nLe marché des réfugiés, de la pauvreté et de l'exploitation
Note : oui "tous les hommes naissent libre et égaux en droit" c'est juste après immédiatement après que les inégalités apparaissent dès le premier crie (de révolte ou joie suivant les cas ?
Jean de la Fontaine -Les animaux malades de la peste - Lecture en ligne : Maladies imaginaires le nouveau jackpot pour les labos : MAN
Un haut responsable palestinien a riposté aujourd'hui aux déclarations de Donald Trump selon lesquelles l'aide américaine aux Palestiniens serait suspendue tant qu'ils ne reprendraient pas les pourparlers de paix avec Israël. Le négociateur en chef palestinien, Saëb Erekat, a accusé les Etats-Unis de mauvaise foi et a affirmé que le premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou ne voulait pas négocier, contrairement au président palestinien Mahmoud Abbas.
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L'administration américaine a annoncé qu'elle ne financerait plus l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), une semaine après avoir déjà supprimé plus de 200 millions de dollars (170 millions d'euros) d'aide aux Palestiniens. Le président américain Donald Trump a déclaré hier avoir pris ces décisions pour forcer les Palestiniens à négocier.
Plus de 12 millions de réfugiés vivent dans des camps à travers le monde. Si le HCR en est souvent l'organisateur, il délègue passablement de ses activités à une myriade d'ONG et de sociétés privées qui en font leur business. Du Kenya au Pas-de-Calais, des voix discordantes se font entendre.
Guerres civiles, famines, persécutions, crise migratoire... Vingt millions de réfugiés vivent aujourd'hui dans des camps, véritables villes avec leurs allées de tentes, containers et baraquements en préfabriqué. Pour nourrir et vêtir ces populations, des entreprises privées s'implantent dans ces camps, comme ceux de Zaatari en Jordanie, de Moria sur l'île grecque de Lesbos ou encore d'Elbeyli en Turquie. Elles ouvrent des supermarchés, vendent denrées alimentaires et équipements (cuisines, blanchisseries...).
Ce nouveau business, très rentable, participe à une industrie globale de l'humanitaire évaluée à 20 milliards d'euros par an, qui est supervisée, entre autres, par le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
Quelle est la limite de la notion d'assistance ? Où commence le contrôle des personnes ? Si, à première vue, ces exilés semblent sortis de situations d'extrême urgence et paraissent y gagner au change (sécurité, meilleur confort...), la réalité est nettement plus glaçante, comme le montre cette remarquable enquête. Recensés grâce à des outils numériques dernier cri, tel l'infaillible système biométrique conçu par la firme IrisGuard qui identifie chaque personne en analysant l'iris de ses yeux (en Jordanie, en Irak et au Liban notamment), les réfugiés vivent également sous le contrôle de sociétés de surveillance qui gèrent leurs allées et venues.
Dans une totale indifférence, un processus d'« encampement » permanent, et non plus provisoire, se met en place à l'échelle internationale, avec l'aval des Etats membres de l'ONU, de l'Union européenne et de Frontex, son Agence de garde-frontières et de garde-côtes créée en 2016. Des éléments précis qui permettent de mieux comprendre « cet horizon d'enfermement qui se dessine » pour des millions d'indésirables.
Réfugiés, un marché sous influence
Les Vrais Assassins
« L'Enfance Heureuse » (société d'éducation populaire enfantine, dont nous parlerons ici quelque jour) a eu l'idée excellente de mettre les élèves de cours de langues en relations épistolaires avec de jeunes étrangers de leur âge. En ce qui concerne les Anglais, l'idée ne rencontra que de joyeux adeptes. Mais, comme on leur parlait de ceux qui écrivent aux petits allemends : �...Afficher plus
Voilà les mots d'une célèbre anarchiste, Séverine, qui se gaussait déjà il y a plus de 120 ans, de la devise ironique de la République Française, mettant en lumière ses incohérences. Pensons en lisant ce texte, que les scènes de pauvreté qu'elle décrit sont malheureusement les même que nous pouvons observer dans le Paname d'aujourd'hui.
Sev Sev, celle-là, c'est une spéciale dédicace : elle est pour toi !;)
Liberté, Egalité, Fraternité !
FEMMES LIBERTAIRES·VENDREDI 6 JANVIER 2017
Liberté ?Cette nuit, sur la plage d' asphalte que dominent mes croisées , des épaves humaines, le père, la mère, et deux petits, avaient échoué sur un banc. Des hauteurs où, bien malgré moi je plane, on ne distinguait rien, qu' un tas de chairs grises et de nippes terreuses d' où émergeaient, par-ci par-là, un bras, une jambe, au mouvement lent et douloureux comme une patte de crabe écrasé .Ils dormaient, serrés les uns contre les autres, blottis en un seul tas, par une habitude de meurt-de-froid – même sous cette tiède nuit d' été !
Des agents sont venus qui ont tourné autour, les flairant du regard, avec cette curiosité hostile des chiens de garde et des sergots envers les mal vêtus – pas trop méchants, pourtant. Ils ont tapé sur l' épaule de l' homme, qui a sursauté, s' est frotté les yeux, s' est mis debout d' un effort de reins, décalant le groupe où les moutards, éveillés brusquement, ont commencé de crier .
Aux gestes, j' ai compris qu' il racontait leur histoire ; et encore aux larmes silencieuses de la femme, s' épongeant les yeux avec le coin de son tablier, tandis que l' autre, en les rappelant, ravivait ses douleurs .
Ni des gouapes, ni des bohêmes – des ouvriers ! Des ouvriers parvenus aux plus extrêmes limites de la détresse ; ayant tout engagé, tout vendu, tout perdu !
Seulement, une consolation pouvait demeurer à cet infortuné : celle d' avoir vécu en homme libre dans un siècle libre ; et les drapeaux pavoisant l' auberge de la Belle Étoile (son dernier gîte !) rappelaient
loquemment combien il était heureux, pour lui et les siens, d' avoir été « délivrés » un siècle avant !
Misérable, oui – mais électeur et citoyen ! C' est tout de même bien profitable qu' on ait affranchi plèbe et glèbe !
Quand il a eu fini, les gardiens de la paix ont conciliabulé, avec de grands écarts de bras qui semblaient dire : « Que faire ? »
Rien, évidemment, qu' obéir à la consigne, exécuter la loi... la loi équitable qui a succédé à l'affreux règne du bon plaisir !
Au nom de la liberté, ils ont emmené l' homme libre et sa nichée au poste lui, résigné, courbant le dos ; la mère et les enfant , créatures inconscientes des bienfaits de l' indépendance, presque allègres à l' idée que la captivité leur réservait un lit et du pain ...
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>Seulement un mauvais rêve ? « Le réveil sonne, il est 18 heures et déjà la chaleur me fait suffoquer, il me faut quelques secondes pour me rappeler qui et à quel endroit je suis. Je dois me dépêcher, je suis censé être au bureau dans une heure, de toute façon c'est seulement à ce moment la que le thermomètre passe sous la barre des 45 degrés, l'automne (...)e vous laisse faire votre opinion. Intitulé
Seulement un mauvais rêve ?
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