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la servitude moderne




Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles." 
William Shakespeare


La critique des libéraux et néolibéraux de l'état providence, même en miette après plus de 30 ans de néolibéralisme et de casse social (
 
 :« Toutefois, t, l'Etat, toujours et partout, travaille à mal diriger le capital, à déformer les marchés et à accepter la sottise.». cf « La main invisible » - Citizen Khen
 
Le système néolibéral se moque de nous de façons. Les mêmes personnes créer les problèmes, « puis les solutions » :,  L'Histoire des Choses, Documentaire | L'Histoire des Choses, :, Batailles pour l'énergie - Le Monde diplomatique -, La crise de l'Euro, c'est la crise du modèle occidental
 
la servitude moderne
 Chapitre II : La servitude moderne "Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles." William Shakespeare
 
La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent généreusement à leur donner, s'ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu'ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d'absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d'abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. Voila bien l'étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l'Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a construite pour eux.
 
Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n'aspirent finalement qu'à se laisser aller dans la danse macabre du système de l'aliénation. L'oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d'occulter notre condition d'esclave. Montrer la réalité telle qu'elle est vraiment et non telle qu'elle est présentée par le pouvoir constitue la subversion la plus authentique. Seule la vérité est révolutionnaire.
 
 
 
2. Le capitalisme doit son expansion et sa domination au pouvoir qu'il a pris en l'espace d'un siècle sur la production et la consommation à la fois. cf  Charlie Chaplin Les Temps Modernes ,
Chaplin Modern Times - Les Temps modernes ( durée 39 min),Charlie Chaplin-Modern Times.mpg (durée 1h27 min), de la servitude moderne - video , :
 
« Tout ce qui n'est pas donné est perdu.»
Proverbe indien

 
De la servitude moderne,
 

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De la servitude moderne,1ère partie (sur 3, De la servitude moderne, 2ème partie (sur 3), De la servitude moderne, 3ème partie (sur 3 , 07/04/2012 La sortie du capitalisme a déjà commencé
 Pier Paolo Pasolini déclara en 1970 : « Je ne peux plus fixer mon regard, plus de quelques instants, sur un écran de télévision. C'est physique, ça me donne la nausée ». L'homme était poète. L'homme est mort. Deux raisons pour parler de lui." Par Max Leroy. Pasolini et le fascisme de la consommationr agemag.frPier Paolo Pasolini - poète, écrivain et cinéaste - n'a cessé de mettre en garde ses contemporains contre la marchandisation des sociétés humaines.

 
     La diffusion du film se situant volontairement en dehors de tout circuit médiatique ou commercial, il dépend de la bonne volonté des camarades d'en assurer la diffusion la plus large possible. Vous êtes donc tout à fait libres d'organiser une projection de ce film dans les conditions qu'il vous plaira.
    Le seul impératif est que la diffusion ou la projection de ce film doivent demeurer totalement gratuites. Il serait éventuellement appréciable de nous faire parvenir un mail en indiquant la date, l'heure et le lieu de la projection afin que nous puissions relayer l'information sur notre site internet. Si vous souhaitez une éventuelle intervention de notre part, vous pouvez également nous contacter par mail.
    Il va de soi que les organisations nationalistes, racistes ou antisémites n'auront jamais notre approbation pour s'approprier ce film sous quelque forme que ce soit. Ils figurent bien évidemment au premier rang de nos ennemis.     
Jean-François Brient et Victor León Fuentes
 
La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent généreusement à leur donner, s'ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu'ils devront servir. Pour que cette tragédie mêlée d'absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d'abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. Voila bien l'étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l'Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a construite pour eux. Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur.  

    Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n'aspirent finalement qu'à se laisser aller dans la danse macabre du système de l'aliénation. 

    L'oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d'occulter notre condition d'esclave. 
    Montrer la réalité telle qu'elle est vraiment et non telle qu'elle est présentée par le pouvoir constitue la subversion la plus authentique. 
    Seule la vérité est révolutionnaire.


Chapitre II : La servitude moderne

    À mesure qu'ils construisent leur monde par la force de leur travail aliéné, le décor de ce monde devient la prison dans laquelle il leur faudra vivre. Un monde sordide, sans saveur ni odeur, qui porte en lui la misère du mode de production dominant. 
    Ce décor est en perpétuel construction. Rien n'y est stable. La réfection permanente de l'espace qui nous entoure trouve sa justification dans l'amnésie généralisée et l'insécurité dans lesquelles doivent vivre ses habitants. Il s'agit de tout refaire à l'image du système : le monde devient tous les jours un peu plus sale et bruyant, comme une usine. 
    Chaque parcelle de ce monde est la propriété d'un État ou d'un particulier. Ce vol social qu'est l'appropriation exclusive du sol se trouve matérialisé dans l'omniprésence des murs, des barreaux, des clôtures, des barrières et des frontières... ils sont la trace visible de cette séparation qui envahit tout. 
    Mais parallèlement, l'unification de l'espace selon les intérêts de la culture marchande est le grand objectif de notre triste époque. Le monde doit devenir une immense autoroute, rationnalisée à l'extrême, pour faciliter le transport des marchandises. Tout obstacle, naturel ou humain doit être détruit.
    L'habitat dans lequel s'entasse cette masse servile est à l'image de leur vie : il ressemble à des cages, à des prisons, à des cavernes. Mais contrairement aux esclaves ou aux prisonniers, l'exploité des temps modernes doit payer sa cage. 


« Car ce n'est pas l'homme mais le monde qui est devenu un anormal. »


 Chapitre III : L'aménagement du territoire et l'habitat

« L'urbanisme est cette prise de possession de l'environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l'espace comme son propre décor. »
La Société du Spectacle, Guy Debord.
 
Mon Oncle de Jacques Tati : Bande annonce
 

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 Watch TV Movies Mon Oncle 1958 - Jacques Tati, Jean-Pierre Zola
 
À mesure qu'ils construisent leur monde par la force de leur travail aliéné, le décor de ce monde devient la prison dans laquelle il leur faudra vivre. Un monde sordide, sans saveur ni odeur, qui porte en lui la misère du mode de production dominant. 
    Ce décor est en perpétuel construction. Rien n'y est stable. La réfection permanente de l'espace qui nous entoure trouve sa justification dans l'amnésie généralisée et l'insécurité dans lesquelles doivent vivre ses habitants. Il s'agit de tout refaire à l'image du système : le monde devient tous les jours un peu plus sale et bruyant, comme une usine. 
    Chaque parcelle de ce monde est la propriété d'un État ou d'un particulier. Ce vol social qu'est l'appropriation exclusive du sol se trouve matérialisé dans l'omniprésence des murs, des barreaux, des clôtures, des barrières et des frontières... ils sont la trace visible de cette séparation qui envahit tout. 
    Mais parallèlement, l'unification de l'espace selon les intérêts de la culture marchande est le grand objectif de notre triste époque. Le monde doit devenir une immense autoroute, rationnalisée à l'extrême, pour faciliter le transport des marchandises. Tout obstacle, naturel ou humain doit être détruit.
    L'habitat dans lequel s'entasse cette masse servile est à l'image de leur vie : il ressemble à des cages, à des prisons, à des cavernes. Mais contrairement aux esclaves ou aux prisonniers, l'exploité des temps modernes doit payer sa cage. 


« Car ce n'est pas l'homme mais le monde qui est devenu un anormal. »
Antonin Artaud
 
 Chapitre IV : La marchandise

« Une marchandise paraît au premier coup d'½il quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilité métaphysique et d'arguties théologiques. »
Le Capital, Karl Marx
 



Et c'est dans ce logis étroit et lugubre qu'il entasse les nouvelles marchandises qui devraient, selon les messages publicitaires omniprésents, lui apporter le bonheur et la plénitude. Mais plus il accumule des marchandises et plus la possibilité d'accéder un jour au bonheur s'éloigne de lui. 

« A quoi sert à un homme de tout posséder s'il perd son âme. »

                    Marc 8 ; 36
 

Détruire pour consommer toujours plus
 

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Initialement, les lois de "certificat de nécessité" s'appliquaient uniquement aux transports en commun comme les chemins de fer et les services publics (compagnies de gaz et d'électricité).
 
- Une augmentation de la production, donc de l'abondance
- Une baisse des couts et des prix, donc la " démocratisation" des biens réservés à une élites
- une réduction de la durée de travail, surtout sur le long terme, voir chomage technique
- Disparition des biens obsoletes, remplacés par des substituts technique plus évolués, les disques vinyles et les cassettes par les CD, MP3 et DVD; les guichets de banques par les GAB et la " Banque directe" ( par téléphone ou Internet) cf Prêt à jeter - YouTube : : Film documentaire réalisé par Cosima Dannoritzer en 2010.

    La marchandise, idéologique par essence, dépossède de son travail celui qui la produit et dépossède de sa vie celui qui la consomme. Dans le système économique dominant, ce n'est plus la demande qui conditionne l'offre mais l'offre qui détermine la demande. C'est ainsi que de manière périodique, de nouveaux besoins sont créés qui sont vite considérés comme des besoins vitaux par l'immense majorité de la population : ce fut d'abord la radio, puis la voiture, la télévision, l'ordinateur et maintenant le téléphone portable. 
    Toutes ces marchandises, distribuées massivement en un lapse de temps très limité, modifient en profondeur les relations humaines : elles servent d'une part à isoler les hommes un peu plus de leur semblable et d'autre part à diffuser les messages dominants du système. Les choses qu'on possède finissent par nous posséder. 



 Chapitre V : L'alimentation

« Ce qui est une nourriture pour l'un est un poison pour l'autre. »

Paracelse


Mais c'est encore lorsqu'il s'alimente que l'esclave moderne illustre le mieux l'état de décrépitude dans lequel il se trouve. Disposant d'un temps toujours plus limité pour préparer la nourriture qu'il ingurgite, il en est réduit à consommer à la va-vite ce que l'industrie agro-chimique produit. Il erre dans les supermarchés à la recherche des ersatz que la société de la fausse abondance consent à lui donner. Là encore, il n'a plus que l'illusion du choix. L'abondance des produits alimentaires ne dissimule que leur dégradation et leur falsification. Il ne s'agit bien notoirement que d'organismes génétiquement modifiés, d'un mélange de colorants et de conservateurs, de pesticides, d'hormones et autres inventions de la modernité. Le plaisir immédiat est la règle du mode d'alimentation dominant, de même qu'il est la règle de toutes les formes de consommation. Et les conséquences sont là qui illustrent cette manière de s'alimenter.
    Mais c'est face au dénuement du plus grand nombre que l'homme occidental se réjouit de sa position et de sa consommation frénétique. Pourtant, la misère est partout où règne la société totalitaire marchande. Le manque est le revers de la médaille de la fausse abondance. Et dans un système qui érige l'inégalité comme critère de progrès, même si la production agro-chimique est suffisante pour nourrir la totalité de la population mondiale, la faim ne devra jamais disparaitre. 



Centres commerciaux : la grande illusion - Documentaire 2015
N'oubliez pas de la partager avec vos connaissances en diffusant le lien ci-dessous :

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http://nonaeuropacity.wesign.it/fr
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Imaginé depuis plusieurs années par le groupe Auchan, le projet EuropaCity est sur le point de devenir réalité. Le débat public portant sur la construction de cette ville artificielle entièrement dédiée à la consommation et aux loisirs vient de s'ouvrir. Retour en images sur un chantier hors du commun.
80 hectares de superficie sur lesquels s'étaleront 23.000 mètres carrés de commerces, 20.000 mètres carrés de restaurants, des salles de spectacle, un aquarium... et même, accrochez-vous, une piste de ski. Bienvenue à EuropaCity, le projet immobilier de tous les superlatifs que le groupe Auchan entend implanter d'ici 2024 à Gonesse dans le nord-est de Paris. 

Dix ans après les premiers plans, le débat public portant sur ce chantier unique en son genre s'est ouvert jeudi. Non sans s'attirer les foudres de nombreux opposants locaux qui lui reprochent notamment de mettre en péril les terres agricoles.

Il faut dire aussi que l'implantation soudaine de ce projet pharaonique à 3,1 milliards d'euros – financés par l'enseigne d'hyper et le groupe immobilier chinois Wanda – a de quoi déboussoler. Centre commercial ? Parc d'attraction ? EuropaCity est un véritable ovni qui ne ressemble à rien de ce qu'on connaît.

Si Auchan aime à définir le lieu comme un futur quartier de vie, avec ses centres d'expo, ses rues, ses transports, ses espaces verts, sa ferme urbaine... le nouvel ensemble sera, aussi et surtout, un temple de la consommation qui vise à attirer près de 31 millions de visiteurs chaque année. Placé sur une zone stratégique, le site bénéficiera à terme de la future ligne de métro du Grand Paris qui le placera à 24 minutes de la gare Saint-Lazare et 7 minutes de l'aéroport Charles de Gaulle. Et pour que chaque touriste soit incité à prolonger son séjour, la ville artificielle accueillera 2.700 chambres d'hôtels ! On s'y voit déjà...

 En attendant, découvrez, en images, à quoi ressemblera le projet . 
Guillaume Chazouillères 
57b7364e382b]Au coeur d'EuropaCity, futur temple la consommation hors normes aux portes de Paris ! 17/03/16 à 17:12
économie et communisme anarchiste : CONSOMMATION ET PRODUCTION
Globalia de Jean Christophe Ruffin - l'indigné révolté
Articles de l-indigne taggés "Globalia" - l'indigné - Skyrock ...
 

« Ils se sont persuadés que l'homme, espèce pécheresse entre toutes, domine la création. Toutes les autres créatures n'auraient été créées que pour lui procurer de la nourriture, des fourrures, pour être martyrisées, exterminées. »

Isaac Bashevis Singer

    L'autre conséquence de la fausse abondance alimentaire est la généralisation des usines concentrationnaires et l'extermination massive et barbare des espèces qui servent à nourrir les esclaves. Là se trouve l'essence même du mode de production dominant. La vie et l'humanité ne résistent pas face au désir de profit de quelques uns. 

Chapitre VI : La destruction de l'environnement

« C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas. »

Le paradoxe du modèle, plus tu licencies, plus les actions montent (temporairement), plus ils en redemandent.
Sur la place de Paris, Air France était sous les feux de l'actualité cette semaine avec une nouvelle étape de son plan Transform 2015 visant à restaurer la rentabilité du groupe. La compagnie française va réduire ses effectifs de 10%, soit 5120 postes, d'ici fin 2013. Des plans de départs volontaires sont prévus, mais pas de licenciements secs à ce stade. Le titre a repris 16,5.% sur cinq jours, la meilleure performance du SBF 120
 
 Le pillage des ressources de la planète, l'abondante production d'énergie ou de marchandises, les rejets et autres déchets de la consommation ostentatoire hypothèquent gravement les chances de survie de notre Terre et des espèces qui la peuplent. Mais pour laisser libre court au capitalisme sauvage, la croissance ne doit jamais s'arrêter. Il faut produire, produire et reproduire encore. 

    Et ce sont les mêmes pollueurs qui se présentent aujourd'hui comme les sauveurs potentiels de la planète. Ces imbéciles du show business subventionnés par les firmes multinationales essayent de nous convaincre qu'un simple changement de nos habitudes de vie suffirait à sauver la planète du désastre. Et pendant qu'ils nous culpabilisent, ils continuent à polluer sans cesse notre environnement et notre esprit. Ces pauvres thèses pseudo-écologiques sont reprises en c½ur par tous les politiciens véreux à cours de slogan publicitaire. Mais ils se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production. Il s'agit comme toujours de changer quelques détails pour que tout puisse rester comme avant.
 
Chapitre VII : Le travail

Travail, du latin Tri Palium trois pieux, instrument de torture.
 
Mais pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l'argent et pour avoir de l'argent, il faut travailler, c'est-à-dire se vendre. Le système dominant a fait du travail sa  principale valeur. Et les esclaves doivent travailler toujours plus pour payer à crédit leur vie misérable. Ils s'épuisent dans le travail, perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations. Ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques uns. 

    L'invention du chômage moderne est là pour les effrayer et les faire remercier sans cesse le pouvoir de se montrer généreux avec eux. Que pourraient-ils bien faire sans cette torture qu'est le travail ? Et ce sont ces activités aliénantes que l'on présente comme une libération. Quelle déchéance et quelle misère ! 

    Toujours pressés par le chronomètre ou par le fouet, chaque geste des esclaves est calculé afin d'augmenter la productivité. L'organisation scientifique du travail constitue l'essence même de la dépossession des travailleurs, à la fois du fruit de leur travail mais aussi du temps qu'ils passent à la production automatique des marchandises ou des services. Le rôle du travailleur se confond avec celui d'une machine dans les usines, avec celui d'un ordinateur dans les bureaux. Le temps payé ne revient plus.

    Ainsi, chaque travailleur est assigné à une tache répétitive, qu'elle soit intellectuelle ou physique. Il est spécialiste dans son domaine de production. Cette spécialisation se retrouve à l'échelle de la planète dans le cadre de la division internationale du travail. On conçoit en occident, on produit en Asie et l'on meurt en Afrique.
 
 
Chapitre VIII : La colonisation de tous les secteurs de la vie


« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. »


Christophe Dejours


L'esclave moderne aurait pu se contenter de sa servitude au travail, mais à mesure que le système de production colonise tous les secteurs de la vie, le dominé perd son temps dans les loisirs, les divertissements et les vacances organisées. Aucun moment de son quotidien n'échappe à l'emprise du système. Chaque instant de sa vie a été envahi. C'est un esclave à temps plein.


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 Chapitre IX : La médecine marchande

« La médecine fait mourir plus longtemps. »


 La dégradation généralisée de son environnement, de l'air qu'il respire et de la nourriture qu'il consomme ; le stress de ses conditions de travail et de l'ensemble de sa vie sociale, sont à l'origine des nouvelles maladies de l'esclave moderne. 
Il est malade de sa condition servile et aucune médecine ne pourra jamais remédier à ce mal. Seule la libération la plus complète de la condition dans laquelle il se trouve enfermé peut permettre à l'esclave moderne de se libérer de ses souffrances. 

    La médecine occidentale ne connaît qu'un remède face aux maux dont souffrent les esclaves modernes : la mutilation. C'est à base de chirurgie, d'antibiotique ou de chimiothérapie que l'on traite les patients de la médecine marchande. On s'attaque aux conséquences du mal sans jamais en chercher la cause. Cela se comprend autant que cela s'explique : cette recherche nous conduirait inévitablement vers une condamnation sans appel de l'organisation sociale dans son ensemble.

    De même qu'il a transformé tous les détails de notre monde en simple marchandise, le système présent a fait de notre corps une marchandise, un objet d'étude et d'expérience livré aux apprentis sorciers de la médecine marchande et de la biologie moléculaire. Et les maîtres du monde sont déjà prêts à breveter le vivant.
Le séquençage complet de l'ADN du génome humain est le point de départ d'une nouvelle stratégie mise en place par le pouvoir. Le décodage génétique n'a d'autres buts que d'amplifier considérablement les formes de domination et de contrôle. 

    Notre corps lui-aussi, après tant d'autres choses, nous a échappé.



 Chapitre X : L'obéissance comme seconde nature

« À force d'obéir, on obtient des réflexes de soumission. »


 La dégradation généralisée de son environnement, de l'air qu'il respire et de la nourriture qu'il consomme ; le stress de ses conditions de travail et de l'ensemble de sa vie sociale, sont à l'origine des nouvelles maladies de l'esclave moderne. 
Il est malade de sa condition servile et aucune médecine ne pourra jamais remédier à ce mal. Seule la libération la plus complète de la condition dans laquelle il se trouve enfermé peut permettre à l'esclave moderne de se libérer de ses souffrances. 

    La médecine occidentale ne connaît qu'un remède face aux maux dont souffrent les esclaves modernes : la mutilation. C'est à base de chirurgie, d'antibiotique ou de chimiothérapie que l'on traite les patients de la médecine marchande. On s'attaque aux conséquences du mal sans jamais en chercher la cause. Cela se comprend autant que cela s'explique : cette recherche nous conduirait inévitablement vers une condamnation sans appel de l'organisation sociale dans son ensemble.

    De même qu'il a transformé tous les détails de notre monde en simple marchandise, le système présent a fait de notre corps une marchandise, un objet d'étude et d'expérience livré aux apprentis sorciers de la médecine marchande et de la biologie moléculaire. Et les maîtres du monde sont déjà prêts à breveter le vivant.
Le séquençage complet de l'ADN du génome humain est le point de départ d'une nouvelle stratégie mise en place par le pouvoir. Le décodage génétique n'a d'autres buts que d'amplifier considérablement les formes de domination et de contrôle. 

    Notre corps lui-aussi, après tant d'autres choses, nous a échappé.



 Chapitre X : L'obéissance comme seconde nature

« À force d'obéir, on obtient des réflexes de soumission. »


Chapitre XI : La répression et la surveillance

« Sous un gouvernement qui emprisonne injustement, la place de l'homme juste est aussi en prison. »
La désobéissance civile, Henry David Thoreau


 Pourtant, il y a encore des individus qui échappent au contrôle des consciences. Mais ils sont sous surveillance. Toute forme de rébellion ou de résistance est de fait assimilée à une activité déviante ou terroriste. La liberté n'existe que pour ceux qui défendent les impératifs marchands. L'opposition réelle au système dominant est désormais totalement clandestine. Pour ces opposants, la répression est la règle en usage. Et le silence de la majorité des esclaves face à cette répression trouve sa justification dans l'aspiration médiatique et politique à nier le conflit qui existe dans la société réelle. 

    

 Chapitre XII : L'argent

« Et ce que l'on faisait autrefois pour l'amour de Dieu, on le fait maintenant pour l'amour de l'argent, c'est-à-dire pour l'amour de ce qui donne maintenant le sentiment de puissance le plus élevé et la bonne conscience.»


Aurore, Nietzsche

Comme tous les êtres opprimés de l'Histoire, l'esclave moderne a besoin de sa mystique et de son dieu pour anesthésier le mal qui le tourmente et la souffrance qui l'accable. Mais ce nouveau dieu, auquel il a livré son âme, n'est rien d'autre que le néant. Un bout de papier, un numéro qui n'a de sens que parce que tout le monde a décidé de lui en donner. C'est pour ce nouveau dieu qu'il étudie, qu'il travaille, qu'il se bat et qu'il se vend. C'est pour ce nouveau dieu qu'il a abandonné toute valeur et qu'il est prêt à faire n'importe quoi. Il croit qu'en possédant beaucoup d'argent, il se libérera des contraintes dans lesquels il se trouve enfermé. Comme si la possession allait de paire avec la liberté. La libération est une ascèse qui provient de la maitrise de soi. Elle est un désir et une volonté en actes. Elle est dans l'être et non dans l'avoir. Mais encore faut-il être résolu à ne plus servir, à ne plus obéir. Encore faut-il être capable de rompre avec une habitude que personne, semble-t-il, n'ose remettre en cause.


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 Chapitre XIII : Pas d'alternative à l'organisation sociale dominante


Acta est fabula
La pièce est joué


  Or l'esclave moderne est persuadé qu'il n'existe pas d'alternative à l'organisation du monde présent. Il s'est résigné à cette vie car il pense qu'il ne peut y en avoir d'autres. Et c'est bien là que se trouve la force de la domination présente : entretenir l'illusion que ce système qui a colonisé toute la surface de la Terre est la fin de l'Histoire. Il a fait croire à la classe dominée que s'adapter à son idéologie revient à s'adapter au monde tel qu'il est et tel qu'il a toujours été. Rêver d'un autre monde est devenu un crime condamné unanimement par tous les médias et tous les pouvoirs. Le criminel est en réalité celui qui contribue, consciemment ou non, à la démence de l'organisation sociale dominante. Il n'est pas de folie plus grande que celle du système présent.  



 Chapitre XIV : L'image

« Sinon, qu'il te soit fait connaitre, o roi, que tes dieux ne sont pas ceux que nous servons, et l'image d'or que tu as dressé, nous ne l'adorerons pas. »

Ancien Testament, Daniel 3 :18


They live - l'indigné



Margaret Thatcher ou la Dame de fer et du laisser-faire 
La bombe du prêt étudiant ? _ l' indigné « Les fissures dans la doctrine du système mondialisé actuel sont de plus en plus nombreuses, même si le peuple n'en a pas confiance » 
Pourquoi parler de crise et mobilisations ? - Saltabank
 
la finance folle , Peur sur l'hôpital , Le chomage a une histoire , Toxic fringues . C'est peut être le point de rupture d'un monde dédié a la finance, un monde dans lequel l'économie n'est plus au service de l'Homme, mais l'homme au service de l'économie.La mise à mort du travail -

 

 
DSK - L'affaire du Carlton en 3 minutes - Vidéo ...
 
Source: lemonde.fr:

 
 "Le pouvoir n'est pas là où il se voit, montre ou cache, il est partout. Partout, donc, il faut résister à la manière de Diogène : voilà l'esprit libertaire." (Michel Onfray)



Imaginer un  monde grâce avec la dictature du marché, politiquement orienter dans une logique fascisante. Le système néolibéral, en forte difficulté essaye de trouver tout les moyens possible (détourner l'attention..


 Lorsque l'accroissement de la rente devient le but déterminant de la politique des firmes – plus important que le profit qui, lui, se heurte à la limite interne indiquée plus haut – la concurrence entre les firmes porte avant tout sur leur capacité et rapidité d'innovation. C'est d'elle que dépend avant tout la grandeur de leur rente. Elles cherchent donc a se surpasser dans le lancement de nouveaux produits ou modèles ou styles, par l'originalité du design, par l'inventivité de leurs campagnes
 
En France, près de trois milliards de personnes franchissent les portes des centres commerciaux chaque année. Des dizaines sont en construction. Les promoteurs immobiliers rivalisent d'ingéniosité pour en concevoir de toujours plus grands. Mais le modèle français, importé des Etats-Unis dans les années 1960, se fissure. La consommation ne suit pas toujours. Des friches apparaissent un peu partout dans l'Hexagone et inquiètent les élus. Des citoyens lancent des recours pour empêcher leur ouverture.

 


On assiste à un vaste processus de transformations économiques, sociales, politiques à l'échelle mondiale. C'est l'émergence d'un nouveau capitalisme mondialisé sous l'effet de deux grandes forces : les nouvelles technologies et la globalisation financière. Ainsi s'opère une transition vers une nouvelle forme de capitalisme dominé par la finance et le savoir. Le nouvel état de l'économie porte plusieurs noms : le new age : âge d'or illustré par le modèle américain = croissance économique forte et durable (grâce aux nouvelles technologies et l'économie de marché) ou encore la nouvelle économie qui est l'ensemble des entreprises appartenant au secteur des nouvelles technologies de l'information et de la communication et dont le développement économique est fondé sur internet dans un nombre toujours plus grand d'activités). " cf Comment s'endetter ? , révolutions technologique , Qu'est ce que c'est... La restructuration ?


 
 

  Surplus, la consommation par la terreur, Je consomme donc je suis -Doc1- (2010) → www.ANTISYSTEME.com
 

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les conséquences seront irréversibles et non maîtrisables.

 
 
 
La forme barbare nous est déjà familière. Elle prévaut dans plusieurs régions d'Afrique, dominées par des chefs de guerre, par le pillage des ruines de la modernité, les mas - sacres et trafics d'êtres humains, sur fond de famine. Les trois Mad Max étaient des récits d'anticipation. Une forme civilisée de la sortie du capitalisme, en revanche, n'est que très rarement envisagée. L'évocation de la catastrophe climatique qui menace conduit généralement à envisager un nécessaire « changement de mentalité », mais la nature de ce changement, ses conditions de possibilité, les obstacles à écarter semblent défier l'imagination. Envisager une autre économie,
d'autres rapports sociaux, d'autres modes et moyens de production et modes de vie passe pour « irréaliste », comme si la société de la marchandise, du salariat et de l'argent était indépassable.



 
 
En d'autre terme :
 

 


 
 
 
Antonin Artaud


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 Chapitre IV : La marchandise

« Une marchandise paraît au premier coup d'½il quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilité métaphysique et d'arguties théologiques. »
Le Capital, Karl Marx
 
Et ce sont les mêmes pollueurs qui se présentent aujourd'hui comme les sauveurs potentiels de la planète. Ces imbéciles du show business subventionnés par les firmes multinationales essayent de nous convaincre qu'un simple changement de nos habitudes de vie suffirait à sauver la planète du désastre. Et pendant qu'ils nous culpabilisent, ils continuent à polluer sans cesse notre environnement et notre esprit. Ces pauvres thèses pseudo-écologiques sont reprises en c½ur par tous les politiciens véreux à cours de slogan publicitaire. Mais ils se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production. Il s'agit comme toujours de changer quelques détails pour que tout puisse rester comme avant.


Déforestation au Brésil : l'opération « greenwashing » de Michel Temer fait long feu
Des zones préservées de l'Amazonie sont menacées par le gouvernement, qui veut autoriser les activités minières ou agricoles.



« Michel Temer s'est lavé les mains et a repassé la responsabilité au Congrès », enrage Maurício Voivodic, directeur exécutif du WWF Brésil. « Temer a effectué une man½uvre politique pour rassurer la société civile et l'opinion », s'offusque l'organisation non gouvernementale Greenpeace Brésil tandis que Gisele Bündchen tweetait le 20 juin qu'elle n'était pas dupe, refusant, quelle qu'en soit la tournure législative, tout recul de la préservation de l'environnement dans son pays.
 
La désinvolture environnementale du Brésil, pourtant signataire des accords de Paris sur le climat, reflète une triste réalité. Celle d'un gouvernement pris au piège du lobby de l'agrobusiness. Le président Michel Temer, impopulaire et suspecté de « corruption passive », doit, pour survivre, s'assurer de l'appui du Congrès, où 40 % des élus font partie de la « bancada ruralista », et sont vus comme les protagonistes de la déforestation.
« Les lois contre l'environnement sont devenues une monnaie d'échange pour obtenir le soutien des ruralistes », se désole M. Voivodic. Depuis 2014, année électorale où le lobby de l'agrobusiness est devenu surpuissant au Congrès, la déforestation a progressé, s'élevant à 14 196 km2, entre juillet 2014 et août 2016, selon l'institut national de recherches spatiales.
 
Déforestation au Brésil : l'opération « greenwashing » de Michel Temer fait long feu
LE MONDE | 24.06.2017
 

Dans un appel d'Avaaz Les Kichwa de Sani Isla nous appellent à l'aide pour empêcher le gouvernement équatorien de transformer leur forêt, la forêt amazonienne, en champ pétrolifère. En attirant l'attention des médias sur ce scandale, nous pouvons faire en sorte que le président Rafael Correa respecte les lois pour l'environnement et ainsi stopper la ruée vers l'or noir en Amazonie. Signez la pétition maintenant:
Au c½ur de l'Équateur, une grande firme tente de transformer la plus belle des forêts vierges en un champ de pétrole. Le peuple Kichwa (les Quechua d'Équateur) résiste avec bravoure et vient de nous appeler à l'aide pour sauver leur terre natale.

Cette communauté a signé un texte pour s'engager à ne jamais vendre ses terres, où chassent les jaguars et où un seul hectare peut héberger une biodiversité plus importante que toute l'Amérique du Nord! Mais le gouvernement équatorien tente d'acheter leur silence pour ouvrir 4 millions d'hectares aux grandes compagnies pétrolières. Le président Correa est en ce moment-même en pleine bataille électorale et il mise sur son image de défenseur de l'environnement et des peuples indigènes. Si nous parvenons à faire comprendre au monde entier que son programme n'est pas si “vert” qu'il le prétend et à propulser la protection de l'Amazonie à la une du débat électoral équatorien, nous pouvons stopper net cette ruée vers l'or noir.

Jusqu'ici, le peuple Kichwa tient bon avec courage mais les grandes firmes pétrolières peuvent arriver à tout moment pour démarrer les forages. Les Kichwa nous appellent à l'aide pour sauver leur Amazonie, notre Amazonie. Signez cette pétition et parlez-en à tous vos amis. Avec un million de signatures, nous pourrons attirer l'intérêt des journalistes du monde entier sur cette question et créer une déferlante médiatique qui forcera Rafael Correa à faire marche arrière:



Suite à la pollution des eaux équatoriennes par Texaco et d'autres grandes compagnies pétrolières et à la destruction de précieux écosystèmes, Rafael Correa avait été le premier dirigeant au monde à reconnaître les droits de «Mère Nature» dans la Constitution. Il avait même déclaré que «l'Équateur n'est pas à vendre» et promu une initiative novatrice dans le Parc national Yasuni, où la communauté internationale finance la non-exploitation des gisements pétroliers et ainsi la protection de la forêt vierge. Aujourd'hui, il est à deux doigts de retourner sa veste.

Détail scandaleux: le territoire des Kichwa se situe en partie dans le Parc national Yasuni. Mais le projet de Rafael Correa est encore plus incroyable: dans quelques jours, des hauts fonctionnaires se rendront dans les grandes capitales mondiales pour proposer aux investisseurs étrangers d'extraire le pétrole sur 4 millions d'hectares de forêt (soit plus que la surface des Pays-Bas!). L'Équateur, comme tous les pays, a le droit d'exploiter ses ressources naturelles, mais même sa propre Constitution précise qu'il doit respecter les droits des peuples indigènes et de leur magnifique forêt, qui rapporte chaque année des millions de dollars à l'Équateur grâce au tourisme.


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Tags : la servitude moderne, charlie chaplin, les temps modernes, Industrie agro-alimentaire, glyphosate, agriculture, santé publique, biodiversité, OGM, Centres commerciaux, la grande illusion, Détruire pour consommer toujours plus, Mensonges et vérités, Mon Oncle, Jacques Tati, Prêt à jeter, Amazonie, enquête, trafic, go fast, afrique, mali
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#Posté le mardi 26 juin 2012 06:19

Modifié le samedi 24 juin 2017 13:52

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