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Hollywood : l'âge d'or de la comédie


 
 
n
 
 
Hollywood : l'âge d'or de la comédie
jeudi 29 mai à 15h50 (90 min)
Rediffusion dimanche 15.06 à 23h00
 
Hal Roach (1892-1992) a produit environ deux mille films de 1914 au début des années 1960, presque exclusivement des comédies. Il a su s'adjoindre le concours de sacrées vedettes, de Laurel et Hardy à Harold Lloyd en passant par les enfants de la série des "Petites canailles". Portrait d'un roi de la comédie.
 
Laurel & Hardy - 6 short films - 6 courts métrages 7/7 - YouTube : 
 
Ke centenaire Hal Roach (1892-1992) a produit environ deux mille films de 1914 au début des années 1960, presque exclusivement des comédies. Il a su s'adjoindre le concours de sacrées vedettes, de Laurel et Hardy à Harold Lloyd en passant par les enfants de la série des Petites canailles. Il a eu l'une de ces carrières légendaires dont s'enorgueillit l'Amérique : employé des chemins de fer, chercheur d'or, livreur de glaces, enfin chauffeur-routier à Los Angeles. C'est là qu'il commence comme figurant dans un western. Le cinéma ne le lâchera plus. Il crée bientôt ses propres studios que d'aucuns rebaptisent "Laugh Factory" ou "Lot of fun".
 
Go West, Buster Keaton (1925) - Silent film - Film complet VOST FR
 
 
Ce documentaire comprend des extraits d'interviews d'Hal Roach in person, de ses filles Jeanne et Maria et de son petit-fils Addison Randall. Témoignent aussi Lois Laurel Hawes, la fille de Stan Laurel, les comédiens Walter Matthau, Bart Williams, Olaf Schubert et Antonia de Rendinger. Un joli portrait également illustré par des photos inédites animées en 3D, des films personnels et des archives qui nous font vivre des moments de pur bonheur en compagnie d'Harold Lloyd, Laurel et Hardy, Buster Keaton, Charlie Chaplin, etc.
Laurel et Hardy,comédie-cinéma,Hollywood,histoire,Hal RoachHollywood l'âge d'or de la comédie - Arte 2014 - YouTube :
 
 
Home Movies From The Golden Age Of Hollywood's Big Stars


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Hollywood Confidential | Histoire de la censure au cinéma US

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Comment, des années 1920 à nos jours, l'usine à rêves, par ses excès privés et ses audaces filmiques, a suscité la censure et rusé avec elle. Avec les témoignages du cinéaste Peter Bogdanovich et de l'historien du cinéma Peter Biskind, et des extraits de "Scarface" de Hawks, "La mort aux trousses" et "Psychose" d'Hitchcock, "Orange mécanique" de Kubrick ou "Taxi driver" de Scorsese.

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Hollywood Confidential | Histoire de la censure au cinéma US


n
C'est arrivé près de chez vous

 
 
Tags : Hollywood, l'âge d'or de la comédie, documentaire, Laurel et Hardy, comédie, -cinéma, histoire, Hal Roach, films, Hollywood Confidential, Histoire de la censure au cinéma US
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#Posté le samedi 14 juin 2014 07:42

Modifié le mercredi 15 novembre 2017 10:15

Ariane / love in the afternoon


 
 
 
 
 
 
 
  
 n
 
Dimanche 15 septembre de 20h45 à 22h50 sur Arte
Comédie sentimentale
 
Ariane ( love in the afternoon )
Comédie réalisé en 1957 par Billy Wilder  
Acteur : Gary Cooper (Frank Flannagan), Audrey Hepburn (Ariane Chavasse), Maurice Chevalier (Claude Chavasse), Van Doude (Michel)
 
A Paris, Ariane, une jeune femme, a jeté son dévolu sur Frank, un homme plus âgé qu'elle, coureur de jupons invétéré. Claude, le père d'Ariane, un détective privé, accepte une enquête dont Frank est l'objet. Il s'agit de savoir si le don juan entretient une liaison avec une femme mariée. Ariane, qui le sait ainsi menacé par un mari jaloux, court aussitôt le prévenir du danger. Mais Frank n'en a cure et la renvoie. Blessée, Ariane s'invente un nombre incroyable de soupirants. A son tour piqué, Frank décide d'en savoir plus et demande à Claude d'enquêter. Celui-ci lui révèle alors qu'Ariane est sa fille et qu'elle est profondément amoureuse de lui...
| Genre : Billy offre le champagne.Billy Wilder - Love in the Afternoon (1957 )

 
 

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Billy Wilder n'était pas très conte de fées. Des deux seuls qu'il tourna, on retient Sabrina 1954 :  , un peu mièvre, osons le dire, et on oublie Ariane, merveille d'équilibre entre humour et romantisme. Si un film de Wilder rappelle qu'il fut scénariste pour Lubitsch, c'est bien celui-ci.
 
 
 
 
Dans un Paris à la Dois­neau bâti par Alexandre Trauner, voici une délicieuse ingénue dont le papa est détective. Entre deux cours de violoncelle, elle met son nez ravissant dans les dossiers de son père (Maurice Chevalier, tendre comme le Chaplin des Feux de la rampe). C'est ainsi qu'elle sauve Flannagan, riche et mûr don Juan américain menacé par un cocu. Elle en tombe, bien sûr, amoureuse. Mais comment séduire le type le plus coureur de la planète ? En faisant mine d'être encore moins sentimentale que lui, pardi !

Pour le rire, Billy Wilder prend un yorkshire, une pantoufle (pas de vair), des musiciens tsiganes et un chariot d'alcools. Pour le charme et l'émotion, un chapeau à voilette, un manteau d'hermine et deux oeillets à une boutonnière. Il fait valser le tout sur Fascination (« Et tu n'as rien fait pour chercher à me plaire / Je t'aime pourtant d'un amour ardent... ») et laisse Audrey Hepburn, créature céleste habillée par Givenchy, manipuler ce grand dadais de Gary Cooper. La mise en scène est aérienne comme la démarche d'Ariane dans les couloirs du Ritz. Alanguie dans une barque ou à quatre pattes sous une table pour chercher son escarpin, petit soldat coquin ou biche émue, Audrey est un conte de fées à elle seule.


Guillemette Odicino


Ariane (1957) de Billy Wilder :
 
 

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Billy Wilder's Double Indemnity - a look back
 
 

 
 : My Fair Lady, 1964 (English Subtitles)
 

 
: Audrey Hepburn Interviewed :
 

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Tags : Ariane, love in the afternoon, film, comédie, comédie sentimentale, Gary Cooper, Audrey Hepburn, Maurice Chevalier, Billy Wilder
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#Posté le dimanche 15 septembre 2013 15:17

Modifié le samedi 09 avril 2016 16:39

Velvet Goldmine


 
 
 



 
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Velvet Goldmine
Comédie dramatique réalisé en 1998 par Todd Haynes  
Avec Jonathan Rhys Meyers , Ewan McGregor , Christian Bale ...  
Date de sortie : 09 décembre 1998  
 

New York, 1984. Le «Herald Tribune» commande au journaliste anglais Arthur Stuart un article sur son ancienne idole, Brian Slade. Vingt ans auparavant, cette star du glam rock s'était offert une sortie fracassante en mettant en scène son propre assassinat, en plein concert. Alors qu'il retrace le parcours de Slade, Stuart se souvient de Manchester, la ville où il a passé son enfance et, surtout, se remémore sa jeunesse, fortement marquée par la figure et la personnalité charismatique de l'extravagant rockeur. Son enquête l'amène à rencontrer Cecil, le manager de Slade, Mandy, sa femme, et Curt Wild, qui fut son amant...
 
LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 09/12/1998
L'Angleterre du début des années 70 et la déferlante du glam rock, à la fois musique et « mouvance » de l'époque (lire page suivante), sont au coeur du nouveau film de Todd Haynes (auteur du sidérant Safe, en 1996). Mais Velvet Goldmine n'est pas un chapitre illustré de l'encyclo- pédie du rock. Plutôt la spéculation romantique, ouverte à toutes les chimères et éminemment personnelle d'un cinéaste, autour d'un temps révolu et de ses tapageuses figures de proue.
 

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Velvet Goldmine part1 - YouTube : , part 2 , part 3,  part 4, part 5,  part 6,  , part 7 , part 8, part 9
 

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 Le songe de Todd Haynes passe par celui d'un personnage : en 1984, Arthur, journaliste anglais expatrié à New York, se voit confier une enquête sur Brian Slade, ancienne idole du glam rock. La star s'est volatilisée, dix ans plus tôt, après un ultime concert assorti d'un assassinat canular sur scène. En fait d'enquête, ce sera pour le journaliste une recherche du temps perdu miniature : Arthur a été naguère un fan transi de Brian Slade. Cha- que témoignage qu'il recueille (celui du premier manager, puis de l'ancienne épouse et enfin de Curt Wild, rock-star new-yorkaise très underground, qui fut l'amant de Slade) produit sur lui l'effet d'une madeleine, ressuscitant les mille et une émotions de son adolescence troublée. Et le film s'emballe ainsi en un carrousel chatoyant de réminiscences et de fantasmes. Les références, les ressemblances non fortuites foisonnent.
 
 Brian Slade (interprété par Jonathan Rhys Meyers, nouveau venu, mélange d'instinct et de fragilité) évoque d'emblée David Bowie : , période Ziggy Stardust. Curt Wild (Ewan McGregor) a tout d'un ersatz d'Iggy Pop, étrangement mâtiné de Kurt Cobain (voir article ci-contre). Leur musique, leurs chansons forment un indescriptible alliage de morceaux d'époque réorchestrés, et de compositions nouvelles, « à la manière de »...
 

 
 
Quant à la structure étoilée du film, juxtaposition de témoignages pour tenter de reconstituer – en vain – la personnalité de Brian Slade, elle rappelle à dessein celle de Citizen Kane. Cette dernière allusion peut sembler dérisoire ou exagérément téméraire. Elle est à l'image de tout le film qui suggère qu'on a les héros qu'on veut. Seule comp- te l'intensité des passions qu'ils inspirent. Au-delà du folklore (extravagances scéniques et ves- timentaires, androgynie et bisexualité affichées) revisité par Todd Haynes, l'aspect le plus universel du film concerne la condition extrê- me de fan. Les flash-back sur l'adolescence d'Arthur montrent combien ses idoles de jeunesse ont mobilisé ses pensées, sa sensibilité et l'ont révélé à lui-même, à l'époque où l'achat d'un nouveau 33-tours de Brian Slade était pour lui l'événement le plus important du monde et justifiait qu'il se barricade dans sa chambre des heures durant, dans un état d'éblouissement et de honte mélangés. Pourtant, et c'est l'idée maîtresse du film, ce culte viscéral était voué à du vent. Brian Slade, Curt Wild et consorts n'ont été que de pures apparences, instruments virtuoses des puissances de l'illusion, héritiers d'une tradition du mensonge, que Todd Haynes fait remonter à Oscar Wilde , Oscar Wilde ( film) , selon une généalogie baroque et imagi- naire : un petit talisman circule entre les différents personnages – symbole de cette filiation de l'excentricité, du dandysme et de la décadence – dont le prologue révèle qu'il a appartenu à Wilde en personne.
 
Le jeu de pistes, de citations et de clins d'oeil pourrait tourner au galimatias, à la faveur du montage convulsif pratiqué par Haynes et du poudroiement de paillettes ou de plumes qui envahissent fréquemment l'écran. Mais, cette féerie miroitante et déjantée frappe au contraire par sa cohérence, son affinité avec l'esprit du glam rock tel que le cinéaste le conçoit : un tourbillon d'images, de sons et de signes trompeurs qui, à la fois, masquent du vide et atteignent à une réalité poétique et plus vraie, pourvu que groupies et idoles y croient ensemble, au même moment. La gueule de bois qui s'ensuit est sans rémission. Quand il s'agit des années 80 et des survivants de l'épopée glam, Velvet Goldmine s'apparente à un champ de ruines. L'ex-madame Slade (l'excellente Toni Colette, découverte dans Muriel, de Paul J. Hogan), repêchée, éteinte, au fond d'un bar, ne trouve pas ses mots.
 
Comment parler d'un vertige, une fois qu'il est passé ? Que dire d'un chanteur qui n'était qu'une surface ? Que faire, après l'embellie de l'ivresse ? La réponse de Todd Haynes est aussi radicale ou aussi ir- ritante – c'est selon – que son film, puisqu'elle est le film lui-même avec toute sa délectation nostalgique. Soit un aller simple pour le passé, en direction d'une contrée d'autant plus attirante qu'elle n'a jamais vraiment existé • Louis Guichard

Louis Guichard

Velvet Goldmine (Dir. Todd Haynes, 1998) -- opening on Vimeo :

Interview Jonathan - Velvet Goldmine :
 
 
 

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 Interview Ewan Mc Gregor - Velvet Goldmine : 
 
 

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BBC: Kings of Glam (2006) :  :
Profiling the leading men of the glam rock era, Lisa Tarbuck guides us through the glittering careers of Marc Bolan, David Bowie, Noddy Holder, Brian Ferry, Elton John and honorary glam king Suzi Quatro. Industry men including producer Tony Visconti, songwriter Mike Chapman and photographer Mick Rock give the insider angle to the work of these artists.
 
 

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David Bowie - The Very Best of 1969 to 1973 : This is a self-compiled collection of what I believe are the best Bowie songs from this era. This is the first of six collections regarding Bowie's best. The second collection (The Very Best of 1973 to 1976) is coming next month sometime.

Tracklisting:
01. Space Oddity - 0:00
02. The Prettiest Star - 5:16
03. The Man Who Sold The World - 8:27
04. Changes - 12:26
05. Oh! You Pretty Things - 16:03
06. Life On Mars? - 19:15
07. Queen Bitch - 23:09
08. Five Years - 26:28
09. Moonage Daydream - 31:11
10. Starman - 35:51
11. Lady Stardust - 40:05
12. Hang On To Yourself - 43:26
13. Ziggy Stardust - 46:04
14. Suffragette City - 49:18
15. Rock 'n' Roll Suicide - 52:43
16. John, I'm Only Dancing - 55:44
17. Velvet Goldmine - 58:33
18. The Jean Genie - 1:01:46
19. All The Young Dudes - 1:05:53
20. Aladdin Sane (1913-1938-197?) - 1:10:06
 
 

 
The Ziggy Stardust Companion - Velvet Goldmine - The Movie (1/2) :
 
Ziggy Stardust and the Spiders from Mars :  
 

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Perfect Age of Rock N Roll - Full Movie



David Bowie The Rise And Fall Of Ziggy Stardust - 1972 - Full Album :
 
 http://Top 10 Rock 'n' Roll Movies" href="http://top%2010%20rock%20%27n%27%20roll%20movies/">Top 10 Rock 'n' Roll Movies

 
Fragments d'une révolution


Tags : Velvet Goldmine, Comédie dramatique, film, comédie, drame, 1998, Todd Haynes, Jonathan Rhys Meyers, Ewan McGregor, Christian Bale
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#Posté le lundi 26 août 2013 17:33

Modifié le jeudi 30 novembre 2017 16:36

Dans l'oeil de Buñuel


 
 
 
 
 
 
 
 
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C'était quoi Luis Bunuel ? - Blow up

 

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Dans l'oeil de Buñuel
"Inconformiste (sic) total", dit-il de lui-même dans un entretien d'archives. Et aussi : "Je suis athée, grâce à Dieu." Libertaire, subversif, marqué par la cruauté et la violence du monde, haïssant le jargon et la psychologie, adorant les blagues, tel fut Luis Buñuel, cinéaste majeur et inclassable. Il a laissé à la postérité plus de trente films, dont nombre de chefs-d'oeuvre, une autobiographie pleine de verve et quelques interviews également réjouissantes, qui font la matière de ce passionnant portrait. François Lévy-Kuentz a aussi interrogé ses proches (son fils Jean-Louis, ses amis Carlos Saura et Jean-Claude Carrière) et certains de ses acteurs (Michel Piccoli, Carole Bouquet, Angela Molina) pour explorer la vie et l'oeuvre de Don Luis.
Plaisir et inquiètude
 
Buñuel: Athée grâce à Dieu (2005) 1/3  , 2/3, 3/3

 
De sa naissance en 1900, en Aragon, dans une Espagne "médiévale" à son dernier tournage en France, (Cet obscur objet du désir, 1977), il retrace la trajectoire de l'un des cinéastes les plus originaux du XXe siècle, dont la production s'étend sur un demi-siècle, mais qui n'embrassa résolument son art qu'à partir de 50 ans. Iconoclaste, provocateur et grave à la fois, cherchant à faire éclater les règles narratives, à laisser libre cours à l'irrationnel, à bousculer l'ordre bourgeois, le cinéma de Buñuel demeure l'une des études les plus profondes de l'imbrication entre inconscient, ordre social et religion. L'oeil coupé du Chien andalou, la Cène moquée par les mendiants dans Viridiana, le cul-de-jatte dépouillé dans Los olvidados, la claudication de Catherine Deneuve dans Tristana, les bottines de Jeanne Moreau dans le Journal d'une femme de chambre... : autant d'images inoubliables, que l'on retrouve avec le plaisir mêlé d'inquiétude qui fait sa marque de fabrique. luis bunuel film complet

(France, 2013, 52mn)
ARTE F

Date de première diffusion : Aujourd'hui, 22h25
 



Dans l'oeil de Buñuel - ARTE


Thèmes : Documentaire, Cinéma & Fiction , Luis Buñuel, cinéaste, cinéma, surréalisme, Viridiana, Los olvidados, Catherine Deneuve, Tristana, Jeanne Moreau, le Journal d'une femme de chambre, Carlos Saura
 
n
Viridiana
Avant de prononcer ses voeux, la jeune et belle novice Viridiana doit rendre visite à un vieil oncle qu'elle connaît à peine, Don Jaime. Celui-ci vit seul avec ses serviteurs dans un vaste domaine qu'il laisse péricliter. La vue de la jeune fille l'éblouit, car elle ressemble trait pour trait à son épouse, décédée la nuit même de leurs noces. La veille du départ de Viridiana, il la convainc de revêtir la tenue de mariée de la morte, puis la supplie de l'épouser...
 
Anomalie
 
La pieuse héroïne, comme de juste, tombera de Charybde en Scylla avant de renoncer tout à fait à ses ambitions de rédemption. La scène finale du film ? le premier que tourna Buñuel dans l'Espagne franquiste ?, refusée par la censure, voyait la jeune femme entrer dans la chambre de son cousin Jorge, héritier du domaine, et refermer la porte. Malicieux, le cinéaste lui en substitua une autre beaucoup moins respectable, qui satisfit un temps les autorités. Que Viridiana ait pu ainsi représenter l'Espagne au Festival de Cannes représente en soi une anomalie aussi drôle et spectaculaire que celles que Buñuel a semées dans son oeuvre. Car il y anéantit avec délectation toutes les certitudes de l'idéalisme, en particulier de la religion, battues en brèche par la férocité du réel. Selon lui, c'est une violente critique de L'osservatore romano qui dessilla les yeux des censeurs, une fois la Palme d'or attribuée au film. Celui-ci fut en immédiatement interdit en Espagne et dut attendre la mort du Caudillo pour y être diffusé.

(Espagne, Mexique, 1961, 87mn)
ARTE F

Date de première diffusion : Hier, 23h20
 
Un cincéaste de notre temps: Luis Buñuel (with english subtitles)

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Thèmes : Cinéma & Fiction , Viridiana, Don Jaime, Buñuel, Franco, censure, Palme d'or, religion, Osservatore romano



 
 FILMLe journal d'une femme de chambre
Comédie dramatique réalisé en 1964 par Luis Buñuel  
Avec Jeanne Moreau , Jean Ozenne , Michel Piccoli ...  
Date de sortie : 04 mars 1964  
 

 ...  http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=le%20journal%>Le journal d'une femme de chambrede Luis Buñuel - YouTube
L'Age d'Or
 
Luis Bunuel - Un chien andalou (1929) - Film complet en Français
 L'âge d'Or de Luis Buñuel , film complet. - YouTube  
Susana (1955) Dir Luis Buñuel   
 Él (1952, Luis Buñuel)   
 http://www.arte.tv/fr#
Tags : Documentaire, Cinéma & Fiction, Luis Buñuel, cinéaste, cinéma, surréalisme, Viridiana, Los olvidados, Comédie dramatique, comédie, film, Michel Piccoli, Carole Bouquet, Angela Molina, Don Jaime, Buñuel, Franco, censure, Palme d'or, religion, Osservatore romano
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#Posté le lundi 01 juillet 2013 18:04

Modifié le lundi 11 juillet 2016 08:04

La traversée de Paris


 
 
 
 
FILM
La traversée de Paris
Comédie dramatique réalisé en 1956 par Claude Autant-Lara
 

En 1943, en pleine Occupation, à Paris. Marcel Martin, un chauffeur de taxi réduit au chômage par la pénurie d'essence, survit en transportant clandestinement de la viande destinée au marché noir. Il doit absolument trouver un remplaçant à son coéquipier, qui vient d'être arrêté par la police. Dans un café, il rencontre le mystérieux Grandgil, qu'il prend pour un plâtrier au chômage. Celui-ci accepte de travailler pour lui. Ensemble, ils se rendent chez Jambier, un épicier de la rue Poliveau, qui les charge de livrer un cochon, réparti en quatre valises, à un boucher de la rue Lepic, c'est-à-dire à l'autre bout de la ville. Les deux hommes devront traverser tout Paris à leurs risques et périls...
 
LA CRITIQUE TV DE TELERAMA DU 19/12/2009
Film de Claude Autant-Lara (France, 1956). Scénario : Jean Aurenche, Pierre Bost, d'après Marcel Aymé. 80 mn. NB. Avec Jean Gabin : Grandgil. Bourvil : Marcel Martin. Louis de Funès : Jambier.
Genre : la petite vadrouille
 
.
« Salauds de pauvres ! » : la réplique d'Aurenche et Bost est restée célèbre. Tout comme la colère homérique de Gabin contre tous les Français lâches, profitant de l'Occupation pour s'enrichir : « Admirez le mignon, sa face d'alcoolique, sa viande grise et du mou partout, les bajoues qui croulent de bêtise. Et l'autre rombière, la guenon, l'enflure, la dignité en gélatine, avec ses trois mentons de renfort et ses gros nichons en saindoux qui lui dévalent la brioche... »

Sous la caméra de Claude Autant-Lara, « ce boucher qui s'obstine à faire de la dentelle », disait Truffaut, l'odyssée minable d'un pauvre type et d'un artiste peintre, faisant du marché noir dans le Paris nocturne de 1943, devient un règlement de comptes avec l'ignominie ordinaire, une mini-fresque sur la barbarie à visage humain. Réalisé durant les Trente Glorieuses, qui voulaient oublier les ombres noires de l'Occupation et qui croyaient, même vaguement, en l'avenir de l'homme, le film choqua. Aujourd'hui, il devrait séduire à 100 %, puisque le cynisme, le doute et la sus­picion sont pratiquement devenus des règles de vie. Avec Douce (plus subtil) et Occupe-toi d'Amélie (plus bouffon), La Traversée de Paris reste le chef-d'oeuvre noir d'Autant-Lara : du vitriol pur jus. Après quoi le cinéaste, toujours poussé par un ardent anarchisme de gauche, sombrera dans un extrémisme détestable. Au point de devenir un de ces médiocres que ses premiers films ridiculisaient si bien.


Pierre Murat


n
La traversée de Paris 1 - Vidéo Dailymotion : part 1,  
 
 

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 suite (2) :   

 

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suite (3) :
 

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 suite ( 4) :
 

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 suite ( 5) :
 

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Tags : La traversée de Paris, film, Claude Autant-Lara, France, 1956, Jean Gabin, Bourvil, Louis de Funès, comédie, drame, Comédie dramatique
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#Posté le mercredi 23 janvier 2013 10:13

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