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Gadjo Dilo

n
 
En lallant sur le blog de Manuella http://manuella3.skyrock.com/,
j'ai découvert de nombreuses vidéos sur le peuple du voyage dont celle ci YANNIS PATRAC - " SENOR " - LES SAINTES MARIES DE LA MER https://www.youtube.com/watch?v=3UC6xhHEoJ4
 
 

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J'aime le peuple roimains / tzigane, ces cultures champs. Rappelons nous que derrière la mauvaise, ils sont un peuples conviviales qui a longtemps ( voir encore maintenant persécuter). Ils sont les inventeurs du Flamenco, que l'on croit a tord que cela vient d'Espagne.  Ensuite, j'aime Tony Gatif pour son engagement  dans ces films qui n'oublie ni le sérieux ni le divertissement. Des musiques poignantes, des histoires extraordinaires. J'ai donc choisi plusieurs films de lui ( dans sa filmographie) .


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Bande annonce : http://www.dailymotion.com/video/x1hkdb_gadjo-dilo-film-bande-annonce_creation

 
Dans les plaines enneigées de Roumanie, Stéphane, un jeune Français, erre avec un baluchon et des chaussures trouées, à la recherche d'une énigmatique chanteuse dont le nom figure sur une cassette qu'il conserve précieusement. Il est hébergé par Izidor, un vieux tzigane dont il a fait la connaissance alors que celui-ci était ivre et injuriait copieusement les villageois, responsables selon lui de l'arrestation de son fils. Grâce à Izidor, Stéphane se fait accepter dans la communauté tzigane. Il suit les musiciens dans les fêtes qu'ils accompagnent de leur musique, voire, à l'occasion, dans les virées qui les conduisent derrière les portes des bordels de Bucarest. En marge du clan parce qu'elle a abandonné son mari, parti en Belgique, Sabina fascine Stéphane, même si elle ne manifeste que peu de courtoisie à son égard. Peu à peu, leur relation s'améliore...
 
 
Le télérama ' C' 'est une plaine blanche à perte de vue, enneigée, vide. Il faut se perdre pour arriver là. Ne plus savoir où aller ni où chercher. Ce jeune type, routard fripé et flippé, traque un fantôme, une chanteuse nommée Nora Luca qui émerveillait son défunt père. Maintenant, il est perdu. Une carriole surgie de nulle part le dépasse au petit trot, avec, à son bord, une demi-douzaine de jeunes femmes. Les mots qu'elles lui lancent en riant très fort éclaboussent l'écran comme les couleurs chatoyantes de leurs foulards. Stéphane sourit sans comprendre. Nous, si, on a les sous-titres : ce qu'elles lui proposent est d'une joyeuse obscénité. Première rencontre de Stéphane (Romain Duris) avec les Tziganes du coin.
 
La seconde, à la nuit tombée, n'est pas triste non plus : c'est un vieux bonhomme qui brandit une bouteille de vodka en criant à tue-tête « Que je crève, si je ne la vide pas, cette bouteille ». Et il invite l'« étranger » à boire au goulot. La bouteille circule de l'un à l'autre. Le vieux s'éclate en invectives, enchaîne mimiques, grimaces, lamentations, et Stéphane, complètement largué, se marre, définitivement embarqué sur une autre planète... Le lendemain matin, quand il se réveille dans une bicoque misérable, derrière la fenêtre, sur le pas de la porte, des visages de tous les âges, silencieux, l'observent. Puis, dès qu'il sort, c'est comme un bloc d'hostilité qui lui dégringole sur la tête. Il a échoué dans un quartier tzigane, une espèce de ghetto plutôt, avec rien alentour qu'une étendue vide de campagne roumaine.



 
Les Princes - Tony Gatlif [1983]


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A l'écart. Tony Gatlif, qui signe, après Les Princes (1983) https://www.youtube.com/watch?v=90nTR4ZyPTU et Latcho drom (1993 : https://www.youtube.com/watch?v=RbWNJVVbGTI ), son troisième film sur le monde des Tziganes, taille tout de suite dans le vif de la fiction qui s'amorce, et livre des blocs de réalité (presque) brute.
 


Ce lieu vague et qui le restera, magma de tentes et de maisons en dur chancelantes, ce chaos d'existences rodées à la misère noire, ce clan hérissé d'hostilité palpable, la dureté des regards qui jaugent, des gestes qui jugent, qui tiennent en respect, qui provoquent, qui défient l'étranger, le gadjo : ça ne se fabrique pas avec les recettes usuelles du cinéma. Gatlif n'a rien inventé. Ou si peu. Pour réaliser Latcho drom, « un hymne, un film dont les gitans seraient fiers, à travers leur musique qui raconte leur mal à l'âme... », il a roulé sa bosse, pendant plus d'un an, dans toute l'Europe. Il avait alors repéré ce village roumain de Baltani, à une soixantaine de kilomètres de Bucarest. Ce n'était, de loin, ni le plus beau ni le plus accueillant.
 
 « Mais, dit-il, je ne voulais pas de gens trop bien élevés. Pour moi, les Tziganes, ce sont des gens qui résistent, qui ne cèdent sur rien. J'ai été frappé en découvrant ces anarchistes cent pour cent qui ne craignent rien ni personne. Rejetés, ils ont fait le vide autour d'eux. Dans ce village isolé, où même les chevaux ont du caractère et mordent, personne ne prend le risque d'entrer. Sauf les flics, mais ils ne s'y aventurent qu'avec des chiens... »
 
 Retour à la fiction. Stéphane n'aurait pas fait long feu s'il n'avait été l'hôte, le protégé du vieil homme rencontré la nuit précédente. Ce n'est pas n'importe qui : Izidor est musicien, il est surtout le boulibacha du village. Une espèce de chef qu'on ne se gêne pas de contester, d'invectiver pour la forme, mais qu'on finit toujours par écouter. Il est malheureux, Izidor. Son fils a été envoyé en prison, on ne saura trop pourquoi, sauf que pour lui tout est clair : « Il n'y a pas de justice pour les Tziganes. » Stéphane lui plaît, il a l'âge de son fils, et il a décrété que c'était son ami. Cela doit suffire à désamorcer la méfiance. Car de la méfiance, il y en a, et pas qu'un peu, dès que ce gadjo dilo (« fada ») mal attifé, aux chaussures trouées, qui ne pige pas un mot de rom, s'avise d'établir le contact, comme on dit. Des cris fusent, on le traite de « voleur de pou- les », on le soupçonne de vouloir violer les filles (savoureux retournement des clichés qui collent à la peau des « romanos »...).
 
Plus inquiétant encore, il y a le silence, et la menace sourde qu'il traduit. « De celui qui met les pieds chez eux, ils pensent soit qu'il fait de la politique, soit qu'il vient les embobiner, les évangéliser, n'importe quoi, explique le metteur en scène. Bref, qu'il n'apporte rien de bon. La tolérance ou l'intolérance sont des notions abstraites pour eux. Ils soupèsent l'individu. S'ils le rejettent, c'est sans appel. Fini. » Tony Gatlif partait d'un schéma d'une grande simplicité quand il a commencé à préparer Gadjo dilo : il s'agirait d'une confrontation qui peu à peu virerait à la curiosité puis à la compréhension réciproque. Avec histoire d'amour à la clef. Il y a tout cela dans son film, mais comme régénéré par la vie qui a fait irruption sur le tournage, qui a bousculé le scénario et ratiboisé les subterfuges du récit. « J'étais arrivé avec un film entièrement construit, raconte Gatlif, mais il y avait une telle intensité, partout, tout le temps, qu'elle ne pouvait pas ne pas déteindre sur nous. Ce qui était écrit ne tenait pas le coup face à ce que je ressentais. Je me suis laissé faire par la réalité, tellement plus riche. Je suis entré dedans, avec Romain [Duris] et, dès qu'une situation originale surgissait hors caméra, je la retournais aussi vite que possible, à chaud. Au bout d'une semaine, je me suis demandé où j'allais, si même cela ferait un film... »
 
Ce n'est pas une méthode, c'est un état d'esprit. Un état d'urgence. Gadjo dilo tient à un fil sur lequel funambu- lisent le metteur en scène et son inter- prète, sans cesse assaillis, secoués par tout ce qui s'invente sous leurs yeux. Romain Duris n'est plus seulement acteur, mais témoin et cobaye. En congé (partiel) de représentation, il réagit autant qu'il joue. D'abord déstabilisé, perplexe, puis de plus en plus à l'aise, en confiance : le film est accessoirement un reportage sur cette métamorphose... Gadjo dilo encaisse bien le choc du réel. Et la fiction, même si elle est ténue, ne s'égare pas en route. Tony Gatlif garde le cap du romanesque, avec l'amour et la mort en points de mire. D'un côté, le coup de foudre de Stéphane pour une jeune fille rebelle, Sabina, qui a osé rompre avec les lois du clan et s'offrira à l'étranger quand et où elle le décidera. De l'autre, la menace latente qui pèse sur la communauté, ce racisme viscéral et séculaire des paysans roumains vis-à-vis des Tziganes qu'une étincelle suffira à ranimer de manière tragique. Les choses vues sont « recadrées » par une mise en scène qui fuit les belles images du folklore et capte les vibrations de moments uniques. Ici, un petit coup de magie, quand Stéphane fabrique avec trois fois rien un Gramophone qui émerveille tout le monde. Là, une échappée drolatique sur les magouilles qu'il faut inventer quand on est démuni de tout : petit exercice pratique pour pirater l'électricité en direct sur la ligne qui traverse la campagne...
 
Gatlif enchaîne les tableaux, file d'une noce à un enterrement, dévoile le rite, restitue l'incantation qui fuse à tout moment et à tout propos. Là-bas, on danse et on chante au pied des tombes, on communie avec le défunt en arrosant la terre de vodka, et c'est d'une beauté déchirante. Là-bas, tout prend une certaine allure, et chacun fait excès de tout. Gatlif « travaille la pâte » de son film dans le viscéral et l'impulsif. Il sait ce qu'il fait, car n'importe quelle situation s'embrase facilement au contact de femmes, d'hommes et d'enfants, qui « jouent leur vie et expriment leurs sentiments jusqu'à la folie ». Gadjo dilo carbure à l'énergie, c'est un film qui avance par à-coups ­ de charme, de grâce, de culot.
 
Au plus près de personnages qui remplissent magnifiquement l'écran et qu'on n'a surtout pas envie de perdre de vue. Comment Stéphane ne serait-il pas un peu spectateur, lui aussi, des deux complices qui l'accompagnent dans sa trajectoire et vont changer sa vie à lui. Izidor, sa démesure, son désespoir, sa roublardise (Izidor Serban, 75 ans, qui s'autoproclame le « plus grand violoniste du monde », est un acteur débutant que Gatlif n'a pas vraiment dirigé, dont il s'est contenté de « canaliser l'énergie »...). Et Sabina, toute en mouvements et gestes qui incitent ou repoussent la familiarité, en rires éclatants et mépris craché, nature explosive, aplomb époustouflant (le phénomène, Rona Hartner, est à découvrir d'urgence...).
 
« Depuis Les Princes, j'ai fait des films pour défendre les Tziganes, dit Gatlif. Je ne suis pas missionnaire. Au lieu de prêcher, je montre. Quoi ? Que leur image est fausse. Que la réalité n'est pas forcément meilleure, mais plus riche, plus complexe que cette image, déformée par cinq siècles de préjugés. Avec ce film, je me suis constamment demandé ce que je pouvais montrer, et comment. En tout cas, je n'ai rien déguisé. » Sans misérabilisme ni fausse poésie ­ ces lourdeurs qui plombaient un peu Les Princes ­, Gadjo dilo est l'idéale conclusion du triptyque que Tony Gatlif souhaitait consacrer au peuple tzigane. Quand l'authenticité et le lyrisme se mêlent ainsi, à cru, sans frimer, on n'est pas loin d'une forme de bonheur cinématographique - Jean-Claude Loiseau 
 



Aferim! est un film roumain écrit et réalisé par Radu Jude et sorti en 2015. Le film est sélectionné, en compétition, au 65ᵉ Festival international du film de Berlin où Radu Jude reçoit l'Ours d'argent du meilleur réalisateur. Wikipédia
 
Gadjo Dilo [1997] - YouTube :  https://www.youtube.com/watch?v=VaWRu3hzTys
 
Tony Gatlif - Indignados / Indignez Vous / Empört euch! Stephane Hessel
https://www.youtube.com/watch?v=QvAxTeIllIw
Gadjo Dilo [1997] - YouTube

" La vie est un miracle" Créé le vendredi 09 septembre 2016 


08/06/2017
Le paradoxe de notre époque
 Le paradoxe de notre époque
 
Louise Michel
Tags : Gadjo Dilo, Tony Gatif, film, filmographie
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#Posté le jeudi 25 juin 2015 19:54

Modifié le samedi 17 juin 2017 14:53

filmographie de Gian Maria Volontè


 
 
C'est un formidable acteur, qui de surcroit était engager.
 
Gian Maria Volontè, né le 9 avril 1933 à Milan et mort le 6 décembre 1994 à Florina en Grèce, est un acteur italien.
A 17 ans, il quitte sa famille bourgeoise pour mener la vie de bohème et intégrer une troupe de théâtre. Par la suite, il intègre des troupes plus professionnelles et s'essaye au répertoire classique. C'est donc à la fin des années 50 que Volonté démarre sa carrière d'acteur au cinéma. Très politisé, ses choix de films vont accroître son côté engagé et révolté. L'acteur connaît enfin la renomée face à Clint Eastwood dans les deux premiers volets de la trilogie des Dollars de Sergio Leone : Pour une poignée de dollars (1964) et Et pour quelques dollars de plus (1965). Il continue sur quelques projets qui passent inaperçus mais revient en force dès 1970 avec Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon de Elio Petri. En plus de sa composition acclamée par les critiques, le film décroche l'Oscar du meilleur film étranger.

S'en suivent toute une série de films qui vont faire l'excellente réputation de l'acteur : La Classe ouvrière va au paradis, Sacco et vanzetti, Lucky Luciano ou Le Christ s'est arrêté à Eboli. La Mort de Mario Ricci lui vaut en 1983 le prix d'interprétation à Cannes. Mais l'acteur se fait plus rare, même s'il tourne avec une nouvelle génération de réalisateurs, comme pour portes ouvertes de Gianni Amelio.


 
Biographie
Il se fait d'abord connaître hors d'Italie pour ses rôles de « méchant » dans Pour une poignée de dollars et Et pour quelques dollars de plus, puis par une série de performances étincelantes à l'apogée du cinéma politique italien, notamment Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon, Sacco et vanzetti, http://fr.wikipedia.org/wiki/L'Affaire_Mattei">L'Affaire Mattei, Lucky Luciano, http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Christ_s'est_arrêté_à_Eboli_(film)">Le Christ s'est arrêté à Eboli. Il meurt le 6 décembre 1994 d'une attaque cardiaque au cours du tournage du film http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Regard_d'Ulysse">Le Regard d'Ulysse.
 
 d'une attaque cardiaque au cours du tournage du film http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Regard_d'Ulysse">Le Regard d'Ulysse.
Gian Maria Volontè - Wikipédia, Site officiel


1960 : La Fille à la valise (La Ragazza con la valigia) de Valerio Zurlini : Piero Benotti
1960 : Sous dix drapeaux (Sotto dieci bandiere) de Duilio Coletti : Samuel Braunstein
1961 : L'Atlantide de Giuseppe Masini et Edgar G. Ulmer : Tarath
1961 : Hercule à la conquête de l'Atlantide (Ercole alla conquista di Atlantide) de Vittorio Cottafavi : Le Roi de Sparte
1961 : À cheval sur le tigre (A cavallo della tigre) de Luigi Comencini : Papaleo
1962 : Un homme à brûler (Un Uomo da bruciare) des frères Taviani et Valentino Orsini : Salvatore
1962 : La Bataille de Naples (Le Quattro giornate di Napoli)  , de Nanni Loy : Stimolo. partie 1, partie 3,  partie 4
1963 : Le Terroriste (Il Terrorista) de Gianfranco De Bosio : Braschi, l'ingénieur
1963 : Noche de verano de Jorge Grau : Alberto Suárez
1964 : Le Cocu magnifique (Il Magnifico cornuto) d'Antonio Pietrangeli : Assessore
1964 : Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari. A Fistful Of Dollars  1h31 min:  part 1, part 2, part 3 , ) de Sergio Leone : Ramón Rojo
1965 : Le Stagioni del nostro amore de Florestano Vancini : Leonardo Varzi
1965 : Et pour quelques dollars de plus (Per qualche dollaro in più) de Sergio Leone : El Indio (l'indien) : For a Few Dollars More . partie 1, partie 2,partie 3, partie 4,partie 5, partie 6, partie 7, partie 8, partie 9 , partie 10 , partie 11 , partie 12 , part 13 ,
 

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1965 : Inchieste del commissario Maigret: Una vita in gioco (Série TV) : Radek
1966 : Lutring... réveille-toi et tue (Svegliati e uccidi) de Carlo Lizzani : Inspecteur Moroni
1966 : La Strega in amore de Damiano Damiani : Fabrizio
1966 : L'Armée Brancaleone (L'Armata Brancaleone - 1h54 min) de Mario Monicelli: Teofilatto dei Leonzi
1967 : I Sette fratelli Cervi de Gianni Puccini : Aldo Cervi
1967 : El Chuncho (¿Quien sabe?) de Damiano Damiani : Chuncho Munos / 'El Chuncho'
1967 : À chacun son dû (A ciascuno il suo) d'Elio Petri : Prof. Paolo Laurana
1967 : Le dernier face à face (Faccia a faccia - 1h47 min) de Sergio Sollima : Professeur Brett Fletcher. Le Dernier Face à face - Wikipédia

Le Dernier Face à face (ou Il était une fois en Arizona, titre original Faccia a faccia en version italienne, Cara a cara en version espagnole) est un western spaghetti écrit et réalisé par Sergio Sollima en 1967. Le film met en vedette Gian Maria Volontè et Tomas Milian sur une musique d'Ennio Morricone.  Le Dernier face à face est le deuxième des trois films westerns de Sollima, suivant Colorado (1966) et précédant Saludos hombre (1968), une suite de Colorado. Les trois films mettent en vedette Milian.
Pr. Brad Fletcher (Volontè), un enseignant de la Nouvelle-Angleterre, quitte son travail et voyage jusqu'au Texas. Après être arrivé dans l'ouest, il finit pris en otage par un hors-la-loi blessé, Solomon « Beauregard » Bennet (Milian). Fletcher l'aide à se soigner et tente de le convaincre qu'il a plus de valeur vivant que mort. À travers cette « amitié », Fletcher prend goût à la vie de hors-la-loi. À la place de retourner à la maison, il décide de joindre les Bennet's Raiders
 

 
1968 : Banditi a Milano de Carlo Lizzani :- 1h32 min de  Piero Cavallero. Banditi a Milano - Wikipedia -
Traduire cette page :

1968 : Un corps une nuit (Summit) de Giorgio Bontempi
1969 : Sous le signe du scorpion (Sotto il segno dello scorpione) des frères Taviani : Renno
1969 : L'Amante di Gramigna de Carlo Lizzani : Gramigna
1970 : Les Hommes contre (Uomini contro) de Francesco Rosi : Le lieutenant Ottolenghi
1970 : Le Vent d'est de Jean-Luc Godard : Le ranger nordiste
1970 : Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto - video google) d'Elio Petri : Le Docteur / ancien chef de la section criminelle
1970 : Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville : Vogel Interview ,
1971 : La Classe ouvrière va au paradis (La Classe operaia va in paradiso - 1h50 min) d'Elio Petri : Lulù Massa <. La classe ouvrière va au paradis - Wikipédia : La classe ouvrière va au paradis (titre original : La classe operaia va in paradiso) est un film italien réalisé par Elio Petri, sorti en 1971. Il obtint la http://fr.wikipedia.org/wiki/Palme_d'or">Palme d'or au Festival de Cannes 1972.
Lulu Massa est un ouvrier ordinaire, acharné au travail. Un jour qu'il est victime d'un accident de travail dans lequel il perd une phalange, il s'aperçoit de la solidarité des autres ouvriers qui se mettent en grève pour interpeller sur les mesures de sécurité dont il a été une des victimes. Désormais il s'engage comme jamais et devient un syndicaliste extrémiste, il se lie à des gauchistes, son usine le licencie, sa femme le quitte, il déprime mais une nouvelle grève éclate, en guise de solidarité et il est réembauché.

">Palme d'or (ex-æquo avec L'Affaire Mattei) et Mention spéciale à Gian Maria Volontè au Festival de Cannes 1972.Prix David di Donatello du meilleur film (ex-æquo avec Questa specie d'amore).



 

1971 : Sacco et Vanzetti de Giuliano Montaldo : Bartolomeo Vanzetti ( film 1 , :  Film 2 ,
1972 : 12 décembre (12 dicembre) de Giovanni Bonfanti et Pier Paolo Pasolini
1972 : L'Affaire Mattei (Il Caso Mattei - 111 min) de Francesco Rosi : Enrico Mattei. Wikipedia
1972 : L'Attentat d'Yves Boisset : Sadiel, un leader progressiste maghrébin
1972 : Viol en première page (Sbatti il mostro in prima pagina - 1h22 min)) de Marco Bellocchio : Bizanti - Directeur de la rédaction de 'Il Giornale' Viol en première page - Wikipédia :
Viol en première page (Sbatti il mostro in prima pagina) est un film dramatique italien de Marco Bellocchio sorti en 1972.
Dans un contexte politique particulièrement explosif, le journal conservateur milanais "Il Giornale" affiche envers et contre tout son soutien à la classe patronale. Se préparant à des élections qui s'annoncent houleuses, la rédaction, menée par le peu scrupuleux Bizanti, met d'ailleurs tout en ½uvre pour orienter l'opinion publique, profitant d'une sombre affaire de crime sexuel pour l'émouvoir. Le sinistre fait divers est ainsi monté en épingle et Mario Boni, jeune militant communiste soupçonné du meurtre, est très vite désigné comme coupable en première page afin de mieux discréditer les divers courants gauchistes. Intrigué par de criantes anomalies dans la façon dont est menée l'enquête, le jeune reporter Roveda, d'abord docile, finit par démonter la vaste machination médiatique dans laquelle se sont engagés ses employeurs et découvre le véritable coupable...
 

 

1973 : Giordano Bruno de Giuliano Montaldo : Giordano Bruno
1974 : Lucky Luciano de Francesco Rosi : Charles "Lucky" Luciano
1975 : Le Suspect (Il Sospetto part 1/2 , part 2/2 ) de Francesco Maselli : Emilio : wikipedia ( ital), wikipedia french :Le Suspect (titre original : Il sospetto) est un film italiendramatique réalisé par Francesco Maselli en 1975. Le fascisme contraint la direction du Parti communiste italien à s'établir à Paris. En Italie, les arrestations de militants déciment l'organisation. Emilio est envoyé en mission, dans la région de Turin, pour mettre hors d'état de nuire les dénonciateurs. Mais il sera bientôt arrêté avec ses camarades...
 

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1976 : Todo modo d'Elio Petri : M.
1976 : Actes de Marusia (Actas de Marusia de Miguel Littin : Gregorio
1977 : Un juge en danger (Io ho paura) - 1h 53 min) de Damiano Damiani : Ludovico Graziano. Un juge en danger (1977) - Policier - L'essentiel - Télérama.fr : Un brigadier de police est affecté à la protection d'un juge. Ensemble, ils dénouent une affaire de meurtre, qui les conduit à enquêter sur une organisation extrémiste.
 

 

C'e1979 : Le Christ s'est arrêté à Eboli (Cristo si è fermato a Eboli) de Francesco Rosi : Carlo Levi
1980 : Stark System de Armenia Balducci : Stark
1980 : Ogro de Gillo Pontecorvo : Izarra
1980 : La Dame aux camélias de Mauro Bolognini : Plessis
1981 : La Chartreuse de Parme (télésuite) de Mauro Bolognini : Comte Mosca
1983 : La Mort de Mario Ricci de Claude Goretta : Bernard Fontana
1986 : L'Affaire Aldo Moro (Il Caso Moro - 2h00: partie  1/6 , part 2/6 , part 3/6, part 4/6 , part 5/6 , part 6/6) de Giuseppe Ferrara : Aldo Moro. Il caso Moro - Wikipedia , Traduire cette page . REBUS: Aldo Moro, il complotto , I Banchieri di Dio -Il Caso Calvi- Completo Ferrara (2002)
 
 

 
1987 : Chronique d'une mort annoncée (Cronaca di una morte annunciata) de Francesco Rosi : Dr. Cristo Bedoya
1987 : Un enfant de Calabre (Un Ragazzo di Calabria) de Luigi Comencini : Felice. Un enfant de Calabre - Wikipédia :
Un enfant de Calabre (titre original : Un ragazzo di Calabria) est une comédie dramatiquefranco-italienne, réalisée en 1987 par Luigi Comencini et distribuée en France en 1988.
Le film fut présenté au festival de Venise1987, au cours duquel Comencini reçut un http://fr.wikipedia.org/wiki/Lion_d'or">Lion d'or récompensant l'ensemble de sa carrière.Si le film traite d'un sujet familier à l'auteur — le monde de l'enfance —, il se situe, plutôt inhabituellement chez Luigi Comencini, dans l'Italie rurale du Mezzogiorno, pauvre et en proie aux activités mafieuses.
1988 : L'¼uvre au noir d'André Delvaux : Zénon
1990 : Porte aperte de Gianni Amelio : Le juge Vito Di Francesco
1991 : Una Storia semplice d'Emidio Greco : Carmelo Franzò
1993 : Tirano Banderas de José Luis García Sánchez : Tirano Banderas

 
Tags : filmographie, Gian Maria Volontè, film, d'ennio morricone, sur un citoyen au-dessus de tout soupçon, pour une poignée de dollars, pour quelques dollars de plus, Festival de Cannes 1, .Prix David di Donatello
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#Posté le lundi 10 septembre 2012 09:58

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