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1 article taggé Nous ne vivons pas « une crise »

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Aveugles face à la crise


 
 
Aveugles face à la crise - forum FA: Aveugles face à la crise - anarkia
Les Guignoles de l'info – World Compagny et la fin de la crise

 
Aveugles face à la crise
La logique libéral : socialisation des profits et nationalisation des pertes ( sur citizenkhane, mon blog :
Pékin Bulle immobilière et chute tendanciel du taux de profit ?- l'indigné : DOC] Baisse du taux de profit et croissance chinoise : Très intéressant le graphique,
 
Aveugles face à la crise
 
quand il s'agit des pertes, c'est sensiblement la meme chose (vu qu'au bout du compe, c'est le contribuable qui morfle au travers des impots ou de ses economies).
nationalitation = etat
socialisation = citoyens

C'est par contre pour les profits que cela change : nationalisation des profits, l'etat s'enrichit (il n'y a en general pas de repercution sur les citoyens), socialisation des profits, les citoyens s'enrichissent (et l'etat ne touche rien). chose jamais vue, d'ailleurs.

 la photo de Anonymous Francophone.  
 
Aveugles face à la crise
 
Modèle Japonais généralisé  :  La croissance ne se décrète pas, elle se construit Elle se construit ( dans la logique du système)  par l'attrait des investisseurs, des réformes sur la compétitivité ou encore la réduction des déficits. Eux préfèrent parler investissement publics, euro-bonds. Bref, endettement ». Elle est tout simplement plus possible dans un monde fini alors que la doctrine néolibérale a besoin d'une croissance infinie Lorsqu'une telle chose se produit, elle peut durer très longtemps.


Olivier Delamarche - 09 Mars 2012 - BFM Business 09 03 2012 :  
Tous ruinés dans dix ans par Jacques Attali :  
 

 
  Loi du 3 janvier 1973">Economie  : D'où vient la dette de la France ?  Loi du 3 janvier 1973 : Economie : D'où vient la dette de la France ? Loi du 3 janvier 1973
 
La dette publique expliquée en quelques minutes : http://www.youtube.com/watch?v=WeQBdKiUsW0&feature=related : Apprenez en quelques minutes ce qu'est la création monétaire par le crédit, le système des réserves fractionnaires, et l'article 123 du traité de Lisbonne... sans lesquels il est impossible de comprendre l'origine des dettes publiques et privées qui ravagent l'ensemble des pays développés.
 
A voir en autre :
 
Aveugles face à la crise

Le Grand Bond en arrière est un livre du journaliste Serge Halimi publié en 2004 (réédité en 2006) aux éditions Fayard et à paraître dans une édition poche revue et actualisée par l'auteur aux éditions Agone en octobre 2012. Le titre est un clin d'½il au Grand Bond en avant de Mao Tse-Toung.

Ce livre de 620 pages retrace l'histoire de la montée des idées « néolibérales » dans le monde d'un point de vue antilibéral. En restituant l'histoire politique et l'histoire des idées du XXe siècle, Serge Halimi explique comment le monde serait passé d'une économie où le rôle de l'État était essentiel (les politiques keynésiennes), à une économie de marché libérale.
 


Serge Halimi explique l'essor des idées des penseurs libéraux à travers le XXe siècle comme Friedrich Hayek ou Milton Friedman, et comment leurs idées ont pu recevoir un écho dans le monde politique conservateur américain (Ronald Reagan), puis anglais avec Margaret Thatcher, à travers des cercles de personnalités soigneusement sélectionnées[1] puis le financement d'institutions diffusant leurs idées (les think tank conservateurs[2]) par des grands dirigeants d'entreprises[3], et à travers la concentration des médias détenus par des capitaux d'entreprises privées[4].

 
Friedrich Hayek, né Friedrich August von Hayek (8 mai 1899, Vienne – 23 mars 1992, Fribourg) est un philosophe et économiste de l'http://fr.wikipedia.org/wiki/École_autrichienne_d'économie">École autrichienne, promoteur du libéralisme, opposé au socialisme et à l'étatisme.



Dérèglementation
Révolution conservatrice

 
Aveugles face à la crise


Serge Halimi - Le Grand Bond en Arrière [HD] - YouTube :
Entretien avec Serge Halimi, journaliste au mensuel le Monde diplomatique, autour de son livre "Le grand bond en arrière" (Editions Fayard).
Comment est-on passé à un nouveau capitalisme orienté par les seuls verdicts de la finance ?
Emission France Inter "Là-bas si j'y suis" de Daniel Mermet, première diffusion le vendredi 2 juillet 2004.
"Le prix du reniement" - passant-ordinaire"Flamme bourgeoise, cendre prolétarienne" : Serge Halimi writes for le Monde diplomatique (http://www.mondediplo.com)
He is the author of "Le Grand Bond en Arrière: Comment l'odre libérale s'est imposé au monde".
"The Great Leap Backward: How the liberal order was imposed on the world"
"The price of surrender" -guardian.co.uk
 


Serge Halimi cite Gary Becker qui estime que les hommes d'affaires ont parfois intérêt à la victoire des partis de gauche, qui sauront avoir plus facilement la confiance des syndicats, et faire passer des réformes sans heurts sociaux[31], d'autant mieux que les partis socialistes acceptent d'abandonner le socialisme[
 
Source 10 mai 1981 - 15 mai 2011 , triste anniversaire, 10 mai 1981, triste anniversaire(source monde diplomatique)voir aussi Les patrons orphelins de DSK – blog Saltabank , : Il y a deux manières d'aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu'on y renonce. La seconde à considérer qu'il s'agit d'une exigence de justice et que, si l'on fait le compte des obstacles, c'est avec la volonté de les surmonter », écrivait François Mitterrand en 1980 (1). Sept ans plus tard, pourtant, au terme du premier mandat du président socialiste, M. Lionel Jospin sonnait le glas du volontarisme politique qui avait marqué les premiers mois du gouvernement de gauche — nationalisation des banques et des grands groupes industriels, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, augmentation des minima sociaux. Il annonçait en effet : « La période des grandes réformes ne se renouvellera pas (2).  »
 
« En définitive, la question n'est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s'ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l'emploi et sur celui de l'égalité sociale ( voir post ) . Ils ont réussi sur ceux de l'inflation et des taux de profit. Le problème, c'est qu'on attendait d'eux qu'ils livrent la première bataille, pas qu'ils remportent la seconde ». de Serge  Halimi  Une vidéo explicative sur les similitude  "Le PS a embrassé très tôt la doxa néolibérale"
 
 
L'oligarchie des incapables - Sophie Coignard et Romain Gub - Les Matins de France Culture - france culture durée44 min : 
 


 

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cf : DSK : Flamme bourgeoise,... : " Dans DSK : Flamme bourgeoise, cendre prolétarienne, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique)"Où l'on s'aperçoit que DSK n'en a cure du prolétariat car c'est bien cela qu'il écrit dans son dernier essai : "Flammes et Cendres". Il y développe une idéologie de socialisme pour bourges, cherchant tout au plus une aristocratie ouvrière pour nous la jouer à la "Patrons, travailleurs, même combat"."
 
A voir aussi : Très bon article de Serge Halimi, surtout après le désarroi de la gauche ( PS) après le scandale de DSK. , ),Serge Halimi sur "Le grand bond en arrière (plusconcient.net) Année: 2004 Durée, Oui alors écouter Les Matins - Frédéric Lordon 

[PDF] Le néo-libéralisme, stade suprême - Hussonet - Free ( google), :  
LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ? ( piece jointe) Une des raison peut être plus fondammentale à l'impossibilité d'une auto-régilation du capitalisme : la chute des gains de productivité : Le capitalisme néolibéral a ceci de très particulier qu'il a réussi à rétablir le taux de profit en dépit d'un relatif épuisement des gains de productivité. Il n'a donc plus grand-chose à redistribuer et n'a donc d'autre recours qu'une élévation continue du taux d'exploitation. Du coup, il est entrain de perdre tout légitimité parce qu'il refuse de satisfaire une partie croissante des besoins sociaux, parce ceci ne sont pas porteurs de gains de productivité compensatoires. Aujourd'hui, le capitalisme ne profite qu'à une fraction de la population. Pour le reste ( les 99% des occupants de wall-Street), il n'offre plus qu'une perspective de regression sociale sans fin. Voila pourquoi il n'y a d'alternative que radicale, mettant en cause les fondements même du capitalisme. 
 La France peut elle faire faillite?
 


citation :
 
On n'assiste pas à une crise économique, mais à la révélation d'un mensonge qui date de Smith, Ricardo et Marx. Ce mensonge était : "il y a une réalité économique", c'est la réalité du monde. On sait désormais qu'il ne suffit pas de " s'emparer de l'économie ", qu'on ne peut pas s'emparer de quelque chose qui n'existe pas comme une "réalité économique". L'économie est la pensée bourgeoise du monde. Il ne s'agit pas de ré-insuffler du politique pour "maîtriser" la "déréglementation" de la finance ... La bourgeoisie qui lutte pour produire ce mensonge produit effectivement une chose : la misère, des conditions fondamentalement inhumaines. L'économie est un détail, un moment de la pensée bourgeoise, et elle veut faire croire que l'économie a une "base réelle", qu'elle est autre chose qu'une classe de faits. La conscience de classe consiste en ces termes : la notoriété publique de la misère, de la situation du prolétaire, ne se distingue jamais de l'idée de sa suppression. Le faux va être démasqué. Le spectacle était ce cache misère. Dans le spectacle, les hommes sont privés de l'esprit, du devenir effectif du monde. La marchandise, les choses, pensent pour nous. Mais ce secret est en train d'être connu de tous : c'est le monde historique est menaçant vis à vis de la bourgeoisie qui mène à la révélation du secret.

On nous parle de "crise" : mais rien de tel n'existe. La condition première de toute critique est la critique de l'économie, point : sa négation. "Forces productives", "conditions économiques", "superstructure" et "infrastructure" n'existent que dans les têtes bourgeoises, dans la pensée bourgeoise qui dans le monde existe, mais n'est pas "le monde" : elle se fait passer pour lui. Rien n'existe dans le monde qui soit une "réalité économique", sauf dans la pensée bourgeoise, qui elle, est effectivement dans le monde. Son problème, c'est qu'elle ment effectivement : elle ne peut pas se réaliser. Rien n'est plus idéale que la matière bureaucratique. Rien n'est plus matériel que les idées. La critique en acte de l'économie est la critique en acte de la pensée bourgeoise. Et partout on entend que "l'économie est une imposture", une "pseudo-sciences". En nous faisant croire que l'économie a une réalité qu'il s'agit de maîtriser, la bourgeoisie nie la réalité du monde : un monde historique où l'esprit vient aux hommes. L'esprit ? La dialectique ! L'intelligence dans la guerre sociale.

Si on dit merde à la théorie de la main invisible, de l'homo oeconomicus et du marché qui s'auto-régulerait, c'est pour nier toute existence d'une "réalité économique". Mais il ne s'agit pas de "nier" simplement : il faut critiquer le point de vue de la bourgeoisie, qui nous dira donc que la politique doit reprendre le pas sur l'économie ... Merde à la détermination en dernière instance et au reflet bolchévique (superstructure) qui fait de la pensée quelque chose de "vulgaire". Marx conclue à la nature économique de la religion, car il ne comprend rien à ce que Hegel disait en 1807 sur l'immanence de la religion dans le monde : il le dit contre le rationalisme bourgeois qui souhaite séparer le "monde" et la "religion" (le monde du spectacle). C'est ça le spectacle, que je sache : la religion matérialisée, ou plutôt le commerce comme la matérialisation du dieu théiste. Le spectacle est la pratique et la théorie religieuse de ce Dieu. Le grand malheur de la bourgeoisie, c'est de recourir au spectacle ! Personne n'est AUJOURD'HUI aveugle face à la crise. Personne, sauf les guignols du spectacle, malheureux organisateurs de l'apparence qui ne devient plus suffisante pour maintenir le secret : personnes à qui l'on prête un peu trop d'importance sur ce sujet ... Il est peut être temps de partir de ce que les gens "disent" et se "représentent" alors que le spectacle dont nous parlait Debord est sans doute en train d'être révélé en tant que tel ... Et les gens disent qu'ils ne croient plus à l'égémonie de l'économie, comme ils n'ont plus confiance à l'apparent interventionnisme que voudrait nous faire avaler le gouvernement
.
 
 Nous ne vivons pas « une crise », mais un coup d'état antisocial - citoyenactif :  magie des élections américaines fait diminuer le chômage

A lire dessus : La Socialisation Des Pertes Bancaires Et Leur Nationalisation Dissertations et mémoires .
 
La Grande Crise De 200830 Glorieuses : plus de 3 Milliards de Dollars daide américaine de 1974 à 1954. - Un système bancaire en partie nationalisé
Crise Des "Subprimes" : investissements hasardeuses des banques pour qui la privatisation des profits et la socialisation des pertes est une chose normale.
 Crise 1929 : selon lui, à 1933 : « Nouvelle réglementation bancaire, injection budgétaire, nationalisations () », énumère-t-il sur son blog,
Nouvelle Économie : va devoir intervenir à travers le « capitalisme monopoliste dEtat » pour socialiser les pertes : il va aider les capitalistes en dévalorisant son propre capital
 Crise De La Dette : banques puisque ces produits dérivés deviennent risqués et douteux. Les pertes bancaires augmentent et créent un manque de liquidités
Systéme Banc Aire : Sur la base des fonds propres 48, on trouve, à fin 2002, sept groupes bancaires français parmi les cent premiers groupes mondiaux : le Crédit agricole se situe...
Docx : centraliser. L'État algérien a opté pour la nationalisation du secteur minier et bancaire (1966), la nationalisation du secteur de distribution des produits...
Lutte d'hiers, aujourd'hui et de demain
 
Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés
Covid-19 : «Le virus est avec nous pour toujours», prévient une spécialiste de l'OMS
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés

Tags : Le néo-libéralisme, stade suprême, Le Grand Bond en arrière, serge halimi, Nous ne vivons pas « une crise », mais un coup d’état antisocial -, Crise De La Dette, La Grande Crise, 30 Glorieuses, Friedrich Hayek, Milton Friedman, Ronald Reagan, Margaret Thatcher
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#Posté le dimanche 14 octobre 2012 11:18

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:09

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