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"Paradis fiscaux : le casse du siècle" u

 
n
 
Paradis fiscaux : toujours plus
Une enquête, réalisée par une centaine de journaux sur la base de 11,5 millions de documents, a permis de dresser une liste de 140 responsables politiques ou de personnalités qui, profitant de sociétés-écrans, ont camouflé des sommes colossales au Panama, un paradis fiscal.
 
"Paradis fiscaux : le casse du siècle" un #cashinvestigation exceptionnel : 
“Panama Papers” : “Cash Investigation” 1, Platini 0 Olivier Milot  


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Cash investigation : "Panama Papers" Paradis fiscaux; le casse du siècle / intégrale https://www.youtube.com/watch?v=L3ZIO-mBxfE

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" Cette enquête montre que la fraude fiscale est un système à l'échelle mondiale et que les nantis, les riches et les capitalistes du monde entier en profitent. 
Et c'est ces gens-là qui nous rabâchent dans leurs médias et via les gouvernements à leurs botte que la situation économique impose de plonger dans la misère et dans des conditions de vie ou de travail intenables toujours plus de personnes! " 
 
Panama Papers” : “Cash Investigation” 1, Platini 0 - L'actu ...Voir un extrait de “Cash Investigation” : “ Paradis fiscaux : Le casse du siècle” :
 

 
L'enquête de Cash Investigation ne s'intéresse pas qu'aux individus. Elle met sérieusement en cause une banque française, la Société Générale, et une suisse, la banque Edmond de Rotschild.

 



 
Le  scandale planétaire qui se matérialise avec les "Panama Papers".


Nous savons tous que le Panama fait partie -- avec les Iles Vierges britanniques, les Seychelles et autres Iles Caïman -- de ces champions de l'anonymisation des personnes physiques et morales (entreprises commerciales, fiduciaires, hedge funds...) via des cascades de sociétés écran qui interdisent aux autorités fiscales de tout pays de pouvoir réclamer l'impôt.


Pas de titulaire identifiable + pas de pays d'origine + pas de flux financiers traçables = pas d'impôt

Nous savons tous que les paradis fiscaux siphonnent au moins 10% (en réalité c'est bien plus) des revenus et recettes imposables de par le monde -- mais c'est bien l'anonymat qui met les fraudeurs à l'abri du fisc.Jusqu'à présent, la triche des uns et des autres faisait partie du domaine du soupçon. Au pire, quelques listings de personnes physiques avaient fuité chez UBS, faisant l'objet d'une exploitation sans enthousiasme... et les LuxLeaks avaient mis en évidence des pratiques d'évitement de l'impôt par plusieurs centaines de multinationales.Pour résumer très trivialement : pas de titulaire identifiable + pas de pays d'origine + pas de flux financiers traçables = pas d'impôt.


Les conventions prédéterminant un niveau forfaitaire d'imposition entre l'Etat luxembourgeois et des entreprises possédant une filiale sur son sol constituent un procédé "limite"... mais pas illégal.


Trou noir et informations disparues

Avec les "Panama Papers" -- une méga-fuite de documents ultra-confidentiels dont le Süddeutsche Zeitung a été le premier récipiendaire --, c'est comme si un trou noir venait de restituer des décennies d'information disparues.


Les séries de 1 et de 0 indéchiffrables deviennent des noms... par milliers s'agissant de personnes physiques, par dizaines de milliers s'agissant de sociétés offshore (15 600 d'après les premiers éléments divulgués par Le Monde, principal relais français de l'affaire).


Ce qui laisse tout le monde pantois, c'est l'échelle de la fuite. Avec les SwissLeaks et les LuxLeaks, nous apercevions un bout de périscope fendant la surface des flots ; cette fois-ci, c'est un sous-marin tout entier qui surgit de l'océan dans un bouillonnement d'écume.


Onze millions et demi de documents, soit 2 600 giga-octets de données secrètes, ont été exfiltrés des ordinateurs du cabinet Mossack Fonseca. Ce dernier est l'un des plus gros spécialistes de la "domiciliation" (comprenez de l'anonymisation) du Panama, fournissant toute l'ingénierie permettant de blanchir et recycler l'argent de la fraude fiscale, des pots-de-vin, de la corruption, de la drogue et du crime en général.


Soudain, des centaines de personnalités politiques, de chefs d'Etat, d'ultra-riches, de sportifs ultra-célèbres, d'artistes ou de mafieux risquent de faire l'objet de poursuites fiscales et judiciaires.


Ne rêvons pas : il sera difficile de mettre la main sur l'argent occulte, il est partout et nulle part.


Les intéressés, avertis de la fuite affectant Mossack Fonseca, ont eu tout le temps de mettre en place de nouvelles cascades de sociétés-écran et de holdings, de disséminer l'argent des centaines de fois à travers des milliers de structures offshore.

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Cash investigation : Paradis fiscaux : le casse du siècle - Affaire "Panama Papers" / intégrale


Ca va faire mal...
L'argent illégal, insaisissable, ne pourra pas être confisqué en tant que tel. En revanche, les comptes officiels des fraudeurs pourront être saisis... et dans le cas de personnalités politiques, de brillantes carrières vont être brisées net.


Des sportifs -- déjà multi-millionnaires mais qui en veulent toujours plus -- vont apparaître aux yeux de leurs supporters (qui n'ont pour leur part aucun moyen d'échapper aux taxes et aux impôts) pour ce qu'ils sont : des enfants pourris-gâtés, avides et viscéralement égoïstes. Ceux qui les idolâtrent appartiennent souvent aux classes les plus modestes, celles auxquelles la solidarité des plus riches s'avère la plus indispensable.


Des "Ballons d'or" vont se transformer en sportifs à la moralité de plomb... des champions auto-proclamés de la (fausse) générosité vont passer du statut de donateurs ostentatoires à celui de grands dissimulateurs... des couples de corrupteurs et de corrompus vont pouvoir passer bras-dessus bras-dessous devant la justice. Et peu importe les montants en jeu -- qui ne seront probablement jamais connus.


Le coup risque également d'être rude pour le Luxembourg dont la réputation de probité avait volé en éclats avec les LuxLeaks. Les fichiers de Mossack Fonseca sont farcis de noms de filiales luxembourgeoises de banques de tout gabarit qui y possèdent des locaux avec salariés, un bureau ou une simple boîte aux lettres.


Au fait, qu'en pense notre "patron" de l'Europe, Jean-Claude Juncker ? Il connaît par c½ur ce système qu'il a longtemps supervisé... mais il nous assurera n'avoir jamais été au courant des détails, opacité du système oblige.


En Chine :tout concitoyen soupçonné de faits de corruption dont le nom figurerait sur les listings remis aux 107 rédactions membres de l'ICIJ (Consortium international des journalistes d'investigation). le Monde dévoile ainsi que " Les « Panama papers » permettent de plonger dans les eaux troubles du capitalisme à la chinoise. Comme pour les « ChinaLeaks » en 2014 – une précédente enquête sur les paradis fiscaux menée par le Consortium internationaldes journalistes d'investigation (ICIJ) et de ombreux médias internationaux, dontLe Monde –, on y trouve « fils et filles de prince » (les descendants des révolutionnaires chinois) et chefs d'entreprises.


Pour la firme panaméenne Mossack Fonseca, la Chine est devenue l'un des premiers marchés. Près d'un tiers des entreprises dont le cabinet s'occupe dans le monde sont chinoises. Fin 2015, le cabinet d'affaires gérait 16 300 sociétés offshore par l'intermédiaire de ses filiales de Hongkong et de Chine. Après avoir ouvert une représentation dans l'ancienne colonie britannique en 1989, elle a essaimé sur le continent à partir de 2000 et possède désormais des bureaux dans huit villes. Le socialisme aux couleurs chinoises est décidément une bonne affaire pour les Panaméens. Grâce aux « Panama papers », certains arrangements tenus secrets permettent de comprendre comment des proches de hauts dirigeants communistes peuvent, fort avantageusement, dissimuler leur richesse ou des gains obtenus en contrepartie de leur influence.
 
Ainsi, Deng Jiagui, beau-frère du président chinois Xi Jinping, est l'un des clients du cabinet. Il dispose de trois sociétés, la première créée en 2004 et les deux autres depuis 2009. Il n'a pas été possible de savoir ce qu'il en a fait, d'autant que, si la première a été dissoute en 2007, les autres sont entrées en sommeil après l'arrivée de M. Xi à la tête du Parti communiste chinois (PCC) en novembre 2012. Coïncidence ou volonté de ne pas gêner le nouveau haut dirigeant ? En juin 2014, le New York Times avait révélé que Deng Jiagui et sa femme, Qi Qiaoqiao, s½ur de Xi Jinping, avaient vendu depuis 2012 leurs parts dans au moins dix entreprises qu'ils possédaient. Ils l'avaient fait « pour la famille », avait expliqué un des acheteurs. Une demande de M. Xi, dont l'une des priorités était la lutte contre la corruption, avait affirmé le quotidien américain.
 
Fort marché parmi la jeunesse dorée
 
Les « aristocrates rouges » ne sont pas les seuls à utiliser les bienfaits de l'offshore. Les hommes d'affaires, petits et grands, suivent la même voie. Kelly Zong Fuli, fille d'un des Chinois les plus riches, l'homme d'affaires Zong Qinghou, par ailleurs ancien partenaire de Danone dans le pays, a pu acquérir une offshore en février 2015 grâce à Mossack Fonseca. Son objet :« investissements en Chine ».


D'autres proches de hauts dirigeants apparaissent dans les « Panama papers » : Lee Shing Put, gendre de Zhang Gaoli, membre du comité permanent du bureau politique du PCC, le c½ur du pouvoir ; Jia Liqing, bru d'un autre membre du comité permanent, Liu Yunshan ; Zeng Qinghuai, frère de Zeng Qinghong, vice-président de 2002 à 2007 ; et Hu Dehua, fils de Hu Yaobang, secrétaire général du PCC entre 1982 et 1987.
 
En Chine, la censure n'a pas tardé à réagir en envoyant, lundi 4 avril, une note à tous les médias leur enjoignant de supprimer toute référence aux « Panama papers ». Le seul journal à avoir évoqué l'affaire, dans un éditorial publié lundi, est le Global Times. Sans mentionner les accusations portées contre les proches des dirigeants chinois, le quotidien connu pour ses positions nationalistes et dépendant du PCC en a profité pour dénoncer une offensive de l'Occident contre des pays comme la Russie : « Les médias occidentaux ont contrôlé l'interprétation à chaque fois qu'il y a eu un tel déversement de documents, et Washington a montré une certaine influence là-dedans. »
Alexa Olesen et Wen Yu (adaptation par Le Monde)



Les oligarques russes  auront peut-être plus de chance avec le Kremlin, car l'exemple (le mauvais) vient d'en haut... de tout en haut. Et l'on imagine aisément quelle exploitation les Etats-Unis et ses alliés de l'OTAN vont pouvoir en faire.




 
La rédaction vous conseille  :
Cash investigation - Paradis fiscaux : les petits secrets des grandes entreprises / intégrale
">special.investigation.geants.du.net.ennemis.d.etat.d... Argent sale, le poison de la finance documentaire CHOC


Le dernier rapport de Transparency International dresse un tableau de la corruption dans le monde. Selon l'ONG allemande, la grande corruption est l'abus de pouvoir à haut niveau au profit de quelques-uns et au détriment de la majorité de la population. Sur 168 pays, les deux tiers se situent en dessous du seuil de 50, sur une échelle allant de 0 à 100. Parmi les pays qui ont enregistré une très forte baisse, citons le Brésil, où l'affaire Petrobras, révélée début 2014, a provoqué une grave crise politique. Ailleurs, la situation a plutôt tendance à s'améliorer, comme en Mongolie, notamment grâce à la criminalisation de la corruption, bien que les richesses minières y attisent convoitises et malversations. Les caractéristiques essentielles des pays vertueux ? La liberté de la presse, le libre accès aux informations budgétaires, l'intégrité du personnel politique, l'indépendance et l'impartialité du système judiciaire. A contrario, en Australie, l'injonction de la justice aux médias australiens de faire silence sur la corruption présumée de plusieurs chefs d'État et de gouvernement de pays d'Asie du Sud-Est est un exemple de ces dysfonctionnements, mis en lumière grâce à Wikileaks.
www.transparency.org/
Ce rapport a ainsi le mérite de donner une image globale d'un problème, la corruption, qui mine la confiance sans laquelle il ne peut y avoir de démocratie. Quelques critiques peuvent toutefois être formulées : par exemple sur la manière subjective d'évaluer la corruption, à partir de l'« opinion d'experts », et non de données plus factuelles. Par ailleurs, Transparency International ne considère que la corruption publique, quand le phénomène s'étend potentiellement à tous les secteurs de la société ; et c'est bien la porosité entre milieux politiques et milieux d'affaires qui pose souvent problème.

 
Débat : « Brésil : dimensions politiques, économiques et idéologiques d'un pays divisé »
 
 
 
Depuis quelques semaines, le Brésil s'enfonce dans la crise politique la plus impressionnante de ces dernières décennies. Accusé de corruption, le gouvernement voit aujourd'hui sa popularité tomber à des niveaux préoccupants. Pourtant, derrière les scandales médiatiques qui touchent le pouvoir exécutif et l'ancien Président Lula, on voit également apparaitre l'agenda politique de l'opposition.
 
Des juges engagés politiquement, une presse destinée à faire tomber le gouvernement, des dirigeants de l'opposition touchés également par des affaires de corruption ... Ainsi, on a pu observer durant la semaine du 13 au 18 mars 2016 des manifestations massives dans les principales villes brésiliennes : soit pour l'impeachment et la prison de Lula, soit contre le processus de destitution de la Présidente et le « coup d'Etat à froid » orchestré par la droite.
 
Internationalement, les médias et l'opinion de plusieurs leaders politiques font irruption. Cependant, ces prises de parole prennent souvent un ton narratif homogénéisé pour essayer d'expliquer cette « crise de représentation ». La situation politique est alors décrite comme un affrontement gauche versus droite, bourgeois versus peuple, en simplifiant volontiers la période assez complexe vécu par le pays.
 
Face à ce processus, Autres Brésils vous propose alors un débat le jeudi 31 mars à 19h afin de mieux saisir les différents enjeux de ces mouvements.
 
Pour conclure, avec les LuxLeaks, le grand public avait découvert l'une des griffes du sphinx émergeant des sables. Avec les "Panama Papers", c'est comme si l'une des plus grandes pyramides de fraude fiscale sur terre surgissait du sol, jusqu'à 140 mètres au-dessus de la plaine du Nil.  
 
De nombreux régimes politiques vont être Chahuté. Voir une partie déjà contesté par leurs population, risque de se retrouver sur un siège éjectable 
 
 
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.autresbresils.net
Événement sur Facebook
 
Chanson lors de la chronique : "DEVENEZ RICHE, NE PAYEZ PLUS D'IMPÔT !"


, Biens mal acquis profitent toujours, enquête sur un pillage d'Etats : Capitalism : A Love Story 


Choisir son maître n'est pas une liberté : Serge Halimi - Le Grand Bond en Arrière  : Mario Draghi ou le pompier pyromane , L'histoire secrète du patronat ; de 1945 à nos jours_01.12.2009 , Dans la peau de Vladimir Poutine - videos.arte.tv n  Batailles pour l'énergie : Chine , ÉCONOMIE • Ces 147 sociétés qui dominent le monde Interview publié dans le jura libertaire : " [Montpellier] Pourquoi j'ai refusé de me soumettre au prélèvement ADN , Livre : Guerre à l'État... (Jtxo Estebaranz) // Les éditions Libertalia
Tags : exilés fiscal, les LuxLeaks, actualité, "Paradis fiscaux : le casse du siècle" u, cash investication, l'ICIJ, (Consortium international des journalistes d'investigation
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#Posté le mardi 05 avril 2016 10:05

Modifié le lundi 18 avril 2016 12:28

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