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"nous ne sommes pas dans une vrai démocratie mais dans une aristocratie élective"
je vous propose cette petite vidéo enrichissante et bien plus intéressante que tous les débats vides de sens où tout le monde s'emmerde qui on lieu actuellement
Démocratie : histoire d'un malentendu
« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude... »
— Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes (1939)
" Il y a des esclaves sans maître, dont l'esclavage est tel qu'ils ont perdu tout maître, tout espoir d'affranchissement, comme toute possibilité de révolte." Maurice Blanchot : De la servitude moderne - DOCUMENTAIRE COMPLET -... YOUTUBE.COM
Le MONDE SOUS SURVEILLANCE /
P92 Le problème, je vous l'ai dit, c'est que les gens ont besoin de la peur... Pourquoi croyez-vous qu'ils allument leurs écrans chaque soir ? Pour savoir à quoi ils ont échappé... La peur est rare, voyez-vous. La vraie peur, celle à laquelle on peut s'identifier, celle qui vous frôle au point de vous cuire la peau, celle qui entre dans la mémoire et y tourne en boucle jour et nuit. Et pourtant, cette denrée-là est vitale. Dans une société de liberté, c'est la seule chose qui fait tenir les gens ensemble. Sans menace, sans ennemi, sans peur, pourquoi obéir, pourquoi travailler, pourquoi accepter l'ordre des choses ? Croyez-moi, un bon ennemi est la clef d'une société équilibrée. Cet ennemi-là, nous ne l'avons plus.... Nous sommes victimes de notre succès, en un sens. La protection sociale a bien travaillé. Les églises, les mosquées, les synagogues, les sectes, les banlieues, les associations sont truffées d'indicateurs. Tout est donc sous contrôle. Le danger, nous l'avons repoussé à l'extérieur, dans les non-zones. Mais les non-zones sont isolées, morcelées, à ce point bombardées que toute force organisée y a été aussi cassée.... Si nous voulons de bons ennemis, ce sera à nous de susciter des vocations.
» Lire aussi - Manuel Valls : «L'islamisme, voilà l'ennemi»
nous verrons en quoi cet écoterrorisme pourrait fort bien représenter un changement paradigmatique dans le phénomène terroriste pris dans sa globalité. En d'autres termes, nous évaluerons le caractère « révolutionnaire » de l'écoterrorisme par rapport aux types de terrorisme que nous pouvons voir en action. Cela nous permettra de comprendre pourquoi l'écoterrorisme risque de devenir l'une des formes de terrorisme dominantes dans les prochaines années. J'aime - 34 partages
Yannis Youlountas - J'aime - 34 partages
Selon nos informations, plusieurs lénino-léninistes, trosko-troskistes, guévaro-guévaristes et même des appelo-appelistes seraient également sous surveillo-surveillance.
Selon nos informations, plusieurs lénino-léninistes, trosko-troskistes, guévaro-guévaristes et même des appelo-appelistes seraient également sous surveillo-surveillance.
Une source proche du dossier précise que l'extrême-gauchisme de gauche, politiquement situé tout au fond à gauche de l'ultra-gauche gauchisée, est, plus que jamais, dans le collimateur de la police policière et des plus importants services de renseignements ultra-secrets chercho-investigatoires spécialisés dans la redondance superfétatoire du pléonasme amplificateur de la menace d'extrême-gauche ultra-gauchiste anarcho-libertaire.
N°9 - Ultime Hyper Totale gauche (UHT)
<< La France est un pays de flic, à chaque coin de rue y'en a 100, pour faire régner l'ordre public ils assassinent impunément >>. Il est loin ce texte mais plus que jamais d'actualité ; toutes ces agressions de manifestants et étudiants, et surtout les meurtres des Zyed, Bouna, Rémi, Amine et centaines d'autres victimes devraient faire fermer la grande gueule moisie d'un Renaud devenu indigne de son époque comme de son passé.
la publication de François Roquet.
""Casse-toi", lui lance le CRS, après avoir fendu l'air de sa matraque. Le manifestant recule de quelques pas, avant de répondre : "Je n'ai rien fait, je n'ai rien fait". Le policier lui assène un premier coup de matraque sur l'épaule, un autre sur le genou. Il lui balance ensuite un coup de pied, avant de le frapper à la tête. L'homme s'écroule, le policier s'en va."
VIDEO. Manifestation contre la loi travail : un CRS donne un coup de matraque sur la tête d'un manifestant
Combien de crânes ouverts et autres blessures graves, d'hospitalisations comme de points de suture, de tirs de flashballs, d'insultes, de menaces, d'arrestations jusque devant les lycées, de gardes à vue et de procès, avant que nous ne cessions de tolérer cela ? Combien de Malik Oussekine, combien de Rémi Fraisse, finiront-ils par s'autoriser, combien d'Amine Bentounsi, de Zyed Benna, de Bouna Traoré et de violences policières quotidiennes dans les quartiers populaires surviendront encore, si nous ne mettons pas un terme à cette mécanique aussi sinistre qu'indigne ?
Une telle violence exprime bel et bien l'infini mépris à l'égard de ces jeunes que François Hollande avait prétendu mettre au c½ur de son mandat" Un pouvoir qui matraque la jeunesse est faible et méprisable LIBERATION.FR
Véridique !
Bilan des violences policières hier à Marseille :
Boulevard Baille :
- un syndicaliste Sud blessé par tir de flash-ball à la gorge
- un collégien blessé à la paumette par tir de flash-ball
- 4-5 lycéens blessés par tirs de flash-ball et de grenade de désencerclement (à la poitrine, aux coudes, à l'arrière du crane...)
- le camion de Sud et son pare-brise visés délibérément par plusieurs tirs tendus de lacrymo et de flash-ball
En haut du parc Longchamp, place Labadie :
- tirs de flash-balls visant la tête, mais certains arrêtés par la banderole renforcée de tête de manif
- un flashball dans le ventre.
- lancement de grenades lacrymos à main et de grenade de désencerclement au dernier moment après dégoupillage de sorte qu'elles explosent en l'air - à hauteur de visage - et non au sol.
- une personne blessée au coude par une grenade de désencerclement.
Ratonnade des BACeux dans le 3ème et le 14ème après le blocage des voies :
- tabassages en bonne et dûe forme à divers endroits de ces quartiers, gros coups de tonfa sur la tête à tomber par terre
- saccage d'une boulangerie par la BAC où s'étaient réfugiés des manifestant-e-s, ainsi qu'une pharmacie.
- matraquage et gazage de personnes qui escaladaient les grillages pour s'enfuir.
- bus arrêtés par les flics pour contrôle des passagers
- "chasse aux gauchistes" dixit certains BACeux
- plusieurs personnes poursuivies sont tombées dans le vide d'une hauteur de cinq-six mètres.
- A la gare, deux personnes qui voulaient rejoindre le cortège sont tabassées
A l'hôpital
- Au moins deux personnes gravement blessées à la tête.
- Plusieurs mains fracturées.
- Une greffe de peau a été nécessaire suite à des brûlures à un degré intense.
A lire
Retour sur la grosse répression du 28 avril
Publié le 29 avril 2016 |
Marseille arrestations | violences policières | Justice
Serge Halimi Libéralisme 1, Serge Halimi Le libéralisme 2, Loi travail : le grand bond en arrière - vidéo Dailymotion :
un lien.
Violence policière contre la révolution : Mai 68
A la manif parmi les casseurs. Témoignage.
J'ai pensé à Renaud, Renaud le mec d'aujourd'hui tout attendri pour un flic qui pleure. Moi aussi j'ai vu un flic pleurer. Je vous raconterai. Et puis moi aussi j'ai pleuré mais je ne laisserai le mystère : j'ai pris du gaz plein la gueule, les yeux, la gorge. 3 fois !
J'ai tout vu, pont d'Austerlitz, j'étais devant sur le trottoir face aux “black block”. J'étais là parce que j'ai retrouvé 3 mecs supers ! Je les avais connu sales mômes à l'adolescence. Des mômes de banlieue, de Villetaneuse, chiant et attachants. Maintenant ce sont de super trentenaires et ils participent à la révolte de la jeunesse. Vraiment des mecs bien, des mecs conscients... Et donc, ils m'entrainent devant.
Les “black block” sont une cinquantaine et paraissent très jeunes pour la majorité. Ils ont des slogans pas sympas pour la “flicaille”, ça c'est sûr mais jusqu'au pont d'Austerlitz rien de plus grave. Autour, à quelques pas, autant de policiers (CRS, Gendarmes ? oublié de vérifier) bien casqués. Et puis ceux en civil (une bonne dizaine). Pourquoi en civil alors qu'ils ont tous le même sac à dos, un casque léger dès que ça chauffe ? Et puis quelques autres flics en civil, plus discrets avec des autocollants syndicaux mais une proximité et une attitude qui fait qu'ils sont vite repérés.
Jusqu'au pont d'Austerlitz, pas de casse, nada... Pourtant la tension est forte, la police est à 2 pas des “black block”. Et au pont tout dégénère. La police entre dans la manif, lâche les gaz, un nuage. La baston peut commencer.
Saloperie de gaz ! Qu'est-ce que ça pique cette saloperie ! D'abord les yeux, puis la gorge lorsque j'ai parlé pour expliquer à une personne qu'elle devait rebrousser chemin, ça devenait irrespirable. Plein de monde sort les masques (papier, tissus, quelques uns plus sophistiqués). Les lunettes de piscine, de ski sont géniales, j'ai regretté de ne pas en avoir). Je croise une inconnue qui me pulvérise un liquide dans les yeux (j'ai oublié de lui dire merci, elle en méritait 1000 !)
Quel ordre ont reçu les flics ? C'est infâme. Ca ne peut qu'être volontaire. Sûr, ça plombe l'ambiance de la manif ! C'était le premier but. La manipulation des infos également. BFM s'est régalé. Mais ce n'est pas fini. Ce n'était que le premier gazage.
Enfin on passe le pont. On a fait peut être 100m et blocage à nouveau. Blocage devant. Blocage sur les côtés avec interdiction de passer (pour quelle raison de sécurité ?). Et blocage derrière à nouveau sur le pont. Derrière ça pète fort. Grenade assourdissantes, nuage de gaz. Et nous dans la sourricière. C'était prévu, j'avais vu les flics mettre le masque à gaz. J'avais cherché un abri. A ce moment j'étais avec un vieil ami, ancien prof de fac, 70 ans. Il n'y a pas d'âge pour prendre sa dose de gaz. J'ai eu peur pour lui.
Et la colère prend ce vieil ami. Il va invectiver ces flics en armure, ces hommes aux ordres de la honte. Il y a de la colère, plein de colère. Et arrive d'autres hommes, eux aussi les cheveux gris, eux aussi de l'âge avancé. Et là, comme ça, se crie notre écoeurement, notre indignation. Je me souviens avoir dit que c'était une honte pour la République, que le flic français qui avait arrêté mon père pour les nazis était leur digne père. Et purée, surprise, ils étaient mal ces flics, que ce qu'ils faisaient était une honte pour leur uniforme. Oui, mal. Il restait un peu de conscience humaine sous ces têtes casquées. Le plus jeune ne pouvait plus nous regarder. Il montrait une réelle émotion. J'ai vu des tarés après, bien heureux de montrer leur virile force, leur mépris... Mais ce n'est pas tous...
Et la manif reprend. Il fallait en vouloir, être décidé. On repart. On arrive place de la Nation. Je ne me souviens plus pourquoi mais je ne suis plus tout à fait dans la tête de la manif. Quelques traces ici aussi des échauffourées mais les musiques retentissent, les tam tam et les danses de fin de manif qui annoncent que la place va rester à la manif encore un bout de temps. Il fait soleil et beaucoup de monde est assis autour de la place. C'est agréable. La rue vers l'hopital des Diaconesses est bloquée par la Police mais nous n'y faisons pas attention. Je m'assois également et je rédige quelques commentaires destinés à ma page Facebook. Les manifestants de Sud Rail arrivent. Je regarde si mon voisin s'y trouve. Et là, tout d'un coup, une pluie de grenades. Ca fume de partout autour de moi, autour de nous. Pourquoi cet énorme déclenchement ? Il y avait encore des manifestants qui passaient entre la Police et la place. Ca ne laissait pas beaucoup de possibilité de provoquer les flics ! Du gaz partout. Il faut se tirer, marcher, et les yeux brulent et ne demandent qu'à se fermer. Vers la statue centrale c'est un peu moins exposé. Un type doit calmer ses chiens et leur met un vêtement sur la tête. Il y a des gamins parmi nous... Des gamins ! Leurs parents se croyaient dans un pays libre... Je vois des jeunes, lunettes et écharpes sur la bouche, donner des coups de pieds dans les grenades de gaz (petites, plates et lachant leurs gaz au milieu de nous).
Ces attaques à la grenade sont coordonnées. Je découvre du centre que toutes les rues sont barrées par la police casquée. Et voila qu'à tour de rôle ça part de toutes les issues (sauf la rue de l'arrivée de la manif par où je finirai par repartir). Et j'ai vu des CRS sourire, méprisants devant nos galères à sortir de cet enfermement. J'ai vu un jeune homme (la trentaine) protester de ne pouvoir passer pour partir et ce faire alpaguer comme pas possible : projeté contre un mur, insulté. Courageux homme qui ne lâche pas, que j'entends crier “vas y frappe, j'ai pas peur. Frappe”... Malaise. Ce n'est pas prévu dans les manuels de CRS qu'un type est pret à se faire frapper pour garder sa dignité... Je reste à regarder, s'il faut témoigner. Je cris juste “c'est une honte”... Au bout d'un temps qui me parait très long, le type peut partir libre.
Je veux prendre le Métro. Les grilles sont tirées ! Impossible ! Les premiers crient “collabos”. Dedans aussi des manifestants protestent. Dégueulasse !
Hé Renaud, arrête de chialer avec un flic. En tout cas pas quand il est en uniforme, pas quand il est aux ordres. Seulement lorsqu'il redevient homme.
Serge Grossvak
le 28/04/2016 avec un gout persistant de gaz dans la gorge.
L'objectif est de faire état de l'étendue des violences policières sur les manifestants qui ne sont que trop peu recensées et médiatisées.
À la différence d'une plainte déposée à l'IGPN/IGS (police des polices) ou au procureur de la République, une saisine du Défenseur des droits (DDD) n'implique aucun risque de poursuites pour les manifestants.
Nous invitons donc toute personne victime, témoin ou détentrice d'images ou vidéos montrant un usage anormal et/ou disproportionné de la force par les policiers, à nous les communiquer. Ces vidéos seront floutées afin de garantir l'anonymat des autres manifestants :
• Blocage par encerclement (dits « nasse » ou « keetling »)
• Tir de flash-ball/LBD40 (ex. : tirs à bout portant, tirs à hauteur de visage...)
• Utilisation abusive des gaz (poivre, lacrymo, cayenne...)
• Lancé en cloche de grenades de désencerclement et de grenades assourdissantes...
• Coups de matraque ou « tonfa » portés sur des parties vitales (tête, colonne vertébrale...)
• Intervention violente de policiers en civil sans port du brassard marqué « POLICE »
• Tout autre usage disproportionné de la force, notamment au cours de l'interpellation.
S'agissant des victimes directes de violences policières, nous souhaiterions, dans la mesure du possible, obtenir de leur part :
• Une copie du certificat médical (les médecins sont soumis au secret médical, inutile de mentir sur les conditions dans lesquelles vous avez été blessé et/ou interpellé. Il est fondamental que vous informiez le plus complètement possible le médecin qui vous examinera : ceux-ci ne sont pas autorisés à communiquer ces éléments à la police)
• Des photos des blessures
• Un récit détaillé des événements (contexte de l'action et étendue des blessures).
Les témoignages seront reçus sur une boite mail sécurisée assurant l'anonymat des victimes comme des témoins. Une seule adresse : violencespolicieres@riseup.net
Une telle procédure n'emportera aucune conséquence pour la personne qui nous contacte : le collectif s'emploie, en lien avec des avocats, à recenser pour dénoncer l'usage abusif de la violence par la police.
Le collectif « STOP VIOLENCES POLICIÈRES »
A lire Violences policières : appel à témoins
VIOLENCES POLICIÈRES CONTRE LA POLICE !
Hier, dans la grande salle luxueusement décorée de l'hôtel de ville de Lyon, l'inspecteur la bavure a dégoupillé par erreur une grenade lacrymogène en pleine réunion de notables, d'experts et de fonctionnaires bleu-marine, juste avant la prise de parole du ministre de la répression.
Malgré l'ouverture immédiate des fenêtres dorées, les complices du sinistre Cazeneuve ont suffoqué et pleurniché en respirant un échantillon des montagnes de saloperies déversées sur les manifestants ces temps-ci.
Nous remercions solennellement le fonctionnaire maladroit pour son geste inopiné et invitons tous ses collègues assermentés à se tripoter les grenades durant les prochaines réunions.
Demain, dans une caserne, un trouffion va-t-il nous faire le plaisir de titiller son Famas devant ses officiers ?
Et la garde présidentielle, à l'Elysée, elle ne se gratte jamais ?
Y.Y.
Malheureusement, aucune des sources ne nous font le plaisir de publier des photos :
http://www.radioscoop.com/infos.php?id=116485
un lien., un lien.Manifestations du 1er-Mai : le discours officiel sur les casseurs contesté par le terrain
la vidéo de Nantes Révoltée."Que s'est-il passé le 28 avril à Nantes ?
Au tout début du parcours, alors que la manifestation venait de démarrer, et sans aucune raison apparente, la police a attaqué la tête de cortège sur le Cours Saint-Pierre.
Le cortège jeune, qui menait la manif, a subi simultanément une charge de la BAC à coups de grenades lancées sur les lycéens, et un mur de policiers bloquant la rue empruntée par la manifestation, avec des tirs de balles en caoutchouc en rafale sur les porteurs de banderole.
Face aux agressions policières, autodéfense populaire !"
CIP NAT a ajouté 17 photos à l'album OCCUPATION DES THEATRES PUBLICS - nous sommes aussi chez nous.
Nous appelons à la grève générale et au blocage économique par tous les moyens possibles, jusqu'à ce que nos propositions soient entendues et mises en ½uvre.
Ce que nous défendons, nous le défendons pour tou.te.s et AVEC tou.te.s !
Révoltes urbaines, au-delà des préjugés (La tentation de l'émeute + Les raisons de la colère)
A la manif parmi les casseurs. Témoignage.
l'article de">Serge Grossvak dans le groupe Anarchistes sur facebook.
un lien., un lien.Manifestations du 1er-Mai : le discours officiel sur les casseurs contesté par le terrain
Miss Helium - Tolerance zero
Les films et docs exprimants la rebellions, la recherche de soi, le spleen adolescent...
Control, LAST DAYS -2005, Renoir, Badlands, Fight Club,
On Achève Bien Les Chevaux, Thelma and Louise 1991,
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