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6 articles taggés Comédie dramatique

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Velvet Goldmine


 
 
 



 
n
Velvet Goldmine
Comédie dramatique réalisé en 1998 par Todd Haynes  
Avec Jonathan Rhys Meyers , Ewan McGregor , Christian Bale ...  
Date de sortie : 09 décembre 1998  
 

New York, 1984. Le «Herald Tribune» commande au journaliste anglais Arthur Stuart un article sur son ancienne idole, Brian Slade. Vingt ans auparavant, cette star du glam rock s'était offert une sortie fracassante en mettant en scène son propre assassinat, en plein concert. Alors qu'il retrace le parcours de Slade, Stuart se souvient de Manchester, la ville où il a passé son enfance et, surtout, se remémore sa jeunesse, fortement marquée par la figure et la personnalité charismatique de l'extravagant rockeur. Son enquête l'amène à rencontrer Cecil, le manager de Slade, Mandy, sa femme, et Curt Wild, qui fut son amant...
 
LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 09/12/1998
L'Angleterre du début des années 70 et la déferlante du glam rock, à la fois musique et « mouvance » de l'époque (lire page suivante), sont au coeur du nouveau film de Todd Haynes (auteur du sidérant Safe, en 1996). Mais Velvet Goldmine n'est pas un chapitre illustré de l'encyclo- pédie du rock. Plutôt la spéculation romantique, ouverte à toutes les chimères et éminemment personnelle d'un cinéaste, autour d'un temps révolu et de ses tapageuses figures de proue.
 

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Velvet Goldmine part1 - YouTube : , part 2 , part 3,  part 4, part 5,  part 6,  , part 7 , part 8, part 9
 

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 Le songe de Todd Haynes passe par celui d'un personnage : en 1984, Arthur, journaliste anglais expatrié à New York, se voit confier une enquête sur Brian Slade, ancienne idole du glam rock. La star s'est volatilisée, dix ans plus tôt, après un ultime concert assorti d'un assassinat canular sur scène. En fait d'enquête, ce sera pour le journaliste une recherche du temps perdu miniature : Arthur a été naguère un fan transi de Brian Slade. Cha- que témoignage qu'il recueille (celui du premier manager, puis de l'ancienne épouse et enfin de Curt Wild, rock-star new-yorkaise très underground, qui fut l'amant de Slade) produit sur lui l'effet d'une madeleine, ressuscitant les mille et une émotions de son adolescence troublée. Et le film s'emballe ainsi en un carrousel chatoyant de réminiscences et de fantasmes. Les références, les ressemblances non fortuites foisonnent.
 
 Brian Slade (interprété par Jonathan Rhys Meyers, nouveau venu, mélange d'instinct et de fragilité) évoque d'emblée David Bowie : , période Ziggy Stardust. Curt Wild (Ewan McGregor) a tout d'un ersatz d'Iggy Pop, étrangement mâtiné de Kurt Cobain (voir article ci-contre). Leur musique, leurs chansons forment un indescriptible alliage de morceaux d'époque réorchestrés, et de compositions nouvelles, « à la manière de »...
 

 
 
Quant à la structure étoilée du film, juxtaposition de témoignages pour tenter de reconstituer – en vain – la personnalité de Brian Slade, elle rappelle à dessein celle de Citizen Kane. Cette dernière allusion peut sembler dérisoire ou exagérément téméraire. Elle est à l'image de tout le film qui suggère qu'on a les héros qu'on veut. Seule comp- te l'intensité des passions qu'ils inspirent. Au-delà du folklore (extravagances scéniques et ves- timentaires, androgynie et bisexualité affichées) revisité par Todd Haynes, l'aspect le plus universel du film concerne la condition extrê- me de fan. Les flash-back sur l'adolescence d'Arthur montrent combien ses idoles de jeunesse ont mobilisé ses pensées, sa sensibilité et l'ont révélé à lui-même, à l'époque où l'achat d'un nouveau 33-tours de Brian Slade était pour lui l'événement le plus important du monde et justifiait qu'il se barricade dans sa chambre des heures durant, dans un état d'éblouissement et de honte mélangés. Pourtant, et c'est l'idée maîtresse du film, ce culte viscéral était voué à du vent. Brian Slade, Curt Wild et consorts n'ont été que de pures apparences, instruments virtuoses des puissances de l'illusion, héritiers d'une tradition du mensonge, que Todd Haynes fait remonter à Oscar Wilde , Oscar Wilde ( film) , selon une généalogie baroque et imagi- naire : un petit talisman circule entre les différents personnages – symbole de cette filiation de l'excentricité, du dandysme et de la décadence – dont le prologue révèle qu'il a appartenu à Wilde en personne.
 
Le jeu de pistes, de citations et de clins d'oeil pourrait tourner au galimatias, à la faveur du montage convulsif pratiqué par Haynes et du poudroiement de paillettes ou de plumes qui envahissent fréquemment l'écran. Mais, cette féerie miroitante et déjantée frappe au contraire par sa cohérence, son affinité avec l'esprit du glam rock tel que le cinéaste le conçoit : un tourbillon d'images, de sons et de signes trompeurs qui, à la fois, masquent du vide et atteignent à une réalité poétique et plus vraie, pourvu que groupies et idoles y croient ensemble, au même moment. La gueule de bois qui s'ensuit est sans rémission. Quand il s'agit des années 80 et des survivants de l'épopée glam, Velvet Goldmine s'apparente à un champ de ruines. L'ex-madame Slade (l'excellente Toni Colette, découverte dans Muriel, de Paul J. Hogan), repêchée, éteinte, au fond d'un bar, ne trouve pas ses mots.
 
Comment parler d'un vertige, une fois qu'il est passé ? Que dire d'un chanteur qui n'était qu'une surface ? Que faire, après l'embellie de l'ivresse ? La réponse de Todd Haynes est aussi radicale ou aussi ir- ritante – c'est selon – que son film, puisqu'elle est le film lui-même avec toute sa délectation nostalgique. Soit un aller simple pour le passé, en direction d'une contrée d'autant plus attirante qu'elle n'a jamais vraiment existé • Louis Guichard

Louis Guichard

Velvet Goldmine (Dir. Todd Haynes, 1998) -- opening on Vimeo :

Interview Jonathan - Velvet Goldmine :
 
 
 

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 Interview Ewan Mc Gregor - Velvet Goldmine : 
 
 

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BBC: Kings of Glam (2006) :  :
Profiling the leading men of the glam rock era, Lisa Tarbuck guides us through the glittering careers of Marc Bolan, David Bowie, Noddy Holder, Brian Ferry, Elton John and honorary glam king Suzi Quatro. Industry men including producer Tony Visconti, songwriter Mike Chapman and photographer Mick Rock give the insider angle to the work of these artists.
 
 

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David Bowie - The Very Best of 1969 to 1973 : This is a self-compiled collection of what I believe are the best Bowie songs from this era. This is the first of six collections regarding Bowie's best. The second collection (The Very Best of 1973 to 1976) is coming next month sometime.

Tracklisting:
01. Space Oddity - 0:00
02. The Prettiest Star - 5:16
03. The Man Who Sold The World - 8:27
04. Changes - 12:26
05. Oh! You Pretty Things - 16:03
06. Life On Mars? - 19:15
07. Queen Bitch - 23:09
08. Five Years - 26:28
09. Moonage Daydream - 31:11
10. Starman - 35:51
11. Lady Stardust - 40:05
12. Hang On To Yourself - 43:26
13. Ziggy Stardust - 46:04
14. Suffragette City - 49:18
15. Rock 'n' Roll Suicide - 52:43
16. John, I'm Only Dancing - 55:44
17. Velvet Goldmine - 58:33
18. The Jean Genie - 1:01:46
19. All The Young Dudes - 1:05:53
20. Aladdin Sane (1913-1938-197?) - 1:10:06
 
 

 
The Ziggy Stardust Companion - Velvet Goldmine - The Movie (1/2) :
 
Ziggy Stardust and the Spiders from Mars :  
 

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Perfect Age of Rock N Roll - Full Movie



David Bowie The Rise And Fall Of Ziggy Stardust - 1972 - Full Album :
 
 http://Top 10 Rock 'n' Roll Movies" href="http://top%2010%20rock%20%27n%27%20roll%20movies/">Top 10 Rock 'n' Roll Movies

 
Fragments d'une révolution


Tags : Velvet Goldmine, Comédie dramatique, film, comédie, drame, 1998, Todd Haynes, Jonathan Rhys Meyers, Ewan McGregor, Christian Bale
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#Posté le lundi 26 août 2013 17:33

Modifié le jeudi 30 novembre 2017 16:36

Dans l'oeil de Buñuel


 
 
 
 
 
 
 
 
n
C'était quoi Luis Bunuel ? - Blow up

 

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Dans l'oeil de Buñuel
"Inconformiste (sic) total", dit-il de lui-même dans un entretien d'archives. Et aussi : "Je suis athée, grâce à Dieu." Libertaire, subversif, marqué par la cruauté et la violence du monde, haïssant le jargon et la psychologie, adorant les blagues, tel fut Luis Buñuel, cinéaste majeur et inclassable. Il a laissé à la postérité plus de trente films, dont nombre de chefs-d'oeuvre, une autobiographie pleine de verve et quelques interviews également réjouissantes, qui font la matière de ce passionnant portrait. François Lévy-Kuentz a aussi interrogé ses proches (son fils Jean-Louis, ses amis Carlos Saura et Jean-Claude Carrière) et certains de ses acteurs (Michel Piccoli, Carole Bouquet, Angela Molina) pour explorer la vie et l'oeuvre de Don Luis.
Plaisir et inquiètude
 
Buñuel: Athée grâce à Dieu (2005) 1/3  , 2/3, 3/3

 
De sa naissance en 1900, en Aragon, dans une Espagne "médiévale" à son dernier tournage en France, (Cet obscur objet du désir, 1977), il retrace la trajectoire de l'un des cinéastes les plus originaux du XXe siècle, dont la production s'étend sur un demi-siècle, mais qui n'embrassa résolument son art qu'à partir de 50 ans. Iconoclaste, provocateur et grave à la fois, cherchant à faire éclater les règles narratives, à laisser libre cours à l'irrationnel, à bousculer l'ordre bourgeois, le cinéma de Buñuel demeure l'une des études les plus profondes de l'imbrication entre inconscient, ordre social et religion. L'oeil coupé du Chien andalou, la Cène moquée par les mendiants dans Viridiana, le cul-de-jatte dépouillé dans Los olvidados, la claudication de Catherine Deneuve dans Tristana, les bottines de Jeanne Moreau dans le Journal d'une femme de chambre... : autant d'images inoubliables, que l'on retrouve avec le plaisir mêlé d'inquiétude qui fait sa marque de fabrique. luis bunuel film complet

(France, 2013, 52mn)
ARTE F

Date de première diffusion : Aujourd'hui, 22h25
 



Dans l'oeil de Buñuel - ARTE


Thèmes : Documentaire, Cinéma & Fiction , Luis Buñuel, cinéaste, cinéma, surréalisme, Viridiana, Los olvidados, Catherine Deneuve, Tristana, Jeanne Moreau, le Journal d'une femme de chambre, Carlos Saura
 
n
Viridiana
Avant de prononcer ses voeux, la jeune et belle novice Viridiana doit rendre visite à un vieil oncle qu'elle connaît à peine, Don Jaime. Celui-ci vit seul avec ses serviteurs dans un vaste domaine qu'il laisse péricliter. La vue de la jeune fille l'éblouit, car elle ressemble trait pour trait à son épouse, décédée la nuit même de leurs noces. La veille du départ de Viridiana, il la convainc de revêtir la tenue de mariée de la morte, puis la supplie de l'épouser...
 
Anomalie
 
La pieuse héroïne, comme de juste, tombera de Charybde en Scylla avant de renoncer tout à fait à ses ambitions de rédemption. La scène finale du film ? le premier que tourna Buñuel dans l'Espagne franquiste ?, refusée par la censure, voyait la jeune femme entrer dans la chambre de son cousin Jorge, héritier du domaine, et refermer la porte. Malicieux, le cinéaste lui en substitua une autre beaucoup moins respectable, qui satisfit un temps les autorités. Que Viridiana ait pu ainsi représenter l'Espagne au Festival de Cannes représente en soi une anomalie aussi drôle et spectaculaire que celles que Buñuel a semées dans son oeuvre. Car il y anéantit avec délectation toutes les certitudes de l'idéalisme, en particulier de la religion, battues en brèche par la férocité du réel. Selon lui, c'est une violente critique de L'osservatore romano qui dessilla les yeux des censeurs, une fois la Palme d'or attribuée au film. Celui-ci fut en immédiatement interdit en Espagne et dut attendre la mort du Caudillo pour y être diffusé.

(Espagne, Mexique, 1961, 87mn)
ARTE F

Date de première diffusion : Hier, 23h20
 
Un cincéaste de notre temps: Luis Buñuel (with english subtitles)

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Thèmes : Cinéma & Fiction , Viridiana, Don Jaime, Buñuel, Franco, censure, Palme d'or, religion, Osservatore romano



 
 FILMLe journal d'une femme de chambre
Comédie dramatique réalisé en 1964 par Luis Buñuel  
Avec Jeanne Moreau , Jean Ozenne , Michel Piccoli ...  
Date de sortie : 04 mars 1964  
 

 ...  http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=le%20journal%>Le journal d'une femme de chambrede Luis Buñuel - YouTube
L'Age d'Or
 
Luis Bunuel - Un chien andalou (1929) - Film complet en Français
 L'âge d'Or de Luis Buñuel , film complet. - YouTube  
Susana (1955) Dir Luis Buñuel   
 Él (1952, Luis Buñuel)   
 http://www.arte.tv/fr#
Tags : Documentaire, Cinéma & Fiction, Luis Buñuel, cinéaste, cinéma, surréalisme, Viridiana, Los olvidados, Comédie dramatique, comédie, film, Michel Piccoli, Carole Bouquet, Angela Molina, Don Jaime, Buñuel, Franco, censure, Palme d'or, religion, Osservatore romano
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#Posté le lundi 01 juillet 2013 18:04

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:04

Volver


 
 
 
n
 
Volver :
Comédie dramatique réalisé en 2005 par Pedro Almodóvar  
Avec Pen Cruz , Carmen Maura , Lola Due ...  
Date de sortie : 19 mai 2006
 
"Volver" Pedro Almodóvar (2006) - Inicio - YouTube :
Raimunda et Soledad, deux soeurs, retournent dans leur village de la Mancha pour entretenir les tombes de leurs parents et rendre visite à leur tante Paula et à leur voisine Agustina. Quant elles rentrent à Madrid, le mari de Raimunda tente de violer leur fille, Paula. Celle-ci se débat et le tue accidentellement. Quand Raimunda revient de son travail, elle découvre le cadavre et s'en débarrasse dans le congélateur d'un restaurant dont le propriétaire lui a confié les clefs. Prise pour la maîtresse des lieux par un régisseur de cinéma, la jeune femme se reconvertit en cuisinière. Soledad lui apprend alors que la tante Paula vient de mourir...


:

LA CRITIQUE TV DE TELERAMA DU 12/05/2012
| Genre : fantôme d'amour.
 
En espagnol, volver signifie « revenir ». Un verbe dont les multiples sens hantent le film : revenir, pour Pedro Almodóvar, c'est filmer à nouveau la Mancha, sa terre natale. Revenir, pour l'actrice Carmen Maura, c'est renouer avec un cinéaste dont elle avait accompagné les débuts. Enfin, revenir, pour Irene, c'est rien de moins que resurgir d'entre les morts, dans le quotidien troublé de ses deux grandes filles, Sole et Raimunda. Dès la première scène, superbe, au cimetière, le deuil est à l'honneur. Celui des veuves et des orphelines, dans un mélange de ferveur et d'ardeur prosaïque. Peu importe la vraie nature du fantôme d'Irene. Ce qui compte, ici, c'est la manière dont il s'incarne. Une magie immanente, présence de chair, tendre et triviale. Volver est, à ce titre, le rêve d'un fils qui a perdu sa mère et qui s'offre ce miracle : l'étreindre à nouveau. Pour apprivoiser la mort, apaiser la douleur et la colère, réparer ce qui peut l'être. Volver regorge ainsi de drames enfouis mais brûle d'optimisme.
 
Un concentré de l'univers d'Almodóvar, pour l'humour, noir et décalé, pour la science du récit et pour l'amour des femmes. Parmi elles, Penélope Cruz empoigne le rôle de Raimunda avec une énergie farouche, une maturité qu'on ne lui connaissait pas. Elle apparaît transformée, ciociara coriace, reine de ce récit d'amour et de mort. — Cécile Mury
 
Penelope Cruz and Pedro Almodovar Talk Volver - YouTube :   Penelope Cruz and Pedro Almodovar talk about Volver at the 44th New York Film Festival, Lincoln Center, October 4, 2006. It's a little sloppy--I was far away, didn't have my tripod, and the crowd was out of control. Still some worthwhile moments so I slapped it together anyway. Enjoy
 

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VOLVER - PELÍCULA COMPLETA - HÉCTOR ALTERIO Y GRACIELA DUFAU - 1982   
 
 

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Watch Videos Online | volver | Veoh.com :

 
Making of de volver :
 

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Cécile Mury
Tags : Volver, Pedro Almodóvar, Comédie dramatique, film, Pen Cruz, Carmen Maura, Lola Due, Penélope Cruz
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#Posté le dimanche 28 avril 2013 15:33

Modifié le dimanche 28 avril 2013 15:46

La traversée de Paris


 
 
 
 
FILM
La traversée de Paris
Comédie dramatique réalisé en 1956 par Claude Autant-Lara
 

En 1943, en pleine Occupation, à Paris. Marcel Martin, un chauffeur de taxi réduit au chômage par la pénurie d'essence, survit en transportant clandestinement de la viande destinée au marché noir. Il doit absolument trouver un remplaçant à son coéquipier, qui vient d'être arrêté par la police. Dans un café, il rencontre le mystérieux Grandgil, qu'il prend pour un plâtrier au chômage. Celui-ci accepte de travailler pour lui. Ensemble, ils se rendent chez Jambier, un épicier de la rue Poliveau, qui les charge de livrer un cochon, réparti en quatre valises, à un boucher de la rue Lepic, c'est-à-dire à l'autre bout de la ville. Les deux hommes devront traverser tout Paris à leurs risques et périls...
 
LA CRITIQUE TV DE TELERAMA DU 19/12/2009
Film de Claude Autant-Lara (France, 1956). Scénario : Jean Aurenche, Pierre Bost, d'après Marcel Aymé. 80 mn. NB. Avec Jean Gabin : Grandgil. Bourvil : Marcel Martin. Louis de Funès : Jambier.
Genre : la petite vadrouille
 
.
« Salauds de pauvres ! » : la réplique d'Aurenche et Bost est restée célèbre. Tout comme la colère homérique de Gabin contre tous les Français lâches, profitant de l'Occupation pour s'enrichir : « Admirez le mignon, sa face d'alcoolique, sa viande grise et du mou partout, les bajoues qui croulent de bêtise. Et l'autre rombière, la guenon, l'enflure, la dignité en gélatine, avec ses trois mentons de renfort et ses gros nichons en saindoux qui lui dévalent la brioche... »

Sous la caméra de Claude Autant-Lara, « ce boucher qui s'obstine à faire de la dentelle », disait Truffaut, l'odyssée minable d'un pauvre type et d'un artiste peintre, faisant du marché noir dans le Paris nocturne de 1943, devient un règlement de comptes avec l'ignominie ordinaire, une mini-fresque sur la barbarie à visage humain. Réalisé durant les Trente Glorieuses, qui voulaient oublier les ombres noires de l'Occupation et qui croyaient, même vaguement, en l'avenir de l'homme, le film choqua. Aujourd'hui, il devrait séduire à 100 %, puisque le cynisme, le doute et la sus­picion sont pratiquement devenus des règles de vie. Avec Douce (plus subtil) et Occupe-toi d'Amélie (plus bouffon), La Traversée de Paris reste le chef-d'oeuvre noir d'Autant-Lara : du vitriol pur jus. Après quoi le cinéaste, toujours poussé par un ardent anarchisme de gauche, sombrera dans un extrémisme détestable. Au point de devenir un de ces médiocres que ses premiers films ridiculisaient si bien.


Pierre Murat


n
La traversée de Paris 1 - Vidéo Dailymotion : part 1,  
 
 

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 suite (2) :   

 

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suite (3) :
 

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 suite ( 4) :
 

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 suite ( 5) :
 

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Tags : La traversée de Paris, film, Claude Autant-Lara, France, 1956, Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès, comédie, drame, Comédie dramatique
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#Posté le mercredi 23 janvier 2013 10:13

La fée


 
La fée
Comédie dramatique réalisé en 2011 par Fiona Gordon, Dominique Abel, Bruno Romy
Dom travaille comme veilleur de nuit dans un hôtel sans charme du Havre. Il s'occupe de deux clients. Tout d'abord un Anglais qui a des problèmes avec son chien. Puis une fée. Du moins, Fiona se présente-t-elle ainsi. Et sans doute l'est-elle, au moins assez pour réaliser le premier des trois voeux qu'elle lui offre : un merveilleux scooter bleu à la place de son vieux vélo fatigué. Le second voeu ne pose pas plus de problème. Puisque Fiona a les clefs du réservoir du port pétrolier, Dom aura de l'essence en permanence. Là-dessus, Fiona disparaît. Dom se lance à sa recherche et la retrouve dans un hôpital psychiatrique. L'évasion s'impose. La réussite est totale...
 
LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 14/09/2011
L'office du tourisme de la ville du Havre peut se frotter les mains. Cette année, pas moins de  (Lire la suite) "la fée" le film, interview avec Dominique Abel ... :

 
 

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 Cannes (21/05) : La Fée d'Abel, Gordon et Romy ... :
 

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Tags : La fée, comédie, Comédie dramatique, 2011, Fiona Gordon, Dominique Abel, Bruno Romy
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#Posté le mardi 15 janvier 2013 16:58

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