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A bas la dette, vive la banqueroute !


 
 
 
 
 
 
 
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Accueil - 2012-13 - émissions de Mai   
A bas la dette, vive la banqueroute !
Le mardi 21 mai 2013
source : La. bas.org
 

 



A bas la dette, vive la banqueroute !
 
 
Crise, chômage, récession, c'est à cause de la dette. Nous sommes d'accord, il faut réduire la dette et pour cela il faut faire des économies, réduire les dépenses publiques, limiter les salaires, privatiser, bref, il faut de la solidarité dans l'austérité.
 
Voila la chanson reprise du matin au soir par nos experts, nos économistes et nos brillants journalistes. Mais il y a une petite voix dissidente qui tâche de se faire entendre, pas aux heures de grande écoute bien sûr, une voix qui dit non, la dette ne provient pas des dépenses publiques, la dette provient des énormes cadeaux fiscaux faits aux riches et aux grandes entreprises depuis des années, la dette provient des banques privées en faillite que l'Etat a renflouées, changeant une dette privée en dette publique, la dette provient de l'évasion fiscale et des paradis fiscaux où se retrouvent riches particuliers, grandes banques, entreprises du CAC 40 qui ne paient guère plus de 8% d'impôts. Voila d'où vient la dette.
 
Alors faut-il la rembourser ? C'est la question que se pose ATTAC dans leur livre « LEUR DETTE, NOTRE DEMOCRATIE », et aussi François RUFFIN qui hurle « VIVE LA BANQUEROUTE ! », le premier livre des éditions Fakir.
 
Entretien Daniel Mermet avec Thomas Coutrot, Yohan Dubigeon et François Ruffin
 
France Inter 15 heures.
 
Illustration : Le G8 discute sur la dette, portée par les peuples.
 
. l. L'endettement de l'Etat : Partis du modèle du capitalisme . Comme il n'existe pas de capitalisme sans crédit, pas de crédit sans banque centrale, pas de banque centrale sans Etat et sans endettement de l'Etat, celui-ci est le l'axe autour duquel s'organise tout le système. cf voir l'article cfLien entre capitalisme et l'endettement - Antalya
Les crises sont potentiellement des moments de remise en cause du capitalisme
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée. Les délocalisations d'industries et de services ont alors permis de baisser le coût du travail au niveau
 
Pour y parvenir en situation de crise, il faut diminuer encore plus le coût global du travail (augmentation de la productivité, création de zones franches, réduction de taxes et de charges sociales...) et, pour cela, rendre le travail de plus en plus flexible et précaire (horaires et durée des contrats au gré du patronat, travail par intérim ou en sous-traitance, externalisation forcée de travailleurs obligés de se mettre à leur compte...). Modèle allemand & social libéralisme : En France, oser critiquer le fameux « modèle allemand » relève de l'hérésie voire de la xénophobie
 
En conséquence, les gouvernements successifs ont pour mission de réformer le contrat de travail et de diminuer les dépenses liées à la reproduction de la force de travail (santé, enseignement, retraite et aides diverses).
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 
A bas la dette, vive la banqueroute !
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit
 
Affaire Tapie: Christine Lagarde placée sous statut de témoin assisté
99 contributionsCréé le 24/05/2013
source 20 minutes
Christine Lagarde à Paris le 24 mai 2013. Thibault Camus/AP/SIPA



 ENQUETE - La directrice du FMI échappe à une mise en examen...
 
L'ancienne ministre de l'Economie Christine Lagarde a été placée sous le statut de témoin assisté dans l'enquête sur le règlement du litige avec Bernard Tapie après la vente d'Adidas, a-t-elle annoncé vendredi. Elle échappe par conséquent à la mise en examen, le statut de témoin assisté étant intermédiaire entre celui de témoin et de mis en examen. (  Fonds monétaire international (FMI) à l'issue de deux jours d'audition par la Cour de justice de la République (CJR).
 
«Mes explications ont permis d'apporter une réponse aux doutes qui avaient été soulevés concernant les décisions que j'avais prises à l'époque», a dit Christine Lagarde, qui a annoncé qu'elle rentrait à Washington «pour rendre compte» au conseil d'administration du FMI
 
> "Schröder et Fischer, rois du pétrole " , Pascale Hugues - Le Point - 15-12-2011-   "L'ex-chancelier et son ministre se sont lancés dans de juteuses affaires."
 
>" Gazprom : la reconversion de M. Schröder scandalise la Pologne " Le Monde - 13.12.05
> "Schröder nommé à la direction du pétrolier russe TNK-BP" - Elisabeth Studer Le Blog Finance - 18-01-2009
> " La tapageuse reconversion de Gerhard Schröder " , Pierre Bocev  - Le Figaro - 15/10/2007
La Norvège, et les garde fous néolibérale : citoyen actif :  Conjoncture : Norvège : la bulle immobilière gonfle avec le prix du pétrole : " Des fonds qui spéculent sur le pétrole - Le Journal du Net : "
17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013
 
Aujourd'hui, PETITE HISTOIRE DE LA PRECARITE.
Le suicide comme phénomène social ou comme proposition politique ?
 
A bas la dette, vive la banqueroute !
 
 
« Dans une troisième partie intitulée " Du suicide comme phénomène social en général ", Durkheim conclue que le suicide révèle l'état moral d'une société. Si un certain nombre de suicides paraît acceptable, un taux trop élevé est inquiétant »
«             Les candidats à la Présidentiellene mesurent pas la désespérance des Français" : Suppression de congés payés et de RTT, baisses de salaires : L'UMP jette le masque ! Grande-Bretagne : le nombre de chômeurs à son plus haut niveau depuis 17 ans. C'est la crise pour tout le monde, puisque même le FMI dit devoir avoir besoin de plus de 1500 milliards d'euros pour soutenir un système moribon.
 
Aujourd'hui, PETITE HISTOIRE DE LA PRECARITE. - source citoyenactif
La précarité  n'est pas le fruit du hasard. Elle est instaurée par des lois depuis trente ans :
1972 - l'intérim est légalisé,
1979 - de même pour les CDD,
1982 - la gauche valide,
jusqu'au CNE de 2005, et au CPE.
Nouvelle version d'un reportage de François Ruffin
En écoute ici, en réécoute ici : (La précarité a une histoire - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis) voir l'émission du Mercredi 18 Janvier ›, ">D'une crise à l'autre, le chômage 1880-1940 .  
 
Ou la santé :
Le capitalisme nuit gravement à la santé - Source Citoyenactif
Un aperçu du système des soins français par Christian Faucomez, 20 mai 2O11.
 
 « Aujourd'hui les travailleurs, les précaires, les privés d'emploi, les retraités sont en droit de se poser la question : « Sera-t'il possible de se soigner ? ». Dore et déjà, une partie importante de la population ne peut plus assurer les soins dentaires dont elle a besoin. Les maladies professionnelles sont en pleine expansion, ainsi que les troubles liées aux stress et au harcèlement au travail.
 
Depuis le début du quinquennat, le gouvernement Sarkozy a pris des mesures gravissimes pour tout les travailleurs et particulièrement pour les couches les plus pauvres de la population. Ces mesures ont pour but de faire payer aux exploités le déficit de la sécurité sociale, crée par les politique du gouvernement aux services du patronat, et d'engraisser les cliniques et assurances privées. »
Ces mesures prennent les formes qui se rejoignent :
 
a) « Attaque sur les structures et les conditions de travail des secteurs sanitaire, médico-social et social : Tentative de fermeture de services hospitaliers ( y compris de service prestigieux comme le service de Chirurgie cardiaque du CHU Henri Mondor à Créteil qui ne doit sa survie qu'a la mobilisation de la population et du personnel). Fermeture d'hôpitaux de proximité.
La reprise par le secteur privé des activités rentables passe par le démantèlement du secteur public. Dans le même temps, le gouvernement veut imposer aux hôpitaux publics les méthodes du privé afin de les « rentabiliser » :
 
-          Salaire «  au mérite » des personnels
-          Remise en cause des conventions collectives et des statuts
-          Diminution des effectifs
-          Financement à l'acte (T2A) des établissements hospitaliers.
 
Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement s'est doté d'un outil remarquable : la loi HSPT (Hôpital, Patient, Santé, Territoire) adoptée en 2009. Elle contient toutes les dispositions susceptibles détruire le système de santé et le médico-légal public en passant un maximum d'activités rentables vers le secteur privé. Cette mission est confié a l'ARS (Agence Régionales de Santé, 2010) qui ont tout pouvoir sur les établissements et dépendent directement du ministère de la santé.
 
Attaques directes contres les patients :
-          Démembrements de nombreux médicaments efficaces ou diminutions du taux de remboursement
-          Augmentation du forfait hospitalier
-          Mise en place de Franchise médicales (impôt sur la maladie – 1er janvier 2008) : non remboursement de O, 50¤ / boite de médicament et acte paramédicale, 2¤® / transport médical
-          Par voie de conséquence : augmentation considérable du cout des mutuelles complémentaires
Mais les attaques contre le système public de santé ne date pas de Sarkozy. Depuis 44 ans, elles sont les conséquences – faits des gouvernements de droite comme de « gauche » :
-          1967 : Ordonnance de De Gaulle :
-          1983 :  le forfait Hospitalier
-          1995-1996 : Réforme Juppé  qui accrédite les hôpitaux tant publics que privés. Enveloppe régionale Globale pour financer les hôpitaux publics et privés
-          Réforme hôpital 2007 (élaborée en 2003-2004-2005)/  'introduire la notion de rentabilité dans leur fonctionnement. Instauration de la Tarification à l'activité (recette tirées des tarifs nationaux de pathologie) »





 
Sur les perspectives révolutionnaires en France
A l'heure de la crise, d'attaques massives sur nos conditions de vie, de mouvements sociaux de réactionnaire puants, de massacres écologiques, quelle sont nos perspectives de révolution?
Les récents sondages affirment qu'une grosse majorité de la population française pense qu'une explosion sociale va se produire cette année. C'est particulièrement vrai dans la classe ouvrière, alors que les professions libérales et le patronat y croient naturellement moins. A Feu de Prairie nous ne sommes pas très sondages mais vous pourrez trouver les chiffres assez facilement: l'intérêt étant plutôt d'étudier la tendance générale qui se dégage.
 
Penser qu'un mouvement d'ampleur va avoir lieu, c'est aussi le vouloir. Et puisque les médias et "l'opinion public" s'auto-alimentent dans notre dictature du soft power, il faut comprendre d'où viennent les idées subversives qui traversent des consciences bourgeoises jusque là plutôt tournées vers la solution électorale.
 
Marx puis Gramsci, ainsi que d'autres penseurs, ont expliqué comment les idées dominantes dans une société sont produites et diffusées par la classe sociale qui est au poste de commande. La question de l'hégémonie culturelle est très important pour comprendre comment historiquement des parties de la population dont les intérêts divergeaient du pouvoir en place l'ont soutenu. L'Église a servi de relais à la défense de l'Ancien Régime dans la paysannerie pendant la Révolution française, par exemple. Actuellement nous sommes à l'aire des monopoles, de l'impérialisme. Les états qui en ont les moyens étendent leur marché en s'affrontant (souvent indirectement pour éviter des conflits généralisés fragilisant leur stabilité: les deux guerres mondiales ont été bien assimilées) et en asservissant d'autres pays, dont les peuples sont maintenus dans la misère. Au niveau idéologique, hors de la voie révolutionnaire, il y a deux grandes tendances dans les pays européens: la social-démocratie et la réaction, incluant le fascisme.
 
[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.
 
La social-démocratie est représentée en France par "l'aile gauche" du PS, certaines organisations d'extrême gauche, la majeure partie du mouvement syndical et bien sûr le Front de gauche qui théorise cette politique. Leur projet est keynésien, il voudrait relancer "l'état social" contre l'austérité. En fait dans la situation de crise généralisée que l'on traverse, ces politiques ne peuvent être appliquées, les "Trente Glorieuses" sont passées depuis longtemps. C'est donc une impasse terrible, qui se cherche des modèles (Die Linke, Chavez, la Norvège, Jaurès, peu importe) et patine dans une dénonciation très limitée de la "finance" et des "banques" comme c½ur du capitalisme, menant dangereusement à la réaction.
 
Car de l'autre côté il y a un mouvement réactionnaire fort et très organisé qui est apparu au grand jour avec les "manifs pour tous". La droite historique, la grande et la moyenne bourgeoisie, sont dans la rue aux côtés de néofascistes, d'identitaires, de nationalistes-révolutionnaires divers... L'alliance et la légitimation des éléments radicaux se fait "par la base", leur permettant d'avoir une aura plus importante que leur force réelle (quelques centaines de militants dans toute la France, hors FN). Le fascisme apparait petit à petit comme une option valable pour la bourgeoisie voulant défendre son pouvoir, avec de fortes capacités répressives, un discours mobilisateur et très peu de concessions sociales à faire (facile de dénoncer les "banquiers apatrides", les patrons français eux peuvent se la couler douce!).
 
Boutin la médicastre : En réaction, Christine Boutin, la déïcole cléricale papolâtre, la consulteur de la Sacrée congrégation Pontificale pour la famille, la présidente du parti clérical, Christine Boutin a tweeté : " Pour ressembler aux hommes ? Rire ! Si ce n'était triste à pleurer." Lire aussi l'article : " Longue vie à Angelina, mort aux brevets sur ses gènes! " de Jacques Dufresne sur le site de l'encyclopédie Homo vivens
 
Environ 200 personnes ont lancé des barrières et des bouteilles en direction des forces de l'ordre à l'issue du défilé contre le mariage pour tous. Manuel Valls condamne ces violences causées «par l'extrême droite». Poursuites de journalistes, menaces de ministres, interruptions de débats, incitation à la haine, agressions de couples homosexuels, etc. Ces dernières semaines, les groupuscules d'extrême droite se sont illustrés par des actes d'une rare violence :

le GUD qui diffuse des logos illustrant le passage à tabac d'homosexuels 
les Jeunesses Nationalistes qui envahissent un débat d'Erwann Binet, rapporteur de la loi sur le mariage pour tous, à Saint Etienne et qui, sur leur site, font la promotion d'organisations pétainistes 
le Bloc identitaire qui poursuit la journaliste Caroline Fourest pendant une journée entière de Paris à Nantes à coup de saluts nazis 


Ces groupuscules sont aujourd'hui un danger pour la République, c'est pourquoi nous appelons à leur dissolution. Signez la pétition pour obtenir la dissolution des Jeunesses Nationalistes, du GUD et du Bloc Identitaire

 Il y a donc une mobilisation massive de ces classes sur des mots d'ordre ultra-réactionnaires, avec comme horizon la création d'un front large pour la prise du pouvoir (visible dans les slogans comme dans l'organisation des manifs).
 
 Et d'un autre côté, il y a toutes les forces décrépies de la social-démocratie historique rêvant d'un "troisième tour social" ou d'une "sixième république" (et pourquoi pas la 38° aussi?). Celui ci aura certainement lieu au vu des accords sur le travail, l'éducation ou les retraites passant en ce moment à l'assemblée pour restructurer lourdement l'état français. Mais puisque la social-démocratie n'a absolument rien à proposer, il ne faut rien attendre d'une organisation "par le haut" de mouvements sociaux.
 
C'est ainsi qu'un sondage amalgame les deux tendances contestataires, et leurs revendications bien différentes, donnant l'impression d'une contestation générale du système en place (ce qui est vrai) qui mènerait à un mouvement unifié de protestation (ce qui est délirant). Certains en rêvent... D'autres se préparent à la lutte contre la réaction et à l'effondrement de la social-démocratie. La seule voie viable face à ces deux tendances est ailleurs, c'est l'organisation à la base pour la révolution.
Repris sur Feu de prairie.
 
Conclusion : Les crises sont potentiellement des moments de remise en cause du capitalisme.
 
. Or, c'est bien l'argent mais aussi la marchandise, le travail, la propriété et l'État, qu'il faut attaquer UN PENDU EN PLUS, UN CHOMEUR EN MOINS
 
 
 
Programmation musicale :
 

  La parisienne libérée : "La bouée qui fait couler" :  

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  La Rouille : "Monsieur" (album : "Casse Dalle")

 
  Joeystarr : "Je paie pas" :
 
Chez Monsieur Rouille, ménagerie mécanique.


 la servitude moderne Créé le mardi 26 juin 2012, Emeutes de la Faim: comment nourir la planète?
Créé le dimanche 27 janvier 2013, A bas la dette, vive la banqueroute !Créé le lundi 27 mai 2013, Les chefs Créé le samedi 01 juin 2013


 
 
 

 
Tags : A bas la dette, vive la banqueroute !, Crise, chômage, récession
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#Posté le lundi 27 mai 2013 06:24

Modifié le mercredi 12 octobre 2016 10:50

Sur les perspectives révolutionnaires en France

 
n
 
 Sur les perspectives révolutionnaires en France
 
«  Les idées de la classes dominantes sont aussi à toutes les époques les idées dominantes ; autrement dit la classes qui a la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle.  La classe qui dispose des moyens moyens matérielle dispose du même coup des moyens de productions intellectuelle, si bien que , l'un dans l'autre, les pensées de ceux à qui sont refusés qui refusés les moyens de production intellectuelle sont soumises du même coup  à cette classe dominante. Les idées dminantes ne sont pas autre chose que l'expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont les rapports matériels dominants saisis sous la forme d'idées, donc d'expression des rapports qui font d'une classe la classe dominante ; autrement dit, ce sont les idées de la révolution ».
 
Karl Marx, Frederich Engels,
L'idéologie allemande, ed. Sociales, 1972, P109

Un petit clin d'oeil pour rappeler une lutte importante ( horizontale, non coorporatrice ...) : Gauche versaillaise : traîtres et valets - ZEC Plus Ultra
 
Commune de Paris
" Il n'y a rien de plus noble que la grandeur de la passion au service de la grandeur de l'idée".
Prosper-Oliver Lissagaray
" L'histoire de la Commune de 1871 a été fabriquée par des escamoteurs. Méconnaître ou haïr la classe qui produit tout est la caractéristique actuelle d'une bourgeoisie jadis grande, qu'affolent aujourd'hui les révolutions d'en bas. Celle du 18 mars 1871." 
(Lissagaray - préface 1896.)
Traîtres et valets

.....
" Quel est le grand conspirateur contre Paris ?
La Gauche versaillaise.
.... "
Prosper-Oliver Lissagaray (1838-1901)
Histoire de la Commune de 1871 (Edition de 1929)
 
.
 
Témoin et acteur de la Commune de Paris, Lissagaray travailla à son Histoire de la Commune de 1871 à 1896 (avec une  première livraison en 1876).
 
 
 Des indices ( CAC 40, le S&P500,  le Dow Jones, Le Nasdaq  )qui sont soutenus par les "très bons résultats des sociétés américaines" ( moins pires que prévues)  ainsi que par la politique accommodante de la FED

 
-Les marchés américains sont en pleine forme. Cela s'explique par des chiffres macro-économiques moins pires que prévus aux Etats-Unis, qui traduisent une croissance moins touchée que prévue. Le chômage, qui était le seul vrai problème de cette économie, s'estompe, et les perspectives de consommation sont à la hausse. Que l'on se place sous un angle d'analyse libéral ou keynesien, marxiste on ne peut que voir que la croissance aux USA est  assise sur une dette monumentale mais cette dette tient bon du fait que les USA sont et resteront encore très longtemps la locomotive du monde. Lorsque l'on entend encore dire que l'empire américain va s'effondrer et que la puissance dominante sera la Chine. Foutèse! Les USA ont de très beaux relais de pérennisation de leur domination économique, à savoir le gaz de schiste d'une part et la future vague d'innovations d'autre part....
 
Nous avons donc un CAC 40 cher, presque surévalué, qui a néanmoins un potentiel de baisse limité car :
-il est tiré vers le haut par les indices américains et par les interventions des banques centrales
- Un système capitaliste qui n'arrive plus a se reproduire, vu l'état du marché obligataire et la bulle sur l'or, sans parler de l'immobilier qui a fini son cycle haussier et se met à baisser
Tant que les USA se maintiennent, le CAC n'aura donc pas grand chose à craindre. Ensuite ce sera autre chose
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
 
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. (...)
 
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction(....)
 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée (...)
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 

 


 
 Sur les perspectives révolutionnaires en France




Sur les perspectives révolutionnaires en France http://t.co/NgfoPRgvl3
 Sur les perspectives révolutionnaires en France
 
A l'heure de la crise, d'attaques massives sur nos conditions de vie, de mouvements sociaux de réactionnaire puants, de massacres écologiques, quelle sont nos perspectives de révolution?
Les récents sondages affirment qu'une grosse majorité de la population française pense qu'une explosion sociale va se produire cette année. C'est particulièrement vrai dans la classe ouvrière, alors que les professions libérales et le patronat y croient naturellement moins. A Feu de Prairie nous ne sommes pas très sondages mais vous pourrez trouver les chiffres assez facilement: l'intérêt étant plutôt d'étudier la tendance générale qui se dégage.
 
Penser qu'un mouvement d'ampleur va avoir lieu, c'est aussi le vouloir. Et puisque les médias et "l'opinion public" s'auto-alimentent dans notre dictature du soft power, il faut comprendre d'où viennent les idées subversives qui traversent des consciences bourgeoises jusque là plutôt tournées vers la solution électorale.
Marx puis Gramsci, ainsi que d'autres penseurs, ont expliqué comment les idées dominantes dans une société sont produites et diffusées par la classe sociale qui est au poste de commande. La question de l'hégémonie culturelle est très important pour comprendre comment historiquement des parties de la population dont les intérêts divergeaient du pouvoir en place l'ont soutenu
 
. L'Église a servi de relais à la défense de l'Ancien Régime dans la paysannerie pendant la Révolution française, par exemple
 
. Actuellement nous sommes à l'aire des monopoles, de l'impérialisme. Les états qui en ont les moyens étendent leur marché en s'affrontant (souvent indirectement pour éviter des conflits généralisés fragilisant leur stabilité: les deux guerres mondiales ont été bien assimilées) et en asservissant d'autres pays, dont les peuples sont maintenus dans la misère.
 
Guerre des monnaies - wikipedia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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En affaires internationales, la guerre des monnaies, la guerre des devises, la guerre des changes ou la dévaluation compétitive[1] est une situation où des pays appliquent différentes mesures pour abaisser le taux de change de leur monnaie nationale dans le but de favoriser leurs industries domestiques, et par la même occasion, leurs exportations.
 
Dans l'histoire occidentale, la dévaluation compétitive est plutôt rare. En effet, il n'existait pas jusqu'au XXe siècle de marchés monétaires où échanger les monnaies. Une telle dévaluation est survenue dans les années 1930 suite au krach de 1929. En 2010, une telle dévaluation aurait cours[).
 
La guerre des monnaies des années 1930 est vue, au début du XXIe siècle, comme une situation qui a amené son lot de problèmes économiques, tous les pays concernés ayant subi une diminution importante du commerce international. La guerre des monnaies de 2010 est engagée pour des raisons différentes et les mécanismes en jeu sont aussi différents. Les économistes ont des opinions divergentes à propos de son impact sur l'économie mondiale)
 
(La guerre des monnaies (arrêtons de se mentir) a repris la semaine dernière en Asie avec la multiplication des contrefeux monétaires (Vietnam, Taïwan, Corée, Australie on baissé leurs taux en l'espace de 3 jours)...
 
Cela prouve également que face aux ripostes dérisoires des banques centrales régionales, le marché attend déjà une contre attaque encore plus musclée de la BoJ. La guerre des monnaies devient mondiale puisqu'aucune limite à la puissance de feu ne semble plus être de mise.)

 
 Au niveau idéologique, hors de la voie révolutionnaire, il y a deux grandes tendances dans les pays européens: la social-démocratie et la réaction, incluant le fascisme.
 
La social-démocratie est représentée en France par "l'aile gauche" du PS, certaines organisations d'extrême gauche, la majeure partie du mouvement syndical et bien sûr le Front de gauche qui théorise cette politique. Leur projet est keynésien, il voudrait relancer "l'état social" contre l'austérité. En fait dans la situation de crise généralisée que l'on traverse, ces politiques ne peuvent être appliquées, les "Trente Glorieuses" sont passées depuis longtemps. C'est donc une impasse terrible, qui se cherche des modèles (Die Linke, Chavez, la Norvège, Jaurès, peu importe) et patine dans une dénonciation très limitée de la "finance" et des "banques" comme c½ur du capitalisme, menant dangereusement à la réaction.
 
Car de l'autre côté il y a un mouvement réactionnaire fort et très organisé qui est apparu au grand jour avec les "manifs pour tous". La droite historique, la grande et la moyenne bourgeoisie, sont dans la rue aux côtés de néofascistes, d'identitaires, de nationalistes-révolutionnaires divers... L'alliance et la légitimation des éléments radicaux se fait "par la base", leur permettant d'avoir une aura plus importante que leur force réelle (quelques centaines de militants dans toute la France, hors FN). Le fascisme apparait petit à petit comme une option valable pour la bourgeoisie voulant défendre son pouvoir, avec de fortes capacités répressives, un discours mobilisateur et très peu de concessions sociales à faire (facile de dénoncer les "banquiers apatrides", les patrons français eux peuvent se la couler douce!).
 
( Boutin la médicastre - ZEC plus ultra)
Angelina Jolie, âgée de 37 ans, a annoncé qu'elle avait subi une double mastectomie pour prévenir un risque très élevé de cancer du sein et des ovaires.
 
 En réaction, Christine Boutin, la déïcole cléricale papolâtre, la consulteur de la Sacrée congrégation Pontificale pour la famille, la présidente du parti clérical, Christine Boutin a tweeté : " Pour ressembler aux hommes ? Rire ! Si ce n'était triste à pleurer." Face aux réactions multiples suscitées -elle a même vu son mur Facebook envahi de cacas virtuels, la médicastre de l'Église romaine a précisé que sa démarche " ne se voulait d'aucune manière blessante", et elle a tenté de se justifier : " .... " ( Huffington Post ) Boutin qui  se prononce contre l'avortement, la pilule du lendemain, le PACS, le mariage homosexuel, l'homoparentalité... s'en prend logiquement à la médecine préventive qui contrarie les plans du Très Haut.
 
Lire aussi l'article : " Longue vie à Angelina, mort aux brevets sur ses gènes! " de Jacques Dufresne sur le site de l'encyclopédie Homo vivens : " ...."!  )
 
Alors pourquoi cette analyse, qui est à peu près la seule à se trouver confirmée aujourd'hui par la crise récente, suscite-t-elle si peu d'attention? Pourquoi est-il si difficile d'admettre aujourd'hui que notre système est à bout de souffle? Avant tout parce que personne ne peut vraiment imaginer la fin du capitalisme. L'idée même suscite une peur panique. Tout le monde pense qu'il a trop peu d'argent, mais chacun se sent menacé. Or, c'est bien l'argent mais aussi la marchandise, le travail, la propriété et l'État, qu'il faut attaquer.

 

La disparition de cette société représente un tel bouleversement qu'on ne l'envisage pas nécessairement avec légèreté. Mais nous ne sommes pas condamnés à tenter de sauver l'économie qui chancelle et nous écrase. Nous pouvons contribuer à sa disparition. Pas pour le néant, mais pour un monde sans État et sans classes, un monde pour toutes et tous, sans exploitation ni domination.

_________________________

[1] Les antilibéraux rêvent de retourner à un Etat qui les protègerait du capitalisme alors même que la fonction de l'État est d'assurer son bon fonctionnement. Dans ces conditions leur politique aboutit simplement à des formes nouvelles de patriotisme économique, des mesures plus ou moins protectionnistes pour essayer d'empêcher les délocalisations, voire carrément au nationalisme.


 
Il y a donc une mobilisation massive de ces classes sur des mots d'ordre ultra-réactionnaires, avec comme horizon la création d'un front large pour la prise du pouvoir (visible dans les slogans comme dans l'organisation des manifs). Et d'un autre côté, il y a toutes les forces décrépies de la social-démocratie historique rêvant d'un "troisième tour social" ou d'une "sixième république" (et pourquoi pas la 38° aussi?). Celui ci aura certainement lieu au vu des accords sur le travail, l'éducation ou les retraites passant en ce moment à l'assemblée pour restructurer lourdement l'état français. Mais puisque la social-démocratie n'a absolument rien à proposer, il ne faut rien attendre d'une organisation "par le haut" de mouvements sociaux.
 
C'est ainsi qu'un sondage amalgame les deux tendances contestataires, et leurs revendications bien différentes, donnant l'impression d'une contestation générale du système en place (ce qui est vrai) qui mènerait à un mouvement unifié de protestation (ce qui est délirant). Certains en rêvent... D'autres se préparent à la lutte contre la réaction et à l'effondrement de la social-démocratie. La seule voie viable face à ces deux tendances est ailleurs, c'est l'organisation à la base pour la révolution.
 
Repris sur Feu de prairie
 
 
 



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Tags : Prosper-Oliver Lissagaray, la Commune, L'histoire de la Commune, 1871, marchés monétaires, dévaluation compétitive, krach de 1929, chômage
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#Posté le mardi 21 mai 2013 10:24

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:10

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