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Soleil Vert – Bande Annonce
New York en 2022. Un brouillard a envahi la surface du globe, tuant la végétation et la plupart des espèces animales. D'un côté, les nantis quipeuvent avoir accès à la nourriture rare et très chère. De l'autre, lesaffamés nourris d'un produit synthétique, le soylent, rationné par le gouvernement... Lors d'une émeute, le président de soylent trouve la mort et Thorn (Charlton Heston), un flic opiniâtre, est chargé de l'enquête...
Soleil Vert – Scène culte du marché, Soleil vert » présenté par Jean-Baptiste Thoret , Soleil vert, c'est maintenant
La thématique est le lien entre les bouleversements climatiques, les pesticides.... et l'évolution des maladies.
n une vision exacte des choses et comme aurait dit Brassens "j'ai bien peur que la fin du monde soit bien triste"Jeanne Kieffer
Je reviens du futur,
Tout n'est que poussière.
L'espèce humaine est éteinte.
Les océans disparus.
Plus de vie.
Rien.
Drucker se fait chier...
Source n
n « Il sera bientôt trop tard pour dévier de notre trajectoire vouée à l'échec et le temps presse ». Ecoutons la sagesse, les alertes des scientifiques. Poursuivons la mobilisation pour protéger le #climat et la #biodiversité. Ne nous résignons pas! #cop23 n
Climat, duel de géants
Géopolitis
Lorsque Donald Trump se retire de l'accord de Paris et annonce des coupes massives dans le budget de l'environnement, la Chine confirme son virage vert. Elle entend investir à court terme 360 milliards de dollars dans les énergies renouvelables. Le pari est immense car l'Empire du Milieu consomme à lui seul la moitié du charbon de la planète. Géopolitis, une émission de la Radio Télévision Suisse, dimanche 12 novembre 2017. Le site de Géopolitis : http://geopolitis.ch #géopolitis
Fault Lines - State of Denial - YouTube
COP23.
Présente à Bonn (Allemagne) pour suivre la conférence sur le climat, notre journaliste Aude Massiot vient d'assister à une manifestation contre la conférence de la Maison blanche en faveur des énergies fossiles et du nucléaire. La conférence a été brièvement interrompue. (Cliquer sur l'image pour voir la vidéo)
http://pbs.twimg.com/profile_images/889222008726319105/D_MArP-__normal.jpg") center center / cover transparent; color: inherit; cursor: pointer; text-decoration: none; width: 60px; height: 60px; display: block; overflow: hidden; float: left; opacity: 1; transition: opacity 0.1s ease;">Manifestation à la #COP23 contre la conférence de la Maison blanche en faveur des énergies fossiles et du nucléaire #US
13.11.17 Aude Massiot. @MassiotAude SUIVRE n
Permettez-moi de vous faire suivre le Dossier qu'Attac France vient de publier, à la veille de la venue d'Emmanuel Macron à Bonn pour la COP23 :
Urgence climatique : on entre dans le dur
Pour ne pas enterrer l'objectif des 2°C, enterrons les politiques qui ne sont pas climato-compatibles
#MakethePlanetGreatAgain ou #BusinessAsUsual il faut choisir !
Lien : https://france.attac.org/IMG/pdf/rapportonentredansledurclimat.pdf
Contenu
Résumé : « Il ne s'agit pas de faire de notre mieux, il s'agit de faire ce qui est requis »Urgence climatique : faut-il enterrer l'objectif des 2°C ?
Les limites intrinsèques de l'Accord de Paris et de la gouvernance climatique
Crime climatique : le temps des sanctions est venu, y compris pour les « États voyous »
Du CETA à l'OMC en passant par la CNUCC, le commerce prime sur le climat !
Les dangers de la neutralité carbone et des émissions négatives
Emmanuel Macron : 6 mois à l'Elysée, 6 mois perdus pour le climat ?
Nouveau Rapport - Le poids écrasant des lobbys gaziers sur Bruxelles
Réforme du marché carbone européen : 200 milliards d'¤ supplémentaires pour les pollueurs
Délinquants du climat = délinquants fiscaux ! Les mettre au pas pour financer le climat !1 million d'emplois climat : comment conjuguer climat et justice sociale ?
Pas un euro de plus pour les énergies du passé, fossiles ou fissiles
Pour information, je serai à Bonn de ce mardi 14 au vendredi 17 novembre.
Climate change: Are the media failing us?
Why journalists fail to adequately report on climate change. Plus, the perils of covering the environment in Indonesia.
11 Nov 2017 10:54 GMT
Sur The Listening Post cette semaine, nous vous apportons un spectacle spécial sur le climate change et la couverture des nouvelles qui correspond rarement à l'ampleur et l'urgence du problème.
Cette année, encore une fois, des phénomènes météorologiques extrêmes - ouragans, inondations, incendies de forêt - ont donné l'occasion aux médias de s'adresser à un éléphant de la taille d'une planète: le changement climatique.
Mais une fois la tempête passée, les médias se déplacent aussi. Le dernier cycle de global climate talks se déroule actuellement enGermany, mais l'attention des médias a été limitée.
Plus tôt cette année, le changement climatique est arrivé en deuxième position dans une enquête publique internationale sur les menaces mondiales et pourtant les journalistes sont toujours en retard. Will Yong de The Listening Post demande pourquoi.
Contributeurs:
Lisa Hymas, Media Matters pour l'Amérique
Nicholas Beuret, Université de Lancaster
Martin Lukacs, écrivain en environnement, The Guardian
Amantha Perera, journaliste
Jenni Monet, journaliste et cinéaste
Climate change: Are the media failing us? - The Listening Post
Indonésie: Les médias et l'environnement
Un pays ayant un grand changement dans l'histoire du changement climatique est l'Indonesia..
De nombreuses îles du pays fini sous l'eau et le niveau de la mer continuent d'augmenter au rythme actuel.
Malgré la menace claire et actuelle, la couverture médiatique générale des questions de l'organisation va rarement au-delà des feux de forêt ou des coulées de boue.
Les critiques accusent les groupes de médias pour leurs relations étroites avec les entreprises agroalimentaires et les minières qui sont parmi les pires délinquants.
Les journalistes traditionnels ont également mis au point des problèmes à cause de la corruption politique, et les ONG sont intervenues pour combler le manque d'informations.
Les rapports Meenakshi Ravi de The Listening Post.
Contributeurs:
Harry Surjadi, chef, Société indonésienne des journalistes de l'environnement
Sapariah Saturi, rédacteur en chef, Mongabay-Indonésie
Merah Ismail, responsable de la campagne, ONG JATAM (Mining Advocacy Network)
Indoarto Priadi, directeur général, TVOne
Source: Al Jazeera
» 15.000 scientifiques alertent sur l'état de la planète
Dans un appel publié par la revue Bioscience et relayé en français par Le Monde, 15.000 scientifiques de 184 pays soulignent l'état alarmant des indicateurs de l'état de la planète et appellent à agir concrètement contre «une souffrance généralisée et une perte catastrophique de biodiversité». publié en français dans Le Monde
Climat: la Terre se rapproche de points de bascule
Avec le réchauffement du climat, la planète se rapproche de certains «points de bascule», changements abrupts qui «menacent la sécurité humaine», mettent en garde des chercheurs dans un rapport présenté lundi à l'ONU à la 23e conférence climat.
«La Terre approche de points de bascule du fait de pressions humaines», souligne cette synthèse réalisée par deux réseaux scientifiques internationaux, Future Earth et Earth League.
» LIRE AUSSI - 15.000 scientifiques alertent sur l'état de la planète
Fonte des calottes polaires, inversion des courants marins... sont autant d'événements à anticiper, en fonction de la hausse de la température mondiale.
«Nous ne devrions pas penser que le changement climatique se produira de manière progressive», préviennent les chercheurs. «Dans le passé, de larges pans du système terrestre, comme les calottes glaciaires, les forêts tropicales et les océans, se sont modifiés brusquement après de longues périodes de changement graduel».
«Depuis deux ans, des preuves se sont accumulées montrant que nous courons vers des 'points de bascule'», souligne Johan Rockström, président de l'Earth League, pour qui «il n'y a pas de place pour l'autosatisfaction: le changement climatique est là, il est dangereux».
» LIRE AUSSI - Ouragans, inondations, sécheresse... Le monde à l'épreuve du réchauffement climatique
La communauté internationale s'est fixé, fin 2015 à Paris, l'objectif de rester sous 2°C voire 1,5°C de réchauffement par rapport à l'ère pré-industrielle. Mais à ce stade les engagements des pays conduisent plutôt à plus de 3°.
Selon les chercheurs, si la température gagne entre 1°C et 3°C, des seuils de bascule pourraient être franchis pouvant conduire à la perte de la banquise d'été en Arctique, la fonte de portions de la calotte du Groënland et de la calotte de l'ouest de l'Antarctique, la disparition de "nombreux" glaciers de montagne et récifs coralliens.
Entre 3 et 5°C, le monde pourrait voir l'Amazonie se transformer en partie en savane, les courants marins profonds affectant la météo des côtes nord-Atlantique se modifier.
Discours à l'ONU sur l'environnement stfr
Le sommet de la Terre démarre mercredi à Rio. Vous qui avez connu la première conférence, celle de Stockholm, en 1972, que vous inspire cette rencontre, quarante ans plus tard ?
Comme environnementaliste, je trouve stupide l'idée même que des dizaines de milliers de personnes sautent dans un avion pour rejoindre la capitale brésilienne, histoire de discuter de soutenabilité. C'est complètement fou. Dépenser l'argent que ça coûte à financer des politiques publiques en faveur de la biodiversité, de l'environnement, du climat serait plus efficace. Il faut que les gens comprennent que Rio + 20 ne produira aucun changement significatif dans les politiques gouvernementales, c'est même l'inverse.
Regardez les grandes conférences onusiennes sur le climat, chaque délégation s'évertue à éviter un accord qui leur poserait plus de problèmes que rien du tout. La Chine veille à ce que personne n'impose de limites d'émissions de CO2, les Etats-Unis viennent discréditer l'idée même qu'il y a un changement climatique. Avant, les populations exerçaient une espèce de pression pour que des mesures significatives sortent de ces réunions. Depuis Copenhague, et l'échec cuisant de ce sommet, tout le monde a compris qu'il n'y a plus de pression. Chaque pays est d'accord pour signer en faveur de la paix, de la fraternité entre les peuples, du développement durable, mais ça ne veut rien dire. Les pays riches promettent toujours beaucoup d'argent et n'en versent jamais.
Vous n'y croyez plus ?
Tant qu'on ne cherche pas à résoudre l'inéquation entre la recherche perpétuelle de croissance économique et la limitation des ressources naturelles, je ne vois pas à quoi ça sert. A la première conférence, en 1972, mon livre les Limites à la croissance (dont une nouvelle version enrichie a été publiée en mai) avait eu une grande influence sur les discussions. J'étais jeune, naïf, je me disais que si nos dirigeants se réunissaient pour dire qu'ils allaient résoudre les problèmes, ils allaient le faire. Aujourd'hui, je n'y crois plus !
L'un des thèmes centraux de la conférence concerne l'économie verte. Croyez-vous que ce soit une voie à suivre ?
Il ne faut pas se leurrer : quand quelqu'un se préoccupe d'économie verte, il est plutôt intéressé par l'économie et moins par le vert. Tout comme les termes soutenabilité et développement durable, le terme d'économie verte n'a pas vraiment de sens. Je suis sûr que la plupart de ceux qui utilisent cette expression sont très peu concernés par les problèmes globaux. La plupart du temps, l'expression est utilisée pour justifier une action qui aurait de toute façon été mise en place, quelles que soient les raisons.
Vous semblez penser que l'humanité n'a plus de chance de s'en sortir ?
Avons-nous un moyen de maintenir le mode de vie des pays riches ? Non. Dans à peine trente ans, la plupart de nos actes quotidiens feront partie de la mémoire collective, on se dira : «Je me souviens, avant, il suffisait de sauter dans une voiture pour se rendre où on voulait», ou «je me souviens, avant, on prenait l'avion comme ça». Pour les plus riches, cela durera un peu plus longtemps, mais pour l'ensemble des populations, c'est terminé. On me parle souvent de l'image d'une voiture folle qui foncerait dans un mur. Du coup, les gens se demandent si nous allons appuyer sur la pédale de frein à temps. Pour moi, nous sommes à bord d'une voiture qui s'est déjà jetée de la falaise et je pense que, dans une telle situation, les freins sont inutiles. Le déclin est inévitable.
En 1972, à la limite, nous aurions pu changer de trajectoire. A cette époque, l'empreinte écologique de l'humanité était encore soutenable. Ce concept mesure la quantité de biosphère nécessaire à la production des ressources naturelles renouvelables et à l'absorption des pollutions correspondant aux activités humaines. En 1972, donc, nous utilisions 85% des capacités de la biosphère. Aujourd'hui, nous en utilisons 150% et ce rythme accélère. Je ne sais pas exactement ce que signifie le développement durable, mais quand on en est là, il est certain qu'il faut ralentir. C'est la loi fondamentale de la physique qui l'exige : plus on utilise de ressources, moins il y en a. Donc, il faut en vouloir moins.
La démographie ne sera pas abordée à Rio + 20. Or, pour vous, c'est un sujet majeur...
La première chose à dire, c'est que les problèmes écologiques ne proviennent pas des humains en tant que tels, mais de leurs modes de vie. On me demande souvent : ne pensez-vous pas que les choses ont changé depuis quarante ans, que l'on comprend mieux les problèmes ? Je réponds que le jour où l'on discutera sérieusement de la démographie, alors là, il y aura eu du changement.
Jusqu'ici, je ne vois rien, je dirais même que c'est pire qu'avant. Dans les années 70, les Nations unies organisaient des conférences sur ce thème, aujourd'hui, il n'y a plus rien.
Pourquoi ?
Je ne comprends pas vraiment pourquoi. Aux Etats-Unis, on ne discute plus de l'avortement comme d'une question médicale ou sociale, c'est exclusivement politique et religieux. Personne ne gagnera politiquement à ouvrir le chantier de la démographie. Du coup, personne n'en parle. Or, c'est un sujet de très long terme, qui mérite d'être anticipé. Au Japon, après Fukushima, ils ont fermé toutes les centrales nucléaires. Ils ne l'avaient pas planifié, cela a donc causé toutes sortes de problèmes. Ils ont les plus grandes difficultés à payer leurs importations de pétrole et de gaz. C'est possible de se passer de nucléaire, mais il faut le planifier sur vingt ans.
C'est la même chose avec la population. Si soudainement vous réduisez les taux de natalité, vous avez des problèmes : la main-d'½uvre diminue, il devient très coûteux de gérer les personnes âgées, etc. A Singapour, on discute en ce moment même de l'optimum démographique. Aujourd'hui, leur ratio de dépendance est de 1,7, ce qui signifie que pour chaque actif, il y a 1,7 inactif (enfants et personnes âgées compris). S'ils stoppent la croissance de la population, après la transition démographique, il y aura un actif pour sept inactifs. Vous comprenez bien qu'il est impossible de faire fonctionner correctement un système social dans ces conditions. Vous courez à la faillite. Cela signifie qu'il faut transformer ce système, planifier autrement en prenant en compte tous ces éléments.
La planification existe déjà, mais elle ne fonctionne pas. Nous avons besoin de politiques qui coûteraient sur des décennies mais qui rapporteraient sur des siècles. Le problème de la crise actuelle, qui touche tous les domaines, c'est que les gouvernements changent les choses petit bout par petit bout. Par exemple, sur la crise de l'euro, les rustines inventées par les Etats tiennent un ou deux mois au plus. Chaque fois, on ne résout pas le problème, on fait redescendre la pression, momentanément, on retarde seulement l'effondrement.
Depuis quarante ans, qu'avez-vous raté ?
Nous avons sous-estimé l'impact de la technologie sur les rendements agricoles, par exemple. Nous avons aussi sous-estimé la croissance de la population. Nous n'avions pas imaginé l'ampleur des bouleversements climatiques, la dépendance énergétique. En 1972, nous avions élaboré treize scénarios, j'en retiendrais deux : celui de l'effondrement et celui de l'équilibre. Quarante ans plus tard, c'est indéniablement le scénario de l'effondrement qui l'emporte ! Les données nous le montrent, ce n'est pas une vue de l'esprit.
Le point-clé est de savoir ce qui va se passer après les pics. Je pensais aussi honnêtement que nous avions réussi à alerter les dirigeants et les gens, en général, et que nous pouvions éviter l'effondrement. J'ai compris que les changements ne devaient pas être simplement technologiques mais aussi sociaux et culturels. Or, le cerveau humain n'est pas programmé pour appréhender les problèmes de long terme. C'est normal : Homo Sapiens a appris à fuir devant le danger, pas à imaginer les dangers à venir. Notre vision à court terme est en train de se fracasser contre la réalité physique des limites de la planète.
N'avez-vous pas l'impression de vous répéter ?
Les idées principales sont effectivement les mêmes depuis 1972. Mais je vais vous expliquer ma philosophie : je n'ai pas d'enfants, j'ai 70 ans, j'ai eu une super vie, j'espère en profiter encore dix ans. Les civilisations naissent, puis elles s'effondrent, c'est ainsi. Cette civilisation matérielle va disparaître, mais notre espèce survivra, dans d'autres conditions. Moi, je transmets ce que je sais, si les gens veulent changer c'est bien, s'ils ne veulent pas, je m'en fiche. J'analyse des systèmes, donc je pense le long terme. Il y a deux façons d'être heureux : avoir plus ou vouloir moins. Comme je trouve qu'il est indécent d'avoir plus, je choisis de vouloir moins.
Partout dans les pays riches, les dirigeants promettent un retour de la croissance, y croyez-vous ?
C'est fini, la croissance économique va fatalement s'arrêter, elle s'est déjà arrêtée d'ailleurs. Tant que nous poursuivons un objectif de croissance économique «perpétuelle», nous pouvons être aussi optimistes que nous le voulons sur le stock initial de ressources et la vitesse du progrès technique, le système finira par s'effondrer sur lui-même au cours du XXIe siècle. Par effondrement, il faut entendre une chute combinée et rapide de la population, des ressources, et de la production alimentaire et industrielle par tête. Nous sommes dans une période de stagnation et nous ne reviendrons jamais aux heures de gloire de la croissance. En Grèce, lors des dernières élections, je ne crois pas que les gens croyaient aux promesses de l'opposition, ils voulaient plutôt signifier leur désir de changement. Idem chez vous pour la présidentielle. Aux Etats-Unis, après Bush, les démocrates ont gagné puis perdu deux ans plus tard. Le système ne fonctionne plus, les gens sont malheureux, ils votent contre, ils ne savent pas quoi faire d'autre. Ou alors, ils occupent Wall Street, ils sortent dans la rue, mais c'est encore insuffisant pour changer fondamentalement les choses.
Quel système économique fonctionnerait d'après vous ?
Le système reste un outil, il n'est pas un objectif en soi. Nous avons bâti un système économique qui correspond à des idées. La vraie question est de savoir comment nous allons changer d'idées. Pour des pans entiers de notre vie sociale, on s'en remet au système économique. Vous voulez être heureuse ? Achetez quelque chose ! Vous êtes trop grosse ? Achetez quelque chose pour mincir ! Vos parents sont trop vieux pour s'occuper d'eux ? Achetez-leur les services de quelqu'un qui se chargera d'eux ! Nous devons comprendre que beaucoup de choses importantes de la vie ne s'achètent pas. De même, l'environnement a de la valeur en tant que tel, pas seulement pour ce qu'il a à nous offrir.
L'absence de courage politique, la perméabilité à l'influence des intérêts contrariés par les mesures à prendre pèsent sur les discussions multilatérales. L'accord de Paris sur le climat de 2015 n'évitera pas, en l'état des engagements des signataires, un réchauffement de 3 oC par rapport à la période préindustrielle. Aujourd'hui, l'atmosphère ne s'est réchauffée que de 1 oC et, déjà, des ouragans qui frappent la Caraïbe à la sécheresse qui dévaste la Corne de l'Afrique, les conséquences de ce bouleversement sont si désastreuses et difficilement gérables qu'on a peine à imaginer ce qui pourrait se produire avec 2 oC supplémentaires.
En savoir plus sur le monde
La thématique est le lien entre les bouleversements climatiques, les pesticides.... et l'évolution des maladies. C'est un reportage ou conférence qui dure 1h57
Demain, tous crétins ? - Capture d'écrans
Les pesticides sont plus dangereux qu'on ne le pense. Ils rendent les enfants et les adultes moins intelligents, d'après une nouvelle étude scientifique effectuée à la demande du Parlement européen. En plus, les pesticides pourraient être à l'origine de cancers, du diabète et d'autres problèmes de santé.
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13 novembre 2017 La malédiction du pétrole
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