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Foire aux questions abstentionnistes

 
"Aie confiance, citoyen, contribuable, compatriote, administré... !", voilà ce qu'ils te disent tous, en fonction de ce qu'ils vont te demander (ton vote, ton argent, ta vie, ton obéissance...). Et de la confiance, les voilà qu'ils t'en redemandent, en ce moment. Tu peux les voir, les même qui tous les jours te mentent, t'arnaquent, te mettent dans les pires situations de détresse physique, morale et financière, les mêmes qui, en maintenant le système en place, sont à l'origine de la crise permanente et de ses conséquences désastreuses, ils te la demandent tous, en te regardant droit dans le téléviseur et sans sourciller, ton indispensable confiance. Et toi, la leur accorderas-tu cette confiance ?
 
Keny Arkana : « Un autre... est possible
 
Le film commence par cette phrase prémonitoire :
 
«  Il ne faut pas confondre :
L'espoir dans lequel gagne le moins mauvais
Et l'espoir dans lequel gagne
Un projet de transformation
De notre réalité »

 
Je viens de lire : Appel à sanctionner le PS-EELV auxx élections municipales  Par le Mouvement politique d'émancipation populaire (M'PEP) APPEL A SANCTIONNER LE PS-EELV AUX ELECTIONS MUNICIPALES  Le 22 mars 2012.
 
Extrait : " Le Parti socialiste, depuis sa victoire à l'élection présidentielle et aux législatives de 2012, mène une politique dans la stricte continuité de celle conduite par monsieur Sarkozy ( ...) positive pour la population n'est à attendre de l'acharnement avec lequel les socialistes appliquent les dogmes les plus éculés de la doctrine néolibérale (...) Car telle est la réalité d'aujourd'hui : le PS, abusant de son image mythique de parti de « gauche », arrive à faire passer des « réformes » (néolibérales) mieux que la droite. Par défaut, le M'PEP appelle à voter pour des listes de citoyens intègres, attachés à l'indépendance de notre pays, aux libertés des collectivités territoriales, proposant des programmes favorables aux intérêts de la population.
Lire l'intégralité de l'appel sur le site du  M'pep



Hollande, les banques françaises et la dette grecque
  " S'il y a bien quelque chose que le socialiste français fera pour le continent, c'est légitimer un capitalisme européen instable de par nature et profondément injuste."
Jérôme E. Roos
militant et économiste politique

 
Hollande

Concernant Hollande, il se positionne à la fois comme l'héritier du mitterrandisme et de la deuxième gauche, la gauche rocardienne et deloriste, plus pragmatique et acceptant l'économie de marché  
 
 
Très bon article de Serge Halimi, surtout après le désarroi de la gauche ( PS) après le scandale de DSK.  10 mai 1981, triste anniversaire ( source monde diplomatique)
 
 Il y a deux manières d'aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu'on y renonce. La seconde à considérer qu'il s'agit d'une exigence de justice et que, si l'on fait le compte des obstacles, c'est avec la volonté de les surmonter », écrivait François Mitterrand en 1980 (1). Sept ans plus tard, pourtant, au terme du premier mandat du président socialiste, M. Lionel Jospin sonnait le glas du volontarisme politique qui avait marqué les premiers mois du gouvernement de gauche — nationalisation des banques et des grands groupes industriels, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, augmentation des minima sociaux. Il annonçait en effet : « La période des grandes réformes ne se renouvellera pas (2).  »
 
« En définitive, la question n'est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s'ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l'emploi et sur celui de l'égalité sociale ( voir post ) . Ils ont réussi sur ceux de l'inflation et des taux de profit. Le problème, c'est qu'on attendait d'eux qu'ils livrent la première bataille, pas qu'ils remportent la seconde ». de Serge  Halimi  Une vidéo explicative sur les similitude  "Le PS a embrassé très tôt la doxa néolibérale, Hollande et le patronat : citoyen actif 
 
Dans Jean-Marc Ayrault peaufine son "grand oral" de la rigueur  Budget : 7 milliards d'impôts en plus pour 2012 AFP- boursorama,

 

Il me semble que tout cela a déjà été essayé par le passé... sans grand succès. les élections , les états et le patronat n'ont jamais avantagé les populations qui y sont soumis. Tous ces technocrates, ces lobbies  ont un problème : ils croient savoir mieux que tout le monde, ils n'ont pas confiance dans "le peuple" qu'ils prétendent protéger de ses propres erreurs. Le peuple est simplement bon à les élire mais pas apte à juger sur le terrain de son ces résultat.
 

Prenant prétexte des résultats du FN, le PS en appelle au "Front républicain" et à l'indémodable "union nationale". Tout ceci pour masquer ses responsabilités et tenter d'attraper au piège du pacte patronal de "responsabilité" les syndicats et ce qui reste de la gauche. Front & affront – ZEC plus ultra 7 février 2014, 19:00
 
Un document a été remis tout début mars au gouvernement. Il s'intitule " Pour une maîtrise collective des dépenses publiques" - traduire : cure d'austérité -  et prévoit un pacte entre l'État et les collectivités avec le gel temporaire des taux d'imposition si ces dernières ne respectent pas leurs engagements. La démocratie sous tutelle ZEC Plus Ultra jeudi, 27 mars 2014 Exclusif. Le rapport qui fait peur aux collectivités locales - par Jannick Alimi et Boris Cassel  Le Parisien La démocratie sous tutelle jeudi, 27 mars 2014
  


Foire aux questions abstentionnistes
28 février 2012, 09:55
 
S'abstenir, c'est favoriser le FN, faire le jeu du Front National ; les abstentionnistes sont les alliés objectifs du Front National?
 
Petite question d'arithmétique. Les abstentionnistes ne sont, par définition, pas comptabilisés dans les résultats, ils n'influent pour personne. Par contre, les gens qui votent pour le FN sont manifestement plus attirés par la candidature de ce parti que par tous les autres partis en présence. Si des gens votent pour le FN, ce n'est donc pas à cause des abstentionnistes, mais bien parce que les autres partis n'ont pas réussi à les convaincre de voter pour eux ! Quand on sait qu'il y a 25 ans, le FN n'existait pas électoralement, quand on sait que des propos à caractère raciste sont régulièrement prononcés par des politiciens de tous bords (de droite ou de gauche ; n'oublions pas que c'est le PCF qui, le premier, a relancé la question d'un « problème » de l'immigration, en rasant au bulldozer un foyer de travailleurs immigrés en construction à Vitry, en 1981...), quand on sait que ces politiciens une fois au pouvoir font tout pour s'attirer à eux les électeurs frontistes en préférant s'attaquer aux sans-papiers plutôt qu'aux inégalités sociales, on peut clairement affirmer que les responsables de ce vote sont les partis qui ont perdu leurs électeurs au cours de ces dernières années ! Entre « lepénisation des esprits », non-respect des promesses électorales par la droite comme par la gauche en matière sociale, il n'y a pas de quoi s'étonner de voir les idées du Front National se banaliser et les partis traditionnels perdre tout crédit aux yeux d'une frange non négligeable d'électeurs...
 
Par ailleurs, si l'objectif est vraiment de bloquer le FN pour qu'il n'arrive pas au deuxième tour, il faut être réaliste : la seule solution est le « vote utile » au premier tour. Ainsi, les électeurs de gauche qui ne votent pas pour le PS (et le choix des partis de gauche est important) sont bien plus objectivement responsables de la présence du FN au second tour que les abstentionnistes ! En n'assurant pas l'union de la gauche, ils affaiblissent le candidat le mieux placé pour atteindre le second tour, et accroissent ainsi les risques de renouveler une situation identique à 2002. Les attaques anti-abstentionnistes sont particulièrement inacceptables venant de leur part !
 
Dire enfin que les abstentionnistes favorisent le FN, c'est tabler sur le fait que si les abstentionnistes votaient, ce ne serait pas pour le FN. Rien ne permet pourtant de l'affirmer ! Ceux qui mènent campagne pour l'inscription sur les listes électorales, de l'UMP à la LCR, eux, invitent les gens à voter EN SOI, donc prennent le risque de faire passer des gens du statut d'abstentionniste à celui d'électeur lepéniste...
 
Pourquoi ne votez-vous pas pour le moindre mal alors, pour barrer la route à Sarko et LePen ?
 
Comme nous l'avons dit, si on veut barrer la route à Sarkozy et à Le Pen, il faut voter pour la candidate du Parti Socialiste (ou pour François Bayrou ? ;-) ). Il ne faudrait pourtant pas oublier que le parti socialiste a déjà beaucoup eu le pouvoir ces 25 dernières années. L'espoir suscité par l'élection de Mitterrand en 1981 était fort ; les nombreux déçus de cette élection s'en souviennent encore. « Celui qui n'est pas anticapitaliste ne peut pas être au Parti Socialiste », clamait pourtant Mitterrand quelques années avant... On a vu le résultat : aggravation des problème sociaux, du chômage et de la précarité ; diffusion des thèses de l'extrême droite, reprises pour certaines par les partis 'traditionnels' de droite comme de gauche, avec pour conséquence un durcissement permanent de la répression... Voilà le bilan que l'on peut tirer de ces 25 dernières années, quel qu'ait été la couleur du gouvernement. Nous jeter dans les bras des socialo pour éviter Sarko ne résoudra rien.
Ségolène Royal propose la création de 500000 « emplois tremplins » pour les jeunes. On sent bien là revenir l'idées des emplois jeunes, ressortis sous un nouveau nom ; ou comment rayer des listes du chômage un certain nombre de personnes en leur plaçant des emplois précaires. Royal promet également un SMIC à 1500 euros, dont on ne sait pas s'il s'agit du revenu brut ou net, mais pour lequel il existe surtout une close permettant à la candidate de ne pas respecter son engagement, avec ce « dès que possible » traduisant bien la timidité de notre socialiste... Quelle véritable différence avec la politique du quinquennat qui s'achève ? Est-ce là tout ce que la gauche a à nous proposer en réponse à la droite ?
 
Ces 5 dernières années nous ont montré à quel point le PS s'accordait en silence avec la droite sur l'essentiel des réformes menées, tant l'opposition s'est fait discrète. Quand cela n'a pas été le cas, comme en 2003 avec la mobilisation contre la réforme des retraites, c'est pour finalement entendre aujourd'hui, de la bouche de Jean-Marc Ayrault sur France 3, que le PS ne reviendra pas sur cette réforme car il est des sujets sur lesquels il faut savoir avancer [1]. La candidate socialiste ne dit pas un mot sur les lois sécuritaires de Sarkozy, il semble évident qu'elle ne les abrogera pas. En fait, la seule chose sur laquelle elle compte revenir, c'est le CNE. Il y a fort à parier que sans la forte mobilisation étudiante et lycéenne du printemps 2006, le sujet serait tombé aux oubliettes : si on n'a pas beaucoup entendu les socialistes quand le CNE est passé (hors une journée de mobilisation le 4 octobre), ils ont par contre été contraints de prendre la parole lors du CPE car les lycéens et étudiants ne les avaient pas attendu pour protester !
 
Le seul rôle des socialistes a alors été de réduire les revendications au seul retrait du CPE, de tenter de manipuler la lutte en en décrétant la fin, et de récupérer des voix pour 2007... On se souvient de Ségolène Royal déclarant aux lycéens qui s'offusquaient que certains de leurs camarades aient écoppé de deux mois de prison ferme après les manifs anti-CPE, et alors même que ce n'étaient pas des « casseurs » : « Il faut savoir prendre son risque. C'est ça, les luttes ! » [2]. En fait, cela rappelle l'attitude traditionnelle de la gauche depuis le célèbre « Il faut savoir arrêter une grève » de Maurice Thorez en 1936... Sauf que contrairement à cette époque, le Front Populaire (rebaptisée gauche plurielle de nos jours) était dans l'opposition en 2006 ! Si même dans l'opposition, la gauche plurielle fait preuve de tant de lâcheté, que peut-on en attendre une fois au pouvoir !!??
 
Les dirigeants du PS, comme tous les politicards, veulent le pouvoir pour eux-mêmes. On sait par expérience que ce parti ne réalise pas ses promesses. En 1997, les socialistes ont mené campagne sur trois thèmes principaux : l'emploi, la santé et l'éducation. « Quelques semaines plus tard, le premier ministre Lionel Jospin, dans son discours d'orientation générale, annonçait finalement " 2 priorités : l'emploi et la sécurité " » [3]. Concernant l'emploi, la mise en place des emplois jeunes, précaires à souhait, et le passage aux 35 heures présenté comme une mesure de progrès social et qui permet en fait aux employeurs, grâce à l'annualisation du temps de travail, de bénéficier de plus de flexibilité dans l'usage de la main-d'½uvre. Concernant la sécurité, criminalisation des gens vivant en banlieue, entretien de l'amalgame entre immigration et insécurité cher à Le Pen, les premières lois sur la sécurité quotidienne (comme les 10 amendes RATP en une année qui conduisent en prison [4])... Sarkozy a un discours beaucoup plus direct, mais le « racaille » dont pas mal de monde s'est indigné est-il si différent sur le fond des « sauvageons » de Chevènement ?
 
En septembre 1997, l'abrogation des lois Pasqua promise trois mois plus tôt a cédé la place à la loi Chevènement, poursuivant la persécution dont les sans-papiers sont victimes. Le ministre de l'intérieur de l'époque a également transformé en délit le fait, pour un passager, de se solidariser avec les expulsés [5].
 
Comment prendre au sérieux les déclarations du PS ces derniers jours à propos de la mise en garde à vue d'une directrice d'école qui s'est solidarisée avec un sans-papiers arrêté par la police ? Quand il est au pouvoir, le parti socialiste arrête et expulse de la même manière. Qui croit franchement qu'avec la gauche au pouvoir, les flics seront moins arrogants, moins méprisants ?
 
A ce propos, touchons un petit mot au sujet des communistes. Ils ont beau aujourd'hui discourir sur les services publics, sur le caractère répressif de Sarkozy, ou encore sur le droit au logement (à Levallois par exemple) ; il n'empêche que, tout comme pour les socialo, la réalité parle pour eux : ils ont participé au gouvernement Jospin, qui a plus privatisé que le gouvernement Jupé qui le précédait. Concernant la police, l'affiche « Pour la sécurité » de la campagne de Marie George Buffet en 2007 est éloquente : la deuxième promesse que l'on peut y lire est l'augmentation des effectifs de police et de justice ! Enfin, si le PCF discourt contre les expulsions, là où il est aux affaire (quand il est au gouvernement, à Montreuil...) il n'a aucun problème à en pratiquer, envoyant les flics réprimer les solidaires des personnes expulsées. Au PC, aux Verts comme au PS, on est donc en permanence dans le double discours et le mensonge.
 
Sur le plan international, la France se targue d'être un modèle de démocratie, pourtant tous ses chefs d'État, de gauche comme de droite, sont liés plus ou moins intimement avec les dictateurs qui pullulent sur terre. Mieux encore, la France fait partie des premiers pays vendeurs d'armes au monde. Et quand Ségolène Royal parle de « développement partagé », ce n'est pas parce qu'elle considère les guerres et la misère qui ravagent notre planète comme un dramatique problème qu'il convient de régler au plus vite, mais parce qu'elle veut réduire l'immigration, considérée comme un problème, voire par certains comme étant le problème à l'origine de tous nos malheurs. L'aide aux pays pauvres n'est que la solution pour régler le « problème » de l'immigration ! Ce n'est, ni plus ni moins, que ce que dit le Front National, dont tous les partis ont de moins de moins de scrupules à reprendre les propos et à les banaliser. Les partis 'traditionnels' ont en effet beau feindre de se démarquer du FN, ce dernier ne leur sert pas moins d'épouvantail bien pratique pour inciter les gens à voter pour eux, et ils ne font finalement qu'atténuer et adoucir les idées du FN pour mieux se les approprier, parlant des étrangers comme des « misères du monde ».
 
Une petite remarque historique : c'est une assemblée majoritairement de gauche qui a donné les pleins pouvoirs à Pétain en 1940 : sur les 669 députés et sénateurs présents, 569 votent les pleins pouvoirs (la droite, la majorité des socialistes et des radicaux), 20 s'abstiennent et 80 votent contre (parmi eux, 36 socialistes et 13 radicaux). 170 parlementaires de la SFIO, le PS de l'époque, ont ainsi accordé les pleins pouvoirs au maréchal. Ce qui est intéressant, c'est de lire la façon dont le PS justifie cela aujourd'hui, sur son site internet [6]] : « L'opinion des parlementaires socialistes est alors, hélas, le reflet de l'opinion générale du pays. » Si les élus socialistes, finalement, ne sont pas capable de tenir le cap qui est le leur en défendant leurs idées, et cèdent à l'air du temps quand celui-ci se fait droitier, alors à quoi bon voter pour eux ?
 
A l'heure qu'il est, l'Assemblée Nationale vient de voter une augmentation de revenus à l'unanimité : la leur. Si ces gens, de l'UMP ou du PS, ne règlent pas les inégalités sociales, ils n'ont aucun problème à prolonger la durée pendant laquelle ils pourront toucher des indemnités parlementaires fort grassouillettes s'ils ne sont pas réélus en juin prochain. Au lieu de percevoir des indemnités pendant 6 mois, ils les toucheront désormais pendant... 5 ans ! [7]]
 Ces salopards de l'UMP et du PS ne sont ni de droite ni de gauche, ils sont du pouvoir. Nous n'avons rien à voir avec eux, ce n'est pas en soutenant un clan contre un autre (le PS contre l'UMP) que nous sortirons de la situation qui est la notre mais par la lutte. Ne donnons pas une seule voix à ces pourris !
 
Mais pourquoi ne votez-vous pas alors pour l'extrême gauche ?
 
En effet, si l'on n'est pas satisfait des politiciens à la droite du PCF qui ont participé au gouvernement dans les années récentes, pourquoi ne pas se rallier au vote d'extrême gauche ?
 
Il faut d'abord partir d'un constat simple : La croyance de leur part en la 'neutralité' de l'État, qui pourrait, entre leurs mains, devenir un outil de défense des travailleurs, constitue déjà en soi une incontestable frontière entre l'extrême gauche et les anarchistes dont nous sommes. De notre point de vue, la nature oppressive de l'État -qui ne défend que les intérêts d'une oligarchie en place- nous empêche clairement d'envisager qu'un changement social réel puisse intervenir en dehors de sa destruction.
 
Les militants d'extrême gauche, contrairement aux anarchistes, ne cherchent pas à développer l'autonomie des luttes, en s'accommodant parfaitement de rôles dirigeants. Ils estiment en effet que le problème de l'organisation des opprimés réside dans le fait qu'ils sont mal dirigés (direction qu'il convient de remplacer), et non dans l'existence même de structures hiérarchiques. Cette lutte pour le pouvoir a pour conséquences le même genre de bassesses et de man½uvres que celles auxquelles les politiciens plus traditionnels sont habitués. Cette recherche du pouvoir se traduit évidemment dans les luttes, ce que quiconque a déjà pu constater s'il a participé à un mouvement social : encadrement des manifs, manipulation des AGs, tentatives de prise de direction des mouvements... Tout cela aboutit à la déresponsabilisation des gens en lutte, réduits comme dans la vie courante à 'participer passivement', ce qui est à des années lumières de l'auto organisation que nous souhaitons promouvoir, seule garantie pour chacun de faire valoir son point de vue, à égalité avec ses compagnons de lutte ; seul moyen également d'assurer une véritable force collective.
 
Les programmes présentés par les partis d'extrême gauche ont de toute façon abandonné toute portée révolutionnaire. On nous y parle de nationalisations (comme le PS en 1981), on prône le retour aux 37,5 annuités pour tous (ce qui correspond à ce que connaissait le secteur public il y a seulement 5 ans), on nous parle de taxer fortement le capital sans jamais remettre en cause l'existence même des firmes multinationales dont il est question, sans interroger non plus la production réalisée, ni donc remettre en question la croissance, le travail, et la finalité de celui-ci ; il n'y a aucune rupture avec l'idéologie positiviste qui veut que le « progrès » technique et scientifique soit nécessairement bénéfique à l'humanité. Ainsi, Arlette Laguiller se prononce pour la poursuite du nucléaire. On critique la « police du capital » tout en demandant l'établissement d'une « police de proximité » de manière bien floue. Au détour d'une interview, on nous dit que les sans-papiers doivent être régularisés car ils sont... utiles pour les français ! [8] Par anti-américanisme primaire et de manière absolument contraire à la position de classe propre aux révolutionnaires, on condamne l'arme atomique, mais on prend position pour le droit de l'Iran à en disposer [9]. On demande enfin un SMIC à 1500 euros et une augmentation de tous les salaires de 300 euros, ne remettant ainsi aucunement en cause la hiérarchie salariale et les inégalités qui en découlent au sein de la société... Bref, de deux choses l'une : soit nos partis d'extrême gauche ont perdu toute ambition révolutionnaire (voir à ce sujet la partie « utopie » plus bas), soit ils nous prennent pour des imbéciles incapables de comprendre et de s'approprier un discours rupturiste ; dans un cas comme dans l'autre, ce n'est pas avec ces gens-là que nous pourrons retrouver l'espoir d'un changement radical, et ce d'autant plus lorsque ceux-ci acceptent de tomber dans la démagogie, au même titre que tous les autres candidats, tel Olivier Besancenot (LCR) déclarant sur France 2 que la fortune de Zidane ne le dérange pas car le footballeur n'a exploité personne à part son ballon pour en arriver là [10].
 
Vous ne proposez rien...
Si on entend par là « proposer un programme clé en main pour changer la société », oui, c'est vrai. Nous ne sommes candidats à rien, nous faisons simplement le constat que cette société ne nous convient pas et que nous souhaitons la combattre. Nos analyses et notre vision du monde nous conduisent à proposer des principes de base sur lesquels faire reposer nos actes : refus de la hiérarchie, solidarité, égalité, liberté. Pour le reste, c'est à chacun d'envisager l'avenir qu'il souhaite et à s'organiser pour ½uvrer à sa réalisation. Nous cherchons simplement à promouvoir l'autonomie [11], seule à même de garantir, sur la base des principes éthiques sus-cités, une émancipation de l'humanité dans une égale considération pour tous et toutes.
 
Vous êtes utopistes de toute façon.
 
Certes, le rapport de force idéologique et pratique n'est pas en faveur des révolutionnaires, loin de là. Pourtant, plus nous serons nombreux à refuser l'idéologie dominante, les inégalités sociales, le nationalisme... et plus les luttes seront fortes et auront des chances d'aboutir. Il ne tient qu'à nous tous de prendre nos responsabilités et de savoir ce que nous voulons, pour agir en conséquence. En se disant que les aspirations émancipatrices sont justes mais utopistes, et donc en restant les bras croisés, on est sûr que les ambitions révolutionnaires resteront à jamais le songe de quelques personnes.
 
Il serait plutôt intéressant de se poser une autre question : l'utopie, ne serait-ce finalement pas de vouloir vivre véritablement mieux dans ce système autoritaire et capitaliste ? [12] Autrement dit, la véritable utopie ne réside-t-elle pas dans le fait de penser pouvoir changer quelque chose par le vote ? Nos dirigeants nous disent que s'abstenir, c'est laisser les autres décider pour nous... pourtant, la réalité est exactement inverse : voter, ce n'est que choisir ceux qui vont décider pour nous. Par ailleurs, le système est tellement verrouillé dans l'intérêt des classes dirigeantes qu'il est invraisemblable de croire que des élus sincèrement anticapitalistes puissent accéder au pouvoir, rester intègres, et mener leur politique. [13]
 
Comme le souligne l'excellente revue Ni Patrie Ni Frontière : « J'avais cru comprendre que les révolutionnaires souhaitaient faire vivre et prospérer d'autres structures que le Parlement : conseils de quartiers et d'usine, commissions de travailleurs, associations de locataires, de paysans producteurs, et j'en passe. Pourquoi passer cet aspect essentiel sous la table ? Parce qu'il est utopique dans la situation actuelle ? Franchement pas plus utopique que de réclamer « l'interdiction des licenciements », « la levée du secret bancaire », l'« ouverture des livres de comptes » et autres mesures totalement impossibles à imposer sans une situation pré-révolutionnaire. » [14]
 
Ricardo Flores Magon
-9 décembre 1911
article pris sur le site de la CNT-AIT
 
Ce week-end...

On a fait une chouette manif :
https://www.flickr.com/photos/rodrigoavellaneda/sets/72157642808818685/

Et puis on a aussi eu ça :
http://www.europe1.fr/Municipales/Municipales-330-listes-FN-presentes-au-second-tour-1922807/

Alors, si vous voulez vous organiser, participez aux activités du CAPAB ! (voir le flyer en fichier attaché)

Salutations antifa.

 
Le Peuple de l'Herbe - Parler le fracas - Official Video
 
IMPOSSIBLE!!! (Texte tiré de la révolution mexicaine)13 novembre 2012, 17:20
Merde in France
L'antifascisme, c'est l'affaire de toutes et tous !  , L'Ukraine et l'extrême droite !
Johnny s'en va-t-en guerre
Sur Notre Dame des Landes  : Action pirate contre l'expo Pinault à la Conciergerie , Dieudonné, agitateur de haine

 

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Johnny s'en va-t-en guerre Créé le mardi 25 février 2014 
Tags : Foire aux questions abstentionnistes, élections, abstentionnistes, abstention, FN, faire le jeu du Front National, Front National, Extrême droite, Sarko, François Mitterrand, Ségolène Royal, lois Pasqua, Marie George Buffet, l'obsession sécuritaire, PC, Verts, PS, inégalités sociales, Front & affront, ZEC plus ultra, La démocratie sous tutelle, les manifs anti-CPE, Terrorisme d'État, L'antifascisme, c'est l'affaire de toutes et tous, CAPAB, Hollande, les banques françaises, la dette grecque, 10 mai 1981, triste anniversaire, monde diplomatique, Hollande et le patronat, citoyen actif, Lionel Jospin
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#Posté le vendredi 28 mars 2014 06:07

Modifié le lundi 03 octobre 2016 03:45

Bruxelles, le vrai pouvoir


 
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Bruxelles, le vrai pouvoir
Politique par Christophe Dubois 
Bruxelles, le vrai pouvoir
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A vos ordres, monsieur le président par Delais Bertrand
Planète+ 01/05/2013 20:45

 
Plongée dans les coulisses du Conseil européen, où les 27 Etats membres décident de l'avenir de 500 millions de citoyens. A peine élu président de la République, François Hollande promettait d'y imposer sa ligne politique et de réconcilier les Français avec Bruxelles. Un an plus tard, a-t-il tenu ses engagements ?



La critique TV de télérama du 27/04/2013
 
 En 2013, dans la panoplie du dirigeant politique, il y a un abonnement Thalys. Du contrôle des budgets nationaux à l'élaboration des nouvelles lois, Bruxelles est devenu le coeur du réacteur où les chefs d'Etat, sommet après sommet, tentent de faire valoir les intérêts nationaux, où les ministres s'en vont plaider leur cause face aux puissants commissaires. Face à la mécanique du compromis à vingt-sept, à la sacro-sainte règle d'or budgétaire, au libéralisme dominant, quelle est la marge de manoeuvre d'un François Hollande ? De quelle latitude dispose Arnaud Montebourg, croisé du « Made in France », pour protéger l'industrie hexagonale ? Autant de questions lancées par ce documentaire vivant et pédago, qui s'insinue à hauteur d'hommes dans les rouages de la mécanique institutionnelle bruxelloise.
 
Le « machin » souvent perçu comme une entité absconse et complexe est ici incarné par des visages (celui par exemple de Karel De Gucht, très libéral commissaire au commerce), animé par des moments de tensions. Le théâtre d'une dramaturgie huilée, celle des sommets des chefs d'Etat, que les auteurs décryptent avec mordant. Derrière les sourires du consensus destinés aux caméras, on perçoit les négociations bras de fer. Entre couloirs et coulisses, Deloire et Dubois éclairent aussi les rouages anonymes et puissants de Bruxelles, jeunes négociateurs dans l'ombre des ministres ou « gendarmes de la règle d'or » chargés de faire respecter le dogme des 3 % de déficit. — Virginie Félix
 
 
 Suivi d'un débat.
Virginie Félix
 
 Il ne vous aura pas échappé que politiques et responsables économiques sont en train de s'écharper sur les solutions à apporter à la récession-dépression-morosité que nous traversons, non seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe, au Japon ou en Chine
 

« Le Japon et les Etats-Unis ont fait le choix d'une même politique : l'impression monétaire pour favoriser la relance. Les objectifs du gouvernement d'Abe et du nouveau président de la Banque du Japon sont clairs, il faut créer de l'inflation. L'économie japonaise me fait parfois penser à la créature de Frankenstein. Elle est en état de mort clinique depuis 20 ans et, régulièrement, les savants fous du gouvernement s'acharnent sur son corps moribond en lui envoyant une forte décharge (monétaire), espérant créer l'étincelle de la croissance et de l'inflation »
 
Ils sont nombreux comme Yamashita à s'inquiéter du fait que "les nouvelles politiques économiques très énergiques du Premier ministre Shinzo Abe, conçues pour secouer l'économie et la sortir de près de deux décennies de déflation, pourraient provoquer un effondrement du yen

 
Résumé : En trente années de politiques néolibérales, le Japon est devenu l'un des pays les plus inégalitaires de l'OCDE. La publication du livre de Sébastien Lechevalier, "La grande transformation du capitalisme japonais" , arrive à point nommé pour éclairer une zone d'ombre de l'histoire récente du Japon mais aussi pour donner des clés de compréhension à la crise du capitalisme en cours depuis 2007
 
 
Comprendre le capitalisme japonais - Le Japon à l'envers Comprendre le capitalisme japonais di 01 mai 2013
 
Quand on parle du haut niveau atteint par la dette publique de certains pays, on tient compte de ces dettes hors bilan, la dette publique atteint, globalement, un niveau astronomique qui va devenir un lourd handicap pour les générations futures.
 
 
A titre de comparaison, la valeur nominale du PIB des Etats-Unis est de15 864 milliards de dollars et la dette du gouvernement de 16 432 milliards, soit 104% du PIB.
 
Les critères de stabilité de Maastricht prévoient un plafond de 60% pour les pays membres de la zone euro. . Les années de croissance économique n'ont pas servi à rembourser les dettes antérieures.et l'Europe est menacé de la stagnation, voire à la récession.
 
L'endettement a atteint un niveau qui le rend contre-productif dans presque toutes les régions du monde. Le service de la dette confisque une part toujours plus grande du revenu des ménages. Dans son bulletin mensuel de mars, la BCE démontre qu'un endettement public de plus de 90% du PIB rend impossible toute relance économique par le budget. Si les taux d'intérêt augmentent, de nombreux budgets publics et privés seraient, très vite, acculés à la faillite.
 
Dans la situation actuelle, nombre de membres de la zone euro ne peuvent même pas réduire leur nouvel endettement comme prévu et.

 
BRUXELLES, LE VRAI POUVOIR (documentaire)

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Barack Obama, au coeur de la Maison Blanche | Public Sénat VOD :

 
A vos ordres Mr. le Président 1_2 le tempsde la guerre froide - YouTube :  A vos ordres, monsieur le président 1l2 Le temps de la guerre froide
Les conditions mêmes de la naissance de la Ve République sont ambiguës. Un «coup d'Etat» met en 1958 un général à la retraite, héros militaire, à la tête de la France. Contrairement aux années de Gaulle, la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, fut, pour la France comme pour l'armée, paisible. Elu en 1974, le président Giscard d'Estaing multipliera les interventions pour protéger la Françafrique : les opérations militaires seront nombreuses sous son septennat. En 1981, François Mitterrand reçoit un accueil glacial de l'armée, notamment à cause de la présence de quatre ministres communistes au gouvernement. Charles Hernu, ministre de la Défense de 1981 à 1985, va réconcilier les socialistes et les militaires
 
A vos ordres Mr. le Président 2_2 des temps incertains - YouTube : A vos ordres, monsieur le président 2l2 Des temps incertains
En août 1990, François Mitterrand arrête la politique française dans la crise du Golfe sans consulter Jean-Pierre Chevènement, son ministre de la Défense, qui finira par démissionner. Elu en 1995, Jacques Chirac décide en 1996 d'abandonner la conscription et de professionaliser l'armée. Le 14 février 2003, Dominique de Villepin exprime à la tribune de l'Onu l'opposition de la France à s'engager aux côtés des Américains dans la guerre du Golfe. En 2007, le président Nicolas Sarkozy annonce les nouveaux axes de l'armée française : défense et sécurité. Les militaires soulignent que la sécurité intérieure n'est pas leur vocation
 

 
 
Bruxelles, le vrai pouvoir
 
Bruxelles : lieux de pouvoir (partie 1) - YouTube :




 
 

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Tags : Bruxelles, le vrai pouvoir, lobbies, Arnaud Montebourg, François Hollande, documentaire, Barack Obama, la Maison Blanche, François Mitterrand, Charles Hernu, capitalisme, néolibéralisme, Nicolas Sarkozy, dette publique, crise
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#Posté le mardi 30 avril 2013 16:02

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