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REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE


 
 
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REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE
Samedi 6 octobre 2012, par cnt // Réflexions sur les institutions étatiques
 
REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE


Dans l'affrontement discursif, le sens d'un mot est fondamental car il contient le pouvoir des idées. Aussi, un terme peut-il être victime de raccourcis schématiques, de réductions et de manipulations sémantiques... Surtout quant on définit ou on explique un ensemble complexe par un seul élément. Prenons un exemple, celui du mot démocratie. La démocratie, c'est le rapport majorité/minorité ; pourtant, la majorité fait souvent oeuvre anti-démocratique, et l'Histoire abonde d'exemples dans ce sens. La démocratie revient souvent à élire des décideurs ; dans ce cas, la délégation de pouvoir s'oppose à la démocratie comme exercice décisionnel de tous. Certaines querelles sont mues par des arrière-pensées politiciennes, qui cherchent à valider un système politique contraire aux mythes ou aux principes fondateurs évoqués. Ainsi, la prétendue démocratie de nos systèmes – et de tant d'autres - est parfaitement antidémocratique. De là vient que certains contestataires et certains révolutionnaires ne voient guère plus loin que le spectacle à l'oeuvre et se disent, par réaction, antidémocrates. Ils devraient réfléchir et comprendre en quoi cet « anti » fait le jeu de l'adversaire. La lecture de ce qui suit n'apprendra peut-être rien à certains, et il est certain que d'autres ont produit des textes plus pertinents ou élaborés sur cette question. Le but ici est simplement de produire un petit vade-mecum pour un réarmement idéologique face au rouleau compresseur du système.
 
Pouvoir : en ce qu'il crée, structure, organise, détermine et exprime la société des hommes, le pouvoir s'incarne dans la souveraineté. Suivant les uns il découle soit de Dieu ou de la nature, soit de « forces » qu'elles soient instinctuelles, technologiques ou économiques. L'action des hommes serait transcendée par les dites causes. Par sa philosophie politique, l'humanisme moderne et progressiste place le fondement et la légitimité du pouvoir et du droit par et pour le peuple, tel est l'axiome de la démocratie.
 
Peuple : signifié comme particulier, il serait celui d'une communauté, d'une nation et d'un État. Cette vision étroite valorise les particularismes (différences idiomatiques, idéologiques, d'habitus...) au point de les déclarer constitutives du fait national ; ce qui débouche sur la séparation en peuples spécifiques. Pour justifier et nourrir chaque nationalisme et les conflits qui en découlent, on exacerbe les particularismes au point de les déclarer supérieurs. On dresse ainsi les uns contre les autres pour les intérêts de quelques uns. Pourtant il ne peut être réfuté que les idées (du bien ou du mal, du juste ou de l'injuste, de la peine ou de la joie, du bonheur ou du malheur, de la raison ou de l'irrationnel, de la domination ou de la libération, de la démocratie ou de l'oligarchie) sont a-nationales et fortement actives selon le contexte et les idéologies dominantes. Ceux qui prétendent que le peuple est celui d'un État national - comme communauté de « destin », d'intérêt, de culture, de langage etc. - se moquent du monde car il n'y a pas d'État nation qui existe en ce sens. En effet chaque État ou plusieurs, utilisent le même ou plusieurs idiomes, les mêmes références culturelles ou le multiethnisme, des systèmes politiques ou économiques identiques ou différents... Ces nations sont toutes inégalitaires, les classes sociales existent, tout comme les divergences idéologiques. Cela empêche donc toute communauté de destin. Ce que l'on prétend « spécifique  » à un sous-ensemble d'individus pour le déclarer « peuple » ce ne sont jamais que les particularités qui parcourent l'humanité. Ce qui fait que beaucoup - si ce n'est la totalité de nations (en tant que « peuple particulier ») - partagent bien des points communs. L'usage d'une langue particulière ne détermine en rien une façon de penser, de vivre, une culture déterminée. Observons que malgré les multiples langues en Europe, le mode de vie est commun, bien que la séparation en nation Etat soit « justifiée » par la « spécificité » des peuples. A l'inverse, l'usage du même idiome n'empêche ni les conflits culturels et idéologiques ni la séparation en communautés, ou même en divers Etats-nations. De nombreuses individualités ou groupes par-delà leurs langues ou leurs divisions en États-nations, partagent une identité idéologique. Bien sûr, il existe des particularités, mais elles ne justifient pas une prétendue spécificité et la séparation en peuple, nation, État, qui ne sont que des constructions arbitraires. Elles utilisent la fiction nationale comme mythe de communauté, permettant d'utiliser une population donnée pour défendre les intérêts de quelques uns. L'affirmation démocratique moderne se veut universaliste, au sens où le « je » ne s'oppose pas au « nous », le singulier à l'universel. Tout comme, biologiquement, il n'y a qu'une seule espèce humaine, l'ensemble de l'humanité terrienne constitue un seul et même peuple, bien que ce dernier n'ait pour l'instant pas d'unicité éthique et idéologique. Le peuple est l'ensemble de la population comme sujet instituant.
 
Individu : quoi qu'il en soit, de l'extériorité, des valeurs et des conduites, c'est par l'individu qu'elles se déclarent. Cette extériorité n'est manifeste que par le sujet (en l'occurrence l'individu) qui la signifie. Le processus d'objectivation brise le solipsisme. Le singulier découvre le commun (le monde extérieur), le semblable (l'alter ego), le « je » et le « nous » (la société). Il est bien un animal social. A défaut, il n'y aurait ni individu, ni société, ni reproduction et espèce. Aucun individu ne peut vivre ou survivre et satisfaire ses besoins sans l'action collective. Aucun droit individuel ne saurait être s'il n'était collectivement garanti. Posons-nous cette question : si les individus sont le produit d'un ordre social précis (les sapiens, la cité, le monde moderne), s'ils ne sont pas socialement construits de leur naissance jusqu'à l'âge adulte par des liens humains qui assurent une relative pérennisation biologique, psychologique et sociologique, une société pourrait-elle bien survivre sans ces mêmes individus qui la composent et pérennisent ? L'individuation et l'universalisation sont fortement perturbées par le type sociétal. En effet, si deux individus sont semblables, il n'en reste pas moins qu'ils sont différents selon la place sociale, le cursus de vie et, a fortiori, l'histoire personnelle, ce qui constitue l'intime et la singularité, c'est-à-dire la personne dans sa complexité. Cela doit relativiser l'argument, du « tout social » qui l'érige en un simple rouage passif, mais aussi l'argument de l'individualisme exacerbé qui revendique un être tout puissant et isolé. Évitons également le simplisme de faire porter à la société ou à l'individu tous les vices ou toutes les vertus. De facto, l'individu ou les individus, les groupes interagissent et co-structurent le sociétal. Tout ceci induit à qualifier l'individu de "singulier-social-historique". Partant de cette affirmation, l'équilibre est à rechercher dans cette dialectique de l'individu et de la communauté et dans cette libre entente volontaire qui lie et concilie droits et devoirs de chacun dans le respect de la sphère privée et publique. A contrario, la société actuelle basée sur des rapports d'exploitation et de domination ne satisfait pas notre aspiration. C'est pour cela que nous contestons sa légitimité en nous rebellant contre tous ceux qui valident cette situation.
 
Politique : ce qui appartient à la gestion de la société. Son agencement est le produit de l'idéologie dominante de l'époque. Pour être réellement démocratique, un système doit impliquer tous les individus dans des assemblées générales. Par ce biais, toutes les entités disposent d'une autonomie décisionnelle dont le but est d'empêcher de décréter à la place, en substitution, contre, et de nuire. L'équilibre du pouvoir ne peut être sans celui des moyens. Par exemple : l'imbrication territoriale induit de réguler l'échange et d'harmoniser les rapports entre-elles pour éviter le corporatisme et l'égoïsme. Tous les groupes doivent être à égalité de voix et de droits dans les entités qui les associent. Ce système s'appelle le fédéralisme et il devient l'incarnation de la plus haute expression de l'autonomie. Aucun système contemporain n'est démocratique. Ce n'est le fruit que de minorités et de privilégiés spécialisés au sein de la machinerie institutionnelle qui dépossèdent la majorité de l'action politique afin de maintenir un ordre hiérarchique et inégalitaire.
 
Économie : elle est dévolue à produire des choses nécessaires à satisfaire les besoins. A moins de vivre en autarcie (ce qui me semble impossible), cet ordre est social. Tous les individus y sont investis et abondent à satisfaire les biens individuels et collectifs. Chacun doit recevoir l'égale part de travail et de ce que produit le travail. Une production collective et une répartition égalitaire des biens sont compatibles avec la cause générale. Le système économique actuel ne vise pas à servir le bien commun. Il n'est qu'au profit de nantis. C'est même un contresens économique, au vu de l'utilité de l'ensemble. D'un côté, on travaille et on surtravaille en s'activant à fabriquer des biens futiles et, de l'autre, on chôme tout en ayant une carence de biens vitaux. De plus, il y a mise en place d'un contrôle social et d'une répression accrue envers les individus pour les spolier, quand ce n'est pas simplement une destruction de biens publics par la guerre, le tout afin d'accroître l'enrichissement de lobbys précis. Le capitalisme est antidémocratique.
 
Liberté : elle est productrice des choix et des actes. Pour autant la liberté n'est pas totale ; elle est toujours confrontée à l'autre, à la volonté générale, aux principes de la communauté.
 
Égalité  : ses détracteurs veulent établir que son inverse (l'inégalité) est dans l'ordre naturel des choses et qu'elle est en toute logique une règle du bon fonctionnement de la société actuelle. Réfléchissons et observons que tel individu musculairement puissant possède des articulations fragiles ou qu'un autre morphologiquement chétif dispose d'une défense immunitaire avantageuse ; qu'il peut être très véloce mais malentendant, qu'il est robuste sur le plan cardio-vasculaire mais souffreteux des poumons, voire très imaginatif en étant peu à l'aise dans la réalisation des tâches les plus banales, tel loquace avec si peu de raison pratique, tel mathématicien nul en littérature, tel logicien peu sensible à l'autre, etc. Si, pour comparer, on ne prend pas la partie pour le tout, très vite, il s'avère hasardeux ou même impossible d'établir l'inégalité comme fondement. S'il y a bien des différences qui existent, une approche systémique de l'individu constate des similitudes et des compétences communément partagées.
 
L'égalité est plutôt la norme. (......) sont innées, tant sur le plan singulier qu'universel, ce que d'ailleurs confirment la phylogenèse et l'ontogenèse. Mais alors, d'où provient l'inégalité dans le champ social ? Tout simplement, si l'inné existe, il n'est pas en dehors de son environnement. Les structures ne sont pas fermées, elles peuvent être modifiées, « inhibées » et détruites ou stimulées et optimalisées. De la sorte, il y a un rapport inné/acquis dont la co-influence est difficile à mesurer ou déterminer.
 
Ce qui prête à beaucoup d'interprétations. (....) .
 
Le social ne déroge pas à la règle et interfère sur cet inné selon sa culture. Les effets de cette donne sont sans appel. Mentionnons ces quelques exemples  : conservation (hygiène, (.......), etc. Tout cela diffère en fonction du capital social (bagage culturel et aisance financière, entre autres) qui insère l'individu et qui les groupe. Or, bien que cela n'ait pas été de tout temps et pourrait bien changer d'après certains, cette société est divisée en classes sociales et catégories socio-professionnelles. L'individu (ou la personne) dans sa totalité individuée et universelle est doté de façon innée des compétences de son espèce qui sont directement et diversement affectées par l'environnement social.
 
 Le film « La vie est un long fleuve tranquille » illustre de façon amusante qu'après un échange dès leur naissance un enfant de la bourgeoisie catholique et un enfant du prolétariat d'une banlieue ne s'imprègnent pas de l'habitus de leur famille biologique, mais bien de celui de leur nouvelle famille respective. En la matière, la culture a une relative indépendance vis-à-vis de sa mère nature tout comme l'idéologie ne découle pas du gène mais des contenus de conscience. C'est donc bien dans l'ordre du discours que se trouve le fondement de l'inégalité.
 
A ceux qui proclament que l'inégalité est innée (non sociale), nous formulons d'autres questions : d'où vient que, selon les systèmes sociaux, l'inégalité se réduit ou croît ? Quelles sont les explications, lorsque des individus ou groupes prétendus « inférieurs » accèdent à des niveaux dits « supérieurs » (connaissances intellectuelles et/ou professionnelles), transgressant par là l'innéo-déterminisme.
 
Si les grandes compétences (langage, symbolisation, abstraction, bipédie...) étaient dues au hasard ou à la recombinaison procréative, elles seraient particulières dans leur manifestation. Pourquoi cette singularité ne se traduirait-elle pas au niveau social ? Pourquoi observe-t-on une grande stabilité des couches sociales ? Si la théorie de la sélection naturelle ou sociale était vraie, on devrait aboutir à un élitisme des grandes compétences. Or rien n'établit qu'il y ait un biotype ou un psychotype différent entre les individus des diverses strates sociales. Le « générique » s'impose et rien de plus banal que le grand bourgeois et le plus exclu des prolétaires. Le supérieur et le dominant ne sont en rien un élitisme objectif mais un a priori moral et les traits de caractère secondaires sont dus à l'histoire personnelle même s'ils sont efficients pour la domination (ambition, mégalomanie, violence, immoralité, égotisme, arrivisme, etc.).
 
 Pour conserver et obtenir des privilèges, certains par la rhétorique, le mensonge, la manipulation et la violence ont imposé des rapports de domination ; ils ont établi et perpétué des sociétés verticalisées, élevé l'inégalité en dogme. Parallèlement, la compréhension des impacts macro et micro économiques ont permis des politiques sociales moins iniques. De facto, la croissance de la production et de la consommation ont longtemps obligé à plus de pouvoir d'achat global d'où une économie plus redistributive et une amélioration du standard de vie. Faisant le constat que l'historicité est marquée par la conflictualité sociale et afin d'éviter une révolution sociale, la machinerie institutionnelle a favorisé l'intégration en confortant le mythe du progrès social, de l'Etat providence, du neutralisme et de la bienveillance de la bourgeoisie. Mais, depuis plusieurs décennies, la réduction des inégalités économiques et sociales a fait place à une accentuation des dites inégalités. Dès à présent, dissipons une illusion : la gauche prétend réduire les abus par une politique équilibrée social-démocrate ; la droite, quant à elle, par le libéralisme, pratique l'inverse. Pour autant, ni l'une, ni l'autre n'entendent établir l'égalité. Elles divergent sur le gradient de domination (oppression et exploitation) judicieux pour leur intérêt. Elles refusent la critique de ce système politique (parlementaire), économique (capitalisme), idéologique (anti-égalitaire). D'où leur défense des institutions, notamment l'État et ses appareils idéologiques. Cette machinerie institutionnelle reproduit et pérennise un modèle de société hiérarchisée qui conforte les privilèges.
 
C'est pourquoi la démocratie n'est pas :

Le parlementarisme qui permet que le législateur n'incarne pas la volonté et l'intérêt collectif mais celui d'aigrefins, de cénacles, de camarillas et de profiteurs. Par sa logique, le parlementarisme dépossède ou n'incline pas à l'administration de la citée.
 
Le paritarisme qui confie l'action politique à des groupe groupements (syndicats et associations) ne représentant qu'une frange infime de la population. Par leurs fonctions et compositions, les organismes paritaires n'enfantent que des compromis et statu quos. Le but de ces structures est d'arracher quelques avantages pour leur clientèle.
 
Le gouvernement qui est issu d'une fraction prétendue majoritaire et par ses ministres agit dans l'intérêt de son parti. D'où ses prises de décisions qui déplaisent en général en grande partie à la population. En effet, le gouvernement ne se risque que très rarement à la consulter, sauf s'il croit en sa victoire. Le cas échéant, il passe outre (cf. la modification du cadre constitutionnel).
 

 
La consultation électorale hissant aux affaires les élus. Si on décompte les privés de droits civiques, les résidents étrangers et les abstentionnistes, ce n'est environ que la moitié de la population qui élit. La majorité étant de 50% plus une voie des suffrages exprimés (majorité absolue), voire moins (majorité relative). Le résultat est que la majorité élue ne représente guère plus de 25% à 30% de la population, peut être moins si l'abstention est forte.
 
La pluralité d'opinions, en quoi l'oligarchisme, le théocratisme, le monarchisme, le bourgeoisisme, le fascisme, le stalinisme, comme le féodalisme et le capitalisme sont-ils démocratiques  ? Cela arrange bien les politiciens qui prétendent oeuvrer aux compromis et synthèses qu'impliquent ces opinions multiples. Par touches successive, ils dépouillent la démocratie de ce qui la constitue et imposent une idéologie antidémocratique au nom du démocratisme.
 
L'exercice de l'Etat (2011) 
 

 
 
Les Marches Du Pouvoir - Bande Annonce VOSTFR - YouTube :  Le film se déroule dans les derniers jours d'une campagne pour les primaires à la présidentielle aux USA. Dans ce contexte, Stephen Meyers, un jeune directeur en communication, chargé de presse, travaille sur la campagne du gouverneur Morris candidat à la présidence des Etats-Unis. Pendant cette campagne, ce jeune homme idéaliste va découvrir l'envers du décor, peu reluisant...
 
 
 

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Les Marches du pouvoir ( (The Ides of March[1])  est un film américain réalisé par George Clooney sorti en 2011. C'est l'adaptation de la pièce de théâtre Farragut North de Beau Willimon, elle-même basée sur l'histoire vraie de Howard Dean. Wikipédia
The Ides of March - YouTube :


 
 Les matins - Cinéma "L'Exercice de l'Etat"  : 
 
 

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Borgen : la saison 2 bientôt sur ARTE : Borgen, une femme au pouvoir - Interview de Sidse Babett Knudsen :  
Borgen  - Dutch subtitles - YouTube

 

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season 3 episode 1 :
3 episode 2 :
season 3 episode 3 :


 
Pour finir, affirmons que la démocratie c'est :
 

Le pouvoir du peuple qui exprime la décision de tous, la volonté et l'intérêt collectif ;
Le peuple qui est l'ensemble de la population non catégorisée selon les aspects secondaires et particuliers mais dans l'universalité du genre humain ;


L'individu qui acte pour que les intérêts individuels et collectifs se garantissent mutuellement ;

La politique qui implique la participation de tous à l'administration de la société d'après le principe du fédéralisme ;

L'économie dont la finalité est de satisfaire aux besoins de la population. Chacun ½uvre et reçoit l'égale part de la production économique. Cela suppose que les moyens économiques ne sont ni privés, ni étatiques, mais une propriété sociale ;

La liberté qui est la plus ample possible dans la mesure où elle s'arrête ou commence celle d'autrui, ainsi bornée elle ne s'altère pas mais se vitalise ;

L'égalité qui en matière sociale est formellement celle des droits.

Jean Picard Caen le 15/09/2012.
 
Socrate naissance de la philosophie Part 1/3,  Part 2/3, Part 3/3 ,

 
 

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De la tyrannie à la démocratie part 1/3, part 2/3,  part 3/3

 
 

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Athènes, berceau de la démocratie 1/3 , 2/3, 3/3- Vidéo Dailymotion : 
 
 

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http://lechatnoiremeutier.antifa-net.fr/bresil-nouvelles-de-la-guerre-sociale-depuis-les-rues-de-sao-paulo-et-de-porto-alegre/
Vendredi 30 août, des manifestations ont de nouveau ébranlé les rues de Sao paulo. Selon la presse, l'avenue Paul...ista a été bloquée une grande partie de l'après-midi (de 15h à 18h). Aux alentours de 20h, la route Marginal Pinheiros a été bloquée près d'une heure. Puis environ 200 manifestant.e.s cagoulé.e.s, armé.e.s de bâtons et de pierres, ont pris l'avenue Luis Carlos Berrini. De la merde et du fumier ont été balancés sur les locaux de la chaîne TV Globo. Les larbins du pouvoir ont vu leurs spots de lumières défoncés.Afficher la suite

 



Mais la lutte de classes ne peut avoir de valeur positive que si elle est constructive dans ses aspirations.
Il fallait donc donner à cette lutte un programme minimum de revendications partielles du présent. L'anarcho-syndicalisme est précisément né de cette nécessité d'ajouter au programme du jour un programme social qui engloberait toute la vie économique et sociale d'un peuple.
Alexandre Shapiro

http://gasycntait89.over-blog.com/
 
une conférence de Bakounine
Quoi encore, la Syrie ?
Pierre Bourdieu sur l'Etat
Un mouvement de Paysan sans terre est sur le point de se lever en Bretagne
Chine. Le nouvel empire. Film documentaire de Jean-Michel Carré
TV-LOBOTOMIE
Des héros ordinaires mis aux piloris
 
Quoi encore, la Syrie ? : citoyen actif
Nouvelles d'un anarchiste syrien : citoyen actif
La dictature de l'immédiateté : citoyen actif



Marketing vert : le grand maquillage
Créé le vendredi 04 mai 2012 23

Le 01 octobre 2016 à 14h11
Industrie agro-alimentaire : business contre santé


Bruxelles businessCréé le mardi 20 mai 2014 
Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014 
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Le complexe militaro-industrielCréé le dimanche 15 septembre 2013 
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REFLEXIONS SUR LA DEMOCRATIE Créé le samedi 07 septembre
Errico Malatesta Créé le mercredi 04 septembre 2013 
Les élus locaux dans le piège nucléaire Créé le samedi 07 septembre 2013 



Tags : démocratie, démocratie directe, politique, économie, Borgen, une femme au pouvoir, série, L'anarcho-syndicalisme
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#Posté le vendredi 06 septembre 2013 18:38

Modifié le lundi 03 octobre 2016 03:55

Comprendre le capitalisme japonais


 
 
 
 
 
 
 
n
 
 lire sur le blog de citoyenactif. Vraiment très intéressant, car au delç du système capitaliste japonais et ses rouages, c'est tout le système capitaliste mondialisé ( une ligne directrice et des particularité locale, s'adapte aux système et contexte politique et économique de chaque pays) sur le blog citoyenactif 


 
source citoyenactif
Comprendre le capitalisme japonais
n
 
Le libéralisme est la croyance ou caractère efficient de l'économie de marché
.  
Globalia de Jean Christophe...« Pour résoudre définitivement la question sociale, il(s) propose(nt) de partager l'humanité en deux parts inégales. Un dixième obtiendra la liberté absolue et une autorité illimitée sur les neuf autres dixièmes qui devront perdre leur personnalité et devenir en quelque sorte un troupeau Dostoievski ( Les possédés p 401




 

Cela ressemble au scénario de Globalia de Jean Christophe Ruffin. Au sortir de la seconde guerre mondiale, et la guerre froide : des dirigeants d'entreprises ont décidé de créer des marchés communs, ou certes un semblant de liberté parfaite ...Mais avec un prix très cher cf voir aussi Modèle Allemand"
 
Résumé : En trente années de politiques néolibérales, le Japon est devenu l'un des pays les plus inégalitaires de l'OCDE. La publication du livre de Sébastien Lechevalier, "La grande transformation du capitalisme japonais" , arrive à point nommé pour éclairer une zone d'ombre de l'histoire récente du Japon mais aussi pour donner des clés de compréhension à la crise du capitalisme en cours depuis 2007
 
 
Comprendre le capitalisme japonais - Le Japon à l'envers

   Description : Le Japon est aujourd'hui très connu en France, à travers sa culture populaire - manga, animé - et sa cuisine. Mais que sait-on au juste de cette "face cachée de la lune", située quelque part entre l'extrême-orient et l'extrême-occident ? Au-delà des clichés, ce blog apporte un éclairage sur quelques aspects méconnus de la société, de la vie politique et de la culture populaire dans l'archipel.
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Sans-abris à Ôsaka, avril 2012 (DR/Mathieu Gaulène)
 
 
 
 
Reportage ARTE: Tokyo Freeters

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.
 


P58 : Mathieu Rigouste : " Les Marchands de la peur : la bande à Bauer et l'idéologie sécuritaire"
 
Les thinks thanks sont des appareils de propagande. Financés par des fonds publics, ces entreprises ou des particuliers, ce sont des instituts chargés de promouvoir une idéologie au service d'un groupement d'intérêts, des club chargé de d'influencer le  pouvoir politique et/ou des " populations". Selon Christian Harburot, le directeur de l'Ecole de guerre économique, les thinks thanks " regroupent des patrons, des universitaires, des chercheurs qui réfléchissent ensemble sur un point précis pour atteindre dans le but d'atteindre un objectif" " Think thanks, un conseil made in USA", le journal du management, avril 2004. Think tanks : Un concept "made in USA" - Le Journal du Net
 
 
 
 
Extrait
Chroniques émergentes : le Japon met le pied dans la porte du libre-échange
Damien Durand (*)
 
le Japon franchissait enfin le pas des grandes réformes économiques et de l'ouverture à l'international ? Il faut dire que le Japon sort d'une période particulièrement déprimante en termes de politiques économiques, et a traversé un long tunnel depuis le passage du Premier ministre libéral et réformateur Koizumi (2001-2006). Depuis, c'était une succession de gouvernement sans grande envergure, incapables d'enrayer le déclin du Japon sur la scène mondiale, et même asiatique.
 
( Les héritages de Koizumi - La Vie des idées Les années Koizumi (2001-2006) ont profondément changé la vie politique nippone. Outre les réformes libérales et une certaine nostalgie pour le passé impérial du pays, l'ancien Premier ministre a apporté au Japon un style de communication politique radicalement nouveau
 
Un libéralisme bien nippon
Le principal slogan utilisé par Koizumi lors des élections de 2005 – « de la bureaucratie au peuple » (kan kara min e) – allait bien au-delà de l'assainissement des finances publiques, annonçant un vaste projet de transformation de la société, dont la déréglementation des activités économiques, la baisse du nombre des fonctionnaires et la privatisation d'un certain nombre d'agences publiques n'étaient que les manifestations les plus visibles)
 
Les bonnes volontés d'un pays encore protectionniste
Mais cette fois-ci, promis, juré, a dit Shinzō Abe, élu en décembre dernier, les choses vont changer et le Japon va amorcer des mutations profondes pour lui faire retrouver sa grandeur de la fin du XXe siècle.
Les observateurs avaient de quoi être sceptiques à l'arrivée au pouvoir d'Abe : celui-ci avait déjà été une fois Premier ministre (2006-2007) prenant justement la succession de Koizumi, et.
Mais l'Abe nouveau n'est plus le même, il a un vrai programme économique, s'est concilié les bonnes grâces de la Bank of Japan (BoJ) pour faire tourner la planche à billets et injecter un peu d'inflation dans la machine nippone.
 
Mais surtout, il semble plus que jamais décidé à réaliser son grand projet économique : faire rentrer le Japon dans le TPP, le Trans-Pacific Strategic Economic Partnership, la vaste zone de libre-échange qui émerge petit à petit des deux côté de l'océan Pacifique. trans-pacific strategic economic partnership agreement - SICE  - Traduire cette page
 
Pour l'instant réduit à cinq Etats (le Bruneï, le Chili, la Nouvelle-Zélande et Singapour), le TPP est négocié actuellement par des pays d'un autre calibre sur le plan économique, notamment les Etats-Unis qui ont entraîné dans leur sillage le Canada, le Mexique, l'Australie ou la Malaisie. Une zone encore modeste donc, mais à l'avenir annoncé radieux.
 
Preuve de la gageure qui attend Shinzō Abe, le Japon reste l'un des pays développés avec les plus fortes barrières commerciales à l'entrée de son territoire. Bien que celles-ci se soient considérablement réduites, suivant ainsi le mouvement insufflé par l'Organisation mondiale du commerce, le Japon maintient un protectionnisme tarifairede deux manières. Primo, en protégeant malgré tout des secteurs de la concurrence internationale par des droits de douanes. Secundo, le Japon n'était pas un très grand instigateur de zones de libre-échange, se tenant à l'écart de ces mouvements – notamment sous la pression de plusieurs lobbys – une situation laquelle Shinzō Abe veut justement mettre un terme définitif.
 
Ayant de plus en plus de mal à user de l'outil douanier dans un monde où la pression vers l'ouverture des frontières commerciales se fait de plus en plus forte, le protectionnisme japonais s'est fait plutôt le spécialiste de l'autre outil insidieux freinant les importations : les barrières non tarifaires et surtout l'outil normatif qui fait fureur dans le secteur agricole, le plus fermé au Japon. Normes ubuesques, obligation qualitative et préconisations sanitaires poussées, les directives, qui se sont d'ailleurs multipliées durant la décennie 2000, visent, plus que la protection du consommateur nippon (objectif affiché à tue-tête bien entendu), à assurer celle des producteurs japonais, peu compétitifs au demeurant dans la zone asiatique.
 
Convaincu mais pas emballé
Mais si Shinzō Abe, homme politique taciturne et qui n'a jamais fait se lever les foules, peut aujourd'hui lancer le Japon sur le grand chantier du libre-échange, c'est également parce que le moment politique y est propice. Enfin... si l'on en croit l'étude d'opinion menée par le très sérieux journal Asahi Shimbun, les choses sont en fait un peu plus subtiles que l'image première. Si, en effet, 53% des Japonais sont favorables à l'entrée du Japon dans le TPP, en réalité seuls 39% pensent que "les intérêts du Japon seront préservés", et même 56% estiment que "l'agriculture japonaise va souffrir" (71% pensant même que "la sécurité alimentaire va se dégrader").
 
L''idée au Japon, où le débat sur le TPP est très présent, est plutôt de faire le constat que le Japon n'a plus le choix de pouvoir rester à l'écart du commerce international, et que c'est le moment, enfin, de rentrer de plain-pied dans la dynamique. Les chiffres semblent d'ailleurs donner raison à cette analyse, puisque le Japon a affiché un déficit record de sa balance commerciale en 2012, à hauteur de 6 927 milliards de yen (58,74 milliards d'euros). Une situation mauvaise économiquement, mais idéale politiquement pour faire passer la pilule à une opinion traditionnellement rétive à l'ouverture, et qui portait jusque-là au pouvoir ceux des candidats qui répondaient le plus aux attentes des lobb ys protectionnistes
.
Séduire les modestes, attirer les puissants
Une adhésion au TPP permettrait-elle donc de relancer la machine commerciale japonaise et enfin de faire revenir la croissance durable dans un pays qui sort de sept ans de marasme politique, et qui a connu, depuis 2008, trois années de récession ? Pas vraiment, selon les économistes, qui n'attendent pas des résultats fabuleux pour l'économie nippone
.
"Les évaluations gouvernementales chiffreraient à seulement 0,7% du PIB les gains liés à une adhésion au TTP" rappelle Bruno Ducoudré, spécialiste du Japon à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). "De plus, si ce traité concerne l'ensemble des secteurs de l'économie japonaise, il faut rappeler que le TPP ne comprend pas deux des principaux partenaires commerciaux du Japon : l'Union européenne et la Chine. Il ne faut donc pas en attendre un réel choc de croissance."
 
Ce que cherche Shinzō Abe, ce n'est donc pas un "choc de croissance", mais plutôt un "choc d'ouverture" poussant les partenaires commerciaux traditionnels du Japon à envisager également la question du libre-échange, tout en préparant les citoyens de l'archipel à de futurs engagements économiques aux conséquences, eux, beaucoup plus importants.
 
Et le Premier ministre japonais a plutôt fait preuve, sur ce coup, d'un flair bien placé : quelques jours seulement après que Shinzō Abe ait annoncé (fin février-début mars) la mise en place concrète de processus de négociations, le Conseil européen et la Commission européenne ont annoncé, le 25 mars, le lancement officiel de négociation sur une zone de libre-échange UE-Japon, un accord qui couvrirait potentiellement deux zones représentant un tiers du PIB mondial
.
Un accord qui permettrait aux pays européens de mieux pénétrer le complexe marché nippon, et aux Japonais de damer le pion à d'autres pays asiatiques – la Corée notamment – sur les marché à fort potentiel d'exportation, l'automobile notamment
.
Le lendemain du lancement des négociations avec l'Union européenne, c'est la Chine et la Corée du Sud qui ont fait savoir leur souhait de former une zone tripartite qui serait un mastodonte économique du libre-échange en Asie de l'Est. Pari gagné pour Shinzō Abe qui a su provoquer chez ses partenaires un sentiment qui s'était un peu émoussé depuis plusieurs années : rendre le Japon désirable sur la scène économique internationale
 
 
(*) Damien Durand est diplômé de Sciences Po Paris et de l'IEP Grenoble, où il s'est spécialisé dans les problématiques politiques et économiques en Asie de l'Est et du Sud-Est
.
Après avoir disséqué l'actualité française sous toutes ses coutures pour le quotidien japonais Mainichi Shimbun, il est aujourd'hui le rédacteur en chef du magazine bimestriel Pays Emergents
.
Mais les arguments des uns et des autres méritent un petit démontage : Contre la politique anti-immigrés et anti-sociale du PS, nous répondons : régularisation de tous les sans-papier !
 
Reportage ARTE: Tokyo Freeters


la photo de Brigitte Bernard.
 
le marché commun, 160 millions de consommateur en mars 1957 : http://www.youtube.com/watch?v=gQOdMB6m_WE
 
40 ans de traité de Rome
25 mars 1997
Rappel en images de la signature du traité de Rome, le 25 mars 1957, entre la France, l'Allemagne, l'Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays Bas.Interview Jean François DENIAU, négociateur du traité : le principe était de dire nous avons eu trois guerres avec l'Allemagne, ça suffit. ".Discours d'Henri DE CHARETTE, ministre des Affaires Etrangères, sur le thème du rassemblement pour la paix. politique; archive television; archive tv; ina; inna; Institut National de l'Audiovisuel; french tv Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel
http://www.youtube.com/watch?v=Ef_AYSLNNfQ

 
L'UNION EUROPEENNE (histoire et géographie) PARTIE 1 , PARTIE 2  :
http://www.youtube.com/watch?v=KUqlS1-R0to
Documentaire Amérique Latine L'enjeu énergétique - YouTube :  
 
Documentaire Amérique Latine La zone de libre échange - YouTube :
 
 
 

A lire : Japon : cette déflation qui n'en finit pas.. : citoyen actif
, Think Thank et " crise" : citoyen actif, le japon : citoyen actif, japon + citoyen actif[PDF]Le protectionnisme au tournant du siècle
Cent fiches pour comprendre la mondialisation - Résultats Google Recherche
Libre echange et protectionnisme; Robert Schnerb
3. Justification du protectionnisme - Un peu d'économie
OMC.doc
les marchés publics : un scénario de globalia : citoyen actif
Comprendre le capitalisme japonais - Forum Alternative libertaire,
Comprendre le capitalisme japonais de indigné révolté - sur Forum Fédération Anarchiste



Modèle allemand & social libéralisme
Créé le lundi 20 mai 2013 1
 
Grande Bretagne : Un contrat Ultralibéral créé le mardi 03 juin 2014 , Looking for Europe Créé le samedi 24 mai 2014, Bruxelles business Créé le mardi 20 mai 2014 , Argent, sang et démocratie -Créé le dimanche 18 mai 2014, La démocratie, c'est nous le dimanche 11 mai 2014, Les nouveaux pauvres Créé le dimanche 11 mai 2014 20:04, Brésil, le stade et les favela : le jeudi 08 mai 2014, “Jeu d'influences”, un jeu en ligne pour comprendre le monde trouble des spin doctors le mardi 06 mai 2014, Capitalisme : Le triomphe de l'argent roiCréé le dimanche 16 février 2014 , Concert de soutien au Rémouleurle dimanche 08 décembre 2013, Where is My Mind le jeudi 19 septembre 2013 une conférence de BakounineCréé le samedi 24 août 2013 13:, Les chefs le samedi 01 juin 2013 00:
 
Comprendre le capitalisme japonais
Créé le mercredi 01 mai 2013 1


Tags : capitalisme, japon, zone de libre échange, marché commun, capitalisme japonais, globalia, jean christophe ruffin, politiques néolibérales, shinzō abe, politique, économie, société, libéralisme, néolibéralisme, traité de Rome, Interview Jean François DENIAU, d'Henri DE CHARETTE, consommateur, Union Européenne, Documentaire, Amérique Latine, L'enjeu énergétique
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#Posté le mercredi 01 mai 2013 06:42

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:15

« Un nouveau monde, le vôtre »

 
 
N
 
« Un nouveau monde, le vôtre »
 
" la sortie du capitalisme " - citoyenactif
 
 
La question de la sortie du capitalisme n'a jamais été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec une urgence d'une radicale nouveauté. Par son développement même, le capitalisme a atteint une limite tant interne qu'externe qu'il est incapable de dépasser et qui en fait un système qui survit par des subterfuges à la crise de ses catégories fondamentales : le travail, la valeur, le capital. Mis sur Facebook
 

 








 
 
uN POST TRES INTERESSANT A LIRE :)
 
 
« Un nouveau monde, le vôtre »
« Un nouveau monde, le vôtre »
par Io Kamikaze Canon, dimanche 24 février 2013, 12:42 ·
La question que je vais aborder ici s'est imposée à mon esprit suite à une discussion avec Aurélie, un de mes contact Facebook qui me rappelait au bon souvenir de Maître  Ripert. Avocat comme il n'en existe pas assez. Avocat, qui durant le procès Ferrara, avait à nouveau énoncé quelques belles vérités à la cours, telle que :
 
« 193 années de prison requises soit presque deux siècles de réclusion pour trois petits trous dans un mur d'enceinte et un petit homme qui s'en évade. Votre justice est en train de devenir de plus en plus répressive et la prison l'avenir de la société pour niveler les injustices sociales. Votre justice ne protège que les nantis auxquels nous devons la crise financière, les parachutes dorés, les abuseurs de biens sociaux qui volent l'argent dans les banques de l'état. »(1)
 
A partir de là, je suis parvenue, de lien en lien, à me retrouver sur une branche, oserai-je dire, plutôt pourrie. Je m'explique.
 
J'ai commencé par indiquer à Aurélie le site « Ban Public » afin qu'elle puisse y puiser des informations quant à l' « actualité » du monde carcéral. Je l'ouvrais souvent depuis l'« affaire Ferrara », sensibilisée par toute cette injustice face à laquelle ne se retrouvent jamais ces fameux nantis dont parle Maître Ripert.
 
Et puis un encart sur la page « Ban Public » me fait tiquer. L'encart « Population sous écrou (officiel). Le graphique original est ici : http://prison.eu.org/
 
 
 
Je fais tout de suite, aux vues de l'explosion depuis 2001/2002, la corrélation avec l'arrivée au gouvernement, en tant que ministre de l'intérieur dans un premier temps, puis en tant que président de la république ensuite, de Sarkozy.
 
Je veux en savoir plus. Mes recherches m'amènent à divers articles qui confirment mes soupçons. Je lis sur Rue 89, un article daté du 6 décembre 2011 : « Soupçons de corruption sur le « Pentagone » de Sarkozy ».
 
Martin Bouygues, « un des plus proches amis de Nicolas Sarkozy » a décroché la timbale. Un marché juteux de 3,5 milliards d'euros en partenariat public privé. Le groupe Bouygues a ainsi évincé deux autres groupes français : Vinci et Eiffage. Ici, « il s'agit de relocaliser, d'ici à 2015, tous les services du ministère de la Défense à Balard, dans le XVème arrondissement de Paris. » (2)
 
Cet article souligne les liens qui unissent Sarkozy au groupe Bouygues. Un article, toujours du même journal, Rue 89, intitulé : « Prisons, la folie des grandeurs de Nicolas Sarkozy » et daté du retient mon attention.
« Annonçant un objectif de 80 000 places à l'horizon 2017, le président de la République entraîne le pays dans une politique pénale coûteuse et contreproductive en matière de prévention de la récidive. Invoquant le nombre de peines « inexécutées », il estime que la France a besoin de 30 000 places d'emprisonnement supplémentaires pour mettre en ½uvre les décisions des magistrats.
 
Nicolas Sarkozy souhaite revenir sur cette politique d'aménagement de peine, renforcée par sa propre majorité parlementaire lors de l'adoption de la loi pénitentiaire en novembre 2009. Il préfère aujourd'hui « ouvrir rapidement des prisons dédiées aux condamnés pour courtes peines ne présentant pas de dangerosité particulière », dont il reconnaît lui-même qu'ils représentent « la majorité des personnes incarcérées » et que « la plupart des peines en attente d'exécution sont précisément de courtes peines ». »
La remarque de l'auteur de cet article, est extrêmement pertinente : « Si ces détenus ne présentent pas de « dangerosité particulière », il est permis de se demander pour quelles raisons ils doivent nécessairement purger leur peine en prison. » (3)
 
Quel lien avec Bouygues ? C'est le Figaro, entre autres, qui me l'indique, dans un article du 8 janvier 2008 : « Trois nouvelles prisons pour Bouygues ».
 
« Elles sont décidément très convoitées les prisons françaises. Au terme d'une consultation qui l'opposait à ses trois grands concurrents français (Vinci, ­Eiffage et Spie Batignolles), Bouy­gues Construction a remporté le troisième lot de prisons mis sur le marché par l'État. Le groupe de Martin Bouygues se chargera à la fois de la conception, de la construction, du financement, de l'exploitation et de la mainte­nance de ces nouveaux établissements pénitentiaires à Nantes (570 places), Ann½ullin, près de Lille (688 places), et Réau, près de Melun (798 places). Soit, au total, 2056 places.
 
C'est la troisième fois que l'État a recours, pour des prisons, à ce dispositif de partenariat public privé (PPP). Le premier lot de quatre prisons avait été remporté en février 2006 par Eiffage ; le second des trois établissements dont la construction est en cours avait été attribué à Bouygues en octobre 2006. » (4)
 
On  comprend bien qu'il va falloir les remplir ces prisons, afin que Bouygues notamment, puisse accumuler des profits records. Sans oublier les centres de rétention pour qui de semblables contrats juteux finissent dans la poche de groupes comme Vinci, Cofely-Gdf-Suez, Véolia et... Bouygues. Encore lui. (5)
 
Que s'est-il passé depuis 2002 ? Y aurait-il plus de criminels, de délinquants ? Non, si l'on en croit la courbe ci-dessus. Les incarcérations étaient même en baisse.
 
« IL » a trouvé la solution. Bien évidemment. C'est Depuis 2002, date à laquelle Sarkozy est devenu ministre de l'intérieur jusqu'en 2012, que 69 textes de loi relatifs à la sécurité, l'immigration et le renforcement du système pénal judiciaire ont été adoptés. En clair, une loi sécuritaire a été votée tous les deux mois et demi.
 
Le site Légifrance lui-même nous informe  que « si l'on jugeait aujourd'hui comme il y a quarante ans, toutes choses égales par ailleurs, environ moitié moins de détenus se trouveraient dans les prisons françaises. » (6)
 
« Des groupes privés ont fait de considérables profits en construisant des prisons, en produisant des bracelets électroniques et des Taser, en installant des caméras de vidéosurveillance. Bouygues, Eiffage, Vinci se sont désormais substitués en partie à l'État pour gérer ses fonctions régaliennes de justice et de police. C'est ainsi que la nouvelle prison de Nantes coûtera au contribuable 13 millions d'euros par an pendant vingt-sept ans et en rapportera autant à Bouygues. Mais l'argument essentiel pour faire table rase du populisme pénal, de ces années barbelées est qu'il est aussi inefficace que destructeur des vies brisées par la machine pénale. », dénonce un article dans « l'Humanité » datant du 30 mars 2012 : « Pour une insurrection des consciences ». (7)
 
Sarkozy a été décidément très généreux envers ses amis, grâce à celle du contribuable :
« Avec les trois prisons confiées à Bouygues, l'État va plus loin. Pour la première fois dans l'histoire de la justice française, l'ensemble des services à la personne assurés dans ces trois prisons reviendra aussi au secteur privé : restauration, formation des détenus, accueil des familles, travail pénitentiaire et transport seront assurés par un groupement composé de plusieurs entreprises (Sogeres, Exprimm, Idex et Preface). 
 
La livraison des trois prisons devrait intervenir à partir de 2010. D'ici là, les groupes de BTP français lorgnent un autre contrat, plus emblématique, celui de la prison de la Santé, à Paris.» (4)
 
Je vous conseille de lire le témoignage d'un surveillant de prison :
http://prison.eu.org/spip.php?article11256
 
Un livre aussi, de Mathieu Rigouste « La domination policière », qui dénonce la violence policière comme non accidentelle « mais rationnellement produite et régulée par le dispositif étatique ».
 
Force est d'admettre que nous vivons à l'ère d'un néolibéralisme, ou démocratie et liberté n'ont plus leur place. Une petite poignée de nantis, prête à tout pour parvenir à s'octroyer toujours plus de puissance et de pouvoir grâce à l'agent du contribuable, nous le prouve tous les jours. Nous l'avons vu, pour ce faire, ils n'hésitent pas, à l'aide d'hommes politiques corrompus, à envoyer des innocents en prison. Je dédierai cet article à celles et ceux qui, à Notre-Dames-des-Landes, se battent en ce moment même contre un projet d'ayrault-porc vendu par un ministre UMPS à Vinci « « Son p... d'aéroport de m... coûtera quatre fois plus cher qu'une nationalisation temporaire de Mittal. » (8), au contribuable, bien entendu.
 
Enfin, je terminerai comme j'ai commencé, par une citation de Maître Ripert :
« Vous n'avez aucune humanité, aucune rigueur. Vous êtes des malades de la répression. Un pays où il n'y a plus de justice, c'est un pays fasciste. »(9)
 
Note : le titre de cet article provient de Bouygues lui-même. Slogan utilisé de 2004 à 2007. Qui fera taire Maître Ripert ? épisode 1 - Vidéo Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/x8pl06_qui-fera-taire-maitre-ripert-episod_news , Qui fera taire Maître Ripert ? Trailer (2 : http://www.dailymotion.com/video/x8p1sr_qui-fera-taire-maitre-ripert-traile_news , Qui fera taire Maître Ripert ? Trailer (3) :  http://www.dailymotion.com/video/x8p2qz_qui-fera-taire-maitre-ripert-traile_news , Qui fera taire Maître Ripert épisode 4 : http://www.dailymotion.com/video/x8pnao_qui-fera-taire-maitre-ripert-episod_news , Qui fera taire Maître Ripert ? épisode 5   : http://www.dailymotion.com/video/x8pxg5_qui-fera-taire-maitre-ripert-episod_news , Qui fera taire Maître Ripert ? épisode 6 : http://www.dailymotion.com/video/x8pxgv_qui-fera-taire-maitre-ripert-episod_news
 
Sources :
http://fraterniteaperpete.skyrock.com/2183350231-Execellente-plaidoirie-de-Bernard-RIPERT-au-proces-FERRARA-par-l-ARPPI.htmlhttp://www.rue89.com/2011/12/06/soupcons-de-corruption-sur-le-pentagone-de-sarkozy-227295http://www.rue89.com/2011/09/13/prisons-la-folie-des-grandeurs-de-nicolas-sarkozy-221818http://www.lefigaro.fr/societes-francaises/2008/01/08/04010-20080108ARTFIG00346-trois-nouvelles-prisons-pour-bouygues-.phphttp://sanspapiersnifrontieres.noblogs.org/post/2012/11/28/un-centre-de-retention/http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000026018861www.humanite.fr/politique/pour-une-insurrection-des-consciences-493522http://www.lefigaro.fr/politique/2012/12/06/01002-20121206ARTFIG00713-notre-dame-des-landes-ayrault-ne-lachera-pas.phphttp://www.trafic-justice.com/SITENE17/exemplaire/ripert/ripert12septdl.htm
Tags : économie, politique, société, France, prison, obsession sécuritaire
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#Posté le dimanche 24 février 2013 10:41

Modifié le dimanche 24 février 2013 11:12

Emeutes de la Faim: comment nourir la planète?


 
 
 
 
Urgence, cela chauffe !! La crise du système se manifeste au niveau macro-économique aussi bien qu'au niveau micro-économique. Elle s'explique principalement par un bouleversement technoscientifique qui introduit une rupture dans le développement du capitalisme et ruine, par ses répercussions, la base de son pouvoir et sa capacité de se reproduire. J'essaierai d'analyser cette crise d'abord sous l'angle macro-économique [1], ensuite dans ses effets sur le fonctionnement et la gestion des entreprises
 
NOURRIR LES VILLES, un enjeu pour demain
Un film de Irja MARTENS, 2013, 53 min

On estime qu'en 2050, les deux tiers des habitants du monde vivront dans les villes. Comment garantir l'approvisionnement en nourriture quand les villes engloutissent de plus en plus de terres agricoles ? Complexes agro-industriels à la périphérie des villes ou maraîchage urbain ?
Différents modèles ont récemment vu le jour, aux antipodes les uns des autres, soit autant de propositions qu'examine ce documentaire, parfois provocant.
Pour répondre à l'enjeu, quelles sont les voies déjà explorées et celles qui restent à imaginer ?

La projection sera suivie d'un débat animé par Antoine GIRARD avec Xavier GUIOMAR, enseigant-chercheur à AgroParisTech et directeur de publication de la revue POUR, et Frédéric GÉRAL, coordinateur de l'association montreuilloise « Le Sens de l'Humus".
 
 
Sous-développement: quand Macron s'attaque au ventre des femmes africaines
Point.
Interrogé sur le développement de l'Afrique au G20, Emmanuel Macron pointe les «7 à 8 enfants» des femmes africaines comme un problème «civilisationnel». Une marotte que la politologue Françoise Vergès démonte dans le Ventre des Femmes ( (Albin Michel). L'ouvrage, paru le premier mars 2017, revient sur le scandale, dans les années 70, des interruptions de grossesse et des stérilisations sans consentement sur l'île de la Réunion, alors que se jouait en métropole la mobilisation pour l'IVG avec le «Manifeste des 343». «On rend les femmes du tiers-monde responsables du sous-développement. En réalité, on inverse la causalité : la plupart des études prouvent aujourd'hui que c'est le sous-développement qui entraîne la surpopulation.»,avant de poursuivre: «La théorie de la surpopulation évite aussi de questionner le rôle du colonialisme et de l'impérialisme dans la pauvreté. Et ces discours visent, bien sûr, avant tout les femmes.» Interview à retrouver, ici.
[VIDÉO] Au G20, interrogé sur l'#Afrique, Emmanuel #Macron se lâche sur les «7 à 8 enfants» des Africaines. Un problème «civilisationnel».


G20 : la fracture entre politiques et manifestants à Hambourg résumée en une vidéo, 
Rage mécanique.
«Merci, chers politiciens, pour ce beau sommet du G20 !». Le tabloïd allemand Bild n'a pas manqué d'ironie en publiant dimanche sur Facebook un montage vidéo spécial G20 de Hambourg déjà vu plus de 2,6 millions de fois. Le résultat alterne plans des dirigeants les plus puissants du monde réunis vendredi dernier dans la salle Philharmonie de l'Elbe pour déguster du Beethoven, et scènes de manifestations musclées dans les rues. Toute la fracture idéologique entre grandes puissances et anticapitalistes résumée en un peu moins 4 minutes, le tout évoquant, musique oblige, le Orange Mécaniquede Kubrick.
A voir sur Facebook, G20 : à Hambourg, la police a été battue Malgré un déploiement spectaculaire, la police allemande a été mise en échec par les manifestants anti-G20 mobilisés à Hambourg. LAROTATIVE.INFO  , Vu du Royaume-Uni. Le changement de place impromptu de Macron sur la photo du G20L'attitude du président français au G20, qui s'est faufilé jusqu'au premier rang,...COURRIERINTERNATIONAL.COM Il est cinq heures, Paris s'éveille - Jacques Le Glou.mp4 YOUTUBE.COM


Nourrir les villes Un enjeu pour demain



 
Mis sur facebook : Batailles pour l'énergie - Le Monde diplomatique : « Manière de voir » n° 115 — Février - mars 2011
Prix du pétrole, pénuries électriques, ruée sur les ressources renouvelables, géopolitique des gazoducs... Comprendre le grand jeu de l'énergie dont dépend notre avenir implique une démarche volontariste : on s'arrête, on réfléchit. Et ce n'est pas triste. 

Parodie des Guignols de l'info (Désolé)

 
Les défis Mondiaux de l'Alimentation :  Réflexion stratégique et prospective sur les défis alimentaires mondiaux et le Système alimentaire mondial. Par Serge Guégan, directeur du cabinet Food Intelligence
 
 

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Objectifs du Millénaire : quel bilan ? :  
Medhi Drissi, Représentant de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) en France, répond à nos questions :
- Les objectifs du Millénaire ont-ils été tenus ? Quels sont les enjeux du sommet de septembre ?
- Quels sont les défis auxquels devra faire face l'ensemble de la planète en terme d'agriculture et d'alimentation ?
- A quels défis et difficultés la FAO doit-elle faire face ?

 

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Jean-Michel Salles - "Peut-on donner une valeur marchande à la biodiversité ?"   La biodiversité, ou diversité biologique, est en danger. Aujourd'hui, 1,8 millions d'espèces, sur des dizaines de millions, ont été déjà répertoriées. Une forte diversité qui s'est peu à peu dégradée au cours des derniers siècles. Un très grand nombre d'espèces ont en effet disparu de la surface du globe, 
Vers un crash alimentaire - YouTube  


 
Emeutes de la faim : les raisons de la colère - Vidéo Dailymotion
 

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Vers un crash alimentaire - YouTube :  
 Tiré d'un Think Thank financier :
Lundi 17 décembre 2012
Les matières premières à mettre en portefeuille pour 2013
Cécile Chevré
Petit retour en arrière sur les grandes tendances qui ont marqué l'évolution des matières premières ces dernières années.

 
2008-2009 : les matières premières sont laminées, emportées par la crise financière
2010-2011 : retour en grâce. Les investisseurs, échaudés par les actions, sont pris de frénésie et se jettent sur ces pauvres matières premières, qui voient leurs cours s'enfiévrer. Ajoutez à cela que la Chine, grand ordonnateur du cours des commodities, achète à tour de bras, profitant de cours à prix cassés
2012 : coup de froid sur la Chine, les matières premières en subissent le contrecoup. Certains annoncent même la fin d'un grand cycle haussier.
 
D'après une étude menée par le think-tank londonien Chatham House : “L'ampleur et la rapidité de la croissance de la demande des pays émergents, couplée à une décennie de cours serrés des matières ont créé une situation de 'stress des ressources'”.
 
“Les principales conséquences prévisibles sont une rupture d'approvisionnement, des prix volatils, une accélération de la dégradation environnementale et la montée des tensions politiques”, ajoute Chatham House.
La plupart des spécialistes du secteur estiment donc qu'il suffirait d'une ou deux mauvaises récoltes pour créer une situation de pénurie sur certaines matières premières agricoles. Pénurie qui s'accompagnera bien évidemment d'une flambée des cours.
 
Nous sommes donc dans une situation instable, conséquence de deux principaux phénomènes :
1. L'augmentation de la demande en matières premières en général et en commodities en particulier venue des émergents. Depuis une dizaine d'années, la demande mondiale de charbon, d'huile de palme ou de fer a augmenté ( ....)
 
Conséquence prévisible de cette situation tendue sur le marché des commodities : les prix s'envolent au rythme des mauvaises récoltes. Depuis 2000, le prix des matières premières alimentaires a été multiplié par deux.

  
Main basse sur le riz - videos.arte.tv :
Que s'est-il réellement passé au printemps 2008 ? À Port-au-Prince, la population crie famine. Au Caire, à Dakar, les foules envahissent les rues. Partout, une même cause : les prix du riz ont explosé. Pourquoi un tel vent de folie s'est-il abattu sur ce marché ? Qui a provoqué cette panique ? Qui en a bénéficié ? De Bangkok à Dakar, Bamako, Manille et Genève, les auteurs de cette grande enquête remontent la très discrète filière du riz à travers le monde, des producteurs aux consommateurs en passant par les intermédiaires (exportateurs, importateurs, grossistes, traders) et les gouvernants. Un film d'investigation essentiel pour mieux comprendre la complexité de cette filière aux enjeux considérables pour la sécurité alimentaire mondiale.
(France, 2009, 81mn)
ARTE F
Main basse sur le riz - YouTube : 


 
 
 

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Emeutes de la Faim: comment nourir la planète? (Mots croisés)  part 1/2 :  : partie 2/2 : http://www.youtube.com/watch?v=i3K45Nq4kes
 
 
Nourrir la planète ou la planète peut-elle nous nourrir :  :
Un documentaire qui sonne l'alerte sur la crise alimentaire qui se tapit dans les coulisses de Wall Street assise sur des spéculations, les bouleversements naturels et cycliques ou manipulations climatiques, l'utilisation des grains pour l'éthanol, désertification de certaines régions, diminution de l'eau dans les nappes phréatiques. Le laisser-aller écologique (pesticide, herbicides, engrais chimiques, pollution des terres arables est voulu et fait partie du génocide mondial dans le but de diminuer la population planétaire et contrôller tous les pays pour créer le Gouvernement Mondial et son Ordre du mal. Une extrême médiocrité dans la gestion de l'alimentation n'est que le reflet d'une voracité et soif perverse de pouvoir, de gains et profits au dépend de tous et toutes. Nous pouvons tout changer si nous apportons aux peuples de la Terre les technpologies énergétiques peu coûteuses et surtout propres et sanitaires. Nous les possédons déjà mais personne ne les connaît. Des serres doivent être construites et ça presse. Mais 400 millions de $ pour un collisé de hockey et spectacles est plus important.
 
Traders - Le marché secret des matières premières

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Le riz au Vietnam


Le hic dan sce documentaire est qu'on nous envoie le message que nous sommes trop sur l a Terre et q enou devrons quitter plus tôt que plus tard. On nous fait accepter toute la culpabilité d'avoir foutu le bordel ici et même de réchauffer la planète.

 

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Date de première diffusion : Mer., 9 janv. 2013, 00h11 Le Dessous Des Cartes Richesse Et Pauvreté Des Nations 11 Le Pic Pétrolier, C'est :
  

 
[c=black]La fin du rêve capitalisme ? - Citizen Khane : conclusion : Permanent Revolution - The role of credit in capitalism and today's ... :  Traduire cette page : [c=purple]L'adaptation du capitalisme :
[c=black]La question de la sortie du capitalisme n'a jamais été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec une urgence d'une radicale nouveauté. Par son développement même, le capitalisme a atteint une limite tant interne qu'externe qu'il est incapable de dépasser et qui en fait un système qui survit par des subterfuges à la crise de ses catégories fondamentales : le travail, la valeur, le capital

Thèmes : Documentaire, Géopolitique & Histoire, Société, commerce, riz, crise, équilibre alimentaire mondial

 
A lire sur le même sujet :
Main basse sur l'Afrique »

 
A lire : Mali : jeu géostratégique ,
The role of credit in capitalism and today's crisis : Le rôle du crédit dans le capitalisme et la crise actuelle , Le bout de la logique 2 ,
La face cachée de Hiroshima ,
George Orwell : 1984 , Un Monde sans Humains ? ,
« Cameroun, autopsie d'une indépendance »,
Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats : ,
D'un 11-Septembre à l'autre ,
Aux origines du Tiers-Monde : les famines coloniales, génocide oublié, Mike Davis


Enjeux alimentaire, spéculation et chute tendanciel du taux de profit
la servitude moderne Créé le mardi 26 juin 2012, Emeutes de la Faim: comment nourir la planète?
Créé le dimanche 27 janvier 2013



Les temps changent.... Le système reste !!, 
18/06/2015
Seulement un mauvais rêve ?
11/07/2017
La sixième extinction de masse des animaux s'accélère

Tags : Emeutes de la Faim:, comment nourir la planète?, Documentaire, Géopolitique & Histoire, Société, commerce, riz, crise, équilibre alimentaire mondial, alimentation, modèle, model, système, system, globalization, mondialisation, corruption, people, humanity, humanité, human being, population, mondiale, mondiaux, penser, produire, consommer, consumer, eat, eating, fooding, civilization, société, civilisation, companies, group, beverage, lait, milk, meat, viande, durable, economy, economics, économie, politique, crisis, commodities, denrées, alimentaires, aide, humanitaire, ong, firmes, multinationales, Nestlé, Cargill, Monsanto, ADM, JBS, Inbev, Kraft, Danone, Coca Cola, G 20, Davos, Forum, politics, Food Intelligence, foodintelligence, Batailles pour l'énergie, Le Monde diplomatique, Main basse sur l'Afrique », marché des commodities, matières premières, Nourrir les villes Un enjeu pour demain, NOURRIR LES VILLES, un enjeu pour demain, film, documentaire, Irja MARTENS, Afrique, Emmanuel #Macron, La sixième extinction, extinction de masse
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#Posté le samedi 26 janvier 2013 19:00

Modifié le mardi 01 août 2017 07:01

Guerre des "monnaies "


 
 
Guerre des monnaies - Wikipédia :
En affaires internationales, la guerre des monnaies, la guerre des devises, la guerre des changes ou la dévaluation compétitive[1] est une situation où des pays appliquent différentes mesures pour abaisser le taux de change de leur monnaie nationale dans le but de favoriser leurs industries domestiques, et par la même occasion, leurs exportations.
 
Dans l'histoire occidentale, la dévaluation compétitive est plutôt rare. En effet, il n'existait pas jusqu'au XXe siècle de marchés monétaires où échanger les monnaies. Une telle dévaluation est survenue dans les années 1930 suite au krach de 1929. En 2010, une telle dévaluation aurait cours[2].
 
La guerre des monnaies des années 1930 est vue, au début du XXIe siècle, comme une situation qui a amené son lot de problèmes économiques, tous les pays concernés ayant subi une diminution importante du commerce international. La guerre des monnaies de 2010 est engagée pour des raisons différentes et les mécanismes en jeu sont aussi différents. Les économistes ont des opinions divergentes à propos de son impact sur l'économie mondiale.
 
Quantitative easing
Le Quantitative easing (QE) est une pratique réalisée par une banque centrale lorsqu'elle tente de réduire l'incidence d'une récession, réelle ou perçue, en émettant un excédent de monnaie
 
La « guerre des monnaies » expliquée aux nuls | Rue89 Eco :
US-Sino Currency Rap Battle :  

 

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Le G20 est de ce point de vue le digne héritier de ses ancêtres, G7 et G8 : il est le théâtre de réunions creuses et sans grande efficacité, qui n'ont d'autre utilité que de permettre aux grands de cette planète de se rencontrer et de papoter. Derrière les beaux sourires, chacun se fiche de ce qui arrive à l'économie des pays de ses collègues.
 
Quel pays s'estime victime de la "guerre des monnaies" ? : LE MONDE ECONOMIE | <:TIME
 
Le ministre des finances brésilien, Guido Mantega, a dénoncé les nouvelles mesures de politique monétaire, dites d'"assouplissement quantitatif", prises mi-septembre par la Réserve fédérale américaine, puis par la Banque du Japon, pour relancer leurs économies nationales, mais dont la conséquence est de faire baisser le cours de leurs devises.
Associées à ces injections de liquidités, les différences de taux d'intérêt provoquent, en effet, un afflux de capitaux spéculatifs vers le Brésil, qui poussent le real à la hausse.
M. Mantega avait le premier utilisé le terme de "guerre des monnaies" en 2010, face aux mesures américaines de ce type prises en 2009. Une inquiétude renforcée par la crise de l'euro
 
Le cas argentin :
 
Le blues du peso argentin


Si vous vous trouviez devant le bureau de change qui fait face à mon lieu de travail à Buenos Aires hier en début d'après-midi, vous auriez pu capter les bribes d'une conversation de ce genre. Elle se tenait entre deux turistas permanentes qui s'étaient aventurés hors des sentiers battus, à la recherche d'un taux de change plus favorable pour leurs dollars américains.

Le taux de change officiel en Argentine est de 4,94 pesos par dollar. Mais personne ne croit une seule seconde à cette affabulation, ni les vendeurs, ni les acheteurs. Les dollars sont très recherchés ici, dans la troisième économie d'Amérique latine, du fait du recours, abusif et pathologique, à la planche à billets par le gouvernement.

Le gouverneur de la Banque centrale de la République argentine (BCRA), Mercedes Marcó del Pont, est une inflationista dans tous les sens du terme. Autrement dit, c'est une voleuse... Elle perpétue un crime contre les gens les plus pauvres de son pays, ceux qui sont sans défense, dont le salaire de misère est le moins capable d'absorber la stupidité de sa politique monétaire.

Naturellement, cela réduit la valeur de la monnaie du pays en augmentant généreusement son approvisionnement.


Comme ses camarades faussaires plus au nord, "la patronne de la Fed argentine" maintient un programme constant de "création" de pesos tout en embobinant la population avec le type de justifications absurdes que seul un haut responsable avec une carrière politico-universitaire peut espérer mener.
Dans un rejet stupéfiant des principales causes qui sous-tendent la tragique histoire monétaire de son pays, Madame Marcó del Pont a déclaré à la presse l'année dernière : "il est totalement faux de dire qu'imprimer plus de monnaie génère de l'inflation. La hausse des prix est due à d'autres phénomènes tels le comportement dans les approvisionnements et les exportations".

Nous l'avions remarqué à l'époque, la première partie de phrase, "des phénomènes tels le comportement dans les approvisionnements", est vraie... en particulier les approvisionnements de billets fraîchement sortis des presses de Madame Marcó del Pont.

Comment cela fonctionne-t-il ?
Les quelques privilégiés qui naviguent dans les hauteurs, ceux qui ont des relations haut placées et à qui on accorde la primauté d'accès aux billets nouvellement imprimés, gagnent gros en les dépensant en premier, en les injectant dans le système avant qu'ils ne se déprécient.


Ceux qui se retrouvent au bout de la liste... les gens ordinaires, les travailleurs qui tentent de joindre les deux bouts... ce sont eux qui pâtissent financièrement de la politique gouvernementale de "diminution de l'inflation". Ce sont eux les pauvres types qui vivent d'une paye à l'autre, pour qui 10% d'inflation signifie un dixième de nourriture en moins... un dixième de toit en moins... un dixième de tout en moins.

Naturellement, l'inflation ne grimpe pas à un rythme de 10% par an, comme le clame sournoisement le gouvernement. . Selon les estimations établies par des sociétés de conseil privées, comme celle contre laquelle le gouvernement a porté des accusations criminelles l'année dernière, les chiffres se situeraient plutôt entre 25% et 30%. Même ces chiffres semblent bas. Pour ceux qui possèdent des économies, leur valeur chute rapidement.

Sans surprise, par conséquent, les porteños locaux paient une forte prime pour échapper aux pesos mis à mal par le gouvernement, ce qui augmente le change des monnaies étrangères -- et du dollar américain en particulier -- jour après jour. Ici, les journaux ont observé que l'écart -- la brecha -- entre le taux de change officiel dollar-peso et le taux de change officieux avait atteint il y a quelques jours un record de 42,7% (de 4,94 pesos pour un dollar officiellement, à plus de sept pesos par dollar officieusement).

C'est véritablement l'histoire de deux marchés parallèles bien que nécessairement interconnectés. L'un déborde de mensonges et de statistiques gouvernementales (mais nous nous répétons) ; l'autre est peuplé d'individus en fuite, réagissant par désespoir à des injustices qui leur sont imposées par des leaders kleptomanes. Il y a un jeu pour les pillards et un jeu pour ceux qui tentent de fuir. Ou plutôt, il s'agit de deux aspects du même jeu... les faces opposées d'une même pièce de monnaie, de plus en plus dévalorisée.
 
La « guerre des monnaies » renforcée en 2013 - Le Figaro : Le recours aux planches à billets dans les pays développés heurte les intérêts des émergents.
Après une légère accalmie, la «guerre des changes» entre pays développés et émergents risque de repartir de plus belle en 2013, sous l'effet de la crise et des politiques de soutien des banques centrales.
 
Le Brésil menace de relancer la "guerre des devises" - Capital.fr : : Le Brésil a menacé vendredi d'adopter de nouvelles mesures contre les mouvements de capitaux étrangers à visées spéculatives, un tir de semonce dans une "guerre des devises" dont il rend responsable le recours massif à la planche à billets par les grandes banques centrales
 
Il me semble très important de regarder ce document .

Amitiés

The Collectivist Conspiracy

This is a PrisonPlanet.TV's exclusive interview with G.Edward Griffin released in the beginning of last year (2011). I think the interview is very pertinent to the Japanese people as well, because the situation is so similar that you could almost always state the identical thing for Japan by merely changing some name to the Japanese one in any given case. But the Japanese politics is, I think, murkier than the US's. Sometimes it's not clear which institution or name that plays a certain role in politics. The interview is quite long so I made a table of contents as follows:



 
 
 

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0:00:19 Introduction
0:01:12 The Collectivist Ideology
0:03:13 The Truth Behind the Left-Right Paradigm
0:08:28 The Tea Party Movement
0:13:46 The Things That Both Republican and Democrat Agree With
0:17:15 Ron Paul's Popularity
0:20:29 The Real Value of Voting
0:23:49 Professional Politicians
0:26:24 Tactics Used by Right Wingers and Left Wingers
0:30:52 Very Wealthy Families and Political Strategies
0:32:56 A Strategy Behind Achieving Securities
0:34:30 Tax Exempt Foundations
0:37:29 The American Government Is No Longer the One It Used to Be
0:43:07 When Did America become Dictatorship?
0:43:49 Hillary Clinton's Video Clip
0:45:43 Are the Elitists Worry About People Becoming Aware?
0:47:35 The Drift Toward the World Government
0:54:49 A Simple Ideal for the Freedom Movement
0:59:51 Phony Wresting Match
1:01:48 Glenn Beck
1:02:47 FOX News Network
1:05:06 The Politics of Hatred
1:07:57 The Monopoly Capitalist's Conspiracies
1:13:22 Bank Bailouts
1:17:37 Is the Tea Party Movement Valuable?
1:19:05 The Film, "What in the World Are They Spraying?"





[PDF]  guerre des monnaies.A.pdf - Cours Seko

source : Le blues du peso argentin | La Chronique Agora,  le système monétaire international, les accords de Bretton Woods ,  masse monétaire,
Tags : la "guerre des monnaies", Quantitative easing, QE, économie, finance, capitalisme, néolibéralisme, marchés monétaires, récession, taux de change, ministre des finances, Guido Mantega, peso argentin, crise, crise de l'euro, la "guerre des devises, devises
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#Posté le vendredi 18 janvier 2013 10:29

Modifié le samedi 19 janvier 2013 06:51

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