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Grèves 1995:

n
Les Sales Majestés - Camarade (le clip)
 

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Décembre 1995. La France est paralysée par la plus grande grève du secteur public depuis 1968. « Nous sommes dans une situation de blocage et d'affrontement dont chacune et chacun va finir par pâtir. Il faut en sortir, il faut en sortir d'urgence », déclare, solennel, Alain Juppé. Avant d'ajouter : « Je ne retirerai pas le plan de réforme...
 
Extrait La Réforme -Juppé et les grandes grèves de 1995

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Toutes ressemblance avec la situation récente ne serait que fortuite :) 

Grèves 1995: Manifestation contre le plan de réforme de la sécurité sociale | Archive INA
 

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 : « Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.,  Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. " Peut être que le Le président du Medef, Pierre Gattaz y croit plus que les autres.
Mêmes lois antisociales, même répression des mouvements sociaux : alors que 80.000 manifestants étaient venus crier leur colère contre un gouvernement de droite qui sert les patrons. Face à cela, la police était venue armée de ses matraques, de ses gaz lacrymogènes et de ses canons à eau. Pour légitimer sa répression, le gouvernement utilise les mêmes méthodes que Bernard Cazeneuve : « une centaine de casseurs sont venus agresser les forces de l'ordre » répètent les médias belges comme français qui ont couvert l'événement. Pas un mot de la précarité et de la misère que crée cette loi en revanche. De même, des articles entiers sur des policiers blessés qui s'étaient infiltrés dans la manifestation, et pas un sur les manifestant repoussés par les jets d'eaux dont les crânes se sont ouverts. 21 arrestations et 10 blessés tel est le bilan de la repression.
Après deux mois de discours sur la convergence des luttes intersectorielle, il est temps de voir que notre lutte doit se mener à l'échelle internationale : ceux qui défendent les intérêts de nos adversaires agissent partout, en même temps, avec les mêmes méthodes. A nous de savoir dépasser les frontières artificielles qu'ils ont monté entre nous pour mieux nous diviser et mieux nous exploiter.
 
 Hollande : pacte avec le Medef _ Youtube





Béa Ausardia  Extrait "Malgré les promesses du candidat François Hollande pour mettre fin aux licenciements boursiers, 200 salariés d'un grand cabinet de conseil dans l'industrie pharmaceutique en région parisienne, IMS Health France, ont été victimes d'un plan social alors que leur entreprise affiche un chiffre d'affaires en progression de 11%. La pilule a d'autant plus de mal à passer que le PDG du groupe américain, un Français, a lui-même vu son salaire augmenter de 40% pour atteindre 30 millions d'euros annuels.


En tout, ce sont 310 postes qui sont supprimés en France, 20 % des effectifs, pour faire monter la valeur boursière des actions de IMS Health France."
 
 : « Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.,  Les promesses n'engagent que ceux qui y croient. " Peut être que le Le président du Medef, Pierre Gattaz y croit plus que les autres. Le journal de 8h : 200 salariés victimes d'un licenciement boursierUn cabinet de conseil pharmaceutique va supprimer 20% de ses effectifs pour améliorer sa cote en bourse.RTL.FR Sous la pression des syndicats, des jeunes et de sa majorité, le gouvernement a dû revoir son projet de loi réformant le Code du travail. Le texte démarre son marathon parlementaire. Explications.
Personne ne veut du projet de loi El Komry que ce soit les syndicats, les étudiants ou le patronat ( enfin depuis peu) la publication de Fabrice Ch. à Alès contre la loi travail un lien.Loi Travail: conseil des ministres extraordinaire convoqué à 14h30 en vue du 49.3 LIBERATION.FR
N
 la vidéo de France Inter.  HUMOUR - "Macron, les mecs en t-shirt, ça lui fait ni chaud ni froid. D'abord, parce qu'il en a déjà vus (une fois). Et deuxio, parce qu'il n'en a pas peur. Etouais." Sophia Aram
 
Il est marrant de voir le chantage du patronant dont les hommes politiques se font le porte voie. Les nombreux cadeaux fiscales et autres petite sucrerie, trahisant le plus souvent les promesses de campagnes plus obnubilé par leurs petits privilège que pour défendre ce qui leurs ont donné leurs mandat.
 J'ai remarqué que ceux qui parlent de prise d'otages à propos des grévistes sont souvent des privilégiés qui doivent toujours leurs privilèges sur le dos des  sacrifices des plus courageux... cf voir la publication de Stéphane Nouzarède. 

 
 
3 TOUS ONT LE DROIT DES RICHESSES SOCIALES QUI AUJOURD HUI SE RETROUVENT ENTRE LES MAINS DE CERTAINS BANDITS QUE L4ON NOMME RICHES OU BOURGEOIS3
 

n
Il est absurde de croire que le riche détient le droit à accumuler entre ses mains la richesse. Le riche n'a pas le droit de posséder la terre puisqu'elle n'est pas son oeuvre, il ne l'a pas fabriquée de ses mains.
 
La terre doit être, pour cette raison la propriété de tous les êtres humains. N'importe quel titre qui protège la possession d'une partie déterminé de terre, pour une personne, est un titre qui soutient l'inégalité, parce que cela prive le reste des gens du droit d'user des choses qui appartiennent à tous.


La terre est notre mère, la mère de tous les êtres humains, et c'est pour cette raison, qu'aucun d'entre nous ne peut la réclamer pour un usage personnel qui engendrerait l'exclusion des autres. Comme la vrai mère qu'elle est, elle appartient en entier à tous ses enfants, les humains. Il est inutile d'alléguer que ceux qui possèdent la terre l'ont acheté; celui qui l'a vendue a vendu quelque chose qui ne lui appartenait pas. Tout autant inutile d'alléguer qu'elle a été acquise à travers un héritage; celui qui l'a légué en héritage a légué une chose qui ne lui appartenait pas, puisqu'elle appartient à tous les humains. Inutile aussi d'argumenter qu'elle a été obtenue dans une guerre de conquête, étant donné que ce serait justifier le crime qu'on nomme conquête.


Personne ne peut s'approprier les mines, les carrières, les forêts, les sources, parce que tout cela forme une partie intégrante de la terre, et doit être propriété de tous les êtres humains.
 
Personne ne peut profiter, en excluant les autres, des maisons, des machines, des trains et des autres moyens de transport, ainsi que des marchandises de toutes sortes accumulées dans les entrepôts, les greniers, les magasins etc., étant donné que tout doit être considéré pour ce qu'il est : le résultat du travail des générations passées et de la présente. Puisque tous les humains ont coopéré dans la production de cette richesse, celle-ci doit être propriété de tous sans exception.
R Florès Magon

Les Sales Majestés - Oui j'emmerde
 

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Jeudi 20 octobre 23:35 - 00:40
Juppé et les grandes grèves de 1995
 

Documentaire
Réalisé en 2016 par  Cédric Tourbe
Fiche programme


30/05/2016
Hollande : pacte avec le Medef
Merde in France
Créé le mardi 18 février 2014Nos vies discount enquête sur la casse sociale H264 848x480

 


 

Tags : Grèves 1995, Documentaire, Alain Juppé, les grandes grèves, Hollande, pacte avec le Medef
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#Posté le jeudi 20 octobre 2016 18:11

Modifié le lundi 14 novembre 2016 17:27

Foire aux questions abstentionnistes

 
"Aie confiance, citoyen, contribuable, compatriote, administré... !", voilà ce qu'ils te disent tous, en fonction de ce qu'ils vont te demander (ton vote, ton argent, ta vie, ton obéissance...). Et de la confiance, les voilà qu'ils t'en redemandent, en ce moment. Tu peux les voir, les même qui tous les jours te mentent, t'arnaquent, te mettent dans les pires situations de détresse physique, morale et financière, les mêmes qui, en maintenant le système en place, sont à l'origine de la crise permanente et de ses conséquences désastreuses, ils te la demandent tous, en te regardant droit dans le téléviseur et sans sourciller, ton indispensable confiance. Et toi, la leur accorderas-tu cette confiance ?
 
Keny Arkana : « Un autre... est possible
 
Le film commence par cette phrase prémonitoire :
 
«  Il ne faut pas confondre :
L'espoir dans lequel gagne le moins mauvais
Et l'espoir dans lequel gagne
Un projet de transformation
De notre réalité »

 
Je viens de lire : Appel à sanctionner le PS-EELV auxx élections municipales  Par le Mouvement politique d'émancipation populaire (M'PEP) APPEL A SANCTIONNER LE PS-EELV AUX ELECTIONS MUNICIPALES  Le 22 mars 2012.
 
Extrait : " Le Parti socialiste, depuis sa victoire à l'élection présidentielle et aux législatives de 2012, mène une politique dans la stricte continuité de celle conduite par monsieur Sarkozy ( ...) positive pour la population n'est à attendre de l'acharnement avec lequel les socialistes appliquent les dogmes les plus éculés de la doctrine néolibérale (...) Car telle est la réalité d'aujourd'hui : le PS, abusant de son image mythique de parti de « gauche », arrive à faire passer des « réformes » (néolibérales) mieux que la droite. Par défaut, le M'PEP appelle à voter pour des listes de citoyens intègres, attachés à l'indépendance de notre pays, aux libertés des collectivités territoriales, proposant des programmes favorables aux intérêts de la population.
Lire l'intégralité de l'appel sur le site du  M'pep



Hollande, les banques françaises et la dette grecque
  " S'il y a bien quelque chose que le socialiste français fera pour le continent, c'est légitimer un capitalisme européen instable de par nature et profondément injuste."
Jérôme E. Roos
militant et économiste politique

 
Hollande

Concernant Hollande, il se positionne à la fois comme l'héritier du mitterrandisme et de la deuxième gauche, la gauche rocardienne et deloriste, plus pragmatique et acceptant l'économie de marché  
 
 
Très bon article de Serge Halimi, surtout après le désarroi de la gauche ( PS) après le scandale de DSK.  10 mai 1981, triste anniversaire ( source monde diplomatique)
 
 Il y a deux manières d'aborder une revendication sociale. La première consiste à additionner les difficultés pour justifier qu'on y renonce. La seconde à considérer qu'il s'agit d'une exigence de justice et que, si l'on fait le compte des obstacles, c'est avec la volonté de les surmonter », écrivait François Mitterrand en 1980 (1). Sept ans plus tard, pourtant, au terme du premier mandat du président socialiste, M. Lionel Jospin sonnait le glas du volontarisme politique qui avait marqué les premiers mois du gouvernement de gauche — nationalisation des banques et des grands groupes industriels, retraite à 60 ans, cinquième semaine de congés payés, augmentation des minima sociaux. Il annonçait en effet : « La période des grandes réformes ne se renouvellera pas (2).  »
 
« En définitive, la question n'est pas tant de savoir, trente ans après, si les socialistes ont « échoué » ou s'ils ont « réussi ». Ils ont échoué sur le front de l'emploi et sur celui de l'égalité sociale ( voir post ) . Ils ont réussi sur ceux de l'inflation et des taux de profit. Le problème, c'est qu'on attendait d'eux qu'ils livrent la première bataille, pas qu'ils remportent la seconde ». de Serge  Halimi  Une vidéo explicative sur les similitude  "Le PS a embrassé très tôt la doxa néolibérale, Hollande et le patronat : citoyen actif 
 
Dans Jean-Marc Ayrault peaufine son "grand oral" de la rigueur  Budget : 7 milliards d'impôts en plus pour 2012 AFP- boursorama,

 

Il me semble que tout cela a déjà été essayé par le passé... sans grand succès. les élections , les états et le patronat n'ont jamais avantagé les populations qui y sont soumis. Tous ces technocrates, ces lobbies  ont un problème : ils croient savoir mieux que tout le monde, ils n'ont pas confiance dans "le peuple" qu'ils prétendent protéger de ses propres erreurs. Le peuple est simplement bon à les élire mais pas apte à juger sur le terrain de son ces résultat.
 

Prenant prétexte des résultats du FN, le PS en appelle au "Front républicain" et à l'indémodable "union nationale". Tout ceci pour masquer ses responsabilités et tenter d'attraper au piège du pacte patronal de "responsabilité" les syndicats et ce qui reste de la gauche. Front & affront – ZEC plus ultra 7 février 2014, 19:00
 
Un document a été remis tout début mars au gouvernement. Il s'intitule " Pour une maîtrise collective des dépenses publiques" - traduire : cure d'austérité -  et prévoit un pacte entre l'État et les collectivités avec le gel temporaire des taux d'imposition si ces dernières ne respectent pas leurs engagements. La démocratie sous tutelle ZEC Plus Ultra jeudi, 27 mars 2014 Exclusif. Le rapport qui fait peur aux collectivités locales - par Jannick Alimi et Boris Cassel  Le Parisien La démocratie sous tutelle jeudi, 27 mars 2014
  


Foire aux questions abstentionnistes
28 février 2012, 09:55
 
S'abstenir, c'est favoriser le FN, faire le jeu du Front National ; les abstentionnistes sont les alliés objectifs du Front National?
 
Petite question d'arithmétique. Les abstentionnistes ne sont, par définition, pas comptabilisés dans les résultats, ils n'influent pour personne. Par contre, les gens qui votent pour le FN sont manifestement plus attirés par la candidature de ce parti que par tous les autres partis en présence. Si des gens votent pour le FN, ce n'est donc pas à cause des abstentionnistes, mais bien parce que les autres partis n'ont pas réussi à les convaincre de voter pour eux ! Quand on sait qu'il y a 25 ans, le FN n'existait pas électoralement, quand on sait que des propos à caractère raciste sont régulièrement prononcés par des politiciens de tous bords (de droite ou de gauche ; n'oublions pas que c'est le PCF qui, le premier, a relancé la question d'un « problème » de l'immigration, en rasant au bulldozer un foyer de travailleurs immigrés en construction à Vitry, en 1981...), quand on sait que ces politiciens une fois au pouvoir font tout pour s'attirer à eux les électeurs frontistes en préférant s'attaquer aux sans-papiers plutôt qu'aux inégalités sociales, on peut clairement affirmer que les responsables de ce vote sont les partis qui ont perdu leurs électeurs au cours de ces dernières années ! Entre « lepénisation des esprits », non-respect des promesses électorales par la droite comme par la gauche en matière sociale, il n'y a pas de quoi s'étonner de voir les idées du Front National se banaliser et les partis traditionnels perdre tout crédit aux yeux d'une frange non négligeable d'électeurs...
 
Par ailleurs, si l'objectif est vraiment de bloquer le FN pour qu'il n'arrive pas au deuxième tour, il faut être réaliste : la seule solution est le « vote utile » au premier tour. Ainsi, les électeurs de gauche qui ne votent pas pour le PS (et le choix des partis de gauche est important) sont bien plus objectivement responsables de la présence du FN au second tour que les abstentionnistes ! En n'assurant pas l'union de la gauche, ils affaiblissent le candidat le mieux placé pour atteindre le second tour, et accroissent ainsi les risques de renouveler une situation identique à 2002. Les attaques anti-abstentionnistes sont particulièrement inacceptables venant de leur part !
 
Dire enfin que les abstentionnistes favorisent le FN, c'est tabler sur le fait que si les abstentionnistes votaient, ce ne serait pas pour le FN. Rien ne permet pourtant de l'affirmer ! Ceux qui mènent campagne pour l'inscription sur les listes électorales, de l'UMP à la LCR, eux, invitent les gens à voter EN SOI, donc prennent le risque de faire passer des gens du statut d'abstentionniste à celui d'électeur lepéniste...
 
Pourquoi ne votez-vous pas pour le moindre mal alors, pour barrer la route à Sarko et LePen ?
 
Comme nous l'avons dit, si on veut barrer la route à Sarkozy et à Le Pen, il faut voter pour la candidate du Parti Socialiste (ou pour François Bayrou ? ;-) ). Il ne faudrait pourtant pas oublier que le parti socialiste a déjà beaucoup eu le pouvoir ces 25 dernières années. L'espoir suscité par l'élection de Mitterrand en 1981 était fort ; les nombreux déçus de cette élection s'en souviennent encore. « Celui qui n'est pas anticapitaliste ne peut pas être au Parti Socialiste », clamait pourtant Mitterrand quelques années avant... On a vu le résultat : aggravation des problème sociaux, du chômage et de la précarité ; diffusion des thèses de l'extrême droite, reprises pour certaines par les partis 'traditionnels' de droite comme de gauche, avec pour conséquence un durcissement permanent de la répression... Voilà le bilan que l'on peut tirer de ces 25 dernières années, quel qu'ait été la couleur du gouvernement. Nous jeter dans les bras des socialo pour éviter Sarko ne résoudra rien.
Ségolène Royal propose la création de 500000 « emplois tremplins » pour les jeunes. On sent bien là revenir l'idées des emplois jeunes, ressortis sous un nouveau nom ; ou comment rayer des listes du chômage un certain nombre de personnes en leur plaçant des emplois précaires. Royal promet également un SMIC à 1500 euros, dont on ne sait pas s'il s'agit du revenu brut ou net, mais pour lequel il existe surtout une close permettant à la candidate de ne pas respecter son engagement, avec ce « dès que possible » traduisant bien la timidité de notre socialiste... Quelle véritable différence avec la politique du quinquennat qui s'achève ? Est-ce là tout ce que la gauche a à nous proposer en réponse à la droite ?
 
Ces 5 dernières années nous ont montré à quel point le PS s'accordait en silence avec la droite sur l'essentiel des réformes menées, tant l'opposition s'est fait discrète. Quand cela n'a pas été le cas, comme en 2003 avec la mobilisation contre la réforme des retraites, c'est pour finalement entendre aujourd'hui, de la bouche de Jean-Marc Ayrault sur France 3, que le PS ne reviendra pas sur cette réforme car il est des sujets sur lesquels il faut savoir avancer [1]. La candidate socialiste ne dit pas un mot sur les lois sécuritaires de Sarkozy, il semble évident qu'elle ne les abrogera pas. En fait, la seule chose sur laquelle elle compte revenir, c'est le CNE. Il y a fort à parier que sans la forte mobilisation étudiante et lycéenne du printemps 2006, le sujet serait tombé aux oubliettes : si on n'a pas beaucoup entendu les socialistes quand le CNE est passé (hors une journée de mobilisation le 4 octobre), ils ont par contre été contraints de prendre la parole lors du CPE car les lycéens et étudiants ne les avaient pas attendu pour protester !
 
Le seul rôle des socialistes a alors été de réduire les revendications au seul retrait du CPE, de tenter de manipuler la lutte en en décrétant la fin, et de récupérer des voix pour 2007... On se souvient de Ségolène Royal déclarant aux lycéens qui s'offusquaient que certains de leurs camarades aient écoppé de deux mois de prison ferme après les manifs anti-CPE, et alors même que ce n'étaient pas des « casseurs » : « Il faut savoir prendre son risque. C'est ça, les luttes ! » [2]. En fait, cela rappelle l'attitude traditionnelle de la gauche depuis le célèbre « Il faut savoir arrêter une grève » de Maurice Thorez en 1936... Sauf que contrairement à cette époque, le Front Populaire (rebaptisée gauche plurielle de nos jours) était dans l'opposition en 2006 ! Si même dans l'opposition, la gauche plurielle fait preuve de tant de lâcheté, que peut-on en attendre une fois au pouvoir !!??
 
Les dirigeants du PS, comme tous les politicards, veulent le pouvoir pour eux-mêmes. On sait par expérience que ce parti ne réalise pas ses promesses. En 1997, les socialistes ont mené campagne sur trois thèmes principaux : l'emploi, la santé et l'éducation. « Quelques semaines plus tard, le premier ministre Lionel Jospin, dans son discours d'orientation générale, annonçait finalement " 2 priorités : l'emploi et la sécurité " » [3]. Concernant l'emploi, la mise en place des emplois jeunes, précaires à souhait, et le passage aux 35 heures présenté comme une mesure de progrès social et qui permet en fait aux employeurs, grâce à l'annualisation du temps de travail, de bénéficier de plus de flexibilité dans l'usage de la main-d'½uvre. Concernant la sécurité, criminalisation des gens vivant en banlieue, entretien de l'amalgame entre immigration et insécurité cher à Le Pen, les premières lois sur la sécurité quotidienne (comme les 10 amendes RATP en une année qui conduisent en prison [4])... Sarkozy a un discours beaucoup plus direct, mais le « racaille » dont pas mal de monde s'est indigné est-il si différent sur le fond des « sauvageons » de Chevènement ?
 
En septembre 1997, l'abrogation des lois Pasqua promise trois mois plus tôt a cédé la place à la loi Chevènement, poursuivant la persécution dont les sans-papiers sont victimes. Le ministre de l'intérieur de l'époque a également transformé en délit le fait, pour un passager, de se solidariser avec les expulsés [5].
 
Comment prendre au sérieux les déclarations du PS ces derniers jours à propos de la mise en garde à vue d'une directrice d'école qui s'est solidarisée avec un sans-papiers arrêté par la police ? Quand il est au pouvoir, le parti socialiste arrête et expulse de la même manière. Qui croit franchement qu'avec la gauche au pouvoir, les flics seront moins arrogants, moins méprisants ?
 
A ce propos, touchons un petit mot au sujet des communistes. Ils ont beau aujourd'hui discourir sur les services publics, sur le caractère répressif de Sarkozy, ou encore sur le droit au logement (à Levallois par exemple) ; il n'empêche que, tout comme pour les socialo, la réalité parle pour eux : ils ont participé au gouvernement Jospin, qui a plus privatisé que le gouvernement Jupé qui le précédait. Concernant la police, l'affiche « Pour la sécurité » de la campagne de Marie George Buffet en 2007 est éloquente : la deuxième promesse que l'on peut y lire est l'augmentation des effectifs de police et de justice ! Enfin, si le PCF discourt contre les expulsions, là où il est aux affaire (quand il est au gouvernement, à Montreuil...) il n'a aucun problème à en pratiquer, envoyant les flics réprimer les solidaires des personnes expulsées. Au PC, aux Verts comme au PS, on est donc en permanence dans le double discours et le mensonge.
 
Sur le plan international, la France se targue d'être un modèle de démocratie, pourtant tous ses chefs d'État, de gauche comme de droite, sont liés plus ou moins intimement avec les dictateurs qui pullulent sur terre. Mieux encore, la France fait partie des premiers pays vendeurs d'armes au monde. Et quand Ségolène Royal parle de « développement partagé », ce n'est pas parce qu'elle considère les guerres et la misère qui ravagent notre planète comme un dramatique problème qu'il convient de régler au plus vite, mais parce qu'elle veut réduire l'immigration, considérée comme un problème, voire par certains comme étant le problème à l'origine de tous nos malheurs. L'aide aux pays pauvres n'est que la solution pour régler le « problème » de l'immigration ! Ce n'est, ni plus ni moins, que ce que dit le Front National, dont tous les partis ont de moins de moins de scrupules à reprendre les propos et à les banaliser. Les partis 'traditionnels' ont en effet beau feindre de se démarquer du FN, ce dernier ne leur sert pas moins d'épouvantail bien pratique pour inciter les gens à voter pour eux, et ils ne font finalement qu'atténuer et adoucir les idées du FN pour mieux se les approprier, parlant des étrangers comme des « misères du monde ».
 
Une petite remarque historique : c'est une assemblée majoritairement de gauche qui a donné les pleins pouvoirs à Pétain en 1940 : sur les 669 députés et sénateurs présents, 569 votent les pleins pouvoirs (la droite, la majorité des socialistes et des radicaux), 20 s'abstiennent et 80 votent contre (parmi eux, 36 socialistes et 13 radicaux). 170 parlementaires de la SFIO, le PS de l'époque, ont ainsi accordé les pleins pouvoirs au maréchal. Ce qui est intéressant, c'est de lire la façon dont le PS justifie cela aujourd'hui, sur son site internet [6]] : « L'opinion des parlementaires socialistes est alors, hélas, le reflet de l'opinion générale du pays. » Si les élus socialistes, finalement, ne sont pas capable de tenir le cap qui est le leur en défendant leurs idées, et cèdent à l'air du temps quand celui-ci se fait droitier, alors à quoi bon voter pour eux ?
 
A l'heure qu'il est, l'Assemblée Nationale vient de voter une augmentation de revenus à l'unanimité : la leur. Si ces gens, de l'UMP ou du PS, ne règlent pas les inégalités sociales, ils n'ont aucun problème à prolonger la durée pendant laquelle ils pourront toucher des indemnités parlementaires fort grassouillettes s'ils ne sont pas réélus en juin prochain. Au lieu de percevoir des indemnités pendant 6 mois, ils les toucheront désormais pendant... 5 ans ! [7]]
 Ces salopards de l'UMP et du PS ne sont ni de droite ni de gauche, ils sont du pouvoir. Nous n'avons rien à voir avec eux, ce n'est pas en soutenant un clan contre un autre (le PS contre l'UMP) que nous sortirons de la situation qui est la notre mais par la lutte. Ne donnons pas une seule voix à ces pourris !
 
Mais pourquoi ne votez-vous pas alors pour l'extrême gauche ?
 
En effet, si l'on n'est pas satisfait des politiciens à la droite du PCF qui ont participé au gouvernement dans les années récentes, pourquoi ne pas se rallier au vote d'extrême gauche ?
 
Il faut d'abord partir d'un constat simple : La croyance de leur part en la 'neutralité' de l'État, qui pourrait, entre leurs mains, devenir un outil de défense des travailleurs, constitue déjà en soi une incontestable frontière entre l'extrême gauche et les anarchistes dont nous sommes. De notre point de vue, la nature oppressive de l'État -qui ne défend que les intérêts d'une oligarchie en place- nous empêche clairement d'envisager qu'un changement social réel puisse intervenir en dehors de sa destruction.
 
Les militants d'extrême gauche, contrairement aux anarchistes, ne cherchent pas à développer l'autonomie des luttes, en s'accommodant parfaitement de rôles dirigeants. Ils estiment en effet que le problème de l'organisation des opprimés réside dans le fait qu'ils sont mal dirigés (direction qu'il convient de remplacer), et non dans l'existence même de structures hiérarchiques. Cette lutte pour le pouvoir a pour conséquences le même genre de bassesses et de man½uvres que celles auxquelles les politiciens plus traditionnels sont habitués. Cette recherche du pouvoir se traduit évidemment dans les luttes, ce que quiconque a déjà pu constater s'il a participé à un mouvement social : encadrement des manifs, manipulation des AGs, tentatives de prise de direction des mouvements... Tout cela aboutit à la déresponsabilisation des gens en lutte, réduits comme dans la vie courante à 'participer passivement', ce qui est à des années lumières de l'auto organisation que nous souhaitons promouvoir, seule garantie pour chacun de faire valoir son point de vue, à égalité avec ses compagnons de lutte ; seul moyen également d'assurer une véritable force collective.
 
Les programmes présentés par les partis d'extrême gauche ont de toute façon abandonné toute portée révolutionnaire. On nous y parle de nationalisations (comme le PS en 1981), on prône le retour aux 37,5 annuités pour tous (ce qui correspond à ce que connaissait le secteur public il y a seulement 5 ans), on nous parle de taxer fortement le capital sans jamais remettre en cause l'existence même des firmes multinationales dont il est question, sans interroger non plus la production réalisée, ni donc remettre en question la croissance, le travail, et la finalité de celui-ci ; il n'y a aucune rupture avec l'idéologie positiviste qui veut que le « progrès » technique et scientifique soit nécessairement bénéfique à l'humanité. Ainsi, Arlette Laguiller se prononce pour la poursuite du nucléaire. On critique la « police du capital » tout en demandant l'établissement d'une « police de proximité » de manière bien floue. Au détour d'une interview, on nous dit que les sans-papiers doivent être régularisés car ils sont... utiles pour les français ! [8] Par anti-américanisme primaire et de manière absolument contraire à la position de classe propre aux révolutionnaires, on condamne l'arme atomique, mais on prend position pour le droit de l'Iran à en disposer [9]. On demande enfin un SMIC à 1500 euros et une augmentation de tous les salaires de 300 euros, ne remettant ainsi aucunement en cause la hiérarchie salariale et les inégalités qui en découlent au sein de la société... Bref, de deux choses l'une : soit nos partis d'extrême gauche ont perdu toute ambition révolutionnaire (voir à ce sujet la partie « utopie » plus bas), soit ils nous prennent pour des imbéciles incapables de comprendre et de s'approprier un discours rupturiste ; dans un cas comme dans l'autre, ce n'est pas avec ces gens-là que nous pourrons retrouver l'espoir d'un changement radical, et ce d'autant plus lorsque ceux-ci acceptent de tomber dans la démagogie, au même titre que tous les autres candidats, tel Olivier Besancenot (LCR) déclarant sur France 2 que la fortune de Zidane ne le dérange pas car le footballeur n'a exploité personne à part son ballon pour en arriver là [10].
 
Vous ne proposez rien...
Si on entend par là « proposer un programme clé en main pour changer la société », oui, c'est vrai. Nous ne sommes candidats à rien, nous faisons simplement le constat que cette société ne nous convient pas et que nous souhaitons la combattre. Nos analyses et notre vision du monde nous conduisent à proposer des principes de base sur lesquels faire reposer nos actes : refus de la hiérarchie, solidarité, égalité, liberté. Pour le reste, c'est à chacun d'envisager l'avenir qu'il souhaite et à s'organiser pour ½uvrer à sa réalisation. Nous cherchons simplement à promouvoir l'autonomie [11], seule à même de garantir, sur la base des principes éthiques sus-cités, une émancipation de l'humanité dans une égale considération pour tous et toutes.
 
Vous êtes utopistes de toute façon.
 
Certes, le rapport de force idéologique et pratique n'est pas en faveur des révolutionnaires, loin de là. Pourtant, plus nous serons nombreux à refuser l'idéologie dominante, les inégalités sociales, le nationalisme... et plus les luttes seront fortes et auront des chances d'aboutir. Il ne tient qu'à nous tous de prendre nos responsabilités et de savoir ce que nous voulons, pour agir en conséquence. En se disant que les aspirations émancipatrices sont justes mais utopistes, et donc en restant les bras croisés, on est sûr que les ambitions révolutionnaires resteront à jamais le songe de quelques personnes.
 
Il serait plutôt intéressant de se poser une autre question : l'utopie, ne serait-ce finalement pas de vouloir vivre véritablement mieux dans ce système autoritaire et capitaliste ? [12] Autrement dit, la véritable utopie ne réside-t-elle pas dans le fait de penser pouvoir changer quelque chose par le vote ? Nos dirigeants nous disent que s'abstenir, c'est laisser les autres décider pour nous... pourtant, la réalité est exactement inverse : voter, ce n'est que choisir ceux qui vont décider pour nous. Par ailleurs, le système est tellement verrouillé dans l'intérêt des classes dirigeantes qu'il est invraisemblable de croire que des élus sincèrement anticapitalistes puissent accéder au pouvoir, rester intègres, et mener leur politique. [13]
 
Comme le souligne l'excellente revue Ni Patrie Ni Frontière : « J'avais cru comprendre que les révolutionnaires souhaitaient faire vivre et prospérer d'autres structures que le Parlement : conseils de quartiers et d'usine, commissions de travailleurs, associations de locataires, de paysans producteurs, et j'en passe. Pourquoi passer cet aspect essentiel sous la table ? Parce qu'il est utopique dans la situation actuelle ? Franchement pas plus utopique que de réclamer « l'interdiction des licenciements », « la levée du secret bancaire », l'« ouverture des livres de comptes » et autres mesures totalement impossibles à imposer sans une situation pré-révolutionnaire. » [14]
 
Ricardo Flores Magon
-9 décembre 1911
article pris sur le site de la CNT-AIT
 
Ce week-end...

On a fait une chouette manif :
https://www.flickr.com/photos/rodrigoavellaneda/sets/72157642808818685/

Et puis on a aussi eu ça :
http://www.europe1.fr/Municipales/Municipales-330-listes-FN-presentes-au-second-tour-1922807/

Alors, si vous voulez vous organiser, participez aux activités du CAPAB ! (voir le flyer en fichier attaché)

Salutations antifa.

 
Le Peuple de l'Herbe - Parler le fracas - Official Video
 
IMPOSSIBLE!!! (Texte tiré de la révolution mexicaine)13 novembre 2012, 17:20
Merde in France
L'antifascisme, c'est l'affaire de toutes et tous !  , L'Ukraine et l'extrême droite !
Johnny s'en va-t-en guerre
Sur Notre Dame des Landes  : Action pirate contre l'expo Pinault à la Conciergerie , Dieudonné, agitateur de haine

 

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#Posté le vendredi 28 mars 2014 06:07

Modifié le lundi 03 octobre 2016 03:45

Florange, les lendemains qui déchantent


 
 
 n
Europe, t'a jeunesse est au chomage. Plus de 22% des moins de 25 ans sont sans emplois, cela représente six millions de personnes et pour tenter d'andiguer ce fléaux, les 28 pays de l'Union Européenne se sont réunis a Berlin pour mettre en commun leurs expériences et tirer des mesures qui fonctionnent et en la matière

 " Il n'y a pas d'alternative " 21/07/2011 
" Les réformistes acceptent l'économie de marché non seulement parce que l'on n'a pas le choix, mais aussi parce qu'elle est garante de libertés." 
Rocard
 
 




 
J-C Cambadélis, ex-strauss-khanien,  éliminé lors de la précedente nomination à la tête du PS, rappelle sur son blog, en parlant de lui à la troisième personne, que deux affaires, coup sur coup, ont entravé son ascension remarquable : "Il est accusé d'emploi fictif le même jour qu'Harlem Désir. Les deux responsables seront condamnés à des peines légères."

 
Keny Arkana : « Un autre... est possible
 
Le film commence par cette phrase prémonitoire :
 
«  Il ne faut pas confondre :
L'espoir dans lequel gagne le moins mauvais
Et l'espoir dans lequel gagne
Un projet de transformation
De notre réalité »

 
 
Pourquoi parler de crise ?
Posted on 22 avril 2012 by risc
Ce que nous voulons attaquer c'est le discours dominant qui explique que les causes de la crise actuelle sont à chercher dans le mauvais capitalisme financier. Nous pensons que la crise financière n'est qu'un symptôme d'une maladie plus profonde et qu'il s'agit en fait d'une crise du capitalisme lui-même. Ses conséquences seront certainement terribles mais ce sera peut-être aussi l'occasion de remettre en cause le capitalisme dans ses fondements mêmes.
 
De l'extrême droite à l'extrême gauche, on entend partout aujourd'hui un même discours: l'économie réelle serait saine, seule une finance ayant échappé à tout contrôle mettrait en danger l'économie mondiale.
 
Or, il est impossible de séparer le bon capitalisme productif du mauvais capitalisme financier. Il n'existe pas d'un côté une économie qui produit des richesses et de l'autre une économie virtuelle, une finance parasitaire; il s'agit des deux faces d'une même réalité. Depuis le début de l'économie capitaliste, celle-ci ne peut fonctionner sans la finance, c'est-à-dire le crédit, les Bourses, la spéculation.
 
Les dirigeants de tous bords se foutent de nous quand ils réclament un encadrement rigoureux de la spéculation, car c'est tout le système qui, dans sa phase actuelle, a besoin de la spéculation et du crédit.
 
Mémoire ouvrière: extrait du film-documentaire « Au pays d'Usinor »   En 1981, le PS arrive au pouvoir. Le mot d'ordre est à la modernisation de l'industrie et les bureaucraties syndicales réformistes accompagnent cette volonté moderniste de l'État. Dans la sidérurgie comme dans d'autres secteurs industriels, cette restructuration produit les mêmes effets : licenciements, intensification du travail, nouvelles techniques de contrôle et de gestion de la main d'½uvre, maladies, accidents du travail, suicides, etc.

 
 

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L'histoire secrète du patronat ; de 1945 à nos jours_01.12.2009   Editeur : Editions La Découverte (30 octobre 2009)

Présentation de l'éditeur

De la Seconde Guerre mondiale à la crise financière de 2008-2009, chacun croit connaître plus ou moins l'histoire de l'économie française. Mais derrière l'histoire officielle des manuels scolaires s'en cache une autre, secrète : elle met en scène les patrons qui ont réellement façonné le capitalisme français.
 
C'est cette saga que racontent dans ce livre cinq journalistes d'investigation. Elle plonge le lecteur dans les arcanes d'un véritable " système " né dans l'après-guerre et qui, malgré ses mutations, marque encore aujourd'hui la machine patronale. Du recyclage des anciens cadres de Vichy dans la reconstruction jusqu'aux caisses noires des syndicats patronaux, en passant par le financement secret des partis politiques ou les graves dérives du paritarisme, on découvre le rôle central de personnages aussi puissants que discrets. Comme Georges Albertini, éminence grise du patronat liée à l'extrême droite dans les années 1950, ou les " conseillers du prince " qui ont influencé les choix économiques des présidents successifs de la Ve République. On découvre aussi les efficaces lobbyistes d'un patronat capable de se tailler des réglementations sur mesure au mépris de la santé des citoyens. Et qui a su s'appuyer sur des intellectuels et de grands médias pour convertir les élites politiques aux "mérites" de la finance dérégulée.

Cette somme brosse le vrai portrait de nombreux patrons français, révèle les bonnes affaires des uns dans la " Françafric ", les juteuses opérations des autres dans l'immobilier ou l'industrie. On découvre comment se sont vraiment faites la plupart des grandes fortunes françaises, celles d'hier et d'aujourd'hui : subventions extorquées à l'Etat, entreprises publiques bradées, rachats de sociétés dans des conditions obscures, montages financiers aux marges de la légalité, fraude fiscale, espionnage, coups fourrés, etc. La légende de patrons conquérants, prenant tous les risques pour faire leur fortune à la force du poignet, sort sérieusement écornée de ce magistral livre-enquête.

Biographie de l'auteur

Frédéric Charpier est journaliste indépendant. Benoît Collombat est journaliste à France Inter. Martine Orange est journaliste à Mediapart. David Servenay est journaliste à Rue89. Erwan Seznec est journaliste économique.

 
 


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Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, dans les pays d'Europe occidentale, d'Amérique du Nord et au Japon, l'expansion rapide de l'économie permettait de contenir et repousser les effets négatifs de cette contradiction. On augmentait les salaires, mais on augmentait plus encore la production. On rendait marchands de nombreux secteurs qui ne l'étaient pas auparavant, comme aujourd'hui on est en train de le faire avec l'éducation, la santé ou la sécurité. On fournissait à coûts plus bas (par l'effet de l'industrialisation et de la massification) une foule de produits plus nombreux, et qui faisaient vivre les prolétaires tout en maintenant les bénéfices. Pour développer la production de cette manière, il fallait que la consommation envahisse la société entière, avec tout ce que cela signifie: publicité, manipulation du désir, production d'une foule de saloperies destinées à satisfaire des besoins socialement créés.Par ailleurs, ce qui s'appelait alors le tiers-monde était maintenu sous une domination coloniale ou post-coloniale qui permettait d'en exploiter les matières premières.
 
Tout cela a changé depuis la crise des années 1970 et la restructuration du capitalisme qu'elle a provoquée. Les délocalisations d'industries et de services ont alors permis de baisser le coût du travail au niveau mondial. La consommation a été soutenue par le développement du crédit, qu'il s'agisse de dépense publique (et de dette publique) ou privée. Mais ce système est lui-même à bout de souffle, comme le montre la crise qui a commencé en 2007. Le krach de 2008 n'a pu être rattrapé qu'au moyen d'une expansion massive de l'endettement étatique. Le montant de cette dette, désormais impossible à rembourser, est l'expression concrète de cette impasse. La crise de la dette publique en Europe et les perspectives de défaut de la Grèce, désormais bien réelles, en sont la preuve. Ce n'est pas la finance qui est la cause de la crise, la finance est au contraire ce qui a permis à la crise provoquée par la contradiction récurrente du capitalisme d'éclater aussi tard.
 
La Finance imaginaire - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " « Européennes : les Grandes (dés)illusions |Page d'accueil | Notre-Dame-des-Landes : 22 février à Nantes »
 
 Le nouveau capitallisme est un texte vu en Licence III d'économie au cnam afin d'analyser les changements de formes du capitalisme et sa transformation en capitalisme actionariale. Cela permettra j'espère de faire une annalyse de la situation et de réfléchir a une lutte efficace. D'aucuns espéreront trouver ici des solutions ou des réponses toutes faites, genre petit manuel de « Comment faire la révolution ? ». Tel n'est pas le propos de ce film. Il s'agit ici de faire la critique exacte de la société qu'il nous faut combattre. Ce film est avant tout un outil militant qui a pour vocation de faire s'interroger le plus grand nombre et de répandre la critique partout où elle n'a pas accès. Les solutions, les éléments de programme, c'est ensemble qu'il faut les construire. Et c'est avant tout dans la pratique qu'elles éclatent au grand jour. Nous n'avons pas besoin d'un gourou qui vienne nous expliquer comment nous devons agir. La liberté d'action doit être notre caractéristique principale. Ceux qui veulent rester des esclaves attendent l'homme providentiel ou l'½uvre qu'il suffirait de suivre à la lettre pour être plus libre. On en a trop vu de ces ½uvres ou de ces hommes dans toute l'histoire du XXº siècle qui se sont proposés de constituer l'avant-garde révolutionnaire et de conduire le prolétariat vers la libération de sa condition. Les résultats cauchemardesques parlent d'eux-mêmes. "Le grand bond en arrière", Le grand bond en arrière : documentaire, Le grand bond en arrière" (Editions Fayard). ,

Que reste-t-il du modèle social français après trente ans de néolibéralisme? Cette question oriente le voyage dans leur pays natal de quatre Français installés depuis plusieurs années au Venezuela. Pour y répondre, le documentaire mêle des données statistiques, journalistiques et des interviews de sociologues, intellectuels, militants, réfugiés politiques, artistes, citoyens, travailleurs sociaux des banlieues, sans-papiers et Roms, enfin tous ceux qui peuvent révéler si la devise "Liberté, Egalité, Fraternité" est toujours en vigueur dans leur réalité concrète.
 
 
 Triche industrielle
 

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Société par Tristan ThilTriche industrielle - Vidéo Dailymotion :
 
NB :
Plan pour la Grèce : un gros sparadrap qui ne changera rien | Eco89. Devrait on dire maintenant pour tout les pays occidentaux. Austérité à tous les étages
 
Par ailleurs, seule l'amélioration du paysage économique permettra aux Etats européens de faire décroître leur dette publique. Or, les gouvernements européens, par leurs décisions, prennent aujourd'hui le risque de casser brutalement la croissance. Ils s'engagent en effet (c'est le point 11 de la déclaration finale du sommet) à ramener tous leurs déficits à 3% dès 2013. Autrement dit, tous les pays, tant ceux qui sont en situation de crise financière que ceux qui ont la confiance des marchés, vont s'engager simultanément dans des programmes d'austérité. Désastre garanti.
 
Si l'on résume, l'Europe s'apprête à vivre avec :
 
des taux d'intérêts à court terme en hausse (la BCE vient de relever son taux directeur) ;
des programmes de rigueur budgétaire, partout ;
des efforts de compétitivité redoublés, qui pèseront sur les salaires.
 
Sur ce dernier point, le paragraphe 11 évoque explicitement la nécessité de généraliser de tels efforts. Ce qui conduit le d'Alfred_Nobel" ">Nobel d'économie Paul Krugman à s'étrangler sur son blog :
 
« Pendant que les Espagnols réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Allemands, les Allemands réduiront leurs coûts du travail par rapport aux Espagnols. Le progrès est en marche ! »
 
Un petit sparadrap d'un côté, une forte dose d'austérité budgétaire et salariale de l'autre : ce n'est pas ainsi que l'Europe sera remise à flot
 

 
Florange, les lendemains qui déchantent
Après Alliange et Gandrange, une page se tourne définitivement pour les sidérurgistes lorrain de Florange. Le sort de ces 629 salariés a été sellé avec un accord entre la direction d'arcelor Mittal et les syndicats. Cet accord entériné le 17 juin dernier a pris effet aujourd'hui. Qu'est ce qu'il en ai concrètement pour ces ouvriers qui ont évité le licenciment. Départ à la retraite pour les uns, reclassement pour les autres. Entre soulagement et inquiétude Témoignage des ouvriers d'Arcelor Mittal
 
Retour sur nos enquêtes : Florange, Mittal et le gouvernement   Jean Mongin, délégué syndical CGT des usines à chaud d'ArcelorMittal, et Laurent Comaille, maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Metz, spécialiste de l'histoire ouvrière lorraine, sont revenus sur le cas Florange.

 
 

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Florange, une page s'est tournée : L'arret des haut fournaux de Florange sonne la fin d'une carrière pour de nombreux salariés A 58 ans, a arreté le combat et passe devant le site de Florange fermé. Arcelor Mittal propose aux salariés ayant au moins 40 ans d'ancienneté de partir à la retraite avec 12 mois de salaire.
 
Jean-Luc Graetz, salarié d'arcelormittal à Florange
" Les salariés d'Arcelor Mittal qui vont partir à la retraite, on peu dire que c'est pratiquement une condition. Mais c'est surtout pour ceux qui reste : ils vont perdre de l'argent, le régime de travail va changer "
 
Sur les 629 salariés concernés, un bon tiers vont prendre leur départ à la retraite, les autres vont etre placés ( cassés)
 
Jean-Luc Graetz " Cela va etre dur pour les personnes qui n'étaient pas loin de la retraite et doivent refaire pour 5, 6, voir 7 ans au moins de continuer leur carrière. Cela va etre compliqué aussi, ce n'est pas facile"
 
Pour garder Florange, tous se sont mobilisés. François Hollande s'est rendu sur place lors des présidentielles, le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg a meme proposé de nationaliser l'usine. En vain, deux ans de lutte et de manifestations n'ont pas suffit à faire reculer l'inflexible homme d'affaire indien Achimil Mittal. 29 postes sont perdus, les licenciments ont été sauvé de justesse Les salariés toujours présent sont démobilisés. ArcelorMittal Complément d'Enquête - YouTube  

 
 
 

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Sébastien Schauffleberger, salarié d'Arcelor Mittal à Florange :
" Je vais à l'usine et j'attends que la sentence passe" .
 
Pour le moment, Sébastien ne sait pas encore ou il sera affecté.
 
" Avec l'usine d'a coté qui a fermé en 2009, l'usine des haut fournaux j'ai du me reformer. En 2013, je dois me RE-RE former encore une fois. Pour un salarié, c'est un scandale. "
 
La CGT craint que des salariés comme Sébastien doivent changer de rythme de travail et perdre pas loin de 370 euros de salaire. Le choix des postes se fait sur la base du volontariat. Mais il devient de plus en plus restreint.
 
Jean-Luc Delcioanni, délégué CGT-Florange :
Maintenant les sites commencent a se réduire. Il y en a de moins en moins. Donc ils ne savent plus ou ils doivent aller. Cela a commencé en 82 avec Florange, sans compter les hauts fournaux et de tous ce qui s'en suit. Nous étions 14000, nous ne sommes plus qu'environ 2000. dans les années 50, il y avait 150 hauts fournaux en Loraine.
 
 Après Gandrange, une autre se termine a Florange, mais pour les syndicalistes, la lutte continue. Ils craignent que de nouvelles usines soient la cible de fermeture. Florange, l'acier trompé - Tristan Thil - YouTube  

 
 

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Le "crédit impôt recherche" dévoyé (Cash-Investigation) - YouTube :  ou comment financer le trading Haute Fréquence avec l'argent public. Extrait de "Cash-Investigation" du 08-06-2012 d'Elise Lucet
 
Faites le deuil du monde d'hier, Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer !, Les maîtres ne sont pas à choisir, mais à destituer ! 
 
 DE LA SERVITUDE MODERNE - YouTube, Crise aux pays des merveilles, Lien entre capitalisme et l'endettement - Antalya, La Finance imaginaire - Hensozu
 
BA Les Infiltres Vendredi Prochain 22H50 Sur France 2 [ Inédit ] Pôle Emploi entretien #1 - YouTube :  
Reportage "Ils luttent contre le chômage" - YouTube :57 min Enquête : "Pôle emploi : Peugeot-Sochaux, Cadences en Chaîne - YouTube : 53 min , Pôle emploi au coeur de la crise :
 

• Les raisons de la crise en Europe
• Un retour sur la dette américaine
• Un point sur les banques


  
« Spectacle à tous les étages ! | Page d'accueil | Les croûtes de Bush »  vendredi, 28 février 2014Farce tranquille du capitalisme patient - zebre plus ultra La Finance imaginaire - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " La finance imaginaire : citoyen actif , La Finance imaginaire , La Finance imaginaire Imaginary Finance - www.la-bas.org - Là-bas si j'y suis " "
 
Merde in France
Posted on 22 avril 2012 by risc
 
Merde in France
Créé le mardi 18 février 2014 2
 Le Grand Bond en Arrière - Documentaire [HD] - YouTube
Comprendre le capitalisme japonais
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Pourquoi parler de crise ? collectif RISCdont les textes affirment le caractère structurel de la crise actuelle du capitalisme.


Cambadélis : le meilleur d'entre eux...
"Si les poutres supérieures ne sont pas droites, les poutres inférieures sont également de travers"
Proverbe chinois


» La " crise" permanente, Molière, Le misanthrope , Le cauchemar climatisé... , Qu'est ce que la démocratie? , Globalia de Jean Christophe...
 

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#Posté le samedi 06 juillet 2013 06:09

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