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Black panthers, agnes Varda, 1968






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Philadelphia George Floyd protest


“Black Panthers” d'Agnès Varda est disponible en ligne (et gratuitement !)
52 ans avant la mort de George Floyd, Agnès Varda racontait dans un documentaire les violences policières aux Etats-Unis. Face à l'actualité, MK2 met l'½uvre de la cinéaste française en ligne gratuitement.
Philadelphia George Floyd protest

 
 

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Un documentaire à découvrir ici.
 
>> A lire aussi : 20 films dénonçant le racisme et les violences policières

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The Black Panthers - All Power To The People (Documentaire complet en Français et Vostfr)

 
“Black Panthers” d'Agnès Varda est disponible en ligne (et gratuitement !)


>> A lire aussi : Spike Lee dénonce la mort de George Floyd dans un court-métrage glaçant
Tags : racisme, violences policières, George Floyd, Agnès Varda, Etats-Unis, Philadelphia, protest
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#Posté le mardi 16 juin 2020 02:55

Modifié le mardi 16 juin 2020 03:12

Le mystère POUTINE

n
Le mystère POUTINE
 
"Surtout, souviens toi que l'homme qui sollicite tes suffrages, est de ce fait , un malhonnête homme , parce que en échange de la situation et de la fortune ou tu le pousse, il te promet des tas de choses merveilleuses qu'ils ne te donnera pas et qu'il est d'ailleurs pas en son pouvoir de te le donner"
 
Si infame que soient les canailles, ils ne le sont jamais autant que les honnêtes gens.
 
Octave Mirabeau


Discours de Tommy Douglas en 1944 au Canada accompagné d'un dessin animé. Né en Ecosse, Thomas Clement Douglas (1904-1986) a été premier ministre socialiste du Saskatchewan de 1944 à 1961.
 
Gouvernement des chats au pays des souris - YouTube



Alors que les élections russes se déroulent le 18 mars 2018, ce documentaire exceptionnel raconte, dans les coulisses, les relations de nos dirigeants avec Vladimir Poutine, de sa réélection à la présidence russe en 2012 à aujourd'hui. Six années qui ont changé la Russie et le monde.
 
Le mystère POUTINE
Russie : les apparences sont trompeuses. Poutine n'est pas le seul candidat à la présidentielle.
 
Une opposition en forme de carton :
Avec près de 20% des intentions de vote, Vladimir Poutine semble bien parti pour l'emporter, dés le premier tour dimanche, l'élection présidentielle russe, et ainsi rempiler pour un quatrieme mandat. Il a pourtant en face de lui 7 concurrents, tous autoriser par le Kremlin, et plus ou moins factices. Je reviens sur les trois principaux profils.
 
 
Ksenia Sobtcka, 36 ans, société civile, 1-2% d'intention de vote. En l'abscence d'Alexei Navalny - avocat blogueur dont la candidature a été rejettée par la Comission électorale - l'ex -jet-setteuse et ex-animatrice télé représente l'opposition la "plus crédible" à Vladimir poutine, quoique des soupçons de candidature téléguidée par le Kremlin pèse sur elle. Ksenia Sobtcka est en effet la fille d'Anatoli Sobtcka, ex maire de Saint-Petesbourg et mentor de Poutine. " Contrairement à l'image donnée d'elle, c'est quelqu'un d'intelligent et de sérieux (...). Il ne faut pas sous-estimer, bien que son heure ne soit pas pour le 18 mars.", estime le directeur de l'Observatoire franco-russe, Arnaud Dubien. Politologue au centre des techniques politiques de Moscou, tatiana Stanovaya souligne qu'elle a su investir le créneau " libéral, progressiste, pro droit de l'homme et en faveur de la liberté d'expression".
 
Pavel Groudinine, 57 ans, parti communiste, 5-10% d'intentions de vote. L'ancien du parti de Poutine, Pavel Groudinine est désormais "vaguement communiste" tout en étant à la tête d'un empire agro-industriel " capitaliste" , décrit Arnaud Dubien. En l'occurrence, le Sovkhoze Lénine, ex-ferme d'Etat spécialisée dans les fruits et les produits laitiers, qui lui a rapporté 2.2 millions d'euros sur les six dernières années. " L'idée est de rajeunir l'image du PC russe après que Guennadi Ziouganov ( président du parti qui, pour la première fois depuis la fin de l'URSS, ne se représente pas à la présidentielle), et il est bon à la télévision" , ajoute Arnaud Dubien " Ziouganov avait peur de finir troisième du scrutin. Si Groudinine, remplaçant temporaire, finit troisième, ce sera la catastrophe pour Ziouganov" analyse Tatiana Stanvonaya. 
 
Il avait débuté sa campagne électorale sous le label du millionnaire rouge mettant sa fortune au service du peuple, du communiste moderne affranchi des dogmes. Le candidat du Parti communiste russe (KPRF) à la présidentielle du 18 mars, l'achève, éreinté par la télévision d'État, rejeté par les mains qui l'ont nourri, jetant tout entier son sort dans les sondages d'opinion qui le placent, contre vents et marées, à la deuxième place avec plus de 7 % des voix, très loin derrière Vladimir Poutine, mais susceptible néanmoins de régénérer un parti vieillissant.
» LIRE AUSSI - Russie: Poutine vers un quatrième mandat sans programme économique ...

 
Vladimir Jirinovski, 71 ans, parti libéral- démocrate, 5-10% d'intention de vote. L'inoxydable trublion d'extrême droite enchaîne sa sixième candidature à une présidentielle. " Il joue le même role depuis 1991, souligne Tatiana Stanovaya. C'est quelqu'un qui attire le vote protestataire et permet de neutraliser le mécontentement. On peut le comparer auFront National en France, à la différence que le FN n'est pas téléguidé par l'Elysée"
 
 Un dernier mandat pour Poutine?
Vladimir Poutine en lice pour son quatrième mandat a assuré n'avoir aucune intention de modifier la Constitution (qui interdit d'effectuer plus de deux mandats consécutifs) en vue de rester au Kremlin au-delà de 2024. Accusé par ses détracteurs de vouloir rester au pouvoir indéfiniment, il a déclaré lors d'un entretien télévisé le vendredi 9 mars: «Je n'ai jamais modifié la Constitution, je l'ai encore moins fait pour que cela m'arrange et je n'ai aucune intention de ce genre aujourd'hui».
 
Élu pour la première fois à la tête de l'État en 2000, il avait déjà affirmé en 2007 (arrivant au terme de son second mandat) ne pas vouloir changer la Constitution pour être à nouveau élu président. Cependant, il avait pris la tête de la campagne législative en décembre 2007, au sein du parti Russie unie, afin de garder un certain pouvoir en devenant chef du gouvernement. Et s'était déclaré en faveur du candidat Dimitri Medvedev à l'élection présidentielle, pour ensuite revenir à la tête de l'État en 2012.

 
Poutine, le règne sans partage 
RÉCIT - Après dix-huit années passées au sommet de l'État, le président russe est en route pour un quatrième mandat.
 
 

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Le mystère POUTINE - Documentaire France 2 - YouTube
 
Vladimir Poutine devrait largement être réélu ce dimanche pour un quatrième mandat à la tête de la Fédération de Russie. À cette occasion nous retraçons le parcours d'un dirigeant populaire dans son pays mais controversé en Occident et qui a basculé progressivement dans une confrontation avec l'Ouest.
 
De Poutine I à Poutine III : retour sur 20 ans d'un pouvoir de plus en plus musclé
 



À quoi servent les formations politiques ?
Au pays des souris
 
Les affaires, la personnalisation, les renoncements condamneraient-ils désormais les formations à l'inutilité ? Les partis politiques seraient-ils morts ? En 1944, le Canada se trouvait confronté à des questions similaires. Le dirigeant politique canadien Thomas Douglas imagina alors la parabole suivante.



Le mystère POUTINE

17 mars 2018 La Vengeance de Poutine
16 mars 2018 Guerre de l'info : au coeur de la machine russe
 
À quoi servent les formations politiques ?
Au pays des souris


15 mars 2018 Bachar, moi ou le chaos 
Home - Actualité  - International - Présidentielle en Russie : mode d'emploi d'une élection sans suspense - Par   Marie-Alix Dagry  AFP, Reuters Agences 



Le Système Poutine, 26/03/2016 


Sommaires : 
Le sommaire du blog, le sommaire 2 du blog, Le sommaire 3, Somaire 4, sommaire 5, Sommaire 6,  
sommaire 7 , Sommaire 8 , Sommaire 9 , Sommaire 10 , Sommaire 11
Tags : chronique d'une hégémonie, De l'URSS à la Russie, DHS, documentaire, Etats-Unis, europe, informatique, infrastructures, La Vengeance de Poutine, opérateur d'importance vitale, Russia, Russie, sabotage, Skripal poisoning, Tagsattaque, United Kingdom, US-CERT, Guennadi Ziouganov, Pavel Groudinine, Ksenia Sobtcka, élection, International, Octave Mirabeau, Dimitri Medvedev, Thomas Douglas
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#Posté le samedi 17 mars 2018 09:04

Modifié le dimanche 30 septembre 2018 15:14

"I Love Democracy : USA "

 
n
C'est une histoire qui commence par la fin : la fin du monde. Cinq minutes d'ouverture, sur les notes déchirantes de Tristan et Iseult, pendant lesquelles Lars von Trier présente tous les motifs du récit avec une puissance symbolique rare. Ces cinq minutes renversantes lancent, en majesté, le film le plus accompli du cinéaste danois.
Flash-back en deux mouvements sur les derniers jours de l'humanité
 
LA HAINE Bande Annonce
 
C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien. » Mais l'important, c'est pas la chute. C'est l'atterrissage.
La Haine, Hubert

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I LOVE DEMOCRACY USA EXTRAIT 1 - YouTube 
Le prix du rêve américain. A en juger par le taux de chômage à la baisse et les créations d'emplois, la crise économique semble n'être qu'un lointain souvenir aux Etats Unis. Or la croissance retrouvée masque une précarité aggravée chez les pauvres.Le Rêve Américain - sous-titré français- partie 1/2 - YouTube  https://www.youtube.com/watch?v=uN8aDopGYUE  Mardi 1er ocotbre 20h45 sur France 5 
 
«Vous pouvez changer si vous n'êtes pas satisfait du produit»
Donald Trump, à l'adresse des électeurs qui ont voté de manière anticipée
 
Quel président pour l'Amérique ? Clinton contre Trump - ARTE Documentaire 2016 HD
 
Présidentielles US : Revivez le deuxième débat Trump-Clinton en intégralité

  n politique !!
 
Obama sert la pogne à Trump, Sarko sert la pogne à Marine, Hollande sert la... merde, y'a personne !!
Ah, des poignées de mains y'en a en pagaille ...on voit qu'on est en période électorale...des poignées de mains fuyantes.. voire "glissantes" Les "illuminati" seront aussi de la partie ! 
Un "parti" émerge .. pas vraiment un parti d'ailleurs, une idée seulement une idée !
Si les "chercheurs de voix" n'en trouvent aucune, ils vont creuser pour en obtenir... et là, ils ont trouvé.. ""on va forer"" le cerveau du citoyen... et si possible effectuer une ablation de ce qui reste de pensées positives.. Alors on te présente ce qui pour sûr va sauver le "monde capital pour la survie d'une poignée ".. le français moyen !
très moyen d'ailleurs puisqu'il se gausse d'un "Brice" qui nous fait oublier de pleurer sur des êtres chers pour encenser une planche de surf ! Mais oui Français moyen ..je te traite de con... faut l'accepter... ou continuer à être con !
mais je te connais français.. quand t'es au pied du mur..tu te révoltes.. et ben là, ça y'est tu t'y trouves.. alors """"ne va pas voter"" ..abstiens toi !

 n 
 “How the US elections work #Election2016 #ElectionDay
Favorite Films ‏@beautfilm 

 Anxieux, les démocrates du Colorado craignent les incidents
Pour l'emporter contre Hillary Clinton, le républicain doit s'imposer dans plusieurs Etats-clés et miser sur une moindre participation des femmes, des jeunes, des Afro-Américains et des Latinos. Le scandale des e-mails a fait naître des inquiétudes chez les démocrates de cet Etat requalifié comme « indécis ». L'équipe de Hillary Clinton s'y active pour faire la différence.
 
«Cela ne devrait même pas être discutable. Comment cette personne pourrait-elle être votre voix ?Nous devons arrêter de penser que son comportement est normal»
Barack Obama


Lire aussi :   Comment Donald Trump pourrait gagner. n USA: enquête sur l'incendie d'une église noire Etats-Unis: deux policiers tués dans l'Iowa  a rapporté la chaîne de télévision américaine NBC.
 Élections américaines : une campagne sous le signe du rejet et de la peur Mais selon un sondage publié vendredi par leNew York Times, 82 % des électeurs se disent «dégoûtés» par cette bataille outrancière pour la Maison-Blanche, qui dure maintenant depuis plus de 500 jours. À peine 13 % se déclarent «enthousiastes». Cause ou effet, l'impopularité des deux candidats bat des records

01 Léo Ferré Ils ont voté

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Selon les sondages, 70 % des Américains ont confiance dans leur système électoral. Mais plus de 40 % des électeurs de Trump en doutent et plus d'un quart ne serait pas prêt à accepter sa défaite. La tension ambiante a été illustrée cette semaine par l'incendie d'une église noire dans le Mississippi sur laquelle avait été peint: «Vote Trump».
 
Le camp républicain ne cache pas ses efforts pour décourager la participation des électeurs démocrates. «Nous avons engagé trois opérations majeures de suppression du vote, ciblant les jeunes, les femmes et les Noirs», a confié à Bloomberg un responsable de la campagne. En Caroline du Nord, la justice a invalidé une loi qualifiée «d'attaque chirurgicale» contre la participation des Afro-Américains. Des supporteurs de Trump comptent «surveiller» le vote dans les quartiers urbains où vivent les minorités. À Philadelphie, où la moitié de la population est noire, des pasteurs enrôlent leurs ouailles pour contrer d'éventuelles intimidations.

USA: enquête sur l'incendie d'une église noire 
 

.....................POUR L'ABSTENTION...................
 
http://kropot.free.fr/CNT-abstention.htm*
N'en doutons pas une seconde, à la lumière de l'Histoire et de décisions arrogantes comme celle-là : nos dirigeants sont prêts à tout pour préserver leurs intérêts, même à nous prendre la vie.
D'autant plus qu'ils la volent déjà : chair à patrons, chair à canons. Ces mêmes maitres qui ont envoyé les poilus au casse pipes exprimé dans des films comme Un long dimanche manech, Un Long Dimanche De Fiançailles L'exemple d'une attaque sur le front, Rien que pour emmerder le secrétaire d'État auprès du ministre de la Défense qui n'aime pas cette chanson La chanson de craonne-1917, Chanson de Craonne
 


 

Raoul Nasri "j'aime pas trop bastamag qui nous inclue du rahbi (trop souvent à mon gout) ,mais je suis bien d'accord sur le fond....l'état d'urgence est un prétexte à trop de dérives"
 
nLe libéralisme, qu'il soit ou non qualifié de «néo», a pour but de faire totalement disparaitre le contenu social du concept «travail».
En ce sens, cette loi scélérate est un gage que lui donne l'actuel gouv'. En vu d'une disparition de toutes formes de contrôles, afin d'emmener les populations dans une totale insécurité :Pour la première fois depuis un demi-siècle, une manifestation syndicale est frappée d'interdiction à Paris. L'attitude du gouvernement vis-à-vis des opposants à la loi Travail et, surtout, le contenu de cette loi, montrent un durcissement en cours : pas celui de la CGT ou de « l'extrême gauche » mais « de l'offensive oligarchique dirigée contre les droits sociaux et économiques des citoyens ». Car derrière la loi de Myriam El Khomri, c'est un nouvel ordre social qui pointe. Un ordre où les plus fragiles devront être les plus flexibles, pour le seul bénéfice du taux de marge des entreprises et de leurs actionnaires. Pourquoi la loi Travail et les interdictions de manifester révèlent une radicalisation de... (...) BASTAMAG.NET


 
Assurer la sécurité de Trump et de sa famille coûte 1 million de dollars par jour. C'est le quart de ce que ça a coûté pour Obama en 2016... dépensé en 24 heures.New York aimerait ne pas payer de sa poche les dépenses de sécurité pour Donald Trump et sa famille
 
Etats-Unis: dissensions dans l'équipe Trump
L'équipe de transition de Donald Trump, de modéré Mike Rogers .Ancien représentant du Michigan,Mike Rogers était chargé des questions de sécurité nationale au sein de l'équipe.Ce changement pourrait freiner le travail avec la Maison blanche.  avant que des réunions ne puissent être organisées, agence par agence, pour assurer la transition, a, l'investisseur Carl Icahn. Le trésorier de campagne et ancien de Goldman Sachs Steve Mnuchin est pressenti au Trésor tandis que le milliardaire Wilbur Ross irait lui au département du Commerce


13:13Etats-Unis : Steven Mnuchin, ancien de Goldman Sachs, nommé secrétaire au Trésor le 30/ 11/2016 Alors que Donald Trump n'a eu cesse de fustiger « les élites de la finance » pendant la campagne présidentielle, Steven Mnuchin, qui a travaillé pour la banqueGoldman Sachs, annonce qu'il sera secrétaire au Trésor dans la prochaine administration américaine. 
 

Jamais un gouvernement américain n'aura rassemblé autant de grosses fortunes que celui nommé par le futur président américain.
 
Lorsque le président républicain George W. Bush a formé son premier gouvernement en 2001, les médias ont aussitôt parlé d'un club de milliardaires et les critiques se sont demandé si ces gens pouvaient vraiment être conscients des problèmes rencontrés par la plupart des Américains.
À eux tous, les membres de ce club pesaient environ 250 millions de dollars, soit un dixième environ du patrimoine du seul futur ministre du Commerce des États-Unis.
Donald Trump est en train de mettre sur pied le cabinet le plus riche de l'histoire américaine moderne. Les personnes à qui il va confier les plus hautes fonctions incluent plusieurs milliardaires, l'héritière d'une immense fortune familiale et deux milliardaires certifiés par 
Forbes, dont la famille de l'un pèse autant que le magnat de l'industrie Andrew Mellon lorsqu'il était ministre des Finances il y a presque cent ans.
À en croire les rumeurs sur les candidats aux autres postes, Trump pourrait bientôt ajouter quelques grosses fortunes de plus.
De riches héritiers
Nombre des personnalités nommées par Trump sont nées riches, ont fréquenté des écoles d'élite et ont continué à accroître leur fortune à l'âge adulte. Mis ensemble, ils ont beaucoup plus d'expérience dans le financement de candidats politiques que dans la direction de ministères.
Leur richesse collective contredit à bien des égards les promesses populistes de Trump pendant sa campagne. Leurs liens avec le monde
[...]
États-Unis. Trump et son équipe de milliardaires
» Le gouvernement de Donald Trump, un club de milliardaires
Les milliards de Moscou - Documentaire ARTE HD
 
 
Elephant 2003 - Elias McConnell, Alex Frost, Eric Deulen

 
 
 
 
Documentaire - Les americains et les armes



Une peine infinie
n«Une peine infinie», l'absurdité à perpétuité
 
Le réalisateur David André a reçu, samedi 14 mai à Tunis, le prix Albert Londres pour son documentaire “Une peine infinie, histoire d'un condamné à mort”, diffusé le 24 mars sur France 2. Dix ans après son reportage sur une exécution capitale dans l'Oklahoma, le documentariste était retourné voir les protagonistes du drame (familles, bourreaux) pour tenter d'apprendre ce que cette exécution leur avait apporté.

 
30/03/2012 Une peine infinie
«Une peine infinie», l'absurdité à perpétuité - Libération 
 
  
UNE LONGUE PEINE
La perpétuité, vingt ans, trente ans, est-ce utile pour la société et pour les détenus? Portrait d'un homme condamné à une très longue peinequi tente de ne pas mourrir intérieurement...
Tournage pendant cinq semaines dans le quotidien de la maison Centrale d'Ensisheim en Alsace.


 

Télévision , Etats-Unis , France 2 , peine de mort , prison , Prix Albert Londres


A l'honneur Prix Albert Londres pour David André Propos recueillis par Hubert Prolongeau Publié le 15/03/2011. 

 
 Pour exister, la classe capitaliste a besoin d'employer la force de travail pour faire tourner ses entreprises. La grande classe sociale, largement majoritaire dans la population, qui fournit à la nation la force de travail nécessaire à la production, n'est autre que la classe ouvrière. Cette dernière est démunie de tout capital, en tant que moyens de productions – et capacité d'employer – mais son patrimoine s'est largement accru en quelques générations. Parce qu'elle s'est battue, la classe ouvrière vit plus confortablement, et a conquis une transformation avantageuse de l'économie par l'interdiction du travail des enfants, la réduction du temps de travail ou la nationalisation de grandes entreprises. La Sécurité sociale, en tant que mise en commun des risques pour subvenir aux besoins des familles, des malades et des vieux, est également l'½uvre de ses luttes. Bien sûr, il n'existe pas que la grande bourgeoisie et la classe ouvrière. Il existe une petite bourgeoisie, qui détient un capital suffisant pour faire tourner une petite affaire commerciale, artisanale ou libérale ; mais ses unités de productions, par la loi du marché, sont entièrement assujetties aux grands groupes. Ces derniers, comme les services de l'Etat et autres organismes publics, sont administrés par un ensemble de cadres et directeurs qui forment la classe intermédiaire. Celle-ci dirige l'économie, organise la production, mais elle le fait pour le compte exclusif de la grande bourgeoisie propriétaire.
 
A lire Pourquoi le Front National est à la botte du système, en trois leçons LEBILAN.FR

 

 
--- Lettre à nos cousins d'Amérique ---
La politique est essentiellement l'art de la manipulation des apparences, du faux-semblant, du stratagème, des jeux à trois bandes, du coup d'État permanent, de la mauvaise foi et de la domination, bref : du mensonge efficace. Quoi de plus logique que d'élire comme président un menteur patenté. Ceux qui voient dans cette élection le triomphe d'une politique de la « post-vérité » parce que le vainqueur du jour ne s'est jamais soucié de « respecter les faits » tentent lamentablement d'occulter l'évidence que s'il a été élu, c'est précisément parce qu'il incarnait la vérité de la politique, la vérité de son mensonge. Ce qui rend la gauche partout haïssable, c'est de mentir sur le mensonge en faisant de la politique avec des bons sentiments. Chaque fois que la gauche s'en est pris à l'obscénité de Trump, elle n'a donné à entendre que le caractère faux-cul de son propre moralisme. La retenue dont la gauche se prévaut est aussi bien retenue de la vérité, qui éternise le règne du mensonge. C'est ainsi que Trump est devenu, pour certains, le nom de la fin du mensonge. Il leur manque seulement d'avoir lu Gracian, qui disait de l'homme de cour : « Quand son artifice est connu, il raffine sa dissimulation, en se servant de la vérité même pour tromper. Il change de jeu et de batterie pour changer de ruse. Son artifice est de n'en avoir plus. »
 

 
Plus que l'élection de Donald Trump, la philosophe  Seyla Benhabib : redoute de voir sa présidence débuter avec un Congrès qui lui sera acquis, puisque aux mains des républicains. Rien ne viendra faire contrepoids.
Je crois qu'on a tous sous-estimé l'étendue de la colère contre les élites et le système. Le pays ­ressent encore les conséquences de la crise éco­nomique de 2008-2009. Hillary Clinton, de toute ­évidence, n'a pas su convaincre cette classe ouvrière – et ce malgré tous ses efforts. Ses positions favorables au libre-échange l'ont nettement désavan­tagée. Elle ne pouvait pas répondre aux craintes de cet électorat.
Dans certains comtés du Michigan et du Wisconsin, que les démocrates tiennent pour acquis, les Américains qui ont voté pour ­Barack Obama en 2008 et 2012 n'ont pas voté pour Hillary Clinton. Ces hommes blancs de la classe ouvrière étaient donc prêts à soutenir Obama mais pas Clinton. Cela soulève des inter­rogations intéressantes à propos des questions de race et de genre, car les politiques d'Obama, en un sens, étaient considérées comme plus à gauche, et les gens avaient déjà surmonté des barrières raciales en l'élisant. 
ENTRETIEN Seyla Benhabib : « Plus de contre-pouvoir pour arrêter Trump »

VIDÉO - La marque de prêt-à-porter de la fille du président américain élu a fait la promotion du bracelet à 10.000 dollars qu'elle portait lors de l'interview télévisée de son père.
Une interview présidentielle le dimanche et une publicité le lundi: un bracelet porté par Ivanka Trump lors de l'entretien télévisé de son père illustre les risques de conflits d'intérêts qui guettent le futur président américain. L'émission a été regardée par près de 20 millions d'Américains..



Aucun chef d'État n'est toutefois arrivé dans le Bureau ovale en possédant une telle nébuleuse d'actifs que Donald Trump, d'où un risque sans précédent. Son empire hôtelier s'étend par exemple de la Turquie à l'Uruguay en passant par les Philippines et la Corée du Sud. Il possède des parcours de golf aux Émirats arabes unis, en Irlande ou encore en Grande-Bretagne.
 
La réglementation financière dans le collimateur de TrumpDonald Trump promet d'abroger une loi emblématique votée après la crise financière de 2008 mais Wall Street elle-même reste circonspecte sur les intentions du nouveau président républicain. Si Trump affirme vouloir en finir avec le Dodd-Frank Act et dit travailler à le "remplacer par de nouvelles politiques pour encourager la croissance économique et la création d'emplois", il reste cependant avare de détails sur la manière dont il entend procéder. La loi Dodd-Frank, réponse de 848 pages de l'administration Obama à la crise financière, régule l'ensemble du secteur financier et a pour objectifs d'éviter une répétition des errements ayant conduit à la banqueroute de la banque Lehman Brothers et de mettre fin au "Too big to fail" (banques trop grosses pour faire faillite).
 
Le 07 novembre 2016 à 17h30 Elections présidentielles américaines., Lire aussi :   Trump président : à Londres, la City n'a rien vu venir
 
 
 
 
Etats Unis, la loi des armes Documentaire Arte 02.12.2014

 
Sexe, mensonges et elections

 
Etats Unis, le nouvel apartheid
 

My America - ARTE DOKU HD

L Amérique en faillite : :. L'amérique en faillite 1-2 : Au Coeur De La Maison Blanche Barack Obama - Indigné révolté I LOVE DEMOCRACY USA EXTRAIT 1 - YouTube
 Le prix du rêve américain. A en juger par le taux de chômage à la baisse et les créations d'emplois, la crise économique semble n'être qu'un lointain souvenir aux Etats Unis. Or la croissance retrouvée masque une précarité aggravée chez les pauvres.Le Rêve Américain - sous-titré français- partie 1/2 - YouTube  https://www.youtube.com/watch?v=uN8aDopGYUE  Mardi 1er ocotbre 20h45 sur France 5 


The Dead Zone pt 1 https://www.youtube.com/watch?v=Urkbs9mylg0 :  the best adaptation of a King novel ever! Donald Trump IS Greg Stillson! Scary Tout au long du film, le drame restera qu'il restera un incompris tant de la société qui d'abord méfiante face a ces supposition finira par collaborer tout en le regardant comme un animal de foire que par sa petite ex amie qui ne dé
 
THE DEAD ZONE 1983 STEPHEN KING FILM AUF DEUTSCH

The Dead Zone (1983 Comment ne pas voir en Greg Stillonun TrUMP ou  Rodrigo Duterte ? Greg Stillson, candidat à la Maison-Blanche, est un fou criminel, grand admirateur de Hitler et d'autres maniaques de l'extermination. Quand il sera élu, ce sera l'Apocalypse. Un seul homme le sait : John Smith, car il est doué d'un étrange pouvoir qui lui attire pas mal d'ennuis, il devine l'avenir. Il n'y a rien de réjouissant à cela. Il peut prévoir les accidents, les catastrophes, les hécatombes. On ne le croit pas, ou alors on le croit trop.
John Smith n'a encore rien dit de ses prémonitions. Pourtant, le candidat à la présidence des États-Unis est un dément. Que fera John Smith pour son pays ?Tea Party - YouTube
 

 
Donald Trump est « dangereux », « il n'a aucune moralité », « c'est un individu raciste », « ce n'est pas ça, l'Amérique »... Jeudi, lors d'une nouvelle nuit de manifestation, plusieurs centaines de manifestants ont défié le président élu. ( Source Le Monde)
 
Isolationniste, anti-écologiste, ultra-conservateur, anti-immigration, programme flou, les américains vont quand même pas donner les clefs de la maison blanche à ce milliardaire populiste ????! #Sueursfroides
 
Son futur gouvernement fait peur
Jennifer, qui comme beaucoup refuse de donner son nom de famille, explique être là « pour promouvoir la démocratie et pour défendre a liberté à disposer de on corps ». « Je respecte la fonction présidentielle, mais lui ? Que peut-on en attendre, sinon la division », dit-elle.
Elle égrène les menaces qui planent, à ses yeux, sur l'Amérique progressiste : « Vous avez vu ? il va nommer Joe Arpaio [celui qui se surnomme le « shérif le plus dur d'Amérique », qui a déclaré la guerre aux migrants] à la tête du département de la sécurité intérieure. »
Quand on leur cite des noms qui sont autant de marqueurs des orientations politiques de M. Trump, comme l'ancien maire de New York Rudolph Giuliani ou le gouverneur du New Jersey Chris Christie, certains manifestants tombent toutefois des nues. Disent qu'ils n'ont aucune idée précise de qui ils sont.
Jennifer reprend : « Cette élection, c'est la revanche de l'Amérique rurale sur celle des villes. C'est aussi l'incapacité de Hillary Clinton à établir un lien avec ces gens, à les faire s'identifier à ses valeurs. »


Trump promet d'expulser jusqu'à 3 millions d'immigrés clandestins
Le nouveau président élu des Etats-Unis Donald Trump a promis d'expulser jusqu'à 3 millions d'immigrés clandestins, dans l'extrait d'un entretien à la chaîne de télévision CBSpublié dimanche mais réalisé vendredi.
"Ce que nous allons faire, c'est prendre les gens qui sont des criminels et qui ont des casiers judiciaires, qui appartiennent à des gangs, qui sont des trafiquants de drogue (...), sans doute 2 millions, ça peut aussi être 3 millions (de personnes), nous allons les renvoyer du pays ou nous allons les mettre en prison. Mais nous allons les renvoyer de notre pays, ils sont ici illégalement", a-t-il déclaré dans l'émission "60 minutes" de CBS qui doit être diffusée dimanche soir.

COMPTE RENDU Le candidat Trump a réactivé la xénophobie des années 1900-1920



L'élection de Donald Trump à la Maison Blanche ou Rodrigo Duterte à la présidence des Philippines  posent "un défi civique" et impose que "la démocratie se transforme et se dépasse", estime le président du MoDem François Bayrou dans un billet publié mercredi sur Facebook."L'élection de Donald Trump va marquer le monde pour une longue période", écrit François Bayrou, soutien d'Alain Juppé à la primaire de la droite pour 2017.
"Il y a d'abord une réalité: partout sur la planète les peuples refusent l'ordre établi d'où ils se sentent rejetés", analyse-t-il. "Mais le changement qu'ils cherchent, ils croient le trouver au travers des excès, des caricatures, des retours en arrière et des rejets. Et c'est là qu'est le danger"."Non, cette surenchère ne peut pas produire du bien", affirme-t-il. "Et non, nous ne voulons pas nous y livrer, nous voulons y résister"."Cela impose de penser un monde nouveau. Cela oblige à rompre avec l'endurcissement d'un univers dominé par la puissance exclusive de l'argent, de remettre en cause la montée qui paraît inexorable des inégalités et des exclusions", affirme-t-il. "Cela impose que la démocratie se transforme et se dépasse, qu'elle soit enfin honnête, que chacun y ait accès et s'y reconnaisse, que des leaders dignes de ce nom sortent du monde clos dans lequel ils sont enfermés"."Ce défi est un défi civique. Et nous sommes décidés à le relever", conclut-il.


Jason, un jeune homme qui lui non plus ne veut pas donner son nom, est effrayé. Pour lui, le cabinet qu'est en train de constituer le président élu ne sera composé que des gens opposés aux droits des LGBTQ (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres ou queers) ou au principe du changement climatique, sans parler de ses choix concernant la Cour suprême.

Une jeune femme s'approche : « Il dit qu'il est contre l'establishment, mais il s'appuie sur des figures de l'establishment, comme Steven Mnuchin, un ancien banquier de chez Goldman Sachs. » Elle continue, s'en prenant aux grandes lignes du programme de politique étrangère esquissées par le candidat pendant sa campagne : « Il a des liens avec la Russie. Quand les Etats-Unis sont isolationnistes, la Russie avance ses pions », prévient-elle. Et d'ajouter, en français :« Il est dangereux. »


 
Escadrons de la mort, l'école française, Marie-Monique ... - YouTube Didier Super - L'escadron de la mort
 Tout juste élu à la présidence des Philippines et pas encore entré en fonctions, Rodrigo Duterte avait lancé, le 4 juin, un appel explicite au meurtre de trafiquants de drogue. « Sentez-vous libres de contacter la police, ou faites le vous-mêmes si vous avez un pistolet – vous avez mon soutien », n'avait pas hésité à déclarer « Digong », comme le surnomme le peuple. Devant les caméras de télévision, il avait ajouté : « Vous pouvez le tuer. Tirez-lui dessus et je vous donnerai une médaille. »


Son invitation a été entendue, et le sang a commencé à couler depuis son installation, le 30 juin, au palais présidentiel de Malacañang. La chaîne ABS-CBN compte 603 morts violentes de toxicomanes ou vendeurs depuis son entrée en fonctions, dont 211 abattus par des tueurs non identifiés, les autres par la police.
L'ancien maire de Davao s'était déjà démarqué au cours de ses deux décennies à la tête de la principale ville de l'île de Mindanao, dans le sud de l'archipel, en y laissant opérer un escadron de la mort qui tua les suspects sans s'embarrasser de procédures judiciaires.
 
Ces méthodes sont aujourd'hui reprises au niveau national. Dans la ville de Dasmariñas, au sud de Manille, les policiers ont retrouvé, mardi 2 août, un corps criblé de balles, les mains et chevilles liées de fils en plastique, avec à son côté une note : « Pusher ako », « Je suis un dealer ».
« Plus rien n'incite la police à faire preuve de retenue »



 
Ce n'est pas la finance qui est la cause de la crise, la finance est au contraire ce qui a permis à la crise provoquée par la contradiction récurrente du capitalisme d'éclater aussi tard.


Celle-ci frappe actuellement les États sous la forme d'une crise budgétaire et de divers programmes d'austérité. Partout en Europe, on nous explique que nous vivons au-dessus de nos moyens, qu'il va falloir travailler plus et se serrer la ceinture. Face à cette situation beaucoup se retournent vers l'État comme ce qui permettrait d'imposer des limites aux « dérèglements du marché ».
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 
Concrètement aujourd'hui les États n'ont le choix qu'entre deux politiques : austérité draconienne ou création monétaire, c'est-à-dire recours à la planche à billets. La première mène à la récession violente, la seconde à l'explosion d'une inflation incontrôlable.
 
En fait, il n'y a pas de contradiction fondamentale entre le fait de dire qu'il y a bien approfondissement de la crise ces dernières années et que le capitalisme est d'une certaine façon une crise permanente : la crise peut être analysée à la fois comme un mode de fonctionnement ordinaire du capitalisme et comme une remise en cause potentielle de sa propre existence. Le capitalisme est ce jeu qui inclut sa contradiction dans sa propre règle, et qui donc pourrait tendre à son abolition, mais la réalité c'est que c'est à la lutte des classes, c'est à nous de le faire.

 cf LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ? : citoyen actif, Je reprends LE NÉOLIBÉRALISME, STADE SUPRÊME ?  et Pourquoi parler de crise ?
 

pensée à goût amère du jour :
allez allez peuple facebookien arrêtez de vous plaindre des Fillon des Vallsdes Merdanchon ou des Le Pen ( et des autres).
Ce sont des capitalistes, et le capitalisme vit en pressant les gens comme nous, et si vous voulez un secret et bien ils nous presserons jusqu'à la moelle .
Mais au delà des individualités il ne font qu'obéir aux exigences du capitalisme.
Au lieu de geindre sur les réseaux sociaux organisez vous donc dans la réalité pour combattre révolutionnairement tout ces pourritures.
Commencez à discuter localement en toute franchise et finesse,
partagez vos idées défendez les, rassemblez vous etc
bref commencer par un bout!
Au lieu d'aller voter qui n'est que leur seul souhait à tous ces politicards, soyez fière de ne pas être de leur valets.
Au lieu de vous faire chier ( même sans vous en rendre compte) devant des inepties tv ou youtubesque bref s'emmerder toujours de plus en plus longtemps devant un écran essayez d'apprendre 2-3petit trucs et 2-3idées phares qui vous seront utile quand le vrai malheur arrivera.
Car, oui si nous nous organisons pas pour mettre à terre ce système injuste et perfide, on aura des coups de gourdins de +en+ fort.
Mais ce sera tout à fait normal la passivité conduit toujours à la souffrance.

Sur le blog 20 minutes, nous avons vu que DeepMind, la filiale de Google dédiée à l'intelligence artificielle (IA), n'avait pas pour seule ambition de battre les meilleurs joueurs mondiaux de Go : elle voulait aussi améliorer votre santé.

Melancholia - Opening sequence

 
 

[PDF]élection présidentielle américaine - ARTE
EN REPLAY ET EN STREAMING - TV-replay
 
20/08/2016
Manafort,ex conseiller de Trump - citoyenactif
"I Love Democracy : USA "Créé le dimanche 06 novembre 2016, The Dead Zone - - l'indigné révolté
 
LIRE AUSSI:
» États-Unis: grâce aux coopératives, la «ville des rêves» attire à nouveau
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Élections américaines : une campagne sous le signe du rejet et de la peur

nTrois femmes à abattre Créé le lundi 04 avril 2016
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Tags : Quel président pour l’Amérique ? Clinton contre Trump, ARTE, Documentaire, 2016, My America, Donald Trump, Rodrigo Duterte, Sexe, mensonges et elections, Melancholia, Opening sequence, De la servitude moderne -, Elections présidentielles américaines, Télévision, Etats-Unis, France 2, peine de mort, prison, Prix Albert Londres, Une peine infinie
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#Posté le dimanche 06 novembre 2016 14:40

Modifié le samedi 31 octobre 2020 06:37

Ces pauvres jeunes !


 
 
 

 
 
 
 
 
   n
 
Ces pauvres jeunes !
 
Je vous transmets le texte, cela peut servir de groupe de réflexion
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
Dans une version plus conspirationniste, la crise ne serait qu'un prétexte, une stratégie des capitalistes eux-mêmes qui seraient en réalité en parfaite santé. Car, en fait, ces gros menteurs ont un trésor bien caché qu'il faudrait trouver pour ensuite le redistribuer à tous les pauvres. C'est pourquoi de la gauche à la droite on propose de raboter les niches fiscales et de trouver l'argent caché pour le réinjecter dans les États.
Ce discours se décline de différentes manières selon qu'on désigne les traders comme seuls responsables ou qu'on dénonce la partialité des agences de notation, ce qui revient à accuser le thermomètre en cas de fièvre. Mais par-dessus tout, « c'est la faute à la finance et à l'endettement », ou comment confondre la maladie et le symptôme.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit. Les causes les plus profondes de la crise actuelle ne sont à rechercher ni du côté de la spéculation, ni du côté de l'endettement. Les achoppements financiers récents : crise des subprimes, crise de la dette, krachs boursiers à répétition, rôle des agences de notation, menace de faillite des États...tout cela est avant tout l'expression d'une crise du capitalisme lui-même.
 
En effet, le capitalisme est confronté à une contradiction récurrente: d'un côté, il lui faut diminuer (ou en tout cas limiter) les salaires pour baisser les coûts de production et maintenir les profits. D'un autre, il faut que les consommateurs aient suffisamment de revenu pour acheter les marchandises produites.
 
Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction. On augmentait les salaires, mais on augmentait plus encore la production. On rendait marchands ....
 

 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée. Les délocalisations d'industries et de services ont alors permis de baisser le coût du travail au niveau mondial. La consommation a été soutenue par le développement du crédit, qu'il s'agisse de dépense publique (et de dette publique) ou privée. Mais ce système est lui-même à bout de souffle, comme le montre la crise qui a commencé en 2007. Le krach de 2008 n'a pu être rattrapé qu'au moyen d'une expansion massive de l'endettement étatique. Le montant de cette dette, désormais impossible à rembourser, est l'expression concrète de cette impasse. La crise de la dette publique en Europe et les perspectives de défaut de la Grèce, désormais bien réelles, en sont la preuve. Ce n'est pas la finance qui est la cause de la crise, la finance est au contraire ce qui a permis à la crise provoquée par la contradiction récurrente du capitalisme d'éclater aussi tard
 
 Ces pauvres jeunes. Vraiment pas de chance, hein ?
 
Aux Etats-Unis, les revenus baissent. Les emplois sont rares. La croissance est deux fois inférieure à celle des années 50 ou 60... voire plus. L'immobilier est en berne. Les plus-values ont disparu des marchés boursiers — dans leur ensemble — depuis au moins 12 ans. Les ménages sont plus pauvres qu'il y a 20 ans... sauf, bien entendu, les ménages des seniors et des riches.
 
La fin du rêve américain ? : RDV sur notre 2 ieme chaîne : http://www.youtube.com/user/Report360 >http://www.youtube.com/user/Report360 pour plus de reportage

 
 Le capitalisme ne peut pas, à long terme, résoudre le problème économique de fournir une vie humaine pour les masses... Cette proposition est la base de l'approche de classe du Marxisme.  Sans elle il n'y a pas d'approche de classe, et il ne peut pas y en avoir. Si ce n'est pas vrai alors il n'y a aucune raison de ne pas être simplement un bon réformiste
 
2. Le capitalisme doit son expansion et sa domination au pouvoir qu'il a pris en l'espace d'un siècle sur la production et la consommation à la fois. Ainsi même les modèle du néolibéralisme ( avec des courants a la marge, peuvent ne pas appliqué complètement la logique néolibérale, tant qu'il reste dans le cadre de la défence des intérêts privés maintenant ainsi un "ordre social" ou achetant l'ordre social dominant, dominé) , sont rattraper par la chute du capitalisme ( cf chute tendanciel du taux de profit). Ce système ne peut être réguler, réformer car ces dérives ne sont  pas liées a un ou deux individus comme ils veulent nous le faire croire, mais au fonctionnement de l'ensemble du système. Ce sont ces bases qui sont entrain de se fissurer
 
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Mort à crédit est un roman de Louis-Ferdinand Céline paru en 1936 aux Éditions Denoël. Il a aussi été illustré par Jacques Tardi dans la collection Futuropolis de Gallimard en 1991. Wikipédia. 18/05/2017
Etudiants, l'avenir à crédit. Les Damnées Du Low Cost - L'indigné




Du côté du coût de la reproduction de la force de travail, les réformes portent sur la baisse des dépenses de santé et d'éducation et, plus généralement, la rentabilisation des services publics, la hausse des cotisations sociales et des taxes, des réductions et suppressions de minimas sociaux... Si la mise en place des réformes a été progressive depuis les années 80, elle s'accentue depuis la crise de 2008, rendant la survie de plus en plus difficile à la majorité de la population, et encore plus aux travailleurs précaires, « réservistes » de la force de travail, et aux travailleurs surnuméraires, ceux dont le capital n'a plus l'usage. Pour ces derniers, la seule chance à s'employer est le secteur de l'économie informelle, lequel appartient tout de même en réalité à l'économie globale
 
Cette situation de la chute tendanciel mis en avant par Karl Marx,  implique un contrôle social accru de l'Etat par un renforcement de la répression : fermeture des frontières, chasse aux sans-papiers, conditions tyranniques d'obtention ou de maintien des allocations de chômage et des minima sociaux, coupures de gaz et d'électricité et expulsions locatives en toutes saisons, enfermement des jeunes déviants... deviennent notre paysage quotidien et suscitent régulièrement des résistances et révoltes de prolétaires subissant l'accroissement de leurs difficultés financières et une répression de plus en plus omniprésente
 
Dessin issus de l'article : 50 articles pour comprendre les crises financières (26/50) : la
 
En conclusion : Mais il est facile d'imaginer que beaucoup d'autres produits et services -- les superflus comme les essentiels -- ne sortiront jamais de leur état de concept, simplement parce que les certificats de nécessité les empêcheront toujours d'atteindre le marché». .

Imaginer un  monde grâce avec la dictature du marché, politiquement orienter dans une logique fascisante. Le système néolibéral, en forte difficulté essaye de trouver tout les moyens possible (détourner l'attention..


 Lorsque l'accroissement de la rente devient le but déterminant de la politique des firmes – plus important que le profit qui, lui, se heurte à la limite interne indiquée plus haut – la concurrence entre les firmes porte avant tout sur leur capacité et rapidité d'innovation. C'est d'elle que dépend avant tout la grandeur de leur rente. Elles cherchent donc a se surpasser dans le lancement de nouveaux produits ou modèles ou styles, par l'originalité du design, par l'inventivité de leurs campagnes
 
En France, près de trois milliards de personnes franchissent les portes des centres commerciaux chaque année. Des dizaines sont en construction. Les promoteurs immobiliers rivalisent d'ingéniosité pour en concevoir de toujours plus grands. Mais le modèle français, importé des Etats-Unis dans les années 1960, se fissure. La consommation ne suit pas toujours. Des friches apparaissent un peu partout dans l'Hexagone et inquiètent les élus. Des citoyens lancent des recours pour empêcher leur ouverture.

 

L'empire américain... et toute sa structure capitalistique.
 
Celle-ci frappe actuellement les États sous la forme d'une crise budgétaire et de divers programmes d'austérité. Partout en Europe, on nous explique que nous vivons au-dessus de nos moyens, qu'il va falloir travailler plus et se serrer la ceinture. Face à cette situation beaucoup se retournent vers l'État comme ce qui permettrait d'imposer des limites aux « dérèglements du marché ».
 
« Avec plus d'État pour encadrer la finance, nous pourrons construire une économie plus sociale et plus prospère.» Mais le discours antilibéral se heurte à une évidence[1] : l'État n'est pas ce qui s'oppose à la sphère de l'économie, il est dans un rapport de totale interdépendance avec l'économie. La raison en est simple: il doit se servir de l'argent pour financer ses projets. Lorsque l'économie commence à ralentir, elle limite et étouffe son action. Avec la diminution de ses moyens financiers, l'Etat se réduit à la gestion toujours plus répressive de la pauvreté.
 
Concrètement aujourd'hui les États n'ont le choix qu'entre deux politiques : austérité draconienne ou création monétaire, c'est-à-dire recours à la planche à billets. La première mène à la récession violente, la seconde à l'explosion d'une inflation incontrôlable.

 
Déficits : les Etats-Unis redéfinissent l'infini
 
. Mais s'agissant du gouvernement fédéral des Etats-Unis, les gens semblent bien vouloir nous prêter une quantité infinie d'argent... cf  La Chine rachète Detroit... voici pourquoi - Citizen Khane
 
ARTE - Tokyo Freeters - 08 février 2011

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Freedom and Survival - The Freeter Union
 
▪ “Une société a crédit . Vraiment ?

Cela me rappelle le commentaire du vice-président Dick Cheney : “les déficits importent peu”. Il a raison si le déficit ne dépasse jamais le taux de croissance du pays (PIB nominal). .
 
C'est là qu'est le problème. Trop de dirigeants ne comprennent même pas encore que nous nous sommes approchés de la limite — il est vrai que nous ne sommes pas encore arrivés à l'infini ! Les répercussions politiques et économiques à s'auto-restreindre seraient tout simplement trop difficiles pour certains en regard à la tentation de repousser les limites un peu plus loin.
 
La Grèce a manifesté contre l'austérité qui lui a été imposée. Mais quelles ont été les moyens de pressions ? Si elle n'avait pas réduit son budget, le reste de l'Europe n'aurait pas financé la nouvelle dette dont elle avait besoin. . Les marchés obligataires ont donc simplement cessé de financer la dette grecque.

L'austérité, ce n'est pas amusant. . Il s'ensuit une grosse colère. Cela ressemble aux cinq stades du deuil : déni, colère, marchandage, dépression et acceptation. Sauf que lorsque vous parlez de gouvernements gravement surendettés, la dépression peut durer beaucoup plus longtemps que les autres stades.
 

 
bownling for columbine, by Mickael Moore - Fr - Français :  Un beau matin, 2 jeunes américains se réveillent et, vont changer la vie de quelques familles ayant leurs enfants dans cette école de la ville de Columbine.

 
Marilyn Manson - Bowling For Columbine

 

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▪ Revenons-en aux Etats-Unis
Le maire de New York, Michael Bloomberg, et ceux qui pensent comme lui projettent notre expérience actuelle dans un futur lointain. “Regardez les taux d'intérêt”, disent-ils ; “ils nous apprennent que les marchés s'accommodent bien des niveaux de la dette américaine et du déficit”. 
 
 Mais ceux d'entre nous qui connaissent l'histoire savent que cela n'est pas inhabituel. Généralement, les marchés obligataires restent optimistes... jusqu'au moment où tout explose et qu'ils ne le sont plus.
 
L'expérience de plus de 250 crises de la dette au cours des cent dernières années nous apprend qu'il n'existe pas de point particulier où les marchés perdent confiance dans la dette d'un gouvernement. Toutefois, lorsque cela arrive, c'est violent.
 
Crise financiere expliquée aux nuls : 
 
 
Et tous ces prêts étudiants (plus de 1 000 milliards de dollars). Et la dette nationale officielle (à un peu plus de 16 000 milliards de dollars). Et la dette officieuse, mais très réelle, que le professeur Lawrence Kotlikoff estime à 222 000 milliards de dollars, tandis que le professeur Niall Ferguson la met à 238 000 milliards de dollars.
 

Le fractionnement, par exemple, augmentera de 1 200 $ les revenus des ménages américains, annonce un article de Bloomberg :
 
"La hausse de la production de pétrole et de gaz naturelle engendrée par la fracturation hydraulique stimule l'économie américaine en réduisant les coûts de l'énergie pour les consommateurs et les fabricants, selon un rapport financé par le secteur".
 
"En 2012, le boom énergétique a soutenu 2,1 millions d'emplois, a ajouté près de 75 milliards de dollars de revenus fédéraux et nationaux, a contribué à hauteur de 283 milliards de dollars au PIB US et a augmenté les revenus des ménages de près de 1 200 $, selon le rapport publié aujourd'hui par HIS CERA".
 
. Peut-être que le fractionnement donnera à l'Empire de dettes américain un nouveau souffle... tout à fait comme Rome a connu un renouveau pendant 200 ans supplémentaires après la Crise du troisième siècle. Le fractionnement réduira le déficit commercial, dit-on, rendra le secteur manufacturier américain encore plus puissant et augmentera les revenus des ménages.
 
1932 le Système Américain Contre l'Empire Britannique : 


 
 
. La première partie de ce boom était authentique — avec une hausse des salaires du niveau de vie. La deuxième partie — dans les années 80 et 90 — était en grande partie frauduleuse, financée presque entièrement avec de l'argent emprunté. Les gens dépensaient plus... ils vivaient mieux... mais ils s'endettaient plus lourdement. Maintenant, les voilà confrontés à des années de réduction de dette et de niveau de vie en baisse.
 
Pour l'instant, le 21ème siècle n'est pas exactement un âge d'or non plus. Plutôt un âge où les apparences comptent plus que la réalité. D'abord, les gens semblent améliorer leur niveau de vie en dépensant de l'argent qu'ils n'ont pas en choses dont ils n'ont pas besoin... achetant des maisons plus grandes et des voitures plus élégantes... Puis, quand la bulle éclate, les autorités semblent provoquer une "reprise" en leur donnant plus de crédit.
 
Les choses qui comptent vraiment, pendant ce temps — l'épargne, les investissements, la paix et la prospérité — n'ont pas eu lieu. Les choses qui se sont produites, par contre, ont été de gigantesques désastres — des guerres inutiles et des politiques économiques .
 
▪ Et qu'en est-il du secteur de la santé ?
les coûts ont grimpé. Les médecins ont commencé à subir des procès. Les personnes âgées voulaient plus de traitements et plus de pilules. Les gens sont devenus plus conscients des nombreuses choses qui pouvaient mal tourner. Il a fallu traiter des maux qui auraient été stoïquement acceptés comme “allant avec la vieillesse”. On a mis en place de nouveaux tests et appareils.
 
Système de santé américain : du rêve au cauchemar?  : 

 

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Le coût de l'assurance santé pour une famille américaine est désormais de 15 000 $ par an. Dans l'ensemble, les dépenses de santé par personne dépassent les 7 000 $ par an.
 

 Eh bien, c'est là que les dés sont pipés. Au lieu de permettre aux gens d'avoir une protection santé, un accés au travail, une répartition équitable des richesses et de la force de travail, "(de sorte que la charge des soins de santé reposerait sur ceux qui en ont besoin ou qui en veulent), les autorités ont mis en place un système en place l'argent roi, " le crédit facile qui, fondamentalement,  prend l'argent des plus jeunes et le redistribue (sous la forme d'une consommation quasi illimitée de “soins de santé”) aux plus âgés, précarise l'ensemble des plus pauvres et de la classe moyenne.
 
Seul un dollar sur 10 dépensé en soins de santé provient directement de la poche de la personne qui dépense. Les neuf dollars restants proviennent des autres... généralement plus jeunes.
Qui dépense ? Les seniors. Qui paie les coûts ?
 
 ▪ Prenons l'éducation, par exemple
D'où viennent tous ces prêts étudiants (garantis par le gouvernement, aux Etats-Unis) ? N'était-ce pas une bonne chose que les autorités veuillent prendre l'argent des parents pour le prêter aux enfants ?
 
Pour commencer, les autorités ont réalisé que les étudiants ne s'affichent pas sur les listes du chômage — du moins pas tant qu'ils n'ont pas fini leurs études, par peur de la précarisation, du chomage. Les forçants a ralentir aussi longtemps que possible leurs marchés sur le travail et la vie active

 
Les États-Unis ont mal à leur système de santé : 

 
  Laurent Cibien, Pascal Carcanade et Marie Semelin -- ARTE GEIE / Vol de Nuit -- France 2012

À l'automne 2011, la Réserve Fédérale américaine provoque un électrochoc dans le pays : elle révèle que l'encours de toutes les dettes étudiantes aux Etats-Unis a dépassé les 1000 milliards de dollars.

C'est plus que les dettes des cartes de crédits, et surtout, ce chiffre a doublé en moins de 10 ans. Depuis, la question du coût croissant de l'éducation supérieure aux Etats-Unis s'est imposée dans la campagne présidentielle.

L'équipe d'ARTE Reportage a enquêté à Phoenix, Arizona, surnommée « la Silicon Valley de l'éducation supérieure ».

C'est ici que se trouvent à la fois la plus grande université publique du Pays, « l'Arizona State University » qui compte 72 000 étudiants, et le siège de la plus importante des Universités privées à but lucratif, « l'University of Phoenix ». Celle qui est accusée de pousser ses étudiants à s'endetter. Et c'est aussi en Arizona que le taux de défaut de paiement sur les prêts étudiants est le plus élevé du pays.

Rencontre avec des étudiants inquiets à l'idée de ne pas trouver un travail qui leur permettra de rembourser leurs emprunts et avec d'anciens étudiants étranglés par les dettes et poursuivis par des organismes de recouvrement, ARTE Reportage dévoile les racines de ce que certains imaginent être la prochaine bulle du crédit, plus dévastatrice encore que la crise des subprimes
 

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▪ Si on parlait des prêts étudiants...

L'une de ces politiques fait à nouveau les gros titres : les prêts étudiants. Encore un programme gouvernemental corrompu donnant naissance à un fruit pourri. Voici un article de Reuters :
"Ce que nous ne savons pas sur le problème à 1 200 milliards de dollars des prêts étudiants"
 
"Les bases :
1 200 milliards de dollars — la somme estimée des dettes étudiantes en cours.
260 milliards de dollars — le montant de cette somme en 2004.
37 millions — le nombre d'Américains ayant une dette étudiante en cours, selon les estimations de la Fed de New York.
28 000 $ — la charge de dette typique du diplômé universitaire en 2012 le jour où il termine ses études, selon Hamilton Place Strategies.
9 000 $ — cette même charge de dette en 1993.
810 milliards et 670 milliards de dollars — le total des prêts automobiles et cartes de crédit en cours détenus par des Américains, respectivement, ce qui donne une bonne longueur d'avance à la dette étudiante".
"Les taux de défaut de paiement :

13,4% — le taux de défaut de paiement aux Etats-Unis concernant les emprunteurs dont les prêts sont entrés en remboursement depuis l'automne 2009-automne 2010. (C'est la première année pour laquelle le gouvernement a publié les taux de défaut à trois ans).

22,7% — les défauts durant les trois premières années pour les diplômés provenant d'universités à but lucratif. Ces dernières avaient le taux de défaut à trois ans moyen le plus haut, à 22,7%, les institutions publiques suivant avec 11% et les institutions privées à but non lucratif à 7,5%, selon le département de l'Education.

Sept millions — le nombre d'emprunteurs ayant des prêts étudiants en défaut, sur un total estimé à 37 millions. Cela inclut les prêts publics et privés, selon le CFPB".
 
Les prêts étudiants ne sont qu'une petite partie d'un tableau plus vaste — mais partout où l'on regarde, la scène est la même. . Dans une démocratie, au cours du temps, de plus en plus de gens trouvent des moyens de truquer le système et rejoindre les initiés. En fin de compte, tout le monde semble avoir un angle d'attaque.
 
USA : Dette des étudiants, la prochaine bulle ? - YouTube :  
 

 
 
Et en peu de temps, la civilisation elle-même est en route vers le déclin et la ruine. . La vieille définition est encore la meilleure : la démocratie — un système politique dans lequel deux loups et un agneau votent sur ce qu'il y aura à dîner.
 
Le complexe militaro-industriel
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 Marketing vert : le grand maquillage
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Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé
 
Ces pauvres jeunes !
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Coton : l'envers de nos tee-shirts

Par Enkolo dans Accueil le 29 Novembre 2017





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Tags : austérité, déficits, Etats-Unis, Grèce, rêve américain, USA, Dette des étudiants, crédit, finance, crise, crise financière, capitalisme, néolibéralisme, États-Unis, secteur de la santé, santé, documentaire, bownling for columbine, Mickael Moore, listes du chômage, chomage, emplois, Etudiants, l'avenir à crédit, The Freeter Union
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#Posté le mercredi 11 septembre 2013 11:31

Modifié le jeudi 30 novembre 2017 16:18

Quoi encore, la Syrie ?


 
 
 
 
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Quoi encore, la Syrie ?
 
 
Ban Ki-moon : "Pas de chance, c'est la semaine du Mali !"
 
Quoi encore, la Syrie ?


Depuis une semaine, l'attention de la communauté internationale est entièrement tournée vers le Mali et ses voisins du Sahel, où a débuté une guerre qui met en jeu les pays occidentaux – soit directement, c'est le cas de la France, soit à travers la nationalité des otages capturés par un groupe djihadiste sur le site gazier d'In Amenas, en Algérie.

Dès lors, la Syrie est passée au second plan de l'actualité. Pourtant, la guerre civile y fait toujours rage. Ces derniers jours ont été marqués par des tueries d'une grande ampleur. Le 15 janvier, 87 personnes sont mortes dans le bombardement de l'université d'Alep. Le même jour, 106 civils étaient tués près de Homs, dans une zone de vergers où un millier de déplacés s'étaient réfugiés pour échapper au pilonnage de la "capitale de la révolution" assiégée depuis plus de six mois.

Le 16 janvier, trois attentats suicides à la voiture piégée ont tué, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), 35 personnes à Idleb, principale ville du nord-ouest du pays. Le lendemain, 11 civils, dont 7 fillettes et 3 femmes, ont péri dans un raid aérien dans la région de Husseiniyé, au sud de Damas.

Et ce 18 janvier, on annonce la mort d'un journaliste français, Yves Debay, tué d'une balle dans la tête par un tireur embusqué à Alep.
 
Dessin de Haddad paru dans Al-Hayat
 
]L'inaction du président américain, qui avait affirmé en 2012 que l'utilisation d'armes chimiques en Syrie  constituerait une «ligne rouge» susceptible d'entraîner une «réaction internationale immédiate» avait été critiquée au printemps, lorsque plusieurs attaques de ce type avaient été signalées, puis confirmées par les capitales occidentales. 

La Syrie est sous le feu et la communauté internationale tergiverse sur la livraison d'armes aux rebelles. Des reporters affirment avoir été témoin de l'utilisation d'armes chimiques par Bachar Al Assad.

C'est la fameuse ligne rouge évoquée par les Etats Unis, celle qui pourrait justifier d'une intervention internationale et elles semblent clairement avoir été franchies '(Syrie : enquete sur les armes chimiques– Altermonde) . Deux reporters du monde affirment avoir assisté à des attaques d'armes chimiques près de Damas. Laurent Fabius a déclaré aujourd'hui que des présomptions de l'utilisation par le régime de Bachar Al Assad sont de plus en plus fortes. Mais l'Europe tergiverse, sa diplomatie ne parvient toujours pas a parler d'une seule voix sur une livraison d'armes aux rebelles Écrit par : Alterfinance | 28/05/2013



Quoi encore, la Syrie ?
 
A Damas, Assad rejette les propositions de négociations.
- "Négocier, mais pourquoi ?! Tout est sous contrôle".
Sur les panneaux : Bureaux du président ; examens oculaires ; on demande de l'aide.  
Ophtalmo et aveugle  - Dessin de Danziger
 
Un rapport parlementaire révèle l'exportation par le pays de 12,3 milliards de livres (14 milliards d'euros) d'armement à 25 nations figurant sur sa propre liste de régimes sensibles.
[c=black]Selon le comité de contrôle des exportations d'armes de la Chambre des communes, du fluorure de sodium, qui peut servir à la fabrication d'armes chimiques, a été exporté vers la Syrie ces deux dernières années. source : le Figaro du 18/07/2013



Libération : Le bilan se monterait à 1 300 morts près de Damas. La communauté internationale exhorte l'ONU, dont une équipe vient d'arriver dans la région, à enquêter au plus vite.
 
Deux fillettes inanimées dont le père soulève et secoue tour à tour les corps en pleurant et en hurlant devant la caméra. L'image de l'une des premières vidéos diffusées hier à l'aube par l'opposition syrienne accusant le régime d'une attaque chimique massive suscite d'abord l'incrédulité. Comment écarter la possibilité d'une mise en scène ou d'une provocation le jour même où les inspecteurs des Nations unies chargés d'enquêter sur l'usage des armes chimiques en Syrie finissent leur premier...
 



Quoi encore, la Syrie ?

Alors qu'un massacre a surement eu lieu hier avec un bombardement d'armes chimiques , intéressons nous aux protagonisme de cette guerre civile. D'un coté la Syrie, le hezbollah et l'iran représentant l'axe " chiite", de l'autre la rebellion sunnites avec Turquie, Qatar, Arabie saoudite...).
 
 

 
Les quartiers de la banlieue de Damas bombardés par l'armée, mercredi 21 et jeudi 22 août. | LeMonde.fr 
Dans un entretien au Monde.fr, le chercheur Olivier Lepick estime que, "au vu des symptômes et des tableaux cliniques présentés par les victimes" sur les photos diffusées par les opposants, "cela ressemble très fortement à une intoxication par un neurotoxique. Il y a notamment l'absence de blessures physiques, les contractions musculaires, les sécrétions pulmonaires par la bouche
 
Lire le récit des attaques mercredi sur Damas


Les forces du président syrien Bachar al Assad ont repris aujourd'hui le bombardement des faubourgs de Damas contrôlés par les rebelles, maintenant la pression sur les quartiers qui auraient été hier la cible d'une attaque chimique, rapportent des activistes. sur Djobar et Zamalka, deux des quartiers où, selon l'opposition syrienne, des gaz neurotoxiques auraient fait entre 500 et 1300 morts hier. Le quartier voisin de Kaboun, plus au nord, et le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, au sud, sont également la cible des bombardements, ajoutent les activistes. source  Syrie: faubourgs de Damas bombardés Par "Lefigaro.fr avec Reuters  le 22/08/2013  

 Syrie - Le Monde diplomatique
 
 
Guerres par procuration en Syrie - Le Monde diplomatique : Une révolution otage des enjeux régionaux 
 
Appuyé par le Hezbollah libanais, le régime de M. Bachar Al-Assad a repris l'offensive dans l'ouest de la Syrie. Un rapprochement américano-russe laisse entrevoir la possibilité de réunir une conférence internationale à Genève. Mais, deux ans après le début du soulèvement, la révolution est détournée par des acteurs régionaux et internationaux aux objectifs contradictoires et souvent mal définis.
par Karim Emile Bitar, juin 2013
 
 
S'il est une constante dans l'histoire des pays du Levant, c'est la collision de l'aspiration des peuples à la liberté et à l'émancipation avec la realpolitik, qui conduit à leur sacrifice sur l'autel des intérêts géostratégiques de puissances étrangères. L'expédition d'Egypte de Napoléon Bonaparte, en 1798, marqua le point de départ d'une longue confrontation entre la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne sur le territoire d'un Empire ottoman déclinant. Le principal traumatisme interviendra toutefois à la fin de la première guerre mondiale. Incités à se révolter contre les Turcs par Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie. et surtout par une lettre du haut-commissaire britannique Henry McMahon au chérif Hussein de La Mecque leur promettant la création d'un royaume unifié, les Arabes assisteront, impuissants, à la trahison de ces engagements. Lesquels seront bafoués aussi bien par les accords Sykes-Picot (1916) partageant la région entre la France et le Royaume-Uni que par la déclaration Balfour (1917) annonçant la création d'un « foyer national juif » en Palestine.
 
Lawrence d'Arabie, la véritable histoire (du film) - L'Express
Sous mandat français, la Syrie fut d'abord morcelée en quatre Etats, avant d'accéder à l'indépendance après la seconde guerre mondiale. Son régime parlementaire ne dura pas : il fut mis à bas en 1949 par le colonel Housni Al-Zaïm. Le premier coup d'Etat militaire dans le monde arabe, préparé par l'ambassade américaine et par la Central Intelligence Agency (CIA).
 
Anti-impérialisme de façade
Ces quelques éléments historiques, parmi beaucoup d'autres, donnent à comprendre le nationalisme sourcilleux qui règne en Syrie, ainsi que la méfiance viscérale vis-à-vis des man½uvres étrangères. C'est pourquoi, confronté à une vaste révolte populaire, à l'origine spontanée et pacifique, dans la droite ligne des soulèvements tunisien et égyptien, le régime de M. Bachar Al-Assad n'a cessé, pour tenter de légitimer une répression d'une indicible brutalité, de faire appel à la fibre anti-impérialiste. Cette stratégie lui a permis de conserver le (...)
 
Syrie, champ de bataille médiatique - Le Monde diplomatique  par Antonin Amado et Marc de Miramon, septembre 2012
 
Comment rendre compte d'un soulèvement qui dure depuis dix-huit mois, alors que l'accès au terrain est périlleux ? Si la férocité du régime ne fait aucun doute, la manière dont certains médias relaient, sans les vérifier, les communiqués de tel ou tel groupe d'opposition et occultent le jeu de puissances comme l'Arabie saoudite, les Etats-Unis ou la Turquie relève plus de la propagande que de l'information
.
En Syrie, « les armes chimiques sont sous surveillance », informe Le Figaro (22 juillet 2012) ; ).
 
29 janvier 2012. L'intox est partie d'un compte Twitter (@Damascustweets) appartenant à « des militants proches de l'opposition (2) » : M. Al-Assad aurait fui la Syrie.   »
 
18 juillet 2012. Tandis qu'une nouvelle offensive des rebelles entraîne des affrontements d'une intensité inédite à Damas, une bombe explose au quartier général de la Sécurité nationale, tuant notamment le ministre de la défense ainsi qu'Assef Chaoukat, beau-frère de M. Al-Assad. 
 
Alep Syrie, vivre avec la guerre

 
 
 

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Tout compte fait indemne, M. Al-Assad acceptera de « partir » deux jours plus tard, « mais d'une façon civilisée ». C'est une dépêche de l'AFP qui l'annonce, le 20 juillet peu avant 9 heures. Confirmé une trentaine de minutes plus tard par le concurrent britannique Reuters, le « scoop » reprend en réalité un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI) par l'ambassadeur de Russie en France. Qui n'annonçait en aucun cas le départ de M. Al-Assad, mais se contentait de rappeler l'engagement pris par la Syrie le 30 juin à Genève d'aller « vers un régime plus démocratique »...
 
La démocratie, voilà ce pour quoi se battent les Syriens depuis le soulèvement de mars 2011, réprimé avec une brutalité et une cruauté largement documentées (5). Mais le conflit se livre aussi sur le terrain médiatique ; une guerre que taisent la plupart des organes de presse occidentaux. Certes, la réalité du terrain est particulièrement difficile à percevoir. Le régime accorde ses visas au compte-gouttes. Ceux qui réussissent, au péril de leur vie, à rejoindre les insurgés empruntent tous ou presque les mêmes filières de l'ASL ; leurs récits épousent ensuite le storytelling développé par cette même ASL ainsi que par ses parrains turcs, saoudiens et qataris : un régime barbare écrase dans le sang des manifestations pacifiques, défendues par des militants prodémocratie riches en courage mais pauvres en armes, munitions, médicaments...
 
Révolution syrienne Documentaire "Syrie Interdite" France 2 Envoyé :
 
Debut :  
 
 
 
 
>http://www.youtube.com/watch?v=f_ljRk...

 
 http://www.youtube.com/watch?v=PieXV5cTUmc , Suite
 
Quant aux quelques journalistes ayant accepté l'invitation du régime (6) de M. Al-Assad, ils racontent sans surprise des histoires radicalement différentes : celles de cadavres de soldats atrocement mutilés qui s'entassent dans les morgues des hôpitaux, de minorités (chrétiennes, alaouite, etc.) terrorisées par des bandes armées ne menant pas une guerre de libération, mais une guérilla confessionnelle soutenue par les pétromonarchies du Golfe.
 
Embarrassante pour l'opposition armée, la présence en Syrie de groupes djihadistes, dont certains se réclament d'Al-Qaida, est désormais avérée. Une raison de plus, martèle Libération (6 août 2012), pour « aider politiquement et militairement » les insurgés, « ne serait-ce que pour ne pas laisser le champ libre et la victoire finale aux islamistes ».
 
 
Mais ces quelques témoignages n'entament pas la trame de la dramaturgie syrienne : pilonnage de Homs, massacre de Houla, mort des journalistes Marie Colvin, Rémi Ochlik et Gilles Jacquier — dont il semble maintenant qu'il ait été tué par des tirs provenant des positions rebelles. Une poignée d'acteurs dominent la narration du conflit. Parmi eux, les principales chaînes satellitaires du Proche-Orient, dont Al-Arabiya et Al-Jazira, propriété des deux poids lourds de la Ligue arabe, nouveau haut-parleur de la diplomatie du Golfe : l'Arabie saoudite et le Qatar. Ces monarchies absolues, qui ne s'appuient sur aucune légitimité démocratique tout en promouvant la « liberté » chez leurs voisins, mènent une « guerre froide régionale » à la Syrie, dernier régime arabe participant, selon elles, à l'« arc chiite » qui s'étendrait de Beyrouth à Bagdad, en faisant vaciller Bahreïn.

Ces chaînes bénéficient d'un a priori bienveillant quant à la fiabilité des informations qu'elles diffusent, si fantaisistes soient-elles. Ainsi l'essayiste Caroline Fourest écrit-elle dans Le Monde (25 février 2012) : « D'après Al-Arabiya, des opposants au régime iranien affirment que leur gouvernement a fourni un four crématoire à son allié syrien. Installé dans la zone industrielle d'Alep, il tournerait à plein régime... Pour brûler les cadavres des opposants ? »
 
La dictature de l'instantané
 
Pour le reste, les médias s'appuient sur l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), organisme qui fournit, par le biais des agences de presse AFP, Associated Press (AP) et Reuters, les bilans des affrontements et les récits de l'opposition armée. Son fondateur, M. Rami Abdel Rahmane, raconte avoir émigré en 2000 au Royaume-Uni, où il tient une boutique de vêtements. Depuis son appartement de Coventry, il affirme être le « seul membre de son organisation vivant en Angleterre. Mais j'ai deux cents correspondants bénévoles en Syrie, en Egypte, en Turquie et au Liban. Ce sont des militaires, des médecins, des militants de l'opposition ». Il revendique une complète neutralité : « Je ne suis financé par personne. J'ai créé l'OSDH en 2006 parce que je voulais faire quelque chose pour mon pays. » Comment, aidé d'un simple secrétaire, peut-il obtenir et vérifier quasiment en temps réel les chiffres (morts et blessés) des affrontements militaires aux quatre coins du pays ?
 
L'AFP a en tout cas décerné à l'OSDH le statut de source incontournable, comme le détaille Ezzedine Said : « La première utilisation de l'OSDH date de novembre 2006. Cette organisation s'est montrée fiable et crédible dans le passé, raison pour laquelle nous continuons à l'utiliser. » Le rédacteur en chef de l'antenne de Nicosie, à Chypre, où sont centralisées les dépêches sur le Proche-Orient, reconnaît néanmoins que « nos journalistes n'ont pratiquement aucun contact avec les correspondants de cette organisation sur le terrain. Ceux qui sont en poste à Damas ne peuvent pas travailler librement. Ils ne sont pas en mesure de donner une vision d'ensemble de la situation dans le pays. L'OSDH, qui ne s'engage jamais politiquement dans ses communiqués, n'est pas une source parfaite. Mais c'est celle qui donne les chiffres les moins fantaisistes sur le nombre de morts sur le terrain ». A l'AFP, certains ne cachent pas leur malaise : « Nous savons parfaitement que l'OSDH n'est pas fiable, déplore un grand reporter du service international. Mais nous continuons quand même à diffuser ses chiffres. Quand on interroge la direction, sa réponse est toujours la même : “Vous avez probablement raison, mais les autres agences font la même chose. Et notre secteur est très concurrentiel.” ».
 .
 

Syrie, l'entrée en guerre du Hezbollah - Les blogs du Diplo
 
Depuis le début de la révolte syrienne, des réseaux se sont constitués au Liban pour venir en aide aux révoltés qui, à l'origine, manifestaient pacifiquement. Tripoli, capitale du Nord, a servi de plaque tournante à ces filières. La militarisation de la révolte, encouragée par la violence sans limite du régime, a transformé la situation et favorisé la montée en puissance du rôle des groupes radicaux au Liban. Le cheikh salafiste de Saïda, par ses discours extrémistes et son appel au djihad, a envenimé la situation en dénonçant, comme les autres dirigeants du Golfe, la menace de « chiisation » du monde arabe.
 
De plus en plus de combattants libanais et arabes ont commencé à affluer en Syrie à travers des réseaux multiples : Frères musulmans (en nombre assez limité), groupes liés au 14-Mars de Saad Hariri, salafistes aux mille et une obédiences, jeunes non politisés, indignés par la brutalité du régime syrien. Ces réseaux sunnites ont disposé de l'appui de la Turquie et du Qatar d'abord, de l'Arabie saoudite ensuite.
 
Ces ingérences étrangères ont donné lieu à une mutation des groupes de l'opposition syrienne, dont certains se sont « adaptés » aux attentes de leurs financiers — publics, mais aussi souvent privés —, « se laissant pousser la barbe », pour reprendre une expression imagée, comme l'a montré le rapport de l'International Crisis Group d'octobre 2012, qui rend bien compte des ces dynamiques [1].
 
Pourtant, malgré les discours sur la menace islamiste globale, supposément alimentée par l'Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie qui financeraient jusqu'à Al-Qaida, la situation sur le terrain est bien plus complexe. Si Doha et Ankara ne cachent pas leurs préférences pour les Frères musulmans, les Saoudiens aident différents groupes salafistes fortement divisés eux-mêmes — il faut rappeler que Riyad a été en guerre ouverte avec Al-Qaida sur son territoire, notamment à partir de 2003. Enfin, il existe une multitude de groupes oppositionnels que l'on ne peut réduire à leur parrainage étranger.
 
D'autre part, et comme on peut le voir dans les hésitations des différents acteurs internationaux (Etats-Unis, France, Israël), il n'existe pas de stratégie occidentale cohérente en Syrie (Le Monde diplomatiquedu mois de juin publiera d'ailleurs un article de Karim Emile Bitar sur le sujet : « Guerres par procuration en Syrie »).
 
En Syrie s'entremêlent différentes lignes de fracture :

L'affrontement entre le régime (qui a su rallier des soutiens notamment parmi les minorités) et une large opposition ;Les clivages entre les Etats-Unis et Israël, d'un côté, et les forces dites de la résistance de l'autre ;Les multiples différences inter-arabes, de la fracture entre les Frères musulmans et les pays du Golfe (à l'exception du Qatar), aux tensions entre Le Caire et Riyad ;Sans oublier enfin ce qui est le facteur nouveau et décisif au niveau régional depuis le début de 2011 : les aspirations des peuples à la dignité, la liberté, la justice sociale et à la fin des dictatures.C'est pourtant au nom d'un grand complot américano-golfo-israélo-islamiste que quelques forces nationalistes arabes, voire de gauche, ont décidé de soutenir le régime du président Assad.
 

 
Lire Nicolas Dot-Pouillard, « La crise syrienne déchire les gauches arabes », Le Monde diplomatique, août 2012 .
 
Ce n'est que récemment, et d'abord indirectement, que le Hezbollah a reconnu sa participation aux combats en Syrie (« Pourquoi le Hezbollah participe-t-il aux combats en Syrie ? ») et rappelé les missions limitées de ses hommes présents sur place : défense des lieux saints particulièrement révérés par les chiites ; protection d'usine d'armements ; aide aux villages chiites en Syrie.
 
L'intervention de combattants étrangers arabes permettait par ailleurs de justifier leur propre intervention.
Un discours de Hassan Nasrallah du 30 avril 2013 a confirmé cette orientation. Dans un résumé des principales idées
 
Désormais, pour le Hezbollah, la bataille met aux prises le camp de la résistance (composé de l'Iran, de la Syrie et de lui-même) et l'axe américano-israélo-islamiste, même s'il appelle régulièrement l'Occident à combattre avec lui le péril djihadiste et takfiriste.
 
Le Hezbollah peut aussi invoquer, à juste titre, l'ingérence de diverses forces libanaises dans l'aide militaire aux insurgés syriens. Et les bombardements israéliens sur la Syrie servent à alimenter le discours anti-impérialiste .
 
Mais, avec la participation directe et reconnue de combattants à la prise (ou à la tentative de prise) de la ville syrienne d'Al-Qousayr, le Hezbollah a franchi une étape de l'escalade. Ibrahim El-Amine, rédacteur en chef du journal Al-Akhbar, soutien de gauche du Hezbollah, l'explique dans son éditorial du 21 mai [3] :
 
« Ce que le Hezbollah fait en Syrie est une partie d'une lutte plus ample des forces de la résistance contre un front des forces réactionnaires et meurtrières, au c½ur desquelles se situe Israël. »
Le problème avec cette analyse, en partie exacte, est qu'elle ne tient compte ni du soulèvement du peuple syrien, ni des conséquences d'une telle intervention à la fois au Liban, en Syrie, mais plus généralement sur la région tout entière.
 
Dans un article publié dans The Daily Star le 22 mai (« A Hezbollah turning point in Qusair ? »), Rami Khoury note :
 
« Combattre à l'intérieur de la Syrie aux côtés du régime Assad va exacerber toutes les pressions et les contraintes que le Hezbollah subit déjà. Plus de Libanais le critiqueront pour avoir entraîné le Liban dans la guerre syrienne et exacerbé les affrontements intérieurs entre groupes pro et anti-Assad. Beaucoup de Libanais soutiennent que ce qui s'est passé à Al-Qousayr confirme ce que beaucoup pensent déjà, à savoir que le Hezbollah est une marionnette de l'Iran. Certains de ses propres partisans peuvent lui reprocher la mort de dizaines de jeunes hommes libanais, dans une bataille pour une petite ville de province en Syrie. De nombreux pays étrangers vont chercher de nouveaux moyens de pression, de sanction et d'isolement du Hezbollah, et ​​l'opinion publique dans le monde arabo-islamique va devenir plus critique et hostile, en présentant le Hezbollah comme une milice qui échappe à l'autorité de l'Etat, plus soucieuse des ordres iraniens que des populations arabo-libanaises. »
 
Plus grave est l'inscription de l'intervention du Hezbollah dans une vision régionale selon laquelle s'affronteraient chiites et sunnites, Arabes et Iraniens. Cette perception, largement diffusée par les médias du Golfe, trouve dans l'intervention du Hezbollah une confirmation. Ce clivage sunnite-chiite n'est pourtant ni aussi profond ni aussi historique qu'on le dit : en juillet 2006, quand le Hezbollah symbolisait la résistance face à l'agression israélienne, les portraits de Hassan Nasrallah se retrouvaient dans les rues du Caire comme de Jordanie, et personne ne le voyait alors comme « un dirigeant chiite ».
 
Conséquence immédiate de l'intervention du Hezbollah, l'inscription probable de son aile militaire sur la liste des organisations terroristes de l'Union européenne. Dans tous les cas, c'est désormais la position de la France, qui y était jusque-là hostile. C'est ce qu'a expliqué le porte-parole du Quai d'Orsay lors de son point presse du 23 mai :
 
Bien sûr, le porte-parole n'évoque pas les autres ingérences en Syrie, notamment celles des partisans du mouvement du 14-Mars, dirigé par Saad Hariri.
 
L'étrange destin des alaouites syriens - Le Monde diplomatique : par Sabrina Mervin, janvier 2013
Alors que les combats s'intensifient en Syrie et que l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) déploie des missiles Patriot en Turquie, le régime de M. Bachar Al-Assad tente de réprimer un soulèvement populaire qui dispose de soutiens étrangers. Il s'appuie sur une violence sans limites, mais aussi sur la crainte qu'inspire aux minorités, et en premier lieu aux alaouites, la montée d'un islamisme sunnite djihadiste et la terreur des représailles qu'implique leur appartenance au clan Assad.
 

Journalistes. Aujourd'hui, les observateurs s'interrogent : vont-ils se diviser ? Se désolidariser du régime ? Peu d'alaouites ont rejoint l'opposition au risque de se voir exclus de leur communauté, que soudent avant tout la terreur des représailles et la conviction que personne ne peut représenter une solution de rechange économiquement ou politiquement crédible au clan Assad. Une longue histoire de dissidence religieuse, de persécutions et de répression explique en partie les hésitations des alaouites, qui, il y a un siècle, étaient appelés « nosairis 
 
 
 
FRANCE 24 Reporters : SYRIE - DOCUMENTAIRE http://www.youtube.com/watch?v=55IVz0_FX6Y
 
 
 

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Syrie, le crépuscule des Assad - YouTube :
 
 

 
 
Syrie - dans l'enfer de la repression (1/4) - YouTube
 
 

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1) «  Syrie : la révolution s'arme et a besoin de l'OTAN  », La Règle du jeu, 30 septembre 2011.
(2) «  Bachar el-Assad s'est enfui... sur Twitter  », LePoint.fr, 30 janvier 2012.

(3) «  Bachar Al-Assad a-t-il tenté de fuir la Syrie vers Moscou  ?  », NouvelObs.com, 30 janvier 2012.

(4) «  Bataille de Damas : les jours d'Assad sont-ils comptés  ?  », «  Le débat  », France 24, 19 juillet 2012.

(5) «  Torture archipelago : Arbitrary arrests, torture and enforced disappearances in Syria's underground prisons since March 2011  » (PDF), Human Rights Watch, New York, 3 juillet 2012.

(6) Cf. par exemple les reportages de Patricia Allémonière, diffusés en juillet sur TF1.

(7) «  Abou Hajjar, combattant français en Syrie  », Le Figaro, Paris, 4-5 août 2012.

 
 
 
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Tags : Syrie, Le Monde diplomatique, Bachar Al-Assad, Karim Emile Bitar, faubourgs de Damas bombardés, la brigade Tahrir al Cham, massacre, Conseil national syrien, CNS, Turquie, Qatar, Arabie saoudite, attaque chimique, l'Armée syrienne libre, ASL, l’Observatoire syrien des droits de l’homme, OSDH, les Frères musulmans, Etats-Unis, France, Israël, le Hezbollah, Documentaire, "Syrie Interdite", France 2 Envoyé, Le conflit en Syrie, Alep Syrie, vivre avec la guerre
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#Posté le jeudi 22 août 2013 10:27

Modifié le samedi 09 avril 2016 16:42

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