique de l'humanité. Cela change tout sur la façon dont les gens mènent les pays, les villes, et les organisations. »

En ce qui concerne les Etats-Unis, Gallup aligne les dix facteurs qui façonnent l'opinion américaine aujourd'hui. En résumé, ces facteurs sont:


Avoir un emploi et un bon emploiCe n'est pas le gouvernement qui créé de bons emplois mais les villes, à travers l'innovation et l'entrepreunariatLes 3 sources principales d'emplois sont les 100 premières villes, les 100 premières universités et les 10 000 leaders locauxL'entrepreunariat - et l'investissement dans celui-ci - fait plus que l'innovationL'Amérique ne peut plus alourdir sa facture de santéL'abandon des études scolaires est un fléau à combattre en prioritéIl faut doubler le nombre d'employés engagés dans l'entreprise pour créér des forces commercialesLes Américains doivent comprendre les attentes du consommateur global dans le monde et y répondreLes villes doivent créer des cadres favorables en priorité aux petites et moyennes entreprisesLes Etats-Unis doivent tripler le nombre de leurs exportations et cesser de vendre en priorité aux Américains 
Lorsqu'ils sont interrogés actuellement sur l'ensemble de ces éléments, les Américains font profil bas et leur niveau de confiance dans leur pays montre des signes persistants de scepticisme. Ils se retrouvent pris en étau entre le sentiment globalement favorable qu'il portent vis à vis de Barack Obama - sa côté de sympathie est haute, et se situait il y a trois jours, dans USA Today, à 54% contre 31% pour son rival Romney - et le besoin de voir l'Amérique réagir plus vigoureusement qu'à travers des réformes à long terme. Le même sondage montre ainsi que 52% font plus confiance à Romney pour prendre en main l'économie du pays tandis que 43% soutiennent Obama dans ce domaine.

Des chiffres qui trahissent une certaine impatience dans un pays habitué à des cycles rapides et à des reprises spectaculaires, et où la réapparition du chômage de longue durée, l'assèchement du crédit au particulier et la mise en place d'une réforme coûteuse et à long terme du système des soins génèrent une angoisse difficilement maitrisable. De nombreux Américains soutiennent ainsi le plan de Barack Obama, mais ce n'est pas là que le bâ blesse. Ils n'ont globalement pas confiance dans le gouvernement pour leur venir en aide - l'Etat providence n'est pas une valeur américaine -, ils désespèrent du Congrès dont la paralysie leur est insupportable, surtout, ils sont habitués à compter sur eux-mêmes mais l'entrepreunariat fait face aux pires difficultés face aux banques et à un marché atone. Ils ont été, également, échaudés par trop de promesses en 2008.


Au cours des deux années qui ont suivi son élection, le président a fait passer un record de 50 régulations fédérales du marché financier. Mais à la différence des lois, ces régulations ont souvent été habilement contournées. Et les consommateurs ont attendu en contrepartie, mais en vain, la réalisation de promesses qui devaient contrebalancer l'aide apportée aux géants de Wall Street. Parmi les 504 engagements du candidat, 318 n'ont pas été tenus par le Président. Y figurent entre autres, pour la partie économique:

La création d'un fonds d'aide de 10 milliards de dollars (8 mds d'¤) pour prévenir la faillite des propriétaires endettésLa suppression des abattements fiscaux pour les plus riches mise en place par George W. BushLe durcissement des règles concernant la collusion possible entre les lobbyistes et les responsables politiquesLa réduction des frais d'assurance santé pour les ménages jusqu'à 2500 dollars par an (2000 ¤)L'extension des allocations pour les enfants et les personnes dépendantesL'obligation pour les employeurs disposant de plans de retraite d'enroller leurs employésLa création d'un crédit d'impot pour les retraités aux plus bas revenusLa suppression des impots sur le revenu pour les séniors gagnant moins de 50 000 dollars par an (40 000 ¤)L'interdiction pour les entreprises faisant faillite de distribuer des bonus et des dividendesL'interdiction pour les laboratoires pharmaceutiques de bloquer la mise sur le marché de médicaments génériquesObliger les employeurs à couvrir 7 jours de maladie par an et par employéAccroître le salaire horaire minimum pour le porter à 9,50 dollars de l'heure (7,60 ¤) 


L'étendue du programme d'Obama s'est, en réalité, limitée en pratique à la réforme de la santé et au soutien aux banques en faillite. Deux gros chantiers qui ont occupé la première moitié de sa mandature avant que le passage aux mains des Républicains de la Chambre des représentants n'enterre 90% de ce programme qui promettait d'engendrer une révolution sociale aux Etats-Unis. Pourquoi avoir tout misé sur ces deux aspects seulement lorsqu'il avait les coudées franches à la fois au Sénat et à la Chambre entre 2008 et 2010? Le reproche n'est jamais loin.
 




 
 
une photo de Mieux vaut vivre 1 jour comme un lion que 100 ans comme un mouton.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 

 
ARTE Reportage

USA : dette des étudiants, la prochaine bulle ?
À l'automne 2011, la Réserve Fédérale américaine provoque un électrochoc dans le pays : elle révèle que l'encours de toutes les dettes étudiantes aux Etats-Unis a dépassé les 1000 milliards de dollars.
Les prêts étudiants sont-ils la prochaine bulle immobilière ? 
 
 

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 C'est plus que les dettes des cartes de crédits, et surtout, ce chiffre a doublé en moins de 10 ans. Depuis, la question du coût croissant de l'éducation supérieure aux Etats-Unis s'est imposée dans la campagne présidentielle.

L'équipe d'ARTE Reportage a enquêté à Phoenix, Arizona, surnommée « la Silicon Valley de l'éducation supérieure ». C'est ici que se trouvent à la fois la plus grande université publique du Pays, « l'Arizona State University » qui compte 72 000 étudiants, et le siège de la plus importante des Universités privées à but lucratif, « l'University of Phoenix ». Celle qui est accusée de pousser ses étudiants à s'endetter. Et c'est aussi en Arizona que le taux de défaut de paiement sur les prêts étudiants est le plus élevé du pays.

 
Rencontre avec des étudiants inquiets à l'idée de ne pas trouver un travail qui leur permettra de rembourser leurs emprunts et avec d'anciens étudiants étranglés par les dettes et poursuivis par des organismes de recouvrement, ARTE Reportage dévoile les racines de ce que certains imaginent être la prochaine bulle du crédit, plus dévastatrice encore que la crise des subprimes.
 
Le malheur est dans le prêt :



Ohio : l'économie avant tout !
A quelques jours de l'élection présidentielle, le 6 novembre prochain, l'économie est la préoccupation numéro un des électeurs américains. Souvent présenté comme le plus décisif des "swing states", l'état industriel de l'Ohio bénéficie d'une attention particulière des deux candidats, Barack Obama et Mitt Romney.


Depuis plusieurs élections déjà, cet Etat de 12 millions d'habitants est considéré comme le baromètre politique de l'Amérique. Depuis 50 ans, chaque candidat vainqueur en Ohio a systématiquement été élu Président des Etats-Unis.


Au c½ur de la « Rust Belt », vieux moteur industriel des États-Unis, l'insécurité est d'abord économique. Dans l'Ohio, le taux de chômage est passé de 7 %, fin 2008, peu après la faillite de Lehman Brothers, à près de 12 % en janvier 2010. De nombreuses usines ont fermé leurs portes, notamment dans la sidérurgie et l'industrie automobile.


Pourtant, depuis peu, l'économie semble repartir. Grâce notamment à l'exploitation du gaz de schiste qui bénéficie à toute l'industrie locale. L'Ohio se reprend à espérer et ici, pour l'emporter, les candidats se doivent de parler énergie et voitures, plutôt que réforme de santé et protection de l'environnement.
(France, 2012, 52mn)
ARTE


Date de première diffusion : Sam., 3 nov. 2012, 18h38



Conclusion :
Le Point.fr - Publié le 05/11/2012
 

Élections américaines - Michael Moore aux abstentionnistes : "Va faire trembler ces salopards. Pour moi."
 

Le cinéaste militant Michael Moore écrit aux abstentionnistes qui risquent, selon lui, de faire passer Romney.
 
Eléction Américaine et Goldman Sachs
 


Les abstentionnistes joueront un rôle décisif dans une élection qui s'annonce très serrée. Et comme ce sont en majorité les jeunes et les pauvres qui ne se déplacent pas aux urnes, on estime traditionnellement qu'une faible participation profite aux républicains. C'est pourquoi sur Twitter Michael Moore, réalisateur de Fahrenheit 911 et de Capitalism a love story, demande à ses followers de convaincre deux personnes d'ici à mardi d'aller voter. Et sur son blog, l'activiste, qui s'est engagé sans réserve pour la réélection de Barack Obama, se fend d'une lettre "aux abstentionnistes" dont voici la traduction

 
 
Tags : Eléction Américaine, Goldman Sachs, ARTE Reportage, Barack Obama, Mitt Romney, gaz de schiste, Michael Moore aux abstentionnistes, mario monti, mario draghi
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#Posté le lundi 05 novembre 2012 14:33

Modifié le jeudi 07 avril 2016 08:35

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