Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

l'indigné

Photo de l-indigne

l-indigne

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (29)

  • Planète Rap
  • Mobile
  • Radio Libre
  • Écolo
  • Zlataneur
  • Anniv' 2 ans

» Suite

Son profil

Profil de l-indigne
l-indigne40 ans
Paris (75)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 15/08/2011 à 12:31
  • Mise à jour : 05/04/2022 à 16:00
  • 1 231 articles
  • 1 104 commentaires
  • 367 amis
  • 389 favoris
  • 3 101 kiffs

Tags

  • ARTE
  • arte
  • capitalisme
  • chronique
  • crise
  • Documentaire
  • documentaire
  • enquête
  • film
  • films
  • finance
  • Globalia
  • histoire
  • musique
  • néolibéralisme
  • obsession sécuritaire
  • politique
  • racisme
  • société
  • surveillance

» Suite

Ses archives (1 231)

  • SAUVAGES au c½ur des ZOOS HUMAINS
  • Les damnés de la Commune | ARTE
  • La fabrique de l'ignorance | ARTE
  • ON THE LINE, les expulsés de l'Amérique

» Suite

Ses fans (491)

  • nanaisdu33
  • pavolita12
  • messagesauxfans
  • Agatha63
  • AMAWEBFLIX
  • H2Omichel
  • tonydecastel

» Suite

Sources (389)

  • Katy733060
  • Solide-Psychose
  • ErvaDoser
  • Stella-et-l-utopie
  • sk8teur8585
  • HumanisteDemocrate
  • JamesHetfield
  • PetiteAlix
  • adekar-loin
  • karimus-boukhechem

» Suite

Son morceau préféré

Berurier Noir - Salut à toi

Jouer Au fond, nous n'avons que peu de choses à dire. Berurier Noir - Salut à toi

Skyrock music Ajouter

Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)

RSS

Retour au blog de l-indigne

2 articles taggés PSA

Rechercher tous les articles taggés PSA

Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"


 
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
 
 
Globalia de Jean Christophe...« Pour résoudre définitivement la question sociale, il(s) propose(nt) de partager l'humanité en deux parts inégales. Un dixième obtiendra la liberté absolue et une autorité illimitée sur les neuf autres dixièmes qui devront perdre leur personnalité et devenir en quelque sorte un troupeau Dostoievski ( Les possédés p 401)
 
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
 

Après PSA, c'est ta boite qui te jettera à la rue ! !  ( mis sur facebook )
La fermeture de PSA nous pend au nez
 
Dans le cadre du site d'Aulnay-Sous-Bois, l'usine une fois fermée génèrera un «  manque a gagner » qui touchera durement l'économie locale et pas seulement les entreprises de sous-traitantes de l'usine, mais les commerces, les services, etc....
 
Tout cela pour les sales gueules des capitalistes (propriétaires d'usines, d'entreprises, de terrains, de logements, etc.), qui pour maintenir leur profits, sont prêtes aujourd'hui a jeter qui gens d'hier se sont crevés au travail pour eux. Pour la survie du système qu'ils savent qu'ils ne sauveront pas, comme le prouve l'arrêt des subventions sur les usines métallurgiques, la sidérurgie et mine d'extraction de fer (grève de plus de plus de 8000 mineurs de plus de 40 mines de charbon dans le nord de l'Espagne, suite à la réduction de 64% des subventions, d'arcelor Mittal à annoncé, au cours d'un comité centrale d'entreprise, la fermeture définitive des deux hauts Fourneaux de Florange, etc....).
 
 
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"

 Les salariés de PSA Aulnay s'adresse a vous ((tout les articles dessus)

Communiqué :

« Comme vous le savez, PSA a l'attention de supprimer 8000 emplois en France et de fermer les usines d'Aulnay sous bois, en sceine- saint Denis.


8000 emplois, c'est 10% des effectifs de PSA France

Quand à l'usine d'Aulnay, c'est 3000 salariés, c'est la plus grosse usine de production de Seine Saint Denis. En comptant les sous-traitants, la fermeture de cette usine entrainera la disparition de 10.OOO emplois. On imagine sans mal les conséquences dramatiques que cela aurait sur un département déjà durement touché par le chomage.

Les dirigeants de PSA prétendent qu'ils n'ont pas le choix que c'est l'avenir de tout un groupe qui est en jeu. Rien que cela ! Le PDG invoque une baisse des ventes qui metteraient la situation du groupe en péril

Mais la vérité est outre autre :

PSA a doublé sa production en 20 ans

PSA a battu des records avec 3 .6 millions de voitures vendues. Et presque un record égalée ce record en 2011

PSA a versée 2. 8 millions d'euro d'actions dont 78 millions rien que pour la famille peugeot. PSA s'est même permis le luxe de racheter 199 millions d'euros d'actions pour les détruire afin de renchérir le capital des gros actionnaires

PSA dispose de 10 millions de fond propre.

Les dirigeants de PSA nous font le coup du malade imaginaire. Or ce plan n'est que la conséquence d'une erreur stratégique come on le dit souvent dans la presse, mais bien le choix stratégique de PSA de maintenir, voir d'augmenter ses profits, au détriment de ces salariés et de leur famille. En réalité, PSA a largement les moyens de maintenir tous les emplois, tous les salaires et toutes les usines.

D'ailleurs la preuve que ce plan n'a rien a voir avec l'état actuel du marché de l'automobile, c'est qu'il était préparé depuis fort longtemps. Des le mois de juin 2011, la CGT a revelé un document interne, datant d'aout 2O10 prévoyant la fermeture d'Aulnay !

PSA n'est d'ailleurs pas la seule à agir ainsi. D'autres plans sont annoncés à AIR France, a Sanofi, A carrefour. Et combien d'autre plans de licenciements sont en cours de préparation dans le secret des conseil d'administration des grandes sociétés ?

Non aux licenciements ! Non aux fermetures d'usines ! »


 
 
Coût du travail : les exagérations du patron de PSA :Ce qu'il a dit :
"Nous avons le coût du travail le plus cher en Europe et nous produisons 44 % de notre production en France, donc il faut baisser les charges qui pèsent sur le travail de manière massive."
 
Philippe Varin, président du directoire de PSA Peugeot-Citroën, vendredi :  

 
 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
Pourquoi c'est plutôt faux ? 
La France se classe certes dans le peloton de tête en matière de coût horaire du travail, mais elle reste moins chère que d'autres pays. Dans l'industrie automobile, le coût horaire est plus élevé en Allemagne qu'en France, selon l'Insee. ( ...)
 
1/ Le coût horaire moyen du travail en France n'est pas le plus élevé d'Europe
2/ Dans l'industrie non plus, il n'est pas le plus élevé
2/ Dans l'automobile non plus, on ne peut pas dire que le coût du travail français est "le plus élevé d'Europe"
3/ L'Allemagne est l'exception en Europe, et la comparaison est donc biaisée
 
Comme le rappelait Le Monde, d'autres économistes pourtant proches du patronat, notamment issus de l'Institut de l'entreprise, font le même constat : "Il convient de souligner les limites de la comparaison avec l'Allemagne (...) c'est l'Allemagne, et non la France, qui fait figure d'exception en Europe, puisque l'évolution du coût unitaire du travail est restée en France en ligne avec la moyenne européenne."




 
Source : Capital.fr
04/10/2012 à 09:26 / Mis à jour le 04/10/2012 à 10:14

 
Gérant actions chez Convictions AM, Joffrey Ouafqa est prudent sur le secteur automobile à court terme, compte tenu d'un flux de nouvelles négatives. Pour autant, il estime que le trou d'air attendu devrait générer de belles opportunités, notamment parmi les valeurs allemandes, qui constituent selon lui un meilleur pari que les actions françaises du secteur. Il est prudent sur Peugeot, estimant qu'à ce niveau de cours, de nombreux intervenants tablent sur une faillite à terme du constructeur, qui brûle chaque mois environ 200 millions d'euros de trésorerie.
 
Capital.fr : Quelles sont les perspectives du marché automobile ?
 
Joffrey Ouafqa : En 2011, la Chine est devenue le premier marché mondial, avec 14 millions de véhicules vendus, et une croissance de 11% est attendue pour cette année. Les constructeurs européens, comme Volkswagen ou Daimler-Benz, y ont toutefois noté un ralentissement des ventes en septembre. Ils ont aussi indiqué qu'ils devaient consentir des rabais, sous la pression d'une forte concurrence, ce qui affectera leurs marges dans le pays. Le marché brésilien connaît un rythme de développement élevé avec 5% de croissance attendue en 2012..
 
 
 
Capital.fr : Le marché américain paraît assez résilient...
 
Joffrey Ouafqa : Le marché américain a une taille comparable au marché chinois. Outre-Atlantique, les ventes restent en deçà de leur niveau d'avant crise, mais la demande reste portée par le besoin de renouveler un parc vieillissant, âgé de 11 ans en moyenne, et les arbitrages des ménages en faveur de véhicules plus petits et économes en carburant. En revanche, le marché européen est plus fébrile. Il devrait se contracter de 8% cette année, emporté par une demande atone et l'absence de primes à la casse. Les marchés italien, français et espagnol sont particulièrement moroses.
 
 
 
Capital.fr : Après la descente aux enfers de Peugeot, le titre a-t-il atteint selon vous un niveau plancher ?
 
Joffrey Ouafqa : PSA brûle près de 200 millions d'euros de trésorerie par mois. A 6 milliards d'euros à fin décembre 2011, la trésorerie devrait à ce rythme s'être évaporée d'ici 2015. La société doit donc à tout prix se restructurer, sous peine de faire faillite, un scénario sur lequel tablent de nombreux intervenants, vu le niveau des cours. On ne pourrait alors pas exclure une nationalisation. Peugeot n'utilise ses usines qu'à 76%, alors que l'agence de notation Moody's estime à 85-90% le niveau d'utilisation viable. Fermer des sites de production est donc la seule option pour PSA.
 
 
 
Capital.fr : Ne pourrait-on pas envisager un adossement à un concurrent ?
 
Joffrey Ouafqa : Peugeot vend essentiellement de petits véhicules à faibles marges, et n'est pas une proie très attractive, pour un prédateur potentiel. D'autant qu'une transaction impliquerait que la famille Peugeot accepte de céder ses parts et de tirer un trait sur l'indépendance du constructeur. Le groupe pourrait toutefois intéresser un acteur chinois cherchant à acquérir de l'expérience dans la production d'automobiles.
 
 
 
Capital.fr : Renault pourrait-il racheter Peugeot ?
 
Joffrey Ouafqa : Un tel scénario est peu probable, car la nouvelle entité détiendra 60% du marché national, ce qui poserait des problèmes de concurrence... Par ailleurs, PSA est essentiellement européen, et peine à vendre hors du vieux continent, alors que Renault, via ses filiales Nissan et Avtovaz (marque russe Lada, NDLR), a déjà une envergure mondiale et marque des points dans les marchés à croissance rapide, comme le Brésil, qui est son deuxième marché. Les deux constructeurs hexagonaux sont en outre positionnés sur les mêmes types de produits. Enfin, un rapprochement se traduirait inévitablement par des fermetures de sites, ce que pourrait contester le gouvernement...
 
 
 
Capital.fr : Faut-il préférer l'action Renault à Peugeot ?
 
Joffrey Ouafqa : Les deux constructeurs affichent en Bourse de faibles niveaux de valorisation, comparés aux moyennes historiques. Renault ne se paie par exemple que 5 fois les bénéfices attendus pour 2013... En revanche, l'action Peugeot ne pourra remonter durablement que si le groupe parvient à ne plus brûler de trésorerie. Le dossier est clairement plus risqué et spéculatif que Renault.
 
 
 
Capital.fr : Le PDG de Renault Carlos Ghosn a récemment indiqué que le constructeur pourrait disparaître sous sa forme actuelle. Quels scénarios peut-on envisager ?
 
Joffrey Ouafqa : Carlos Ghosn a l'habitude de tirer la sonnette d'alarme sur le secteur automobile français, d'appeler les autorités à restaurer la compétitivité des acteurs hexagonaux, notamment via une diminution du coût horaire des salariés des usines. Ses propos constituent une mise en garde, sous-entendant que Renault pourrait complètement délocaliser la production hors de France, notamment au Maghreb ou en Europe de l'Est. Enfin, je ne pense pas qu'un rapprochement capitalistique entre Renault et un autre grand acteur soit nécessaire, le groupe disposant déjà d'un partenaire de poids avec le japonais Nissan.
 
 
 
Capital.fr : Quels facteurs expliquent la surperformance des titres des constructeurs allemands sur leurs concurrents hexagonaux, au cours des dernières années ?
 
Joffrey Ouafqa : En période de crise, les constructeurs allemands résistent et gagnent des parts de marché sur les constructeurs français. Outre la qualité des véhicules d'outre-Rhin, ces derniers sont particulièrement bien adaptés à la demande. Les constructeurs proposent un vaste éventail de véhicules haut de gamme aux chinois en quête de statut social. Enfin, les constructeurs germaniques disposent d'une longueur d'avance pour l'organisation de la production. En particulier, la mise en commun de nombreuses pièces entre différents véhicules, pas forcément de mêmes niveaux de gamme, génère d'importantes économies d'échelle, permettant ainsi aux groupes allemands de dégager de plus fortes marges que leurs concurrents français.
 
 
 
Capital.fr : Peut-on espérer un rattrapage progressif des valeurs automobiles françaises, ou est-il préférable de miser sur d'autres constructeurs ?
 
Joffrey Ouafqa : A brève échéance, le secteur automobile dans son ensemble risque de se retrouver sous pression. Les constructeurs allemands ont noté en septembre une progression de leurs stocks en Chine, du fait de l'impact des incertitudes économiques et politiques dans ce pays. Une fois le flux de mauvaises nouvelles tari, il y aura des opportunités sur les valeurs automobiles allemandes, qui constituent à mon sens un meilleur pari que leurs homologues françaises. En effet, même si Peugeot et Renault affichent de plus bas niveaux de valorisation, ils sont justifiés, car nos constructeurs sont moins bien positionnés, ont des difficultés d'adaptation à leur environnement, produisent des véhicules de moins bonne qualité, sont moins bien organisés, et ils ont des difficultés à augmenter leurs prix...
 
 
 
Capital.fr : Dans l'immédiat, quelles valeurs recommandez-vous ?
 
Joffrey Ouafqa : A plus court terme, je privilégie des équipementiers, comme Michelin, relativement peu dépendant des cycles de vente de l'automobile.
 
 
 
Propos recueillis par Nicolas Gallant

conclusion :
 
Le Grand Bond en arrière - Wikipédia :
Le Grand Bond en arrière est un livre du journaliste Serge Halimi publié en 2004 (réédité en 2006) aux éditions http://fr.wikipedia.org/wiki/Fayard_(maison_d'édition)">Fayard et à paraître dans une édition poche revue et actualisée par l'auteur aux éditions Agone en octobre 2012. Le titre est un clin d'½il au Grand Bond en avant de Mao Tse-Toung.
 
Ce livre de 620 pages retrace l'histoire de la montée des idées « néolibérales » dans le monde d'un point de vue antilibéral. En restituant l'histoire politique et l'histoire des idées du XXe siècle, Serge Halimi explique comment le monde serait passé d'une économie où le rôle de l'État était essentiel (les politiques keynésiennes), à une économie de marché libérale.
 
Serge Halimi explique l'essor des idées des penseurs libéraux à travers le XXe siècle comme Friedrich Hayek ou Milton Friedman, et comment leurs idées ont pu recevoir un écho dans le monde politique conservateur américain (Ronald Reagan), puis anglais avec Margaret Thatcher, à travers des cercles de personnalités soigneusement sélectionnées[1] puis le financement d'institutions diffusant leurs idées (les think tank conservateurs[2]) par des grands dirigeants d'entreprises[3], et à travers la concentration des médias détenus par des capitaux d'entreprises privées[4].
 
Un compte rendu de lecture, par Jean-Marie HarribeyUne interview radiophonique de Serge Halimi, par Pascale Fourier, dans l'émission « Des sous et des hommes », sur Aligre FMUn entretien dans la presse régionale à propos du Grand Bond en arrière, 16 décembre 2004Un entretien radiophonique de Serge Halimi par Daniel Mermet dans l'émission Radio France "Là-bas si j'y suis", première diffusion le 2 juillet 2004. 

 
 
Un virus qui déchire l'Europe | ARTE
Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés
Covid-19 : «Le virus est avec nous pour toujours», prévient une spécialiste de l'OMS
Ma Petite Entreprise



 
Serge Halimi - Les Nouveaux Chiens de Garde [HD] :  
 

 Serge Halimi - «L'ère des Restaurations» [HD] :

 
Tags : PSA, peugeot, François Hollande, profit, licenciment, Le Grand Bond en arrièr, Le Grand Bond en arrière, Serge Halimi
​ 3 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (18.205.176.39) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le jeudi 11 octobre 2012 17:52

Modifié le mercredi 11 novembre 2020 13:11

le temps des sacrifices


 
 
Arnaud Montebourg n'accepte pas «en l'état» le plan de restructuration annoncé par PSA
Arnaud Montebourg a déclaré jeudi devant le Sénat : "Nous n'acceptons pas en l'état le plan" présenté par PSA, sans préciser les moyens de pression que le gouvernement pourrait faire jouer sur le groupe privé.
le temps des sacrifices
L'annonce jeudi par le constructeur automobile PSA Peugeot Citroën de la suppression de 8000 emplois et de la fermeture de son usine d'Aulnay, près de Paris, a provoqué un séisme en France qui a pris de plein fouet ce signal de la perte de compétitivité de son industrie. Le gouvernement s'attendait à cette annonce mais elle n'en a pas moins constitué "un "véritable choc" pour le pays, a déclaré le premier ministre Jean-Marc Ayrault, alors qu'une série d'autres plans sociaux se profilent à l'horizon.
 
le temps des sacrifices - indigné révolté, le temps des sacrifices - alterfinance, Chaplin Modern Times - Les Temps modernes http://www.youtube.com/watch?v=uwTY4_XJhFo , Charlie Chaplin-Modern Times.mpg ( 1H26 min)
 
La peur du système actuel, que les mesures atteignent le stade ou les peuples ne pourront plus les supporter et « De mettre à feu et à sang son économie et sa paix sociale ? »
une vidéo (entretien) quej'aime : Entretien avec Serge Halimi, journaliste au mensuel le Monde diplomatique, autour de son livre "Le grand bond en arrière" (Editions Fayard).
Comment est-on passé à un nouveau capitalisme orienté par les seuls verdicts de la finance ?
Emission France Inter "Là-bas si j'y suis" de Daniel Mermet, première diffusion le vendredi 2 juillet 2004.
 "Le Grand Bond en arrière
 

 
 

 
Philippe Varin, président du directoire de PSA Peugeot-Citroën, vendredi
 

 
 
 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
 
Ce qu'il a dit :
"Nous avons le coût du travail le plus cher en Europe et nous produisons 44 % de notre production en France, donc il faut baisser les charges qui pèsent sur le travail de manière massive."

 
Pourquoi c'est plutôt faux ? 
La France se classe certes dans le peloton de tête en matière de coût horaire du travail, mais elle reste moins chère que d'autres pays. Dans l'industrie automobile, le coût horaire est plus élevé en Allemagne qu'en France, selon l'Insee. 
Alors que le groupe PSA annonce un plan de 8000 licenciements et la fermeture de son usine d'Aulnay-sous-Bois,
 
1/ Le coût horaire moyen du travail en France n'est pas le plus élevé d'Europe
2/ Dans l'industrie non plus, il n'est pas le plus élevé
2/ Dans l'automobile non plus, on ne peut pas dire que le coût du travail français est "le plus élevé d'Europe"
3/ L'Allemagne est l'exception en Europe, et la comparaison est donc biaisée
 
 
 
ur ce dernier point, le paragraphe 11 évoque explicitement la nécessité de généraliser de tels efforts. Ce qui conduit le http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_de_la_Banque_de_Suède_en_sciences_économiques_en_mémoire_d'Alfred_Nobel" target=_blank>Nobel d'économie Paul Krugman à s'étrangler sur son blog :
 
« Pendant que les Espagnols réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Allemands, les Allemands réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Espagnols. Le progrès est en marche ! »
 
 
Les marchés jamais rassassiés


 
Peugeot ). Moody's a placé la note BA1 du groupe sous surveillance avec implication négative au lendemain de l'annonce de 8.000 suppressions d'emplois en France et de la fermeture du site d'Aulnay-sous-Bois. En outre, plusieurs brokers, dont Barclays et SG Cross Asset Research ont abaissé leurs objectifs de cours sur la valeur. Le président du directoire, Philippe Varin, a déclaré espérer que le plan pour la filière automobile que le gouvernement doit présenter à la fin du mois abordera la question du coût du travail en France. Il s'est par ailleurs dit prêt à présenter ses livres de comptes au gouvernement.

Blue Collar 
 

Ajouter cette vidéo à mon blog



 
 
Scandale financier à la CGC, le syndicat des cadres
Source : Capital.fr
07/06/2012
 
Selon nos informations, les commissaires aux comptes chargés de valider la comptabilité de la Confédération générale des cadres (CGC), le syndicat des cadres, ont alerté il y a quelques semaines le procureur de la République.
Ils auraient découvert que le président de la Confédération, Bernard Van Craeynest, était payé près de 140.000 euros par an par la confédération, une somme remboursée par Safran, l'équipementier aéronautique, dont il est en disponibilité.
Une autre ponte du syndicat, Danièle Karniewicz, ex-présidente de la caisse nationale d'assurance vieillesse (CNAV), actuellement en charge de la protection sociale, se serait pour sa part, fait rembourser près de 500.000 euros de frais par la CNAV et par la Confédération, pendant les six années de sa mandature.
Toujours selon les commissaires aux comptes, les secrétaires nationaux du syndicat auraient perçu chacun 1.500 euros par mois en plus de leur rémunération et de leurs défraiements officiels, en dehors de toute décision officielle des organes confédéraux. Les cotisations sociales afférentes n'auraient pas été versées. Un comité confédéral de la CGC se tiendra demain pour examiner les comptes et « obtenir des éclaircissements » sur ces dérapages. La séance risque d'être chaude.
Personne à la CGC n'était joignable dans la matinée.

Philippe Eliakim
 PDF]  Page 1 sur 9
 

CHAPITRE V
LA COMPLICITE DES CADRES
http://www.justice.gouv.fr/art_pix/scpc2005-5.pdf
 



 
C'est la question que je me pose en découvrant les mesures prévues par le gouvernement espagnol pour atteindre cet objectif de 65 milliards d'euros de dépenses en moins en deux ans et demi.
 
Angela Merkel, nouvelle Tchatcher européenne pourrait ne pas être sortie si perdante que cela du dernier Sommet européen. L'orchestration de l'annonce de nouvelles mesures de rigueur par le gouvernement Rajoy semble confirmer cette hypothèse : elle a eu lieu deux jours après que la Zone euro ait donné son accord pour le versement d'une aide de 30 milliards d'euros à destination des banques espagnoles.Angela Merkel, the new Maggie Thatcher ...

 
Difficile de ne pas voir un lien de cause à effet. Il semble assez clair que ces 65 milliards d'euros d'économies était la condition sine qua non imposée par l'Europe pour le versement de l'aide. D'autant plus que la Troïka (UE, BCE et FMI) a annoncé qu'elle se rendrait régulièrement dans la péninsule ibérique... pour examiner l'avancée des mesures de rigueur engagées par Rajoy ?
 
Parmi les mesures prises :
- baisse du salaire des fonctionnaires (via la suppression de leur 14e mois)
- baisse des allocations chômage
- et surtout augmentation de la TVA de 18% à 21% (elle avait déjà été revue à la hausse en 2009, passant de 16% à 18%).
Comme le rappelle Le Figaro, une telle augmentation de la TVA devrait correspondre à une dépense supplémentaire 415 euros par famille et par an.
 
Les  familles victimes de la précarisation rampante de l'Europe vont réduire leurs dépenses. Moins partir en vacances, ne pas changer de voiture aussi souvent qu'elle le voudrait, ne pas acheter un nouvel écran plat, réduire son budget loisir, etc. etc. Cela aura donc des répercutions sur la consommation.
 
Mais que se passe-t-il quand toutes ces dépenses ont été réduites à leur maximum et que nos famille ne parvient toujours pas à boucler ses fins de mois ? Elle ne va pas arrêter de s'alimenter, de se chauffer. Elle ne pourra accepter de ne plus avoir un toit au-dessus de sa tête. Quand les besoins fondamentaux sont atteints, nous atteignons le seuil de douleur, celui à partir duquel aucune économie supplémentaire n'est possible ou souhaitable.
Pour les Etats – démocratiques tout particulièrement – et les économies, il existe aussi un seuil de douleur. Une fois ce seuil atteint, deux conséquences :

1. Le gouvernement prend le risque de ne pas être réélu, voire renversé.
2. Le pays peut entrer dans une spirale déflationniste. Trop de rigueur fait fortement chuter la consommation et donc le PIB, enfonçant le pays encore plus dans la crise. C'est ce qui s'est passé en Grèce ; et l'Espagne semble prendre le même chemin.
 
Le cercle vicieux :
Examinons la situation économique espagnole. Le chômage dépasse les 23% sur l'ensemble de la population active mais plus de 50% sur la tranche des moins de 25 ans.
Dans le même temps, les aides en tout genre sont coupées, les salaires réduits et les impôts aussi bien directs qu'indirects augmentent. Or l'augmentation de la TVA va toucher sans distinction le chômeur, le retraité et le travailleur et réduire d'autant la consommation.
 
Prenez tous ces éléments, et secouez bien. Vous obtiendrez une formidable agitation sociale et une situation explosive.
 
Les dirigeants Espagne ont fait le pari que la réduction de l'endettement sera plus importante que la baisse du PIB due à la rigueur. C'est un pari risqué.
 
Parmi les autres exigences de l'Europe en préalable à une aide financière, le Financial Times qui la révèle. D'après les informations réunies par le journal, l'Europe presserait les banques espagnoles d'annuler certaines de leurs dettes (actions préférentielles et dettes subordonnées qui se retrouvent ensuite dans des "super-livrets"). Dettes estimées à 67 milliards d'euros.  ces dettes sont en très grande majorité détenues par de petits épargnants via des produits d'épargne très classiques. ".
 
Coup de froid venu du Nord
Dernière mauvaise nouvelle pour l'Espagne et la Zone euro :la Finlande refuse d'accepter le versement de l'aide aux banques ibériques sans garanties supplémentaires.
 
Pourquoi ? Plusieurs raisons à cela. Tout d'abord, le pays est lui-même touché par les conséquences de la crise de la dette souveraine et ne tient pas à aggraver l'état de ses finances. Mais aussi parce que le cas espagnol crée un précédent. Car le pays n'est pas le seul à être embourbé dans une crise bancaire majeure. C'est aussi le cas de l'Irlande qui s'est lourdement endettée pour sauver ses banques (63 milliards d'euros)... et qui depuis en paie le prix.
Les déclarations faites après le dernier Sommet européen laissent entendre que l'Espagne pourrait ne pas être le seul pays à bénéficier d'un sauvetage direct de ses banques par le MES. Des pays confrontés à une situation identique (i.e. l'Irlande, voire même le Portugal) pourraient se voir accorder « e même privilège »
La réticence dela Finlandeà accepter le sauvetage des banques espagnoles. Aux dernières nouvelles, le pays menacerait même de quitterla Zoneeuro pour se dégager de toutes responsabilités financières communes...
 
Le grand saut
L'été arrive tranquillement, la vie est douce, et les volumes échangés sur les marchés financiers sont toujours aussi menaçant vacances est arrivé servent a faire passer des mesures impopulaires comme le plan de PSA. . Les grands événements que sont la rentrée et la nouvelle année.
 
En Europe, « es problèmes persisteront autour du surendettement des Etats, mais il semblerait que, depuis peu, les marchés soient lassés et ne réagissent plus à ces mauvaises nouvelles. Gare au retour de bâton ! »
En Grande-Bretagne, « es menaces qui pèsent sur l'économie du pays découragent les marchés qui comptent sur de nouvelles stimulations monétaires »
 
Rien de bon à attendre des perspectives économiques japonaises ou chinoises. Le Kabuto Cho se prépare au doublement de la TVA, et la République populaire pourrait voir se développer une crise immobilière.
Les Etats-Unis sont devant toute une série d'échéances importantes, dont la plus importante sera l'élection présidentielle. La course au coude à coude des deux candidats ne devrait pas particulièrement influencer les marchés boursiers.
 
L'augmentation du plafond de la dette d'environ 15 000 milliards de dollars actuellement à environ 17 000 milliards de dollars aura plus de conséquences. La limite est déjà presque atteinte et son augmentation déclenchera des discussions houleuses au Congrès qui ne manqueront pas d'attirer l'attention des marchés sur le niveau absurdement élevé de l'endettement public du pays 
 
En début d'année viendra le temps des "sauts de falaises". Toute une série d'allégements fiscaux mis en place de manière temporaire pour stimuler l'économie vont prendre fin et, comme prévu, les coupes dans les dépenses vont automatiquement prendre effet.
 
« Wall Street se demande si ce changement brutal, appelé "fiscal clip", sera un frein pour la croissance, car cela pourrait coûter environ 4 à 5 points du produit intérieur brut. Cela va contraindre le ministre des Finances à faire quelques "sauts" qui pourraient s'avérer périlleux pour maîtriser cet écueil fiscal. Mais, sans doute, ce seront encore les assouplissements monétaires qui  seront considérés comme un moindre mal. »
 
Le 27 janvier 2010, Obama avait proposé comme remède à cette déroute le doublement des exportations américaines jusqu'en 2015. Comment s'est traduite cette bonne idée dans la réalité .
 
Le solde net du commerce des biens et services (exportations moins importations), en terme réel (c'est-à-dire après la déduction de l'inflation) est profondément dans le moins (ligne rouge).
 
En cherchant dans le moteur de recherche Google les mots clés : la chute du système capitalisme, "Le capitalisme touche à sa fin" : La concentration dans les médias en France (OFM), lLa Grèce confrontée à l'austérité : les Lettons y sont passés aussi – AFP La dette odieuse. Les leçons de la crise grecque
A qui la faute de la crise grecque ? Pour Jason Manolopoulos, d'abord à l'euro. Dénonçant " l'aveuglement collectif " des dirigeants européens, ...Les dessous du triple A. Agences de notation : récit de l'intérieur : Même si l'un des auteurs travaille dans une agence de notation et se dissimule ...
 
Reportage sur La Crise en Grèce ( durée 20 min)
 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
Plongez au c½ur de la Grèce actuelle et découvrez le portrait édifiant d'une jeunesse parfois dés½uvrée mais toujours combattive.


 
Documentaire - Grèce - le temps des sacrifices ( durée 54 min)
 

Ajouter cette vidéo à mon blog


 
Tags : Arnaud Montebourg, plan de restructuration, PSA, suppression de 8000 emplois
​ 2 | 0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (18.205.176.39) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 13 juillet 2012 03:08

Modifié le samedi 03 septembre 2016 06:56

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile