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Licencier, c'est facile et c'est pas cher


n
 Licencier, c’est facile et c’est pas cher
 
Manager de transition, un bien joli métier ((mis sur facebook)
Le jeudi 20 septembre 2012
 
 

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les sales majestes - les patrons

 
 Blog / Manager de transition, un bien joli métier
 
 
 
Des intérimaires heureux ? Si, si, ça existe... Ils ne sont pas la variable d'ajustement des entreprises, ils la créent, la provoquent, la mettent à exécution. Ce sont des femmes et des hommes de crise. A qui l'on confie provisoirement les rênes d'une entreprise ou de l'une de ses filiales. 

On les appelle manager de transition ou consultant de restructuration. Quand ils débarquent, c'est bien pour débarquer d'autres intérimaires, d'autres salariés, CDD ou CDI, moins chanceux. Sous couvert de "performance", de "stratégie industrielle", de "rentabilisation de l'outil de travail", ils n'ont qu'un mot à la bouche : la croissance. 

La leur. Payés entre 1 000 et 1 500 euros la journée, de 30% à 60% des entreprises ont déjà fait appel à leurs services lors de la crise de 2009. 


"La chanson du DRH", Arnaud Catherine et Florent Marchet 

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>la chanson du drh - YouTube


La transformation digitale oblige les entreprises à réinventer leurs fonctionnements et leurs méthodes de management. Les attentes des publics changent : la nécessité de refonder les modèles économiques et de trouver de nouveaux champs de développement nécessite d'embarquer tous les salariés dans une dynamique vertueuse de cocréation entre métiers, entre secteurs de l'entreprise, entre énergies internes et externes. Au delà de ses missions régaliennes classiques, la DRH a un « terrain de jeu » inédit et passionnant pour mobiliser les énergies et les fédérer en projets apprenants : elle détecte et met en mouvement les acteurs, propose des espaces de réflexion et d'échange, met en place des expériences de travail innovantes, diffuse les bonnes pratiques. Elle est aujourd'hui un acteur essentiel de changement.
 
Et si le métier de DRH était le plus beau métier du monde ? | Florence Guémy | TEDxIssylesMoulineaux



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Quand je serai grand, je serai DRH.




Rencontre avec : 
   Bernard Tronel, directeur du cabinet Essensys spécialisé dans ce management 
   Luc Brami, directeur des ressources humaines spécialisé en plans sociaux 
   Didier Crespel, ancien directeur général de Valeo




Plébiscité par le patronat et ratifié cette semaine par l'Assemblée, le barème des indemnités pour les personnes ayant été licenciées abusivement précarise les salariés en plafonnant les sommes accordées par les prud'hommes.


SNCF. Les syndicats de la SNCF ont décidé de donner une chance à la concertation avec le gouvernement sur son projet de réforme du groupe public, avant d'arrêter, le 15 mars, une éventuelle date de grève. 
 
nQuand la SNCF manque de conducteurs et supprime des trains FRANCEINTER.FR
Le gouvernement prévoit de déposer mi-mars un projet de loi d'habilitation pour recourir aux ordonnances. Les syndicats des cheminots se sont donnés jusque-là pour décider d'une grève.
» SNCF: syndicats, direction et ministre se préparent à la concertation 

Statut des cheminots: "regarder ce qui peut évoluer" (CFDT)
Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, a estimé samedi qu'"il faut regarder ce qui doit évoluer dans le statut des cheminots", tout en critiquant "un problème d'investissement de l'Etat" dans la SNCF. "Il faut regarder ce qui doit évoluer dans le statut des cheminots, mais pas en les culpabilisant et en les stigmatisant", a déclaré Laurent Berger sur France Inter. Les quatre syndicats représentatifs de la SNCF (CGT, Unsa, SUD rail, CFDT) ont décidé d'attendre jusqu'au 15 mars avant d'arrêter une éventuelle date de grève.
» LIRE AUSSI - Réforme de la SNCF : le spectre des grandes grèves de 1995

Licencier, c'est facile et c'est pas cher
«Rassurant», le plafonnement des indemnités prud'homales accordées en cas de licenciement abusif ? C'est ce qu'a défendu, le 7 novembre, Muriel Pénicaud, à l'Assemblée nationale. Pour la ministre du Travail, la mesure phare des ordonnances, dont le texte de ratification est de retour dans l'hémicycle cette semaine, devrait rasséréner les salariés autant que les employeurs. Prévoyant des montants minimums et maximums, ce barème, réclamé de longue date par les employeurs, doit les inciter à embaucher, en les «libérant» de leurs «peurs» liées au processus de licenciement. Une logique plutôt hasardeuse - le comportement des entreprises étant surtout dicté, en réalité, par leurs carnets de commandes -, mais avantageuse pour le patronat.
Les charlots qui, à mes yeux, font partie des grands comiques français, rendent "hommage" au patronnat
 
Côté salariés, le discours de la ministre, qui se félicite de mettre fin au «peu d'équité et [au] peu de prévisibilité» dans le calcul des dommages et intérêts, est plus difficile à entendre. Pour la CGT, le barème va même «précariser davantage les salariés», en «ouvr[ant] la porte à tous les abus», et notamment à plus de licenciements abusifs, car les entreprises en connaîtront le coût, amoindri, par avance.
A LIRE AUSSI «Avec la mise en place des barèmes, on mettrait un ordinateur ce serait pareil»
Certes, pointe la ministre, la réforme met en place une indemnité minimale pour les salariés des entreprises de moins de onze salariés, là où elle était réservée aux entreprises aux effectifs supérieurs. Mais le barème est plutôt pingre : jusqu'à trois ans d'ancienneté, ils n'ont droit qu'à un demi-salaire mensuel.
Et dans les entreprises de plus de onze salariés, le plancher, qui était de six mois de salaire minimum dès deux ans d'ancienneté, oscille désormais entre zéro (moins d'un an d'ancienneté) et trois mois. Côté plafond, il n'est pas plus charitable. Tous types d'entreprises confondues, pour espérer toucher une indemnité maximale de six mois, le salarié doit désormais avoir cinq ans au compteur. Et au-delà de 28 ans d'ancienneté, le plafond s'arrête à 20 mois.
«Apprécier au cas par cas»


Pas de quoi déclencher une révolution, tempèrent certains, notant que les prud'hommes n'étaient pas toujours très généreux. «C'est une juridiction paritaire, avec autant de conseillers salariés qu'employeurs, donc plutôt modérée», note l'un d'eux. Selon une étude du ministère de la Justice, les indemnités prud'homales pour licenciement abusif atteignent dix mois de salaire en moyenne. Mais avec des écarts importants selon les cas. D'autres estiment néanmoins que la référence à un plafond pourrait pousser les indemnités vers le haut. Un scénario auquel Samuel Gaillard, avocat en droit social, ne croit pas : «Pour les salariés qui ont entre huit et vingt ans d'ancienneté, peut-être que cela ne change pas grand-chose, car les montants moyens sont proches de ceux du barème. Mais il y aura des perdants chez les salariés avec une faible ancienneté.»
En effet, selon l'étude du ministère de la Justice, entre deux et cinq ans d'ancienneté, les salariés touchaient en moyenne 8 mois de salaire. Demain, ils ne pourront espérer - au maximum - qu'entre 3 et 6 mois. Exemple avec un vendeur au smic depuis trois ans dans une entreprise de plus de onze salariés. En cas de licenciement abusif, il avait droit, a minima, à 8 880 euros (6 smic). Désormais, il devra se contenter d'une indemnité comprise entre 4440 euros (le plancher à 3 mois) et 5920 euros (le plafond à 4 mois).
 
Autres victimes de ce barème, poursuit Samuel Gaillard : les salariés âgés. Ces derniers pouvaient bénéficier d'un geste des prud'hommes, soucieux de garantir une réparation intégrale du préjudice subi, vu leur faible employabilité. Avec le barème, cela risque de passer à la trappe. Même chose pour ceux ayant des difficultés financières ou des charges de famille. «Un homme de 35 ans, célibataire, a de fortes probabilités de retrouver un emploi. Mais une femme séparée avec deux enfants à charge, elle, n'a aucune chance si le bassin est sinistré», souligne Gérard Behar, expert CGC au Conseil supérieur de la prud'homie, qui défend une «approche qui part de l'humain». «Autant de situations qui nécessitent que le juge apprécie au cas par cas l'étendue du préjudice», note le Syndicat des avocats de France (SAF).


Réduction à un an du délai de prescription
S'il est trop tôt pour percevoir les effets du barème devant les conseils, les avocats notent déjà une baisse des dossiers. «Pour certains, ça ne vaut plus le coup d'aller aux prud'hommes. D'autant qu'il faut payer les honoraires et qu'il y a toujours le risque de ne pas gagner», souligne l'avocat Abdel Kachit. Autre mesure qui ne devrait pas aider à remplir les chambres, souffrant déjà d'une baisse des affaires (- 18,7 % entre 2015 et 2016) : la réduction, à un an, du délai de prescription pour saisir les prud'hommes.
 
Pour contrer les effets du barème, les juristes ont toutefois prévu une parade : multiplier les demandes, notamment sur des faits de harcèlement et de discrimination, non concernés par le plafonnement. Mais «cela risque d'apparaître gros comme une maison qu'il s'agit de gratter en allant sur un autre terrain», note Kachit. Autre angle d'attaque : agir en justice en s'appuyant sur la jurisprudence du Comité européen des droits sociaux, qui a déjà permis de condamner une réforme similaire en Finlande.
 
Si nombre de juristes peine à croire que l'argument suffise à faire tomber le barème, il pourrait toutefois être repris dans les chambres prud'homales. Avec l'espoir, souligne l'un d'eux, de faire évoluer la pratique. Car «quand une situation choque, les juges ne peuvent pas rester les bras croisés».
 
Virés, indemnisés : ce qu'ils perdront avec la loi travail

VÉRONIQUE, RESPONSABLE D'UN MAGASIN DE MEUBLES Avant : 40 000 ¤ / Après : entre 2 000 et 8 000 ¤

Les faits. Véronique (prénom modifié) avait pourtant «réussi son pari», note son avocat Gilles Tesson. Celui d'augmenter les ventes du magasin en difficulté pour lequel elle avait été recrutée en tant que responsable en juin 2014. Mais l'arrivée, quelques mois plus tard, de nouveaux gérants à la tête de cet établissement vendéen spécialisé dans les meubles a changé la donne. «Elle se rend compte qu'[ils] veulent se passer d'elle», explique son avocat. «A compter de ce jour, les objectifs de vente ont été augmentés de 57% et des fonctions contractuelles lui ont été retirées», soulignent, de leur côté, les conseillers prud'homaux de la Roche-sur-Yon dans leur jugement de mai 2017. Elle est licenciée pour faute grave le 23 décembre 2015. Les faits reprochés ? Une ubuesque histoire de vol de canapé. Dans la lettre de licenciement, on l'accuse d'avoir donné à sa fille l'ancien sofa de clients, repris par la société au moment de la livraison du nouveau qu'ils venaient d'acquérir. Ce que Véronique ne nie pas, puisqu'elle explique avoir obtenu l'accord de sa direction. Mais cette dernière «conteste fermement». Sans convaincre les conseillers qui notent que «rien n'a été caché à la SARL» qui était «parfaitement au courant de l'accord qu'elle avait conclu». Ce qu'une ancienne vendeuse, témoin de la conversation téléphonique au cours de laquelle Véronique avait reçu le feu vert de son employeur, confirme dans une attestation. En l'absence de «preuve formelle» de la faute, le conseil a donc jugé le licenciement abusif. «Il est apparu devant les juges que le motif est inventé de toutes pièces», résume l'avocat. L'employeur a fait appel.
Indemnité reçue. 40 000 euros de dommages et intérêts, soit près de 10 mois de salaire (4 033 euros brut mensuels), pour une ancienneté d'un an. Une somme qui se justifie, selon les conseillers, par l'âge de la plaignante - 56 ans -, la perte de revenu, ou encore la «perte de chance d'employabilité». D'autant qu'elle avait quitté un poste pour intégrer l'entreprise. Autre facteur aggravant : la «déloyauté de la SARL» et l'«atteinte à sa réputation».

Indemnité avec barème. Entre 2 016 euros (0,5 mois de salaire) et 8 066 euros (2 mois de salaire), dans cette entreprise de moins de 11 salariés.

FABRICE, EMPLOYÉ D'UNE SOCIÉTÉ INFORMATIQUEAvant : 80 000 ¤ / Après : entre 11 700 et 50 600 ¤
Les faits. Aux juges prud'homaux de Boulogne-Billancourt, Fabrice (prénom modifié), engagé en CDI en 1998 par l'un des leaders français de services informatiques, a expliqué avoir «été l'objet de pressions de la part de son employeur pour obtenir son départ». Une situation qui aurait débuté, selon le chef de projet, en 2013, après de multiples missions réalisées pour l'entreprise auprès de grands groupes. Il se retrouve alors, début octobre 2013, en période «d'intercontrats», c'est-à-dire qu'il n'est plus affecté chez un client. Convoqué à un entretien préalable, fin octobre, il sera licencié dans la foulée. Sa faute, selon son employeur : des retards dans la rédaction de la réponse à un appel d'offres pour un client et un «comportement désinvolte lors d'une réunion». Une «insubordination» qui aurait été préjudiciable à l'image de l'entreprise. Une analyse disproportionnée pour le conseil de prud'hommes, saisi en 2014 par le salarié. Certes, l'informaticien «n'a pas rempli les attentes» de ses supérieurs et a «fait preuve d'un manque de professionnalisme», précise le jugement. Mais ces faits «ne justif[iaient] pas un licenciement», d'autant qu'ils n'avaient pas été précédés d'alertes suffisantes. De plus, Fabrice avait jusqu'alors donné satisfaction, son entretien de septembre 2013 pointant des «compétences indéniables et évidentes». Le licenciement est donc sans cause réelle et sérieuse. Il n'y a pas eu d'appel.

Indemnité reçue. 80 000 euros de dommages et intérêts, soit 20,5 mois de salaire (3 898 euros brut mensuels), pour une ancienneté de quinze ans. Une indemnité justifiée, selon Samuel Gaillard, l'avocat du salarié, par la taille de la société, mais aussi par «des circonstances bien particulières». Et d'expliquer : «C'est une problématique classique dans le secteur», marqué par une «course au jeunisme» et le «licenciement des salariés lorsqu'ils restent trop longtemps en intercontrats». Autre facteur : l'âge - 61 ans - du plaignant, «qui a été licencié à trois ans et demi du départ à la retraite».

Indemnité avec barème. Entre 11 694 euros (3 mois de salaire) et 50 674 euros (13 mois de salaire). «Mais peut-être que le conseil de prud'hommes aurait alors admis le caractère discriminatoire de ce licenciement», pointe l'avocat du salarié.

GUILLAUME, CHEF D'UN CENTRE DE RÉPARATION AUTOAvant : 10 000 ¤ / Après : entre 0 et 2 000 ¤
Les faits. Fin 2016, lorsqu'une société de réparation de pare-brise normande lui propose de l'engager en CDI pour devenir chef d'un de ces centres, Guillaume (prénom modifié) décide de quitter le poste qu'il occupait jusqu'alors, depuis dix-huit mois, dans une autre société sous un statut d'intérimaire. Mais dès le contrat signé, la situation se corse. En novembre 2016, quelques jours à peine après son arrivée, l'entreprise est placée en redressement judiciaire. Chaque mois, son salaire est payé en retard. Jusqu'au mois de février 2017, pour lequel il ne recevra jamais son dû. Il va alors saisir, le 14 mars 2017, les prud'hommes de la Roche-sur-Yon pour faire constater une rupture de contrat aux torts de l'employeur. Deux jours avant, l'établissement dans lequel il travaillait «a été vidé de tout son matériel», notent les conseillers qui, dans leur jugement, lui donnent raison sans sourciller. Soulignant la «désinvolture et les manquements de la SARL», ils décident donc de considérer la rupture comme un licenciement sans cause réelle et sérieuse, et condamnent l'AGS de Rouen, l'organisme patronal chargé de payer les créances salariales des entreprises en difficultés. Ce dernier a fait appel.

Indemnité reçue. 10 000 euros de dommages et intérêts, soit près de 5 mois de salaire (2 078 euros brut mensuels), pour une ancienneté de moins d'un an. Une décision qui tient compte de la «situation juridique et financière désastreuse» subie par le plaignant, père de trois enfants. Interdit bancaire, l'homme de 39 ans s'est retrouvé dans une «impasse», expliquent les conseillers :«Pôle emploi ne le prend pas en compte, n'ayant aucun document de fin de contrat. La CAF refuse de prévoir le RSA, car selon l'organisme, il devrait être pris en charge par Pôle emploi.» Un imbroglio administratif qui a de quoi plonger Guillaume dans «l'angoisse, le stress».

Indemnité avec le barème. Entre zéro et 2 078 euros (un mois de salaire). «Mais il aurait peut-être été possible, malgré ce barème, de demander une indemnisation liée à la mauvaise foi manifeste de l'employeur», précise Gilles Tesson, l'avocat du salarié.
Amandine Cailhol
 
Découvrez cette émission dédiée aux enjeux de la fonction de Directeur des Ressources Humaines. Proposée par le Groupe IGS et le CNED, cette heure de vidéo présente des témoignages, des reportages et des interventions sur plateau pour vous donner toutes les informations utiles sur les DRH. Les ressources humaines occupent une place stratégique dans l'évolution des structures et la performance présente et à venir des entreprises.
 

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#Posté le samedi 03 mars 2018 06:11

Modifié le lundi 06 août 2018 13:55

Notion de gauche

 
n
 
Notion de gauche
 
françois hollande,économie,politique,société,livre,capitalisme : le triomphe de l'argent roi,capitalisme,néolibéralisme,chronique,daniel mermet,la bas.org,la bas si j'y suis,la finance imaginaireLa finance, mon adversaire n'a pas de visage et elle ne se présente pas aux élections". Pour le chercheur Geoffrey Geuens, cette phrase prononcée par François Hollande lors de son meeting du Bourget est emblématique du discours politique dominant qui oppose marché financier et Etat, deux entités sans chair et sans visage.
Entretien Daniel Mermet avec Geoffrey Geuens.

http://blogyy.net/2015/07/11/dix-ans-apres-rien-ne-change/
 
 
Yannis Youlountas a publié un article sur WordPress.
 samedi 11 juillet2015, a17h. le piege politique des conseillers du gouvernement français ne doit tromper personne. d'une pierre quatre coups, françois hollande entend : 1 - casser l'élan du oxi (qui devenait un symbole en europe et au-delà), lui qui a fait voter le tscg (traité merkozy) le 9 octobre 2012 : (a rappeler aux amnesiques) 2 - affaiblir et discréditer la vraie gauche en grèce et par ricochet en france et en espagne, tout en affirmant l'avoir aidée. 
http://blogyy.net/2015/07/11/421/
 
Notion de gauche

 
Je me rappel avoir discuter avec un ami bolivien. Il est ce que l'on pourrait appelé de la "gauche nationaliste". Il a une vision très personnel de la politique que l'on rencontre beaucoup en Amérique Latine : l'image de gouvernement comme Evo Morales , Chavez, Lula sont des bienfaiteurs face a l'odieux capitalisme américain. Il s'imagine donc, un peu naïvement qu'Hollande étant de "gauche" il va aider Tsipras dans sa lutte contre l'horrible Eurogroupe. J'ai beau lui expliquer que la gauche européenne est différente de la gauche d'amérique latine ( elle a adhérer depuis longtemps à la doctrine néolibérale) que le nationalisme même de gauche ne sauvera pas le peuple, que les communistes ont été et sont toujours au gouvernement et donc soutiennent de façon implicite les politiques de coupe budgétaire, de renvois de sans papiers, d'évacuation de squat, .... Il n'y aura donc aucun soutien d'Hollande a Tsipras. Que s'il avait voulu ( le poids de la France avec l'Allemagne de fait de circonstance historique - les deux sont les fondateurs de l'Europe - et démographique lors donne un poids supplémentaire dans les discutions passées , présentes et en cours sur la Grèce) .


Yannis Youlountas
Dix ans après, rien ne change.
SARKOZY A TUÉ LE NON DE 2005 EN FRANCE.
HOLLANDE ESSAIE DE TUER LE OXI DE 2015 EN GRÈCE.

(et Le Pen attend en embuscade pour faire pire encore en matière de privation de libertés, d'inégalités et de répression)
Le piège politique des conseillers du gouvernement français ne doit tromper personne :
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1470323146611641&set=a.1386628864981070.1073741828.100009019095596

D'autant plus que Hollande n'est pas à son coup d'essai :
https://www.youtube.com/watch?v=iHp3WXii3hU

Il devient urgent d'arracher son masque.
Y.Y.
http://blogyy.net
http://jeluttedoncjesuis.net
Illustration : nouvelles affiches "ON A DIT OXI !"


Finis les liens. Cela ne sert a rien de se lamenter, d'essayer de trouver un responsable parmi d'autre. C'est un système. Tous les politiciens ne sont pas pourris, mais pour exercer soit le meilleur perd ses illusions soient il se fait " corrompre" par la réal politique, le pouvoir, les intérêts. On peut donc toujours se lamenter sur tel ou tel décision, ne pas comprendre pourquoi tel ou tel homme politique pour lequel on a voter sur des promesses ne les a pas tenu. Je pense que cela empêche de réagir, je ne suis pas grec et ne vit pas en Grèce, mais il est temps de finir de chercher un responsable en particulier et de se mettre a l'oeuvre pour changer le systeme
 
D'UNE PIERRE QUATRE COUPS, FRANÇOIS HOLLANDE ENTEND :


Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial

On n'en a pas fini avec les inégalités
 
C'était la Génération Mitterrand
Jean Christophe Rufin pour son livre Globalia
Nous voulions
Makhnovtchina - Les Béruriers Noirs.
Leonard Cohen - The Partisan
Alexandre Marius Jacob, Pourquoi j'ai cambriolé
PUTA GUERILLA - sans papiers - police and thieves
Camus : l'art de la révolte
Woodstock 1969
Nés en 68
Janis Joplin - Portrait bio [FR]
Tags : Notion de gauche, hollande, daniel mermet
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#Posté le samedi 11 juillet 2015 12:40

Modifié le jeudi 21 avril 2016 14:36

Dallas" : une nouvelle version moderne


 
 
 
Si l'argent ne fait pas le bonheur, rendez-le !

 Dallas" : une nouvelle version moderne
 
 
"Nous ne sommes pas des gens à aimer perdre du temps sur la route. J'habite ici depuis 81 ans et depuis l'arrivée de la gauche en 81, on prétend que j'habite la Belgique et récemment dans les journaux, on a prétendu que j'habitais la Suisse. Y en a marre ! Je ne mérite pas qu'on dise que j'habite l'étranger. J'habite ici à Croix (dans le Nord-Pas-de-Calais) et ce n'est pas une croix, c'est au contraire très agréable..."
 
Remonté Gérard Mulliez. Depuis la polémique sur le possible exil fiscal de son collègue Bernard Arnault en Belgique, les "super-riches" sont super en colère.
 
La faute à cette "super taxe" à 75% promise par le président Hollande et inscrite au budget 2013. Pour être honnête, les "super-riches" ne sont pas super inquiets. Au final, cette contribution devrait ne concerner que 2000 à 3000 d'entre eux. Pour un gain de quelques dizaines de millions d'euros.

Vraiment pas de quoi s'étrangler... D'autant que cette "super taxe" vient d'être amputée de sa mesure phare. Désormais, elle ne visera que les revenus d'activité et non plus ceux du capital.


Une bonne nouvelle pour cette famille notamment propriétaire des magasins Auchan et dont le paternel Louis Mulliez a fondé en 1995 l'Association familiale Mulliez. Son objectif est de maintenir son patrimoine intact et d'en répartir environ 80 % de façon égalitaire entre ses onze héritiers.

Un gentil capitalisme à la papa qui brasse une fortune de près de 25 milliards d'euros...
Programmation musicale :
  "Lorsque l'on est ouvrière", Sylvie Vartan
  "L'argent ne fait pas le bonheur", les Parisiennes
  "Sport et couture", Amestoy trio
A lire :
  La richesse des Mulliez : l'exploitation du travail dans un groupe familial, de Benoît Boussemart, éd. Estaimpuis (novembre 2008)
  Ce blog tenu par Bernard Gobin, journaliste indépendant http://www.leblogmulliez.com/


 
Dallas" bientôt sur TF1 : une nouvelle version
Dallas 2012 : la série de retour ! - YouTube :  





 
C'est une grande famille, mais surtout une étonnante pépinière d'entrepreneurs. Coup de projecteur sur les rites, et les discrètes rivalités, au sein du clan.
Très nombreux, très puissants, mais vraiment pas bavards, les cousins Mulliez. «Pour beaucoup d'entre eux, communiquer revient à perdre son temps et à manifester un ego déplacé», confie une proche de la famille. Le clan ch'timi a pourtant de quoi fanfaronner. A la tête d'un empire de 60 milliards d'euros de chiffre d'affaires, il compte plus d'enseignes que le Nord de baraques à frites : Décathlon, Leroy Merlin, Kiabi, Boulanger, Saint-Maclou et, surtout, Auchan, qui fête cette année ses 50 ans. La famille, à son grand dam, n'a donc pas fini de faire parler d'elle.
 
Leur scolarité stricte Quelle que soit la génération, les institutions privées – où l'on apprend la rigueur et les valeurs chrétiennes – sont un passage quasi obligé pour les petits Mulliez. C'est à l'école Notre-Dame des Victoires de Roubaix que Gérard, fondateur d'Auchan, et Gonzague, de Saint-Maclou, ont fait leurs classes. «Les cours y étaient dispensés par des abbés, l'étude du soir, comme la messe dominicale, étaient obligatoires, se souvient un camarade. Autant dire que même les plus dissipés restaient dans le rang.» Les plus jeunes arpentent aujourd'hui les couloirs de l'Institution libre de Marcq-en‑Bar½ul, «93% de bacheliers avec mention», précise son -directeur, Yves Quiniou. Ce collège chic compte, sur 16 hectares, des terrains de foot et de rugby, des pistes d'athlétisme, et dispense toutes les options possibles, chinois en tête.
 
Leur drôle de démocratie Comme à la présidentielle, chez les Mulliez, on vote en mai. Tous les quatre ans, les 600 associés de l'Association familiale Mulliez (AFM) se réunissent pour élire les sept cousins chargés de gérer les intérêts du groupe. Un système électoral bien huilé. (....) . C'est antidémocratique.» C'est pourtant la tradition depuis l'origine du système dans les années 1950.
 
Dallas -Return to Southfork opening :  


 
 
Leur vie en tribu Difficile pour un Mulliez d'échapper aux liens du sang. «L'association nous envoie des notes d'actualité ou des invitations tous les deux jours, confie un membre. Tout est bon pour maintenir la cohésion du groupe.» Pour les ados, des stages d'équitation ou des initiations aux métiers de la mode. Pour les plus grands, formations (juridique, financière ou managériale) et conférences de haut vol (animées par Martin Bouy-gues ( est le fils cadet de Francis Bouygues et le PDG du groupe Bouygues depuis 1989) , Michel Albert ( wikipedia) ...) à la Cité des échanges de Marcq-en-Bar½ul. Comme si cela ne suffisait pas, les cousins vivent souvent dans les mêmes coins (entre Croix et Roubaix notamment) et partagent les mêmes lieux de vacances : Ramatuelle (Var), Hardelot (Pas-de--Calais) ou Saint-Sauveur (Hautes-Alpes).
 
« Culture et développement durable » : extrait vidéo d'un discours prononcé par Michel Albert lors d'une conférence sur les ressources culturelles du développement durable (Shanghai, avril 2008).
 
Leurs accrochages feutrés Ça ne s'est pas ébruité, mais la succession de Gérard, 80 ans, à la tête d'Auchan en 2006 ne s'est pas faite sans heurts. Le patriarche voulait confier son entreprise à son fils Arnaud. La fratrie lui a préféré le neveu Vianney, un HEC brillant, après des mois de discussions. Autres sujets de friction, Patrick a récemment écarté Jean-Marie Deberdt du conseil de surveillance de Kiabi et Gonzague trépigne face aux résultats de Saint-Maclou. «Le fondateur d'une entreprise devrait avoir un droit de veto s'il considère qu'elle est mal conduite», plaide-t-il, conscient de jeter un pavé dans la mare familiale. Au sein du conseil de gérance de l'AFM, la transition semble plus facile. Les dernières élections ont fait émerger de nouvelles têtes, comme Edgard Bonté (gendre de Patrick), 37 ans, président de Kiabi, ou encore Romain, 37 ans, créateur du caviste La Vignery. «Pour la première fois, les barons n'ont pas réussi à imposer tous leurs poulains», confie Bertrand Gobin, auteur du blog Mulliez et du livre à paraître «Qui est vraiment Gérard Mulliez». Biographie non autorisée, cela va sans dire.
 
Leurs trucs pour réduire leurs impôts Marco Van Hees, fonctionnaire au ministère des Finances belge, s'en amuse. «A Néchin, la rue de la Reine--Astrid compte tellement de Mulliez exilés que les riverains l'ont rebaptisée à leur nom.» Pour alléger leurs impôts (et protéger le contrôle familial), d'autres choisissent plutôt la Suisse ou le Luxembourg. L'alternative est de garder un semblant de fonction opérationnelle, comme Gérard. «Après avoir lâché les rênes d'Auchan, il s'est créé une fonction de président du comité stratégique, raconte l'économiste Benoît Boussemart ( son blog ). De cette manière, tous ses titres sont considérés comme son outil de travail, donc non soumis à l'ISF.» Les membres de la famille ont, il est vrai, beaucoup à protéger. Dans son dernier ouvrage, «Le Groupe Mulliez», le chercheur estime (sur la base des seuls titres qu'ils détiennent dans les sociétés, hors AFM) à 2,4 milliards d'euros la fortune professionnelle de Gérard, à 1,3 milliard celle des cousins Leclercq et à 590 millions celle des Derville.
 
Leur côté grippe-sou Surtout ne pas étaler sa richesse, et la dépenser avec modération : c'est la règle d'or des Mulliez. «Gérard a par exemple toujours refusé d'embaucher une cuisinière, et pourtant sa femme n'est pas un cordon-bleu », s'amuse un proche. Au restaurant, on se contente de peu : à Paris, Vianney s'attable au Silk and Spice, un thaï de la rue Mandar, et Arnaud à La Bocca, un italien sans prétention. Quant aux loisirs, rien de fou non plus. Randonnée pédestre pour Gérard, vélo pour Michel Leclercq, golf pour Vianney... Franky, le créateur de Kiloutou, fait bien quelques virées en hélico. Reste le seul jet-setteur de la famille, Thomas Leclercq, organisateur de soirées estivales dans sa maison de Ramatuelle. «On peut y croiser Ivana Trump près de la piscine, une flûte de “Dom Pé” à la main», résume, un brin blasé, un invité régulier
 
Bring Back Dallas - Justin Lee Collins - Full Episode (Reunion) :


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 Liens externes
Article du journal Le Point - 17 janvier 2007 [archive]↑ « Le dossier UMTS est une calamité européenne » - Interview publiée dans Le Figaro daté du 29 septembre 2001 [archive]
CV OfficielLe conflit Bouygues/Bolloré sur L'Expansion(en) Martin Bouygues (17 août 2006)(en) Creative construction, The Economist, 2006-11-30. Explique comment les frères Bouygues, Martin et Olivier, sont parvenus à prendre le contrôle du groupe Bouygues dont le père ne possédait plus que 5 % en 1993 à sa mort.
 
Rompre avec le capitalisme plutôt que de lui résister - anarkia,
 
Ne payons pas leur dette, sortons du capitalisme !, Fronts anticapitalistes - Rompre avec le capitalisme plutôt que de lui résister, Dallas" : une nouvelle version moderne - l'indigné révolté
Tags : chronique, daniel mermet, la.bas.org, la -bas si j'y suis, l’Association familiale Mulliez, Dallas 2012, la série de retour !
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#Posté le mardi 25 septembre 2012 10:22

Modifié le samedi 02 avril 2016 11:31

Manager de transition, un bien joli métier


Manager de transition, un bien joli métier

Le jeudi 20 septembre 2012
      Manager de transition, un bien joli métier
 


 
 
Des intérimaires heureux ? Si, si, ça existe... Ils ne sont pas la variable d'ajustement des entreprises, ils la créent, la provoquent, la mettent à exécution. Ce sont des femmes et des hommes de crise. A qui l'on confie provisoirement les rênes d'une entreprise ou de l'une de ses filiales.

On les appelle manager de transition ou consultant de restructuration. Quand ils débarquent, c'est bien pour débarquer d'autres intérimaires, d'autres salariés, CDD ou CDI, moins chanceux. Sous couvert de "performance", de "stratégie industrielle", de "rentabilisation de l'outil de travail", ils n'ont qu'un mot à la bouche : la croissance.

La leur. Payés entre 1 000 et 1 500 euros la journée, de 30% à 60% des entreprises ont déjà fait appel à leurs services lors de la crise de 2009.

Rencontre avec :
   Bernard Tronel, directeur du cabinet Essensys spécialisé dans ce management
   Luc Brami, directeur des ressources humaines spécialisé en plans sociaux
   Didier Crespel, ancien directeur général de Valeo
 
 
Programmation musicale :
 
  "La chanson du DRH", Arnaud Catherine et Florent Marchet
  "La machine", Place des Arts
  "La lettre", Degadezoo
 
 

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lire Serge Halimi - «L'ère des Restaurations» [HD] - YouTube ( 1h04 min) http://www.youtube.com/watch?v=ylYLJMjemto,
L'ère des restaurations, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique)
DE LA SERVITUDE MODERNE , Serge Halimi - La Collusion Politique/Média [HD] - YouTube
De La Servitude Moderne - FILM de Jean-François Brient :


 

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Les 500 PLUS RICHES FRANÇAIS GAGNENT AUTANT QUE LES RECETTES DE L'ÉTAT !!!

Le classement 2012 de Challenges montre que les 500 plus riches français ont cumulé 267 milliards d'euros de gain. Soit autant que les recettes de l'État. Voilà une bonne source de taxation à étudier pour réduire les déficits et la dette publique.

Moins d'une semaine avant l'étude par l'Assemblée nationale du collectif budgétaire 2012, Challenges relance sans le vouloir le débat sur la taxation des plus riches et sur une autre répartition des richesses en France.

Citant Jean-Philippe Delsol, auteur de À quoi servent les riches (éditions JC Lattès), le magazine a fait le calcul: « S'il fallait les redistribuer aux 8,1 millions de pauvres (en France) recensés par l'Insee, cela représenterait 33 000 euros pour chacun d'eux ».

Quant à résorber le déficit public de la France avec les sous des plus riches, c'est tout à fait possible. Si l'on prenait à ces 500 plus grandes fortunes les 69,6 milliards d'euros nécessaires pour combler le déficit public actuel, cela leur laisserait tout de même aux alentours de 200 milliards pour subvenir à leurs besoins cette année.

Les autres scandales mis en lumière par ce classement : des riches un peu moins riches mais toujours très riches.

Les 500 plus grandes fortunes françaises souffrent (un peu) de la crise, mais elles sont tellement riches qu'elles ne s'en sont sans doute pas rendu compte.

Leurs revenus ont baissé de 3% par rapport au classement précédent. La faute, selon le magazine, aux « difficultés de l'économie française », à « la chute des cours de bourse et l'assèchement du marché des fusions acquisitions, dont l'activité poussait jusqu'alors la valeur des entreprises à la hausse ».
Les plus fortunés sont toujours les mêmes.

Neuf des dix plus grandes fortunes 2011 restent dans le Top 10 2012.
Bernard Arnault demeure le plus riche de tous. Les 21 milliards d'euros en poche du patron de LVMH représentent à eux seuls 8% du total du classement.
 
La famille Mulliez et ses "Auchan" demeurent deuxièmes et ne connaissent pas la crise.
Les Servier plus riches, malgré le Médiator. Jacques Servier se bat comme un beau diable dans les prétoires pour ne pas indemniser les victimes de son Médiator. Sa famille lui en sait gré en remontant de la 17e à la 15e place.


Bettencourt rétrogradée. Liliane Bettencourt et sa famille sont poussées hors du podium par Bertrand Puech et les familles actionnaires de Hermès.


Lactalis dans le gotha. Lactalis n'est pas Doux et la hausse des produits alimentaires va bien quelque part. La famille Besnier, fondatrice du premier laitier mondial, grimpe à la dixième place du classement.
Niel a Free, il a tout compris. A l'heure où les opérateurs mobiles prennent prétexte de l'arrivée de Free pour dégraisser en France et délocaliser à tout va, le propriétaire du groupe télécom Iliad, Xavier Niel, arrive à la douzième place du classement.
 

‎4 ans qu'Arnault profite des largesses fiscales belges http://www.noirgazier.lautre.net/?p=2180

 
 
 

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 message : " LA-BAS SI J'Y SUIS : PAS D'EMISSION AUJOURD'HUI

Trois organisations syndicales de France Inter sont en grève aujourd'hui pour dénoncer "des suppressions de postes de techniciens" dans les locales de Radio France à Nancy et à Châteauroux.

Elles estiment que "ces suppressions de postes, les dernières d'une longue série, dégradent les conditions de travail et constituent des atteintes importantes au potentiel de production et sont susceptibles d'avoir des conséquences sur l'antenne et les contenus".
...
En reportage à Las Vegas, Daniel Mermet est solidaire du mouvement. Il n'y aura donc pas d'émission ce vendredi.

En attendant, toutes les émissions à découvrir et/ou réécouter sur les sites de l'émission la-bas.org et sur franceinter.fr, rubrique "émissions", "Là-bas si j'y suis".

Salutations aux AMG !
A très vite sur les ondes !"
 
A lire aussi
Nous ne vivons pas une "crise" mais un coup d'Etat antisocial, VOTEZ FN REND CON, Paulo Anarkao (intégrale) , Projection : ENTRÉE DU PERSONNEL , Florange, la flamme des derniers haut-fourneaux, Projection de « La Bataille des Marolles » , Ballade pour une reine , Théorie Du Complot - Les réseaux de l'extrême , Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats : Capitalism : A Love Story , Le basculement du monde
 
globalia : citoyen actif
globalia - citizen khane
Tags : Manager de transition, un bien joli métier, chronique, daniel mermet, licenciment, délocalisation
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#Posté le vendredi 21 septembre 2012 03:07

Modifié le samedi 02 avril 2016 11:42

Marinella : lien entre hier et aujourd'hui



 
Marinella : lien entre hier et aujourd'hui
 
 
 
«  Les idées de la classes dominantes sont aussi à toutes les époques les idées dominantes ; autrement dit la classes qui a la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle.  La classe qui dispose des moyens moyens matérielle dispose du même coup des moyens de productions intellectuelle, si bien que , l'un dans l'autre, les pensées de ceux à qui sont refusés qui refusés les moyens de production intellectuelle sont soumises du même coup  à cette classe dominante. Les idées dminantes ne sont pas autre chose que l'expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont les rapports matériels dominants saisis sous la forme d'idées, donc d'expression des rapports qui font d'une classe la classe dominante ; autrement dit, ce sont les idées de la révolution ».

 

 
Karl Marx, Frederich Engels,

 

L'idéologie allemande, ed. Sociales, 1972, P109

 

 

 Marinella : lien entre hier et aujourd'hui

 

Le 33 rue des Vignoles

 

 


"From the difference named, there arise two different methods. The “Communists” pretend to organize the working classes in order to “capture the political power of the State”. The revolutionary socialists organize people with the object of the liquidation of the States altogether whatever be their form. " Mikhail Bakunin: Where I Stand (1862) - Eagainst.com

 

Mikhaïl Bakounine - Wikipédia :Mikhaïl Aleksandrovitch Bakounine (en russe : Михаил Александрович Бакунин), francisé en Michel Bakounine, né le 30 mai 1814 à Priamoukhino près de Torjok (gouvernement de Tver, Empire russe) et mort le 1er juillet 1876 à Berne (Suisse), est un révolutionnaire, théoricien de l'anarchisme et philosophe qui a particulièrement réfléchi sur le rôle de l'État. Il pose dans ses écrits les fondements du socialisme libertaire.

 

Présentation de l'idée anarchiste. Maurice Joyeux
 Vive l'anarchie! CNT AIT FAI IFA,anarchisme,les anarchistes



 

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Confédération Nnationale Du Travail (A)IT
Fédération Anarchiste (FA), France & Belgium

 
 Aujourd'hui, que peut on en déduire /
Bea, cela ressemble au communisme libertaire mis pendant 3 ans en espagne entre 1936 et 38 http://www.youtube.com/watch?v=-wLH8veaVrw&feature=related

 
 
 Marinella : lien entre hier et aujourd'hui
Juan Manuel Sánchez Gordillo a fait la une des journaux ces derniers jours après avoir mené une “expropriation forcée” de produits alimentaires dans plusieurs supermarchés, au côté de ses camarades du Syndicat andalou des travailleurs (SAT), pour les distribuer aux plus défavorisés. C'est dire si cet homme est un dirigeant singulier au sein de la classe politique espagnole. Anticonformiste, il a été critiqué pour ses dernières actions, y compris dans les rangs de la coalition de gauche Izquierda Unida [l'équivalent du Front de gauche français], dont son organisation, le Collectif uni des travailleurs-Bloc andalou de gauche, fait partie depuis 1986.
 
Sánchez Gordillo est un dirigeant historique du Syndicat des ouvriers agricoles (SOC), colonne vertébrale de l'actuel SAT. En outre, depuis 1979, il est maire de Marinaleda, une petite localité [de près de 3 000 habitants] de la région de Séville. Là, grâce à la participation et au soutien des habitants, il a lancé une expérience politique et économique originale qui a fait de ce village une sorte d'île socialiste dans la campagne andalouse.
 
Avec la crise économique, Marinaleda a eu l'occasion de vérifier si son utopie sur 25 kilomètres carrés était une solution viable face au marché. Son taux de chômage actuel est de 0 %. Une bonne partie des habitants sont employés par la Coopérative Humar-Marinaleda, créée par les ouvriers agricoles eux-mêmes après des années de lutte. Longtemps, les paysans ont occupé les terres de l'exploitation agricole Humoso [qui appartenaient à un aristocrate] et à chaque fois ils étaient dispersés par la Guardia Civil [la gendarmerie espagnole]. “La terre est à ceux qui la travaillent”, clamaient-ils. En 1992, ils ont fini par obtenir gain de cause : ils sont désormais propriétaires de l'exploitation. Sur leur site web, ils précisent que leur “objectif n'est pas de faire des bénéfices, mais de créer des emplois par la vente de produits agricoles sains et de qualité”.
 
Ils produisent des fèves, des artichauts, des poivrons et de l'huile d'olive vierge extra. Les travailleurs eux-mêmes contrôlent toutes les phases de la production, la terre appartient à “l'ensemble de la collectivité”. L'exploitation comprend une conserverie, un moulin à huile, des serres, des équipements d'élevage, un magasin. Quel que soit leur poste, les travailleurs reçoivent tous un salaire de 47 euros la journée et travaillent 6 jours par semaine, soit 1 128 euros par mois pour 35 heures par semaine [le salaire minimum est de 641 euros].
 
En pleine saison, la coopérative emploie environ 400 personnes, une centaine au minimum. Mais chaque poste de travail n'est pas attribué à tel ou tel habitant : ils effectuent une rotation afin de s'assurer tous un revenu. “Travailler moins pour que tous aient du travail”, tel est le principe. Par ailleurs, certaines personnes travaillent de petites parcelles dont elles sont propriétaires. Le reste de la vie économique est constitué par des boutiques, des services de base et des activités sportives. Pratiquement, tous les habitants du village touchent autant qu'un travailleur de la coopérative.
 
Dans un entretien accordé à Público le mois dernier, Gordillo lui-même expliquait les répercussions de la crise à Marinaleda : “Elle se fait un peu sentir dans les prix des produits agricoles, dans le financement. Nous avons des problèmes de trésorerie, mais nous vendons bien les produits... D'une façon générale, la crise a été moins sensible dans l'agriculture et l'alimentation, souligne-t-il. Ce qui se passe, c'est que les gens qui avaient quitté la campagne pour travailler dans le bâtiment reviennent et cherchent du travail. Résultat, il faut non seulement maintenir l'emploi existant, mais l'augmenter, tout en sachant que l'agriculture bio crée plus d'emplois que l'agriculture traditionnelle. Pour sauver l'agriculture de la crise et de l'enchérissement des moyens de production agricole, nous essayons un commerce horizontal, avec un dialogue de coopérative à coopérative, et nous établissons des relations avec d'autres pays où il existe des expériences de ce type.”
 

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Marinaleda, un village en utopie : Marinela, solution a la " crise"


 
ESPAGNE • Une utopie anti-crise en Andalousie ( google)  
http://www.facebook.com/bea.ausardia/posts/197464930384355
 
Marinaleda est une ville sans chômage et aux loyers modiques. Alors que la politique d'austérité bat son plein en Espagne, son maire, Juan Manuel Sanchez Gordillo, a pris la tête d'un mouvement de résistance populaire.
 
 Marinella : lien entre hier et aujourd'hui
 
 
Les raisons de la colère : citoyen actif
 
Les raisons de la colère - Un film de Samuel Luret & Damien - ArteFureur de la jeunesse, colère des exclus... : il souffle sur la planète un vent de révolte inédit par son ampleur. Enquête en Grèce, au Danemark et en Chine.
 


CNT Guadalajara 1º Mayo




[Le Monde diplomatique - edición chilena] Presentación "Otro Chile es posible" (1 ( 34 min), Elena Varela - Newen Mapuche (VF) - Vidéo Dailymotion, Watripentu à l'école de Bocatoma (reportage
 Histoire de l'Amérique latine - Wikipédia, The Take (La Toma) English subtitles (1/9) - YouTube,
 The Take" (2/9) #Occupy-Factories Success Story VS Fascist Capitalism: Argentina (La Toma) , "The Take" (3/9) , "The Take" (4/9) , The Take" (5/9), "The Take" (6/9) , The Take" (7/9) , "The Take" (8/9) , The Take" (9/9)
 Même la pluie : La révolte de la conscience
Tags : le 33 rue des vignoles, chronqiue, daniel mermet, foi d’anar, maurice joyeux, mikhail bakunin, documentaires, cnt ait, fai, ifa–, marinella
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#Posté le samedi 01 septembre 2012 11:19

Modifié le mercredi 08 juillet 2015 10:04

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