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SAEZ - Fils de france
n la vidéo de France Inter.
Indispensable Nicole Ferroni...
"Si vous arrivez à avoir cette lucidité d'½uvrer perpétuellement pour le bien de tous...vous arriverez certainement à créer une radiothérapie pour guérir la France de tous ses cancers."
Les conseils de Nicole Ferroni à Manuel Valls.
la photo de Insomnia.• « L'amour c'est sportif surtout quand un des deux ne veut pas. »
• « Un homme amoureux ne brisera jamais le c½ur d'une femme. Mais son cul peut-être. »
• « Il ne faut pas jouer avec le c½ur d'une femme, mais plutôt avec ses seins, elle en a deux. »
• « Petite annonce : Pouffe en bon état. A peine utilisée. Peu de conversation. »
Parce que la souffrance et l'humiliation ne sont pas un sujet de plaisanterie.
Parce que les viols et les agressions ne sont pas de croustillantes anecdotes à lire entre deux bouchées.
Parce que chaque jour, en France et dans le monde, les femmes sont jugées, rabaissées, méprisées, agressées, vendues, violées : nous avons décidé d'agir.
n la vidéo de France Inter. Quand Guillaume Meurice traîne dans les événements organisés par Le Figaro, il se fait démasquer. Si tu écoutes, j'annule tout ( les deux journaux les plus virulent contre Nuit Debout et les mouvements syndicaux ont été le Figaro et le point - n'hésitant pas se faire les porte parole du Medef et d'une France untra conservatrice, droite dans ses bottes)
"Le gouvernement doit interdire les manifestations"
Pour Eric Brunet ( dans le point ), le gouvernement doit interdire les manifestations. Et vous? Carrément d'accord? Carrément pas d'accord? Votez, donnez votre opinion et écoutez "Carrément Brunet" dès 13h sur RMC! "Le gouvernement doit interdire les manifestations"
'est vrai que le bruit des vitres brisées fait plus de brit que le bruit des os brisés
n après l'état d'urgence, l'état de démence est décrété par le gouvernement, interdiction des manifestations, redoublement de la violence policière, désinformation, assimilation des manifestants aux terroristes, laxisme avec les hooligans et reforme du système de calcul (15 manifestants = 0,5) seront les premières mesures #etatdedemence #etatdurgence
"Ces violences ont également été dénoncées par plusieurs responsables politiques. La ministre de la Santé a évoqué une "attaque insupportable" tandis que Philippe Vigier, patron des députés UDI, demande des "sanctions exemplaires". La direction des hôpitaux parisiens a annoncé que "15 baies vitrées ont été cassées". "Une plainte est déposée", a ajouté l'APHP. "
quand la casse du verre fait plus de bruit que la casse des os
http://www.huffingtonpost.fr/.../hopital-necker-casseur-attaq...
Je rajoute cette vidéo qui à partir de 5'26" permet de voir que seuls 2 ou 3 individus s'en prennent à quelques baies vitrées de l'hôpital Necker, qu'ils sont rapidement stoppés et dissuadés par d'autres manifestants et qu'ensuite plus personne ne s'y attaque. On se rend compte que le gros de la bagarre a lieu à ce carrefour et que la cible ce sont les policiers retirés à 50 mètres et qui se foutent de protéger l'hôpital qui de toute façon n'est pas directement menacé. Quand je pense à la communication gouvernementale et aux chaines d'infos qui ont embrayé là-dessus comme un seul homme c'est plus plus que la honte, c'est une disgrâce.
https://www.youtube.com/watch?v=7oIe9K9UxnU#t=720.770631
A voir aussi celle ci
Manifestation arrosée du 14 juin
Récit d'une manifestante blessée à la tête par un tir de flash-ball à Paris alors qu'elle venait en aide à une passante et de son passage aux urgences.
Je suis allée aux urgences de l'hôpital Cochin, en y arrivant nous avons retrouvé d'abord 6 autres manifestants blessés à la tête, puis de plus en plus. En discutant avec eux j'ai appris que les flics les avaient matraqués à la tête, les blessures étaient plus ou moins profondes, mais beaucoup saignaient. Les manifestants disaient comme pour se justifier « j'ai rien fait ». Plus le temps avançait, plus les urgences se remplissaient de manifestants blessés à la tête...
« J'ai rien fait » je suis éducatrice et je travaille avec des enfants qui peuvent avoir des activités délinquantes et qui se font bien souvent frapper par les forces de l'ordre publiques ou privées. Un jour plusieurs d'entre eux ont été agressés en rentrant chez eux par des baqueux en civil, lorsqu'ils nous l'ont raconté les enfants ont dit « j'avais rien fait », mais que l'on fasse ou que l'on ne fasse pas les forces de l'ordre n'ont pas à nous frapper en toute impunité, que ce soit frapper des enfants par ce qu'ils n'ont pas la bonne couleur de peau, ou des manifestants parce qu'ils décident de manifester contre une loi pourrie au devant des cortèges syndicaux !!!"Petit témoignage d'une blessée de la manif du 14 juin contre la loi Travail et son monde. PARIS-LUTTES.INFO
Nous avons toutes et tous une opinion bien arrêté sur cette chose qui ose s'appeler un «quotidien d'information».Voici un article qui le remet à une place qu'il ne devrai pas quitter, tant l'objectif qu'il vise est à l'opposé de notre réalité quotidienne : dans les latrines !
Le Figaro à Saint-Denis : Désinformation-sur-Seine« L'islamisme au quotidien » ? Contre-enquête. ACRIMED.ORG
"Lorsqu'ils mettent sur le même plan « émotionnel » des plaques de verres
la photo de Nantes Révoltée.
De l'hôpital Necker dans l'offensive spectaculaire marchande
Aujourd'hui, le storytelling policier orchestré par Valls a de nouveau parfaitement fonctionné. Personne, ou presque, ne parle plus du million de manifestants dans les rues de la capitale hier 14 juin. Une mobilisation historique. Personne ne parle non plus de la résistance collective aux offensives policières, des dockers forçant les barrages, des syndicalistes nassés alors qu'il rejoignaient leurs cars, des dizaines de blessés.
Partout, en « une » des journaux, en boucle sur les écrans, dans la bouche des politiciens : les vitres étoilées d'un hôpital. Jusqu'à l'éc½urement. Une fois ce contre-feu allumé, le tourbillon médiatique noie déjà cette journée de lutte gigantesque dans l'insignifiance du flux d'informations.
Mais que s'est-il réellement passé ? Quelques mises au point.
1- D'abord, l'hôpital Necker n'a pas été "attaqué", mais certaines de ses vitrines étoilées par deux individus, au beau milieu d'un affrontement confus.
2- La préfecture de Paris avait déployé son dispositif pour que l'affrontement éclate précisément au niveau de l'hôpital. En prenant en étau le cortège de tête, en empêchant la manifestation d'avancer, et surtout en lançant une série de charges violentes devant le bâtiment. C'est donc au niveau de l'hôpital Necker qu'un point de fixation a été artificiellement créé, et qu'à peu près tout ce qui se trouvait à proximité des lignes policières a été abîmé. Y compris un car de touriste. Et certaines vitrines.
3- Il était très difficile pour les non-parisiens – autrement dit, une très grande partie du cortège – de deviner depuis le défilé arrivant de la Place d'Italie qu'il s'agissait d'un hôpital. Visuellement, seule une longue baie vitrée grise longeant le boulevard s'offrait à la vue des manifestants - ce qui n'est pas le cas dans le sens inverse de la marche. Nul doute que les quelques égarés pavloviens venus casser du verre – une petite librairie juste à côté à subi le même sort que l'hôpital – n'ont même pas compris ce à quoi ils touchaient.
4- Quelques centaines de mètres plus haut, Boulevard de Port-Royal, alors que la manifestation venait de s'élancer et que la police semblait décidée d'entrée de jeu à faire monter la tension, des grenades lacrymogènes sont tombées dans la cour d'un hôpital, noyant la cours sous les gaz. Pénalisant à l'évidence bien plus patients et personnels que quelques étoiles sur du verre, préjudice essentiellement esthétique.
5- Des dizaines de grenades de désencerclement ont été envoyées sur les manifestants juste devant
l'hôpital, provoquant de gigantesques détonations, explosant les tympans, faisant bondir les c½urs, lacérant les chairs. La rue a été inondée d'un puissant gaz lacrymogène s'insinuant partout pendant des heures. Si les enfants soignés dans cet hôpital ont été incommodés, c'est probablement plus par l'usage massif de l'arsenal policier que par des coups, aussi idiots soient-ils, sur la baie vitrée du bâtiment.
6- Derrière cet acte isolé, une opération médiatique et politique obscène. Celles et ceux qui cassent méthodiquement l'hôpital public depuis 30 ans sont les gouvernements successifs. La situation est devenue intenable pour les personnels hospitaliers depuis des années. Des milliers de postes sont supprimés, des milliards économisés sur les dépenses de santé. Les personnels soignants sont par ailleurs régulièrement mobilisés contre la marchandisation de leurs services, et leurs revendications sont ignorées. En ce sens, les gesticulations de la ministre de la santé sont particulièrement ignobles. De même que le parallèle entre manifestation et terrorisme, répété par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Ou que l'instrumentalisation d'enfants gravement malades pour parvenir à imposer une loi largement rejetée.
La vérité, c'est que le gouvernement ne sait plus quoi faire pour étrangler cette lutte. Il a tout essayé : la violence, les procès expéditifs, les procédures d'exceptions, la propagande médiatique, la transformation de banales actions de blocages en "association de malfaiteurs", l'usure ... Malgré tout cela, ce sont encore des centaines de milliers de personnes qui résistent dans les rues. Le pouvoir en est donc rendu à faire croire que les manifestants attaquent des hôpitaux. Ne les laissons pas faire.
n Source : un lien.Sur l'instrumentalisation des vitres de l'hôpital Necker - Témoignage d'un parent -
"Plutôt que de courir les plateaux télés pour dire des conneries pareilles, retirez la loi travail, financez correctement les hôpitaux et épargnez aux enfants et à leurs parents votre ignoble instrumentalisation. Merci d'avance."
Un parent d'enfant très malade de l'hôpital Necker.
A Bas l'Etat policier - YouTube
n"Lorsque les gendarmes sont arrivés, Adama est parti en courant parce qu'il n'avait pas ses papiers sur lui. Ils l'ont coursé et l'ont rattrapé alors qu'il tentait de se cacher dans le jardin d'un mec qu'on connait. Adama a dit “je me rends”. Ils l'ont boxé. Un “justicier” a tenté de les séparer, mais ils lui ont mis la tête au carré. Ils l'ont embarqué ensuite à la gendarmerie de Persan. Là-bas, je l'ai retrouvé entouré de cinq ou six gendarmes. Il était au sol, les mains menottées dans le dos. Il ne respirait plus, il était sans vie. Il avait du sang sur le visage. J'ai vu un gendarme qui faisait partie de ceux qui nous ont interpellés. Il avait un t-shirt blanc et je l'ai vu revenir après avec un t-shirt plein de sang, celui de mon frère. Ma compagne était là, elle l'a vu aussi. Adama n'a pas eu de crise cardiaque, ils l'ont tabassé.”Adama 24 ans, tué le jour de son anniversaire : "On a perdu notre frère" GAZETTEVALDOISE.FR
Et On Criera tournée générale
Ils augmentent le tabac nous on l'achète au Luxembourg
On engraissera pas l'Etat naïf de vos beaux discours
Dans votre démocratie où seuls les riches ont la parole
On fera régner l'anarchie et elle prendra le monopole
Rappelons que Parlement signifie parler et mentir
La réponse est déjà dedans j'avais pas besoin de le dire
Refrain :
Et on criera mort aux vaches, vive l'anarchie et la bière etc.
Vous faites de la répression contre l'ivresse publique
Ceux qui nous font souffler dans le ballon sont pleins comme des barriques
Alors donnez des leçons à vos satanés flics
Qui profitent de leur position et de leur pouvoir utopique
Lever la main sur les beurs est leur seule motivation
Faire leur boulot ça leur fait peur il n'y a pas d'autre explication
Refrain
Ils abordent constamment le doux problème des retraites
On voit que le gouvernement se retrouve le nez dans sa merde
Faut cotiser plus longtemps on travaille déjà plus tard qu'avant
On sera en retraite à cent vingt ans après notre mort évidemment
On bossera toute notre vie pour s'offrir un beau cercueil
Ca sera toujours ça de pris un petit coup de pouce à notre orgueil
Refrain
Messieurs les capitalistes un jour arrivera votre mort
Qui vous paraîtra bien triste mais méritée pour vos efforts
Vous remarquerez bien vite qu'il n'y a pas de privilèges sous terre
Que votre argent même en liquide n'intéressera même pas les Verts
Vous étiez mégalo vous voilà rongés jusqu'aux os
Y a bien que dans les tombeaux que tous les Hommes sont égaux
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