Cher camarades
Les Guignoles de l'info - World Compagny et la fin de la crise :
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JM Ayraut dégage ! Retourne à ton trafic d'influence à Nantes mais dégage !! :Les réseaux qui comptent à Nantes:Les salons VIP à la Beaujoire , Plainte contre Jack Lang pierre moscovici francois hollande pour viol en reunion sur mineur
Le bal des vautours
Au cours des années 1980 et suivantes, l'essoufflement des moteurs de croissance a suscité le développement d'une économie du crédit. Lorsque le monde de la finance a ouvert les yeux sur l'irréalité des subprimes, en 2008, le système a commencé à s'effondrer sur lui-même. A la garantie interbancaire a dû se substituer la garantie des Etats, dont la dette, devenue abyssale, a miné la crédibilité, poussant certains d'entre eux au bord de la rupture. Comment banquiers et hommes d'Etat ont-ils réagi à la succession d'ébranlements survenus depuis 2008, dont l'économie mondiale ne se remet pas ?
La grande pompe à phynances
Pourquoi faut-il renflouer les banques quand les entreprises ferment, quand l'euro est attaqué, et quand l'Etat croule sous les dettes ? En déroulant le fil de cette question, «Noire Finance» retrace le processus qui a abouti à la financiarisation de l'économie mondiale sur fond de déréglementation. L'exemple du krach boursier de 1929 illustre le développement d'une crise, au départ boursière, en crise bancaire, puis en catastrophe mondiale. Quelles leçons doit-on en retirer ? Au fil des décennies suivantes, quel rôle les hedge funds, les produits dérivés et autres créations aventureuses ont-ils joué dans l'épreuve que traverse l'économie mondiale ?
NOIRE FINANCE - La grande pompe à phynances - Arte EP01.flv
NOIRE FINANCE - Episode 1 - Extrait: "Le levier"

Banque PSA : Peugeot pourra-t-il préserver sa poule aux oeufs d'or ?
Ce matin à 09h47
(Boursier.com) -- Peugeot pourrait-il vendre une fraction du capital de sa très lucrative entité de financement Banque PSA Finance pour alléger la pression sur son bilan ? La rumeur circule en tout cas, alors que le constructeur est engagé dans un processus de mobilisation de ses ressources pour faire face à la forte consommation de liquidités due à un marché automobile déprimé en Europe. Au premier semestre, PSA a dégagé un résultat opérationnel courant de 4 millions d'euros et une perte nette de 819 millions d'euros, dont respectivement -662 millions d'euros et -1,28 milliard d'euros dans sa division automobile... Banque PSA Finance a contribué à atténuer les pertes en délivrant 271 millions d'euros de résultat opérationnel courant et 195 millions d'euros de bénéfice net part du groupe.
Le 20 septembre dernier, PSA avait débuté son opération recentrage en annonçant son entrée en négociation exclusive avec JSC Russian Railways (RZD) pour céder le contrôle de sa filiale de transport et de logistique. Si le constructeur évoque pudiquement un "partenariat stratégique pour accélérer le développement de Gefco", il s'agit bien d'une vente puisque RZD va récupérer 75% du capital de Gefco en échange de 800 millions d'euros. Auparavant, la filiale aura versé à PSA un dividende exceptionnel de 100 millions d'euros.
La problématique Banque PSA Finance ne concerne pas cependant que le groupe, mais l'entité elle-même : S&P la note "BBB-" avec une perspective négative, et Moody's "Baa3" avec une surveillance négative, ce qui signifie que chez les deux agences, davantage chez la seconde que chez la première, l'établissement financier est sur la corde raide, au dernier niveau de la catégorie d'investissement, menaçant de verser en catégorie spéculative. Pour une institution financière, la distinction entre les deux catégories est d'importance...
"Nos fonds catégorie d'investissement ont besoin que Banque PSA ait une notation solide plutôt que sur la sellette pour nous permettre d'adopter une vision de moyen terme", a expliqué le patron de la recherche crédit de Legal & General IM à Bloomberg. Mais le directeur financier de Peugeot, Jean-Baptiste de Chatillon, ne partage pas cet avis et souhaite que le constructeur conserve 100% du capital de Banque PSA Finance, car il estime qu'une ouverture du capital ne résoudrait pas la question de la notation crédit et rappelle que la filiale est "hautement rentable" avec un ratio "core tier one" de 13,3% et qu'elle reverse la moitié de ses gains à sa maison-mère.
"Nous n'envisageons pas de vendre une part de Banque PSA parce qu'il s'agit d'un actif central, que cela priverait le groupe d'une partie des dividendes et que cela n'améliorerait pas la notation crédit de l'entité", a-t-il indiqué à l'agence financière, en ajoutant que le plan de redressement des cash-flows d'ici 2014 devrait prévenir une dégradation de la notation du constructeur. Il estime de surcroît que de nombreuses sources de financement sont disponibles... Reste à savoir si le groupe pourra résister à la pression du marché alors que son plan de restructuration est toujours dans le collimateur d'un gouvernement français particulièrement véhément depuis quelques semaines à l'endroit de l'entreprise.
Wendel confirme la perquisition
Après avoir démenti l'information du Monde selon laquelle une perquisition aurait lieu dans ses locaux, le groupe Wendel a confirmé ce fait aujourd'hui. "Ils ont précisé vouloir perquisitionner certains bureaux de personnes privées", a précisé la porte-parole du groupe.
UNE AUTRE ENQUÊTE POUR "DÉLIT D'INITIÉS ET MANIPULATION DE COURS"
Ces perquisitions visent des responsables de la société d'investissement Wendel dans le cadre de l'instruction de l'enquête suite à une plainte de la commission des infractions fiscales de Bercy pour fraude fiscale.
Ainsi, "les policiers se sont rendus notamment dans les bureaux de Wendel, mais aussi dans ceux de l'ancien patron du Medef, aujourd'hui président du conseil de surveillance de Wendel, Ernest-Antoine Seillière, ainsi qu'au domicile de ce dernier", précise le quotidien du soir. d'Ernest-Antoine Seillière

Quand Paul Dubrule justifie l'exil fiscal : payer des impôts, c'est "se faire plumer"
LE PLUS. La proposition de François Hollande de taxer à 75% les revenus annuels au-delà d'un million d'euros risque de déplaire. La preuve, pour certains de nos très riches compatriotes, payer des impôts, c'est être pris pour un pigeon. Voilà qui fait sortir de ses gonds notre contributeur Yves Delahaie.
Édité par Daphnée Leportois Auteur parrainé par Maxime Bellec
Pourtant, l'un d'entre eux n'a pas hésité à témoigner. Son nom ? Paul Dubrule, le co-fondateur d'Accor, cette fameuse chaîne d'hôtels qui abrite F1, Etap Hotel, Ibis, Mercure, Novotel et le fameux Sofitel, dont la renommée n'est plus à faire grâce à DSK. Le moins, que l'on puisse dire, c'est que l'homme s'exprime sans pudeur :
Donc, pour ce monsieur dont l'entreprise présente un chiffre d'affaires de plus de 6 milliards d'euros en 2011, payer des impôts, ce serait "se faire plumer" ? Étrange, il m'avait semblé que les impôts servaient à la solidarité nationale. Et pas seulement aux "assistés", qu'ont brocardés les fidèles de notre candidat président, au premier rang desquels Laurent Wauquiez. Ils servent à payer l'école, la sécurité sociale, la police, notre défense, notre sécurité à l'égard des attentats, nos routes, et j'en passe.
Pourtant, M. Dubrule est bien né en France. Ne devrait-il pas être reconnaissant envers une nation qui l'a vu naître ? Car n'est-ce pas un hasard miraculeux s'il est né ici alors que, sur six milliards d'habitants, la France ne représente que 65 millions d'entre eux ? Et qu'aurait fait Paul Dubrule si la destinée l'avait fait naître au Soudan ? Aurait-il planqué son seau d'eau potable à l'abri de ses voisins pour ne pas "se faire plumer" ?
La position de M. Dubrule n'est pas seulement scandaleuse, elle est méprisante. Elle donne envie de hurler. Les impôts ne sont pas des saillies injustes : elle permet à la société de fonctionner. Elle permet notamment à ceux qui utilisent sa chaîne hôtelière de le payer grassement. Cynisme.
En effet , il n'y a pas de "grandeur d'âme" à payer des impôts. C'est juste une question d'équité face à ce que la vie vous a offert.
Que l'exil de M. Dubrule soit légal ou non, il n'en demeure pas moins que cet millionnaire vole l'État français et, par là même, vole tous les Français. Son argent, il le gagne en France. Et ce même si sa multinationale exerce en dehors de nos frontières.
Aussi, avant que de prendre une chambre la prochaine fois, réfléchissez-y à deux fois avant de choisir votre enseigne.
Cotation au continue ou au fixing : Règlement et livraison : comptant ou au SRD (Bourse: le Service de règlement différé (SRD) : Le Service de règlement différé (SRD) permet à l'investisseur d'intervenir en Bourse en bénéficiant d'une période de crédit. Le règlement et la livraison des titres liés aux opérations stipulées SRD sont donc différés. Les risques inhérents à ce service, appelé aussi « à effet de levier », imposent à l'investisseur d'offrir des garanties à son intermédiaire financier.
Le PDG français de Shanghai Tang réconcilie le luxe et le made in China

D'une obscure filiale hongkongaise du groupe Richemont, Raphaël Le Masne de Chermont a fait le Ralph Lauren chinois, fierté des jeunes branchés locaux. Les tribulations exemplaires d'un “Frenchie” en Asie.
Vous ne le verrez jamais porter de cravate. Quoi de plus normal de la part d'un homme qui, pour promouvoir l'élégance contemporaine à la chinoise, a lancé le slogan «No more ties». Raphaël Le Masne de Chermont arbore donc chemise et veste à col mandarin... et tant pis si son style détonne lorsqu'il passe par Genève au siège du groupe de luxe Richemont. Son enseigne, Shanghai Tang, en est l'une des filiales, aux côtés de Cartier, Montblanc ou Van Cleef & Arpels. Le PDG sait qu'il peut se permettre ce décalage : «Je vois bien qu'en Occident les gens de la mode sont de plus en plus nombreux à adopter nos choix vestimentaires.»
Magasins de souvenirs. Rien ne laisse présager ce succès lorsque commence son aventure dans le prêt-à-porter, en 2001. C'est Alain Dominique Perrin en personne, PDG de Richemont à l'époque, qui lui offre cette année-là de prendre les rênes de Shanghai Tang, une marque alors presque inconnue du grand public. Lancée par sir David Tang à Hong Kong en 1994 (avant la rétrocession de l'île à la Chine), elle se résume à deux «concept stores» pour touristes en quête de souvenirs raffinés. L'un situé dans l'ex-colonie britannique, l'autre à New York, et les deux... déficitaires. Alors trentenaire, Raphaël Le Masne est installé depuis huit ans à la direction du marché asiatique de Piaget, une pépite du groupe qu'il pilote depuis Hong Kong.
Et pourtant il n'hésite pas longtemps. Manager une grosse boîte ? Très bien. Mais faire prospérer une petite entreprise lui semble autrement plus passionnant ! Un pari osé, remporté au-delà de ses attentes. L'enseigne possède aujourd'hui 45 magasins, dont 10 hors d'Asie. Si le très discret groupe Richemont ne communique aucun chiffre, on sait tout de même que ses ventes en Chine ont augmenté de 46% l'an dernier et que la croissance de Shanghai Tang fut à trois chiffres en 2010. Surtout, la marque s'est taillé dans le monde une réputation de Ralph Lauren à l'orientale, appréciée des amateurs de mode exotique et chic.
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Col Mao et écusson. Lorsqu'il se penche sur le dossier en 2001, notre homme a très vite la vision d'un grand label de luxe chinois, contemporain et exportable. Il commence donc par cibler une clientèle internationale, friande de cadeaux précieux en laque, en émail ou en soie, multiplie les corners dans les aéroports et les hôtels d'Asie. En à peine plus d'un an, il remet l'enseigne à flot. On lui propose alors la direction d'une grande marque horlogère à Genève, qu'il décline aussitôt : pour lui, la tâche ne fait que commencer. Sa volonté ? Tordre le cou au préjugé qui assimile le made in China à de la copie bas de gamme. «Il a su repérer avant les autres le potentiel créatif de l'empire du Milieu», salue Patricia Tartour, à la tête dela Maison dela Chine, à Paris, qui vend depuis 2004 une sélection d'articles griffés Shanghai Tang. Par petites touches, le jeune patron instille de la modernité tout en cultivant la fibre artisanale locale, change la perception de la marque en travaillant le design et les produits. Un jour, au cours d'un tournoi de polo en Mongolie, il a l'idée de lancer des chemises de sport à col Mao frappées d'un écusson tissé, s'inspirant du célèbre concept de Ralph Lauren. David Tang n'apprécie pas, mais la gamme fait aujourd'hui partie des best-sellers.
De l'importance des proverbes. Comme les Orientaux, qu'il côtoie depuis si longtemps, Raphaël Le Masne a horreur de perdre la face. Et cela le pousse à ne jamais baisser les bras. En 2003, il est aux manettes depuis deux ans quand l'épidémie de Sras frappe l'Asie et fait fondre son chiffre d'affaires de 90% en quelques semaines. Un matin, lors de son quart d'heure de méditation quotidien, il cherche un sens à cette épreuve... et se remémore un proverbe chinois : «Rien ne vient par hasard.» Il décide alors de changer sa stratégie. La clientèle touristique n'ose plus prendre l'avion ? Qu'à cela ne tienne, Shanghai Tang ciblera désormais aussi le marché local ! Bien vu : les Orientaux sont séduits par la griffe. Et surtout, ils achètent du prêt-à-porter quand les Occidentaux se limitaient aux cadeaux liés à l'art de vivre. En trois ans, la part des Chinois dans la clientèle de Shanghai Tang passe de 3 à 20%.
Les “chuppies” lui disent merci. Fin connaisseur de l'Asie, Raphaël Le Masne, qui sillonne beaucoupla Chine, capte l'évolution des mentalités. Il voit émerger les «chuppies», ces branchés qui rejettent le con-formisme de leurs aînés, mixent les étiquettes et arborent avec fierté les marques nationales. Il les séduit en leur proposant un luxe à la chinoise dépouillé des clichés du passé. «Ici, les jeunes ne sont pas attachés à leurs racines, explique-t-il. Il suffit de voir surgir de terre les centres commerciaux ultramodernes pour comprendre qu'il n'y a pas de place pour la nostalgie.»
Après ses études, le jeune Raphaël se voyait bien mener carrière en Europe. Il a fait ses premières armes à Londres et Bruxelles, épousé une Belge. Son arrivée à Hong Kong, en 1994 ? Il avait détesté. Aujourd'hui, pourtant, il ne se voit plus revenir en Europe et il l'a fait savoir en haut lieu : «Je préfère travailler avec les Chinois.» Il vit avec bonheur les paradoxes de la culture locale. Le capitalisme pur et dur de l'ex-colonie britannique ? «Une bonne école de réactivité. Ici, on accède aux décideurs d'un simple coup de fil.»
Le Français côtoie aussi bien le patron dela Banque centrale de Hong Kong, Hon. Ronald Arculli, que le célèbre acteur Jacky Chan, avec qui il a partagé des fêtes mémorables. Car la rudesse des affaires n'exclut pas douceur et respect dans les relations humaines une fois la confiance établie.
La Chinea changé ce patron naguère irascible, dont l'équipe de 350 personnes est composée à 90% d'autochtones. «Il est très à l'écoute des idées de chacun», témoigne la galeriste Katie de Tilly, qui l'a initié à la sculpture avant-gardiste de Wang Keping. Ainsi, c'est sa directrice marketing qui lui a présenté le duo de créatifs franco-pékinois chargé de la décoration du nouveau magasin étendard de la marque à Hong Kong, sur Duddell Street. Nouveau ? Oui. Car le loyer mensuel du magasin historique de Pedder Street avait dépassé le million d'euros. D'abord sonné, Raphaël Le Masne y a finalement vu l'occasion de doubler la surface de vente. La nostalgie ? Elle n'a décidément pas sa place dans le luxe chinois.
conclusion :
"Ce n'est pas un type, mais le modèle capitalisme néolibérale qui en ai responsable" Tous furent touchées, mais tous ne mouraient pas: Les places financières doivent se préparer à un été maussade, tandis que les peuples meurent a petit feu. Car la crise européenne avance chaque semaine un petit peu plus.cf Le ralentissement de l'économie mondiale?A travers PSA :Comprendre...Les 30 patrons trop bien payés, néolibéralisme : dates et noms
Paul-Loup Sulitzer, dont les activités d'homme d'affaires ont été ralenties ces dernières années à la suite d'ennuis de santé et de déconvenues financières dues à sa situation privée
Paul-Loup Sulitzer veut élire domicile en Belgique
Casse-toi, pov' Libération :

Qu'y a-t-il de plus scandaleux : que M. Bernard Arnault réclame la nationalité belge afin de préparer l' « optimisation fiscale » de sa fortune — la première française et quatrième du monde — ou que les politiques publiques successives (en France, en Belgique, ailleurs) aient offert de telles possibilités à leurs contribuables les plus opulents ? On ne peut libérer le marché des capitaux, laisser proliférer les paradis fiscaux, y compris en Europe, et se plaindre ensuite que les individus pour qui de telles décisions sont prises choisissent d'en tirer le meilleur profit
http://www.noirgazier.lautre.net/?p=2588
Un homme de 59 ans qui ne payait plus ses loyers est mort après s'être jeté par la fenêtre de son appartement du troisième étage à l'arrivée d'un huissier venu lui signifier un arrêté d'expulsion, à Cugnaux, au sud-ouest de Toulouse.
Un responsable a expliqué au journal que celui-ci était surendetté à cause en particulier de crédits à la consommation. Une autopsie du corps a été ordonnée par le parquet et une enquête judiciaire a été ouverte, ont indiqué les gendarmes.
Nous nous permettons d'adresser toutes nos condoléances à la familles et aux proches de cet homme mort au nom de l'ultra-capitalisme a visage inhumain.

#GRECE : L'interdiction des manifestations dans le centre d'Athènes serait fondée sur une loi datant de la Dictature des colonels (1971) et pas utilisée depuis 1974.
Une lutte internationale des travailleurs exemplaire! Info à partager largement
Dans le contexte actuel, ne pourrait t on pas de réfléchir à la formation d'une "alliance salariée " un peu sur le modèle de l'alliance ouvrière des Asturies sur la base d'un programme de mesures d'urgence qui pourrait ressembler aux mesures préconisées par notre organisation dans son programme:
- Embauche de tous les chômeurs et interdiction des licenciements en cour,
- Diminution du temps de travail radicale, (journée de 5 heures maxi ? ),
- Augmentation des salaires et diminution des écarts de revenu de 1 à 4,
- Expropriation immédiate de toutes les entreprises au dessus de 50 salariés (à discuter), mise en place d'une planification de la production sous contrôle salarié,
- Réquisition des logements vides et organisation d'un programme de construction massive de logements sociaux, etc...
http://redskins-limoges.over-blog.org/article-asturies-1934-une-revolution-inconnue-62522178.html
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