n
Flores Magon
J'ai le sentiment que les différences de classe sociale ne sont pas justifiées et qu'elles ne reposent en fin de compte que sur la violence.
EINSTEIN dans Comment je vois le monde (1934-1958)
Exploitation des travailleurs?
si les improductifs gagnent plus que les travailleurs,
les travailleurs sont exploités
car par leur travail, les travailleurs payent les charges qui financent les inactifs!
De plus, cette situation perverse décourage les travailleurs!

Contrairement à ce que prétendent bon nombre de "citoyens" en brandissant leur carte d'électeur, participer à ce rite païen, ce n'est pas prendre ses responsabilités, c'est les fuir,... c'est demander à quelqu'un d'autre de décider à sa place.
Voter ce n'est pas agir, c'est s'engager à ne pas agir, c'est admettre que ses propres actions soient interdites, décidées ou ordonnées par d'autres.
La construction d'une société nouvelle nécessite d'abattre jusqu'à la dernière pierre ce temple de l'exploitation qu'est la république. Mais cela nécessite avant toute chose que chaque individu refuse que d'autres parlent, décident, organisent et légifèrent à sa place.

Le système essaye de sauver coute que coute un système moribond : Guerre des devises, variations des taux de change, euro, dollar, yuan, yen...
Je le vois bien... Vous n'avez que faire de toute cette agitation sur le marché des changes. "Cela ne me concerne pas", vous dites-vous sereinement. Détrompez-vous ! Vous n'imaginez pas à quel point cela vous touche. Vous, votre compte bancaire, votre Livret A, votre argent.
Le pouvoir d'achat de votre argent est d'une volatilité extrême
Prenez l'euro/dollar par exemple. Quand l'euro/dollar grimpe, votre argent "prend de la valeur". Vous pouvez acheter plus de choses libellées en dollar avec un euro (des entreprises, des vacances, des biens, des services...).
Quand il baisse, au contraire, votre argent "perd de la valeur". Vous pouvez acheter moins de choses libellées en dollar avec un euro (oubliez vos vacances à l'étranger, elles vont vous coûter un bras...)

L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISE - source blog citoyenactif
Les états avaient le choix entre Se serrer la ceinture ou creuser les déficits , ils ont choisi de se serrer la ceinture, ils auront à la fois à se serrer la ceinture et un creusement des déficits. Pour repprendre le parallèle avec la citation de churchill : " ils avaient le choix entre la honte et la guerre. Ils ont choisi la honte, ils auront la honte et la guerre".
n
1) dégradation → tension brutale sur les taux → renchérissement du coût de la dette → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → tension supplémentaire sur les taux, etc. ;
et
2) dégradation → austérité forcée → récession → détérioration de la situation budgétaire et emballement de la dette → austérité renforcée, etc. – ( Frédéric Lordon )
> Le commencement de la fin - Frédéric lordon - La pompe à phynance
C'est là tout le paradoxe : si vous diminuez les dépenses de l'Etat, l'économie souffre. Le budget des ménages est réduit. L'économie souffre encore davantage. L'Etat a moins de revenus. Il réduit davantage ses dépenses les dépenses sociales et privatisent... et la faillite arrive encore plus vite ! Le point de non retour est atteint.
n
Rennes : 57 squatteurs évacués
Home ACTUALITE Flash Actu
Un squat où logeaient 57 personnes dont 24 enfants a été évacué ce matin à Rennes. Les familles, demandeurs d'asile ou personnes sans papiers, originaires pour la plupart du Caucase, mais aussi d'Afrique, ont été dirigées vers la préfecture qui se chargeait de trouver des solutions de relogement.Les occupants du squat, frappés par une décision de justice récente, s'attendaient à être évacués de cet immeuble appartenant à la société Free, a indiqué à l'AFP Carole Bohanne de "Un toit c'est un droit". - source : http://schema.org/Person" itemscope itemprop="author">Le Figaro.fr avec AFPle 03/06/2013
agence Reuters
le 03/06/2013 à 10:07" data-ago="il y a 3 heures" jQuery1910050604548002328054="44">le 03/06/2013
La France est aujourd'hui dans une situation pire que la Grande-Bretagne des années 1970, quand Londres dut faire appel à l'aide du Fonds monétaire international, et François Hollande doit choisir s'il veut être Harold Wilson ou Tony Blair, a déclaré Henri de Castries, PDG de l'assureur Axa. Dans une interview au journal dominical britannique Sunday Telegraph, il a estimé que la France doit s'inspirer des leçons britanniques.
"Le Royaume-Uni n'était pas en grande forme au début des années 1970', dit-il, en estimant que François Hollande a le choix aujourd'hui de devenir Harold Wilson, le premier ministre travailliste qui a dirigé le pays à cette époque, ou Tony Blair, autre premier ministre travailliste adepte d'une politique de "troisième voie" plus libérale. "Jusqu'ici, il est resté ambigu. J'espère qu'il choisira Blair. Je ne lui demande pas d'être Margaret Thatcher", déclare Henri de Castries.
La dangereuse accoutumance aux crises
Eberhardt Unger
Dans l'expression "crise de l'euro" que l'on retrouve dans tous les médias, le mot "euro" ne désigne pas la devise. La monnaie commune n'est pas en crise si l'on en juge par sa remarquable stabilité depuis plusieurs semaines.
De même, quand ils font allusion aux "tensions franco-allemandes", les médias veulent seulement parler du désaccord qui existe entre les deux gouvernements sur la meilleure façon d'optimiser la politique économique pour sortir de la crise. Le gouvernement allemand est pour une stricte politique d'austérité afin de réduire le déficit public le plus vite possible et le gouvernement français pense qu'il est préférable d'étaler cette action dans le temps.
La BCE appelle à des stratégies ambitieuses en matière de réduction de la dette. Selon elle, ce point est crucial car il n'y a pas de solutions alternatives. La BCE met en garde les gouvernements sur le fait que le redressement des finances publiques ne peut pas être repoussé plus longtemps car le haut niveau actuel de la dette publique freine la croissance économique, ce qui prive les caisses de l'Etat de nouvelles recettes. C'est avec ce discours que la banque centrale s'oppose fermement à tous ceux qui veulent plus de temps pour réduire les déficits budgétaires.
Parmi les principaux membres de la zone euro, c'est l'Allemagne qui a le plus progressé dans cette direction. .
Les autres grands pays de la zone euro visent également un déficit nul, mais devront probablement repousser l'atteinte de cet objectif de 2 à 3 ans en raison d'un taux de chômage élevé. La France, l'Italie et l'Espagne doivent affronter des manifestations contre les mesures d'austérité. Les marchés financiers font ressortir ces différences entre les pays via les écarts de rendements des obligations souveraines.
La Commission européenne prévoit que le PIB annuel baissera cette année dans la zone euro. En 2014, c'est une % dans la zone euro. La consolidation structurelle devrait être plus lente cette année que l'an dernier. Le ratio dette/PIB est prévu à 89,8% dans l'UE et 95,5% dans la zone euro.
La plus grande source de danger pour les marchés financiers réside dans l'expansion de l'agitation sociale. Le plus souvent, les populations des pays en crise tiennent pour responsable de leurs malheurs leur propre gouvernement. De ce fait, les politiciens qui veulent se faire réélire sont plus enclins à creuser encore les déficits plutôt que de maintenir une politique d'austérité ferme et repousse ainsi le règlement du problème du surendettement sur les futures générations.
Conclusion : parler continuellement de crises comporte un grand danger : s'y habituer. Cela veut dire que les gens vont penser que, finalement, la situation n'est pas si grave puisqu'elle dure sans vraiment de conséquences. Cet état d'esprit ne pourra que freiner la mise en place des réformes et conduira inévitablement à la prochaine crise sur les marchés obligataires.
Dr. Eberhardt Unger est un économiste indépendant, fort de plus de 30 ans d'expérience des marchés et de l'économie. Vous pouvez retrouver ses analyses sur le site www.fairesearch.de.
Conclusion :
Le " Modèle capitaliste" a vécu. On nous sort que les BRIC peuvent prendre le relais d'une croissance des pays occidentaux malades. et que le système capitaliste vivant par cycle ( court ou l'ong), la croissance devrait revenir en Europe après de nombreuses "casses sociales inévitables" car les pays ont été trop dépensiés, trop mauvaise gestion ou que le manque de compétitivité nuit à la croissance du pays. C'est oublié que depuis 30 ans, " l'état providence" hérité du fordime, qui au passage n'a jamais été généreux pour les salariés a été déctricoté par les réformes ou mesures des gouvernements de droites et de gauches en Europe ( A partir de 1980 : Reagan au Etats Unis, Tchatcher en Angleterre et Mitterrand en France)
Le risque d'une montée de l'extreme droite dans toute l'Europe se précise accentué par la " crise du fonctionnement du capitalisme" et de ces commerciaux ( François Hollande, Angela Merkel...)

un lien via Black Fab.Alors que le nombre de chômeurs/euses n'a jamais été aussi élevé et que la loi des patrons s'impose violemment aux travailleurs/euses. Alors que le camp réactionnaire et ses satellites fachos paradent fièrement dans la rue. Alors que les magouilles financières et politiques, du FN au PS, apparaissent au grand jour. Alors que le FN, en embuscade, brandit le drapeau du nationalisme et de la xénophobie... Il n'y a plus 36 solutions et l'heure n'est pas à rêver à un sursaut républicain : c'est toute la société et toute l'économie qu'il faut transformer.
Si Hollande se plie aux volontés des capitalistes, c'est parce que ce sont eux qui concentrent l'essentiel du pouvoir dans la société actuelle.
Le pouvoir de nous embaucher ou pas, de choisir notre salaire, notre temps de travail etc... La « démocratie » qu'ils nous accordent c'est uniquement les miettes de ce qu'ils veulent bien nous laisser gérer ! Communistes libertaires, nous pensons que la démocratie directe doit s'accompagner de la mise en commun des moyens de production.
C'est aux travailleur-se-s de décider de l'organisation du travail, aux citoyen-ne-s de décider de la finalité et de la répartition de ce qui est produit, d'évaluer les besoins de la société. La première étape démocratique c'est donc l'expropriation des patrons. Le reste n'est que vaine agitation.Afficher la suite

Pour moraliser la vie politique, il faut en finir avec le pouvoir patronal ! - source alternative libertaire Publié le 30 avril 2013 par Secrétariat Entreprises
Mais si la solution à la crise n'est pas dans la cure d'austérité qu'on veut nous imposer, elle n'est pas non plus dans la mobilisation nationale et le repli protectionniste : l'exploitation Made in France n'est pas plus douce et les salarié-es resteront les dindons de la farce. Alors comment faire ? En retournant le problème. Car l'enjeu ce n'est pas de sortir de la crise pour renouer avec la mythique « croissance ». L'enjeu, aujourd'hui, c'est d'en finir avec ce système qui, même réformé, même moralisé, n'en restera pas moins injuste, inégalitaire et violent. S'attaquer directement au capitalisme, ce n'est pas le délire de quelques rêveurs, c'est la seule chose raisonnable à faire si on veut reprendre notre destin en main et construire une société réellement solidaire et égalitaire.
Depuis un an, le patronat et la droite sont à l'offensive et Hollande ne fait même plus mine de s'y opposer. Ainsi, il ne s'est pas fait prier pour transposer dans la loi le fameux Accord national interprofessionnel signé par la CFDT et le MEDEF : les économistes libéraux et les patrons en rêvaient depuis 20 ans, le gouvernement PS l'a fait. Tout y est : restriction des recours face aux licenciements, légalisation du chantage à l'emploi, remise en cause du CDI... Et comme si ça ne suffisait pas, le gouvernement s'est même opposé à la mini-amnistie adoptée au Sénat pour les syndicalistes réprimés.
Face au patronat il nous faut donc compter sur nos seules forces. A nous de construire la riposte, par la mobilisation dans les quartiers, les entreprises et les lieux d'études, mais aussi en mettant en débat un projet de société alternatif au nationalisme et au libéralisme, de gauche comme de droite.
Démocratie directe partout !
Le système politique actuel est pourri de l'intérieur. Cahuzac n'est pas un cas isolé : du PS au FN, on trouve quantité d'exemples d'individus, sortant des mêmes écoles, multipliant les allers-retours entre le monde des affaires et les cabinets ministériels, refaisant au passage leurs carnets d'adresses. Comment croire que de tels personnages vont défendre autre chose que leurs intérêts personnels ou ceux de leurs semblables ?
Mais le « tous pourris » du FN est là pour masquer l'issue possible : une réorganisation complète de la vie démocratique. Face à cela, ce que propose le Front de Gauche c'est une « grande marche citoyenne pour la VIe République », comme si quelques modifications des règles du jeu institutionnel pouvaient suffire à changer en profondeur la société. Changer le personnel politique, en élisant des personnes « honnêtes », ou bien changer le système à la marge par des élections à la proportionnelle, sont de fausses solutions.
On ne peut pas se contenter d'un ravalement de façade : les élu-e-s doivent être comme des délégué-es, avec des mandats précis et limités, révocables à tout moment. Les décisions doivent être prises ou validées par les assemblées générales via une réelle démocratie directe dans les entreprises et les quartiers, puis dans les bassins d'activité et les villes. Et pareil aux échelons régionaux et nationaux.
Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23
Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé
Bruxelles businessCréé le mardi 20 mai 2014
Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014
La démocratie, c'est nous Créé le dimanche 11 mai 2014
Mains brunes sur la ville Créé le mardi 06 mai 2014
Foire aux questions abstentionnistes Créé le vendredi 28 mars 2014
L'Ukraine et'extrême droite ! Créé le samedi 08 mars 2014
Johnny s'en va-t-en guerre Créé le mardi 25 février 2014
Le complexe militaro-industrielCréé le dimanche 15 septembre 2013
Les receleurs en politique Créé le dimanche 18 août 2013
Les élus locaux dans le piège nucléaire Créé le samedi 07 septembre 2013
Dossier d'été: l'austéritéCréé le dimanche 28 juillet 2013
L(in)sécurité : Un champ de batailleCréé le lundi 22 juillet 2013
GaslandCréé le mercredi 10 juillet 2013
Florange, les lendemains qui déchantent Créé le samedi 06 juillet 2013
Ils ont voté Front NationalCréé le dimanche 09 juin 201
L'AUSTERITE PRECIPITERA LA CRISECréé le mercredi 05 juin 2013
Avons-nous vraiment besoin d'un Etat (pour s'autogérer)?Créé le mardi 10 septembre 2013
REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE Créé le samedi 07 septembre
Errico Malatesta Créé le mercredi 04 septembre 2013
Pierre Bourdieu sur l'Etat Créé le mercredi 21 août 2013
une conférence de Bakounine Créé le samedi 24 août 2013
extrait du programme et du manifeste des anarchistes mexicains 1911 Créé le vendredi 23 août 2013
Des héros ordinaires mis aux piloris Créé le dimanche 18 août 2013
À bas les chefs ! Créé le mercredi 07 août 2013
Tubo d'Ensaio : le curieux squat légal du Portugal Créé le dimanche 11 août 2013
Nés en 68Créé le vendredi 09 août 2013
Johnny Rotten : “En tant que roi du punk, je décrète cette loi : le punk n'a pas besoin de roi” Créé le samedi 03 août 2013
De la liberté, de la révolte Créé le samedi 27 juillet 2013
Génération Ferré Créé le lundi 15 juillet 2013
coluche, quand je serais grandCréé le vendredi 12 juillet 2013
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor HugoCréé le dimanche 07 juillet 2013
la résistance anarchosyndicaliste dans l'allemagne Nazie Créé le mercredi 19 juin 2013
Clément Méric agressé par l'extrême-droite Créé le vendredi 07 juin 2013
Quand l'hôpital retient son souffle
«C'est dur d'avoir 20 ans en 2020» : l'oubli révélateur de la maladie de nos sociétés
16:25 - Les Gafam préemptent également notre capacité à rêver - LIBERATION.FR
09:20 - Notre monde, c'est l'ailleurs - LIBERATION.FR
Diffusion intégrale du rapport sur les rassemblements de personnes.
Un Air de Révolution
A l'extrême droite du père
Tous égaux !
Ma soirée avec Boris Vian !
Peugeot pourrait faire faillite d'ici 2015"
Manifestation des Jeunesses Nationalistes à Paris du 29 septembre 2012 : essai non transformé
Les temps changent.... Le système reste !!
Clément Méric agressé par l'extrême-droite
Partage