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REPORTAGE • Mes cent jours dans le fief de la Camorra


 
Mafiosa 4 Générique par Pierre Gambini : http://www.youtube.com/watch?v=VbkE-TEGlh8 :
La musique du générique de la saison 4 de Mafiosa sur Canal+
Diffusion à partir du 19 mars 2012

 

 

 
 
scandale du libor : citoyen actif, Le scandale du Libor s'étend  ,Royaume-Uni : les banquiers coupables de délits : La justice  veut poursuivre les délits d'initiés pour "usurpation ". Ce n'est pas un type, mais le modèle capitalisme néolibérale qui en ai responsable, ENQUÊTE • Mafia et finance : la crise favorise les liaisons dangereuses,
 

La crise financière a donné l'occasion aux réseaux mafieux de s'infiltrer davantage dans l'écomomie mondiale, en investissant du liquide dans les banques européennes et américaines. C'est ce que démontre Roberto Saviano, l'auteur italien de Gomorra, dans une longue enquête qui suscite de nombreuses réactions.
 
Courrier international
 

 
 
Cosa Nostra - Autopsie d'une Mafia - [FR] :  : " Cosa nostra (« ce qui est à nous » ou « notre chose » en italien) est le nom de la mafia sicilienne (bien qu'une seconde organisation, la Stidda, soit implantée dans le sud de l'île). Elle est surnommée « La Piovra » pour ses réseaux tentaculaires. Les membres de la Cosa Nostra sont appelés « mafieux » en français et « mafioso » au singulier et « mafiosi » au pluriel en italien, le terme de « Mafia » désignant originellement la Cosa Nostra jusqu'à ce qu'on apprenne son véritable nom, lequel aurait commencé à être utilisé après la Seconde Guerre mondiale"
 
MAFIA Italienne / organisation parasite :  :
reportage sur la mafia italienne en action.
report on the Italian mafia in action.
informar sobre la mafia italiana en acción.
relazione sulla mafia italiana in azione


 

 
 
 
 Camorra France 5 - YouTube :  
 
 

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REPORTAGE • Mes cent jours dans le fief de la Camorra
Un journaliste italien s'est infiltré là où peu osent mettre les pieds : le repaire de la mafia napolitaine. Très vite il découvre combien il est difficile de séjourner dans le quartier de Scampia, l'un des endroits les plus pauvres d'Italie, sans être embrigadé dans le crime organisé. Récit et reportage photo Carlo Puca et Ada Masella
 
Voir le reportage photo de Carlo Puca & Ada Masella
Biographie
Carlo Puca, 42 ans Originaire de Naples, Carlo Puca, 42 ans, est reporter et chroniqueur politique à Panorama depuis 2006. Au début de sa carrière, cet autodidacte s'est fait connaître grâce à un reportage en caméra cachée sur un combat de chiens organisé par la Camorra. Il a participé en 2003 à la création d'Il Riformista (quotidien orienté à gauche qui a cessé de paraître), avant d'en devenir l'un des principaux journalistes politiques. En 2008, une de ses enquêtes sur les constructions illégales de Pompéi a fait grand bruit. Sur le site Internet de Panorama,son article sur Scampia a battu tous les records de visites : il a été lu par plus de 40 000 internautes. Puca rédige actuellement un livre sur ses cent jours d'immersion, qui paraîtra en Italie en janvier 2013.
 

La vérité n'existe pas. On peut seulement la chercher. Et, à Scampia, la seule méthode valable, c'est de vivre la vie des camorristes. Mon hôte et complice, dans le quartier des Vele [littéralement “les Voiles”, ces immenses barres HLM qui évoquent un grand bateau], a beau donner des gages de notre prétendue amitié pour que je puisse trouver ma place parmi les petites mains des clans mafieux, rien n'y fait : je dois passer un examen.

Le 7 janvier [2012], pour le premier oral, le jury se compose de deux membres : un blond et un brun, bien sapés, épilés et rasés de près, crânes tondus rehaussés d'une courte mèche, petites moustaches et bronzage aux UV. Le Brun me fouille sur les marches qui mènent aux sous-sols. Mon sac lui paraît réglo et ma carte d'identité, rigoureusement fausse, n'éveille pas ses soupçons. A Naples tout s'achète, même les papiers d'identité.

Je suis ensuite soumis à un interrogatoire pointu. Ma maîtrise de la langue locale, l'argot de Scampia, un mélange de napolitain et d'autres dialectes régionaux, me facilite les choses [l'auteur est originaire de Naples]. Le Blond ouvre le bal : “Qu'est-ce que tu veux ?” La tension monte d'un cran. “Ma femme m'a foutu à la porte, son père m'a viré de l'usine de chaussures, j'étais comptable au noir, et je me retrouve à la rue. J'ai juste besoin d'un lit, rien d'autre.” Silence. Le Blond enchaîne : “T'as des antécédents ?” (sous-entendu : un casier judiciaire). “Non, même pas en rêve” : une réponse stupide de flic, ça m'a échappé. “T'aimes bien conduire ? — J'adore ça.” Une porte claque au loin. Je tremble. Le Blond se radoucit, me tend une cigarette allumée. Je la prends et tire une bouffée, la première depuis quatre ans. “C'est bon, tu peux rester, mais faut pas nous faire chier, t'as compris ?” J'ai compris.


Pour accéder aux barres de Scampia, il faut bien étudier le code dicté par le système. Ce système criminel qui surveille chaque barre, chaque hall d'entrée, chaque habitant. Mon hôte joue les guides. Il a besoin d'argent et son hospitalité a un prix. Naturellement, pas question pour les motards de mettre un casque, accessoire réservé aux tueurs à gages pour masquer leur visage. Le port du casque est toléré – pour éviter les contraventions – uniquement sur les avenues principales du quartier, zones franches où défilent les voitures et les trafiquants de cigarettes, qui proposent “tous les sandwichs à 2,50 euros”. Des “sandwichs” qui ne sont rien d'autre que des paquets de cigarettes de contrebande. Pour les automobilistes, mieux vaut garder les mains bien en vue sur le volant.

Les porches des immeubles sont contrôlés en permanence. Du coup, le premier jour, j'ai droit à trois nouvelles fouilles, au rythme des roulements de huit heures des guetteurs, ces préposés à la sécurité du trafic de drogue. Au fil du temps, ma présence – on me surnomme le Divorcé – va cependant se faire plus banale et je pourrai circuler équipé d'appareils photo et de caméras cachés sans subir de fouilles. Car je m'efforce de respecter scrupuleusement le code, que mon hôte m'a résumé en ces termes : “Garde toujours les mains libres. Et la tête nue. Ne mets jamais de chapeau : on pourrait croire que tu veux dissimuler ton visage. Et fais toujours attention quand tu sors ton portable : quelqu'un pourrait croire que tu dégaines une arme à feu.”

A Scampia, beaucoup s'y connaissent en police scientifique. Ils ont acquis des notions de tests ADN, d'écoutes téléphoniques, de balistique. La série américaine Les Experts est de loin le programme le plus populaire ici. Un véritable cours d'initiation au métier d'assassin. Ceux qui ont tué le mafioso Rafaele Stanchi, alias “Lelluccio Bastone”, étaient peut-être des amateurs de la série.

Voici la version officielle. Dans la nuit du 7 au 8 janvier, Lelluccio roule à travers les rues de Secondigliano [commune voisine de Scampia où la Camorra est aussi très présente], accompagné de son chauffeur, Luigi. Ils sont enlevés et conduits à Melito, un gros bourg devenu l'arrière-cour de Scampia. C'est là qu'ils sont exécutés, à coups de pistolet, calibre 7,65 mm, puis brûlés dans une voiture volée.

Le soir, dans les Vele, devant un plat de pâtes et de pommes de terre, les langues se délient toutefois : “Lelluccio a été attaché, tabassé, torturé. Puis ils l'ont écorché avec un couteau de boucher tandis qu'ils attaquaient ses poignets au sécateur, pour lui arracher les mains. Et, alors que le sang giclait des moignons et qu'il s'écroulait terrassé par la douleur, l'heure de la délivrance est arrivée. Brûlé vif.” Une histoire d'horreur que l'on raconte, de l'admiration dans la voix, devant des enfants ni choqués ni amusés. Indifférents, c'est tout. Ils n'en perdent pas l'appétit. Moi, si.

Les Vele sont l'arche de Noé du XXIe siècle. Elles voguent sur des flots de boue. Les égouts partent à la dérive depuis des années et la pluie se mêle à la merde et aux ordures ; les seringues des héroïnomanes flottent en surface telles de frêles gondoles. Dans les parkings souterrains, l'épave échouée d'une voiture côtoie une salle de shoot et le cadavre d'un métis abattu par balle.

Hostiles à l'homme, les Vele sont par contre parfaitement adaptées à la faune animale. Les deux tiers des appartements sont abandonnés. La plupart sont devenus des ménageries fantômes, inaccessibles aux flics, où des bêtes exotiques (pythons, mainates, tortues, singes) côtoient des animaux d'élevage (lapins, poules( ....). Le “boss” des chiens, c'est le Gringalet. Mince, la cinquantaine, la barbe en friche. Je prends rendez-vous pour lui demander de me dresser un chien, “j'en voudrais un féroce”. Il m'explique qu'il prend 1 000 euros par bête, plus les bonus. Il soutient que le futur propriétaire doit s'efforcer de l'accompagner le plus souvent possible. “Un chien formé par son maître mord mieux qu'un chien dressé dans une école. Un flingue ne vaut rien comparé à un pitbull.” Le splendide bois de Capodimonte, à 5 kilomètres des Vele, est son endroit favori pour le dressage. Avant la séance, “j'y vais seul, j'attache un mannequin à un arbre et je lui passe un collier de viande au cou, m'apprend le Gringalet. Je reviens avec le chien et son maître, qui doit lui donner l'ordre d'attaquer. L'animal est instinctivement porté à sauter à la gorge et à la réduire en bouillie.” Après trois ou quatre sessions à ce régime, la bête sera parée pour “les hommes en chair et en os”. Sans collier de viande.

Jessica et Samantha ont 18 ans. Elles arborent des vêtements de marque – des vêtements de contrefaçon fabriqués par les Chinois et distribués par la Camorra. . Elle gagne 1 200 euros par mois : “Mais je suis payée à la semaine ; mon cousin qui deale gagne 2 000 euros plus les bonus.” Je découvre qu'à la différence des femmes de la mafia sicilienne, reléguées au rang de ménagères, celles de la Camorra font partie intégrante du système et peuvent postuler aux places laissées vacantes par leurs proches “malchanceux” – comprendre : abattus ou arrêtés. Samantha est quant à elle femme au foyer : “J'ai deux enfants à charge, plus mes beaux-parents et un compagnon au chômage. Heureusement que je peux compter sur le grand-père ! Il touche une pension d'invalidité.” Scampia ne compte aucun hospice, les allocations que perçoivent vieillards et handicapés permettent de remplir les assiettes.

Premier commandement du règlement des affiliés : “Dans la vie, il faut savoir traquer et fuir.” Pour tuer et éviter d'être tué. Ou, dans le meilleur des cas, arrêté. la route de Benevento. Nous roulons en tête. En cas de barrage, mon rôle est d'attirer l'attention des gendarmes d'une manière ou d'une autre avant de prendre la fuite, pour laisser le champ libre aux autres. Si nous sommes pris, voici la version officielle : “Je n'ai pas d'assurance, c'est pour ça que je me suis sauvé, les autres n'ont rien à voir là-dedans.”

Je suis donc en passe de commettre un délit, ou du moins d'y participer. A Scampia, un désespéré sans antécédents judiciaires peut toujours servir.

Dix minutes se passent et j'arrive à faire parler le Petit. “Si je voulais m'enrôler, à quoi je devrais m'attendre ?” lancé-je. Ses paroles sont précieuses. Elles révèlent les rouages du système : “Ceux qui entrent au service des clans intègrent une paranza [littéralement : un chalut]”, un terme qui désigne les groupes les plus exposés, ceux qui sont chargés de surveiller les points de vente. La grande nouveauté pour les revendeurs, toutefois, c'est que la vente de rue est devenue presque anachronique à l'heure d'eBay, de Groupon et des colis express. Les camorristes sont jeunes, ils vivent avec leur temps. La drogue est donc livrée à domicile. Les commandes passent directement par les réseaux sociaux. Ultime précaution : utiliser de fausses identités pour qu'il soit impossible de remonter jusqu'aux titulaires des comptes.

Les dealers de rue comme les chauffeurs de Punto sont des proies faciles pour la police. Ils finissent donc par servir d'“idiots utiles” sous le contrôle des guetteurs, cette avant-garde des boss. Se faire prendre par la police avec un paquet de drogue sur soi revient à s'endetter pour toujours. Parce qu'il faut bien le rembourser, ce fameux paquet. Et, les salaires étant relativement bas, le dealer devient l'esclave du boss concerné, le temps de “faire” l'argent nécessaire à son affranchissement. A moins qu'il n'exécute d'ici là un ordre particulier. Genre un meurtre.

A Benevento, on me dépose près de la cathédrale. Le Petit prend ma place au volant de la Lancia et j'entends le Blond grommeler depuis la fenêtre de la Punto : “Fais pas chier, va faire un tour, on se revoit dans deux heures.” Je me rue vers les premières toilettes. Puis je me rends dans un café Internet pour écrire (et décrire) les faits, les lieux et les personnages. J'envoie tout à une personne de confiance : on ne sait jamais. Le retour [à Scampia] sera semblable à l'aller, juste un peu plus silencieux : les Bruns sont à cran. A l'arrivée, on me remet 300 euros. Je descends à deux pâtés de maisons des Vele et je rentre chez moi à pied. D'autres courts voyages du même genre suivront, à Giugliano et sur le mont Faito. Dans une voiture chaque fois différente. Et nous reviendrons le coffre chargé.

Sept produits se partagent le marché de la drogue à Scampia : la cocaïne, l'héroïne, la cobret (en gros, de l'héroïne à fumer), le haschich, la marijuana, l'amnesia (de la marijuana chimiquement traitée) et les acides. Une grande partie de la drogue arrive du Maroc via l'Espagne. Les acides sont faits maison. “On a deux usines, une dans le Samnium et l'autre dans le sud du Latium, près de Fondi”, m'informe-t-on. La marijuana, trop encombrante, est difficile à importer. “La plante est cultivée directement en Campanie, le climat le permet. Certains champs d'herbe hallucinogène se trouvent sur le mont Faito, d'autres vers le littoral de Giugliano”, à l'ouest de Scampia.

Les barons du trafic de drogue font d'énormes bénéfices. Le Blond m'honore désormais de sa confiance, mais lui-même ignore les prix de départ : “Tout ce que je sais, c'est que le prix de gros de la cocaïne tourne autour de 43 000 euros le kilo, plus une centaine de grammes en prime.” La poudre est ensuite traitée chimiquement. Vu que le poids augmente de 30 % après traitement, “on arrive à environ 1 kilo et 330 grammes”. A Scampia, le gramme s'écoule à 70 euros. Un investissement initial de 43 000 euros rapporte donc 93 000 euros. Selon la légende, la Vela rouge [à Scampia il y avait à l'origine sept Vele, portant chacune le nom d'une couleur ; trois ont été détruites] renfermerait le plus grand entrepôt de drogue de Scampia. Elle cache plus probablement un arsenal de guerre : fusils automatiques, kalachnikovs et même grenades, prêts à faire des ravages. Au cours de mes derniers jours sur place, j'ai tenté par deux fois d'entrer dans la Vela rouge, mais pas moyen de passer malgré mes bonnes relations avec les guetteurs de service. J'ai fini par m'attacher à eux.
Seulement voilà : j'ai bien peur que tout soit fini entre nous. Je pourrais peut-être, en cherchant bien, retrouver quelques films de nos virées. Comme ça, juste pour le souvenir.
 
Camorra : Italy's Bloodiest Mafia - YouTube : Camorra : Italy's Bloodiest Mafia - Great documentary ( durée 59 min sur BBC)
 
 

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Histoire du gangsters Mickey Cohen :  :
Documentaire sur la vie du gangster Mickey Cohen

 
 

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Les Incorruptibles - un film, une histoire - Vidéo Dailymotion : : Pendant la prohibition, Al Capone et le crime organisé règnent sur Chicago.
Leurs méthodes d'intimidation et de corruption sont telles qu'ils ne sont jamais poursuivis, même pour des crimes notoires. Dix hommes appartenant au bureau de la prohibition entrent en guerre.
A leur tête, Eliot Ness. Honnêtes, droits et déterminés, ils sont surnommés les « Incorruptibles ».
Brian de Palma en fera les héros de son film éponyme mais, contrairement à la fiction, Eliot Ness n'est pas celui qui fera tomber Capone. C'est un dénommé Wilson, un agent du Trésor public.


 
 

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Liste de films  /  Gangsters, Mafia, et Prohibitions
Il etait une fois en amerique PART1 1/8,PART1 2/8, PART1 3/8, PART1 4/8, PART1 5/8, PART1 6/8, PART1 7/8, PART1 8/8, Fin de la premiere partie

PLAYLISTE PARTIE2
PART2 1/8 , PART 2 4/8, PART 2 5/8, PART 2 6/8, PART 2 7/8, PART 2 8/8
 
 

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Il Etait Une Fois Le Bronx [ Film Complet ] - YouTube :
 
 

 



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Le Parrain
Créé le mercredi 15 février 2017 
Tags : reportage, enquête, documentaire, MAFIA Italienne, organisation parasite, mafia, la Camorra, France 5, Italy's Bloodiest Mafia, Histoire, gangsters, Il etait une fois en amerique, films, Mafia et finance, la crise favorise les liaisons dangereuses
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#Posté le mardi 25 décembre 2012 05:53

Modifié le mercredi 15 février 2017 16:27

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